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lundi, 10 novembre 2025

Tours, la jeunesse tourangelle a honoré Saint Martin samedi

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Belle réussite pour les identitaires du mouvement "Des Tours et des Lys". En chantant et dans la bonne humeur, plusieurs centaines de jeunes tourangeaux ont ainsi défilé en direction de la rue Nationale, principale artère de la ville.

Chaque année, début novembre, une telle manifestation se déroule dans la préfecture de l'Indre-et-Loire pour honorer Saint Martin, le Saint-Patron de la ville. Et, samedi dernier, signe des temps, force est de reconnaître que la foule était beaucoup plus dense que d'habitude.

Pour les organisateurs, "ce rassemblement a un objectif à la fois spirituel et culturel. C’est une façon de faire la promotion de notre identité tourangelle, de remettre en avant l’esprit de communauté dans un monde très individualiste".

Bien-sûr comme c'est hélas souvent le cas, une poignée d'antifas, véritables petits miliciens d'opérette de la finance mondialisée, a tenté de perturber, sans succès, cette belle démonstration de force de la droite nationale tourangelle mais, une fois de plus, ils se sont littéralement ridiculisés aux yeux de notre peuple.

Les antifas sont les derniers d'hier, les patriotes, eux, sont les premiers de demain. À Tours comme ailleurs, nous assistons au début du réveil national et identitaire. 

S N

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20:55 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un nouveau numéro (le n°2) du journal mythique des années 1970 "Pour un Ordre nouveau" proposé par Synthèse nationale

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Après les numéros 1, 12 et 15, voici le n°2 de Pour un Ordre nouveau remis en vente par Synthèse nationale :

Le 28 juin 1973, suite à l’attaque par plusieurs milliers de gauchistes du meeting contre l’immigration sauvage qu’il avait organisé à la Mutualité (Paris) la semaine précédente, le Mouvement Ordre nouveau est interdit par le pouvoir gaulliste de l’époque.

Ordre nouveau éditait un mensuel de combat, Pour un Ordre nouveau, diffusé à plusieurs milliers d’exemplaires par ses militants. Après la dissolution, les stocks de journaux furent saisis. Quelques exemplaires cependant ont échappé aux rapaces de la police politique.

52 ans après, certains numéros, parmi les 20 livraisons éditées alors, sont ressortis du fond d’un grenier et remis en vente pour les collectionneurs et amateurs (1).

Le reflet d’une époque, un document historique à ne pas manquer…

Après le n°1 (juillet - août 1971), le n°12 (juin 1972) et le n°15 (octobre 1972) de Pour un Ordre nouveau, proposés sur ce site ces derniers mois, nous mettons en vente le n°2 (septembre 1971) du mythique journal du mouvement nationaliste Ordre nouveau.

Un document indispensable pour ceux qui veulent se remettre dans le contexte pour le moins agité de cette époque

D’autres numéros seront bientôt mis en vente…

Pour commander ce n°2 : cliquez ici

(1) Déjà, en 2018, nous avions débusqué un stock mais celui-ci fut très vite épuisé.

20:16 Publié dans Pour un Ordre nouveau | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Information et opinion

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Pour cette année 2025, la chaîne publique d’information en continu, France Info, a réalisé une campagne audio-visuelle sur les antennes du service public dans laquelle elle spécifiait que « l’information n’est pas une opinion ». Par ce slogan simpliste, tout indiquait à la mystification de masse.

En effet, distinguer l’information de l’opinion relève du sophisme. Le journaliste, qu’il travaille pour un imprimé, une radio ou une télévision, sélectionne toujours et hiérarchise les faits que les agences de presse lui déversent en permanence. Sur les injonctions de son rédacteur en chef, de la conférence de rédaction ou de ses propres convictions, il trie dans le flot de l’actualité. Le journaliste choisit une information qui prend alors une certaine valeur informationnelle si, par exemple à la télévision, il met cette nouvelle en titre principal ou à la fin du JT. Il paraît difficile qu’un journal proclame en Une que les pompiers ont récupéré de la cime de l’arbre le chat de Mme Michu.

Le journaliste passe toujours au tamis les informations. La neutralité des faits n’existe pas. La façon dont elles sont présentées exprime inévitablement une opinion. La loi française sur l’audiovisuel proscrit les chaînes d’opinion. Bien des détracteurs de CNews considèrent qu’elle est une chaîne d’opinion hors-la-loi. On remarquera que Radio Courtoisie, diffusée sur les ondes hertziennes en Île-de-France et en Normandie, se définit comme la « radio de toutes les droites » et déroge en tant que radio d’opinion à cet interdit lamentable.

La montée en puissance des télévisions, des radios et des périodiques imprimés liés à l’ensemble de Vincent Bolloré – ce qu’on appelle la  « Bollorosphère » - inquiète les belles âmes de gauche. Même s’il y aurait beaucoup de critiques et de réserves à apporter à ce système médiatique polarisé par CNews, cette inquiétude palpable n’en demeure pas moins une grande source de satisfaction.

Libération des 18 et 19 octobre dernier publiait un supplément consacré au festival « Les 24 h de Libé » parrainé par le Parlement européen, le haut-commissariat aux réfugiés de l’ONU, la Fondation Jean-Jaurès, proche du groupusculaire PS, et… France Info ! Dans ce cahier spécial figurait une contribution de Julia Cagé. Professeur d’économie à Sciences-Po Paris, experte en économie médiatique, récipiendaire en 2023 du prix du meilleur jeune économiste de France, membre du conseil d’administration de l’Agence France-Presse et présidente depuis 2020 de la Société des lecteurs du Monde, elle estime que « la bataille démocratique est devenue une bataille de   l’information ». Mélangeant chaînes télé et réseaux sociaux, elle juge « urgent de mieux réguler ces réseaux et de prendre à bras-le-corps le problème de la désinformation ». Le mardi 28 octobre, Emmanuel Macron a lui aussi appelé à réglementer Internet, c’est-à-dire à le censurer.

Prônant la parité sociale sur les listes des candidats (inscrire par exemple 6 % d’ouvriers ou 2 % d’agriculteurs), oubliant que des corporatistes du XIXe siècle proposaient déjà cette composition afin d’accroître le caractère conservateur du suffrage universel, Julia Cagé refuse que « la réponse aux médias d’opinion [soit] davantage de médias d’opinion. Or c’est exactement l’inverse qu’il nous faut à garantir les conditions de production d’une information comme bien public, socle indispensable au bon fonctionnement du débat public ». Traduction de la novlangue : il devient impératif de sidérer la population, de modeler ses émotions et de la transformer en hilotisme wokisé.

Il va de soi que Julia Cagé conjure de « plus que jamais protéger le pluralisme et mettre en place des régulations garantissant l’indépendance des journalistes ». Le fameux pluralisme revendiqué cache en fait un entre-soi endogamique qui ne favorise que des débats convenus entre mondialistes et cosmopolites. À quand une confrontation à grande heure d’écoute entre l’économiste  - lauréat du Prix Lyssenko 2015 - Thomas Piketty, par ailleurs époux de Julia Cagé, et son disciple, l’économiste Gabriel Zucman, le gars qui veut taxer quiconque aurait au moins un euro dans la poche ? On cherche à égarer l’opinion.

Très révélateur sur ce point est l’article de Grégory Marin dans L’Humanité Magazine du 30 octobre au 5 novembre 2025. Ce journaliste dénonce bien sûr sur quatre pages l’« Offensive brune sur l’audiovisuel public » ! Il souffre que le service public soit contraint d’inviter régulièrement les élus du RN et de l’UDR, « quitte – écrit-il – à heurter la sensibilité de nombreux auditeurs ». On sort un nouveau prétexte, celui de la sensibilité. A-t-il pensé à la sensibilité des contribuables exaspérés qui financent les associations favorables à l’immigration de masse ou qui font la promotion du gendérisme et d’autres lubies arc-en-ciel ? Le journaliste de L’Huma Mag se désole que ces invitations soumises au temps de parole de l’opposition se fasse au « nom d’un “ pluralisme ” amputé de son aile gauche ». Ah bon ? Il déplore en réalité l’absence médiatique du NPA – Anticapitaliste, de Révolution permanente ou de l’Union communiste libertaire. C’est aussi le cas pour Florian Philippot des Patriotes qui ne peut venir en plateau ou en studio qu’une fois par trimestre. Vous avez dit démocratie ?

Grégory Marin n’accepte pas que « les chaînes publiques embauchent même chez “ l’ennemi ” », à savoir les ultra-identitaires et super-nationalistes-révolutionnaires intégraux Alexandre Devecchio, Paul Melun et Nathan Devers ! Il se scandalise qu’à l’occasion du second tour de la présidentielle du 8 avril 2022, sur dix-sept chroniqueurs invités à la soirée électorale de France 2, « six œuvraient pour des médias estampillés à l’extrême droite ». Mais qui les estampille de cette étiquette supposée infamante sinon leurs détracteurs les plus zélés ?

Comment L’Humanité, groupe subventionné à hauteur de plusieurs millions d’euros par an, ose-t-il faire la leçon à l’opinion publique ? En ces temps de disette budgétaire, il serait temps d’arrêter le détournement de l’argent public vers des entreprises déficitaires de formatage de l’opinion. Cela ne rétablirait pas l’équilibre des finances, mais ce serait un signe fort bienvenu d’autant que des titres de presse tels Rivarol, Synthèse nationale, Réfléchir et Agir, Livr’Arbitres et Terre et Peuple Magazine ne vivent que par leurs abonnés. Exister sans la moindre subvention est possible à condition de le vouloir et d’appliquer une stricte rigueur comptable.   

Salutations flibustières !  

• « Vigie d’un monde en ébullition », n°173, mise en ligne le 9 novembre

20:15 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mercredi 12 novembre, à Paris : rassemblement contre la vaccination obligatoire

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Un appel des Patriotes :

Ce mercredi 12 novembre MOBILISATION NATIONALE contre la loi d’obligation vaccinale dans les EHPAD et pour les soignants, qui annonce une obligation pour tous !
 
Si on ne bouge pas, ils feront ce qu’ils veulent !
 
Alors on se bouge !
 
Venez nombreux, à 18h le mercredi 12 novembre, en pleins débats au parlement, sous les fenêtres du ministre de la Santé : Place Pierre Laroque à Paris !
 
TOUS CONCERNÉS ! Non à l’obligation vaccinale Oui à la liberté !

19:47 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Sacré-Cœur de Jésus explose le box-office avec Steven et Sabrina Gunnell

Le film "Sacré-Cœur - Son règne n'a pas de fin" de Steven et Sabrina Gunnell est déjà l'événement cinématographique de l'année. Avec plus de 300 000 entrées, malgré les refus de la SNCF et de la RATP d'en assurer la promotion commerciale, ce documentaire retrace les apparitions du Sacré-Cœur de Jésus à une religieuse visitandine de Paray-le-Monial, Sr Marguerite-Marie Alacoque en 1673.

Un brûlant et toujours d'actualité message d'amour dans un monde qui meurt de ne plus savoir aimer ni accepter d'être aimé.

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16:15 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cette fin de semaine, en Ille-et-Vilaine, il y avait :

D'un côté : des "hordes de nazis" qui rappellent les "heures les plus sombres de notre histoire", comme tout un chacun peut le constater sur ces photos :

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De l'autre : la Bretagne éveillée, massivement rassemblée (c'est-à-dire 25 "résistants", moitié punks à chiens, moitié instits CFDT, à la retraite depuis 30 ans, sans oublier quelques bobos et camés en mal de frissons) pour exiger, au nom de leur conception très restrictive de la liberté, l'interdiction de cet horrible rassemblement de "bêtes immondes", nostalgiques de Vichy, en marinières et bérets :

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On croit rêver...

S N

11:21 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le mythe de l’inégalité salariale entre les hommes et les femmes

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Thomas Joly - Président du Parti de la France
 
Chaque année, à la minute près, les gardiens du temple de l’égalité rejouent le même rituel : à partir du 10 novembre à 11h31, les femmes travailleraient gratuitement selon les féministes. Elles brandissent l’Insee comme une arme mais on oublie de lire les notes de bas de page : ces chiffres bruts ne comparent pas des postes équivalents, ni des temps de travail similaires. On additionne des pommes et des poires, des cadres à temps plein et des temps partiels choisis, puis on crie à l’injustice patriarcale.
 
Le prétendu « écart salarial » devient un mythe utile, un épouvantail commode pour désigner le mâle oppresseur. Pourtant, nul complot n’interdit aux femmes d’être ingénieurs, chefs d’entreprise ou ministres. Beaucoup font d’autres choix de vie — non par contrainte, mais par préférence. Vouloir concilier vie familiale et emploi stable n’est pas une soumission : c’est un arbitrage.
 
Et si le vrai scandale n’était pas la prétendue inégalité mais la disparition du modèle où un salaire suffisait à faire vivre une famille ? Aujourd’hui, l’émancipation s’appelle double emploi, nounou hors de prix ou enfants confiés à la crèche dès trois mois. Est-ce un progrès ou une régression masquée ?
 
Plutôt que de répéter les mantras d’un féminisme comptable, il serait temps de redonner sa valeur au choix, au foyer, à la maternité. Un « salaire parental » permettrait enfin aux femmes françaises de choisir librement leur rôle, sans culpabilité ni dépendance. Et de relancer la natalité.

10:59 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |