lundi, 22 mars 2021
MERCREDI 24 MARS, À PARTIR DE 18 H, THOMAS FERRIER, INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS
23:42 Publié dans Radio Libertés Synthèse, Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
COVID-19 : qu’ils arrêtent de nous emmerder !
Pieter KERSTENS.
Durant les 15 derniers mois, jour après jour, les médias ne cessent de diffuser la propagande hystérique des gouvernements européens et nous submergent par leur stratégie de la terreur.
ORDRES + CONTRORDRES = DESORDRES.
L’épidémie ne devait pas se diffuser en Europe et se cantonner à l’Asie selon les déclarations de certains ministres de la Santé, au début de l’an 2020.
Puis on nous a dit que le port du masque n’était pas essentiel si l’on n’était pas malade.
Ensuite, le dépistage des malades ne présentait pas d’urgence.
Et l’isolement dans des centres médicaux était superflu.
Le manque d’appareils respiratoires pour la réanimation artificielle par contre, lui, était criant.
Il fallait donc absolument pallier cette carence par des interdictions de circuler de mars à mai 2020.
Les clowns qui dirigeaient l’Europe nous avaient promis la Lune, en affirmant dès juillet 2020 que les vaccins allaient résoudre tous les problèmes et nous conduire vers « le monde d’après », sans couvre-feux…
Enfin, après l’annonce fin 2020 de divers sérums disponibles sur le marché, la Commission Européenne aurait commandé plus d’un milliard de doses pour les 26 pays de l’Union.
Fin mars 2021, après 3 mois, seuls 10% des européens auraient reçu la 1ère injection ( sauf Malte 25%) contre 50% en Grande-Bretagne, 30% aux USA et 25% mais 65% en Israël.
Cela démontre clairement les incompétences, l’incurie et l’incapacité de la majorité des Chefs d’Etat et de Gouvernement en Europe pour la gestion de cette crise, alors même que ceux-ci ont imposé des Plans d’Urgence Sanitaire qui les autorisent à gouverner par décrets, en court-circuitant les Parlements !
LES POURRITICARDS SE FOUTENT DU MONDE : ON DOIT LES DEGAGER !
Sous prétexte de « sauver les hôpitaux » et les plus vieux de la société, « les plus fragiles » (lire les obèses, les diabétiques ou les cardiaques) les princes qui nous gouvernent ont stoppé la majeure partie des activités économiques de nos pays et assigné leur population à résidence. De nombreuses interdictions d’activités limitent les déplacements des personnes et conduisent à creuser le gouffre des dettes publiques et l’explosion du chômage, malgré de multiples aides, subventions ou prêts qu’il faudra quand même rembourser un jour.
NON, leur « monde d’après » ne sera pas différent du monde de 2019.
Et pour ceux d’entre nous qui ne sont pas tombés dans la paranoïa ou l’hystérie il est tout de même évident de constater que ce Covid-19, SRAS-COV-2, est une fois encore venu de Chine et ne tuera pas de façon terrifiante tout le monde, mais évidemment les plus âgés (dont je fais partie) comme c’est logique, car nous ne sommes pas éternels !
Enfin, il est quand même curieux que PAS LE MOINDRE EXPERT OU MEDECIN ne compare cette épidémie à d’autres fléaux qui accablent aujourd’hui notre planète.
Depuis 15 mois, le Covid-19 est la cause de 2,717 millions de décès dans le monde, soit en moyenne 6.000 par jour (et 4.500 le 20 mars 2021).
Mais TOUS LES JOURS, ce sont 25.000 personnes qui meurent de faim sur notre Planète (source « La faim » de M. Caparros en 2015) soit 9,125 millions de décès par an dus à la faim surtout au Soudan du Sud, au Yémen, en Afghanistan, à Haïti, au Venezuela, en Ethiopie ou en République du Congo, sans oublier l’Inde, le Pakistan ou le Bangladesh par exemple. Quelle télévision, quelle radio ou journal à grande diffusion en a fait ses gros titres ces derniers mois ? Silence dans les rangs, ce n’est pas le sujet qui fait encore pleurer Margot.
OUI, la faim tue 5 fois plus que le Covid dans le monde en ce mois de mars 2021 et là, pas de vaccin ?
Où se trouve la priorité ? Dans les poubelles : 930 millions de tonnes de denrées alimentaires ont été gaspillées en 2019 (soit 120 kgs/an par consommateur) ! (source = Programme des Nations Unies pour l’Environnement).
16:43 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Rendez-nous nos humanités greco-romaines*
L’Antiquité gréco-latine, son étude et son héritage, sont gravement mis en cause dans les pays occidentaux. Il est crucial pour notre avenir de les défendre, soulignent les 41 signataires, tous professeurs d’université français et italiens, hellénistes, latinistes, historiens et philosophes. (source Le Figaro 22/3)
(*) le titre est de la rédaction
Lire la suite ICI
12:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
La lutte des races a remplacé la lutte des classes
Yves Thréard
Gauche, qu’as-tu fait de tes enfants ? Tu les voulais universalistes, ils tiennent maintenant des discours racistes. Tu les souhaitais militants de la diversité, ils revendiquent désormais le droit à l’exclusion. Tu les espérais fidèles à des valeurs d’égalité, d’égalité, ils sombrent à présent dans l’activisme identitaire. Depuis quelques années, la dérive de l’Unef, école de la contestation estudiantine et sociale, est patente. Le syndicat vient encore de se distinguer, par la voix de sa présidente, qui a déclaré organiser des réunions « non mixtes racisées ». Sa vice-présidente, elle, s’affiche partout couverte du voile islamique.
Jean Jaurès doit se retourner dans sa tombe ! Jean-Luc Mélenchon, lui, n’y voit rien à redire, au contraire. Cela n’est pas étonnant, car l’Unef est à l’image d’une partie de la gauche d’aujourd’hui, rattrapée par l’islamo-gauchisme. La lutte des races a remplacé la lutte des classes. En perte de vitesse, les trotskistes défroqués pensent avoir trouvé, avec les minorités, un nouveau prolétariat à défendre. Feu sur le mâle blanc, violeur en puissance, coupable héritiers du colonialisme, du sexisme, de l’oppression chrétienne et capitaliste. Le virus gagne les esprits de toute la sphère éducative, de certaines fédération de parents d’élèves à l’université. Il se propage dans les instituts de sciences politiques, où s’exerce la chasse aux professeurs récalcitrants. Science Po Paris consacre même tous les ans une journée à la gloire du hidjab. La censure frappe les conférenciers mal-pensants, les spectacles non conformes aux canons de l’indigénisme et les plus grands auteurs ; Eschyle en a fait les frais à la Sorbonne.
Condamner ce glissement sectaire, mélange d’arrogance et d’ignorance, revient à passer pour un suppôt de l’extrême droite. Sans doute est-ce là l’explication du faible nombre de voix qui ont le courage de le dénoncer et de le combattre. L’État lui-même devrait ouvrir les yeux en cessant de subventionner des organisations comme l’Unef. Stop à la décadence idéologique !
Source : Le Figaro 22/03/2021
10:16 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Risques de corrections boursières, de krachs obligataires et d’actions en 2021
Le CAC 40 a fini en net repli de 1,07 %, ce vendredi, en dessous des 6.000 points, à l’issue d’une semaine volatile, perturbée par les craintes inflationnistes et les taux d’intérêt américains à 10 ans. Les taux obligataires états-uniens, qui semblaient s’assagir, sont repartis à la hausse jusqu’à 1,74 %. L’irrationnel s’empare des esprits dans un monde instable, surendetté, qui croule sous les liquidités des banques centrales. L’or surréagit à la baisse avec des cotations autour de 1.730 dollars l’once, trop sensible à la hausse nominale des taux d’intérêt, tandis que le Bitcoin spéculatif prend son envol vers des sommets à plus de 60.000 dollars, même si la camarde l’attend au bout du chemin. Selon Jean-Claude Trichet, la bulle des crypto-actifs ressemble à la célèbre bulle des tulipes néerlandaises au XVIIe siècle. Un projet de loi qui a de grandes chances d’être adopté au Parlement indien vise à interdire le négoce, le minage et la détention du Bitcoin et de toutes les cryptomonnaies dans l’ensemble du pays. En Chine, le minage est d’ores et déjà interdit.
Quant à l’or, il attend, au contraire, patiemment son heure. La Pologne veut encore acquérir 100 tonnes du métal précieux, après avoir déjà doublé ses réserves. La Banque centrale polonaise pourrait supplanter la Banque d’Angleterre en termes de réserves d’or. De plus, les règles de Bâle III devaient entrer en vigueur le 28 juin 2021 : l’or physique sera alors considéré comme un actif bancaire de niveau 1. Il aura alors le même poids, dans le bilan d’une institution financière, que des espèces en euros ou des obligations souveraines d’État. Jusqu’à présent, l’or était considéré par les banques centrales comme un actif de niveau 3, ce qui signifiait une décote de 50 % par rapport à un actif de niveau 1. Les banques centrales seront donc d’autant plus intéressées à acheter de l’or physique pour le mettre en réserve dans leurs coffres.
Aux États-Unis, la masse monétaire M2 augmente à la verticale tandis que la vitesse de circulation de la monnaie diminue tout aussi rapidement d’une façon opposée. Les sommes énormes engagées par Joe Biden pour stimuler l’économie seront payées par une hausse de la fiscalité aussi bien par les entreprises (impôts sur les sociétés à 28 %) que par les particuliers (impôts sur le revenu, taxes sur les plus-values) ou par l’inflation. La croissance, en 2021, pourrait être de 6,5 % aux États-Unis avec une inflation de 2,4 %. Le déficit budgétaire a atteint 17 % du PIB, en 2020, et la dette américaine n’est pas soutenable à long terme, si l’on ne modifie pas la trajectoire des dépenses publiques.
En France, le coût de la crise sanitaire, en 2020, pour l’État est au minimum de 160 milliards d’euros, selon le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt. La commission Arthuis, chargée d’un rapport sur les finances publiques, nous met en garde : l’endettement de la France devrait atteindre 133 % du PIB, en 2030, et 150 % du PIB, en 2045. Une remontée des taux d’intérêt serait mortelle pour la France. 1 % de taux d’intérêt supplémentaire représentera 28,8 milliards d’euros, en 2030. 10 % de taux d’intérêt supplémentaires… les recettes totales du budget de l’État français ne suffiraient alors pas à payer, sans inflation, les seuls intérêts de la dette ! La France de Macron est un pays au bord de la banqueroute.
À terme, une forte inflation semble donc inévitable pour rembourser la dette en monnaie de singe. La monétisation de la dette par la BCE est une première forme d’effacement de la dette. La politique budgétaire de la fuite en avant continue. Patrick Artus estime que nous sommes au tout début d’une bulle sur les actions et l’immobilier, les banques centrales n’ayant plus comme seule solution, afin d’éviter l’effondrement, que d’empêcher la baisse des actifs et donc de créer des bulles. Ray Dalio, le fondateur de Bridgewater, estime qu’il faut être stupide pour investir aujourd’hui dans des obligations ; il faut acheter des actifs tangibles. Rabobank, de son côté, prédit des augmentations de prix bibliques à venir pour les denrées alimentaires. Pour l’instant, le président de la Fed Jerome Powell ne souhaite rien faire pour éviter l’inflation ; une surchauffe à venir de l’économie américaine est donc probable.
À terme, la Fed devra cependant essayer de maîtriser les taux afin qu’ils ne montent pas trop vite. La BCE a déjà annoncé son désir de stopper la hausse des taux obligataires en contrôlant la courbe des taux. La seule chose certaine, c’est que le pacte de stabilité de Maastricht est enterré. Une correction boursière est possible dans les semaines qui viennent, suivie d’un krach obligataire, avec ensuite un krach possible des actions à partir du mois d’août, si l’on en croit les prévisions du Forum monétaire de Genève.
00:55 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |