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jeudi, 29 novembre 2018

Dimanche 16 décembre : Fête du livre de Nantes

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23:40 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Macron-Gilets jaunes, deux logiques irréconciliables

Le billet de Patrick Parment

 

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Le gouvernement et les Gilets jaunes sont dans des logiques irréconciliables. D’un côté un pouvoir entièrement formaté par le capitalisme, de l’autre, une population qui refuse la gestion purement comptable de son destin. Ces Gilets jaunes – c’est-à-dire une large majorité de Français de souche - sont les premiers à payer la note des ajustements structurels du capitalisme dont ils sont les sempiternels perdants. Cette révolte est symptomatique d’un état du monde où le capitalisme est en train de détruire tout ce qui constitue le socle de nos cultures et de notre civilisation. Car le capitalisme est un terrorisme qui gave une minorité au détriment de la majorité.  Le capitalisme a réduit toute l’activité humaine à une pure marchandise où seul compte la loi du marché et dont l’unique but est d’accroître encore et toujours le capital.

Or, le capital n’est autre que l’argent en tant qu’il se produit lui-même. Il se définit aussi par cette automatisation du processus de production qui ne cherche que sa propre croissance. La figure de l’homme n’est plus seulement celle du Travailleur, c’est aussi et surtout celle du consommateur. L’homme en est réduit à n’être plus qu’une machine à produire de l’argent. Le Gilet jaune est la version moderne de l’esclave au service de son maître : le capital. L’huile de coude a été remplacée par la machine, raison pour laquelle on peut aussi parler de techno-capitalisme qui est aussi l’autre figure du totalitarisme.

Emmanuel Macron n’a donc rien compris au film qui est en train de se dérouler sous ses yeux. Le capital l’aveugle. Les Gilets jaunes veulent le retour à une authentique justice sociale et militent donc pour un pouvoir qui sait redistribuer la richesse et non l’accaparer au profit d’une minorité.

Il est par ailleurs révélateur que la révolte des Gilets jaunes soit un mouvement bien Gaulois, Français de souche si l’on préfère, vu que les immigrés sont trop heureux de bénéficier des avantages sociaux et des trafics divers et variés que notre « démocratie » autorise pour acheter la paix sociale. Notamment celle des banlieues. A ce sujet, on remarquera que les baroques politiques de la ville qu’on nous vend depuis des décennies ont bénéficié massivement à ces banlieues au détriment du rééquilibrage des territoires. Or, ces fameuses politiques de la ville se sont révélés être un échec cuisant. L’association du capital et de la démocratie, c’est la dépense qui consiste essentiellement à déminer les conflits et à protéger le capital. C’est donc une impasse.

Aujourd’hui, nous en sommes arrivés à une telle dégradation de nos démocraties que celles-ci sont désormais aux mains du seul capital. D’où cette réaction populiste  que l’on constate dans toute l’Europe qui n’est autre que le refus par l’homme de n’être qu’une variable d’ajustement du capital et de son corollaire, le marché. La révolte des Gueux que nous sommes ou des "ploucs émissaires" comme l'écrit François Bousquet* !

(*) François Bousquet est le rédacteur en chef de la revue Eléments.

13:53 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

J’étais avec 40 Gilets jaunes quand Macron a parlé : qu’est-ce qu’il a pris !

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Pierre Cassen Riposte laïque cliquez ici

Je n’avais pas prévu d’écrire ce texte. J’avais pensé en faire une vidéo. Et puis, rien ne marche comme je veux, ce jour. C’est une mauvaise série. Après la suppression de ma vidéo Shadoks qui m’a obligé à aller sur la chaîne 2 de Riposte Laïque, ce qui nous pénalise de milliers de connexions quotidiennes (les vidéos tournaient entre 10 000 et 15 000 par jour, nous sommes tombés entre 1 000 et 2 000), c’est mon téléphone portable qui me fait des misères. Cinq enregistrements interrompus par un message m’expliquant que je n’avais plus assez de mémoire. Et j’avais beau faire de la place, le message revenait tout le temps. Grrrr !

Alors, Christine m’a filmé et j’ai mis la vidéo sur une chaîne. Mais pas la bonne ! Je craque, donc, et je vais vous raconter ce que j’ai à peu près dit sur la vidéo. Sauf que je vais en dire davantage et dépasser le temps que je m’impose (4 minutes) sur mon enregistrement quotidien.

Ce matin, vers 11 heures, j’étais au milieu d’une quarantaine de Gilets Jaunes qui, tous les jours, sont présents à un carrefour d’une petite ville de province. Je précise, pour ne pas m’attribuer un rôle que je n’ai pas, que depuis le début du mouvement, je passe environ deux heures par jour, pas davantage, à cet endroit, ayant nombre d’autres questions militantes à assumer par ailleurs. Donc, Macron a commencé à parler. Un poste de radio diffusait son discours. Les copains attendaient simplement une chose : que le  président de la République leur annonce clairement combien ils allaient payer le litre de super, d’essence ou de gasoil le 1erjanvier puis le 1er février. C’était uniquement pour cela qu’ils étaient mobilisés, des heures durant, dans le froid et sous la pluie, depuis dix jours. C’était pour cela que la majorité des automobilistes et camionneurs les soutenaient en affichant un gilet jaune, en klaxonnant ou en donnant de l’argent ou de la nourriture. Ce que les journalistes ne signalent jamais, même si j’ai apprécié, comme Christine, d’avoir eu droit (sans que le journaliste de CNews ne  connaisse notre identité) à un reportage de quelques secondes, hier, dans le journal télévisé animé par Laurence Ferrari (au bout de 23 minutes) cliquez ici.

Au bout de cinq minutes, pratiquement plus personne n’était à l’écoute. Spectaculaire et incroyable ! Les uns après les autres, les quarante Gilets jaunes s’étaient éloignés de la table en proférant, pour certains, des injures qu’il vaut mieux que les journalistes de BFM TV n’aient pas entendues, sinon on se prenait une campagne hostile pour homophobie.

Ils croyaient qu’ils auraient affaire à un président de la République, ils eurent à subir un vulgaire conférencier de la Cop21, un propagandiste écologique, un fanatique de la prétendue transition énergétique. Un mec hors-sol…

La conclusion de Macron était donc prévisible. Il fallait sauver la planète et protéger les Français des graves maladies imputées au diesel et autres énergies nuisibles. Et comme l’avenir de nos enfants était en jeu… Fini le nucléaire, grâce auquel, par une technologie française qui est la meilleure au monde, nos compatriotes ont l’électricité la moins chère du monde. Cinquante ans que les écolos nous prévoient un Tchernobyl français, toujours rien mais principe de précaution obligatoire. Place aux éoliennes et tant pis pour la beauté de nos paysages et pour notre porte-monnaie. Finies les voitures à essence et place aux voitures électriques, même si on ne sait pas quoi faire des batteries et s’il faut les recharger régulièrement. Fini l’individualisme de ces automobilistes français pauvres qui osent vouloir utiliser leur voiture pour eux seuls, au nom de leur liberté individuelle, place au covoiturage et, surtout, aux voitures électriques. Finies les chaudières au fuel, place au voltaïque ! Du soviétisme pur sucre proféré par des fanatiques utilisant l’alibi écologique pour faire gagner du fric aux petits copains écolos et mettre les Français au pas.

Qu’est-ce qu’ils doivent se marrer, les Chinois et les Américains, quand ils voient Macron faire chier son peuple, foutre en l’air des secteurs entiers de notre industrie et de notre énergie, et tout cela pour rien, pour la propagande !

En effet, c’est François Gervais, spécialiste des questions climatiques et des matières premières, qui lève le lièvre. Et ce qu’il nous dit en une phrase met à bas toute la propagande de Macron. Voilà un homme, déjà auteur de cinq ouvrages en la matière, qui nous dit que la France émettant 0,9 % de CO2 sur la planète, si nous arrivions (ce qu’il ne croit pas possible) à réduire nos émissions de 20 %, nous obtiendrions une baisse de température de 0,001 degré. Et pour un millième de degré, le fanatique écolo Macron veut imposer aux Français une révolution dans leur mode de vie, qu’il entend, bien sûr, leur faire payer, car si les Français ne la paient pas, qui la paiera ?

11:03 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Bastion social soutient la mobilisation populaire de samedi prochain

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Communiqué du Bastion social :

N'en déplaise aux énarques qui nous gouvernent, ni les tentatives d'instrumentalisation par de prétendues "délégations officielles des gilets jaunes" ne représentant rien ni personne d'autre que ceux qui les composent, ni les quelques miettes de festin jettées ne suffiront à apaiser la colère du peuple français et à enrayer le mouvement de protestation -ou plutôt de révolte- en cours comme elles suffisent généralement à stopper les mobilisations encadrées par des organisations syndicales à la botte d'intérêts étrangers à ceux de notre peuple.

Les Français n'ont besoin de personne pour parler à leur place et n'ont que faire de vos concessions qui ne sont que l'arbre cachant la forêt. Samedi, tous à Paris.

09:05 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Réunion de la Dissidence française samedi prochain à Paris

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08:53 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Béziers : Robert Ménard et les élus siègent au conseil municipal vêtus de gilets jaunes

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Robert Ménard avait déjà à plusieurs reprise apporté son soutien au mouvement des gilets jaunes. Le maire de Béziers l’a une nouvelle fois formalisé lundi soir, à l’occasion du conseil municipal. Lui et ses élus se sont présentés habillés de gilets jaunes. Au moment d’ouvrir la séance, l’édile a assuré que « ces gilets jaunes ne sont pas de la récupération, mais de la solidarité pour les gilets jaunes que nous accompagnons ».

Source : Midi Libre et contre info.com

00:49 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |