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dimanche, 09 juillet 2017

Après sa nouvelle condamnation à de la prison ferme, Boris Le Lay réagit

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Source Breizh info cliquez ici

Il cumule aujourd’hui pas loin de 6 années de prison ferme, uniquement pour des écrits jugés haineux ou diffamatoires sur Internet sur son site, breizatao.com : Boris le Lay, exilé politique, a écopé d’une nouvelle peine de prison de 32 mois ferme ce jeudi par le tribunal correctionnel de Quimper.

Jugé en son absence, il a été reconnu coupable de nombreux délits comme « provocation à la discrimination, à la haine raciale et à la violence », « injures publiques et raciales » ou « menaces de mort ».

Les médias qui relatent son parcours ou ses jugements n’ayant jamais pris la peine de le contacter et recueillir ses impressions, c’est ce que nous avons fait dans un entretien qu’il nous a accordé.

Rencontre avec Boris Le Lay qui, s’il était en France, irait plus longtemps en prison que certains violeurs ou trafiquants de drogue, exclusivement pour avoir publié des écrits (de différentes natures) jugés incorrects ou haineux, sur Internet.

Breizh-info.com : Quelle est votre réaction après cette nouvelle condamnation ? Si vous rentrez en France, ce sont 6 années de prison ferme qui vous attendent au total.

Boris Le Lay : Au plan politique, je suis satisfait. Ce type de procès de Moscou est toujours infiniment plus dommageable pour ses initiateurs que pour ceux qu’il cible.

C’est également une décision logique de la part du système socialiste – à ne pas confondre avec le Parti Socialiste stricto sensu – et de son front politico-idéologique. Ce système et l’Etat qui le sert font face à des contradictions insurmontables, à l’instar de ce qu’ont traversé, il y a vingt cinq ans, les démocraties populaires du Bloc de l’Est communiste. Ce dont il est question, c’est de la crise du socialisme occidental et de son effondrement.

En France, le régime est à l’agonie. Faute d’autorité, il doit compenser la chute spectaculaire de la confiance publique par une répression toujours accrue afin de maintenir le peuple sous contrôle. Toute fuite en avant répressive traduit un affaiblissement systémique. C’est très positif.

Breizh-info.com :  Justement, comptez vous vous rendre à la justice française ? Et si non, pour quelles raisons ?

Boris Le Lay : Il n’y a pas de « justice française ». Ce que vous qualifiez ainsi n’est que l’excroissance administrative d’un gouvernement qui la charge de réprimer l’opposition politique. Ce que cette administration peut proclamer n’offre aucun intérêt en soi puisque l’autorité dont elle se prévaut ne suscite plus que le mépris dans le cœur des masses.

Ce qui importe se situe ailleurs. Le devoir de tout rebelle face à un système aussi inique et nihiliste est de résister. Je réitère ici ma conviction profonde : ce système entend détruire le caractère européen et chrétien du peuple breton mais aussi des populations françaises et de l’Europe entière. N’est-ce pas le nouveau président français, Emmanuel Macron, qui veut imposer l’immigration afro-islamique aux Polonais, Hongrois ou Slovaques sous peine de sanctions économiques ? Cette politique d’éradication par l’arme biologique qu’est l’immigration allogène, nous la subissons déjà de plein fouet et c’est ce qu’a magnifiquement rappelé le président Donald Trump dans son discours de Varsovie à l’adresse des Européens. Puisque je suis Breton, je dois donc agir pour que l’étendard de l’islam ne flotte pas sur la Bretagne et que notre culture ne soit pas anéantie.

Vous parlez de « se rendre », donc de reddition, c’est-à-dire de capitulation. Tant que la volonté de mener la guerre existe, la guerre se poursuit. Ce serait parfaitement irrationnel pour moi que d’aider le régime dans sa basse besogne. Au contraire, nous devons agir partout, tout le temps pour conjurer la menace dont j’ai parlé. D’ici à 2050, la France sera majoritairement islamique. Les camps sont définis.

Breizh-info.com : Connaissez vous d’autres cas en France de peines aussi lourdes pour des écrits ? 

Boris Le Lay : Tous les systèmes socialistes, communistes et islamiques : Cuba, le Vietnam, la Chine populaire, la Turquie, l’Iran et bien sûr, les états socialistes ouest-européens. Le Vietnam prononce des peines de prison contre les blogueurs dont le discours déplaît à l’Etat ou au parti. La Turquie embastille des dizaines de milliers d’opposants. Notez d’ailleurs que si Erdogan et les Frères Musulmans ont accédé au pouvoir en 1999, il a fallu près de quinze ans pour que la répression donne à fond. C’est un processus qui nécessite du temps, processus dans lequel est entré le régime hexagonal.

Les actions de la France, matrice historique du virus révolutionnaire, divergent par leur degré, non par leur nature. Les conditions objectives obligeront le régime à amplifier la répression. C’est une mécanique qui le dépasse.

Breizh-info.com :  Vous considérez vous comme un exilé politique ?

Boris Le Lay : C’est un constat factuel : je suis condamné pour des motifs exclusivement politiques et vit à l’étranger pour cette raison. Je ne suis pas le seul. Récemment, l’ancien policier Sébastien Jallamion a gagné la Suisse pour échapper à un sort identique pour avoir exprimé ses idées sur l’islamisme. Plutôt que d’être jeté dans une geôle républicaine, il a préféré s’exiler. Et je devrais encore évoquer le cas de ces centaines de milliers de Bretons ou de Français qui fuient leur pays face au chaos économique rampant, à l’islamisme, à la tiers-mondisation. Cette jeunesse autochtone sacrifiée par la génération criminelle de l’après-guerre : celle du Baby-Boom qui laissera un champ de ruines immense derrière elle.

Vous n’en entendrez pas parler dans les colonnes de la presse d’Etat car ces opposants-là et ces exilés dérangent le gouvernement français et les laquais stipendiés qui lui servent de journalistes.

Breizh-info.com : Comment expliquez vous cet acharnement judiciaire à votre égard ? Ne faite vous pas trop de provocation ?

Boris Le Lay :  Quiconque agit avec un peu trop d’efficacité et d’audace contre lui doit être détruit. Comme tous les systèmes identiques avant lui, il commet l’erreur de présumer de ses forces. Il en devient arrogant. Il prend des risques de plus en plus inconsidérés en présumant de l’avenir. Ne parvenant plus à anéantir ses opposants, il perd de vue son objectif premier, qui est leur neutralisation, pour un objectif secondaire, la défense de son prestige. Il tend à adopter des réactions de plus en plus passionnelles et spectaculaires mais, en réalité, inefficaces.

Par mon action et la réaction qu’elle engendre, je démontre que ce système n’est qu’une coquille vide gouverné par une bourgeoisie fossilisée faite d’idiots et de traîtres. Car à travers moi et d’autres, le système condamne symboliquement des millions de gens à une peine par procuration de la même ampleur. Ces gens en tirent les conclusions nécessaires, même s’ils n’en font pas état en place publique.

L’actuel « consensus » est le même que celui qui prévalait dans les états communistes d’Europe de l’Est. En public, chacun tient le discours qui est attendu de lui : la régime républicain est célébré, les slogans creux du parti, à l’instar du « vivre ensemble », repris mollement. En privé, entouré de gens de confiance, tout le monde se moque du discours lénifiant d’un régime qui tente de maintenir sa légitimité par l’usage permanent du mensonge. Plus l’écart entre la réalité vécue au quotidien et les proclamations officielles se creuse, plus les responsables politiques sont moqués par les masses. C’est l’écroulement de la confiance publique qui, partout, s’insinue inexorablement. Un tel système s’écroule généralement du jour au lendemain, car tous ses fondements sont pourris depuis bien longtemps.

Quand ce système se sera effondré dans l’opprobre et la honte, vous serez surpris du nombre de gens qui n’auront pas de mots assez durs à son endroit. Ceux-là même qui, aujourd’hui, font mine de le soutenir.

Quant à la notion de provocation, je trouve qu’elle sied parfaitement aux tenants de ce système : a-t-on jamais vu une provocation aussi colossale que celle consistant à implanter, dans un pays ravagé par le chômage, le djihadisme et la criminalité ethnique, des millions de migrants clandestins jusque dans les plus petits villages ? N’est-ce pas une formidable provocation de la part de l’intelligentsia socialo-marxiste au pouvoir que de traquer les crèches dans les mairies puis de célébrer, du même mouvement et jusqu’à la présidence française, la fête islamique du « ramadan » ?

Et puisque nous en sommes aux provocations, celle-ci : alors que je suis condamné avec une férocité toujours plus grande par des magistrats quimpérois ou brestois, comment se fait-il que le prédicateur salafiste de Brest puisse continuer d’opérer depuis sa mosquée le plus tranquillement du monde, avec l’appui du ministère de l’Intérieur français ?

Nous sommes, nous autochtones de Bretagne, de France ou d’Europe, provoqués en permanence par des gouvernants, tenants de l’alliance avec l’islam. Je dis donc : combien de temps allons-nous accepter d’être provoqués de la sorte ?

Propos recueillis par Yann Vallerie

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Avez-vous lu le nouveau Bouquin de Synthèse nationale consacré à la Hongrie, son histoire et sa politique ?

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La Hongrie a toujours été rebelle par rapport aux diktats que l'on a voulu lui imposer. En 1956, elle se soulevait contre le régime communiste qui l'asservissait. Aujourd'hui, elle montre l'exemple à ceux qui veulent se dégager de la tutelle de la bureaucratie bruxelloise. 

Mais la Hongrie, son peuple, son histoire et ses traditions sont trop souvent méconnus du reste de l'Europe. Un peu comme si on cherchait à l'isoler afin d'éviter que son "mauvais esprit" devienne contagieux.

Voilà pourquoi il nous a semblé intéressant de publier cette étude que nous devons à Jean-Claude Rolinat, grand voyageur et fin connaisseur de ce pays courageux. Le lecteur pourra ainsi mieux comprendre la politique hongroise, là où la "droite musclée" est au pouvoir et où l'extrême droite est l'opposition...

Ce livre est le premier de la collection "Notre belle identité européenne" créée par Synthèse nationale et destinée aux Européens non reniés.

Avec un texte de Georges Feltin-Tracol

La Hongrie, sentinelle de l'Europe, Jean-Claude Rolinat, Les Bouquins de Synthèse nationale, juin 2017, 192 pages, 20 €

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VIENT DE SORTIR : LE CAHIER D'HISTOIRE DU NATIONALISME N°12 CONSACRÉ À ADRIEN ARCAND

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Sortie d'un magnifique album racontant l'histoire du Kosovo, signé Luc Luret

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Remarquable album de 80 planches, riches en illustrations, relatant, étape après étape, l'histoire de ce petit pays tant convoité par ceux qui veulent la destruction de la Serbie.

Luc Luret, bon cconnaisseur de l'histoire des Balkans, à qui nous devons le livre Kosovska (La Cocarde 2016), nous raconte le passé du Kosovo, coeur de la Serbie, et nous aide à mieux comprendre ce qui se passe aujourd'hui. 

Histoire illustrée du Kosovo et Métochie, Luc Luret, 80 planches illustrées, 2017, 15 € (+ 4 € de port)

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Le « ratio Texas » et les faillites à venir des banques en Europe !

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Marc Rousset Boulevard Voltaire cliquez ici

On se rappelle le tollé et les remous médiatiques qu’avait causés François Fillon lorsqu’il avait eu le malheur d’évoquer une France en faillite. La vérité à ne pas dire a donc été divulguée d’une façon officieuse par un organisme privé dont le métier est, justement, d’analyser les risques financiers et bancaires : l’agence de notation Fitch, lors d’une déclaration toute récente de sa directrice budget Gandy pendant une conférence à Londres.

En fait, trop de banques en Europe – et plus particulièrement en Italie, Grèce, Espagne et Allemagne – sont comme des malades condamnés à mort dont la poursuite des activités ne dépend plus d’eux mais du simple bon vouloir de leurs gouvernements et des pressions plus ou moins grandes de Bruxelles et de la BCE. Le destin de ces banques est donc soit la disparition pure et simple, ce qui est impossible en raison de la ruine des déposants, soit (ce qui revient au même financièrement) le rachat pour un euro symbolique par une autre banque moins malade qui cherche aussi, souvent, à se sauver en diminuant l’importance de ses frais d’exploitation tout en trouvant de nouveaux clients. Le plus souvent, et dans la quasi-totalité des cas, il y a un apport de capitaux publics ou des garanties publiques sur des emprunts par l’acheteur, ce qui a pour effet de continuer à dégrader la situation financière déjà impossible des États. C’est de cette façon qu’a été réglée la crise des « subprimes » ; le problème, le malheur, c’est que la crise continue.

Bruxelles et la BCE (Banque centrale européenne) ont imposé comme solution à l’Europe, en cas de faillite des banques, la spoliation technocratique pure et simple, en priorité, des obligataires et, ensuite, en partie ou complètement, des dépôts de leurs clients (« chyprisation »). Il se trouve que c’est impossible à mettre en pratique dans la réalité, suite à la ruine des trop nombreux déposants et aux conséquences politiques dans les pays concernés.

Pour nous rassurer, les médias ainsi que la BCE dans ses enquêtes nous parlent toujours des sacro-saints ratios de la BRI (Banque des règlements internationaux) à Bâle, plus particulièrement du fameux ratio de 10 à 12 % entre les capitaux propres et les actifs bancaires. Mais ce ratio, condition nécessaire dans une économie saine, est tout à fait insuffisant dans une économie en quasi-faillite ! Le seul ratio qui importe, mais jamais divulgué par la BCE, les gouvernements et les autorités bancaires, est le « ratio Texas », qui compare les créances douteuses aux fonds propres des banques. Selon l’agence Fitch, une banque est en quasi-faillite lorsque le ratio Texas dépasse 100 %, ce qui signifie qu’elle ne dispose pas des capitaux propres nécessaires pour faire face à ses créances douteuses.
Si l’on prend l’exemple de l’Italie, pays le plus dangereux actuellement, le montant des créances douteuses des banques s’élève à 350 milliards d’euros, ce qui représente 16,4 % de leurs actifs. Les banques les plus menacées dans l’immédiat, après les sauvetages en cours de Monte Dei Paschi, Banco Popolare di Pienza , Veneto Banca, sont : MPS, Carige, Creval, Vénétie et Vicenza. Selon le journaliste Charles Sannat, sur les 500 banques qui existent en Italie, 114 ont un ratio Texas de plus de 100 % et 24 ont un ratio de plus de 200 %.

La situation est tout aussi grave en Grèce (47,1 % de créances douteuses), Chypre (46,7 % de créances douteuses), Espagne et même en Allemagne avec quelques banques telles que Bremer Landesbank et HSH Nordbank, la Deutsche Bank venant tout juste de sauver sa tête après une augmentation de capital en provenance du Golfe. Selon le FMI, le montant des créances douteuses en Europe s’élève à 900 milliards d’euros.

L’euro, excellente idée, risque donc d’être emporté par le système moribond du QE (quantitative easing) des banques centrales, par l’hyper-endettement des États et des agents économiques, et par une faillite en chaîne de banques en Europe. 1929 a commencé avec la faillite d’une seule banque à Vienne : la Kreditanstalt.

11:13 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |