samedi, 25 avril 2020
Le pouvoir en France et en l'Allemagne face au coronavirus
Johann Chapoutot*, professeur d'histoire à la Sorbonne est un spécialiste de l'Allemagne dont il enseigne l'histoire de 1806 à nos jours. Il a aussi renouvelé l'étude du nazisme en l'abordant sous l'angle culturel, un aspect que la plupart des historiens ont passé sous silence, réduisant le nazisme à l'archétype du Mal.
Homme de gauche, Johann Chapoutot s'est livré pour le site Mediapart à une comparaison entre l'attitude du pouvoir en l'Allemagne et en France face au coronavirus. En un mot comme en cent, le pouvoir en Allemagne s'adresse à des adultes quand l'Etat français n'a de cesse de nous infantiliser .
(*) On lira avec intérêt, La loi du sang (Gallimard, 2015) La révolution culturelle nazie (Gallimard, 2014), Comprendre le nazisme (Tallandier, 2018).
Lire l'entretien ICI
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RAMADAN 2020, OU L'AN I DE LA CHARIA EN FRANCE.
Olivier Piacentini
Cela fait des années que nous voyons venir la chose, des années que nous l'annonçons, mettons en garde les populations. Et voila que les prophéties des oiseaux de malheurs et des vilains racistes et islamophobes que nous sommes, deviennent réalité. La France est en passe de devenir sous nos yeux un califat islamique, le ramadan de cette année si particulière le révèle au grand jour.
La preuve ? A Marseille, le préfet vient de concéder officiellement aux musulmans des assouplissements aux règles du confinement pendant le ramadan. Dans le Calvados, des policiers ont révélé une note confidentielle de la préfecture leur intimant de n'intervenir dans les quartiers islamisés qu'en cas d'atteintes graves aux personnes ou aux biens. Et les mêmes policiers de supputer que le Calvados pourrait ne pas être le seul département concerné par ce type de directive.
Qu'est ce que tout cela signifie concrètement ? Si demain, des personnes attrapent le coronavirus à Marseille, la cause pourrait en être les dérogations accordées à l'Islam. Merci Monsieur le préfet, merci messieurs Macron, Philippe, Castaner. Dans le Calvados, les braves gens qui supportent déjà le confinement, les amendes pour oubli d'attestation, ou pour des paniers de courses pas assez remplis, devront également endurer les tapages nocturnes des fidèles, l'agitation au bas de leur immeuble, les actes de vandalisme jugés mineurs sur leur véhicule ou leur logement, ou toutes autres nuisances. Si vous êtes dans ce cas, inutile d'appeler le 17, ni le 22 à Asnières, personne ne viendra : on vous dira de mettre des boules quies, et de prendre votre mal en patience, c'est Monsieur le Préfet qui l'ordonne. Les forces de l'ordre sont mobilisées pour cerner la mémé qui promène son chien, ou encore les plagistes ou les randonneurs de haute montagne poursuivis par des hélicos : aux grands maux les grands remèdes... Ou mieux encore, les quinze fidèles qui assistaient à une messe en l'église Saint Nicolas du Chardonnet, qui ont suscité l'ire du gouvernement et des médias. Mais pas les musulmans qui fêtent ramadan dans le bruit et ne respectent pas le voisinage.
Après l'affaire Mila, cette jeune lesbienne menacée de mort sur les réseaux sociaux pour avoir blasphémé, puis ensuite vertement tancée par mesdames Belloubet et Royal en personne, abandonnée à son sort par la gauche et les associations LGBT, le ramadan 2020 marque donc l'an I de la soumission officielle de la République à l'Islam. L'Islam a donc acquis un statut spécial dans notre république soit disant laïque, neutre, mais qui en réalité se couche devant plus fort qu'elle : les lois de la République, qui exigent de respecter le confinement, la tranquillité du voisinage, l'intégrité des biens et des personnes, doivent donc s'incliner devant la tradition du ramadan.
C'est la première fois que c'est exprimé officiellement par des représentants de l'État. Et avec effusion en plus : Castaner a exprimé ses vœux sincères de bon ramadan à tous nos compatriotes musulmans, après avoir ignoré superbement les fêtes de Pâques. La soumission dans la joie et la bonne humeur, en quelques sorte...
Source cliquez ici
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Covid-19 et France : des Statistiques et de leur usage
Bernard Plouvier
Comme pour toutes les épreuves, qu’elles soient individuelles ou collectives, l’unique question importante est invariable : quelle(s) leçon(s) en tirer ?
Pour y répondre, il faut commencer par ouvrir les yeux et aller au-delà de la simple apparence. Fin avril, au bout de vingt semaines de pandémie, les statistiques officielles – certes biaisées par les chiffres curieux lancés de Chine, de Corée du Nord ou d’États arriérés – semblent avoisiner les 3 millions de cas répertoriés et traités. La mortalité globale cumulative atteint pratiquement les 200 000 (soit un ratio de mortalité/cas répertoriés d’environ 6,6%)... on a paralysé la vie économique de l’Occident pour un « machin » qui tue beaucoup moins que la grippe !
Les données catégorielles chinoises des deux premiers mois (qui furent probablement peu truquées, car personne ne prévoyait l’ampleur que prendrait l’épidémie dans l’hémisphère Nord), puis celles venues d’Italie sont confirmées par l’étude des 10 000 premiers décès de France : la mortalité est de type sélection naturelle, comme c’était prévisible.
En France, 9 700 des 10 000 premiers décès ont porté sur des plus de 59 ans (6 000 de plus de 80ans ; 2 500 de 70 à 79 ans et 1 200 de 60 à 69 ans), avec une surmortalité masculine (60% des morts).
Les accidents vasculaires cérébraux ou coronariens liés à l’hypoxie – le manque d’oxygène – témoignent des conséquences du tabagisme plus important dans les antécédents de nos « vieux » que chez nos « vieilles »... lors d’une épidémie survenant dans 30 ou 40 ans, le sex ratio sera probablement égal à 1 du fait du tabagisme forcené de nos jeunes dames ! La soi-disant protection dont bénéficieraient les fumeurs paraît bizarre au vu des statistiques de mortalité qui commencent à être disponibles. Là comme ailleurs, il faut se méfier des effets d’annonce et attendre des études rigoureusement conduites.
Donc, une fois encore : Non ! Ce n’est pas la « guerre », soit une suite d’événements où meurent préférentiellement des hommes jeunes, en plus de « dégâts collatéraux » de tous âges et sexes.
Ce n’est pas la guerre... sauf dans nos zones de non-droit, où Macron-Philippe-Castaner démontrent plus encore qu’ailleurs leur incompétence et leur faiblesse coupables. Des comptes seront à rendre à la Nation, bien sûr pour la « gestion » (l’expression pilotage sans visibilité semble plus adaptée) économique et sanitaire de cette épidémie, mais aussi pour la tolérance des émeutes provoquées par les envahisseurs inutilement importés.
Il est très incomplet d’évoquer la « 4e position » de la France dans cette pandémie, en ne tenant compte que du seul nombre de cas traités. Les USA, où l’on avoisine le million de cas répertoriés, ont un poids démographique (330 millions d’habitants) sans comparaison avec ceux des 2e (Espagne : 220 000 cas) et 3e (Italie avec 195 000 cas) pays réputés les plus touchés. La France arrive effectivement en 4e position (160 000 cas), suivie de l’Allemagne (155 000 cas) et de la Grande-Bretagne (145 000 cas).
La Chine aurait moins de 90 000 cas répertoriés – sur 1,4 milliard d’habitants, dont une majorité d’individus à l’hygiène nulle ! En fait, depuis mi-mars, le compteur est bloqué sur le chiffre de « 83 899 cas ». La tricherie statistique est si évidente que l’on ne doit plus raisonner que sur les statistiques des pays occidentaux, d’autres pays asiatiques publiant aussi des estimations « curieuses ».
Si l’on étudie le nombre des morts en Occident, on peut soit les rapporter à la population soit les rapporter au nombre de cas traités. Bien sûr, les USA enregistrent entre 46 000 et 47 000 morts, à la date du 25 avril, mais rapportés aux 905 500 cas traités, cela donne un ratio morts/cas traités de 5,13%, ce qui est plus bas que la moyenne planétaire.
Le désastre sanitaire français n’apparaît dans toute son ampleur que si l’on étudie ce ratio mortalité/nombre de cas répertoriés. Avec 5 760 morts, l’Allemagne affiche le ratio le plus bas d’Occident (3,7%). Le système sanitaire français est, au moins pour l’instant, ridiculisé : avec 22 250 morts (13,9% de morts, soit le double de la moyenne planétaire). Nous sommes moins performants que les Espagnols (certes : 22 540 morts, mais pour 220 000 cas, soit un ratio de 10,24%). Seuls, les Belges font pire avec un ratio de 15,1% de morts/cas traités. Même les Italiens et les Britanniques, si critiqués, font un peu mieux que nous avec un ratio de 13,5% ; les Néerlandais sont à 11,7%.
La French Touch, l’exception française et autres fadaises publicitaires se paient très chèrement : incompétence semble rimer avec jactance ! Notre France sortira un peu meurtrie de cette crise, mais bien davantage encore appauvrie et surtout ridiculisée.
En plus de l’épreuve économique et morale engendrée par cette crise sanitaire, nous sommes contraints de subir la folie furieuse d’une population immigrée qui « s’auto-administre » du fait de la lâcheté de nos princes : économie reposant sur divers trafics (drogues, armes, prostitution, pillages), hors de tout contrôle des polices très bizarrement dirigées ; zones de guérilla civile larvée, se réveillant au gré d’imams de quartiers ou d’« intellos » qui ont pour seul objectif de détruire la société d’accueil.
Par l’effet d’une panique, l’on a ordonné l’arrêt de presque toute la vie économique... sans paralyser un seul instant les trafics de nos chers Z’immigrés. Le coût de cette folie plombera tellement la Dette que nos doux princes recommandent la politique de l’autruche : « Y-a-plus-de-dette » devient le slogan des «experts économistes »... s’ils sont aussi doués que les « experts médicaux » qu’on a vu à l’œuvre ces dernières semaines, ça promet !
Enfin, nos hôpitaux ont démontré qu’ils sont totalement inadaptés à la gestion sérieuse d’une crise sanitaire majeure.
Aux électeurs de conclure : on balaie les charlots ou on les remet en selle pour détruire définitivement l’État et laisser le champ libre à la substitution de population.
La France reste une République européenne ou vire à la Ripoublique islamique de Franchaouia.
15:10 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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ENCORE UNE VOLTE-FACE DE MACRON
Pierre Vial président de Terre et peuple cliquez ici
Macron est décidément un nuisible et de la pire espèce. Il vient de démontrer une fois de plus qu’il est un spécialiste de la volte-face la plus cynique : après avoir annoncé que les personnes âgées de plus de 70 ans seraient exclues du déconfinement, il a dit le contraire quelques jours après. Tout simplement parce que, vu le mécontentement que son annonce a provoqué, les fins stratèges (?) qui l’entourent lui ont fait remarquer que son électorat est composé en bonne partie de personnes âgées, trop crédules pour avoir perçu jusqu’à présent le caractère nocif du personnage. Donc, marche arrière toute, avec un grand sourire histoire de rappeler qu’il se fout du monde.
Les maires et autres élus locaux sont bien placés pour le savoir. Quand il y a des problèmes locaux emmerdants (insécurité, insalubrité, équipements défectueux, etc) c’est pour eux. Mais s’ils veulent prendre des mesures affirmant leur autonomie et leur pouvoir local, par exemple pour lutter contre la pandémie, ils se font immédiatement taper sur les doigts par les autorités administratives et judiciaires, émanations du pouvoir jacobin. Le centralisme parisien ne supporte pas qu’on mette en cause son omnipotence et son mépris des « provinciaux ».
Sur le plan international Macron pratique aussi avec désinvolture le retournement de veste. Le dernier en date concerne l’Albanie. Comme le savent tous ceux qui s’intéressent à la géopolitique, l’Albanie est un pays pourri jusqu’à la moelle, un pays maffieux où trafic d’armes, de drogue et même d’organes humains (prélevés sur des Serbes au Kosovo) ainsi que d’esclaves prostitué(e)s sont une « industrie » nationale, comme le savent fort les polices occidentales. C’est aussi une base commode pour les djihadistes voulant s’infiltrer en Europe occidentale. Or, comme le rappelle l’excellente lettre d’information quotidienne Eurolibertés, les différents gouvernements européens ont donné le 24 mars leur feu vert pour relancer le processus d’adhésion de l’Albanie et de la Macédoine du nord à l’Union européenne. Le veto que mettait jusqu’à maintenant la France à ces candidatures a été levé par le président Macron.
L’Albanie a initialement présenté sa demande d’adhésion à l’Union européenne en 2009. Depuis cette demande, plusieurs étapes dans le processus d’adhésion ont été franchies.
Quatre pays dont la France ont longtemps mis leur veto au lancement des négociations en vue de l’adhésion de l’Albanie et de la Macédoine du nord à l’UE et la continuité de cette position a été réaffirmée lors d’une réunion des ministres des affaires étrangères à Luxembourg le 15 octobre 2019. Cinq mois plus tard, changement de cap : le 24 mars 2020, les représentants des divers pays européens décidaient à l’unanimité d’ouvrir les négociations en vue de l’adhésion des deux pays demandeurs à l’UE.
Comment expliquer ce revirement ? L’accord qui permet la relance du processus d’adhésion de l’Albanie à l’UE comporte plusieurs mesures que doit prendre son gouvernement. Ces réformes concernent entre autres le financement de la vie politique, une réforme judiciaire et la mise en place de structures spécialisées dans la lutte contre la corruption et la criminalité organisée. Ce qui fait éclater de rire (jaune) ceux qui connaissent l’Albanie. Mais la nomenklatura des institutions européennes n’en a cure et choisit, comme d’habitude, de fermer les yeux sur les vérités qui dérangent.
On sait combien les politiciens sont des girouettes. Mais Macron restera dans l’Histoire comme un cas exemplaire.
12:20 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Journal du chaos
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12:18 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Enquête de Synthèse nationale sur la crise actuelle : le point de vue des Brigandes
Nous publions aujourd'hui le sixième volet de notre enquête avec le point de vue de nos ami(e)s du Clan des Brigandes. Pour celui-ci, à la désintégration du monde actuel, il faut opposer le rassemblement communautaire. Les Brigandes savent de quoi elles parlent puisque, pour elles, il s'agit là d'une expérience vécue. Pour les autres, peut-être une piste à étudier...
S.N.
Le Clan des Brigandes
Nous traversons une situation historique, un changement d’époque. La « crise coronavirus » qu’on nous impose en est le signe.
Tout d’abord, voici quelques éléments pour ceux qui seraient sceptiques quant à ce que nous allons exposer :
Nous connaissons la plus grande restriction des libertés fondamentales qu’il y ait jamais eu dans notre histoire connue, en temps de paix et à l’échelle mondiale. Cette restriction repose sur une prétendue pandémie, qui est pour le moment bien moins meurtrière que certaines grippes (celles de 1969, 1957,…) n’ayant jamais justifié de telles mesures. On remarque que :
- Certains hôpitaux sont quasiment vides (reportage-vidéo allemand à l’appui).
- Les chiffres des décès du cancer, de maladies respiratoires et autres ont curieusement baissé depuis mars 2020 : et pour cause, puisque toute personne décédée « avec » le coronavirus est classée dans les décédés « du » coronavirus. L’écrasante majorité des personnes prétendument décédées de ce virus avaient par ailleurs d’autres maladies graves (voir les statistiques).
- Le taux de mortalité en France n’a pas augmenté d’une manière si significative par rapport aux autres années, et il est même légèrement plus bas en mars 2020 qu’en mars 2018 !
- Des sommités, comme le Prix Nobel Luc Montagnier, affirment que le virus est de fabrication humaine et que toute recherche visant à le démontrer est étouffée par « les autorités internationales ».
- Les articles ou vidéos explorant des pistes alternatives au sujet du coronavirus, sur des plateformes comme YouTube ou Facebook, sont censurés au même titre que « l’incitation à la haine ».
- Des économistes avaient prévus une crise économique pour mars 2020.
- Etc., etc.
On pourrait aussi mentionner tout ce qui suit cette prétendue crise sanitaire : rachat par des grandes firmes d’une quantité énorme d’entreprises en faillite à cause du confinement, connexion entre le grand ponte de la vaccination mondiale et de l’identité numérique (Bill Gates) avec le patron de l’OMS, etc.
Bref, nous ne nous étendrons pas sur ces multiples éléments, mais ceux-ci démontrent que nous sommes là face à une manipulation ayant permis de tester – et pour un prétexte fallacieux ! – l’immobilisation de la majorité de la planète, ce qui n’avait encore jamais été réalisé.
Le test est concluant : désormais, le coup du virus pourra être ressorti n’importe quand pour justifier la mise à l’arrêt d’un ou plusieurs pays. Nous passons là une étape historique, qui peut ouvrir la voie à de nouveaux totalitarismes, pouvant même se révéler plus dangereux que ceux que nous avons connus au XXe siècle car ils ne seront pas justifiés par une idéologie (laquelle a toujours des opposants), mais par la nécessité de sauver l’humanité ! Qui peut s’opposer à la sauvegarde de l’humanité sans passer pour un monstre ?
Ce nouveau prétexte, ainsi que la dimension internationale de ses conséquences, doivent nous faire redouter le pire : même si le confinement se lève et que nous avons l’impression de retrouver une certaine « liberté », nous avons passé un cap et glisserons progressivement, dans les mois et années à venir, vers une société pouvant légitimer l’interdiction des libertés les plus fondamentales… et ensuite la répression de ses opposants ! On entend déjà que « ceux qui affirment qu’il n’y a pas une réelle pandémie incitent à la baisse de la vigilance et sont donc des dangers publics » ! La catégorisation de certaines personnes en tant que « danger pour les autres » a toujours été le meilleur prétexte à la persécution de ces personnes.
Tout cela, vous le savez probablement. Allons donc plus loin :
Nous ne croyons pas que les peuples vont soudainement se réveiller et reconquérir leur souveraineté. Les révolutions authentiquement populaires n’existent pas sans lobbies. Et elles existent encore moins quand il faut obéir pour préserver sa santé !
Nous ne croyons pas dans la politique électorale, soumise aux impératifs des structures mondiales : tous les pays font partie de l’ONU ou de l’OMS, et on aura vu la crise actuelle rassembler Poutine, Macron et Trump dans le même mouvement ! Comment pourraient-ils faire autrement ? (Pourquoi pas un seul politicien ne dénonce-t-il l’incroyable exagération des mesures adoptées ?)
Nous croyons que nous allons passer par une phase de nouveaux totalitarismes qui pourra durer longtemps, dans laquelle la technocratie globale pourra s’étendre encore plus rapidement et la caste scientiste-médicale se trouvera au poste de direction.
Nous savons que le Système accélère la réalisation de ce plan selon certaines échéances, et la date de 2025 en est une. Cette date-pivot est mentionnée à plusieurs reprises, au départ par la loge occultiste Lucis Trust (qui siège encore aujourd’hui à côté de l’ONU à Genève), jusqu’au rapport de la CIA de 2008 publié dans le fameux livre d’Alexandre Adler dans lequel la pandémie mondiale d’un coronavirus était « envisagée ». Ce rapport de la CIA dresse un calendrier jusqu’en 2025 !
Les religions étant encore les derniers refuges au sein desquels on peut trouver des éléments réfractaires à la technocratie internationale, on assistera à l’établissement d’un syncrétisme religieux accordé à l’ordre mondial. Les chefs religieux conduiront (et conduisent déjà) leurs brebis vers la soumission. La politique du Pape pendant cette « crise coronavirus » est démonstrative à cet égard. On assistera probablement à une mise en scène grandiose pour réunir les tendances religieuses dans un même courant, qui donnera une légitimité théocratique à un ordre mondial ayant déjà sa légitimité scientifique et sanitaire !
Il est bon, sur ce sujet, de consulter notre vidéo Commentaires de Joël LaBruyère sur la chanson des Brigandes "D'ici 2025": Le faux-prophète qui vient cliquez ici
Voilà comment nous voyons l’avenir. C’est pour cette raison que Joël Labruyère a rassemblé un clan communautaire – dernière possibilité de vivre en accord avec ses idées et avec ses proches, lorsque les libertés de mouvement et de réunion sont profanées.
La civilisation mondiale qui est en place aura, comme toute civilisation, son heure de fin : mais quand ? Il vaut mieux se préparer à ce que ce soit plus long qu’espéré, car en science militaire on envisage le pire pour être préparé à toutes les éventualités.
Alors que faire ? Déjà rester alertes, car la conscience est notre première arme. Et ensuite, préparer des vrais réseaux de proximité, retrouver le sens du réel, avoir des personnes sur qui compter. Internet offrira bien peu de choses, et il n’en offre déjà pas beaucoup à côté de cela : il vaut mieux avoir une personne qui vienne nous rencontrer pour nous témoigner son approbation, que 1 000 qui cliquent « J’aime » à distance.
Puissent ces réflexions servir à ceux qui ne s’abandonnent pas à de vaines espérances.
Lire aussi l'entretien avec Joël Labruyère dans le dernier numéro de la revue Synthèse nationale cliquez là
11:47 Publié dans Notre enquête sur l'après mondialisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Tandis que les banlieues s’embrasent sous l’œil bienveillant de Castaner, des Français inoffensifs sont verbalisés
Source Medias Presse info cliquez là
Alors que le confinement emprisonne les honnêtes citoyens chez eux, détruit leur outil de travail lorsqu’ils sont commerçants, artisans, petits entrepreneurs, dans les banlieues, le confinement, la racaille s’en balance.
Pire, ces no-go-zones s’embrasent, les violences ne cessent de croître, notamment depuis l’accident d’un motard de 30 ans, multi-récidiviste, qui s’est blessé après avoir percuté un véhicule de Police à Villeneuve-la-Garenne, dans les Hauts-de-Seine. Depuis, ceux que peu de journalistes ose dénommer selon leur comportement, des « racailles », narguent et agressent chaque nuit les forces de police et les pompiers, avec des tirs de cocktails Molotov et de projectiles par des lance-roquettes.
Mais pour le ministre de l’Intérieur venu des sombres salles de jeu, Castaner, « ces tensions ne sont pas d’un niveau de gravité exceptionnelle (…) Les causes sont nombreuses, notamment le confinement (…) ». Il faut dire que le gouvernement, via les media aux ordres, minimise largement ces faits, avant tout parce que l’État a depuis longtemps abandonné ces quartiers non pas populaires mais d’immigration aux trafics de drogue et aux caïds.
Par contre, si l’État excuse toutes ces violences en banlieue, non pas quartiers populaires mais d’immigration, il prend sa revanche sur les vrais Français populaires, tous des Gilets Jaunes en puissance qu’il faut mater, et envoie manu-militari sa police sanctionner sans trêve les honnêtes citoyens du monde rural ou les confinés des villes normales. Ainsi une petite vieille, pas riche du tout, a été verbalisée pour avoir été se promener sur un quai d’une petite ville de Bretagne. Et un cavalier parti se promener avec son cheval s’est pris une amende sur un sentier de terre, les gendarmes du petit despote Macron ne pouvant concevoir le cheval comme un honnête moyen de déplacement pour sortir en confinement.
11:05 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Entretien avec Pierre Manent dans Le Figaro (24 avril 2020)
Disciple de Raymond Aron, dont il fut l’assistant au Collège de France, le philosophe, auteur de remarquables travaux sur le libéralisme et l’État- nation, analyse la crise inédite que nous vivons et le rapport à la politique qu’elle révèle. Pour lui, nous subissons un retour des « traits les moins aimables de notre État ». Le confinement, mesure « primitive » et « brutale », est une suspension inédite de nos libertés. Il s’accompagne d’une prise de conscience collective des conséquences de l’abandon de l’idée d’indépendance nationale depuis des décennies.
L’auteur de La Cité de l’homme voit dans la crise actuelle « la fin du bovarysme européen » et la confirmation de l’hégémonie allemande dans une Union délitée. C’est moins le libéralisme qui est remis en cause que l’idée d’un ordre humain réduit à la seule gestion des flux, juge Pierre Manent.
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09:10 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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