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lundi, 19 septembre 2011

Sénatoriales : plusieurs listes d'Union de la Droite nationale ont été déposées...

Trois listes d'Union de la Droite nationale (PdF-MNR-NDP) ont été déposées pour les élections sénatoriales qui doivent se dérouler le 25 septembre prochain dans 1/3 des départements français.

Dans le département du Nord, la liste de rassemblement des forces nationales sera conduite par Dominique Slabolepszy, conseiller régional honoraire.

Dans le Pas-de-Calais, c'est Mme Dominique Delevallet qui conduira la liste des nationaux.

Enfin, dans l'Oise, comme nous vous l'annoncions la semaine dernière, le jeune et dynamique Thomas Joly a aussi déposé une liste d'union.

Ces élections qui concernent "les grands électeurs" seront l'occasion pour les forces nationales, nationalistes et identitaires rassemblées de faire aussi connaître aux élus de leurs départements resêctifs la candidature de Carl Lang à l'élection présidentielle de 2012.

22:02 Publié dans Pour l'union de la Droite nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Franck Abed reçoit Yvan Blot au sujet de la démocratie directe...

16:34 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LE FN AUX ORDRES DU GRAND ORIENT ?

Court reportage réalisé par des journalistes de Canal + sur la francmaçonnisation des esprits au néo-Front national. Les nouveaux dirigeants du parti fondé autrefois par François Duprat, Léon Gaultier, Roland Gaucher, Pierre Bousquet, François Brigneau, Victor Barthélémy, et y ont fait entrer des membres de la secte maçonnique qui ont accédé aux plus hautes responsabilités (Gilbert Collard étant président d'un comité de soutien à Marine Le Pen, Valéry Le Douguet étant chargé du dossier "justice" du FN, Richard Sulzer, conseiller de Marine Le Pen, etc).

Depuis plus de 200 ans, les francs-maçons ont été en France à l'origine de toutes les lois anti-nationales : propagateurs du libéralisme et de l'individualisme, promoteurs de l'immigration et de l'ouverture des frontières, instigateurs de la monnaie unique, ce sont les mêmes qui ont activement lutté pour l'instauration de l'avortement de masse, instrument du génocide français, l'abolition de la peine de mort et qui aujourd'hui se mobilisent pour la légalisation des drogues, la régularisation des clandestins et la dissolution de la France dans l'Union européenne.

Les journalistes passent rapidement sur l'indécent étalage de luxe de la famille Le Pen comme sur les reniements du patriarche concernant les éléments fondamentaux du combat contre le système.

Le secrétaire général du Parti de la France, Thomas Joly, intervient durant ce reportage pour réaffirmer quelques vérités.

 

Source cliquez ici

09:24 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 18 septembre 2011

Appel à nos lecteurs de la région parisienne :

Comme vous le savez les vendredi 11 (5ème journée de Synthèse nationale), samedi 12 (conseil national de la NDP) et dimanche 13 novembre (Table ronde de Terre et peuple) seront des journées chargées pour les militants et sympathisants de la Droite nationale, nationaliste et identitaire.

De nombreux amis de province nous font part de leur intention de venir à Paris pour assister à ces différents événements et certains sont à la recherche d'un éventuel hébergement gratuit afin de limiter leurs frais de séjour.

Peut être que parmi vous tous, quelques'uns auraient la possibilité de recevoir chez eux (ou ailleurs) des camarades pour une ou plusieurs nuits. Si c'est le cas, nous vous serions reconnaissants de nous le faire savoir afin de pouvoir vous mettre en rapport avec nos amis provinciaux.

Vous pouvez, pour cela, écrire à synthesenationale@club-internet.fr, ou retourner le document en PJ cliquez ici à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris.

Par avance, nous vous remercions pour votre aide éventuelle.

17:06 Publié dans 05 - La 5e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les faux calculs de l’ingérence...

Par Aymeric Chauprade

Une nouvelle fois, l’incantation à la religion des droits de l’homme a fait pleuvoir les bombes de l’Otan. Comme toutes les guerres de l’“Empire” auxquelles la France apporte son tribut, l’intervention en Libye a été menée au nom du devoir humanitaire de protection des populations civiles. Tous les ingrédients classiques de la guerre d’ingérence rêvée par Kouchner et ses amis furent au rendez-vous ...

Les donneurs de leçons indignés (hier Glucksmann, aujourd’hui BHL), le conte pour « enfants de la télé » qui fait fi de toute réalité géopolitique (“un peuple entier dressé contre son dictateur”, alors qu’il s’agit d’une guerre civile Cyrénaïque contre Tripolitaine), l’absence d’esprit critique de la presse occidentale face à la propagande de l’Otan (diffusion de fausses scènes de liesse à Tripoli tournées au Qatar alors que les rebelles ne sont pas encore dans la capitale; chronique de la cruauté du Guide), la contradiction permanente avec les principes affichés (quid de la chasse aux Noirs pratiquée par les rebelles et plus largement de l’épuration massive en cours contre les tribus restées fidèles à Kadhafi ?)

Et la realpolitik dans tout cela ? Si, en effet, le masque de l’hypocrisie servait un but géopolitique tangible, nous pourrions parler de realpolitik et accepter celle-ci au nom de l’intérieur supérieur du pays. Mais, pour au moins trois raisons géopolitiques fondamentales, l’ingérence en Libye (comme le furent celles en Yougoslavie, en Afghanistan et en Côte d’Ivoire) est l’ennemie des intérêts géopolitiques français.

La première raison est que l’opposition que nous soulevons n’est plus celle d’un tiers-monde impuissant. Le monde est devenu multipolaire ; les pays émergents n’ont qu’une envie, arracher à l’Occident ce masque humanitaire qui dissimule sa politique de terreur contre la souveraineté des peuples. Russes, Chinois, Indiens, Brésiliens, Sud-africains : ces gens n’ont aucune illusion quant au but réel de guerres que leurs médias qualifient de néocoloniales et prédatrices (pétrole, gaz). En s’alignant sur les États-Unis, la France détruit son capital principal en politique étrangère : sa position d’équilibre, qui était respectée et demandée. Le monde change aussi chez nous, en Europe. Avec un double « non » (Irak, Libye), l’Allemagne s’est écartée de la géopolitique états-unienne comme elle rompra demain avec le capitalisme financier anglo-saxon. C’est elle qui demain ajoutera à son prestige industriel international une position d’équilibre qu’elle nous aura ravie.

La deuxième raison est que la chute de Kadhafi aggrave le chaos dans le Sahel. Le pillage des dépôts de l’armée libyenne dès le début de la guerre civile (comme en Irak en 2003), augmenté de nos parachutages d’armes et de munitions, transforme de fait le territoire libyen en une poudrière. Les tribus sont surarmées, à l’image des Touaregs pro-Kadhafi repliés vers leurs bases arrière nigériennes et maliennes et qui préparent déjà la revanche. Le Tchad ne sera pas épargné. Les trafics en tout genre (drogue, cigarettes, immigration), jusque-là endigués par les régimes autoritaires de Kadhafi et Ben Ali, vont exploser. Quant à nos “amis” rebelles, ce sont presque tous des islamistes radicaux ; les plus aguerris (les chefs) ont gagné leurs “lettres de noblesse” dans le djihad irakien… contre l’armée américaine (ce qui ne veut pas dire contre la CIA). L’assassinat, en juillet dernier, du ministre de l’Intérieur de Kadhafi rallié aux rebelles de l’Est ne s’explique que par la vengeance des islamistes contre leur ancien tortionnaire.

En favorisant l’effondrement des régimes autoritaires qui formaient le dernier écran protecteur de l’Europe face à la misère africaine, nous avons libéré des énergies qui vont travailler au service de trois buts : davantage d’immigration vers l’Europe, davantage de trafics, davantage d’islamistes.

Enfin, il existe une troisième raison pour laquelle un éventuel calcul stratégique français était par avance voué à l’échec. L’État libyen était déjà faible sous Kadhafi (lorsque les esprits seront apaisés, il faudra un jour mieux comprendre la nature du rapport entre le Guide de la révolution et son peuple), mais désormais et pour plusieurs années, il faudra parier sur l’absence quasi totale d’État libyen. Malheureusement, les Français, à la différence des Britanniques, n’excellent guère dans la manœuvre politico-économique (obtention des marchés) lorsqu’ils ne disposent pas de partenaire étatique clairement identifié. Les clés des marchés libyens se trouveront sans doute davantage au cœur des tribus que dans l’exécutif officiel. Si le président et son entourage voient dans les chefs rebelles auxquels ils ont déroulé le tapis rouge à l’Élysée l’incarnation de l’État libyen de demain, la désillusion risque d’être forte. Car il se pourrait bien que, cette fois, les Américains ne fassent pas l’erreur qu’ils ont faite en Irak en détruisant l’État baasiste et qu’ils cherchent au contraire à s’appuyer sur les anciens de Kadhafi plutôt que sur cette étrange « variété modérée de djihadistes démocrates » (!) dont l’entourage de Sarkozy nous vante les mérites.   

Source Valeurs actuelles 15/09/2011 via Le Journal du Chaos cliquez ici

12:05 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 17 septembre 2011

Retour sur le 8 mai 2011 : un film de Troisième voie...

20:23 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Présidentielle : Carl Lang, candidat canal historique...

Source Préférence nationale cliquez ici

Passer au concret. Depuis plusieurs mois, Parti de la France (PdF), Nouvelle droite populaire (NDP) et Mouvement national républicain (MNR) faisaient miroiter leur union prochaine au sein d’une confédération, sorte "d'UDF de l'extrême droite" cliquez ici. Les trois petits partis ont confirmé leur fiançailles mardi 13 septembre. Ils ont également posé un nom sur celui qui portera leurs couleurs en 2012 à la présidentielle, en confirmant le candidat pressenti, Carl Lang. Ils souhaitent prolonger l’accord aux législatives et, au-delà, que l’initiative se pérennise, voire dure «plus longtemps que l’UDF» des centristes. Laquelle, pour information, a vécu 29 ans.

Fernand Le Rachinel sera directeur du comité de soutien, en charge de la collecte des 500 signatures. Mission impossible? «La plupart des maires se décident au dernier moment, assure l’ancien imprimeur du FN. J’ai une longue expérience de ce genre d’exercice, avec cinq campagnes présidentielles derrière moi.» Pour mener la sienne, Carl Lang disposera de peu de moyens. On compte sur les militants des formations associées -mais ils sont peu nombreux- et sur une campagne Internet: «Je suis un cyber-candidat», lance Lang.

Derrière la présidentielle, les législatives

De cette union, on n’en sait pas plus pour le moment. Ni slogan, ni logo, ni organigramme. Non, l’important était mardi de présenter un candidat, dans l’esprit gaulliste (sic!) «de la rencontre d’un homme et d’un peuple», selon le délégué national de la NDP, Robert Spieler. Ce dernier s’est limité à confirmer que la plate-forme électorale aurait une structure fédérale. Et Carl Lang d’en esquisser un portrait en creux de l’actuel Front national (FN): il s’agit pour le candidat de tourner le dos à un fonctionnement «basé sur les pleins pouvoirs d’une personnalité autoritaire». Entre les lignes, comprendre Marine Le Pen. Le président du PdF précise que la structure «respectera les différences et les sensibilités», de manière à ce que «tous les courants puissent s’exprimer».

L’alliance devrait également valoir pour les élections législatives. En réalité, là est peut-être son véritable objectif. Car si Lang est voué à une candidature de témoignage à la présidentielle, l’objectif de placer 50 candidats au-dessus de la barre des 1% semble plus réaliste – et il est synonyme de financement public pendant cinq ans. Une mane vitale pour la jeune confédération.

Est-là l’explication de la porte ouverte aux militants du Bloc identitaire (BI) ? Le désistement d'Arnaud Gouillon cliquez ici a laissé ceux-ci sans candidat présidentiel. «Si un certain nombre de militants veulent participer à la campagne, ils sont les bienvenus», a affirmé Carl Lang. Pourtant, il y a encore quelques mois, certains membres de la confédération ne voulaient, au pire, pas en entendre parler, au mieux, évoquaient, déjà, un éventuel accord secret passé avec FN. Toujours pas, donc, de discussion de parti à parti pour la présidentielle. En revanche, avec une cible électorale non extensible à se partager pour les législatives, les potentiels ralliements personnels locaux pourraient valoir de l’or aux législatives. Pour le FN comme pour la «confédération».

«Je ne suis pas à la gauche d’Obama»

Aussi, et bien qu’il s’en défende, l’actuel FN et sa présidente se retrouvent une nouvelle fois dans le viseur de Carl Lang. Ce dernier, depuis qu’il s’est fait déposséder de ses fiefs électoraux par Marine Le Pen, entretient un contentieux personnel avec elle. Un contentieux qui se double d’une fracture politique, Lang essayant d’incarner une sorte de canal historique hors du FN, là où Gollnisch l’incarnerait de l’intérieur. «Je n’ai pas besoin de dédiaboliser, moi», s’amuse-t-il. «Je ne suis pas à la gauche d’Obama, ni proche d’Arnaud Montebourg sur la démondialisation.» Le président du PdF s’efforce de souligner ces différences dans ses discours depuis le mois de janvier, et jusque sur la carte de visite du Parti de la France, posé en seul représentant de la «droite nationale, identitaire et européenne».

Simple convenance que cette expression à rallonge? En réalité, chaque terme est soigneusement pesé, pour se démarquer d’un FN auquel Carl Lang s’agace d’être constamment ramené. Ainsi, il n’est pas anodin de s’identifier d’emblée à la «droite», quand Marine Le Pen a repris et renforcé la ligne «ni droite, ni gauche» de son propre parti. Pour Lang, ce terme de droite englobe, outre l’attachement à «l’ordre», une dimension économique (la promotion de l’entreprise contre l’étatisme promu par le FN depuis son virage social), religieuse (identité chrétienne contre le laïcisme sauce Marine) et intellectuelle (rigueur des principes contre patchwork programmatique empruntant à tous les bords).

Réaffirmer les fondamentaux

Une droite, donc, «nationale». Avec ce terme, c’est plutôt de la droite dite «classique» -UMP et alliés- qu’il s’agit de se distinguer: celle du «mondialisme», du libre-échange global et dérégulé, celle qui, selon Carl Lang et ses amis, renonce chaque jour à faire valoir les intérêts spécifiques de la France. En outre, les partis dits d’extrême droite, FN en tête, préfèrent être classés dans la catégorie, moins immédiatement suspecte, de «droite nationale». Encore faudrait-il accorder tous les violons de la «confédération». En juin dernier, Robert Spieler affirmait: «Je suis un extrémiste de droite et j’en suis fier» cliquez ici. Lang, lui bottait en touche, expliquant être «radicalement patriote» en soulignant qu’il s’inscrivait dans le jeu électoral et démocratique. Une étiquette d’extrême droite qu’il vient à nouveau de rejeter devant la presse.

National, le programme de Carl Lang sera aussi «identitaire», c’est-à-dire attaché à défendre l’identité. Ou les identités? Car le terme évoque immédiatement le Bloc identitaire, qui s’attache à placer  un accent particulier sur les identités régionales. Or, dans l’attelage qui doit porter Lang à la présidentielle, le NDP de Robert Spieler -ex-tête de file du mouvement régionaliste Alsace d’abord- s’est souvent positionné sur la question. Peut-être s’agit-il également de profiter de la notoriété que les actions du Bloc commencent à donner au terme «identitaire». La notion renvoie enfin à une identité débordant le cadre national: celle de la «civilisation européenne» chère à Lang et à ses amis, moins prisée au FN.

Précisément, l’adjectif «européen» vise à souligner la distance entre FN et PdF quant à la question continentale. Certes, les deux partis se déclarent opposés à «l’Europe de Bruxelles», technocratique, anti-nationale – «totalitaire», avait un jour osé Marine Le Pen. Mais, alors que le FN semble vouloir engager la France dans un cavalier seul, Lang assimile cette tentation à un suicide national. Le patron du PdF affirme la nécessité d’intégrer les démarches nationales et européennes, et rejette l’idée d’une sortie unilatérale de l’euro.

Les associés en sont persuadés: l’affirmation de ces fondamentaux leur permettra d’occuper le créneau de la «vraie» droite nationale, laissé vide selon eux par les écarts doctrinaux de Marine Le Pen. Tous misent sur son prochain échec, qui, en invalidant sa stratégie, permettrait de récupérer les fruits de la leur. Reste à savoir combien de temps ils sont prêts à attendre.

Julien Licourt et Dominique Albertini

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vendredi, 16 septembre 2011

Mercredi dernier : Carl Lang était sur Radio Courtoisie...

Pour écouter Carl Lang, candidat d'union de la Droite nationale à la Présidentielle de 2012, invité à l'émission de Martial Bild, mercredi dernier sur Radio Courtoisie, cliquez ici

Photo Le nouveau NH cliquez là

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Carl Lang, candidat d'union de la Droite nationale à la Présidentielle, nous parle de l'Euro...



23:42 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 15 octobre, à Lyon :

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23:37 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

TROP DROLE : les arroseurs arrosés ! Ils venaient pour casser du fachos et ils se font caillasser par des immigrés...

Synthèse nationale

Dimanche dernier, 11 septembre, pas moins de 30 organisations "démocratiques" avaient appelé à contre manifester à Forbach (Moselle) pour exiger l'interdiction de la commémoration de la bataille de Vienne, en 1683, bataille à l'issue de laquelle les Turcs qui envahissaient l'Europe furent refoulés par les armées catholiques auxquelles appartenaient Charles V, Duc de Lorraine. Cette commémoration entendait aussi rendre hommage aux victimes de la tragédie du 11 septembre 2001 à New York. Elle était organisée par la délégation départementale de la Nouvelle Droite Populaire..

Finalement, le préfet de Moselle céda aux injonctions de l'extrême gauche et la manif de la NDP fut interdite alors que la contremanifestation de gauche fut, elle, autorisée. Il en va ainsi dans le France du terrible Sarkozy.

Le soir même, l'ensemble des collabos mosellans indignés était donc au rendez-vous. C'est à dire 60 personnes ! Parmi elles, une poignée de lycéens venue en autocar de Metz (on ne recule pas devant les dépenses lorsqu'il s'agit de sauver la démocratie...) et rameutée par une officines, la CNT FAI, qui se croit encore aux beaux jours de l'anarcho-syndicalisme dans la sanguinaire république espagnole de sinistre mémoire (entendez une bande de ringards qui se donne des frissons en jouant aux Brigades internationales...), quelques permanents patentés des assocs antiracistes du coin, et la demi-douzaine de figures dégénérées de la LCR, pardon du NPA lorrain.

Les héros de l'antifascisme, c'est bien connu, savent user de l'art de la symbolique. Persuadés qu'ils étaient qu'ils allaient entrainer derrière eux les masses opprimées issues de l'immigration, ils s'étaient donc fixés rendez-vous au cœur d'un quartier de Forbach, le Wiesberg, où résident de nombreux étrangers. Prolétaires de tout pays unissez-vous... on connait la rengaine : souvenez-vous du paradis soviétique. Une expérience globalement positive qu'ils disaient...

Mais revenons à nos courageux amis de la diversité. A peine ceux-ci descendus de leur autocar et de leurs voitures, ils furent accueillis par les "jeunes" du quartier de façon, dirons-nous, plutôt mitigée (*). Pour ne pas dire franchement hostile. Les invectives et les pierres commencèrent à voler et nos grandes consciences durent se dépêcher de quitter les lieux pour détaler vers la gare, située 4 kms plus bas et... à 25 m. du commissariat de police (on ne sait jamais...). Ridicule absolu ! Ces imbéciles ne savaient sans doute pas que les dealers n'aiment pas que l'on vienne troubler l'ordre qu'ils ont imposé dans les quartiers qu'ils dominent. Même s'il s'agit de défenseurs des présumées victimes potentielles du fascisme renaissant. Quelle bande de pauvres cons.

Cette mésaventure est quand même trop drôle et à la NDP Lorraine, nous dit-on, on en rigole encore...

(*) Lisez sur ce sujet le compte rendu savoureux (et extrêmement modéré) de Républicain lorrain de lundi dernier cliquez ici.

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mercredi, 14 septembre 2011

Manif interdite à Forbach : la NDP dépose un recours....

La Nouvelle Droite Populaire avait décidé d'organiser, le dimanche 11 septembre, à Forbach (Moselle), une manifestation destinée à rendre hommage aux morts de l'attaque terroriste sur New York mais aussi de rendre hommage à la mémoire du duc de Lorraine, Charles V, qui contribua, le 11 septembre 1683, à vaincre les Turcs sous les murs de Vienne.
 
Après l'avoir autorisée, le préfet avait interdit la manifestation, à la demande de Claude Guéant, ministre de l'Intérieur. En même temps, il autorisait la contre manifestation organisée par les Partis de gauche et certaines officines gauchistes (cliquez ici).
Un recours pour excès de pouvoir va donc être déposé auprès du tribunal administratif dans l'objectif de faire annuler cette décision illégale.

Vous trouverez en PJ (cliquez ici) la lettre adressée ce jour par Robert Spieler, Délégué général de la NDP, à M Christian Gaillard de Lavernée, Préfet de Moselle.

11:37 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce soir, à 18 h 00, sur Radio Courtoisie...

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Martial Bild reçoit Carl Lang

Radio Courtoisie cliquez ici

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La conférence de presse de Carl Lang, candidat d'union de la Droite nationale à l'élection présidentielle, mardi matin à Paris....

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mardi, 13 septembre 2011

CARL LANG CANDIDAT !

67695960_p.jpgSource Reuters cliquez ici

Carl Lang a annoncé mardi sa candidature à la présidentielle de 2012 au nom d'une coalition de petits partis d'extrême droite pour qui Marine Le Pen n'est plus à même de représenter "la droite nationale."

Le président du Parti de la France estime que la dirigeante du Front national a ouvert un espace sur sa droite en se déclarant "ni de droite, ni de gauche" et en prenant des "positions démagogues".
 
"Contrairement à elle, je ne suis pas à la gauche d'Obama", a ironisé l'ex-secrétaire général du FN par allusion à une récente déclaration de Marine Le Pen.
 
S'il parvient à réunir les 500 parrainages requis pour se présenter, Carl Lang pourrait priver la présidente du FN de précieuses voix dans l'âpre bataille pour l'accession au second tour de scrutin.
 
Il s'est défendu, lors d'une conférence de presse, de compter sur un coup de pouce de l'UMP ou de l'entourage de Nicolas Sarkozy, qui pourrait être tenté de lui fournir des signatures pour gêner Marine Le Pen.
 
Marine Le Pen avait estimé par avance que la candidature de Carl Lang ne devrait par lui faire de l'ombre, à l'instar de ce qui s'est passé lors des dernières élections régionales, et qu'elle lui permettrait de se démarquer de l'extrême droite. "Il faut bien que l'extrême droite ait un candidat puisque ce n'est pas moi", a-t-elle déclaré lundi sur France Info.
 
Suspendu du FN il y a trois ans, Carl Lang a choisi pour officialiser sa candidature un hôtel de la place des Pyramides, au coeur de la capitale, face à la statue de Jeanne d'Arc célébrée chaque année par l'extrême droite, mais également par Jean-Marie Le Pen et sa fille.
 
"DÉCOLONISATION DE LA FRANCE"
 
"La proximité de Jeanne d'Arc est évidemment symbolique. Je voulais présenter ma candidature au pied de la statue", a-t-il dit à Reuters.
 
Le futur candidat était entouré de l'industriel Fernand Le Rachinel, un ancien proche de Jean-Marie Le Pen qui présidera son comité de soutien, et d'une vingtaine de responsables du Parti de la France, de la Nouvelle droite populaire (NDP) et du Mouvement national républicain (MNR), fondé par Bruno Mégret.
 
Parmi eux, Roger Holeindre, un ancien "grognard" de Jean-Marie Le Pen qui a quitté le parti pour protester contre l'intronisation de la fille de ce dernier à la tête du FN.
 
Pour Carl Lang, Marine Le Pen est en train de "ringardiser le discours national" par "ses positions sur la sortie de l'euro et son discours étatiste et laïciste".
 
Son premier mot d'ordre pendant la campagne sera celui "de la décolonisation de la France et de l'Europe".
 
"Il faut rendre la France aux Français et l'Europe aux Européens", a-t-il dit en prônant une "défense intransigeante de l'identité française" et une "reconquête" dans tous les domaines.
 
A la "préférence nationale" prônée par le Front national pour les aides sociales et familiales, Carl Lang préfère ainsi l'exclusivité nationale". Il entend également défendre les entrepreneurs et le monde paysan.
 
Sur le plan européen, le président du Parti de la France milite pour "l'Europe des nations" et s'oppose à l'idée de Marine Le Pen de négocier une sortie de l'euro.
 
"Si la zone euro perdure, ce serait une faute majeure de sortir unilatéralement de l'euro", a-t-il dit.
 
Carl Lang estime que la dirigeante du FN a ouvert un espace pour une coalition qui vise 2% à 3% des voix et revendique environ 5.000 militants.
 
Les trois partis, qui prolongeront leur union lors des législatives de 2012, avaient déjà lancé des listes communes aux régionales de 2010, obtenant 3,8% en moyenne dans les sept régions où ils étaient présents.

20:35 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Présidentielle 2012 : LA DROITE NATIONALE ET IDENTITAIRE A SON CANDIDAT :

CARL LANG !

Carl Lang a annoncé ce mardi 13 septembre, au cours d'une conférence de presse à laquelle participèrent une quarantaine de media tant français qu'internationaux, qu’il se présente à l’élection présidentielle de 2012. Il souhaite réunir autour de sa candidature, une « confédération » politique, réunissant toutes les forces vives de la Droite nationale : le Parti de la France qu’il préside, le Mouvement national républicain fondé par Bruno Mégret, et la Nouvelle droite populaire de Robert Spieler, ont répondu présents.

Synthèse nationale, pour sa part, apporte aussi son soutien total à la candidature de Carl Lang. Tout au long de cette campagne, nous vous tiendrons informés de l'évolution de celle-ci.

Aussi, Carl Lang prendra la parole le vendredi 11 novembre prochain à Paris au cours de la 5ème journée nationale et identitaire organisée par Synthèse nationale.

19:59 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sénatoriales 2011 : une liste d'Union de la Droite nationale dans l'Oise menée par Thomas Joly...

67695960_p.jpgLe 25 septembre prochain se dérouleront les élections sénatoriales dans l'Oise. Celles-ci concerneront plus de 2 000 grands électeurs. Dans le cadre de l'Union de la Droite Nationale, le Parti de la France, le Mouvement National Républicain et la Nouvelle Droite Populaire ont décidé d'offrir une alternative nationale face aux listes des vieux partis du Système (UMP - PS - FN mariniste) qui n'ont pas d'autres objectifs que l'élection ou la réélection de professionnels de la politique.

Cette liste répond à la nécessité d’offrir à nos concitoyens un projet économique, social et politique de reconquête régionale, nationale et européenne.

Voici la composition de la liste d'Union de la Droite Nationale :

1. Thomas JOLY Ancien conseiller régional de Picardie, Secrétaire général du PDF, fonctionnaire de l'Éducation nationale.

2. Annie FOUET Ancienne conseillère régionale de Picardie, commerçante retraitée.

3. Johnny LE BRUN Conseiller municipal de Goincourt, commercial

4. Monique CHAPEL Ancienne conseillère régionale de Picardie, intendante de lycée privé

5. Jean-Francis BOCQUILLET Secrétaire régional du MNR, commercial retraité.

6. Solange REUZEAU Cadre de la NDP, infirmière retraitée.

09:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 13 novembre, XVIème table ronde de Terre et peuple...

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08:40 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 12 septembre 2011

DSK ET LA PAUPERISATION...

M de Poncins.jpgPar Michel de Poncins

 

Les signes de la paupérisation du peuple français s'accumulent de plus en plus. Les statistiques officielles montrent qu'en 2009 8,2 millions de personnes, soit 13% de la population, vivaient en dessous du seuil de pauvreté. En 2008, c'était moins : 7,84 millions. Un Français sur deux vit avec moins de 1580 € par mois. Certes ces statistiques doivent être lues avec prudence : il est plus évident d'être pauvre à Paris lorsque l'on a peu de revenus qu'en province avec les mêmes revenus, si par ailleurs on dispose d'une maison et d'un jardin.

 

Des indices plus sûrs et évidents existent comme la « prospérité » des restos du cœur et celle du secours catholique. Les politiques qui pilonnent l'économie française, soit pour détruire les industries et services, soit pour les chasser ailleurs, ont au moins une production qui marche bien c'est justement celle des restos du cœur.

 

Au même moment, DSK fait un retour quasi triomphal à Paris et les médias le montrent avec gourmandise pénétrant dans son magnifique logis de la place des Vosges. Ses innombrables camarades et amis de la fausse droite et de la vraie gauche sont, certes, fort embarrassés par ce retour. La présomption d'innocence existe dans le domaine pénal, ce qui n'empêche pas les rumeurs et les chuchotements.

 

UNE INCOMPETENCE MANIFESTE

 

Pour sauver l'honneur, les voici chantant ses prétendus talents et sa prétendue compétence. Mais il se trouve que la présomption d'innocence n'existe pas dans le domaine économique.

 

Dans les multiples fonctions qu'il a rempli au plus haut niveau en France, il a décidé et orchestré les plus grandes calamités : semaine de 35 heures, retraite à 60 ans, enrichissement fabuleux des politiciens, déluge fiscal, dépenses publiques illimitées, endettement en folie. Le résultat pitoyable est connu : chômage, crise du logement, délocalisations des entreprises, retraites insuffisantes, panne de la croissance et bien d'autres manifestations qui ont conduit précisément à la paupérisation rappelée ci-dessus.

 

Certes, pour sa défense, il pourrait dire qu'il n'était pas le seul et que ses amis sont étroitement solidaires de la catastrophe générale. Il ajouterait que la fausse droite, en dehors de quelques aménagements, a poursuivi la course folle et n'a nullement arrêté le double bolide des impôts et de l'endettement.

 

S'il avait, au tribunal de l'histoire, un avocat aussi talentueux que celui qui lui a permis d'éviter d'être jugé, il pourrait aussi affirmer qu'il était ignorant du mal qu'il créait par ses actions. Étant donné le degré élevé d'intelligence de ces gens, la présomption d'ignorance n'a aucun sens. Il y a eu agression contre l'économie française et agression volontaire.

 

Une autre ligne de défense pourrait être d'évoquer le consentement du peuple français s'exprimant par les votes ; cela voudrait dire qu'il n'y a pas eu de viol, comme cela aurait pu se produire dans la suite 2806 du Sofitel de New-York, si la victime n' était pas consentante.

 

L'ORCHESTRE MEDIATIQUE

 

Que se passe-t-il dans l'isoloir ? C'est là qu'intervient dans l'analyse un autre facteur, à savoir l'orchestre médiatique. Les médias en France sont à la fois créateurs et complices des calamités publiques ; ils sont étroitement imbriqués avec les politiques et forment avec ces derniers un ensemble cohérent, imposant une censure d'autant plus impitoyable qu'elle est apparemment douce. La situation est donc étrange : il n' y pas eu viol puisque le peuple a voté. Mais le consentement a été obtenu grâce à la complicité de l'orchestre médiatique, lui-même arrosé généreusement par les impôts arrachés aux victimes-contribuables-électeurs.

 

La même propagande célèbre le rôle de DSK à la tête du FMI. Les tribulations récentes ont permis d'admirer sur les écrans la magnificence de cette organisation qui, avec ses 14 000 employés, n'est que l'une des multiples et luxueuse succursales du pouvoir totalitaire mondial en voie d'édification rapide.

 

Au même moment, nous avons le spectacle de la misère que ce FMI impose cruellement au peuple grec, soi-disant pour le « sauver ». C'est une pratique courante de cette organisation. Là aussi la présomption d'ignorance n'existe pas.

 

Comment ce personnage incompétent est-il arrivé à la tête du FMI ? Peu de gens se souviennent que pendant plusieurs mois les affaires étrangères de la France ont été mises au service de sa nomination et, de même, récemment de celle de Madame Christine Lagarde. Dans les affaires étrangères rien n'est gratuit et tout se paye ; personne ne peut connaître les contreparties que la France a du donner pour ces deux nominations correspondant aux caprices et intérêts du pouvoir en place.

 

LES IMPOTS FRAPPENT SURTOUT LES PAUVRES

 

La paupérisation évidente du peuple français met en évidence un fait que peu admettent, à savoir que les impôts frappent en priorité les pauvres. En effet, ces derniers deviennent pauvres précisément à cause des impôts qui détruisent les créateurs de richesse, ceux qui font tourner la machine.

 

Les simples précaires, qui arrivent seulement à vivoter risquent à leur tour de tomber dans la trappe de la pauvreté. A mesure que les gens s'élèvent dans la richesse, l'impôt devient de moins en moins pesant. S'ils accèdent à la grande richesse, l'impôt n'existe plus puisqu'ils peuvent s'évader parfaitement légalement pour échapper à l'enfer fiscal.

 

La France en ruine, le désastre du FMI : décidément les camarades ont bien de l'audace à essayer de redonner du lustre à leur encombrant ami. En fait, ce n'est que le reflet de leur propre solidarité à la fois dans l'incompétence et dans ses résultats.

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Vendredi 11 novembre : 5ème Journée nationale et identitaire de Synthèse nationale à Paris :

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La rentrée de Marine Le Pen entre espoirs et angoisses...

marinelepen5_kzc862vezz4gckc8k0ws4oos_brydu4hw7fso0k00sowcc8ko4_th.jpgSource Media libre cliquez ici

Les « Journées d’été » de Marine Le Pen, variante des « universités d’été du FN » permettant une prise en compte dans les frais de campagne, ont démarré samedi à Nice, dans un climat pour le moins tendu. La ligne laïcardo-sioniste de sa fille, ainsi que le comportement de certains de ses proches, qu’il s’agisse de Louis Aliot ou « du » Secrétaire Général Steeve Briois n’ont en effet pas l’heur de plaire au Président d’Honneur, ni à nombre de cadres.

L’affaire Ozon est encore dans tous les esprits, d’autant que les raisons de son départ sont connues de tous en haut lieu, tant en privé l’ex conseiller de Marine ne fait pas mystère des véritables raisons qui l’ont conduit à démissionner. Parmi celles-ci, l’omniprésence autour de Marine d’éléments maçonniques selon lui à la solde de la CIA, mais aussi le travail de sape de Louis Aliot qui n’a de cesse que d’éloigner tout élément un tant soit peu talentueux et influent.

Autre sujet de brouille, donc, habituel, le travail du Secrétaire Général Steeve Briois, désormais totalement carbonisé. Unanimement décrié comme incompétent, celui-ci ne doit son salut qu’à l’obstination de la Présidente, qui se sent sécurisée par son réseau hétérophobe.

Les derniers sondages, assez contradictoires et situant la candidate à l’élection présidentielle entre 11 et 17 %, contre 20 à 24 il y a quelques semaines, inquiètent par ailleurs les cadres. Difficile de dire en effet, dans un contexte aussi favorable, si cette décrue est conjoncturelle ou liée à un déficit de présidentialisme de la fille du fondateur du parti.

Ambiance maussade donc, sans jeu de mot, pour l’ouverture de ces journées d’été qui n’ont accueilli que 4 à 500 personnes, performance particulièrement faible pour une rentrée de campagne présidentielle. D’autant que l’université des jeunes, qui précédait, n’avait accueilli qu’une quarantaine de clampins. Sans qu’aucun média officiel ne le souligne…

Mais la présidente du Front national et ses afficionados se réjouiront de son petit coup médiatique puisqu’elle a reçu les compliments de l’ancien patron des Renseignements généraux, Yves Bertrand, ce qui constitue un pas de plus vers la normalisation rêvée.

Dans un entretien avec la journaliste Elisabeth Lévy (!) sur le site Causeur.fr, l’ancien patron des RG, figure de la « chiraquie », estime que la droite doit « en finir avec la diabolisation » de Marine Le Pen et conclure aux législatives des accords avec le FN. En d’autres termes, la « fin du cordon sanitaire » dont Jacques Chirac était l’un des plus fervents défenseurs.

Patron des RG de 1992 à 2004, en froid avec Nicolas Sarkozy qui l’a soupçonné d’avoir joué un rôle dans l’affaire Clearstream, Yves Bertrand qualifie la fille de Jean-Marie Le Pen de « respectable », « républicaine » et appelle à réintégrer le FN « dans la famille » de droite.

Marine Le Pen s’est vivement félicitée de ces propos, manifestement attendus et préparés. Il semble que certains réseaux maçonniques roulent désormais pour la patronne du FN. « Je vais demander à Gilbert Collard », « de solliciter Yves Bertrand pour entrer au comité de soutien de ma candidature », a d’ailleurs proposé la candidate. Une des personnes jouant un rôle clé dans ces nouveaux réseaux, où l’on retrouve maçons laïcards et sionistes de droite, semble être Shana Aghion, laquelle travaille pour le compte d’une agence israélienne de sécurité, chargée notamment de la sécurité et de la garde rapprochée de personnalités du monde entier. Elle est bien entendu accréditée par le ministère de la Défense israélien, donc par le Mossad.

Les dossiers du Canard enchaîné évoquent des rencontres régulières dans une récente livraison consacrée à Marine Le Pen, sous le titre « Les dégâts de la Marine ». D’autres recrues du même tonneau sont annoncées dans les semaines qui viennent sur le comité de soutien de la candidate.

Entre parti exsangue et profondément divisé, sondages flageolants d’un côté, et contexte ultra-favorable de l’autre, difficile de dire de quel côté va pencher la balance, qui, lorsqu’elle penchera, risque de pencher fort. Le choix du candidat socialiste, l’évolution des enquêtes d’opinion dans les deux prochains mois, nous permettront d’y voir plus clair.

La Présidente devrait prononcer un discours demain, lequel sera scruté de près par les observateurs. Ce discours ayant lieu le 11 septembre, il sera intéressant de noter ce qu’en dira la candidate, mais aussi si les médias décident ou non de l’interroger sur ce sujet brûlant…

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Mercredi 28 septembre, Carl Lang sera dans l'Oise...

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dimanche, 11 septembre 2011

11, 12 et 13 novembre 2011 : retenez ces dates...

Vendredi 11 novembre, de 11 h à 18 h, à Paris : 

5ème journée nationale et identitaire de Synthèse nationale

Samedi 12 novembre, de 14 h à 18 h, à Paris :

5ème Conseil national de la Nouvelle Droite Populaire

Dimanche 13 novembre ; de 10 h à 18 h, à Villepreux (78) :

16ème Table ronde de Terre et peuple

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Forbach : Fouad s'agite, Guéant acquiesce, la racaille islamo-anarcho-stalinienne a le droit de manifester et les forces patriotiques sont interdites de paroles...

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Le Républicain Lorrain

La manifestation contre « l’islamisation de la Lorraine » prévue, demain soir à Forbach, a finalement été interdite par le préfet de région en raison de risques importants de trouble à l’ordre public.

Après avoir, dans un premier temps autorisé la manifestation anti-islam appelée par la Nouvelle droite populaire (NDP), demain à Forbach, le préfet de Région a publié, hier, un arrêté d’interdiction. La décision est tombée tôt dans la matinée sur intervention du ministère de l’Intérieur. « Tant qu’il n’y avait pas menace de trouble à l’ordre public, nous respections le droit constitutionnel à manifester », précisait-on, hier, en préfecture où l’on ne souhaitait pas faire de publicité à un rassemblement jugé marginal qui avait réuni, le 11 septembre 2010, une quinzaine de personnes. Mais la mobilisation des organisations de gauche, avec en première ligne les arnarcho-syndicalistes de la CNT (Confédération nationale du travail), qui ont mis en place une cellule de veille sur les sites et blogs de l’extrême droite, a changé la donne.

« Nous avons su créer un rapport de force », note Fouad, membre de la CNT qui a très tôt appelé à une contre-manifestation à laquelle s’était invitée la FAO, équivalent allemand de la CNT. Depuis plusieurs jours, la presse Outre-Rhin s’est fait l’écho du rassemblement des militants de la Nouvelle droite populaire qui, depuis deux ans, tente d’installer ce rendez-vous chaque 11 septembre. Ce dernier est censé rappeler les attentats de New-York en 2001 et plus anciennement une bataille du XVIIe siècle aux portes de Vienne entre les troupes du roi de Pologne et les Ottomans. Mais le vernis commémoratif ne fait pas illusion. L’objectif est clairement ailleurs : dans une stigmatisation clairement exprimée dans le slogan phare de la marche annoncée comme silencieuse : « Non à l’islamisation de la Lorraine ».

Risque de contagion

À l’extrême-droite, le parti identitaire « pro Deutschland » avait également assuré la NDP de son appui logistique. La mobilisation de plus en plus forte, le radicalisme des groupuscules allemands, le risque de contagion au quartier populaire du Wiesberg, lieu de rendez-vous des contre-manifestants et l’inquiétude formulée par les sénateurs socialistes ont convaincu les autorités d’interdire le rassemblement. Dans son arrêté, Christian de Lavernée, préfet de la région Lorraine, fait état « d’un risque réel de troubles à l’ordre public susceptibles de se produire et de se propager dans la commune ». Laurent Kalinowsli, maire socialiste de Forbach, se dit « satisfait de cette décision » qu’il a appelée de ses vœux par courrier. « Notre cité doit retrouver sa sérénité, elle ne pouvait être l’otage de l’instrumentalisation par un groupuscule d’extrême droite ». « C’est scandaleux que les Français n’aient pas le droit d’exprimer leur droit à la résistance nationale », s’emporte Robert Spieler, ancien député FN originaire de Sarreguemines et aujourd’hui délégué général de la NDP. Il demande néanmoins à ses militants de respecter la décision préfectorale et de renoncer à cette commémoration de façade. La contre-manifestation est, en revanche, maintenue. Elle pourrait contrarier « le retour à la sérénité » souhaitée par le maire de la ville.

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CRISE FINANCIERE OU FAILLITE DEPENSIERE...

images (2).jpgPar Pierre Descaves

Nos dirigeants, de droite comme de gauche, ont élevé le mensonge, la désinformation, à la hauteur d'une institution.

Durant tout l'été ils nous ont accablés de la démonstration de leur gabegie, de leur incompétence, de leur incapacité de faire face aux réalités.

Réunis au sein de cette Europe funambulesque, gérée par des eurocrates aussi incompétents qu'irresponsables, ils avaient considéré que certains critères de gestion devaient être respectés.

Le traité de MAASTRICHT, voté par la France grâce à la prostate providentielle du Président François MITTERRAND, avait fixé à 3 % le déficit maximum du budget annuel des Etats, et à 60 %, le maximum de l'endettement public à ne pas dépasser.

Cela démontrait déjà une incompréhension des obligations naturelles, destinées à présenter une gestion responsable, aux contribuables.

Le déficit tolérable en économie ne saurait concerner le règlement des dépenses courantes. Celles-ci doivent être couvertes par les recettes annuelles courantes.

Un déficit n'est justifiable que s'il s'agit de couvrir des dépenses d'investissements dont les fruits, à venir, sont répartis sur plusieurs années.

Le critère du déficit budgétaire de 3 %, était déjà une hérésie, en bonne gestion économique.

Mais ce que l'on a constaté, seulement au moment de la récente crise, c'est que ce critère déjà anormal, n'avait pas été observé et que, la plupart des Etats de l'Europe, l'avaient très largement dépassé.

Les déficits budgétaires se sont échelonnés de 3,3 % pour l'Allemagne, le bon élève, à 14 % pour la Grèce, le très mauvais élève et à 7 % pour la France, le mauvais élève.

Bien évidemment ces déficits ne pouvaient être couverts qu'au moyen d'emprunts publics devenant, d'année en année, de plus en plus lourds.

Et l'on en est arrivé, au lieu des 60 % fixés par le Traité de MAASTRICHT à des déficits de 85,6 % pour la France, 100 % et plus pour l'Italie, l'Espagne, le Portugal notamment et 139 % pour la Grèce championne en la matière.

Ces dettes, appelées « dettes souveraines » car dettes des Etats, doivent, chacun peut le comprendre, être remboursées et les emprunts le sont sur un certain nombre d'années. Chaque année, l'Etat endetté, doit payer une échéance comprenant capital et intérêt.

Plus le crédit est étalé, dans le temps, moins l'échéance annuelle est élevée. Ceux des particuliers qui ont emprunté savent de quoi il s'agit.

Voilà les principes, mais, ce qui a dérapé, ce sont les applications pratiques.

Les emprunts d'Etat sont souscrits, depuis la disparition volontaire des banques d'Etat, chez nous la « Banque de France », auprès des banques privées et des organismes de crédit. Cela a un coût, c'est l'intérêt du prêt dont le taux est apprécié en fonction du risque encouru.

Ainsi, d'année en année, avec l'accroissement du risque d'insolvabilité, les taux des intérêts ce sont accus, pour atteindre des sommets de plus de 10 % et parfois de plus de 20 % (Grèce).

Il est facile de comprendre que l'accumulation du déficit annuel et de l'augmentation de la charge de l'emprunt rendaient le redressement financier du pays illusoire.

D'où l'affolement estival des responsables de cette situation, qui durent mettre en œuvre des solutions de pure façade, destinées à dissimuler leur incompétence.

Les mesures décidées n'ont pas consisté à revenir à des principes de saine gestion budgétaire de « père de famille », mais à trouver de simples palliatifs, afin de donner l'illusion aux peuples, que la situation était rétablie et que le spectre du « défaut de paiement », c'est-à-dire, en terme usuel, de la « faillite » avait été écarté.

Il fut décidé que les Etats de l'Europe de l'euro (17 Etats) prendraient en charge une partie des dettes de la Grèce, au moyen de prêts consentis par la « Banque Centrale Européenne », sous la garantie des autres Etats.

Le taux de ces prêts fut ramené de 4,5 % à 3,5 % et vous verrez que, rien n'étant au fond résolu, on en viendra au taux zéro qui était celui de la « Banque de France », pour les emprunts de l'Etat.

Parallèlement, la durée des prêts passa de 7 ans à 15 ans et, pour la Grèce, à 30 ans. La fin du cycle sera atteint lorsque la durée sera fixée à 100 ans.

Vous comprenez que, globalement, rien n'est résolu car le poids des emprunts est resté inchangé, même si les créanciers ne sont plus les banques privées, mais la B.C.E.

La charge annuelle est allégée au détriment de la communauté. Une partie de la dette Grecque, envers les banques privées, a été rachetée, à 60 % de sa valeur, par la B.C.E. Cette perte financière de 12,7 milliards d'euros, sera sans doute récupérée par les banques (dividende oblige) auprès de leur clientèle privée, donc des contribuables.

L'Allemagne a évalué sa perte de trésorerie à 43 milliards d'euros et la France à 15 milliards d'euros. Devinez qui va devoir compenser cela ?

Déjà le Gouvernement étudie, un accroissement des recettes fiscales, pour couvrir ces pertes et pour réduire son déficit annuel. Ce sont donc les contribuables qui devront encore payer.

Il n'est pas venu à l'idée de nos dirigeants de réduire les dépenses de l'Etat, en s'attaquant par exemple aux 70 milliards d'euros que nous coûte l'immigration ou aux si nombreux autres milliards de subventions distribuées, à tort et à travers, à tout demandeur bien introduit.

Il n'a pas été prévu, non plus, de dissoudre ces multiples organismes, aussi inutiles que malfaisants (il y en a plus de 1.000) qui servent à placer les petits copains dont les électeurs n'ont plus voulus.

Alors citoyens criez avec moi : ASSEZ de Gabegie. DEHORS les incapables.

Source France Résistance cliquez ici

11:02 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sarkubu : la guerre pour faire oublier l'austérité !

3617318008.jpgPar Yves Darchicourt

On sait bien que le plan de rigueur qui vient d'être imposé par le Gouvernement Sarközy à ses godillots n'est en fait qu'un premier volet "pédagogique" pour mettre le citoyen en condition, pour le préparer psychologiquement à subir un plan bis que l'on sera bien obligé cette fois d'appeler plan d'austérité et qui frappera durement les Français notamment et probablement par une hausse sensible de la pression fiscale en général et de la TVA en particulier.

Or, Sarközy mise évidemment sur une ré-élection acquise gràce au grand guignol des rivalités au sein de la Gauche où l'on a plus tendance à sodomiser les diptères qu'à proposer des mesures salvatrices crédibles, gràce à sa victoire en Libye - acquise sans gloire par une forte coalition à l'armement ultra-moderne sur un pays de 8 millions d'habitants en proie à la guerre civile - qui fait oublier l'enlisement mortel en Afghanistan et, gràce à la venue prochaine de l'héritier du trône : les Te Deum médiatico-people qui glorifieront la divine naissance pouvant faire eux oublier le bilan désastreux de l'élyséen.

Et c'est sans doute en prévision de lendemains difficiles sur le plan intérieur que Sarközy croit bon de donner allègrement dans le va-t-en-guerre. On a ainsi pu l'entendre dire que le "président syrien Bachar al-Assad a commis l’irréparable. La France, avec ses partenaires, fera tout ce qui est légalement possible pour que triomphent les aspirations du peuple syrien à la liberté et à la démocratie" et assurer que l' Iran a des "ambitions militaires, nucléaires et balistiques qui constituent une menace croissante qui pourrait conduire à une attaque préventive contre les sites iraniens, qui provoquerait une crise majeure" *. Bref, l'ubuesque n'hésitera pas à envoyer les soldats de notre armée financièrement exangue (paraît-il en rupture de stock pour certaines munitions) en Syrie et en Iran où on sait bien que l'épreuve sera infiniment plus dure qu'en Afghanistan.

Rien ne vaut une crise internationale gravissime et mieux encore un engagement militaire d'importance pour que le citoyen se sente tenu de faire corps avec son Gouvernement même s'il le voue aux gémonies par ailleurs. C'est sans doute le pari dangereux de notre petit chef des armées dont on peut pourtant craindre que les compétences en matière stratégique ne dépassent pas niveau des mômeries style guerre des boutons. On pourrait s'en gausser si ce n'était là faire bon marché de la vie de jeunes français et de l'avenir de notre pays. 

* déclarations du 30 août dernier, sources : Infoguerilla (cliquez là) via Contre-Info.fr (cliquez ici 

10:33 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 10 septembre 2011

Les 11 et 12 septembre 1683 : la bataille et la libération de Vienne...

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Par Renato Cirelli

Traduction de l’espagnol par Angel Esposito

Le 12 septembre 1683, la civilisation européenne, combattante, se sauvait du péril ottoman. L’union des princes européens a sauvé notre civilisation du danger mortel que constituait l’Empire ottoman en reprenant Vienne, encerclée par les troupes innombrables de Kara Moustapha. Un siècle et demi auparavant, Vienne avait été assiégée une première fois. Le Roi d’Espagne s’était rangé du côté des Autrichiens. De même à l’époque de la Bataille navale de Lépante, l’Espagne et le Saint-Empire avaient fait cause commune contre l’invasion barbare des Ottomans.

Le scénario politico-militaire de la seconde moitié du 17ième siècle était inquiétant, les guerres se succédaient et aucune paix ne semblait se dessiner à l’horizon; ce fut un siècle terrible, un siècle de malheurs, qui a marqué l’Europe à jamais. La Guerre de Trente Ans (1618-1648) avait commencé comme une guerre de religions mais s’était poursuivie par un conflit entre la maison royale de France, les Bourbons, et les Habsbourgs. (…) Les Traités de Westphalie de 1648 sanctionnent l’affaiblissement définitif du Saint Empire Romain en Allemagne, territorialement mutilé et divisé entre catholiques et protestants, fractionné politiquement; en Europe, le Roi de France Louis XIV (1638-1715) détient une hégémonie de fait. Le rôle prépondérant qu’il joue sur le continent induit le “Roi-Soleil” à briguer la couronne impériale et, dans cette perspective, il n’hésite pas à s’allier avec les Ottomans (…).

L’offensive turque

L’Empire ottoman, qui avait déjà conquis les pays balkaniques et s’était installé dans la plaine hongroise, avait été toutefois contenu dans ses tentatives d’expansion, le 1 août 1664, par les armées impériales commandées par le Lombard Raimundo Montecuccoli (1609-1680) à la Bataille de Saint-Gotthard en Hongrie.

Mais rapidement, les Ottomans se remettent de cette défaite, sous l’énergique impulsion du Grand Vizir Kara Moustapha (1634-1683) et reprennent leurs offensives, encouragés inconsciemment pas la politique de Louis XIV, résolument anti-habsbourgeoise, et par la faiblesse du Saint-Empire et de l’Europe toute entière.

Seule la République de Venise combattait efficacement les Ottomans à l’époque, le long des côtes de l’Egée, en Grèce et en Dalmatie. Ce fut un combat impavide et glorieux, la dernière guerre que la Sérénissime République mènera en tant qu’Etat indépendant. Cette guerre s’achèvera par la chute de Candia en 1669, défendue héroïquement par Francisco Morosini, dit du Péloponnèse (1618-1694).

Après la Crète, la Podolie, partie de l’actuelle Ukraine, est arrachée en 1672 à la Pologne et, en janvier 1683, à Istanbul, les étendards de guerre sont tournés vers la Hongrie. Une immense armée se met en marche en direction du coeur de l’Europe, sous le commandement de Kara Moustapha et du Sultan Mehmet IV (1642-1693), dont les intentions étaient claires : créer une “grande Turquie européenne et musulmane” dont la capitale serait Vienne.

Les forces impériales, peu nombreuses et appuyées seulement par les milices urbaines et rurales hongroises, commandées par le Duc Charles V de Lorraine (1643-1690), tentèrent de résister mais en vain (…).

Les cloches sonnent pour avertir l’Europe du danger turc

Le 8 juillet 1683, l’armée ottomane quitte la Hongrie et s’avance en direction de Vienne, installe son campement autour de la ville le 13 et commence le siège. Pendant la progression de cette armée, les régions traversées sont dévastées, les villes et les fermes sont mises à sac, les églises et les monastères détruits, les populations autochtones de confession chrétienne sont soit massacrées soit réduites à l’esclavage.

L’Empereur Léopold Ier (1640-1705), après avoir confié le commandement militaire de la place de Vienne au Comte Ernst Rüdgier von Starhemberg (1638-1701), quitte la ville et s’installe à Linz (…).

Dans tout l’Empire, les cloches sonnent à toute volée pour signaler l’arrivée des Turcs, comme en 1664 et un siècle auparavant. Alors commence la mobilisation de toutes les ressources du Saint Empire, tandis que l’Empereur négocie fébrilement pour faire convoquer tous les Princes, catholiques comme protestants. (…) Il sollicite l’intervention immédiate de l’armée polonaise, invoquant la nécessité suprême de sauver l’Europe (…).

Le siège de Vienne

Pendant ce temps, à Vienne, submergée par les réfugiés, commence le “chemin de croix” que constitue le siège. La ville tiendra, héroïquement. Six mille soldats et cinq mille miliciens urbains, isolés du reste du monde, vont s’opposer à une immense armée ottomane, soutenue par 300 canons. Toutes les cloches de la ville sont réduites au silence, sauf celles de la Cathédrale Saint Etienne, que l’on appelle l’Angstern, l’”angoisse”, qui, de ses battements incessants, convie les défenseurs à exécuter leurs tâches. Les assauts contre les murailles de la ville, les batailles au corps à corps se succèdent jour après jour et chaque jour semble être le dernier... mais les secours sont en route.

Avec la bénédiction du Pape et sous la direction de l’Empereur, qui prend la tête de ses armées, les troupes impériales avancent à marches forcées vers la ville assiégée. Le Roi de Pologne Jean III Sobieski (1624-1696) se joint à elles, car, par deux fois déjà, il a sauvé la Pologne des Turcs. Finalement, le 31 août il opère sa jonction avec les troupes du Duc Charles de Lorraine, qui exerce le commandement suprême.

Quand Impériaux et Polonais ont conjugué leurs forces, l’armée chrétienne-européenne marche enfin sur Vienne, où la situation est vraiment dramatique. Les Turcs ont ouvert des brèches dans les murailles et les défenseurs survivants, après avoir repoussé dix-huit attaques et effectué vingt-quatre sorties, sont totalement épuisés. Les janissaires ne cessent d’attaquer, exaltés par les imams. Les cavaliers tatars ravagent l’Autriche et la Moravie.

Le 11 septembre, Vienne vit dans l’angoisse : elle a l’impression qu’elle vit ses dernières heures de liberté. Le Comte Starhemberg envoie à Charles de Lorraine un ultime message désespéré : “Ne perdez pas de temps, mon très clément Seigneur!”.

La bataille

Le matin du 12 septembre 1683, le Vénérable Marco d’Aviano célèbre la messe et le Roi de Pologne y fait fonction d’acolyte. Il bénit ensuite l’armée massée à Kahlenberg près de Vienne : 65.000 soldats européens-chrétiens vont affronter sur un champ de bataille 200.000 Ottomans.

Les princes de Bade et de Saxe, les Wittelsbach de Bavière, les seigneurs de Thuringe et du Holstein sont présents à la tête de leurs troupes; viennent ensuite les Polonais et les Hongrois, le Général Comte italien Enea Silvio Caprara (1631-1701) ainsi que le jeune Prince Eugène de Savoie (1663-1736) qui va connaître son baptême du feu.

La bataille va durer toute la journée et se terminer par une terrible charge à l’arme blanche, conduite par Jean Sobieski en personne; elle met les Ottomans en fuite et donne la victoire à l’armée européenne. Celle-ci ne perd que deux mille combattants, tandis que les Ottomans doivent en déplorer 20.000. L’armée du Sultan prend la fuite en désordre, abandonnant son butin et son artillerie, après avoir massacré les prisonniers et esclaves chrétiens. Le Roi de Pologne envoie au Pape les bannières capturées, en les accompagnant de ces paroles : “Veni, vidi, Deus vincit” (“Je suis venu, j’ai vu et Dieu a vaincu”)(…).

Le jour suivant, l’Empereur entre dans Vienne, joyeuse et libérée, à la tête des princes du Saint Empire et des troupes confédérées (…).

Le ressac de l’Islam

La victoire de Kahlenberg et la libération de Vienne sont le point de départ de la contre-offensive des Habsbourg contre les Ottomans dans l’Europe danubienne, ce qui conduira, au cours des années suivantes, à la libération de la Hongrie, de la Transylvanie et de la Croatie, permettant à la Dalmatie de se joindre à Venise. C’est le moment historique où se manifeste de la manière la plus éclatante la vocation et la mission de la Maison d’Autriche, qui consistaient à libérer et à défendre l’Europe dans le Sud-est du continent. Pour réaliser cette mission, elle a mobilisé sous la bannière impériale romaine-germanique des Allemands, des Hongrois, des Tchèques, des Croates, des Moraves, des Slovaques, des Italiens, des Roumains, des Lorrains, des Savoisiens, des Franc-Comtois, des Flamands, des Wallons, des Luxembourgeois, des volontaires irlandais et arméniens, alliés aux Polonais et aux Vénitiens (…).

La Grande Alliance a donné vie aux projets du Pape Innocent XI, qui entendait s’inscrire dans la tradition d’un énergique prédécesseur, Saint Pie V (1504-1572), artisan de la victoire navale des Européens à Lépante, le 7 octobre 1571. La Bataille de Vienne constitue un tournant majeur dans l’histoire européenne, si bien qu’on peut parfaitement la comparer à la fameuse Bataille de Poitiers de 732, emportée par le chef austrasien Charles Martel (688-741), qui a arrêté l’avance des Arabes vers le Nord. Rappelons également que l’alliance reconduite en 1684, ratifiée sous le nom de Sainte Ligue, a sanctionné une alliance unique entre Allemands et Polonais, a redoré le blason de l’Empire exsangue après la Guerre de Trente Ans, a rapproché Protestants et Catholiques grâce à la clairvoyance et à la diplomatie d’un grand Pape, bien décidé à réaliser l’objectif qu’il s’était donné : libérer l’Europe des Turcs.

En cette année s’est forgée une fraternité d’armes entre tous les peuples de l’Europe christianisée, ce qui a permis une grande croisade victorieuse, qui a éliminé définitivement le danger mortel de l’ottomanisme. Force est de constater tout de même que ce danger millénaire, une fois écarté, a été vite oublié. Mais le siège de Vienne doit nous rappeler que, toujours dans nos mémoires, les cloches qui sonnent pour mobiliser l’Europe contre le péril turc et islamique ne doivent jamais cesser de sonner.

Source Polemia cliquez ici

15:27 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Taxe "Sodas" : le prétexte sanitaire...

1451482962.gifPar Yves Darchicourt

Dans un entretien sur RTL jeudi soir, Valérie Boyer - élue UMP des Bouches du Rhône - a vertement condamné l'annonce faite par la firme Coca-Cola de riposter à la taxe "sodas" par le gel de ses investissements dans son usine des Pennes-Mirabeau, une "menace" d'ailleurs démentie par la direction "Europe" du Groupe.

Réaction justifiée à l'égard d'une multi-nationale qui, si elle fournit des emplois en France, y réalise aussi d'énormes bénéfices. Mais, dans la foulée, la dame a justifié une politique "dirigiste" de l'Etat dans l'alimentation des citoyens par le biais de taxes qui dissuadent le vulgaire d'ingérer des produits considérés comme nuisibles à sa bonne santé et que les campagnes d'information n'empêcheront pas de continuer à absorber par véritable obstination diabolique... sauf à le toucher au porte-monnaie évidemment. Une ingérence étatique dans les verres et les assiettes citoyens rendue nécessaire par la véritable épidémie d'obésité qui toucherait le pays et grèverait sa sécu... mais qui aura surtout l'intérêt bien compris de rapporter gros à l'Etat (la dame n'a pas envisagé par exemple d'éxonérer de TVA les boissons sans sucres ajoutés pour les rendre sainement compétitives).

On aurait pu lui rétorquer par ailleurs que les boissons ultra-sucrées ne sont pas seules responsables de l'obésité et que la sédentarité y est aussi pour beaucoup. C'est finalement sans doute préférable : cela aurait pu lui donner l'idée de faire instaurer des péages pour l'utilisation des ascenseurs, escalators et autres tapis roulants attentatoires à l'effort physique. Et puis, on ne sait pas trop si crever les bulles de sodas va contribuer pour beaucoup à combler le déficit de la branche maladie de la Sécurité Sociale... dans ce secteur, il y aurait bien la piste de l'incidence néfaste de l'immigration mais le problème n'est pas seulement évoqué, ni à l'UMP, ni au PS ! 

11:00 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Retour sur le procès de Montbelliard... la mobilisation continue !

Blason Franche Comté.jpgPar Gaëtan Perret

Tous à vos agenda : Le procès qui m’est intenté  pour « provocation à la haine et à la discrimination raciale » par la LDH, et soutenue par un collectif d’une dizaine de partis, associations ou syndicat, faisant ainsi très « front unique ouvrier » cher à Trotski, a été renvoyé à la date du 8 décembre à 9 heures.

Pierre Cassen, (également poursuivi par la LDH pour 2 textes sur l’islamisation de la France) dans un article publié sur Media France libre (cliquez ici), note l’incroyable acharnement que subissent ceux qui osent remettre en cause deux dogmes sacrés, en France et en Europe, sur la réalité de l’immigration et de l’islam.

Exemple significatif, en Suisse, alors qu’il débattait lundi 5 septembre avec le directeur du centre islamique de Genève Hani Ramadan, Oskar Freysinger s’est fait entarté par un étudiant Suisse et protestant de 23 ans. Par ce geste, il a voulu montrer son désaccord face à l’intolérance supposée d’Oskar. Pourtant, c’est bien Hani Ramadan qui, dans un article (cliquez ici) publié dans le journal Le Monde en 2002, justifie la lapidation des femmes, prétend que le sida est une punition divine, et milite ouvertement pour une société dominée par la loi islamique, en Suisse comme ailleurs. Mais pour l’entarteur, le véritable danger est Oskar Freysinger et son combat pour une société sans racisme et sans charia, où l’humanisme, la liberté d’expression et la fraternité prédominent.

« En agressant physiquement et verbalement les résistants à l’islamisation de nos pays » écrit Pierre Cassen en évoquant le Front Comtois, « en les trainant honteusement devant les tribunaux, ces prétendus « antifa » montrent leur vrai visage. Ils n’ont aucune culture démocratique, ils sont incapables d’envisager une société où le peuple soit suffisamment mature pour trancher, après avoir entendu tous les points du vue. »

En relayant le terme « islamophobie », ces crétins gauchistes, encore fascinés par les modèles totalitaires comme Staline, Mao, Pol Pot,  jouent la partition des islamistes qui entendent instituer le délit de blasphème, en amalgamant toute critique de l’islam à du racisme, et nous prépare ainsi à la dictature de la charia.  (Lire l'article de Pierre Cassen cliquez ici).

 Tous au tribunal de Montbéliard jeudi 8 décembre à 9 heures !

Source Front comtois cliquez ici

10:48 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 09 septembre 2011

Manifestation interdite à Forbach : la réaction de Robert Spieler...

Robert Spieler 6.jpgRéaction de Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire :

La Nouvelle Droite Populaire, dont je suis le délégué général, avait décidé d’organiser une manifestation à Forbach (Moselle), dimanche 11 septembre, pour commémorer le souvenir de ceux qui sont morts, il y a dix ans, dans les attaques terroristes visant les twin towers à New York. Cette manifestation avait aussi comme objectif de rendre hommage à Charles V, duc de Lorraine qui contribua, le 11 septembre 1683, à repousser les Turcs qui menaçaient Vienne. Cette manifestation signifiait aussi notre refus de voir l’islamisation de l’Europe.

Dans un premier temps, elle fut autorisée par les autorités, avant que les hordes ne se missent à couiner d’importance. Le maire socialiste de Forbach, les sénateurs socialistes de Moselle, la CFDT, la CGT, la FSU, l’UNSA et de multiples organisations de gauche demandèrent, non, pardon, exigèrent l’interdiction de la manifestation. Devinez ce qui se passa ?  Le ministère de l’Intérieur se coucha et vient d’interdire la manifestation au motif de risques quant à l’ordre public. Voilà où nous en sommes aujourd’hui en France… Mais peu importe.

Le combat pour la libération de la France et de l’Europe ne fait que commencer. Sans haine ni violence, nous disons à ceux qui occupent indûment notre terre : la France doit rester française et l’Europe, européenne. Nous ne voulons pas d’une Lorraine turque, d’une France algérienne, ni d’une Europe africaine. Demain, vous devrez repartir…

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