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vendredi, 30 septembre 2011

Revue de presse : Un grand entretien avec Serge Ayoub sur Préférence nationale...

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Serge Ayoub, leader de Troisième voie, appelle à une manifestation nationaliste le 8 octobre à Lille. Il s’en explique et détaille les fondements de son engagement politique actuel.

Son image de chef des skins parisiens lui colle à la peau, même 20 ans plus tard. « Batskin » est aussi connu que Serge Ayoub, surnom souvent accolé à son état civil, comme s’il en était devenu une composante à part entière. S’il a mué son engagement physique en combat politique, et estime réducteur de se voir renvoyer à son passé de chef de bande des années 1980, il en cultive savamment l’image et le mythe, en défilant à la tête de ses Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR). Serge Ayoub cherche pourtant à promouvoir autre chose. Avec Troisième voie, qu’il a ressuscité en 2010, il élabore un programme politique à tonalité gauchisante, à l’intérieur de la mouvance nationaliste. Il affirme la nécessité de formation de ses militants, organise de nombreuses conférences dans son bar, Le Local, et revendique pour son Front solidariste la seconde place parmi les formations politiques de sa tendance, en terme de militants, (loin) derrière le Front national (FN).

Vous appelez à manifester à Lille, le 8 octobre (cliquez ici). Pourquoi ce rassemblement ?

Nous manifestons pour la préservation de nos emplois. Nous pensons que ce n’est pas aux travailleurs français de supporter le poids de cette crise. On cherche aujourd’hui à les faire payer alors que c’est l’oligarchie financière et les politiques qui nous gouvernent qui devraient être mis à contribution. Cette manifestation a également pour but de défendre le poids de la nation qui garantit nos droits sociaux, que certains cherchent à réduire.

Le second objectif, c’est la constitution d’un front solidariste. Une notion que nous avions déjà mis en avant lors du défilé du 8 mai 2011, à Paris. Plusieurs mouvements européens (Nation, Sinistra nazionale, le MSR) s’interrogeant sur cette évolution du nationalisme qu’est le solidarisme, s’étaient alors joints à nous.

Vous semblez mettre en avant lors de ce rassemblement nationaliste des notions et une figure (Roger Salengro) ancrées à gauche. N’y a-t-il pas un décalage entre votre famille politique et vos revendications  ?

Oui, le terme “Front populaire” ne nous déplaît pas, car le souvenir qu’il a laissé chez les travailleurs français est positif. On ne se définit ni à droite, ni à gauche. Nous revendiquons une filiation avec les révolutionnaires de 1793, avec Robespierre. Avec les sans-culottes, les communards, avec le Front populaire. Mais en quoi est-ce de gauche d’être sans-culotte ? Pensez-vous qu’Aubry, Hollande, Daniel Cohn-Bendit soient des héritiers des sans-culottes ou des communards ? La gauche et le PS ont trahi la révolution, les travailleurs et les français en général. Il n’y a plus une grande différence entre l’UMP et le PS à l’heure actuelle. Ils sont tous au service du mondialisme.

Quelle est votre conception du solidarisme ? Vous placez-vous dans la lignée des mouvements solidaristes qui ont couru à l’extrême droite à partir des années 1960-1970 ?

Non, cela n’a rien à voir. Nous avons repris ce terme car nous avons une vision solidaire de notre pays. Notre conception se résume en trois mots: liberté, égalité, fraternité. C’est à dire liberté de pensée, liberté d’entreprendre, mais pour être libre il faut pouvoir décider. Nous voulons donc la démocratie la plus directe possible, référendaire, de souveraineté populaire et aux mandats révocables. Être libre c’est être maître chez soi. Les Français et les travailleurs doivent donc se réapproprier la France et ses entreprises par la participation et la nationalisation des banques (qui nous ruinent) et que  notre travail ne suffit plus à renflouer. Nationalisation aussi des secteurs stratégiques pour notre indépendance nationale. Égalité des droits et des devoirs mais aussi égalité entre le capital et le travail. C’est à dire réduire, rééquilibrer les rapports de forces entre grands patrons et travailleurs. C’est la codétermination  en partie inspiré du modèle allemand. La fraternité c’est la solidarité entre individus d’une même nation, et entre les nations du monde, donc certainement pas la négation de la Nation. Nous sommes démocrates, de demos cratos (le pouvoir du peuple) mais nous considérons que ceux qui possèdent actuellement le pouvoir et se disent démocrates ne veulent pas le rendre, ça sera donc un combat. Nous comptons donc nos forces. Nous en avons deux: le nombre et le travail. Pour le nombre c’est la démocratie directe, pour le travail, nous demandons aux Français de réinvestir le combat syndical, et de combattre au quotidien pour arriver à cette phase révolutionnaire qu’est la grève générale. Pour y arriver, il faudra plus d’une décennie de lutte.

Si vous rejetez à la fois le capitalisme et le communisme, comment vous situez-vous sur le plan économique ?

Lire la suite de cet entretien sur Préférence nationale cliquez ici

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jeudi, 29 septembre 2011

La tournée de Carl Lang dans l'Oise...

28-09-11-b.jpgMercredi 28 septembre, Carl Lang, président du Parti de la France et candidat à l'élection présidentielle, était en campagne dans l'Oise dans le cadre de sa tournée des départements de France.

Après avoir rencontré deux maires du Beauvaisis, de manière confidentielle, dans le cadre de la recherche des parrainages nécessaires pour se présenter à l'élection présidentielle, Carl Lang et Thomas Joly, secrétaire général et délégué régional du PDF, ont tenu une conférence de presse à Beauvais où les grands axes de la campagne présidentielle ont été présentés.

Cette journée s'est conclue à Goincourt avec un dîner-débat dans l'établissement sympathisant Chez Romano où se sont retrouvés les militants du Parti de la France pour une soirée politique et conviviale. On soulignera la présence d'Annie Fouet, de Monique Chapel, de Francis Magnier, de Réjane Guidon et du local de l'étape, Johnny Le Brun, conseiller municipal de Goincourt.

Thomas Joly est d'abord intervenu pour revenir, entre autres, sur les récentes élections sénatoriales dans l'Oise auxquelles le Parti de la France participait avec ses alliés du MNR et de la NDP, puis il a fait un point rapide sur la situation politique locale, évoquant les clandestins installés sous le pont de Paris à Beauvais, leur scandaleuse irruption lors du dernier conseil municipal, la construction de la future mosquée, l'irresponsabilité de magistrats qui ont fait preuve d'un laxisme criminel au profit d'auteurs de graves agressions contre des policiers beauvaisiens.

28-09-11-a.jpgPuis Carl Lang a pris la parole et a commencé par faire une analyse de la crise économique et financière qui frappe la France et l'Europe. Une situation désastreuse dont nos gouvernants sont les uniques responsables, endettant déraisonnablement leur pays pour financer leurs errements politiques et livrant le marché français et européen au libre-échange sauvage. Le président du Parti de la France a fustigé les démagogues qui trompent les Français en leur sortant des boniments simplistes et déconnectés de la réalité. Même si elle n'est pas agréable à entendre, il faut dire la vérité aux Français, dans tous les domaines ; et ne pas sombrer dans l'électoralisme et la démagogie au détriment de solutions crédibles et réalistes pour sortir du marasme économique et social généralisé.

Refusant l'étatisme, le républicanisme, le laïcisme et le système socialiste dans lequel notre pays est plongé depuis 30 ans (l'UMP poursuivant l'"oeuvre" mitterandienne), Carl Lang a réaffirmé la nécessité d'entreprendre une décolonisation migratoire, financière, économique et culturelle de notre nation dans un esprit de reconquête de nos droits à rester nous-mêmes, à refuser de se soumettre à la disparition de la France plurimillénaire et à retrouver une prospérité économique sans concurrence déloyale au nom du mondialisme.

Les convives sont repartis ravis et les bras chargés d'affiches et d'autocollants qui étaient à disposition.

Source Le blog de Thomas Joly cliquez ici 

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Hommage à François-Georges Dreyfus : un homme courageux...

Par Robert Spieler

Délégué général de la NDP

 

Issu d’une famille juive, il est né le 13 septembre 1928 à Paris et vient de décéder le 24 septembre 2011. Il se convertit au protestantisme dans les années 1950. Historien, agrégé d’histoire et professeur d’histoire et de Sciences politiques à l’université de Strasbourg, il fut directeur de l’Institut politique (c’est là où je fis sa connaissance), du Centre d’études germaniques, de l’Institut des Hautes études germaniques, et enfin professeur émérite à la Sorbonne depuis 1990.

 

Auteur de nombreux ouvrages sur l’Allemagne contemporaine et sur la France du XXème siècle, il fut aussi un défenseur de l’orthodoxie luthérienne. Gaulliste depuis son adhésion au RPF en 1947, maurassien, il animait une émission sur Radio Courtoisie.

 

Il fut l’auteur d’ouvrages controversés : Une Histoire de Vichy où il souligne la réalité importante des forces de résistance à l’occupant dans l’entourage du maréchal Pétain ; une Histoire de la Résistance, parue en 1996, qui fut accusée par l’historien britannique Julian T. Jackson d’être une « apologie de Vichy ».

 

Sur le plan politique, il fut secrétaire départemental du Bas-Rhin de l’UNR gaulliste à partir de 1961, puis de l’UDR de 1965 à 1975 et devint adjoint au maire de Strasbourg, chargé des affaires culturelles. Il fut longtemps membre du Club de l’Horloge, alors proche de la Nouvelle Droite, et se rapprocha, ces dernières années du mouvement royaliste.

 

François-Georges Dreyfus était un homme courageux. Après les élections de 1997, il regretta publiquement « que l’on ait diabolisé l’extrême droite » et reprocha à Jacques Chirac son discours de juillet 1995, où il reconnaissait le rôle du régime de Vichy dans la rafle du Vélodrome d’hiver.

 

J’ai bien connu et beaucoup apprécié FGD. J’avais créé en 1981, en Alsace, après la victoire de la gauche, un club d’opposition, Forum d’Alsace qui allait devenir le club le plus important dans la région. François-Georges Dreyfus participa activement à l’organisation des multiples conférences et dîners-débats que nous organisâmes : Philippe Malaud, Alain Griotteray, Serge Dassault, le professeur Debray-Ritzen, Julien Freund, et beaucoup d’autres dont Raymond Barre, dont le comportement fut stupéfiant et odieux. Mais ceci est une histoire que je vous raconterai une autre fois. C’est grâce à FGD que je pus trouver ces multiples invités (une trentaine de personnalités nationales et régionales).

 

J’ai revu récemment, avec joie, François-Georges Dreyfus. Nous avions organisé, avec Serge Ayoub, une conférence passionnante, au Local, avec FGD, sur le thème « la révolution conservatrice ». François-Georges chez Serge Ayoub ! Cela qualifie sa liberté d’esprit et son mépris absolu du politiquement correct. Il avait d’ailleurs donné son accord pour une interview dans la revue Synthèse nationale sur le thème de la Révolution conservatrice.

 

Nous ne l’oublierons pas.

 

Pour voir, ou revoir, la conférence donnée au Local, le 10 décembre 2010, par François-Georges Dreyfus cliquez ici

16:15 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Flash, c'est fini...

La disparition d'un journal d'opinion, surtout lorsque l'opinion de ce journal le range dans ce qu'il est convenu d'appeler notre famille d'idées, est toujours une triste nouvelle. Avec celle de Flash cette nouvelle est encore plus douloureuse car dans la rédaction de celui-ci nous comptions beaucoup d'amis.

Bien sûr, nous ne partagions pas, loin s'en faut, toutes les analyses et les prises de positions, parfois audacieuses, de ce journal qui tranchait singulièrement, tant par sa formule que sur le fond, dans le paysage médiatique national. La personnalité de Nicolas Gauthier, son sympathique directeur, n'y étant certainement pas étrangère. Néanmoins, Flash avait son mot à dire et il ne se priva pas de le dire.

Régulièrement, nous vous tenions informé de chacune de ses livraisons. Nous publions ici la lettre que Nicolas Gauthier vient d'adresser aux abonnés de Flash.

Roland Hélie

Cher ami,

C’est avec tristesse que je dois vous annoncer que nous sommes obligés d’arrêter Flash.

Voilà près de trois années que notre petite équipe se battait envers et contre tout. Malgré l’absence de locaux et des frais réduits au strict minimum, nous ne pouvions plus lutter…

Faute d’être arrivés à l’équilibre financier, nous n’avons aujourd’hui plus d’autre choix que de jeter l’éponge.

Flash était le dernier né de la presse d’opinion, qui entendait marcher sur les pas d’autres journaux libres : de L’Idiot International de Jean-Edern Hallier à Défense de l’Occident de Maurice Bardèche et autres publications dissidentes.

Toute l’équipe se joint à moi pour vous remercier de nous avoir soutenu dans cette aventure :

Topoline, l’analyste impitoyable des arnaques culturelles ; Christian Bouchet, notre “Tintin reporter”, toujours en voyage pour nous raconter ce que les grands médias nous cachent en matière de politique étrangère ; nos chroniqueurs politiques Alain de Benoist, de Philippe Randa, d’Arnaud Guyot-Jeannin, de Pierre Le Vigan et de tant d’autres. Et j’allais oublier l’essentiel : les stagiaires que nous avons formés, pour qu’ils prennent un jour la relève.

Alors, l’aventure s’arrêterait-elle maintenant ?

Non, pas forcément, bien au contraire…

Car notre petite équipe demeure plus soudée et combative que jamais.

En sa formule actuelle, Flash n’est plus viable. Mais, cher lecteur, je vous demande ne de pas désespérer, car Flash est actuellement en train de renaître sous d’autres formes. Sur Internet, que ce soit par écrit ou en vidéo. Ou même encore sur papier…

Au nom de toute la rédaction, je vous dis donc à bientôt.

Amicalement

PS : Je ferai le maximum pour que nos lecteurs se trouvant dans le besoin puissent être remboursés, à leur demande, au prorata de leur abonnement.

FLASH 10 rue Primatice 75013 Paris cliquez ici

07:41 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LES SPASMES D'UN OCCIDENT MALADE

L'éditorial de Militant

Source cliquez ici

L'été 2011 a été secoué par les turbulences de la zone euro et des finances états-uniennes, le tout saupoudré des multiples conflits ouverts par la "communauté internationale" américano-mondialiste, comme en Libye.

Le fait majeur est qu'il est apparu clairement que les Etats-Unis étaient en situation d'insolvabilité potentielle. La "première puissance mondiale" se trouve dans une situation d'endettement telle que le système financier mondial ne peut qu'accélérer sa fuite vers l'abyme. Le compromis obtenu in extremis par Obama afin de relever le plafond de la dette ne sera qu'une feuille de papier sans lendemain.

L'endettement est le talon d'Achille du système mondialiste et il prend toute son ampleur lorsque l'on ajoute à l'endettement des Etats, celui des collectivités publiques, des entreprises et des ménages. Peu de pays sont épargnés, même pas la Chine ; et ceux qui le sont se retrouvent dépendants des autres, telle l'Allemagne au sein de la zone euro.

L'endettement est inhérent au capitalisme dominé par les banquiers et les financiers dont l'objectif n'est pas de servir le bien commun des peuples, mais d'accumuler le maximum de profits financiers, par tous les moyens possibles et imaginables, telles la surexploitation de la main d'œuvre, la corruption, la délocalisation, la spéculation etc. Dans ce contexte, le recours à l'emprunt permet seul de financer les besoins des populations, sous-rémunérées mais soumises à l'ardente obligation de consommer. Il en est de même pour les Etats, dont la situation est aggravée par le fait qu'ils étendent leur emprise au-delà de leur rôle régalien, alors qu'ils ne peuvent augmenter sans danger grave pour l'activité économique des impôts déjà très lourds qui appauvrissent les classes moyennes.

Les "plans d'austérité" imposés un peu partout dans le monde ont le culot de viser à faire payer par ces dernières les frasques d'un système criminel qui ne change en rien ses règles de fonctionnement. Ils sont voués à l'échec, comme on le voit avec la Grèce.

Néanmoins, l'affaire de la dette grecque est d'importance seconde. Elle s'inscrit dans le cadre de la crise du capitalisme mondialisé avec ses causes et conséquences identiques : endettement de l'Etat, aggravation des déficits publics, enrichissement accéléré d'une minorité constituant la super-classe mondiale hors-sol tandis que la grande masse des populations tend à s'appauvrir.

Pourtant, les gesticulations des "marchés" à propos de la Grèce ne sont pas anodines : elles visent à créer un climat de panique tel en Europe que les Etats-membres de l'U.E. finissent par reconnaître, comme "solution miracle" ce que les peuples rechignent à accepter : la création des Etats-Unis d'Europe, objectif affiché par les cercles mondialistes tel celui de la "Paneurope" créé par Coudenhove Kalergi dans les années 1920. La mutualisation de la dette grecque, puis de celle du Portugal, de l'Italie ou de l'Espagne est présentée comme le moyen de mettre fin à la crise, alors qu'elle ne fait que reporter, en l'aggravant, l'échéance de la ruine conjointe de l'euro et du système financier mondialiste. En témoignent les appels d'un Gerhard Schröder, ancien chancelier allemand, d'une Ursula von der Leyen, dirigeante de la CDU en Allemagne, en faveur des Etats-Unis d'Europe. Ne soyons pas dupes.

Le système né de la "Grande Guerre", qui a vu le pouvoir des financiers imposer sa puissance aux peuples approche de sa fin. Mais ses tenants feront tout pour le maintenir coûte que coûte ; à n'importe quel prix. L'aventurisme auquel nous assistons à travers le monde, depuis le Kosovo jusqu'à la Libye et à la Syrie, en attendant d'autres développements, pourquoi pas en Iran ou en Asie centrale, est le signe de la traditionnelle fuite en avant d'un système malade. Malade de ses propres contradictions, malade de réduire la société à la seule dimension matérialiste du veau d'or.

L'été 2011 a été marqué par les spasmes de cette maladie. En dépit des apparentes impasses actuelles, l'avenir est plus ouvert que jamais. Aux nationalistes de savoir faire en sorte qu'il soit celui des nations remises dans les rails de leur tradition et spiritualité millénaires.

07:14 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La tournée de Carl Lang dans le Sud-Est de la France

Vendredi 15 octobre Carl Lang sera reçu à Nîmes par Robert Ponge, délégué régional du Parti de la France et membre du Bureau politique. Une conférence de presse suivie d’un apéritif militant sont prévus. (informations supplémentaires et inscriptions au 06 61 57 58 33).

Lundi 17 octobre, ce sont les Alpes Maritimes qui recevront Carl Lang. Jean-Claude Frappa, délégué régional du Parti de la France l’accueillera à Nice avec des militants et sympathisants autour d’un apéritif convivial précédé d’une conférence de presse. (informations supplémentaires et inscriptions, Anne-Marie au 04 93 34 66 10).

Mardi 18 octobre, Carl Lang se rendra dans le Var, à Toulon, à l’invitation de la fédération. Une conférence de presse suivie d’un diner-débat sont prévus (contact et inscriptions : Françoise Guardia : 06 06 63 53 61 ou au 06 71 70 50 30 ; par courriel à pdfvar@orange.fr ou par courrier au PdF Var, BP 20 35- 83060, Toulon Les Routes cedex)

Mercredi 19 octobre, Carl Lang clôturera sa tournée par Les Bouches-du-Rhône. Michèle Carayon, déléguée régionale PACA et membre du Bureau politique du PdF recevra Carl Lang à Marseille pour un apéritif militant précédé d’une conférence de presse (renseignements et inscriptions : 06 27 19 93 04)

07:05 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Patrick Gofman dédicacera ses livres à Paris le 12 octobre...

Patrick Gofman dédicacera Vengeances de Femmes” 2, et d'autres titres, avec la revue “Livr’ Arbitres”, le mercredi 12 octobre 2011 (et non le 6 comme initialement annoncé), à 20 h au “15 Vins” - 1, rue Dante - Paris 5e - M° Cluny-La Sorbonne.

Source L'écho parisien cliquez ici

05:47 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une messe en mémoire de Serge de Beketch samedi prochain à Paris...

La messe commémorative du décès de Serge de Beketch sera célébrée par le père Argouarc'h samedi 1er octobre à 11 h 00 à St-Eugène (4, rue du Conservatoire), Paris IXe - Métros Cadet et Grands Boulevards.

04:09 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 28 septembre 2011

NDP INFORMATIONS N°21 (octobre 2011)

NDP INFORMATIONS

N°21 - octobre 2011 - cliquez ici

18:54 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Je signe la pétition de SOS éducation

Par Jean-Gilles Malliarakis

L'Insolent cliquez ici

En ce jour de grève des enseignants, et contrairement à mes habitudes "distanciées", je voudrais inviter mes lecteurs à se mobiliser sur un point très précis et très simple. Je les invite à regarder une remarquable petite vidéo réalisée par l'association SOS éducation (1), à en faire circuler le lien et s'ils en sont d'accord à signer une pétition. Ces gestes et  appel ne sont motivés par aucune proximité électorale, ni même par la grève lamentable de ce 27 septembre, ni encore par une exaspération légitime de parent d'élève, mais par une vraie préoccupation civique.

Voici donc le texte de la pétition :

Monsieur le Ministre de l’Éducation,

Depuis trente ans, le budget de l’Éducation nationale a connu plus de 85% d’augmentation alors que nos établissements accueillent 600 000 élèves de moins.

Tous les rapports et classements montrent que l’échec de notre système scolaire s’accentue depuis quinze ans :

* - 2 élèves sur 5 sortent du primaire sans savoir lire, écrire et compter correctement ;

* - Nous ne formons plus suffisamment d’ingénieurs, de médecins et d’artisans compétents ;

* - Nos universités régressent et mettent en place des cours d’orthographe et de grammaire.

Aussi, je vous demande solennellement de ne pas céder à la pression des syndicats et de prendre les vraies mesures qui permettraient enfin de redresser notre système scolaire :

* Permettre à tous les enfants d’apprendre à lire, à écrire et à compter à l’école avec des méthodes rigoureuses et éprouvées ;

* Supprimer le collège unique ;

* Restaurer un vrai baccalauréat ;

* Garantir un enseignement professionnel de qualité.

Si vous ne le décidez pas aujourd’hui, Monsieur le Ministre, personne d’autre ne pourra le faire. Notre pays a besoin de solutions concrètes, efficaces et pragmatiques pour l’éducation.

Je vous prie de croire, Monsieur le Ministre de l’Éducation, à l’expression de ma haute considération.

Copie au Président de la République, Monsieur Nicolas Sarkozy

au Premier ministre, Monsieur François Fillon

au Parlement, au Président de l’Assemblée nationale, Bernard Accoyer et au Président du Sénat, qui sera nommé le 6 octobre. (2).

Notes

  1. SOS Education. 120, boulevard Raspail, 75006 Paris Téléphone  : 01 45 81 22 67 - Fax : 01 45 89 67 17 contact@soseducation.com
  2. Voici le lien de la vidéo cliquez ici: Cette page vous permettra d'accéder à celui de la pétition et de la signer

10:25 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LA SOUMISSION PAR LE CREDIT...

Jesus Franco Zentropa cliquez ici
via NDP Ile-de-France cliquez là

L’ensemble du système politique ainsi que l’intégralité du personnel qu’il emploie, d’un bout à l’autre de l’échiquier « idéologique », n’ont d’autre finalité que la défense et la prorogation du règne de la marchandise. Il ne s’agit nullement là d’une affirmation polémique mais d’un froid constat qu’il faut être aveugle et sourd pour encore contester. L’évidence de ce fait est d’ailleurs démontrée par la position centrale occupée par le dogme de la croissance dans la totalité des programmes proposés par les différentes composantes du spectre politique français et, plus largement, occidental. Vous pouvez chercher, parmi les groupements politiques « officiels », c'est-à-dire ayant accès à l’espace public et aux instances de représentation via les médias, il n’y a pas la moindre exception. Même les prétendus « radicaux » gauchistes et anti-capitalistes – dont on peut mesurer le degré de subversion à l’aune du nombre de leurs invitations télévisées et autres dimanches après-midi passés en compagnie du très transgressif Michel Drucker – ne parlent que de « réappropriation », de « meilleure distribution » et de « répartition plus juste » des fruits de la croissance, sans jamais remettre en cause le principe même de celle-ci..

Bref, au-delà de divergences cosmétiques à visées électoralistes, tout le monde est d’accord pour communier dans la vénération de la même Loi : point de salut, de bonheur ni d’avenir sans croissance, c’est à dire sans augmentation infinie de la production annuelle de biens et de services. Ce bel unanimisme se révèle d’ailleurs de manière particulièrement flagrante lorsqu’il s’agit de moquer ou de conspuer avec toute la morgue qui sied aux prétendus « réalistes » les tenants de la « décroissance », théorie « fumeuse » voir « fascisante » qui a l’improbable audace d’évoquer les limites physiques et écologiques de notre environnement et ose suggérer que l’accomplissement humain ne se réalise peut-être pas exclusivement au travers de l’entassement d’objets et de la fuite en avant techno-scientiste. Contre ces olibrius et leurs blasphèmes envers les divinités mercantiles, c’est la mobilisation générale, des Verts à l’Ump en passant par le PCF et le les « centristes ».

« Der Kauf macht frei ! » Fermez le ban.

Pour garantir l’immuabilité de cette domination, le système politico-marchand (pléonasme) a trouvé un moyen autrement plus sûr et efficace que l’antique knout ou la police spéciale : le crédit.

Après avoir mis un terme définitif à la lutte des classes en transformant tous les travailleurs en apprentis bourgeois aux « potentialités » consommatrices infinies, le crédit a en effet progressivement métamorphosé l’ensemble de la population en un vaste conglomérat d’ilotes captifs et dépendants, terrorisés par les banques, les fins de mois, les échéances, les huissiers…

Le chômage est évidemment toujours une situation délicate et difficile, mais pour l’homme endetté, bardé de crédits, c’est une perspective absolument dramatique et terrifiante qui peut le mener rapidement à la plus extrême précarité. De ce fait il est généralement prêt, pour conserver son emploi synonyme de possibilité de remboursement, à toutes les acceptations, toutes les résignations, voire toutes les reptations et toutes les compromissions. L’homme du crédit est un homme soumis, un homme vaincu, enfermé dans la cage de fer des traites et des taux d’intérêts, un homme qui ne bougera jamais le petit doigt pour remettre en cause un système qui peut l’écraser en un instant.

En 2008, les ménages français avaient un taux d’endettement approchant les 90% de leurs revenus annuels disponibles (135% de ces mêmes revenus pour les ménages américains). Plus d’un quart de cet endettement est destiné à la consommation de biens et services « non vitaux » tels que du matériel hifi, vidéo ou des séjours de vacances.

Parallèlement, la spéculation ayant fait exploser les prix de l’immobilier, l’accession à la propriété de son domicile devient de plus en plus délicate, exigeant des emprunts aux montants toujours plus considérables et à la durée exponentielle pouvant atteindre les 40 voir 45 ans (50 ans même en Espagne et au Portugal).

Cette double tendance aboutit à la pathétique situation d’hommes et de femmes couverts de gadgets mais ne possédant pas même un toit, un foyer qui est pourtant la première étape de l’autonomie, l'élément constitutif à la fois de la liberté et d’un possible engagement dans la cité. Car contrairement à ce que continuent à professer certains groupement anticapitalistes d’extrême gauche, souvent au nom d’une lecture un peu hâtive et simpliste de Proudhon, la propriété privée individuelle, spécialement de son domicile, n’est ni « le vol », ni la première étape de l’embourgeoisement capitaliste. Bien au contraire, la propriété de son habitat est un socle et une protection pour l'individu face à la perpétuelle fluidité et instabilité des marchandises et des capitaux. C'est le camp de base protégeant les humbles contre cette précarité, cette « angoisse du terme » - si parfaitement décrite par Céline-, cette permanente épée de Damoclès dont use le capital marchand pour s’assurer de la docilité et de l’apathie des peuples. Des cohortes de SDF accrocs à la carte de crédit et aux loisirs virtuels, voilà le matériel « humain » idéal dont rêve le système marchand et qu'il est malheureusement bel en bien en train d'obtenir.

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mardi, 27 septembre 2011

Présidentielle Carl Lang démarre sa campagne… à Valdoie

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Source Le Pays de Montbelliard

Christophe Devillers, délégué du Parti de la France en Franche-Comté, a accueilli hier, avec des militants, Carl Lang, son président qui part en campagne pour 2012.

Le drapeau tricolore décorait la façade de l’hôtel-restaurant La Parenthèse à Valdoie hier. Et pour cause : le Parti de la France, qui arbore aussi ces couleurs, y accueillait Carl Lang, son président national et ses militants. L’intéressé ne se fait guère d’illusions sur l’intérêt qu’il suscitera auprès des grands médias nationaux. Alors, il séduit sur le terrain, flanqué de ses délégués régionaux, dont Christophe Devillers, qui a eu l’honneur, hier, d’ouvrir la campagne 2012 pour son président.

Je ne renonce jamais

Carl Lang n’est pas un inconnu : à la présidentielle 2007, il émargeait encore au Front national, qu’il a quitté début 2009. Son Parti de la France a deux ans, et déjà un programme dont son président égrène les grandes lignes, insistant bien sur les notions d’économie politique : « Je souhaite baser ma campagne autour de la notion d’une reconquête globale, économique, sociale, démocratique et diplomatique car nous sommes dans un état de crise générale et aucune solution n’émane du pouvoir en place ». Concrètement : « Il faut remettre l’état à sa place, réduire les dépenses publiques, ramener à zéro le coût de l’immigration, la France ne peut plus en supporter le poids ». Alors, Carl Lang, s’il évoque un « retour des règles, la préférence communautaire pour l’économie », imagine aussi l’instauration de « référendums veto » qui mettraient les élus sous « tutelle démocratique et budgétaire ». Plus à droite que le Front national, comme on l’entend ici ou là ? Carl Lang tente le distinguo : « Je suis de droite nationale européenne et démocratique. Nicolas Sarkozy est de droite mondialiste. Madame Le Pen est de droite étatiste, et je suis hostile à toute forme d’intervention étatiste ».

Le candidat, qui va désormais partir à la pêche aux 500 parrainages, pour pouvoir se présenter officiellement, promet de ne pas faire « de démagogie ». Et avoue : « Je ne renonce jamais ».

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Tribune libre : La destruction des classes moyennes en France, en Europe et aux Etats-Unis...

Par Marc Rousset

Economiste

En Europe, la destruction, mais dans les pays émergents, la montée des classes moyennes, voilà où nous conduisent le libre échange mondialiste, les sociétés multinationales qui, à l’exemple de Renault, délocalisent, ainsi que les stock options des dirigeants embarqués dans un capitalisme au service  exclusif des actionnaires, n’en déplaise à Madame Laurence Parisot, Présidente du Medef. Seul le retour au capitalisme rhénan et à la préférence communautaire, avec des droits de douane sonnants et trébuchants, peut endiguer la catastrophe économique  et sociale en cours !

Un symbole éloquent est fourni par l’entreprise américaine Apple. Ses produits sont conçus en Californie et assemblés en Chine par Foxconn. Apple, la deuxième plus grosse capitalisation mondiale après Exxon, que tous les bien pensants  portent aux nues, fait travailler à peine une cinquantaine de milliers de salariés, chercheurs et cadres. Foxconn que personne connaît fait travailler un million de salariés en Chine dans des emplois industriels ! Le Prix Nobel d’économie Michael Spence constate que de 1990 à 2008, 98% des 27 millions d’emplois créés aux Etats-UnIs l’ont été pour des secteurs travaillant exclusivement pour le marché intérieur américain, dont dix millions pour les agences gouvernementales et la santé. En revanche, les industries dont les produits sont exportables n’ont pas accru leurs emplois sauf dans les métiers très hautement qualifiés. Le grand perdant est donc la classe moyenne employée dans l’industrie .Quant au professeur Alan Blinder, ancien numéro deux de la Fed, il estime que 25% de tous les emplois aux Etats-Unis sont potentiellement « délocalisables » (1).

Il est cocasse de constater pendant le même temps et dans le même quotidien, l’émerveillement du brillantissime  footballeur Edson  Arantes do  Nascimento  Pelé. L’Ambassadeur du Brésil pour la Coupe du monde de 2014 s’émerveille au contraire de l’apparition et de la montée des classes moyennes dans son pays : « Notre économie actuellement la 7ème du monde est diversifiée, innovante et elle allie croissance, stabilité, durabilité et inclusion sociale. Ces dix dernières années, plus de 40 millions de personnes ont rejoint la classe moyenne, enfin majoritaire dans le pays. »(2)

Avec l’expansion des échanges et la diffusion rapide des technologies vers les pays en développement, les employés européens sont confrontés à une concurrence croissante par delà les frontières. La Chine, l’Inde et les pays émergents dans une économie mondiale libéralisée et déréglementée provoquent plus qu’un doublement de l’offre de travail globale et un excès structurel de main d’œuvre permettant de faire porter sur les salariés  l’ajustement aux nouvelles conditions de concurrence. Le fossé se creuse entre ceux qui sont à l’aise dans la mondialisation et le reste de la population, qui craint la précarité, la vulnérabilité, le déclassement social et se recroqueville sur ses avantages acquis.

Les classes moyennes tremblent en France pour leurs enfants, dont beaucoup obtiennent au mieux, des fonctions inférieures à des  diplômes, il est vrai, de plus en plus dévalorisés et inadaptés, et n’auront d’autre ressource que de brûler le patrimoine reçu en héritage (3). 80% des emplois nouveaux créés en France relèvent de l’intérim, de CDD (sept embauches sur dix), de stage, de travail à temps partiel et il arrive sur certains sites de l’industrie automobile que les effectifs soient à plus de 50% intérimaires.  La moitié des salariés - dont 52% des cadres et 73% des plus de 50 ans- estiment qu’il leur serait « difficile de retrouver un emploi au moins équivalent » en cas de perte de celui qu’ils occupent actuellement (4). La fameuse « France d’en bas » est la conséquence directe de l’absence  de véritables  frontières  douanières européennes.

Ce qui est vrai pour la France et les Etats-Unis se vérifie aussi en Allemagne  où selon une étude de Joachim Frick et Markus Grabka, chercheurs à l’Institut pour la recherche en économie (DIW) de Berlin, la classe moyenne, le « milieu », voit son importance décroître. En 2000, elle représentait encore plus de 62% de la population allemande ; en 2006, cette catégorie, autrement dit les Allemands qui gagnent entre 70% et 150% du revenu médian, était tombée à 54%. Aujourd’hui en haut de l’échelle en Allemagne, les richesses issues du capital ne cessent d’augmenter. Selon Joachim Frick, « la répartition des revenus est plus inégale et plus polarisée qu’avant » ; la confiance et l’optimisme des classes moyennes s’érodent en raison de la précarisation du travail; il est de plus en plus rare de disposer d’un emploi à temps plein et les salaires ne suffisent plus. Selon un quotidien économique en 2008, « l’Allemagne se découvre, 22% de travailleurs pauvres ». Albrecht von Kalnein, Directeur de la fondation Herbert Quandt, explique ces changements par l’ouverture de la Chine, la mondialisation et la délocalisation des services et des emplois industriels. L’offre mondialisée exerce « une pression sur les salaires en Allemagne » explique Albrecht von Kalnein.

Les emplois délocalisés sont en général des emplois ouvriers stables, porteurs de technologie, d’investissements, favorisant d’autres emplois  et services grâce au pouvoir d’achat initialement créé par les  salaires de l’industrie, ce qui est la base même d’une économie saine. La qualité des emplois se dégrade et les Européens s’abrutissent de plus en plus à des tâches instables, peu gratifiantes et routinières ; au-delà du problème du chômage stricto sensu se pose le problème de la dégradation continuelle et structurelle de la qualité de l’emploi. Les emplois créés pour pousser les vieillards dans leurs petites chaises roulantes, pour faire les courses des personnes malades, pour faire le ménage  ou pour jardiner  sont un exemple  d’emploi de services bas de gamme d’intérêt limité, sans avenir ni  contenu technologique, des quasi  transferts de revenu qui portent en fait  le nom d’emplois pour des pays décadents en voie de désindustrialisation rapide. Dans les statistiques officielles, ces emplois strictement alimentaires contribuent  à  la croissance d’un  PIB qui est en fait de plus en plus désindustrialisé ainsi qu’à la poudre aux yeux médiatique de la lutte victorieuse des gouvernements contre le chômage. Ce qui caractérisait  les pays sous développés et les économies de l’Ancien Régime, c’est  le nombre  incalculable de domestiques que faisaient vivre les nobles dans leurs châteaux et les classes privilégiés dans leurs belles demeures !

Bien que sa politique ait conduit les Etats-Unis  et le monde à une situation économique catastrophique, Alan Greenspan prétend que (5) : « L’industrie manufacturière, c’est la technologie du XIXe siècle ! (…) L’industrie manufacturière, ce n’est pas un secteur d’avenir. L’avenir est dans les idées qui servent à concevoir les produits. (…). Il n’y a rien de sacro-saint qui justifie la préservation de l’industrie manufacturière au sens traditionnel du terme. Un pays qui défend son industrie manufacturière d’antan se condamne à voir son niveau de vie stagner ». Nous aimerions savoir comment l’ancien gouverneur de la Réserve fédérale américaine entend trouver du travail à 300 millions d’Américains passant  leur temps à concevoir des produits ! Dans les années 1950, l’industrie manufacturière représentait 27% de l’économie et 30% des emplois aux Etats-Unis ; aujourd’hui elle ne représente plus que 12% du PIB et un emploi sur dix. Le développement foudroyant de la Chine (70% de son PIB  dans l’industrie) est  là pour montrer que ce qu’affirme Alan  Greenspan est complètement inexact !

Il est vital pour l’Europe de ne pas rester à l’écart du monde industriel moderne, de concevoir un développement industriel fort, créateur d’emplois pour la prochaine génération, d’assurer un renouvellement de son tissu manufacturier.  Il importe de reconquérir avec des droits de douane et la préférence communautaire les 3 millions d’emplois industriels perdus en France pendant 30 ans par la classe moyenne, au profit de celle de la Chine et des pays émergents.

Notes

 (1) Jean Pierre Robin, Le Figaro, 26 septembre 2011, Libres échanges, p.29

 (2) Coupe du Monde : une Chance pour le Brésil, Le Figaro, 26 septembre 2011

 (3) Louis Chauvel, Les Classes moyennes à la dérive, Seuil, 2006, 112 pages

 (4) Observatoire du travail BVA, L’Express, 14-29 septembre 2007

 (5) Les Conseils d’Alan Greenspan à la France, Le Figaro du 24 septembre 2007 

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Samedi 15 octobre, à Paris, 4ème journée de la réinformation de Polémia avec Robert Ménard...

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lundi, 26 septembre 2011

Chronique de la France asservie et résistante...

Chronique de Robert Spieler

publiée dans Rivarol

(n°3014 du 23 septembre 2011)

 

Le « comique » Jamel Debbouze, qui vit dans les beaux quartiers parisiens, se la joue Bernard-Henri Lévy. Sauf que ce n’est pas en Libye, en Egypte ou en Tunisie qu’il prétend intervenir, mais en France.

 

Jamel Debbouze appelle à la révolution dans les banlieues

 

Il vient de lancer un message incendiaire à destination des banlieues et des enfants d’immigrés qui vont, dit-il, « s’énerver » et suivre les modèles tunisiens, libyens et égyptiens : « Au même titre que l’Egypte, que la Tunisie, ou encore l’Allemagne de l’Est, ils vont s’énerver, ils vont vouloir regagner leur liberté », a-t-il déclaré sur RTL. Jamel Debbouze fait partie de ces people qui, prétextant leur célébrité, prétendent penser et donner leur avis sur tous les sujets, y compris ceux qu’ils ignorent. Les plateaux de télévision abondent de ces crétins arrogants et ignares, d’autant plus arrogants qu’ils sont ignares. Et puis, les imbéciles ne savent jamais qu’ils le sont. C’est leur seule circonstance atténuante. En attendant, notre comique appelle les banlieues à se soulever. C’est, après tout, son droit. Comme c’est le nôtre de lui retirer la nationalité française et de le mettre, courtoisement, dans le premier avion à destination de son pays d’origine, le Maroc, où nous attendrons avec curiosité la réaction du pouvoir lorsque Jamel s’autorisera à appeler au soulèvement des banlieues de Casablanca ou de Rabat…

 

Interdiction de la manifestation anti-islamisation en Lorraine : trop drôle…

 

L’interdiction de la manifestation est évidemment un scandale, mais vous lirez dans mon article les raisons de mon hilarité. Rappelons les faits. La Nouvelle Droite Populaire, dont je suis le délégué général, avait décidé d’organiser, le 11 septembre, à Forbach en Lorraine, une manifestation en l’honneur de Charles V, duc de Lorraine qui contribua, aux côtés du roi Sobiewski de Pologne à écraser les Turcs, les 11 et 12 septembre 1683, devant les murs de Vienne, libérant ainsi l’Europe d’une menace mortelle. La manifestation avait été autorisée, sans problème, dans un premier temps par la préfecture. Mais les hordes se mirent à couiner. Le maire socialiste de Forbach, les sénateurs socialistes de Moselle, la CGT, la CFDT, les anarchistes, SOS racisme, des organisations gauchistes allemandes, Couleurs gaies (les homosexuels s’en sont mêlés aussi, on se demande pourquoi) ainsi qu’une myriade d’organisations de gauche et d’extrême-gauche demandèrent, non, pardon, exigèrent l’interdiction de la manifestation. Claude Guéant, ministre de l’intérieur obtempéra et demanda au Préfet de l’interdire.  L’extrême-gauche avait, quant à elle, appelé à une contre-manifestation, qui, elle, ne fut pas interdite. Scandaleux. Mais lisez ce qui se passa… L’extrême-gauche avait choisi de manifester dans un quartier de Forbach à forte concentration d’immigrés. Histoire de leur démontrer leur sympathie, de leur exprimer leur soutien contre l’hydre raciste, fasciste et nazie. Tout ça partait d’un bon cœur. Las, les allogènes, dérangés sans doute dans leurs petits trafics et ne tolérant pas que l’on pénètre sur leur territoire se mirent à caillasser violemment les manifestants venus leur témoigner leur amour. Ceux-ci n’eurent d’autre alternative que de prendre les jambes à leur cou. Il y a quand même des moments où l’on rigole dans le combat politique.

 

Trêve de plaisanterie. Un recours pour excès de pouvoir sera déposé auprès du tribunal administratif dans l’objectif de faire annuler cette décision illégale. La Constitution du 11 octobre 1958 stipule, en effet, dans son préambule, « la libre communication des pensées et des opinions et le droit de manifestation. » Bon, certes… pour ce qui est de la libre communication des pensées et des opinions, nous savons à quoi nous en tenir…

 

Benoit Hamon s’en prend aux Blancs

 

Le porte-parole du PS se lâche sur BFM TV : « La question de la diversification des élites, elle est pour moi le point central. Le problème de la France est qu’elle se ressemble à elle-même (notez sa belle maîtrise de la langue) ou se reproduit éternellement, qu’elle est blanche (nous y voilà !), âgée dans les fonctions de responsabilité, et mâle : un homme blanc et de soixante ans, voilà qui dirige la France depuis des années et des années. » Sans doute, pour Benoit Hamon, le Président idéal pour la France serait socialiste, transsexuel, noir et âgé de 25 ans…

 

Libye, Egypte, Tunisie. : L’insupportable bêtise de nos dirigeants…

 

C’est parti, comme nous l’avions prévu. Les islamistes vont prendre le pouvoir dans ces trois pays. Le président du Conseil national de transition de Libye, Moustapha Abdeljalil, vient d’annoncer la couleur, lors de son premier discours tenu à Tripoli. L’islam sera la première source de législation. Ancien ministre de la justice de Kadhafi, il avait confirmé, par deux fois, la condamnation à mort des cinq infirmières bulgares et du médecin palestinien, accusés de façon délirante d’avoir inoculé le virus du sida à des centaines d’enfants libyens. Voilà où Sarkozy et Bernard-Henri Lévy nous ont menés. Un Etat islamiste de plus aux portes de l’Europe. Quant à l’Egypte « libérée » de la dictature de Moubarak, merci, tout va bien. Les frères musulmans, qui sont les grands vainqueurs de la « Révolution », ont proposé à Recep Erdogan, leader islamiste de Turquie, la création « d’un califat islamique en commun avec la Turquie ». Il serait intéressant de savoir ce qu’Israël pense des petites initiatives géopolitiques de Bernard-Henri Lévy et de Sarkozy. La restauration d’un empire ottoman islamiste à ses portes, pas sûr que ce soit bon pour eux…

 

Juif ou pas juif ?

 

Apple vient de commercialiser une application, sous le nom de « Juif ou pas juif ? », pour le tarif modique de 0,79 euro, qui vous permet, sur votre iPhone, d’identifier « des personnalités juives regroupées dans des catégories variées comme le cinéma, la musique, le business, les prix Nobel, les journalistes, les politiciens, les scientifiques… » 3501 personnalités y sont recensées. Chaque profil présente sa nationalité, sa profession, mais aussi sa filiation. S’ensuit pour chacun un classement par médailles selon son degré de judaïté. Elle est d’or si la mère est juive, d’argent s’il s’agit du père, de bronze si seuls les grands-parents le sont. Quant aux pauvres convertis, ils n’ont droit qu’à une médaille en chocolat. Cette initiative a suscité les couinements que l’on imagine. Le CRIF, l’Union des étudiants juifs de France, SOS racisme et la Licra exigent son retrait immédiat et leur décision de porter plainte contre le géant informatique américain. Le rabbin Haïm Korsia s’indigne : « Cela me rappelle La France juive de Drumont, qui fut un best-seller antisémite. » Stéphane Thirion, directeur d’Apple France, s’est immédiatement couché d’importance, déclarant son intention « de tout faire pour que l’application soit retirée ». Il s’est par ailleurs engagé à ce que des représentants d’Apple rencontrent les associations qui exigent que la marque à la pomme se dote rapidement d’une charte éthique pour éviter que de telles dérives se reproduisent.

 

Ah, au fait, l’auteur de l’application « Juif ou pas juif » ne s’appelle pas Jérôme Bourbon, mais Johann Lévy…

 

Mel Gibson crucifié

 

Mel Gibson avait été violemment attaqué pour les paroles « antisémites » qui figurent dans son film La Passion du Christ. En effet, la phrase tirée de l’Evangile « Que son sang (le sang du Christ) retombe sur nous et nos enfants » était prononcée dans le film, certes en araméen et sans être sous-titrée. Pas suffisant ! Houlà, pas suffisant pour le lobby. D’autant  qu’en 2006, arrêté en état d’ivresse à Malibu, il avait invectivé le policier qui le contrôlait en déclarant : « Les juifs sont responsables de toutes les guerres du monde. » Face au tollé, la star avait fini par présenter ses excuses. Pas suffisant du tout… Et voici que Mel Gibson vient de se mettre en tête de réaliser un film (histoire peut-être de se racheter ?) sur un héros juif, Judas Maccabée, qui prit la direction de la révolte des maccabées contre l’empire séleucide au deuxième siècle avant Jésus-Christ.  Mais il n’a pas le droit ! « Et pourquoi ne pas demander à un suprématiste blanc d’interpréter Martin Luther King ? C’est tout simplement une insulte pour les juifs » déclare le rabbin Marvin Hier, fondateur du Centre Simon Wiesenthal. Abraham Foxman, directeur national de la Ligue anti-diffamation explique sobrement : « Judas Maccabée mérite mieux ». Sans commentaires…

 

Théorie du « gender » et schizophrénie

 

David Reimer, né le 22 août 1965, était un garçon canadien en bonne santé. Il eut à subir une circoncision mal réalisée qui lui valut l’ablation du pénis. Poussant la logique « gender » (le terme n’était guère utilisé à l’époque) jusqu’au bout, son entourage, pensant bien faire, l’éleva comme une fille. C’est ce que l’on appelle une réassignation sexuelle. Avant l’adolescence de David, le psychologue John Money parlait d’une réassignation réussie et y voyait la preuve que l’identité sexuelle est essentiellement due à l’éducation. Déguisé en fille jusqu’à l’âge de quinze ans, David, devenu Brenda, voulut alors reprendre son identité masculine. Plus tard, il publia sa biographie dans laquelle il décourageait vivement de telles pratiques médicales. Il se suicida à l’âge de 38 ans.

 

A Worcester, en Grande-Bretagne, un petit garçon de 10 ans reprendra l’école habillé en fille. Sa mère, qui est sans doute une dingue de haute volée, explique que « dans son esprit, elle est une fille, mais elle a un corps de garçon. » La mère explique que son fils devait mentir auprès de ses camarades quant aux cadeaux qui lui étaient offerts à Noël, ne faisant pas état des poupées Barbie qu’on lui offrait. Sa dingue de mère explique : « Certaines personnes ont besoin de lunettes, d’autres d’un fauteuil roulant, ma fille a besoin de s’habiller en fille parce qu’elle est une fille. » Le directeur de l’établissement scolaire, au lieu d’appeler d’urgence les infirmiers psychiatriques, a décidé de convoquer une réunion afin d’expliquer la situation aux autres enfants, promettant d’assurer à l’enfant « tout le soutien dont il a besoin. » Il y a vraiment des baffes qui se perdent…

 

Un prêtre bénit les téléphones portables

 

On connaissait déjà les bénédictions de chiens, de chats, de motos ou de tracteurs, mais la modernité exige que l’on aille plus loin. Voici venu le temps d’une nouvelle célébration religieuse consistant cette fois à bénir les portables. Le père Gil Florini, curé-doyen de Nice officiera le 1er octobre à l’église Saint-Pierre-d’Arène, juste derrière le palace Negresco, à proximité de la promenade des Anglais. Le prêtre explique sa démarche en usant d’arguments d’une grande profondeur spirituelle: « Ca se fait dans d’autres pays » (Canada, Angleterre) ; « Les mobiles sont utiles, sauvent des vies, et il se dit même qu’ils ont aidé de récentes révolutions ». La cérémonie promet d’être joyeuse. « Il y aura un groupe gospel, une homélie explicative et un apéro après » déclare-t-il. Demandons à ce brave prêtre s’il accepterait de bénir les soupes de cochon…

 

Le Pen claque le bec à Cohn Bendit

 

Ca s’est passé il y a quelques jours au Parlement européen. Le très excité Cohn Bendit s’en prend à Jean-Marie Le Pen quant à ses déclarations suite à la tuerie de Norvège. « Quand un député français de ce parlement ose dire que le problème qui a eu lieu en Norvège, c’était pas le massacre, mais c’était la naïveté du gouvernement norvégien qui accepte la société multiculturelle, il faut que ce parlement dise que M. Le Pen est une honte pour ce parlement. »

 

Le Pen lui réplique : « J’ai porté un jugement politique sur la politique norvégienne. J’ai été mis en cause par le pédophile Cohn Bendit et j’ai le droit de répondre, le droit de rappeler qu’il a été mis en cause ici pour avoir hébergé un terroriste de la Fraction Armée Rouge. » Le président de la séance interrompt Le Pen qui fulmine : « Monsieur, vous ne me laissez pas la parole, on se croirait chez les bolcheviks, ici ! » Rappelons à nos lecteurs les propos tenus, il y a trente ans, par Cohn Bendit dans une émission télévisée de Bernard Pivot : « La sexualité d’un gosse, c’est quelque chose de fantastique. J’ai travaillé avec des petits qui avaient entre 4 et 6 ans. Vous savez quand une petite fille de 5 ans commence à vous déshabiller, c’est fantastique. » Pédophile !

 

C’est Arno Klarsfeld qui va gérer l’immigration.

 

L’avocat franco-israélien, proche de Nicolas Sarkozy (il fut aussi très, très proche de Carla Bruni), a quelques titres de gloire. Pas nombreux, à vrai dire. Celui d’avoir débarqué en rollers au procès Papon et de s’être engagé, en 2002, chez les garde-frontières israéliens. Ce farouche patriote israélien défend une politique nationaliste en Israël et se définit comme un antiraciste fanatique en France. Sarkozy lui avait confié, par le passé, des missions variées : Sur la loi, l’histoire et le devoir de mémoire ; sur la délinquance des mineurs ; ou encore une médiation auprès des clandestins (pardon, des sans-papiers) parents d’enfants scolarisés. Aujourd’hui, il vient d’être nommé par Sarkozy, président de l’Office français de l’immigration et de l’intégration. Nul doute qu’il saura défendre les intérêts de la France d’abord…

 

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Une notoriété à la Pyrrhus...

La Chronique

de Philippe Randa

 

Le parquet de Paris a ordonné au juge chargé d’instruire la plainte pour tentative de viol en 2003 déposée par Tristane Banon, d’organiser une confrontation entre elle et Dominique Strauss-Kahn.

 

“Tentative” de viol : la même accusation que la femme de ménage américano-guinéenne du Sofitel qu’il aurait, elle aussi, “tenté” de forcer sexuellement. Les échecs de l’intéressé pour aboutir à ses fins finiraient par faire rire s’il n’y avait non seulement la monstruosité des faits s’ils sont avérés, mais encore les motivations éventuelles de ses victimes.

 

Le dégoût, plus que la pantalonnade, finira donc plus sûrement par l’emporter dans ce tourbillon médiatico-judiciaire où le mari d’Anne Sinclair est empêtré depuis six mois.

 

L’ancien patron du FMI apparaît aujourd’hui à l’opinion publique non seulement comme un “singe en rut” selon l’expression de Tristane Banon, mais plus grave encore, comme un “nanti” peu supportable : sa fortune – celle de sa femme, certes, mais qu’elle a mis à sa disposition, ce qui revient au même – jusque-là plus “présumée” elle aussi que réellement connue, a été révélée au grand jour. Les électeurs, principalement “de gauche”, qui envisageaient de le porter à la Fonction Suprême ont désormais bonne mine et on en arriverait finalement à les plaindre. S’il y a des victimes incontestées, avant tout ce sont eux. Et d’eux, mais d’eux seuls, il est permis de rire. Leur favori les a tel point ridiculisé que beaucoup se détourneront probablement de la politique par sa faute…

 

En ce qui concerne Nafissatou Diallo, ses déclarations zigzagantes et ses motivations financièrement douteuses ont conduit le procureur Vance, après une inculpation et une mise en liberté sous caution de DSK des plus féroces, a très rapidement faire machine arrière jusqu’à recommander l’abandon des charges en raison du manque de crédibilité de la plaignante qui ne permet pas de “donner du crédit à sa version des faits au-delà du doute raisonnable.

 

À moins de hurler à la prétendue impunité de la communauté juive internationale ou au récurrent racisme anti-noir, ce qui s’avère peu crédible quant tout se déroule sur la place publique comme cela a été le cas, et vu les enjeux financiers en cause – les avocats de l’accusation, autant que ceux de la Défense auraient eu tout intérêt financièrement à ce que le procès ait lieu –, gageons que ce “revirement” n’a pas été pris à la légère par le procureur Vance…

 

En ce qui concerne Tristane Banon, ensuite, il est tout de même bien difficile d’envisager que la plainte en France puisse objectivement aboutir à une condamnation du présumé satrape… Car ce qui s’est passé dans un appartement parisien en 2003 restera sans doute connu d’eux seuls, tout autant que ce qui s’est passé dans la chambre du Sofitel entre la femme de ménage et le patron du FMI. Ce sera parole contre parole.

 

Que l’on sache, Tristane Banon n’a aucune preuve matérielle de son agression autre que ses propres déclarations à sa mère qui l’a dissuadée de porter plainte, ou à ses proches qui semblent, à l’époque, lui avoir conseillé la même attitude.

 

À moins bien sûr, d’envisager que l’un des deux ne craque dans le bureau du Juge d’instruction, ce qui est toujours possible… Après les six mois qu’il vient de passer, Dominique Strauss-Kahn pourrait s’effondrer et reconnaître les brutalités dont Tristane Banon l’accuse… Un sacré coup de théâtre en perspective, mais lors de sa prestation sur le plateau de télévision de Claire Chazal, il n’a guère donné des signes de faiblesses. Au contraire !

 

Ou alors c’est Tristane Banon qui craquerait nerveusement et reconnaîtrait que son action d’a d’autre but que d’accéder à une notoriété que son seul talent ne lui a pas permis d’atteindre jusqu’alors. Car qui connaissait Tristane Banon voilà six mois ? Quel spectateur de l’émission de Thierry Ardisson où elle avait exposé ses déboires se rappelait encore d’elle ?

 

Il est bien certain que si, malgré tout, sa plainte aboutissait et qu’elle devait “toucher” quelques compensations sonnantes et trébuchantes, elle en ferait immédiatement don à une quelconque association de défense de la condition féminine comme elle s’y est engagée.

 

Mais il lui resterait l’incontestable notoriété acquise depuis six mois… et au prix du coût de la minute publicitaire, cela s’avérerait finalement une affaire rondement menée.

 

Mais une affaire qui pourrait s’avérer toutefois lourde de frustration… Ses futurs succès de vente reposeraient alors uniquement sur le scandale et personne ne s’aviserait de songer qu’elle pourrait aussi, avoir du talent… Pourquoi pas !

 

Soit, en quelque sorte, une notoriété à la Pyrrhus !

 

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Cinéma : Cette « Nouvelle guerre des boutons » m’a donné des ….boutons !

Le bloc notes de Jean-Claude Rolinat
La guerre des boutons est à nouveau déclarée.
Au box-office des remakes, deux films inspirés du même sujet se disputent une (potentielle) même clientèle et sont, en gros, au coude à coude. Mais contrairement au premier tout simplement intitulé « La guerre des boutons » sorti le mercredi 14 septembre, « La nouvelle guerre des boutons » programmée sur les écrans une semaine plus tard, s’éloigne un peu (beaucoup) des rixes entre garnements de Longeverne et de Velrans.
En effet, Christophe Barratier, le réalisateur, trahit quelque peu l’œuvre de Louis Pergaud d’une façon caricaturale, sans nuance, en transposant l’action en 1944, une époque où tout n’était pas blanc ni tout à fait noir, alors que le roman initial est sorti en 1912. Une intrigue politico-amoureuse est ajoutée à l’histoire des rivalités entre deux villages où le méchant milicien, particulièrement antipathique, traque une charmante petite fille juive cachée par la jolie mercière (Laetitia Casta) dont l’instituteur (Guillaume Canet) est amoureux. A ce film dans l’air du temps où les salauds sont forcément toujours les mêmes et les héros des patriotes communistes,- si, si -, on préfèrera la version de Yann Samuell qui, bien que située dans les années soixante, est plus proche de l’œuvre de Louis Pergaud, un « hussard de la République » mort prématurément au front en août 1915. Talentueux écrivain « régionaliste », il peignait avec brio sa Franche-Comté natale.
Dans les deux films, les enfants jouent avec naturel et sont épatants. La relève de Petit gibus, - « si j’aurais su, j’aurais pas venu » -, est assurée ! Mais si ces deux versions d’une même histoire ne vous ont pas convaincus, il vous restera toujours celle d’Yves Robert, en noir et blanc, sortie en 1962 et qui va revenir sur nos écrans le 12 octobre prochain. Elle n’est pas polluée par la politique…

15:55 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sénatoriales : les premiers résultats de la Droite nationale unifiée...

Synthèse nationale

 

Les résultats des élections sénatoriales ne sont pas une grande surprise : la gauche l'emporte, c'est la conséquence logique du renouvellement en sa faveur des "grands électeurs" et de la déception naturelle d'un grand nombre d'élus locaux face à la politique menée par l'UMP.

Les scores, certes très modestes, des listes d'Union de la Droite Nationale (PdF/MNR/NDP) ne sont pas vraiment significatifs dans cette élection de notables au suffrage universel indirect. Néanmoins, ils constituent pour nous une bonne petite surprise puisqu'ils montrent qu'un mouvement comme celui que nous sommes en train de mettre sur pieds dispose déjà d'un petit capital de sympathie auprès d'un électorat généralement assez frileux par rapport à nos positions et souvent très encadré par les partis du Système. Le but de nos listes était, rappelons-le, de faire connaître le candidat de la droite nationale à l'élection présidentielle, Carl Lang, auprès de ceux qui sont susceptibles de lui donner leurs fameux parrainages. De ce point de vue, force est de reconnaître que notre objectif est atteint.

Comme le souligne fort justement Thomas Joly (cliquez ici), candidat de l'Union de la Droite nationale dans l'Oise : "Plus que jamais, l'émergence d'une nouvelle force politique de droite nationale est nécessaire afin de proposer une alternative nationale, populaire, sociale et identitaire aux Français qui n'ont plus confiance dans les vieux partis du Système".

Quoi qu'il en soit, remercions sincèrement les quelques dizaines de grands électeurs qui ont voté pour nos listes. Ils sont les précurseurs courageux du vaste mouvement de redressement national dont la France a besoin.

Pour consulter les résultats du département de l'Oise (Thomas Joly), cliquez ici, du Pas-de-Calais (Mme Monique Delevallet), cliquez ici et du Nord (Dominique Slabolepszy), cliquez là.

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Connaissez-vous Lawrence Russell Brewer ? A propos de peine de mort aux Etats-Unis et du battage médiatique autour de Troy Davis...

Source La Droite strasbourgeoise cliquez ici

Lawrence Russell Brewer a été exécuté cette nuit (le 21 septembre NDLR), au Texas, par injection létale. De cette exécution, les médias n’ont pas parlé et ne parleront pas.

Seul Troy Davis, exécuté le même jour, les intéresse. Lawrence Russell Brewer était blanc, Troy Davis était noir ; Lawrence Russell Brewer a tué un noir, Troy Davis a tué un blanc ; Lawrence Russell Brewer était un suprématiste blanc du Texas, Troy Davis un petit voyou de la Georgie. Mais personne n’a manifesté pour que la clémence soit accordée au premier, tandis que l’exécution du second ne peut être que raciste au pays du KKK.

Qu’importe que le Comité des grâces et des libérations sur parole de Géorgie composé de citoyens noirs et blancs ait refusé la clémence pour Troy Davis. Son exécution est quand même raciste, au pays du KKK. Lawrence Russell Brewer n’a pas eu, semble-t-il, la chance de voir son cas examiné par un Comité des grâces et des libérations sur parole du Texas, composé exclusivement de blancs, s’attarder sur son cas. Il n’intéresse personne puisqu’il n’était pas noir. Ainsi va la justice du monde, que seuls les petits voyous noirs victimes d’une justice raciste intéressent nos grandes consciences morales.

Robert Badinter s’est déclaré convaincu de l’innocence de Troy Davis. Il le sait mieux que les trois degrés de juridictions qui se sont penchées, successivement, sur son cas, mieux que le Comité des grâces qui a étudié l’affaire de Troy durant plusieurs semaines,  mieux que la Cour suprême des Etats-Unis saisie à plusieurs reprises au cours des vingt années de procès. M. Badinter le sait du haut de sa conviction que la peine de mort est mauvaise quand un petit voyou noir de Géorgie est victime d’une exécution raciste.

Mais sur notre suprématiste blanc exécuté le même jour par la justice texane, il n’y a pas eu un mot, pas une protestation, comme si le grand principe abolitionniste avait toujours besoin d’une grande injustice pour que nos grandes consciences nationales se poussent encore un peu du col. Plaisante justice qu’une couleur borne: vérité de l’ébène et mensonge de l’ivoire...

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dimanche, 25 septembre 2011

Les rendez-vous dans le Nord :

 

 

 

23:56 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’histoire de l’Afrique doit-elle être enseignée dans le secondaire aux dépens des fondamentaux de l’histoire de France ?

par Bernard Lugan

L’histoire des mondes non européens a toujours figuré dans les programmes scolaires, cependant, elle n’était pas enseignée aux dépens de l’histoire de France. De plus, cette nécessaire ouverture ne se faisait qu’à partir du moment où les fondamentaux de notre histoire étaient acquis par les élèves. Aujourd’hui, il en va tout autrement avec la réforme Darcos qui prépare le délitement de l’imaginaire historique national, ce précieux socle auquel les Français sont encore arrimés.

Les ravages commencent désormais dès la classe de 5° qui a subi des amputations insensées et même proprement « ubuesques » de son programme d’histoire. Or, ces amputations ont été rendues nécessaires afin de dégager autant de plages horaires destinées à l’étude des civilisations non européennes, qu’elles soient africaines, asiatiques ou autres. Pour ce qui concerne l’Afrique, seront ainsi étudiés plusieurs royaumes avec un point central, celui du Mali. Pour leur « faire de la place », Louis XIV a donc été relégué en toute fin de programme et il ne sera donc « survolé » que si le Monomotapa (!!!) a été vu. De même que les crédits de l’armée constituent la variable d’ajustement des déficits de l’Etat, l’histoire de France devient quant à elle la variable d’ajustement des apprentis sorciers du ministère de l’Education nationale

Toute éducation supposant l’acquisition de fondamentaux et de connaissances de base sans lesquelles il est impossible ou vain de vouloir aller plus loin, il est donc insensé de vouloir faire apprendre l’histoire du Mali à des enfants qui ne savent pas si Napoléon a vécu avant ou après Louis XIV…Les « docteurs Folamour » du pédagogisme ne l’ignorent pas. Ils en sont même parfaitement conscients, mais ce sont d’abord des militants dont le but est de casser tous les enracinements européens considérés par eux comme susceptibles de déclencher des réactions identitaires.

Ne nous cachons pas derrière notre pouce et disons les choses clairement : le premier but de cette aberrante réforme de l’enseignement de l’histoire est de toucher le public de ces établissements mosaïques dans lesquels 30 à 40% d’élèves possédant moins de 350 mots de vocabulaire, ne sachant ni lire, ni écrire, ni même raisonner et encore moins comparer, pourrissent littéralement l’apprentissage de classes entières. Les assassins de notre mémoire espèrent, grâce à cette réforme, capter l’attention de ces auditoires « difficiles » et avant tout peu intéressés par l’histoire de France, en leur proposant une histoire sur mesure, une histoire à la carte, une histoire ethno sectorielle en quelque sorte.

Les élèves d’origine mandé-malinké de Tremblay en France seront peut-être attentifs à l’histoire de l’empire du Mali qui fut constitué par leurs ancêtres, mais il risque de ne pas en être de même avec les petits soninké de Garges les Gonesse, héritiers, eux, du royaume de Ghana qui fut détruit par les premiers…De plus, comment vont réagir les rejetons des nombreux autres peuples africains ? N’y a-t-il pas une forme de discrimination à leur égard ? En effet, pourquoi privilégier le Mali ou le Ghana et passer sous silence l’empire Luba et le royaume zulu ?

Un autre but de ce programme qui fait naturellement de continuelles références à la traite des esclaves vue comme une sorte de fil conducteur de la matière, est de tenter de faire croire aux élèves que l’histoire du monde est d’abord celle de la confrontation entre les méchants, lire les Européens, et les bons, lire les autres. L’ethno culpabilité est décidément sans limites !

De plus, et là est peut-être le plus important, l’histoire de l’Afrique a son propre temps long qui n’est pas celui de l’Europe. Elle s’appréhende avec une méthodologie particulière impliquant une maîtrise de la critique des sources orales, une connaissance approfondie de l’anthropologie, de l’archéologie, de la linguistique, etc., Or, les professeurs qui vont devoir enseigner cette histoire à leurs jeunes élèves n’ont pas été formés pour cela.

Un exemple : la connaissance que nous avons de Philippe le Bel repose sur des dizaines de milliers d’études, de thèses, de documents d’archives, de mémoires, de correspondances, de traités etc. Son contemporain, Abu Bakr II empereur du Mali (+- 1310-1312), dont l’existence n’est même pas certaine, n’est connu que par des traditions orales tronquées, des sources arabes de seconde ou même de troisième main et par une chronologie totalement erronée établie par Maurice Delafosse en 1912. L’histoire de son bref règne, s’il a véritablement eu lieu, est pourtant largement enseignée en Afrique où ce souverain est présenté comme une sorte d’explorateur conquistador parti à la tête de 2000 ou même 3000 pirogues pour découvrir les Amériques.  

Les professeurs des classes de 5° qui vont devoir parler du Mali, cœur du nouveau programme, devront évidemment étudier cet empereur. Or, sont-ils formés pour expliquer à leurs élèves que l’histoire scientifique ne se construit pas sur des légendes? De plus, le seul fait, dans un cours, de consacrer le même temps d’étude à un personnage historique attesté d’une part, et à un autre, largement légendaire d’autre part, conduira automatiquement les élèves à prendre le virtuel pour la réalité, ce qu’ils sont déjà largement enclins à faire avec les jeux électroniques.   

Mais allons encore au-delà et abordons l’essence même de la question. Face à ces élèves « en difficulté» (traduction en langage politiquement incorrect : enfants dont la langue maternelle n’est pas le français), les enseignants oseront-ils, sans risquer un hourvari, expliquer qu’un tel voyage n’a jamais eu lieu?  En effet, si tout est faux dans cette légende c’est parce que les Africains de l’Ouest -à la différence de ceux de l’Est-, ne pouvaient affronter la haute mer car ils ignoraient l’usage de la voile ainsi que celui de la rame et parce que leurs pirogues étaient sans quille. 

Les mêmes enseignants sont-ils armés pour faire comprendre à leurs classes que pour atteindre l’Amérique, les hommes d’Abu Bakr II auraient été contraints de pagayer durant plus de mille kilomètres à travers l’océan atlantique avant de rencontrer enfin le courant des Canaries, seul susceptible de leur permettre de dériver ensuite vers l’Ouest… et cela sur 6 000 km ? Enfin, seront-ils en mesure de mettre en évidence l’incohérence majeure de cette légende que certains considèrent comme une histoire vraie, à travers un exemple clair : comment l’expédition de l’empereur malien aurait-elle pu atteindre l’Amérique alors que les Africains ignoraient l’existence de l’archipel du Cap-Vert situé à 500 km « à peine » de la péninsule du Cap-Vert, point le plus occidental du littoral ouest africain contrôlé par l’Empire du Mali et qui leur barrait la voie du grand large ? En effet, cet archipel était vierge et vide d’habitants en 1450,  au moment de sa découverte par le Génois Antonio Noli qui était au service du Portugal...L’enseignement de l’histoire africaine ne s’improvise pas !

Hier la méthode d’apprentissage de la lecture dite « globale » fabriqua des générations d’illettrés et de dyslexiques; la réforme des programmes d’histoire donnera quant à elle naissance à des générations de zombies incapables de rattacher des évènements ou des personnages à une chronologie et ayant pour toute culture historique celle du volapük mondialisé.

 

Le blog de Bernard Lugan cliquez ici

23:39 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 23 septembre 2011

Soutien de la Nouvelle Droite Populaire à la manifestation solidariste de Lille, samedi 8 octobre.

612489415.jpgUn communiqué de la Nouvelle Droite Populaire :

La Nouvelle Droite Populaire apporte ses encouragements et son soutien à la manifestation solidariste de Lille, du samedi 8 octobre, organisée par Troisième Voie, les Nationalistes autonomes, OPSTAAN, Nation et le Front Comtois.

Martine Aubry, les socialistes et l’extrême gauche ne supportent évidemment pas que nous défendions « nos emplois, notre avenir, notre pays » et font tout pour tenter d’interdire cette manifestation. Ils croient avoir le monopole sur la question sociale. Quand on voit où ils ont mené la France, il conviendrait qu’ils fassent preuve d’un peu de retenue et de discrétion.

En attendant, les nationalistes occupent le terrain social. C’est très bien. Là est légitimement leur place.

15:10 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Carl Lang sera dans l'Oise mercredi prochain...

Inscrivez-vous au dîner avec le candidat

d'union de la Droite nationale : thomasjoly60@yahoo.fr 

 

Les autres rendez-vous avec Carl Lang :

Dimanche 25 Septembre, Carl Lang sera l'invité de Christophe Devillers, responsable du Parti de la France pour la Franche-Comté. Ce rendez-vous se tiendra dans un restaurant proche de Belfort. Pour les inscriptions et des informations complémentaires : contact@parti-de-la-france.fr

Mercredi 28 septembre, le Parti de la France organise un dîner-débat à Goincourt (à côté de Beauvais) avec Carl Lang. Il se déroulera dans l'établissement sympathisant Chez Romano (8, rue Aristide Briand) à partir de 19h30. Pour plus d'informations : http://www.parti-de-la-france.fr/actualite/2525/diner-debat-goincourt-oise-avec-carl-lang

Vendredi 7 octobre, déplacement de Carl Lang en Normandie. Un diner-débat est organisé à Saint-Wandrille-Rançon en Seine Maritime. Pour plus d'informations : http://www.parti-de-la-france.fr/actualite/2596/vendredi-7-octobre-2011-carl-lang-normandie

Et, fin octobre, Carl Lang fera une tournée de plusieurs jours dans le sud de la France. Le vendredi 11 novembre, il prendra la parole à la 5ème journée nationale et identitaire de Synthèse nationale. A suivre...

15:09 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi, avez-vous pensé à acheter Rivarol ?

3014.jpg

Chez votre marchand de journaux : 3,50 €

15:02 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 22 septembre 2011

Oui à la nécessaire reconnaissance d’un Etat palestinien !

Un communiqué de Carl Lang, candidat de la Droite nationale à la présidentielle :

Après des décennies d’affrontements et de guerres au Proche-Orient, on ne peut que constater l’échec de toutes les actions diplomatiques et des soi-disant plans de paix. Aucune solution de stabilité et de paix ne sera possible sans reconnaitre le droit à l’existence politique du peuple palestinien et donc le droit légitime à l’existence d’un Etat palestinien.

La négation permanente par Israël des droits historiques du peuple palestinien n’a servi que le camp de tous les fanatiques en exacerbant les frustrations et les haines, en favorisant le terrorisme et en servant l’action des stratèges irresponsables de la tension.Il parait donc clair qu'aucune discussion bilatérale n’a jamais pu aboutir car elles se sont toutes résumées à un rapport de force permanent ou à un dialogue de sourds. Il est temps de créer les conditions de la paix.

Au moment où Mahmoud Abbas, dirigeant de l’autorité palestinienne, souhaite voir reconnaitre par l’ONU un Etat palestinien, l’Assemblée générale des Nations Unies qui se tient cette semaine à New York, a le choix entre un refus entrainant la certitude de la guerre perpétuelle et un accord ouvrant la voie de la paix.

En conséquence, il appartient aux autres nations du monde de mettre enfin un terme à la persécution historique dont est victime depuis trop longtemps et de manière insupportable le peuple palestinien.

Il est temps, au même titre que l’ONU a reconnu l’existence de l’Etat d’Israël, qu’elle reconnaisse enfin l’existence d’un Etat palestinien créé sur les frontières de 1967 avec Jérusalem-Est comme capitale.

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Manifestation nationaliste à Lille le samedi 8 octobre : un car du Front comtois partira de Besançon...

 

Renseignements : reservation@front-comtois.com

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Lille, samedi 8 octobre : manifestation solidariste...

Vign_8-octobre-2.jpg

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mardi, 20 septembre 2011

Tribune libre : Désaccord avec Christine Tasin sur la France blanche et chrétienne...

Par Eric Didelon

Source Le Gaulois cliquez ici

 

Je souhaiterais réagir à l’article de Christine Tasin « Non, La France blanche et chrétienne, ce n’est pas la France ». (Voir Riposte Laïque)

 

Comment ça, La France n’est pas blanche et chrétienne ? Mais comment peut-on écrire une chose pareille… à part en France ? Allez faire un tour dans n’importe quel pays d’Asie ou d’Afrique et dites-leur que vous êtes de leur pays parce que vous y vivez et vous aimez leur terre, leur culture et leurs valeurs. Vous ne rencontrerez au mieux que des sourires gênés, mais surtout beaucoup d’incompréhension et même de la colère et de l’hostilité.

 

Car il ne suffit pas de vivre dans un pays et de l’aimer pour en faire partie. Allez dire à un Indien ou un Chinois que comme vous vivez dans son pays et l’aimez, vous en faites autant partie que lui… Allez aux Antilles et dites aux gens que vous êtes antillais, alors que vous êtes blanc et observez les réactions !

 

C’est justement à cause de cette négation du caractère blanc et chrétien de la France que tous les débordements que vous dénoncez ont lieu en France de nos jours. Si la France n’est pas un pays blanc et chrétien, alors n’importe quelle personne d’origine étrangère peut arriver et imposer ses croyances et sa vision du monde.

 

La grosse erreur est de croire que revendiquer l’origine blanche et chrétienne serait la porte ouverte a la discrimination et au racisme. C’est complètement faux. Il suffit d’observer la situation ailleurs qu’en Europe. De nombreux pays d’Asie ont une forte présence étrangère : a Hong Kong par exemple, des lors qu’un étranger a un visa de travail, il dispose d’une carte d’identité locale d’apparence identique a celle des autochtones, qui lui donne pour ainsi dire les mêmes droits qu’un natif. Il n’y a aucune discrimination et tous les rapports avec l’administration, les services publics et la population sont courtois et bienveillants. Mais a aucun moment vous n’entendrez a Hong Kong que vous êtes chinois parce que vous vivez a Hong Kong et que vous aimez Hong Kong et son mode de vie. Il n’y a pas non plus de droit du sol a Hong Kong : un enfant de parents étrangers ne sera jamais hongkongais. Car être hongkongais c’est être de race « jaune », avoir un nom a consonance chinoise etc etc. Ca peut paraitre « raciste » mais au moins, les choses sont claires et du coup, on ne déplore pour ainsi dire jamais d’actes « racistes ».

 

Si les valeurs « républicaines et laïques » ne font pas recette auprès des allogènes de France, demandez-vous pourquoi ? De mes voyages de par le monde, j’en suis venu a la conclusion que l’être humain a besoin d’appartenir a quelque chose de concret, de l’ordre du sang et de la terre. Les tentatives de fonder une nation sur une appartenance a un principe supérieur, supra-ethnique n’ont marche nulle part en Eurasie. L’homo sovieticus n’existe plus, la nation « yougoslave » s’est dissoute dans la violence et les massacres.

 

Les Français sont en train de se faire bouffer par l’islam parce qu’ils ont honte d’affirmer leurs origines: blanche et chrétienne précisément. Toute l’erreur (et c’est une erreur commise UNIQUEMENT dans l’Union Européenne) est de croire que si les Français affirmaient leurs origines ethniques et religieuses, ce serait la porte ouverte au racisme et « aux-plus-sombres-pages-de-notre-histoire ». Et si c’était le contraire ?

 

Les Émirats Arabes Unis sont des territoires musulmans et arabes… Et pourtant 80% au moins de leurs populations sont des travailleurs étrangers qui très souvent ne sont pas musulmans (Indiens, Philippins, Chinois etc). Les Indiens hindous fêtent en toute liberté leurs fêtes, dans la rue, comme ils feraient en Inde. Mais à aucun moment, les arabes ne leur ont dit qu’ils étaient comme eux et qu’ils acceptaient de partager leur territoire avec eux. Les seuls maitres à bord à Dubaï, ce sont les émiratis … point barre !

 

En France c’est devenu un crime honteux que de revendiquer ses origines à savoir… blanche et chrétienne. Les peuples de la terre entière ont le droit d’affirmer le caractère ethnique de leur nation, les Tibétains, les Palestiniens et tous les autres. Mais un Français non, il est sommé de minimiser et d’effacer toute référence à caractère ethnique et si cela ne lui plait pas, c’est qu’il est un « franchouillard », un fasciste, bref quelqu’un de honteux et haïssable. Pourtant si les Français s’aimaient à nouveau en tant que peuple blanc et chrétien, d’abord ils se feraient mieux respecter, ensuite ils n’auraient pas honte de poser des limites à ceux qui ne sont ni blancs ni chrétiens et pourraient ainsi, à l’intérieur de ces mêmes limites, accepter et accueillir tous ceux qui viennent d’ailleurs et aiment la France.

 

En attendant si la France n’est ni blanche ni chrétienne, alors n’importe qui peut arriver et dire aussi bien qu’elle est musulmane... depuis 3000 ans* (sic).

 

*Ndlr. legaulois.info : c’est Djamel Debbouze, l’inénarrable intellectuel de haute volée, qui a déclaré devant les caméras que « l’islam est en Europe depuis 3000 ans » 

16:30 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi soir, au Local...

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16:03 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Que penser des élections pour le Parlement du Land de Berlin de dimanche dernier ?

Par Lionel Baland

Source cliquez ici

 

Allemagne. Berlin. Une analyse des résultats obtenus par les partis politiques est très compliquée, car différents phénomènes influent sur les résultats des partis.

 

Berlin est un des 16 Länder d’Allemagne. Le Land de Berlin est une ville et est entouré d’un autre Land, celui de Brandebourg.

 

La ville a été coupée en deux par le Mur et, bien que réunifiée depuis plus de 20 ans, la scission de la cité reste toujours visible. Le Mur est toujours présent dans les têtes. Les résultats obtenus par les partis radicalement opposés au système sont nettement plus élevés dans l’Est de la ville que dans l’Ouest. Par exemple, die Linke (le Parti postcommuniste) décroche 24,8% des voix dans l’Est de Berlin et 4,4% dans l’Ouest. Le Parti ultranationaliste NPD obtient des élus au sein de 3 conseils de quartier de l’Est de la cité et aucun à l’Ouest. Cette différence s’explique par le fait que dans l’Est de la ville, la population a grandi dans le système communiste et n’a donc pas subi la propagande scolaire massive du régime actuel. De plus, à l’Est, la population a une vision plus sociale.

 

Dans le centre de Berlin, les lieux habités autrefois par des anciens apparatchiks du Parti communiste de la République Démocratique allemande attirent une population plutôt jeune, branchée, aisée financièrement  et bobo. Les électeurs du Parti écologiste prennent, au sein de ces quartiers, de l’ampleur au détriment des électeurs communistes.

 

Le Parti libéral centriste FDP, en déroute électorale, a tenté de donner un tournant eurosceptique à sa fin de campagne électorale. L’échec cuisant du parti lors des élections du Land de Berlin, peut conduire à la fin de la coalition CDU-FDP au niveau national.

 

Les partis patriotiques se présentaient de manière dispersée. Die Freiheit, soutenu par le Président du PVV néerlandais Geert Wilders, a obtenu un score misérable. C’est probablement la fin du soutien de Geert Wilders à ce parti dirigé par l’ancien représentant de la CDU René Stadtkewitz. Pro Deutschland, dont la base (constituée de pro Köln et pro NRW) est située en Rhénanie du Nord - Westphalie, n’a pas réussi son implantation. Quant au parti die Konservative, il reste à l’état de groupuscule.

 

Le seul parti qui arrive à obtenir des scores similaires au sein des deux parties de la ville, est le Parti social-démocrate SPD. Le challenge a relevé pour un parti patriotique, est de percer dans les deux parties de la ville. La scission entre l’Ouest de l’Allemagne, où évoluent des partis patriotiques modérés, et l’Est du pays, où se développent les ultranationalistes aux idées plus sociales, se reproduit à Berlin.

 

De plus, au vu du « poids du passé » qui pèse sur l’Allemagne, les électeurs qui ont voulu exprimer un ras-le-bol ont préféré voter pour Les Pirates, un parti dont les valeurs sont celles de la gauche libertaire et qui prône la démocratie directe via Internet :

http://www.europe1.fr/International/Des-pirates-politiques-a-Berlin-725755/

 

Détail des résutats de la droite nationale allemande :

 

Patriotes :

 

Die Konservative : 2.334 voix, soit 0,2%

Pro Deutschland : 17.829 voix, soit 1,2%

Die Freiheit : 14.019 voix, soit 1%.

 

Ultranationalistes :

 

NPD : 31.243 voix, soit 2,1%

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