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mercredi, 03 février 2016

TV Libertés et Lionel Baland ont rencontré Pégida à Dresde, point de départ du réveil allemand

19:44 Publié dans En Europe et ailleurs..., TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Interdictions des manifestations patriotiques de samedi prochain à St Brieuc et à Calais

Un communiqué commun de Riposte laïque et de Résistance républicaine :

Le pas de deux entre le gouvernement socialiste et les antifas commence vraiment à se voir. Les patriotes déclarent une manifestation, les antifas annoncent une contre-manifestation, à la même heure et au même endroit, et le gouvernement, par ses préfets, interdit deux initiatives !

Ainsi, le Préfet de Côtes d'Armor, Pierre Lambert, après avoir copieusement insulté dans la presse les organisateurs de la manifestation du 6 février prochain à Saint-Brieuc, vient de l'interdire par un arrêté préfectoral évoquant essentiellement le risque de troubles à l'ordre public à cause d'une contre-manifestation annoncée des milices « antifas », secondée par les habituels syndicats gauchistes, enseignants notamment dont on se demande ce qu'ils viennent faire là.

Naturellement l'avocat de Résistance républicaine, Frédéric Pichon, du barreau de Paris, a lancé une procédure de référé-liberté afin de contester cette décision. Il plaidera demain jeudi, à Rennes à 14 heures. Nous nous ne doutons pas que les juges nous donneront raison et nous demandons à chaque manifestant de demeurer mobilisé pour samedi 6 février. Par ailleurs, comme pour toutes nos manifestations, il y a aura un service d’ordre digne de ce nom et la sécurité de chacun sera assurée.

Nous apprenons ce matin que la manifestation de Calais du 6 février est elle aussi interdite par le préfet, pour le même motif que celle de Saint-Brieuc. C’est une décision inique, quand celle de clandestins et de gauchistes agressant des Calaisiens et taguant la statue du général de Gaulle avait été autorisée. Nous ignorons si le responsable de l'association Pegida France lancera lui aussi une procédure de recours mais c’est le principe même des libertés publiques et du droit de manifester qui est remis en cause par Cazeneuve et ses préfets d’un côté, et les milices antifas de l’autre.

Nous interpellons le Ministre de l'Intérieur et les préfets, responsables de l'ordre public. Il est évident que toute contre-manifestation au même lieu et à la même heure doit être interdite par principe. Le vrai trouble à l’ordre public est là. Le rôle de l'Etat et de ses représentants est d’assurer la protection des manifestants ayant les premiers déposé leur déclaration de manifestation.

Nous reconnaissons à chacun, « antifas » compris, le droit de considérer que l’islam est une religion de paix, et que l’immigration sans assimilation, en période de chômage de masse, est une chance pour la France. Nous n’avons jamais contre-manifesté quand ils ont défendu ces idées dans la rue et ne le ferons jamais. Pour nous, c’est cela la démocratie, la défense de la liberté d’expression et le refus du totalitarisme.

Nous demandons donc au Ministre de l'Intérieur et aux préfets de Côte d'Armor et du Pas-de-Calais de bien vouloir reconsidérer leur décision et de faire leur travail, en protégeant le droit de manifestation et de réunions des militants de l’initiative européenne « Sauvons notre pays ».

Faute de quoi, dans une période où agriculteurs, fonctionnaires, gauchistes et mêmes clandestins occupent la rue, et où l’UOIF tient son congrès à Lille, la preuve sera faite que l’Etat d’urgence, que les socialistes veulent prolonger, est une imposture qui n’a pour seul but que de priver de parole les patriotes qui refusent l’islamisation de leur pays.

DIMANCHE 7 FEVRIER : GRANDE REUNION PATRIOTIQUE A RUNGIS 

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ESPACE JEAN MONNET 47, RUE DES SOLETS RUNGIS (94)

DIMANCHE 7 FEVRIER (10 H - 17 H)

15:46 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le mal-logement au secours des familles

Randa Ph 2.jpgLa chronique 

de Philippe Randa

Le 21e rapport annuel sur l’état du mal-logement en France de la Fondation Abbé-Pierre tire une fois de plus la sonnette d’alarme devant « l’aggravation » de la situation. Les chiffres avancés parlent d’eux-mêmes : 900 000 « privés de logement personnel », 141 500 « sans domicile », 85 000 logés dans des « habitations de fortune » et 2,9 millions d’autres dans des conditions « très difficiles » (manque de confort, surpeuplement, promiscuité, etc.), 1 % des logements sans eau courante, douche ni WC et 1,9 million sans chauffage central… D’autres chiffres encore ? Allons-y : 17 929 personnes habitent dans un des 582 bidonvilles référencés comme tel par la Délégation interministérielle à l’hébergement et à l’accès au logement (Dihal)…

D’où le constat d’un retour au domicile parental de plusieurs centaines de milliers de personnes (450 000 en 2013). Certes, dans l’extrême majorité des cas, c’est contraint et forcé pour raisons financières, on s’en doute… Mais alors que ces dernières décennies, tout avait été mis en œuvre par les héritiers de Mai 68 pour détruire la famille, voilà que notre société actuelle qui a vu le triomphe de leurs idées, oblige, pour cause d’échecs économiques persistant, à ce que la famille soit un des recours ultimes pour nombres de nos concitoyens.

Le mal-logement au secours des familles ? On pourrait croire à de l’humour noir… ou que se vérifie ce proverbe populaire qui veut qu’à toute chose, malheur soit bon.

11:38 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 7 mai prochain à Paris : 3e congrès du Parti de la France

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En savoir plus, consultez le site du PdF cliquez là

11:20 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Effondrement des cours du pétrole : où sont passés les sous ?

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Dr Bernard Plouvier

Entre autres nouvelles, plus ou moins agréables, mais toujours fort attendues, le mois de janvier amène rituellement la publication des indices économiques de l’An vieux.

Nul n’est étonné d’apprendre, s’il l’ignorait encore que, pour la énième année consécutive, le chômage s’est accru. Mais nos brillants « chefs » ayant promis, juré d’en  « inverser la courbe », il suffit de leur faire confiance et… de patienter.

La conjonction de deux autres indices est déjà plus étonnante : la croissance économique française fut de 1,1% en 2015, alors que pour la première fois depuis des lustres l’inflation a été NULLE. Or nos beaux théoriciens, à la suite de l’ambigu Lord John Maynard Keynes, sont formels : c’est l’inflation qui stimule la croissance. Or, sous Giscard, nous avions peu ou prou 10 à 15% d’inflation annuelle et une croissance très basse à partir de 1974. À l’inverse, le IIIReich maudit, où – c’est un dogme estampillé d’origine universitaire, c’est dire s’il est solide comme l’acier de chez Krupp – les dirigeants étaient « des ignares en matière d’économie », le PIB avait augmenté de 50% de 1933 à 1938, avec seulement une inflation cumulée de 6% en 6 années (elle fut de 19% en 1933-34 aux USA et de 44% en 1936-37 en France, avec des valeurs négatives de croissance). Bref, l’histoire réelle – qui n’est pas forcément celle enseignée dans les écoles et les universités – nous apporte parfois de petites joies et rejetons l’hydre de l’inflation qui ne rapporte qu’aux vendeurs et aux spéculateurs.

Mais tout cela n’est que fariboles en comparaison du séisme économique et financier des seconds semestres de l’An 2014 et de 2015 – un cru décidément maudit : l’effondrement des cours du baril de pétrole et des produits dérivés de même origine. De janvier 2011 au joli mois de mai 2014, le prix moyen – une fois corrigées les minimes variations mensuelles – avoisinait les 110 dollars US ($, si l’on préfère). En six mois, le cours chute de 100 à 60 $ et reste à ce niveau, de janvier 2015 jusqu’au début juin. Au début de l’automne 2015, il est à 45 $ et se retrouve négocié entre 33 et 35 $ en janvier 2016. En clair, il a perdu 45% de sa valeur en un an (et 65% en 18 mois).

Or, les indices des prix français à la consommation pour l’année 2015 tombent en ce même mois de janvier 2016. Et l’on constate que les prix de l’énergie n’ont chuté que de 4,7% pour le pékin de base ; les prix des articles textiles ont également un peu chuté (par diminution des coûts du transport maritime entre l’Orient producteur et l’Occident consommateur et ce grâce à la chute du prix du gas-oil, ou gazole). À l’inverse (et alors que nos braves paysans hurlent sur tous les tons qu’ils vendent à trop bas prix leurs productions), les prix alimentaires ont augmenté de 0,4% pour le consommateur (c’est beaucoup plus d’ailleurs pour certains produits, mais l’indice est forcément chose globale) et que les services ont augmenté de 1,2%.

Alors une question se pose. Qui s’est goinfré ? Qui a profité de la baisse vertigineuse des cours du pétrole ; sûrement pas l’automobiliste dont le carburant n’a sûrement pas chuté des deux tiers, ni même de 50% ou de 40%. L’État, grande puissance taxatrice, n’a pas répercuté la baisse de la matière première. Qui donc s’est également servi ? Puisqu’à l’évidence, il existe une marge énorme entre une baisse de 65% du coût de la matière première énergétique N°1 de la planète et son prix au détail. C’est une excellente question, à laquelle nos honnêtes politiciens, démocrates comme ils s’en vantent tous, vont répondre incessamment.  

11:12 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |