vendredi, 29 août 2014
Un gouvernement affairo-féministe. Retour sur le gouvernement de la conjonction des pires
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Le Valls 2 confirme toutes nos analyses sur l’état du Ps et de la gauche. Elle renonce au socialisme et se soumet à l’ordre financier international. Un ministre de l’économie aux gènes de banquier rotchildien en est presque une démonstration par l’absurde. Certes le socialisme type Montebourg est un échec, mais il avait une dimension nationale. Le Ps se voulait un temps international, il n’est plus comme la finance, que cosmopolite. Au niveau économique on a donc le pire, la soumission, que dire la reddition sans condition à la finance internationale qu’Hollande voulait mettre au pas.
Incapable d’agir sur l’économie cette gauche de gouvernement tente de calmer son électorat par une fuite sociétale. On fait de la surenchère gauchiste. On fait du féminisme idéologique pour détruire les fondations des traditions qui ont fait notre civilisation, notre pays et encore pour certains ce que nous sommes. Taubira est maintenue comme symbole d’une obsession anti colonialiste pour qui le diable est le « male blanc ». C’est, dans un domaine élargi à l’éducation nationale, la vision de Najat Valaud Belkacem. La guerre contre différences naturelles et culturelles au profit d’un genre unique mais défavorables aux garçons va être relancé. Histoire, orthographe, notation, tout est à craindre de ce ministre de la diversité dans l’uniformité.
Ce gouvernement les Français n’ y croient pas
Près des deux tiers des Français se déclarent mécontents de la composition du gouvernement et la moitié d’entre eux (51%) sont insatisfaits de la reconduction de Manuel Valls à Matignon, selon un sondage Ifop-Fiducial pour Sud-Radio diffusé mercredi. A l’opposé, 37% affirment qu’ils sont satisfaits de la composition du nouveau gouvernement, et 49% par la reconduction du Premier ministre.
Les Français sont partagés sur le passage de Najat Vallaud-Belkacem au ministère de l’Education nationale (41% satisfaits, 43% mécontents), ainsi que sur la nomination d’Emmanuel Macron (28% satisfaits, 30% mécontents, 42% ne le connaissant pas suffisamment). Enfin la majorité des Français souhaite la dissolution de l’Assemblée nationale: 55%, contre 20% qui ne la souhaitent pas et 16% qui ne se prononcent pas. »
Le « putsch rikiki » du président et de son premier ministre risque fort de rater son objectif. La finance et les patrons semblent contents, les talibanes sans doute aussi. Mais Macron est attendu au tournant et la nomination de Najat Vallaud Belkacem ressemble à une fuite en avant d’une gauche qui, s’étant reniée économiquement, tente de changer la société autrement. Mais cet autrement, les Français en veulent encore moins que d’une austérité honteuse qui cache son nom et qui rampe devant la finance.
Coincé entre la gauche sociale et la contestation diverse de la dérive sociétale, pour Manuel Valls et François Hollande, il ne reste plus qu'une marche avant la chute finale et la logique dissolution-sanction d’un échec indiscutable.
07:47 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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