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mercredi, 28 avril 2021

"Haro sur Zemmour !" Les vieux coups bas usés qui ne marchent plus...

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Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Alors qu'il n'a pas encore fait part de ses intentions pour la prochaine présidentielle, Eric Zemmour est déjà la cible des attaques insidieuses des thuriféraires du Système. Il faut dire que pour le célèbre chroniqueur, que beaucoup espère voir jouer un rôle politique de premier plan, les accusations coquines émanant d'une obscure militante socialiste d'Aix-en-Provence devraient être considérées comme la preuve de la crainte qu'il inspire à l'ensemble de la classe politico-médiatique aux affaires.

En effet, la présence d'Eric Zemmour à cette élection, au moment où l'on assiste à une "droitisation" (employons le mot pour faire simple) de notre peuple, serait de nature à révolutionner profondément et sans doute durablement le paysage politique français. Zemmour, qui a des idées claires et profondes, tranche singulièrement dans le fade climat actuel. Chaque soir, avec talent et persuasion, il s'adresse à des centaines de milliers de téléspectateurs (plus d'un million, dit-on) qui, grâce à lui, retrouvent l'espoir de voir enfin revivre la France française.

Dès lors, pour les morpions du "politiquement correct" qui s'accrochent à leurs prébendes, en bons petits domestiques serviles des tenants du mondialisme, une seule priorité : haro sur Zemmour (tout comme hier, ils criaient : « haro sur Jean-Marie Le Pen ») ! Et pour cela, tous les moyens sont bons.

Que s'est-il donc passé ? Faute d'être capables de discuter avec lui (on a vu comment les quelques ministres ou anciens ministres qui ont tenté de l'affronter se sont fait rétamer), les donneurs de leçons ont décidé d'utiliser la vile calomnie en se disant qu'il en restera toujours quelque chose.

Revenons aux faits : une dame Lenfant (photo ci-dessus), dont la notoriété jusqu'à présent ne dépassait pas le banc des élus socialistes d'Aix-en-Provence, s'est subitement rappelée, en voyant fleurir dans sa ville des affiches géantes appelant à la candidature d'Éric Zemmour, que celui-ci aurait été assez audacieux, en 2004 (ou en 2006, elle ne s'en souvient pas précisément), pour la complimenter sur sa robe et lui faire "un bisou" on ne sait pas très bien où. Quel scandale ! Non seulement Zemmour est talentueux, mais en plus il serait charmeur (ce que, généralement, les femmes « normales » apprécient plutôt). Venant d'une groupie du parti de Strauss-Kahn et de Duhamel, ces révélations, aussi tardives (près d'une vingtaine d'années après) que floues, tombent dans le parfait ridicule. S'ils espèrent faire taire celui qui incarne l'espérance pour un nombre croissant de Français, je crains qu'ils se trompent lourdement... De plus, autre "hic" à leurs allégations : personne, à part l'accusatrice, ne se souvient de cette "odieuse agression traumatisante". À commencer par l’accusé...

Mais le plus grave dans cette "affaire" (si tant est qu’on puisse parler d’ « affaire »…), c'est qu'elle révèle le niveau bien bas (au ras des caniveaux, comme dirait notre confrère Breizh-info) du personnel politique aux ordres. Incapables de justifier les désastreuses orientations des gouvernements (de gauche, du centre ou d'En marche) dont ils se réclament, ils sont persuadés, en utilisant ces vieilles ficèles usées que sont la délation et la diabolisation, d'avoir trouvé la parade face au vaste mouvement de résurgence nationale et populaire qui, bientôt, balaiera définitivement ces perroquets arrogants et ces perruches malsaines qui forment le parti de la soumission et de la collaboration au pouvoir.

L'élection présidentielle est prévue pour dans un an, mais, dans le registre "coups bas minables", visiblement, ça commence déjà...

13:09 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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