Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 10 novembre 2025

Cette fin de semaine, en Ille-et-Vilaine, il y avait :

D'un côté : des "hordes de nazis" qui rappellent les "heures les plus sombres de notre histoire", comme tout à chacun peut le constater sur ces photos :

576995342_26109412871980833_9168069671831055208_n.jpg

576999505_26109412411980879_1530666558741705115_n.jpg

De l'autre : la Bretagne éveillée massivement rassemblée (c'est à dire 25 "résistants", moitié punks à chiens, moitié instits CFDT à la retraite depuis 30 ans et, ajoutez à cela, quelques bobos et quelques camés en mal de frissons...) venue exiger, au nom de la (leur) Liberté, l'interdiction de cette horrible rassemblement de nostalgiques de Vichy :

G5OBf4aW4AAJonJ.jpeg

On croit rêver...

S N

11:21 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le mythe de l’inégalité salariale entre les hommes et les femmes

578632375_1481803813102976_100031167298717961_n.jpg

Thomas Joly - Président du Parti de la France
 
Chaque année, à la minute près, les gardiens du temple de l’égalité rejouent le même rituel : à partir du 10 novembre à 11h31, les femmes travailleraient gratuitement selon les féministes. Elles brandissent l’Insee comme une arme mais on oublie de lire les notes de bas de page : ces chiffres bruts ne comparent pas des postes équivalents, ni des temps de travail similaires. On additionne des pommes et des poires, des cadres à temps plein et des temps partiels choisis, puis on crie à l’injustice patriarcale.
 
Le prétendu « écart salarial » devient un mythe utile, un épouvantail commode pour désigner le mâle oppresseur. Pourtant, nul complot n’interdit aux femmes d’être ingénieurs, chefs d’entreprise ou ministres. Beaucoup font d’autres choix de vie — non par contrainte, mais par préférence. Vouloir concilier vie familiale et emploi stable n’est pas une soumission : c’est un arbitrage.
 
Et si le vrai scandale n’était pas la prétendue inégalité mais la disparition du modèle où un salaire suffisait à faire vivre une famille ? Aujourd’hui, l’émancipation s’appelle double emploi, nounou hors de prix ou enfants confiés à la crèche dès trois mois. Est-ce un progrès ou une régression masquée ?
 
Plutôt que de répéter les mantras d’un féminisme comptable, il serait temps de redonner sa valeur au choix, au foyer, à la maternité. Un « salaire parental » permettrait enfin aux femmes françaises de choisir librement leur rôle, sans culpabilité ni dépendance. Et de relancer la natalité.

10:59 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |