samedi, 13 septembre 2025
Le discours d'Eric Zemmour, aujourdhui, à Londres, devant la foule immense des patriotes britanniques rassemblés contre les méfaits de l'immigration illégale
"Mes chers amis,
je suis venu, ici, à Londres, pour vous transmettre le salut admiratif du peuple français, le peuple français qui sait qu’on peut compter sur vous quand la liberté de nos peuples est en danger. Je suis heureux d’être au milieu de vous, aussi nombreux aujourd’hui. Je suis fier d’être au milieu de ce peuple anglais qui se révolte, de ce peuple anglais qui se réveille, de ce peuple anglais qui ne veut pas mourir.
Pendant des siècles, vous et nous, le peuple anglais et le peuple français, nous nous sommes affrontés pour la domination de l’Europe et du monde. Aujourd’hui, nous devons oublier nos combats passés parce que nous sommes confrontés au même danger mortel. Nous sommes vous et nous soumis au même processus de grand remplacement de nos peuples européens par des peuples venus du sud et de culture musulmane. Vous et nous sommes colonisés par nos anciennes colonies. Vous et nous ne voulons pas devenir minoritaires sur notre propre sol. Vous et nous ne voulons pas disparaître.
Lorsque le général De Gaulle - notre grand homme que vous avez recueilli ici - s’est adressé à la jeunesse allemande, quelques années seulement après la seconde guerre mondiale, il leur a dit : « nous avions jadis le devoir de nous affronter ; nous avons désormais le droit de nous aimer. » Je vous dirai la même chose : nous avons le devoir de nous battre ensemble ! Vive la France française et vive l’Angleterre anglaise !"
Éric Zemmour,
président de Reconquête!
21:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Aujourd'hui, ils ont bonne mine, les maires de Lannion et de Saint-Brieuc qui ont voulu interdire la projection de Silenced, le film de Tommy Robinson
Depuis des mois, notre ami Éric Mauvoisien-Delavaud, le président du Rassemblement vendéen, se bat pour organiser à travers le pays des projections du film-reportage de Tommy Robinson, Silenced, malgré les crises d’hystérie, les menaces, les tentatives d’interdiction des chiens de garde de la pensée unique.
C’est ainsi qu’en mars puis avril dernier, dans les Côtes d’Armor, le maire de Lannion, Paul Le Bihan, et celui de Saint-Brieuc, Hervé Guihard, cornaqués par la député LFI de la circonscription de Guingamp, Murielle Lepvraud, ont tenté d’interdire lamentablement (sans avoir vu le film et sans même avoir une vague idée de son contenu) deux de ces projections privées organisée par le Cercle Tregor et Goëlo, une association patriotique locale légalement constituée et déposée !
Aujourd’hui, face à la foule immense qui s’est écoulée pacifiquement, pendant des heures, dans les rue de Londres, à l’appel de Tommy Robinson, ces trois tristes personnages, dignes héritiers de leurs "grands" ancêtres révolutionnaires liberticides, ont bonne mine !
Je donnerais cher en cet instant pour voir leur tête. Les peuples d’Europe qui ne veulent pas mourir commencent à reprendre en main leur destin et celui de leur patrie. « Levez-vous, orages désirés », et renvoyez à leurs occupations premières les démolisseurs, les déconstructeurs, les traîtres et leurs collabos. Que vivent nos vieilles nations et leurs peuples, debout et libres !
19:25 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Plus de 110.000 personnes cet après-midi dans les rue de Londres contre l'immigration illégale

À l'appel de Tommy Robinson, une foule impressionnante, une véritable marée humaine (plus de 110.000 personnes selon les observateurs), arborant des milliers de drapeaux aux couleurs anglaises et britanniques, a déambulé cet après-midi le long des artères londoniennes correspondant au parcours de la manifestation. Nous reviendrons très vite sur cet événement (un succès incontestable, de portée européenne) auquel a participé Éric Zemmour, le président de Reconquête!, à l'invitation des organisateurs.
SN
17:57 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Pétition pour un référendum sur l'immigration - Encore un effort, amis et camarades !
Déjà, 743 000 Français ont signé la pétition lancée par Philippe de Villiers afin d'exiger l'organisation d'un référendum sur l'immigration.
Pour l'avenir de notre patrie et de nos enfants, il est crucial que chacun se sente concerné, signe et fasse signer ce texte ! À vos ordinateurs, amis et camarades ! Signons, signons, qu'un flot de pétitions submerge la classe politique et balaie la pensée conforme !
Pour signer la pétition cliquez ici
SN
16:24 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Déjà, des dizaines de milliers de personnes rassemblées à Londres contre l'immigration illégale, à l'appel de Tommy Robinson

13:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Badinter au Panthéon, c’est non !

Jean-Yves Le Gallou
L’entrée au Panthéon de Robert Badinter est prévue le 9 octobre prochain, date anniversaire de la promulgation de la loi d’abolition de la peine de mort a été voulue par Emmanuel Macron. Pour Jean-Yves Le Gallou et l’équipe de Polémia, c’est une décision incompréhensible, tant la politique de Robert Badinter fut nocive pour la France (...).
Badinter au Panthéon, c’est non !
Non, la patrie n’a pas à être reconnaissante à Badinter. Encore moins les Français victimes de sa politique.
L’explosion de l’insécurité ? C’est lui, comme garde des Sceaux de François Mitterrand de 1981 à 1986.
L’invasion migratoire incontrôlée ? C’est lui, comme président du Conseil constitutionnel de 1986 à 1995.
Le mépris du peuple ? C’est encore lui, avec un ensemble de décisions prises à l’opposé des volontés populaires.
Badinter, un grand homme ? Voire. Mais surtout un oligarque morgueux, un grand avocat fortuné et progressiste, se moquant comme d’une guigne des préoccupations des Français et conduisant une politique antidémocratique, à rebours de leurs aspirations.
En 1981, 60 % des Français étaient favorables à la peine de mort : il leur tord le bras et l’abroge. C’est son titre de gloire. Pire : il abroge la peine capitale sans créer de peine de substitution, sapant ainsi la hiérarchie des peines. Garde des Sceaux, Badinter s’appuie sur le syndicat de la magistrature pour repenser le code pénal et placer le délinquant au cœur de ses préoccupations, au lieu et place de la victime. Quarante ans plus tard, la situation est hors de contrôle : racailles et narcotrafiquants imposent leur loi.
À peine sorti de la Place Vendôme, Badinter prend la tête du Conseil constitutionnel : il va s’ériger en super législateur et s’ingénier à créer des jurisprudences rendant impossible tout contrôle réel de l’immigration.
Alors, Badinter, les Français ne lui disent pas merci ! Le faire entrer au Panthéon, c’est un bras d’honneur de la gauche progressiste aux Français, aux gueux. C’est une manière de leur dire : « Votre avis ne compte pas, seules importent nos lubies idéologiques. » Quant aux politiques qui s’associeraient à l’hommage ou regretteraient de ne pas y avoir été invités, ils perdraient tout crédit pour redresser la situation migratoire comme la situation sécuritaire.
Pour nous, Badinter au Panthéon, c’est non !
Panthéonisation de Badinter : une provocation ultime du bloc centriste
La décision de faire entrer Robert Badinter au Panthéon en octobre 2025, sous l’impulsion du pouvoir macroniste, s’apparente à une ultime provocation du bloc centriste. Cet acte, présenté comme un hommage national, n’a rien d’un geste d’unité. Il consacre une figure adulée par la gauche progressiste mais ignorée, voire détestée, par une partie croissante de la population française, lassée d’une justice perçue comme laxiste et déconnectée.
Badinter, ancien ministre de la Justice sous François Mitterrand, incarne une idéologie antipénale qui, sous couvert d’humanisme, a contribué à l’affaiblissement de l’appareil judiciaire, à la mise sur un piédestal des criminels et au mépris des victimes.
Badinter est aussi l’homme qui a imposé l’abolition de la peine de mort contre l’avis d’une majorité de Français.
Cette panthéonisation, orchestrée par un exécutif en fin de règne, sert à la fois de diversion dans un contexte de fragilité du camp présidentiel et d’imposition d’une figure emblématique du laxisme, à l’heure où l’aspiration populaire penche clairement en faveur d’une rupture avec le laxisme judiciaire. Comment des figures gouvernementales comme le garde des Sceaux Gérald Darmanin et le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau pourront-ils prôner la fermeté tout en célébrant l’apôtre du laxisme ?
Un symbole national détourné au profit d’une petite élite de gauche
Loin d’être un acte d’unité nationale, cette consécration s’apparente à une appropriation partisane. Badinter, architecte de l’abolition de la peine de mort en 1981, est célébré pour un « humanisme » qui a sacrifié la protection des citoyens sur l’autel d’un idéal élitiste.
Si la peine de mort est le grand fait d’armes attribué à l’ancien garde des Sceaux, sa responsabilité dans l’affaire du sang contaminé est complètement tue par les médias de grand chemin.
Pire : Badinter est célébré pour ce qu’il n’a pas fait. En 1982, avec la « loi Forni », il égalise l’âge de la majorité sexuelle à 15 ans pour les relations homosexuelles et hétérosexuelles, supprimant ainsi le « délit d’homosexualité » qui pénalisait les relations homosexuelles avec des mineurs de plus de 15 ans. Ce texte sera à tort invoqué comme une dépénalisation de l’homosexualité, qui remonte en réalité au code pénal de 1791, sous la monarchie constitutionnelle, et non pas « en République », comme aimait dire le ministre.
Docile avec les criminels, le personnage savait aussi être rigide pour les crimes d’expression !
Sa lutte contre le racisme et l’antisémitisme a ainsi ouvert la voie à des lois liberticides, étouffant la liberté d’expression sous prétexte de combattre l’intolérance.
En sanctifiant Badinter, le pouvoir actuel ne rend pas hommage à la France, mais glorifie un symbole de la gauche, responsable de la déliquescence de la justice. Cette démarche renforce l’idée d’une justice confisquée par une élite vivant en sécurité, au détriment d’une population qui, elle, subit de plein fouet l’héritage de Robert Badinter.
Le Panthéon, sanctuaire des héros de la gauche, pas de la France
Le Panthéon, censé honorer les grandes figures qui ont façonné la nation, devient une nouvelle fois, sous cette panthéonisation, un outil de propagande idéologique. Badinter rejoint ainsi une liste de figures principalement issues de la gauche, comme le communiste arménien Missak Manouchian. Cette instrumentalisation traduit une volonté de légitimer une vision progressiste au détriment d’une histoire nationale plus large.
L’héritage de Badinter, marqué par une « culture de l’excuse » qui dédouane les criminels de leur responsabilité, contraste avec les attentes d’une société confrontée à l’insécurité. En effaçant les victimes au profit des coupables, il a inversé les priorités de la justice, un déséquilibre que cette panthéonisation vient figer dans le marbre. Le Panthéon n’est plus le temple de la France – si tant est qu’il le fût jadis – mais celui de la gauche.
Article paru sur Polémia - Cliquez ici.
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06:27 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) |
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