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lundi, 28 août 2017

LE « MEMORIEL », UNE LIGNE DE FRONT A NE PAS LACHER !

 

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Ce mois d’août a été ponctué d’événements divers et variés, dont la criminelle vague d’attaques de nos concitoyens européens par des « détraqués mentaux » n’est pas la moins révoltante… Une curieuse épidémie de folie subite se serait emparée des desservants et des croyants d’une « religion de paix, d’amour et de partage » : attaques au couteau à Levallois, Bruxelles, Londres, ou à la voiture folle comme à Marseille et, surtout, à Barcelone et à Cambrils en Catalogne. La crise des missiles balistiques entre les Etats-Unis et la Corée du Nord tout comme la consécration de la dictature marxiste au Venezuela, ont illustré les pages de politique étrangère de nos journaux. Mais il est un autre événement qui, par sa portée symbolique et, surtout, par ses conséquences, a une répercussion qui va bien au-delà des frontières américaines : je veux parler des manifestations de Charlottesville en Virginie.

La bannière confédérée est inséparable du pays de « Dixie »

Il aura fallu qu’un jeune Blanc paniqué par une horde « d’anti-fas » fonce aveuglément pour s’enfuir dans une foule de manifestants et écrase, malheureusement, une jeune femme, pour que la grosse artillerie de tout ce que les Etats-Unis comptent comme progressistes et anti racistes professionnels et stipendiés, rallume la guerre des symboles.

Il y a déjà des lustres que l’héroïque « southern cross », un rectangle rouge barré de diagonales bleues frappées de 13 étoiles blanches à cinq branches, est pourchassé ici ou là, dans le Sud comme dans le reste des Etats. Déjà, l’actuelle représentante de Donald Trump aux Nations-Unies, ex-gouverneur d’origine indienne de la Caroline du Sud, avait fait enlever ce drapeau du sommet du capitole de Columbia, sa capitale.

La Géorgie, Etat symbole s’il en est de la résistance sudiste, avait banni cette southern cross du battant de son emblème officiel pour le remplacer par un insipide drapeau sans aucune valeur historique. Curieusement, à contrario, dans un Etat comme le Mississippi où les Noirs frôlent les 50 % de la population, le drapeau « maudit » avait été conservé suite à un référendum populaire !

Les défenseurs des droits civiques et des personnes de couleur nous rétorqueront que tous ces signes font revivre un passé qui ne passe pas. Mais c’est faire mentir l’histoire avec un grand « H » que de ne pas tenir compte de la charge émotionnelle que représentent pour les Blancs du Sud, même ceux qui ne sont pas engagés politiquement, ces armoiries, drapeaux, plaques mémorielles et autres statues. Il n’y a pas une petite ville où le soldat confédéré statufié ne se dresse sur une place, en général devant le city hall ou le county court house.

De nombreuses associations font participer leurs adhérents aux reconstitutions historiques des grandes batailles qui ont jalonné la guerre fratricide entre le Sud et le Nord. Même chose en passant, - changeons de continent -, pour les gros bourgs du Transvaal ou de l’Etat libre d’Orange en Afrique du Sud, avec le guerrier Boer immortalisé dans la pierre. Faudrait-il, chez nous, occulter la silhouette familière de nos poilus qui enjolivent bien souvent, nos monuments aux morts ?

Déboulonner la statue du général Robert Lee est un acte « mémoricide » attentatoire à la sensibilité sudiste. D’ailleurs, que peut-on reprocher à ce grand officier, chef de l’Armée de Virginie, que l’on peut qualifier « d’humain », comparé aux « bouchers » du Nord, les Grant et autre Sherman ? Il décrivait l’esclavage comme « un mal moral et politique » et avait affranchi les esclaves vivant sur la propriété de sa femme, quand l’épouse d’Abraham Lincoln, s’était « affranchie », elle, de cet acte d’élargissement, conservant des esclaves jusqu’à la fin de la Guerre de sécession ! Et que dire du père fondateur de l’Union, le célèbre Georges Washington dont on peut voir, à côté de sa maison à Mount Vernon au bord du Potomac, les cases de ses esclaves ? Faudra-t-il le déboulonner, lui aussi, comme « notre » Napoléon en France, coupable d’avoir rétabli – provisoirement – l’esclavage aux Antilles ?

Au tour de Stone Mountain, près d’Atlanta ?

Jusqu’où iront-ils, tous ces néo-profanateurs, jusqu’à détruire l’énorme monolithe de 8 Km de périmètre et de 236 m de hauteur, où les silhouettes géantes des héros confédérés gravées dans le granit, le Président Jefferson Davis et les généraux Robert Lee et Stonewall Jackson, semblent chevaucher côte à côte pour l’éternité ? Cette chasse aux sorcières sudistes est nauséabonde, elle creuse encore un peu plus les fossés qui séparent les Américains. Les plaies, pourtant, ne demandent qu’à cicatriser. Ce nouveau champ de bataille historico-culturel tend à imposer la victoire du politiquement correct à toute une frange de la population qui n’en veut pas. C’est la même chose en Europe.

Pétain et Franco, honnis, relégués aux oubliettes !

La France est-elle à l’abri de ce genre de haines de soi ? Il y a belle lurette que les plaques de rues au nom du vainqueur de Verdun ont été dévissées et remplacées, ici ou là, par des rues du 19 mars ! A Vichy, devant l’hôtel du Parc qui fut la résidence du Maréchal pendant quatre ans avant que les Nazis ne l’arrêtent brutalement et ne l’internent en Allemagne, une plaque explicative ne brille pas particulièrement par son objectivité. En Espagne, le vainqueur de la croisade anti-communiste de 1936-1939 a vu ses statues disparaitre en même temps que « s’évaporait » son patronyme des places, avenues et autres rues de Castille, d’Aragon et autre Andalousie. On parle même de transférer sa tombe ainsi que celle de José Antonio Primo de Rivera (NDLR : fondateur de la Phalange, assassiné par les rouges le 20 novembre 1936), d’ailleurs, du Vall de los Caïdos pour un banal cimetière galicien. La Galice, entre parenthèses, où El Ferrol «  a oublié » depuis bien longtemps qu’elle s’appelait El Ferrol del Caudillo, et que cette cité portuaire était la ville natale de l’ancien Chef de l’Etat.

Honorer les grands noms de notre histoire, les grands événements, fussent-ils controversés, n’est pas attentatoire aux fameux « droits de l’homme » mis à toutes les sauces. Vous verrez qu’au train où vont les choses, avec un Président qui insulte la vérité historique, la France ne tardera pas à considérer que, décidément, on en fait trop, aussi, pour Charles De Gaulle ! En attendant chers amis, si vous traversez certaines villes du 9-3 encore aux mains du PC  « F », vous quitterez la rue Maurice Thorez pour emprunter l’avenue Gagarine avant de déboucher sur la place Duclos ! Courage… Douce, mais pauvre France !

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DIMANCHE 1er OCTOBRE : ALBAN D'ARGUIN (ÉOLIENNES UN SCANDALE D'ÉTAT) SERA À LA 11e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE À RUNGIS (94)

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Samedi et dimanche prochains, 2 et 3 septembre, journées chouannes à Chiré en Montreuil (86)

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Samedi prochain, 2 septembre, Riposte laïque fêtera ses 10 ans d'existence

Programme-10-ans-RL-2-2.jpgCe samedi 2 septembre, à Rungis, espace Jean-Monnet, Riposte Laïque fêtera ses dix ans de lutte contre l’islamisation de notre pays, de 10 heures à 19 heures. Et le moins qu’on puisse dire est que, quand on étudie l’actualité, cette initiative tombe à pic.

Depuis quelques jours, se déroulent, sous nos yeux, de véritables actes de guerre quotidiens, que les autorités appellent « attentats », ou même parfois « incidents ». Ils se succèdent avec des modes opératoires assez répétitifs : soit une « voiture folle » ou un « camion fou » (sans doute sans pilote) foncent dans une foule, soit un « déséquilibré » armé d’un couteau se met à poignarder autour de lui tout ce qui n’est pas musulman, et principalement des policiers ou des militaires, soit d’autres « déséquilibrés », toujours armés de couteaux, hurlent « Allah akbar » et menacent de tout faire sauter, pour une raison ou une autre. Sans oublier, bien évidemment, les kalachnikov…

Naturellement, cette épidémie d’actes de guerre, menés simultanément en France, en Belgique, en Espagne, en Russie, en Allemagne, en Grande-Bretagne, en Finlande et partout où il y a des musulmans (seuls les pays de l’Est de l’Europe sont épargnés) est masquée par l’ensemble des autorités européennes et par les médias, la palme appartenant au Parisien, qui a osé titrer que les fous imitaient les terroristes !

Et comme les vrais spécialistes de l’islam ne sont jamais invités sur les plateaux, qui se contentent de nous imposer les enfumeurs habituels, il ne se trouve personne pour expliquer que non seulement ces « déséquilibrés » ne sont pas si fous que cela, mais qu’ils se comportent en bons musulmans, qui font la guerre aux non-musulmans quand le rapport de force le leur permet, que cela se passe ainsi depuis 14 siècles et que cela a occasionné 280 millions de morts, victimes d’un dogme assassin, l’islam.

Nous sommes donc à la fin de la deuxième phase du djihad, appelée « djihad défensif » et nous rentrons dans la troisième phase, appelée « djihad offensif ».

Depuis 10 ans, nous avons expliqué tout cela, par la publication de 26.000 articles, écrits par près de 2.000 contributeurs. Nous avons édité 17 livres, sur le voile, la takkya, l’alternative Reconquista ou Mort de l’Europe, les mensonges musulmans, etc. Nous avons même expliqué le phénomène des « déséquilibrés », en éditant en français les travaux de la formidable Wafa Sultan. Nous avons démontré le type de guerre que nous mènent les islamistes, grâce à l’ouvrage du Colonel Cerisier. Nous avons livré le témoignage de Ghislaine Dumesnil sur la réalité de l’islamisation de nos entreprises, à travers l’exemple de la RATP, ou celui de Sébastien Jallamion, sur le tabou de l’islam dans la police.

Nous avons impulsé des pétitions, notamment contre le port de la burqa, organisé l’Apéro saucisson-pinard, les Assises contre l’Islamisation de nos pays. Nous avons monté des manifestations de rue, des rassemblements quand, par exemple, Hervé Cornara a été décapité, ou les deux policiers de Magnanville ont été exécutés devant leur enfant. Nous défendons la liberté d’expression, et le droit de critiquer l’islam, en toutes circonstances. Nous recherchons toutes les alliances possibles, évitant de tomber dans un sectarisme qui est aux antipodes de notre culture. Et nous essayons d’être solidaires quand des amis du camp patriotique sont, eux aussi, victimes de la répression.

Sans doute n’avons-nous pas été parfaits, probablement avons-nous commis des erreurs, mais nous ne voyons pas, avec ce que sont nos moyens, ce que nous aurions pu faire de plus.

Naturellement, cela nous vaut l’ostracisme des médias, un harcèlement judiciaire, impulsé au plus haut niveau de l’État (nous avons atteint le 50e dossier avec la dernière plainte de Gérald Moussa Darmanin, nouveau ministre de Macron), et bien évidemment des menaces récurrentes dirigées contre nos principaux animateurs.

C’est dans ce contexte que vont se tenir les dix ans de Riposte Laïque, dans quelques jours. Cette phase de réinformation, depuis 2007, était nécessaire. Il convenait de déconstruire le discours des enfumeurs sur la différence « Islam-islamisme », sur « l’islam religion de paix », sur les « musulmans modérés », voire « patriotes », et sur la possible existence d’un « islam de France » dans notre pays.

Il fallait informer nos compatriotes que plus il y aurait de musulmans en France, plus il y aurait d’actes de guerre et d’attentats, et plus nous nous dirigerions vers une société islamique.

Il fallait les convaincre que nous étions dirigés, depuis quarante ans, par des traîtres, qui livraient notre pays à une puissance étrangère, et envoyaient leurs compatriotes à la mort, préparant un Grand Remplacement porteur d’un changement de civilisation.

Il fallait expliquer aux Français la réalité, ce que nous avons essayé de faire au mieux.

Il convient, bien évidemment, de poursuivre ce travail, et, grâce à Internet, malgré toutes les volontés de censure de ce régime, de continuer, avec d’autres sites, à mener cette guerre de réinformation, en passant à travers les mailles de la dictature médiatique qu’ils veulent mettre en place.

Mais cela est-il suffisant, dans un contexte où des milliers, des dizaines de milliers, des centaines de milliers, des millions de musulmans, en France et dans toute l’Europe, sont prêts à passer à l’action, avec des couteaux, des fusils, des bombes ou des camions, dans les conditions les plus sordides et les plus barbares, contre nous, parce que nous ne sommes pas musulmans, et qu’ils veulent conquérir nos pays, pour y imposer la charia. Bien sûr, nous précisons que tous les musulmans ne sont pas des terroristes, ce que nous pensons, mais qui ne change rien à la problématique de l’islam en France.

Nous sommes ravis du plateau que nous avons pu mettre sur pied, représentatif de l’Union des Patriotes la plus large que nous appelons de nos vœux. Nous espérons réussir la synthèse entre les témoignages du matin, sur ces dix ans de Riposte Laïque, le côté festif, avec un repas alsacien le midi, et le gâteau anniversaire champagne du soir, et le côté politique, l’après-midi, avec des invités qui, chacun avec sa spécificité, partagent l’essentiel de nos combats.

Bien sûr, nous attendons de nos intervenants, vu leurs qualités, des propositions d’action, mais nous en ferons, quant à nous, dans notre conclusion.

Vous pourrez également, outre les livres de Riposte Laïque, vous procurer d’autres ouvrages sur la réalité de l’islam, sur l’immigration et tous les sujets qui préoccupent les Français, puisque nous donnons aux amis la possibilité de diffuser leur matériel sur des tables, situées dans la salle de conférence.

Vous pourrez surtout faire connaissance de toute la famille Riposte Laïque, ses animateurs, ses dirigeants, français ou suisses, ses contributeurs, ses commentateurs et ses lecteurs…

Et nos amis de TV-Libertés couvriront l’événement. Et bien sûr, un service de sécurité professionnel assurera la tranquillité des participants, des fois que…

Il vous reste jusqu’à mardi midi pour vous inscrire, nous vous le conseillons, vous ne perdrez pas votre journée, nous vous le promettons.

Plus d'infos cliquez ici

Chèque de 30 euros à l’ordre de Riposte Laïque, BP 32, 27140 Gisors

Venez nous retrouver sur le stand de Synthèse nationale.

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