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mercredi, 10 mai 2023

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13:35 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Antifas : on pourrait finir par en rire

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Bernard Germain

Aujourd’hui 10 mai, le journal Ouest-France publie un article informant ses lecteurs du verdict rendu par le tribunal de St-Brieuc à l’encontre de deux antifas arrêtés le 28 janvier 2023 à Callac lors des vœux du maire, pour avoir affronté les gendarmes devant la mairie.

Rappelons quelques éléments.

Le 17 septembre 2022, manifestation autorisée des patriotes devant la mairie de Callac, réunissant 400 personnes contre le projet Horizon qui entendait faire venir dans le village 70 familles représentant plus de 500 personnes (25 % de la population du bourg).

Le même jour, contre-manifestation de la gauche et des antifas. Manifestation non déclarée et durant laquelle les antifas ont attaqué les gendarmes.

Aucune arrestation. Aucune poursuite.

Le 5 novembre 2022, seconde manifestation autorisée des patriotes devant la mairie avec 800 personnes cette fois (600 selon la police).

De nouveau, contre manifestation non déclarée de la gauche et des antifas. À nouveau, violents affrontements des antifas avec les gendarmes.

Aucune arrestation. Aucune poursuite.

Le 28 Janvier 2023, lors des vœux du maire à Callac. Danièle Le Men, présidente de l’association « Les Amis de Callac et ses environs » est agressée par des antifas devant la mairie. S’ensuivent des affrontements entre antifas et gendarmes, pour la troisième fois. Le lendemain le journal, le Télégramme de Brest, informe : « un gendarme blessé, une voiture de gendarmerie taguée et deux arrestations ».

Effectivement deux antifas sont arrêtés et mis en garde à vue.

Ce sont ces deux individus qui viennent d’être jugés.

On notera avec intérêt que les chefs d’accusation ont « oublié » le gendarme blessé. Le Télégramme de Brest a donc menti à ses lecteurs… il n’y a pas eu de gendarme blessé. Qu’on se le dise !

Et le verdict fait froid dans le dos par sa sévérité : 35 heures de Travail d’Intérêt Général pour l’un et relaxe pour l’autre.

Moi je vous le dis, maintenant qu’ils savent que la justice est impitoyable, les antifas vont trembler et ne recommenceront certainement pas à agresser les gendarmes ni les patriotes qui défendent leur pays.

Plus sérieusement, même si je sais qu’un procureur est seul décisionnaire de l’opportunité des poursuites, on est quand même en droit de s’interroger :

  • Pourquoi n’y a-t-il eu aucune poursuite pour les deux contre manifestations non déclarées ?
  • Pourquoi n’y a-t-il eu aucune poursuite pour les violences des antifas contre les gendarmes les 17 septembre et 5 novembre ?
  • Pourquoi le gendarme blessé le 28 janvier a-t-il disparu de la procédure ?
  • Pourquoi, seule la dégradation d’un véhicule de gendarmerie est-elle retenue, mais aucune violence ?
  • Pourquoi l’interdiction de paraître dans le département (22) pour ces deux antifas a-t-elle été réduite à la seule ville de Callac ?

Cela commence à faire beaucoup de questions qui sont autant de preuves que le régime ne veut pas en finir avec la violence des antifas qui pourtant sèment le chaos dans toute la France.

À l’inverse, la manifestation des jeunes patriotes à Paris, samedi dernier, s’est déroulée sans aucun incident, sans aucun feu de poubelle, pas plus qu’il n’y eut de violence. Ils ont simplement exprimé leur volonté de défendre leur pays. Sans violence ni dégradation. Mais là, tout le monde leur est tombé dessus. De l’extrême-gauche jusqu’au ministre de l’intérieur.

C’est donc clair, pour tous ces bien-pensants qui refusent de voir et de condamner les violences quasi quotidiennes des antifas - en fait de vrais petits nervis du mondialisme - défendre son pays est un délit et quiconque s’aventurera sur ce chemin devra en répondre.

Sauf que cela produit l’effet exactement inverse. De plus en plus de jeunes, comprennent les choses et rejoignent les rangs des patriotes.

Au reste, la situation devient à ce point caricaturale qu’on pourrait presque en rire, si la situation du pays n’était pas si grave.

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Nuages noirs sur l'Europe

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Jean-Gilles Malliarakis

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Misérablement désavoué à l'intérieur de ses frontières par sa prestation, ce 8 mai, sur les Champs-Élysées déserts, le chef de l'État a donc cherché à regagner en popularité. Il s'est donc posé le lendemain 9 mai en porte-parole de la "Journée de l'Europe".

Confondant une fois de plus la réalité de notre Vieux Continent avec les institutions hasardeuses qui le régissent, il présente celles-ci comme protectrices de nos peuples. Or, manifestement, les dangers grandissants qui nous menacent et se multiplient se voient occultés par ceux-là mêmes qui prétendent nous défendre.

Malheureusement, en effet, depuis la déclaration Schuman de 1950, sans doute méritoire en son temps, la puissance collective de l’Europe n’a guère avancé : elle a même reculé sur tous les continents. De nouvelles orientations ont été imposées par les traités de Maastricht en 1991 et de Lisbonne en 2007. Leurs conceptions sortaient largement des crânes tristes et gris de technocrates français comme Jacques Delors et Pascal Lamy, ses rédacteurs. Or, loin de nous libérer, elles nous ligotent un peu plus.

Dans le contexte de la guerre d'Ukraine, où l'Union européenne se reconnaît elle-même impuissante à se défendre sans le concours des États-Unis, d'autres dangers apparaissent.

Depuis le 6 avril et l'accord irano-saoudien conclu à Pékin le rapprochement stratégique du communisme chinois et de l'islamisme devient ainsi de plus en plus clair. Inutile de souligner le poids des signataires sur le front du pétrole.

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12:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Après les attaques de la presse aux ordres dont il est la victime, le Comité du 9 mai communique :

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Ni violence, ni dégradation, mais c'est les nationalistes qui sont calomniés par la presse complotiste du Système... Que cela leur plaise ou non, toutes les semaines, à travers la France, des centaines de jeunes non-conformistes rejoignent la Résistance nationale et identitaire...

12:08 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’université française soumise aux Frères musulmans ?

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Michel Festivi 

Florence Bergeaud-Blackler, universitaire chercheur au CNRS, auteur d’une enquête sur les ramifications françaises et européennes des Frères musulmans, publiée chez Odile Jacob, le Frérisme et ses réseaux, vient de voir suspendue la conférence qu’elle devait tenir en Sorbonne le 12 mai.

La doyenne, sans la prévenir aucunement, et sans qu’à ce jour de quelconques manifestants potentiels se soient fait connaitre en a ainsi décidé sur le faux-prétexte « de raisons de sécurité ». L’université française est devenue une machine wokiste et de surcroit soumise aux islamistes.

Depuis la sortie de son livre, FBB est confrontée à des menaces de mort, et à une cabale universitaire pour l’empêcher de s’exprimer et de parler de son livre. Le CNRS après bien des atermoiements, lui a d’ailleurs consenti une protection fonctionnelle pour qu’elle puisse attaquer en justice ses diffamateurs et insulteurs.

Une protection policière a dû lui être octroyée. FBB a confié au journal Marianne son indignation, Valeurs Actuelles vient de relayer cette information. FBB dénonce aussi un certain nombre de ses collègues qui par tract l’accuse de racisme. C’est bien connu quand on veut tuer son chien, on l’accuse d’avoir la rage.

Pourtant la ministre de l’Enseignement dit supérieur, avait soutenu cette anthropologue, était-ce une simple posture ? FBB vient de demander à être reçue par cette dernière.

Jusqu’où sombrera dans l’islamo-gauchisme l’université française ?

11:59 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Trésor imaginaire

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Gaëtan de Capèle

La ficelle vaut ce qu’elle vaut, mais tout est bon, par les temps qui courent, pour retrouver un peu d’oxygène politique. Contrairement à la réforme des retraites, le gouvernement trouvera peu de contradicteurs face à lui pour s’opposer à son plan de lutte contre la fraude fiscale. A fortiori s’il vise en priorité l’évasion des très gros revenus et des grandes entreprises, deux gibiers de choix dans un pays si défiant à l’égard de la richesse. Personne ne viendra contester cette traque à grande échelle qui n’a rien de choquant en soi : quoi que l’on pense de la rapacité du fisc, se soustraire frauduleusement à l’impôt constitue bien un acte de délinquance.

La désignation des « ultrariches » et des « multinationales » à la vindicte populaire flattera sans doute les amis de Jean-Luc Mélenchon et apaisera peut-être un peu ces classes moyennes que le gouvernement rêve de reconquérir. Il n’est pas certain en revanche que cela soit d’un grand secours pour résoudre les problèmes budgétaires de la France. La tarte à la crème de la cagnotte cachée dans les paradis fiscaux sert traditionnellement de cache-misère pour justifier sur le papier des promesses électorales intenables. Nul n’est capable d’évaluer ce trésor imaginaire, pas même le ministre des Comptes publics. Au passage, les services de Bercy font déjà preuve d’une efficacité redoutable pour contrôler et redresser les contrevenants.

Sur le fond des choses, la France ne souffre pas tant d’un problème de fraude que de pression fiscale. Championne toutes catégories des impôts et taxes, pour les entreprises comme pour les particuliers, elle prélève plus que partout ailleurs, dans des proportions préoccupantes, pour un résultat édifiant : des déficits sans fin, une dette gigantesque et des services publics dégradés. Davantage que faire miroiter d’hypothétiques rentrées de capitaux, la voie la plus sûre pour retrouver les faveurs des classes moyennes commence par réparer ce qui ne fonctionne plus, en dépensant l’argent public avec discernement et efficacité.

Source : Le Figaro 10/5/2023

10:40 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |