lundi, 19 mars 2018
Sortie à la fin de la semaine du n°48 (printemps 2018) de la revue Synthèse nationale
Au sommaire :
=Editorial - Roland Hélie
=L'escroquerie éolienne - Marc Rousset
=La campagne anti-éoliennes d'Alban d'Arguin
=De quelle droite parle-t-on ? - Patrick Parment
=Le problème corse - Arnaud Menu
=La dédiabolisation n'est pas nouvelle au FN - Franck Buleux
Le FN a changé de nom ? Jean-François Touzé
=La Jeanne d'Arc d'Orléans - Bernard Plouvier
=On en finit pas de payer Mai 1968 - Pieter Kerstens
=La chronique de Philippe Randa sur Mai 68
=Il y a 40 ans François Duprat était assassiné
=Célébrons nos petites victoires - Arnaud Menu
=L'AF n'est plus, VIVE LE ROI quand même - Aristide Leucate
=Des censeurs aux mains pures - Morgane De Cruzy
=Mort aux confrères - Eric Delcroix
=L'essor de l'Afrique - Arnaud Raffard de Brienne
=Les pages du Marquis - Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
=Les pages littéraires - Georges Feltin-Tracol, Jean-Claude Rolinat, Daniel Cologne
=Les chroniques de Patrick Gofman et de Charles-Henri d'Elloy
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22:50 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
A AVIGNON, LES BRIGANDES FONT SALLE COMBLE
20:50 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LE KRACH AURA LIEU : DES CYGNES NOIRS DE PARTOUT !
Marc Rousset
Jeff Gundlach, lors de la Strategic Investment Conference 2018, a déclaré que « la situation devrait exploser en 2019 ». Il estime que les fondamentaux de l’immobilier sont « plutôt horribles »alors que les taux immobiliers commencent à augmenter, que les déficits américains par rapport au PIB sont trop élevés et que tous les indicateurs pointent vers la hausse de l’inflation. Les avantages sociaux du gouvernement américain qui n’atteignaient pas 5 % du revenu disponible des Américains dans les années 70 atteignent, aujourd’hui, 25 %.
Quant au très célèbre gestionnaire de fonds d’investissement Paul Tudor, il a déclaré à Goldman Sachs que les seules choses qui valent la peine d’être détenues sont les matières premières, les actifs tangibles ou du liquide. Il critique les baisses d’impôts, les dépenses généreuses du Congrès américain et prédit une augmentation de l’inflation qui provoquera la panique sur les marchés actions. Il a comparé le président de la Fed Jerome Powell au général Custer dans les dernières heures de la bataille de Little Big Horn, « cerné par une horde de guerriers menaçants » : bulles, dettes des entreprises, marché des changes, tribu des cryptos, taux réels négatifs et, derrière lui, le peuple de l’inflation qui l’empêche de battre en retraite !
La BCE de Mario Draghi se renie, suite à la revalorisation de l’euro et à l’insuffisante inflation en Europe. Draghi remet en question la date butoir d’octobre 2018 ; il vient de déclarer que les achats d’actifs par la BCE cesseront seulement quand l’inflation sera jugée suffisante….
Si l’on considère les graphiques de la dette mondiale, du Dow Jones, de l’or et des obligations, on constate que la folie douce a commencé à s’emparer des esprits dans les années 1994-1995, avec des courbes qui grimpent à la verticale à une vitesse hallucinante. La dette mondiale était de 30.000 milliards de dollars en 1994 ; elle s’élève, aujourd’hui, à 230.000 milliards de dollars. Le PIB de l’économie réelle est le seul graphique qui se traîne lamentablement vers le bas à un rythme trop lent. Cela sent donc à plein nez le chaos et l’écroulement des actions à venir.
L’Italie, avec sa dette publique de 2.200 milliards d’euros (132 % du PIB) et son système bancaire malade (263 milliards d’euros de créances douteuses) ne pourra pas supporter la remontée des taux d’intérêt. Si la Bundesbank se retrouve avec une créance excédentaire « Target 2 » de 800 milliards d’euros, la Banque centrale d’Italie se retrouve avec une dette de 400 milliards d’euros envers la BCE. L’Italie est dans une situation financière gravissime et intenable.
Pour couronner le tout, il suffit de penser aux risques géopolitiques avec la révolte électorale des Italiens contre l’invasion migratoire, à la nomination du faucon Mike Pompeo comme nouveau secrétaire d’État de Trump qui rêve, comme Israël et le prince héritier saoudien Mohammed Ben Salmane, d’en découdre avec l’Iran.
Enfin (cerise sur le gâteau), il est tout à fait probable que Trump va engager une violente guerre commerciale avec la Chine pour la punir de ses infractions aux lois sur la propriété intellectuelle ainsi que pour son excédent, en 2017, de 342,8 milliards de dollars avec les États-Unis.
20:31 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
21.000
Pieter Kerstens
Le 16 mars 2018, la dette publique américaine a franchi le seuil des 21.000 milliards de dollars, ce qui a conduit chaque habitant des Etats-Unis à un passif de 64.000 dollars (52.000 euros).
Certains analystes et hommes ou femmes politiques chantent les louanges de la santé économiques américaine et son indéniable dynamisme, en évoquant un taux de chômage de 5% et d’autres vantent les prouesses de la Bourse de New York où le Dow Jones a progressé de 25% en moins d’un an. Ces résultats sont certes inconnus en Europe, depuis des années. Mais qu’en est-il réellement du pouvoir d’achat des ménages.
Plus de 45 millions d’Américains subsistent grâce à des bons alimentaires, en mars 2018. Il y a actuellement aux USA plus de 95 millions d’inactifs et une population active de 155 millions de personnes. En l’an 2000, les actifs comptaient pour 156 millions et les inactifs étaient de 80 millions. Très révélateur, les emplois industriels étaient de 17,25 millions en 2000 et seulement de 15,58 millions maintenant. L’Amérique s’est enrichie ? Pour les milliardaires sans doute, grâce à la flambée de la Bourse et les spéculations diverses, mais pour la grande majorité du peuple, c’est la stagnation. Entre 2000 et 2018, le revenu annuel médian de la population est passé de 31.276 USD à 31.712 USD, soit 436 dollars de mieux en 18 années = 1,4% ! *
A la lecture des chiffres ci-dessus, on comprend que la victoire surprise de Donald Trump, au mois de novembre 2016 a, dans un premier temps, créé la panique sur les marchés boursiers, avant que ces derniers ne se reprennent et s’orientent très positivement. Mais cette victoire, le milliardaire Trump ne la doit qu’aux « laissés-pour-compte », « à ceux d’en bas », « aux sans dents », ceux qui vivent dans l’Amérique profonde, ayant une culture générale sommaire, mais possédant un réel bon-sens en contrepartie. En effet, le changement qu’incarne le nouveau président des Etats-Unis, devrait se traduire par des créations d’emplois et des travaux d’infrastructures, mais cela implique également une hausse du déficit américain et partant une hausse des taux. La volonté manifeste de Trump de valoriser le travail et de favoriser la préférence nationale s’est traduite par un sentiment d’euphorie pour les opérateurs de marchés, les investisseurs ayant salué les initiatives du Président des Etats-Unis. Un président qui focalise la haine des médias, du show-business, des bourgeois bohèmes (les Bobos) et de la gôche-écolo-libertaire, parce qu’il tient ses promesses électorales. Il considère que les intérêts des Etats-Unis passent avant tout, cela dans l’intérêt du peuple américain d’abord..
L’envers de la médaille, c’est bien sûr la hausse de la dette : 1.000 milliards de dollars en 1 an ! Il va falloir serrer rapidement les boulons, car si les taux d’intérêt remontent, la dette américaine (et celles des pays européens fortement endettés) explosera et entrainera l’ensemble du système financier mondial vers le krach.
En Europe, certains hommes politiques, en particulier les nationalistes, ont cherché à récupérer leur indépendance face à une Europe qui accumule les disfonctionnements et les erreurs dans la gestion des crises humanitaires, industrielles, financières ou sociales. De nombreux économistes réputés s’élèvent notamment contre les diktats de la Commission ou les dérives interventionniste illégales de la BCE (Banque Centrale Européenne). Le prix Nobel d’économie, Olivier Hart, avait déjà remis en question le bien-fondé d’une monnaie commune, en janvier 2017 et prônait un retour à plus d’indépendance des Etats. Il vantait une décentralisation des processus de décisions tout en gardant cependant quelques domaines privilégiés comme la libre circulation des biens et des personnes.
La situation actuelle est la suivante : les banques, les assureurs et les fonds de pension européens sont structurellement incapables de rentabiliser leurs capitaux tout en contrôlant leurs risques. Une régulation excessive et mal calibrée, une gestion trop souvent gabégique, et clairement un manque d’initiatives, de responsabilités et de courage de la part des dirigeants des institutions financières, favorisent la déliquescence du système financier européen. Afin de préserver la pérennité de certaines institutions, il est impératif de ne pas se soumettre aux exigences de l’Europe, quitte à payer des amendes, plutôt que de voir la disparition des métiers qui nous sont propres ! C’est une question de volonté politique et bien évidemment de compétence et de bon sens.
LES CHAROGNARDS DE LA MAFFIA POLITICO-MEDIATIQUE.
Il est tout de même délicieux de constater que depuis des mois, les journalistes, les commentateurs, les analystes et les politiciens n’égratignent en aucune manière le nouveau « Timonier » de l’Empire du Milieu qui, ayant obtenu 100% des votes positifs du Comité Central du Parti Communiste Chinois, sans abstention ni opposition, pourra donc diffuser sa science jusqu’en 2078…. Tout lui est autorisé, rien ne lui est refusé : là-bas, comme ici ou ailleurs, les Fils du Ciel peuvent tout se permettre. Agitant les liasses de billets verts ou mauves, ils raflent nos usines, nos laiteries, nos vignobles, nos hôtels de prestiges entre autres. En Afrique et en Amérique du Sud, ce sont les nouveaux colonisateurs qui envahissent les campagnes pour l’élevage et la culture dont les productions prendront le chemin de Pékin. Idem pour ce qui est des hydrocarbures et des minerais où la lutte est acharnée partout dans le monde, matières premières vitales pour la Chine.
Dès 2016, des signes de ralentissement économique se sont manifestés : surcapacité de production, baisse des exportations, augmentation du prix des logements, réduction des investissements privés, et enfin baisse des revenus en partie due à la chute des cours boursiers. Plusieurs millions de particuliers ont été ruinés lors de la baisse du marché d’actions chinois. L’endettement des entreprises publiques reste très élevé et les créances douteuses des banques s’accroissent, parce que la mauvaise gestion est endémique. La banque centrale chinoise manipule (comme la BCE, la FED ou la BOJ) les cours des actifs financiers locaux, mais contribue également à contrôler le cours de sa devise par de nombreuses interventions. Les effets combinés de ces interventions ne font qu’accroître la fuite des capitaux, signe de confiance limitée des investisseurs dans la politique monétaire chinoise.
Caressant Xi Jinping dans le sens du poil, chantant les louanges de ce client important, les médias n’ont pas de mots plus durs ou d’invectives haineuses envers Donald Trump ou Vladimir Poutine, qui eux, seraient responsables de tous les maux de la Planète, de la disparition de la mouche Tsé-Tsé à la guerre en Syrie, en passant par l’édification d’un mur entre le Mexique et les USA –d’ailleurs entamé sous Bill Clinton- ou en accusant l’un ou l’autre « d’atteinte aux Droits de l’Homme » (alors qu’il existent 1145 camps de concentrations, les Laogaïs, en Chine), ou encore de la pollution atmosphérique en CO2 alors que chaque semaine, en Chine, il se construit une nouvelle centrale thermique au charbon. Motus et bouche cousue. Seuls le « fâââââchiste » Trump et le Tsar Rouge Poutine doivent être la cible permanente des médias critiques.
En Russie, l’inflation est maitrisée et la hausse du prix du pétrole depuis 18 mois permettra des budgets futurs en équilibre, malgré les embargos des USA et de l’Union Européenne. Les recettes fiscales vont augmenter malgré la baisse des impôts de sociétés actives dans le secteur pétrolier. Ces revenus permettront des investissements dans l’éducation, les infrastructures et l’innovation. La détente des relations américano-russes devrait également favoriser le climat d’investissements étrangers dans la fédération de Russie.
La stabilité du rouble, malgré une baisse importante ces deux dernières années et une stabilisation des actifs financiers, restaurent un climat propice aux investissements tant privés que publics.
Et le fait que Vladimir Poutine puisse être réélu jusqu’en 2023 plongent nos médias dans une rage folle.
*Chiffres issus de www.USnationaldebtclock.us
13:08 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ces séries télé qui manipulent l’opinion
Georges Feltin-Tracol
En février dernier, la chaîne franco-allemande Arte diffusait chaque jeudi soir trois épisodes de la deuxième saison d’une série norvégienne, Occupied, que les Québécois traduisent par « Envahis ». Créée en 2015, cette série appartient aux rares feuilletons de politique-fiction.
Dans un futur immédiat improbable et fantasmatique, les États-Unis isolationnistes ont quitté l’OTAN. La Norvège est dirigée par des écologistes qui arrêtent progressivement leur production d’hydrocarbures au profit des énergies renouvelables. Or l’Union dite européenne traverse une grave crise énergétique si bien que Bruxelles permet à la Russie d’influencer Oslo en y installant des troupes. L’ambassade russe dans la capitale norvégienne fait pression sur les politiciens locaux afin d’obtenir un gouvernement « russo-compatible ». La présence russe incite certains Norvégiens à « collaborer » et d’autres à entrer dans une résistance parfois violente.
La menace russe, à l’époque soviétique, constituait déjà l’intrigue d’une série étatsunienne en 1987, Amerika. Une décennie après l’occupation des États-Unis par les troupes du Bloc de l’Est et leur partage en différentes zones administratives closes, des Étatsuniens travaillent avec les représentants de Moscou pendant que d’autres les rejettent plus ou moins brutalement. Les scénaristes de la chaîne ABC tablaient ouvertement sur les tensions de la Guerre froide.
La série Occupied participe pour sa part au dénigrement médiatique systématique et permanent de la Russie de Vladimir Poutine. L’épisode 8 montre par exemple des dirigeants scandinaves prêts à restreindre les conditions de séjour des Russes déjà présents en Norvège ! Il est vrai que la violence quotidienne, les viols massifs et les nombreux autres actes de petite délinquance sont le fait d’immigrés russes inassimilables.
Oui, l’Europe est aujourd’hui occupée non pas par les Russes, mais par… les États-Unis d’Amérique depuis 75 ans. L’atlantisme de l’OTAN, le multiculturalisme de la Commission européenne, le mondialisme du Conseil de l’Europe et de la Cour européenne des droits de l’homme, le libéralismeexacerbé de la BCE, le cosmopolitisme du FMI font des États du Vieux Continent des entités à la souveraineté plus ou moins limitée. Ce n’est pas l’ambassade russe à Bruxelles, à Londres, à Paris, à Berlin, à Rome ou à Madrid qui manipule les guignols politiciens, mais plutôt les ambassadeurs étatsuniens. Outre des bases militaires quasi-autarciques, l’occupation yankee de l’Europe est totale puisqu’elle affecte autant la culture que la gastronomie, les médiats que l’économie, les manières de penser que le mode de vie (pensons à la fin de la courtoisie sur les injonctions malsaines du féminisme hystérique).
Cette réalité-là ne fera hélas ! pas l’objet d’une énième série télévisée. Dommage, car elle aurait certainement encouragé les Européens à mieux prendre conscience de cette lourde emprise. Néanmoins, cette absence ne doit pas empêcher l’avant-garde alter-européenne d’exiger : « Yankees, hors d’Europe ! »
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°70, diffusée sur Radio-Libertés, le 16 mars2018.
12:59 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sous la neige, Jean-Marie Le Pen a rendu un émouvant hommage à François Duprat
Source Paris Vox cliquez ici
Il y a 40 ans décédait François Duprat. Alors qu’il se faisait conduire par sa femme en voiture, une bombe explose dans celle-ci et lui coûte la vie, c’était le 18 mars 1978. Les auteurs de cet attentat n’ont jamais été identifiés. La liste des accusés est longue, certains pointaient du doigt l’extrême gauche, d’autres des services secrets (le Mossad ou les services français notamment) alors que d’autres dénonçaient un règlement de compte interne à la droite nationale. 40 ans après, si les questions demeurent, l’heure est au recueillement, pas à la vengeance.
Afin de lui rendre hommage, Jean Marie le Pen a prononcé un discours et déposé une gerbe. Une petite trentaine de personnes étaient présentes autour du “Menhir”. Les “mousquetaires du président” (ancien DPS FN) étaient présents en nombre.
Rendant hommage à son ancien numéro deux, Jean-Marie le Pen a déclaré que le fait de mourir jeune lui (à François Duprat) avait “évité les affres de la vieillesse“. Revenant rapidement sur la vie de son ancien numéro 2 au FN, Jean-Marie le Pen a conclu par “Notre devise 40 ans après demeure Honneur et Fidélité.”
Qui était François Duprat ?
François Duprat était un théoricien nationaliste révolutionnaire, il faisait partie des pionniers du Front national et d’Ordre nouveau. Il fut également un compagnon de route et relais de Dominique Venner dans sa jeunesse. Auteur prolifique, il fut le père des Cahiers européens et de la Revue d’histoire du fascisme. Volonté de lui nuire ou réalité, certains ont avancé que François Duprat travaillait pour les services secrets. (L’émission “Rendez-vous avec X” de France Inter défendait notamment cette théorie).
Pour mieux connaitre son oeuvre, une réédition récente de ses écrits vient de paraître chez Ars Magna, une biographie complète de François Duprat était également sortie dans les Cahiers d’histoire du Nationalisme.
12:52 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'ÉMISSION SYNTHESE DE JEUDI DERNIER AVEC HUGUES BOUCHU
11:50 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |