mardi, 04 mars 2025
Réglement de comptes à l’OTAN
La chronique de Philippe Randa
La menace de Donald Triump de faire sortir les États-Unis d’Amérique de l’OTAN avait « bouleversifié » la grande majorité des dirigeant de l’Union européenne. Comment osait-il ?
Comment ? On l’a vu !
Pourquoi ? Ça, il l’a expliqué : parce qu’il jugeait que les pays membres (les Européens) « ne contribuaient pas (assez) financièrement au fonctionnement de l’alliance » ! Un argument qui n’a pas vraiment convaincu les intéressés qui veulent bien de la « protection » de l’Oncle Sam, mais sans vouloir passer à la caisse, jugeant peut-être que celle-ci, si on ne jouait pas sur les mots, étant surtout une « soumission », il était inconvenant de leur demander en plus de payer leur vaseli… vasalité !
Et puis, patatras ! Le 47e président magistralement réélu outre-atlantique vient d’en rajouter une louche en recadrant en direct devant les caméras du Monde entier l’Ukrainien Volodymyr Zelensky, menaçant de lui couper les vivres. Il argue, pour cela, que la guerre, celui-ci et ses mécènes d’alors, notamment son prédécesseur à la Maison-Blanche Joe Biden l’avait bien cherchée.
D’où nouvel étranglement d’indignation dans le landernau des dirigeants des pays membres de l’OTAN, mais cette fois sur fond de panique : si les USA laisse tomber le président ukrainien, l’ogre du Kremlin ne pourrait-il pas alors ne faire qu’une bouchée de son pays dévasté, ruiné, épuisé… avant de se rappeler… à leur mauvais souvenirs ?
« L’Union européenne, ayant bavassé
tout le temps
Se trouverait fort dépourvue
si la menace russe survenait,
N’ayant guère de guerrier,
De soldat et plus de Rambo…
Elle crierait sans doute au secours
Chez le Cow-boy redevenu sheriff
Le priant de ne pas jouer à l’indifférent
— C’est pas l’moment,
On est vos alliés, tout d’même !
Mais the Donald n’ayant point d’humour ;
C’est là son moindre défaut :
— Que faisiez-vous au temps de paix ?
Pourrait-il répondre alors aux démunis.
— Nuit et jour, à tout venant,
Nous donnions des leçons, ne vous en déplaise.
— Vous donniez des leçons ? J’en suis fort aise.
Eh bien ! recevez-en maintenant… »
18:50 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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ARRÊTONS LES VA-T-EN GUERRE DE L’UNION EUROPÉENNE !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Depuis quelques jours, depuis que le président Trump a sévèrement sermonné son homologue ukrainien, les Européistes, paniqués à l’idée que le « grand frère » n’assure plus leur sécurité, nous jouent une étrange petite musique. Dérogeons à la règle « sacrée » des 3% de déficit, pour peu que la dette augmente pour réarmer l’Europe, nous susurre Ursula Von Der Layen, grande prêtresse du « zinzin » bruxellois…
Mais que ne l’ont-ils fait hors des compétences de la Commission européenne, avant que le conflit ukrainien n’éclate ? Pourquoi, parallèlement à l’OTAN, n’ont-ils pas mis ou tenté de mettre sur pied une coordination militaire spécifique entre Etats membres de cette Union européenne ? Une UE qui, telle l’eau des crues qui s’infiltre par tous les interstices d’une construction, s’invite aujourd’hui dans des champs hors de sa compétence ?
Les Occidentaux, aussi, ont une lourde responsabilité dans le drame ukrainien
L’affaire ukrainienne était mal engagée. Les frontières internes de l’ex-URSS sont trop vite devenues des frontières internationalement reconnues. La Crimée, par exemple, russe depuis le XVIIIe siècle, n’avait été rattachée à l’Ukraine que par un artifice juridique de Nikita Kroutchev, alors tout puissant Premier secrétaire du PCUS, lui-même d’origine ukrainienne.
Les Occidentaux ont soufflé sur les braises, et ont fermé les yeux sur l’attitude de Kiev qui n’a pas respecté les accords de Minsk I et II, pourtant parrainés par la France et l’Allemagne. Angéla Merkel, chancelière d’Allemagne à l’époque, s’en est même vantée publiquement, « pour permettre à l’Ukraine de gagner du temps ».
Rappelons au passage qu’ils prévoyaient une consultation des habitants russophones du Donbass pour choisir leur avenir. On appelle cela l’autodétermination : il n’y a pas plus « démocratique ». Avec la perspective d’une éventuelle adhésion de l’Ukraine à l’Otan, Poutine a vu rouge et, tel un taureau andalou réagissant à la vue d’un chiffon agité devant son museau, il a foncé, entrainant dans son sillage mort et destructions ! Il faut ajouter aussi pour être précis, que depuis un paquet d’années, les Ukrainiens bombardaient allègrement les zones sécessionnistes de Donetsk et de Lougansk, majoritairement russophones. On en parle moins que les bombardements russes, parfaitement odieux il est vrai, sur d’autres populations civiles. Bref, c’est un énorme gâchis humain dont les seuls Russes ne peuvent être tenus pour responsables.
Les Occidentaux – Américains et Européens confondus, au premier rang desquels la France de Macron -, en soutenant suffisamment Zelinsky pour résister mais pas assez pour vaincre, portent une lourde responsabilité dans ce drame, qui frappe des populations de même sang slave et de civilisation européenne. Et, à l’heure où les États-Unis disent « STOP » à cet effroyable gâchis, les petits marquis qui gouvernent cette Europe semblent vouloir en « remettre une couche » !
Macron, « un chef de guerre » qui n’a pas « fait l’armée » !
Emmanuel Macron, qui se prend sans doute pour Jupiter, président légal mais pas légitime, semble vouloir prendre la tête de cette croisade, allant même jusqu’à mettre sur la table, le partage de notre force nucléaire, à tout le moins étendre à ses 26 partenaires la dissuasion française.
Mais qui est-il, ce « chef de guerre », qui n’a jamais senti l’odeur d’une chambrée, qui ne sait pas ce que c’est que de faire son lit au carré, de balayer les « chiottes » contrairement au signataire de ces lignes, qui ne connait l’ordre serré que par les défilés qu’il admire, sans doute, depuis sa tribune lors du 14 juillet ? Oui, qui est-il pour engager, peut-être, tout une nation dans une voie dangereuse ? Le peuple lui en a-t-il donné mandat ?
Quel est l’intérêt vital de l’Europe ?
L’intérêt de l’Europe, sans être naïve certes, est une fois pour toutes, de faire une paix contractuelle avec la Fédération de Russie, pour le plus grand bienfait de nos économies respectives. En mettant, bien sûr, les points sur les « i ». En fixant les limites de son influence à son seul « étranger proche ». Il ne saurait être toléré aucune agression contre un pays signataire du traité de l’Atlantique Nord. Ce qui veut dire que si Moscou - ce qu’à Dieu ne plaise -, envisageait par exemple, d’attaquer l’Estonie pour rattacher, à sa frontière, la ville russophone de Narva, eh bien en vertu de l’article cinq du traité, « Un pour tous, tous pour un », nous viendrions au secours du gouvernement de Tallin.
Tel n’est pas le cas de la Moldavie, de la Géorgie ou de l’Arménie. L’Ukraine, quant à elle, devrait bénéficier d’un statut d’État neutre, comme l’était la Finlande avant qu’elle ne rejoigne l’OTAN. Rien ne pourrait empêcher, d’ailleurs, tous ces Etats d’envisager une fructueuse et mutuelle coopération avec les 27. À écouter les déclarations des uns et des autres, à lire la prose des médias mainstream et à regarder les émissions de télévision sur les chaines d’infos continu, on n’en prend pas le chemin. On dirait que l’on cherche plutôt à conditionner les opinions publiques, à leur faire avaler l’hypothèse d’une guerre à l’Est, avant qu’elle n’arrive chez nous !
Alors, à tous ces oiseaux de malheur, opposons et imposons la raison, la voie du dialogue et de la paix. Et, en dernier ressort, n’oublions jamais que, par exemple, « la Lorraine passerait avant l’Ukraine » !
18:44 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Pierre Cassen défend la liberté d'expression
15:34 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La conférence de Bruno Gollnisch aux Sables d'Olonne dimanche dernier
15:29 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Une macroniste pure jus reconnait l’ignominie, la lâcheté et le liberticisme de la Macronie !
Michel Festivi
Aurore Bergé n’est absolument pas ma tasse de thé, très loin s’en faut. Elle est quasiment ministre depuis 2017, et gesticule beaucoup pour des résultats insignifiants voire invisibles, sinon nuisibles. Elle est l’archétype de cette macronie qui fait crouler la France et qui ne règle jamais les vrais problèmes et difficultés des français, comme l’immigration massive, débridée et illégale ; la violence et la délinquance généralisée exponentielle ; le pouvoir d’achat en berne ; l’indépendance énergétique de plus en plus menacée ; l’industrie à la ramasse ; l’agriculture croulant sous des normes débiles ; sans compter des milliards d’euros jetés par les fenêtres pour l’Afrique, l’Ukraine, les migrants, la culture woke, les transgenres, l’Union européenne, argent qui manque tant aux français qui travaillent et qui souffrent. Elle a participé avec d’autres, à toutes les atteintes à nos libertés et semble payer pour faire tout et n’importe quoi, comme s’attaquer aux salons de massages parisiens, qui seraient, selon elle, des maisons de tolérance ! La belle affaire, il est vrai que la France n’a pas d’autres priorités existentielles à régler !
C’est pourquoi, ce qu’elle vient de déclarer au magazine L’express, prend toute son importance et mérite d’être souligné. Elle a lancé une charge très sévère contre Gabriel Attal, en étrillant « ces désistements systématiques qui procèdent d’une forme de rétrécissement démocratique entravant le choix des français...ils sont suffisamment grands pour faire la différence, non pas entre deux, mais trois candidats ». Car elle croit « à une république du respect, pas à celle de l’infantilisation, pas à celles où les politiques donnent des leçons... il fallait laisser aux Français une liberté totale de choix et de vote. Car comment peut-on penser qu’on combat le RN en mettant un bulletin LFI dans l’urne ».
Décortiquons ses propos. Effectivement, Macron avait à peine terminé son laïus sur la dissolution de l’Assemblée nationale, que Gabriel Attal, premier ministre, ordonnait péremptoirement, avec menaces voilées à l’appui, en levant le menton et en montant sur ses ergots, aux partis politiques du système de faire en sorte qu’il ne puisse rester que les deux candidats arrivés en tête à l’issue du premier tour, décrétant un désistement systématique du 3ème voire du 4ème candidat pouvant se présenter au deuxième tour pour faire barrage au RN. Lui emboitèrent le pas des LR, des socialistes, des communistes et tous ceux qui avaient vu d’un sale œil la large victoire du RN aux européennes. On a pu ainsi se rendre compte que des Macron, Attal, Borne, Philippe, Bertrand, Hollande, Jospin, Glucksmann, et consorts faisaient cause commune avec Jean-Luc Mélenchon et ses candidats islamistes, antisémites, acheteurs de drogue, violents ou fichés S.
C’est ainsi que près de 11 millions de français, qui avaient voté RN au premier tour de ces élections législatives furent volés de leur victoire annoncée, par un tour de passe -passe des plus anti-démocratiques qui soit. Aurore Bergé le reconnaît, l’avoue. La liberté du choix des français n’a pas été respectée, c’est l’aveu explicite d’une macroniste des plus revendiquée. Gabriel Attal vient d’ailleurs de récidiver dans l’ignominie en faisant éditer pour le compte de son parti, une affiche renvoyant dos à dos le RN et LFI, alors que LFI tient des propos antisémites d’une violence inouïe et qu’elle soutient avec une constante militante des plus avérée, les islamistes et leur volonté de s’accaparer tous les rouages du pays et abattre nos traditions, nos coutumes, nos mœurs, adoubant le Hamas et autres organisations terroristes à l’image de l’une de ses élues, Rima Hassan.
Mais immédiatement, nous vient à l’esprit, que celle qui dénonce ces atteintes gravissimes à la liberté d’expression et de vote, est un artisan de cette même décomposition française. C’est l’hôpital qui se moque de la charité, c’est le serpent qui se mord la queue. Il faut dire qu’Aurore Bergé est le prodrome du mal français. Elle a soutenu des UMP, des LR, même un temps François Fillon, pour se ranger ensuite, à la suite d’une multitude d’échecs électoraux, derrière Macron, en 2017, subodorant une carrière et des postes. Non sans un certain talent politicien, elle est parvenue, à se faire élire présidente de son groupe parlementaire, puis à être ministre. Pourquoi n’a-t-elle pas dénoncé avant, ce qu’elle dénonce aujourd’hui ? Ses propos auraient eu beaucoup plus de poids en juin et juillet dernier. Entend-elle supplanter Gabriel Attal ? Possible.
Elle fustige « une république d’infantilisation », a qui la faute ? Nous atteignons là, le comble de l’indicible. Ceux- là même qui participent à ce système dévoyé, viennent donner des leçons. J’ai une solution toute simple pour limiter ce genre de magouilles permanentes. En finir avec des élections à deux tours et ce que ce soit aux municipales, aux départementales, aux régionales, aux nationales. Nous sommes le seul pays européen qui pratiquent un tel scrutin de voleurs. Ni en Allemagne, ni en Espagne, ni en Italie, ni en Autriche, ni en Grande Bretagne, ni dans les pays scandinaves, ni au Danemark, ni aux Pays-Bas, ni ailleurs ou comme aux États-Unis, les élections se pratiquent à un seul tour. Que ce soit des scrutins de liste, des scrutins uninominaux, ou un panachage des deux, avec plus ou moins de proportionnelle, les élections se font sur un seul tour, point barre.
Les élections à deux tours favorisent toutes les magouilles, toutes les perversions, toutes les manigances et renforcent toujours les partis du système. Les élections à un seul tour ne sont pas parfaites non plus, mais elles sont claires et des alliances se feront après, et les électeurs pourront ensuite en tirer toutes les conclusions utiles. Des élections à un seul tour et des référendums possibles sur tous les sujets, voilà ce qu’il faut exiger pour que le peuple puisse avoir droit à la parole, enfin.
15:24 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Ukraine : Face à Trump et Poutine, Macron hors-jeu – Régis Le Sommier
Donald Trump a reçu à la Maison-Blanche une série de dirigeants européens : Emmanuel Macron, Keir Starmer et Volodymyr Zelensky. Malgré le soutien indéfectible des médias français à l’égard du président, force est de constater qu’il s’est rallié à la vision et aux exigences de Donald Trump lors de sa visite. Du côté du Britannique, l’épisode s’est transformé en humiliation.
Quoi qu’en disent les délires guerriers de l’Union européenne, Vladimir Poutine et Donald Trump marchent ensemble vers une solution de paix en Ukraine et Bruxelles et ses dirigeants sont sur la touche.
Un rapprochement entre les géants américain et russe qui rebat les cartes géopolitiques, faisant voler en éclat le mythe de l’Occident en parallèle de l’explosion de l’État profond néoconservateur.
Quel chemin vers la paix en Ukraine ?
Quel avenir pour l’Europe ?
Quelles places pour les géants du monde ?
11:56 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L’Europe sans pistolet
Vincent Trémolet de Villers
« Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent… » » Dans la brutaité des temps, c’est la doctrine de Sergio Leone qui gouverne les Etats-Unis. C’est sommaire, vulgaire, c’est la force qui l’emporte sur le droit, la société du spectacle qui atomise les raffinements diplomatiques ; c’est déplorable, mais c’est comme ça. Inutile de s’enivrer d’indignations, d’incantations, d’analogies historiques - Munich, Churchill -, nous sommes en 2025 et la France, soumise au grand chambardement trumpien, voit remonter à la surface des questions qui la hantent depuis soixante-dix ans. De Gaulle en 1963 : « Si elle n’est pas l’Europe des peuples, si elle est confiée à quelques organismes technocratiques, l’Europe sera une histoire limitée et sans avenir. Et ce sont les Américains qui en profiteront pour imposer leur hégémonie. » Philippe Séguin en 1992 : « Il ne faut pas rêver, demain, sans défense, sans diplomatie, la France n’aurait pas plus de marge de manœuvre que n’en a aujourd’hui... l’Ukraine. » Nous ne les avons pas écoutés. Nous avons délégué notre puissance et nous n’avions pas de plan B...
« Nous sommes forts et nous ne le savons pas », a dit, lundi, dans un discours de bonne tenue, le premier ministre. Certes, mais la force a été volontairement diluée dans une Commission européenne de plus en plus liquide. Comment croire que la machine bureaucratique qui nous a dépossédés de tous les attributs du pouvoir, qui a été pensée contre l’idée même de puissance, pourrait nous la rendre ?
« Emprunter, mutualiser, partager » ne fait ni une devise ni une « autonomie stratégique ». L’Europe n’est pas un empire : le cadre de la puissance, c’est l’État-nation. La geste héroïque de l’Ukraine en est la preuve vivante. Cela n’empêche pas les alliances in- dispensables entre États européens, cela n’empêche pas la défense d’une civilisation miraculeuse - mariage de la chrétienté et de la démocratie libérale -, mais cela nous oblige à revenir aux réalités premières. Seules des nations fortes peuvent construire ensemble l’indépendance européenne. À condition d’avoir des pistolets chargés.
Source : Le Figaro 4/2/2025
11:54 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L’État Macron protège les miliciens gauchistes payés pour casser du patriote
L'édito de Cyrano
sur Riposte laïque cliquez ici
Trois exemples résument la lâcheté complice de l’État Macron, face aux agressions, aux violences et aux intimidations des gauchistes. Rappelons qu’à ce jour, aucune organisation se disant antifa ou Black Bloc n’a été dissoute, aucun casseur antifa n’est arrêté préventivement avant une manifestation, quand la répression s’abat sur les militants patriotes.
À Rennes, deux jeunes étudiants ont été massacrés devant la faculté de droit par une bonne dizaines de militants gauchistes, avec la complicité des services de sécurité de la faculté, parce que reconnus coupables d’être des « fachos », puisqu’ils militent l’un au RN, et l’autre à l’UNI cliquez ici.
À noter que parmi les courageux agresseurs figure le désormais célèbre Simon Buxeraud, qui s’était illustré lors des présidentielles, sur un marché de Tours, en train d’agresser, d’insulter et de cracher sur des militants de Reconquête qui auraient pu être ses grands-parents. Aucune poursuite n’avait été engagée, à notre connaissance, par le procureur de Rennes de l’époque, Philippe Astruc, qui a pourtant trouvé le temps de déposer plainte contre Riposte Laïque. L’État Macron laisse donc des nervis gauchistes massacrer des jeunes étudiants qui ont le tort de ne pas partager leur vision du monde.
Nous avons vu à Lorient, ce week-end, des faits qui pourraient prêter à rire s’ils n’étaient pas porteurs de menaces graves pour nos libertés. Deux mille militants de gauche et d’extrême gauche ont cru devoir manifester contre les prétendues violences d’extrême droite. Rien que l’intitulé de la manifestation n’aurait jamais dû être accepté, puisqu’elle est mensongère, les seules violences qui se déroulent dans le champ politique viennent de l’extrême gauche, et dans la vie quotidienne elles proviennent des racailles islamisées cliquez ici.
Comment des préfets peuvent-ils donner l’autorisation d’organiser des manifestations dont ils savent pertinemment qu’elles tourneront au vandalisme, aux agressions contre les forces de l’ordre, à des voitures brûlées et à des boutiques pillées ? C’est ce qui bien sûr s’est passé à Lorient, où, comble du ridicule, les gauchistes ont attaqué deux permanences socialistes, sans doute pour démontrer que les violences venaient des « fascistes.
Pour organiser une manifestation, il faut la déclarer et que quelqu’un en prenne la responsabilité. Les autorités demanderont-elles des comptes à l’organisateur de cette manifestation ? Bien sûr que non, pas davantage que quand, à Paris, Nantes, Rennes, Grenoble, les gauchistes cassent tout, avec une impunité garantie.
Enfin, aux Sables-d’Olonne, à l’invitation d’une association d’Anciens combattants locaux, le président du Rassemblement Vendéen, Éric Mauvoisin, organisait sa cinquième projection du film de Tommy Robinson, « Silenced ». Loin de diffuser ce film dans des endroits secrets, une salle municipale avait été réservée, le maire, Yannick Moreau, au grand dam des communistes locaux, avait donné son accord, et justifié la diffusion au nom de la constitution, qui garantit le droit de réunion et d’association. Bien sûr, les crasseux habituels, membres des partis de gauche, des syndicats et des associations, qui n’avaient pas vu le film, ont malgré tout demandé son interdiction pour racisme supposé, et manifesté dans les rues des Sables-d’Olonne samedi, et devant la salle dimanche cliquez là.
À noter que Ouest-France et les autres médias locaux gonflent grossièrement les effectifs gauchistes présents, tandis qu’ils divisent souvent par deux ou trois le nombre de patriotes présents. Les contre-manifestants n’avaient fait aucune demande de manifestation. Certes, les policiers ont remarquablement fait leur travail, mais s’ils avaient eu des consignes dignes de ce nom du préfet, ils auraient relevé l’identité de tous les manifestants présents et les auraient verbalisés pour leur présence dans une manifestation interdite. Enfin, il serait temps qu’un gouvernement digne de ce nom interdisent des manifestations qui n’ont qu’un seul but : perturber les initiatives d’adversaires politiques, coupables de « mal penser ». Il faut tout simplement interdire toute manifestation qui doit se dérouler le même jour qu’une manifestation.
Au lieu de s’en prendre systématiquement à la mouvance patriote, un gouvernement digne de ce nom interdirait la politisation des facultés, il arrêterait les antifas violents dont il connaît forcément l’identité, il dissoudrait toutes les organisations gauchistes coupables de violences et d’agressions – c’est-à-dire toutes – et il interdirait toute contre-manifestation.
Mais Macron, Bayrou et toute la gauche, européistes et immigrationnistes, sont bien contents de profiter des services des miliciens gauchistes pour intimider et agresser leurs seuls opposants, les militants patriotes, identitaires et nationalistes.
NDLR SN : à propos des Sables d'Olonne cliquez ici
08:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Samedi 8 mars, à Paris : manifestation contre les va-t-en-guerre...
08:41 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Samedi 29 mars 2025, à Paris, au Sénat : les 40 ans de l'AGRIF
08:28 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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