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mercredi, 08 janvier 2025

Pascal Praud, cet ex-jeune des années 1980 trompé par la lutte prétendument "antiraciste"...

SOS Racisme… des potes qui nous voulaient du bien | Indigènes de la  République

"Je crois que ce pays et sa jeunesse sont encore très sensibles aux grands mouvements moraux, même si ceux-ci ont souvent été utilisés pour les tromper - comme cela a été le cas avec la lutte antiraciste".

Jean-Marie Le Pen, 1990.

Maurice Bernard

Hier matin, sur CNews, deux heures avant l’annonce du décès de Jean-Marie Le Pen, Pascal Praud, à partir des dix ans du massacre dans les locaux de Charlie hebdo et des viols à grande échelle commis en Angleterre par des gangs pakistanais, nous a donné à entendre une de ses digressions surréalistes dont il a le secret :

-    Pascal Praud : « Il y a une prise de conscience, au plus profond, que ce qui est attaqué, c’est le modèle, et on s’est tous trompé, nous les premiers, nous qui défilions avec Touche pas à mon pote en 1980 (…). Parce que les gens qui défilaient avec Touche pas à mon pote en 1980, c’était l’exact contraire. C’était pour dire à ceux qui était là avant eux : "Vous ne nous regardez pas, vous ne nous aimez pas, on n’est pas avec vous et on veut être avec vous", et ils marchaient pour ça. Et aujourd’hui, vous avez des gens qui disent : "On ne veut pas être avec vous". Donc tout a changé, forcément. (…) Moi, je me souviens, j’étais en fac (…), tout le monde luttait contre le racisme ».

-    Charlotte d’Ornellas : « Il y a des gens qui voyaient dans la main jaune ce qu’on est en train de vivre aujourd’hui, quand même ».

-    Pascal Praud : « Franchement, je voudrais voir un texte dans les années 1985 (sic) qui voit ce qu’on vit aujourd’hui et qui l’annonce, j’en suis pas sûr ».

Monsieur Praud voudrait « voir un texte de 1985 qui voit ce qu’on vit aujourd’hui et qui l’annonce » ? Pas de problème, il suffit de demander. En voici un (ou plutôt un extrait), pris parmi beaucoup d’autres, diffusé cette années-là dans les Yvelines, à Poissy (bien avant que Karl Olive, son copain ex-journaliste sportif - un proche d’Emmanuel Macron - n’en devienne le maire), sous forme de tracts, par le Front national de la jeunesse, et intitulé Les potes marcheurs vous font marcher :

« (L’)humanisme de pacotille (d’Harlem Désir et de SOS Racisme) n’est qu’un écran de fumée destiné à cacher l’essentiel…
Le peuple français peut (son passé le prouve) assimiler des individus qui le désirent sincèrement. Mais le peuple français (comme tout autre peuple), réalité homogène plus que millénaire, ne peut accueillir, sans se condamner, des communautés étrangères. Or, la majorité des immigrés refuse l’assimilation (…). La majorité des Beurs se moque des gentils mots d’ordre : "Aimons-nous, soyons égaux". Ils ne souhaitent qu’affirmer leur identité arabe et musulmane, au détriment de notre propre identité !
Ainsi se dessine nettement ce que serait cette France multiraciale et pluriculturelle que l’on veut nous imposer : un agrégat de communautés étrangères squattant le pays d’accueil, parlant leur langue et vivant selon leurs coutumes, apprises dans nos écoles ; une addition de groupes de pression dictant leur volonté à une nation française préalablement anesthésiée !
Jamais les jeunes du Front national n’accepteront de se voir ainsi tracer leur avenir ! Ce n’est pas à la France de s’adapter aux immigrés, mais à ceux-ci de se fondre, s’ils le désirent, dans l’ensemble national. S’ils refusent, ils doivent accepter et comprendre la volonté de notre peuple de défendre son identité, et se plier à ses décisions ».

C'était il y a quarante ans...

16:06 Publié dans Informations nationales, Jean-Marie Le Pen | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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