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mardi, 19 avril 2011

lE DIMANCHE 8 MAI, 10 H 00, PLACE DE LA MADELEINE :

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09:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

TERRE BRIARDE : UNE ASSOCIATION REGIONALE RESISTANTE, POUR UNE CULTURE ENRACINEE.

« TERRE BRIARDE »  propose en Brie, et sur une plus grande échelle à l’est de Paris, des randonnées, des conférences, des rencontres lors des fêtes traditionnelles ainsi que des visites de sites historiques afin de permettre aux Européens de se retrouver dans un cadre communautaire chaleureux.

Ceci étant une nécessité de « survie »  alors que, jour après jour, les populations cèdent à un abrutissement terrifiant.

UNE ASSOCIATION ECOLOGISTE ET LOCALISTE engagée dans la « décroissance » .

La décroissance, rupture avec le productivisme, est le seul véritable modèle économique compatible avec notre culture indo-européenne ancestrale.

Cela nécessite au préalable une véritable transformation des esprits.

Fidèle à sa vocation, Terre briarde mène, depuis quelques semaines, une campagne contre l'exploitation du pétrole de schiste dans le nord de la Seine-et-Marne (en savoir plus, cliquez ici).

Pour nous rejoindre : terrebriarde@aol.fr

Téléphone 01 64 30 05 16

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lundi, 18 avril 2011

Jeudi soir : Dr Merlin se produit au Local...

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12:25 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Comment les Tunisiens entrent en France

logo_france-soir.gifFace à l’afflux de migrants, les policiers sont débordés. A peine la moitié des clandestins arrêtés sont expulsés.

Près de 27.000 Tunisiens sont arrivés en Italie depuis le début de l’année et ont massivement transité sur l’île de Lampedusa. La plupart sont déjà ailleurs : en Italie, en Belgique, en Allemagne, et surtout en France, la destination la plus prisée. Pourtant, selon le préfet des Alpes-Maritimes, principal point d’entrée des migrants tunisiens, la frontière est parfaitement « étanche ». Une affirmation qui surprend. Les chiffres disent autre chose : au premier trimestre, les forces de l’ordre de son département ont interpellé 3.258 clandestins. Parmi eux, 1.258 ont été reconduits en Italie et 415 ont été « éloignés », c’est-à-dire renvoyés dans leur pays d’origine, généralement la Tunisie. Plus de 1.584 clandestins ont donc été remis en liberté. Rien qu’en mars, sur 2.118 interpellés, 1.019 ont pu poursuivre leur route. Le discours de fermeté du ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, se heurte au principe de réalité : expulser ou reconduire un clandestin n’est pas si simple. Les forces de l’ordre et les juges sont confrontés à trois situations :

1. Le clandestin est arrivé directement en France : il est renvoyé vers son pays d’origine.

2. Il a transité par un pays membre de l’Union européenne (l’Italie), comme l’indique un titre de transport ou une puce de téléphone italienne : il est alors « réadmis » en Italie, quitte à ce qu’il retente sa chance dès le lendemain.

3. Il n’a aucun papier prouvant sa nationalité : il est remis en liberté après sa garde à vue avec l’obligation de quitter la France dans un délai de cinq jours.

« C’est un gruyère », affirme un policier

Sur le terrain, à Nice, Menton ou Cannes, les effectifs de police classique, ceux de la police aux frontières (PAF) et la gendarmerie, ont le sentiment, selon leur expression de « p… dans un violon ». Frédéric Guérin, secrétaire départemental du syndicat Unité SGP-police pour les Alpes-Maritimes, avance le chiffre de « centaines » de clandestins entrant en France chaque jour. « La frontière, c’est un gruyère, assure le policier. Ils arrivent dans nos locaux par paquets de 20. » Le centre de rétention administrative (CRA) de Nice, qui dispose de 38 places, sature. « La PAF des Alpes-Maritimes est à deux doigts d’exploser, poursuit Frédéric Guérin. On met en place une politique, mais on ne donne pas de moyens humains avec. Les policiers travaillent à flux tendu, la plupart des brigades sont en heures sup. »

A Menton, les deux postes frontières ont été réactivés. Celui dit « du haut » assure les « réadmissions » vers l’Italie. Des cars de CRS surveillent celui « du bas », sur la route du front de mer. Et pourtant, les clandestins passent, parfois après avoir été expulsés quelques heures plus tôt. « Avant, les policiers italiens les prenaient en charge au poste du haut, plus maintenant. Du coup, les clandestins font la boucle : ils parcourent 4 kilomètres en Italie et reviennent par le poste du bas », glisse un policier français. D’autres empruntent les anciens sentiers de contrebandiers, par la montagne ou par le bord de mer. Parfois, c’est encore plus facile. Lundi soir, à 21 heures, le poste du « bas » de Menton est ouvert à tous (notre photo). Pas un policier à l’horizon. Il y a eu des interpellations un peu plus tôt. « Quand les équipages sont mobilisés, plus personne ne fait de contrôle », reconnaît le syndicaliste.

A la petite gare de Menton-Garavan, à 1 kilomètre de la frontière italienne, ce soir-là, les trains en provenance de Vintimille sont systématiquement contrôlés. Une poignée de CRS monte à bord, d’autres dévisagent les passagers à travers les vitres, depuis les quais. Sans succès. La route est sans doute déjà périmée. Tous les jours, des patrouilles sont mobilisées plus à l’ouest dans les TGV vers Marseille, Lyon et Paris. Les clandestins, ou plutôt les passeurs, s’adaptent. Ils optent désormais pour la route et choisissent des gares éloignées de la frontière. Un véritable « jeu du chat et de la souris », résume un policier de la PAF.

Source France Soir 18 avril 2011

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Avignon : le ménage est fait...

11:20 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 17 avril 2011

Reconnaissance du génocide vendéen : une atteinte à la liberté du citoyen ?

mariages.JPGPar Véronique Bouzou
 
J’ai profité des vacances scolaires d’avril pour visiter le musée de la Chouannerie et des guerres de l'Ouest (cliquez ici) à Plouharnel (Morbihan). Une visite fortuite étant donné que nul guide touristique en ma possession ne mentionnait l’existence de ce lieu situé à l’entrée de la presqu’île de Quiberon.

Cette visite printanière riche en enseignements devait m’en apprendre bien plus que les manuels d’histoire. Car si au collège (niveau quatrième) puis au lycée (niveau seconde), les élèves étudient bien la Révolution française, ils ne reçoivent que des informations très superficielles au sujet des révoltes de Vendée et sur les massacres perpétrés par les révolutionnaires à l’encontre des Chouans.

A l’école, les révolutionnaires sont érigés au rang de héros dont l’action a conduit à l’abolition des privilèges de l’Ancien régime et à la rédaction de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen. En revanche, les dérives révolutionnaires avec l’évocation de la Terreur et des répressions à l’encontre des Chouans, qualifiés de « contre-révolutionnaires », sont expédiées en quelques lignes. Et pour cause : il ne faudrait surtout pas flétrir l’image de la République, d’autant plus que la devise républicaine est inscrite sur tous les frontons des écoles de France.

Pourtant, les Chouans ont bel et bien été victimes de ce qu’il est convenu d’appeler une extermination de masse planifiée. Et le musée, riche en documents divers (iconographies, manuscrits d’époque, témoignages écrits, compte-rendu de tueries) montre bien que les massacres, essentiellement de civils, avaient été programmés et que certains révolutionnaires ne manquaient pas d’ingéniosité pour garantir à la République d’excellents rendements meurtriers tels les « mariages républicains » (nom donné aux noyades massives) et autres « colonnes infernales » (destructions et tueries massives), en plus des fusillades.

A l’issue de cette visite, je m’interroge : pourquoi une telle discrétion autour du « génocide vendéen » ? Ce qui est certain, c’est que le sujet est éminemment politique et divise. Le 21 février 2007, neuf députés français de droite (sept de l’UMP et deux du MPF de Philippe de Villiers), se fondant explicitement sur les travaux de l’historien Reynald Secher (le premier à avoir évoqué le terme de « génocide ») et de Michel Ragon, ont déposé une proposition de loi (cliquez ici) à l’Assemblée nationale visant à la « reconnaissance du génocide vendéen » de 1793-1794.

Démarche qui a aussitôt suscité la réaction de professeurs d’histoire de l’enseignement supérieur, auteurs du site Révolution Française.net, pour lesquels cette proposition de loi constitue « une atteinte à la liberté du citoyen », rien de moins ! Leur argumentaire, (cliquez ici) et dont je vous laisse juge, me semble plutôt tiré par les cheveux…

Quoi qu’il en soit , il est bien dommage de donner le dernier mot à ces pseudo « hussards noirs de la République » prêts à tout pour refouler le martyre d’une partie de la population française sur l’autel des valeurs républicaines au rang desquelles l’universalisme, qui justement méprise les identités régionales composant notre pays.

Le combat de jadis des Chouans contre la République une et indivisible ressemble à s’y méprendre au combat actuel des patriotes contre le mondialisme et son diktat d’un mode de vie et de pensée uniformes. Après tout, se montrer critique vis-à-vis des excès de la République ou des dangers du mondialisme est une marque du bon sens populaire, le peuple tenant à préserver ses libertés individuelles et se méfiant avec raison de la devise républicaine « Liberté, égalité, fraternité » au nom de laquelle sont commis bien des excès.

A l’heure où certaines minorités, concurrence mémorielle oblige, réclament haut et fort la reconnaissance des crimes perpétrés à l’encontre de leurs ancêtres et l’obtiennent (la loi Taubira sur la reconnaissance des traites et des esclavages comme crime contre l’humanité en est la parfaite illustration), on aimerait voir un vrai leader politique s’emparer de ce sujet, au nom de la défense de la vérité historique et de l’intégrité de nos régions. En espérant qu’un jour cet épisode dramatique ne soit plus cantonné dans les tréfonds de l’Histoire de France et négligé des manuels scolaires…

Source cliquez ici

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L'intervention d'Annick Martin au colloque de Synthèse nationale, samedi 9 avril à Paris...

1007643155.jpgVoici le texte du discours d'Annick Martin, vice présidente du MNR, prononcé samedi 9 avril lors du Colloque de Synthèse nationale sur les 35 ans du regroupement familial à Paris :
 
Le problème de l'immigration que nous traitons aujourd'hui est la conséquence d'un choix politique en matière de démographie.
 
En effet, nous traversons une très grave crise démographique : l'Europe ne renouvelle plus ses générations. Faute d'une natalité suffisante et du fait de l'allongement de la durée de vie des individus, on assiste à un vieillissement très préoccupant de notre population. Cette récession est loin d'être négligeable, puisque non seulement elle affecte le moral des peuples, mais de plus, elle hypothèque la relance économique et l'avenir social des nations européennes.

Les dirigeants politiques qui se sont succédé après la seconde guerre mondiale ont eu un objectif commun : soumettre la démographie au monde économique. Et pour ce faire, ils ont choisi la pire des solutions : la mise en oeuvre d'un flot ininterrompu d'immigration en provenance du continent africain principalement, en ce qui concerne la France.

Le choix d'une politique démographique

Ils ont choisi l'immigration alors qu'ils auraient pu choisir de relancer la natalité par une politique familiale au profit des familles françaises et européennes. Ce choix n'est pas neutre. Au-delà de l'aspect purement arithmétique dès phénomènes démographiques, les individus ne sont pas interchangeables d'une civilisation à l'autre et le danger de disparition menace les peuples européens, s'ils ne renouvellent pas eux-mêmes leurs générations et acceptent que cette mission soit accomplie par des populations non européennes, dont l'indice de fécondité sur notre sol dépasse largement trois enfants par femme.

Le choix de substituer les peuples européens est un choix délibéré qui s'opère au bénéfice de nos concurrents mondiaux. On peut d'ailleurs observer que l'immigration en provenance de pays moins développés est en véritable surchauffe depuis la chute du mur de Berlin et l'organisation de la mondialisation par la puissance américaine.

En ce qui concerne la France, ce qui n'était au départ qu'un levier en faveur de certains secteurs économiques est devenu un moyen d'écraser les Français qui auraient la volonté de relever la tête et de prendre en main leur destin.

Dans cette évolution mortifère, une étape majeure a été franchie en 1976 avec la décision de Giscard et Chirac, de donner un coup d'accélérateur à l'immigration majoritairement africaine, en instaurant ce qu'on appelle le '' regroupement familial ''. On peut fixer à ce moment le début de la politique d'immigration massive. En effet, il est clair que ce phénomène démographique qui menace lourdement notre société dans son identité, dans ses valeurs de civilisation, je dirais dans son âme, ce phénomène n'aurait pas pris les proportions qu'il a prises, sans cette décision. Aujourd'hui encore, le plus gros contingent de primo-arrivants, se fait par ce biais.

Avec le regroupement familial, nous assistons à l'organisation d'une substitution de population tout à fait insidieuse, d'une invasion irrépressible qui se fait par la seule force du nombre, avec l'appui du nouveau code de la nationalité qui veut que toute personne née sur le territoire français ait droit à la nationalité française.

Signalons aussi que l'Union Européenne a repris à son compte le décret sur le regroupement familial dans une directive de 2003 (2003/86/CE) qui préconise que '' l'état doit permettre à un étranger séjournant sur le territoire national de faire venir son conjoint et ses enfants mineurs dans les deux ans qui suivent son arrivée ''.

L'immigration au service des marchands

Au départ, l'instauration des mouvements migratoires étaient censés dépanner l'industrie en manque de main-d'oeuvre.

Jusqu'au XIXème siècle en Europe et particulièrement en France, une population abondante avait fait notre puissance, puisqu'il fallait des soldats pour les combats et que les invasions de l'époque se faisaient à coup d'épée puis de mousquets et pas encore au titre du regroupement familial... et que, par ailleurs, il fallait des bras pour assurer l'économie de subsistance.

A la fin du XIXème siècle on a commencé à avoir besoin d'ouvriers pour les usines, mais la France restant un territoire très rural, son industrialisation s'est faite progressivement et n'a pas provoqué de grande migration comme cela s'est produit en Angleterre.

C'est au XXe siècle qu'a eu lieu la grande mutation industrielle. C'est donc logiquement au cours de ce siècle que les besoins d'une nouvelle main-d'oeuvre se sont fait sentir.

La production industrielle est directement liée à 2 grands facteurs : le capital (les investissements) et la main d'oeuvre (la population active). Dans la stratégie qui consiste à satisfaire les besoins industriels de main d'oeuvre, l'immigration est devenu un élément clé par son volume et par son bas coût. Cela s'est fait par étapes, mais d'une façon exponentielle.

Dans les années 50 à 70, la part de la population active étant insuffisante pour les besoins de l'industrie renaissante, dans un premier temps, on a favorisé l'exode rural. Aucun effort n'a été fait pour conserver la population dans les campagnes. Au contraire, on a pratiqué une politique de déracinement et de préférence aux grandes exploitations agricoles, qui a conduit à la désertification. Dans un premier temps, les besoins de main d'oeuvre ont donc été comblés par une population non qualifiée et encore peu payée, par rapport à une classe ouvrière constituée dans les années 30, mieux formée et légitimement plus exigeante. L'ex-ouvrier agricole venait concurrencer l'ouvrier professionnel en place, tirant, déjà, les salaires à la baisse.

Lorsque cette source s'est tarie, on a fait appel aux femmes, autre catégorie de main d'oeuvre peu exigeante. Peu à peu s'est installée une nécessité : celle du salaire féminin venant compléter le salaire de l'homme que, du coup, on pouvait tempérer. Petit à petit il a fallu 2 salaires au lieu d'un pour vivre. Sans le salaire de la femme, il n'y avait souvent ni confort, ni vacances, ni voiture... Le prix démographique à payer a été lourd, puisqu'il a fallu choisir : travailler - souvent pour un salaire vraiment médiocre - ou faire des enfants... La société de consommation et S. Veil ont fait le nécessaire pour que les femmes à leur tour soient happées par les besoins d'une production toujours croissante, mais de moins en moins généreuse avec ses ouvriers.

Mais l'appétit de bénéfices étant sans limites, pour contracter encore les coûts, on a fait appel à l'immigration, grâce à la collusion entre le pouvoir politique et le pouvoir économique. En comparaison avec un salarié français, un immigré fraîchement débarqué est toujours meilleur marché et moins revendicateur. C'est pourquoi le système économique réclame toujours plus d'immigrés. Il fait son profit sur un flux qui doit être toujours renouvelé. Et peu importe le taux de chômage...

On aurait pu penser qu'on était arrivé au bout des possiblités de diminution des coûts en matière de main d'oeuvre. Et bien non !
Depuis les années 90, une nouvelle vague de populations importées vient concurrencer très efficacement les immigrés légaux, ce sont les150 à 200000 clandestins, qui par leur situation acceptent n'importe quelles conditions de travail jusqu'à l'obtention de leur régularisation.

Tant que la France était un pays riche, et qu'elle pouvait se permettre d'indemniser largement les Français laissés sur le carreau, les problèmes d'immigration restaient au deuxième plan. Tout le monde y trouvait son compte. Au point que lors de la récession des années 80, la nécessaire diminution des besoins en main-d'oeuvre a été très habilement maquillée par Mitterrand, au moyen de mesures de surcroit très populaires. La réalité était que l'industrie n'avait plus besoin d'autant d'employés, au lieu de renvoyer chez eux les immigrés surnuméraires, on a habillé la crise en progrès social. On se souvient du '' partage du travail '', de la diminution de l'âge des retraites, de l'augmentation du nombre de fonctionnaires, de l'augmentation des congés payés, de la diminution de la durée du travail. Autant de mesures qui, en fait, ont servi à masquer une sorte de chômage technique généralisé, mais qui ont ralenti, voire bloqué, l'évolution des salaires. Donc les mesures pour s'adapter à la situation économique nouvelle ont été prises et on a aménagé, certes de façon très discutable, la contraction de la main d'oeuvre.

Donc au plan économique on sait et on peut inverser une tendance assez rapidement. En revanche, on n'inverse pas les facteurs démographiques du jour au lendemain... surtout si on n'en a pas envie. D'autant qu'en matière de démographie, l'unité de mesure pour les populations installées c'est la génération, c'est-à-dire 30 ans !

Parler d'immigration : un tabou

C'est pourquoi, au fil des ans, il est devenu de plus en plus difficile de parler de l'immigration et corrélativement de l'effondrement démographique français et plus globalement européen.
En ces temps où mondialisme est synonyme de modernité, c'est prendre le risque d'être taxé de ringard(e), d'imbécile ou de paranoïaque, lorsqu'on prétend mettre en cause le dogme absolu de la bienfaisance de l'immigration.

'' L'immigration c'est bien ''. Et qui conteste cet axiome doit le faire avec la plus grande prudence. Eric Zemmour vient d'en faire l'expérience ; en matière d'immigration, les vérités ne sont jamais bonnes à dire.

La politique migratoire fait l'objet d'un véritable secret statistique et administratif. Les études sont volontairement tronquées, les enquêtes démographiques ne permettent pas de connaître l'origine des populations et les interprétations des rares chiffres qui sont portés à notre connaissance sont tout à fait fallacieuses.

Ainsi nous sommes dans une situation paradoxale, alors que nous sommes abreuvés de sondages qui observent jusqu'à nos moindres faits et gestes, qui dissèquent notre manière de penser et de consommer, nous ne savons rien - du moins officiellement - sur les populations immigrées. Il est urgent de faire un véritable inventaire démographique. Comme lors de son arrivée au pouvoir la gauche avait fait un inventaire économique, je suggère qu'à son arrivée, le prochain ou la prochaine président(e) de la république, procède à cet inventaire démographique.

Depuis la pratique du regroupement familial et l'application du nouveau code de la nationalité, et compte tenu également du nombre effréné de naturalisations (+ 16,8 % en 2010) à un rythme moyen de 12 000 par mois depuis 10 ans, l'implantation immigrée est tellement explosive qu'il n'est pas facile d'être exhaustif.

Malgré l'omerta statistique, l'explosion des minorités visibles est corroborée par les rares chiffres dont nous disposons. Encore faut-il les trouver et les lire avec attention et un minimum d'esprit critique.

Ainsi, alors que le chiffre de la population française est vraisemblable (63 millions d'habitants en métropole et 1 900 000 dans les DOM), l'INSEE nous annonce un taux d'immigrés de 8,3 %. Ce résultat (5,2 millions) paraît faible en regard du nombre d'immigrés musulmans revendiqué par les constructeurs de mosquées.

Il faut signaler aux amateurs de calcul, que les vérifications sont difficiles. En effet la consultation du site de l'INSEE est édifiante. En ce qui concerne les flux d'immigration permanente, l'INSEE a bloqué les compteurs en 2005 au chiffre de 135 395 pour cette année. Concernant le recensement des familles d'immigrés selon le pays d'origine, les derniers chiffres datent de 1999. Quant à la rubrique '' immigrés selon le pays d'origine '', elle comporte la mention '' tableau introuvable '' !

Concernant les naissances, sur les 800 000 naissances annuelles, 20 % sont des petits Français nés d'au moins un parent étranger (dont 7% de 2 parents étrangers). Notre population croissant de 346 000 individus / an, 57 % de l'accroissement démographique est donc le fait de l'immigration.
Les travaux de Gérard-François Dumont (in : Population & Avenir, n° 681 de janvier 2007) ont permis d'évaluer quelle est la contribution des femmes selon leur origine : la fécondité des femmes françaises (y compris celles qui ont la nationalité française mais sont d'origine immigrée) est de 1,79. Celle des femmes maghrébines est de 3,25, celle des africaines de 4,04, celle des turques de 3,35 et celle des asiatiques de 2,83.

La forte fécondité de ces femmes témoigne de leur satisfaction de se trouver en France et de pouvoir y bénéficier d'avantages médicaux et sociaux incomparables.
Certes la fécondité de la 2ème génération d'immigrées rejoint celle des françaises, mais elles sont remplacées par d'autres arrivantes.
Au total, on évalue à 0,2 la part de l'indice synthétique de fécondité liée aux populations récemment arrivées en France.

Ce qui ramène la contribution nationale à 1,73. Soit au même niveau que la Suède, par exemple.

Pourquoi escamote-t-on la réalité ? Pourquoi faut-il cacher aux Français la vérité lorsqu'on parle d'immigration ?

Parce qu'il y a une volonté d'installer définitivement des populations non-européennes sur notre terre, volonté qui s'est concrétisée par la réforme du code de la nationalité dont les pouvoirs économiques locaux n'ont strictement rien à faire. C'est la raison pour laquelle nous ne pouvons nous contenter des raisons strictement économiques pour expliquer cet acharnement à nous imposer ce phénomène qui représente une charge pour la nation, un grave danger pour nos valeurs de civilisation européenne et à terme pour notre existence même.

Il y a une volonté politique d'affaiblir l'Europe en l'obligeant à prendre en charge sur son sol une partie de la population africaine. Ce n'est pas une vue de l'esprit. En disant cela je ne fais que rappeler ce qui a été préconisé par l'ONU en 2000. L'ONU prévoyait de doubler la population européenne tous les 40 ans et d'implanter 160 millions d'immigrés supplémentaires en Europe à échéance 2025, soit 24 millions pour la France. Cela dans le but de corriger le vieillissement des populations européennes.
Certes il faut lutter contre le vieillissement de la population et la dépression démographique. Mais pourquoi le recours à l'immigration est-il la seule solution proposée. Pourquoi n'évoque-t-on pas la solution nataliste ?

Pourquoi choisir la solution qui anéantit tout espoir d'une Europe puissante et indépendante ? Pourquoi choisir la solution qui nous affaiblit face à la concurrence américaine ?
Nous savons, nous, il y a une autre politique possible que celle qui est mise en musique par nos dirigeants depuis des décennies. Une autre politique que cette politique qui nous est infligée mesure après mesure.

En effet, la population française et européenne est conditionnée, façonnée, préparée à laisser sa place à des populations immigrées moins développées, imposant peu à peu leurs propres modes de vie, coutumes et religion, mais combien plus malléables !

Tous les moyens sont bons pour nous imposer cette forme de colonisation à rebours, qui doit éliminer un continent et une civilisation du partage du pouvoir mondial. En résumé, par l'immigration qui est une véritable arme de destruction massive, il s'agit d'éliminer les Européens.

Pour ce faire, le peuple français subit un véritable bourrage de crâne depuis des décennies. Souvenez-vous... l'immigration a été successivement :
- une chance pour la France,
- un nécessaire apport de main d'oeuvre pour faire '' ce que les Français ne veulent PLUS faire '',
- les '' jeunes '' chez lesquels le taux de chômage avoisine les 35% allaient payer nos retraites,
- les immigrés rapportent plus qu'ils ne coûtent,
autant de mensonges éhontés :
- les prisons abritent 80 % de '' chances '',
- les Français veulent bien faire n'importe quel travail, mais ils veulent être payés décemment et en ont assez de faire l'aumône,
- quant à nos retraites, dans le système actuel, elles ne risquent pas d'être payés par des chômeurs ou des allocataires chroniques,
- enfin dire que l'immigration rapporte est un mensonge éhonté. Tout récemment un ancien expert du FMI (M. Pince) a démontré que l'immigration coûte plus de 50 milliards Euros/an.

On nous a servi la propagande pseudo-humanitaire la plus éculée.
Pour justifier le regroupement familial, nous étions des monstres qui séparaient les pères de leur(s) femme(s) et enfants. Sarkozy a du reste invoqué les mêmes mânes familiales pour supprimer la double peine.

Mais la réticence des Français croissant proportionnellement au nombre d'immigrés s'installant chez nous, une opération de culpabilisation de grande envergure a été menée ces dernières années : colonisation, tirailleurs sénégalais morts en 14-18, repentance à l'égard de l'esclavage... j'en oublie certainement, rien ne nous est épargné...

Le peuple français est soumis à un triple conditionnement : culpabilisation, compassion et même tentative de séduction : les charmes de la '' diversité '' ont succédé aux délices de la mixité... mais attention, le bâton n'est jamais loin, la discrimination ne peut être que positive et refuser l'immigration c'est forcément être raciste. On a crée la Halde !

Mais malgré ce '' pilonnage '', il arrive un moment où la propagande se heurte au mur de la réalité. Et nous assistons à une radicalisation de l'opinion qui s'est traduite récemment dans les urnes.

Voilà où nous en sommes.

L'assimilation a échoué.
L'intégration a échoué.
La mixité ethnique est une illusion et se développe le communautarisme qui débouche sur les conflits et la violence, entre communautés d'abord, puis avec les institutions du pays d'accueil. C'est pourquoi le communautarisme qui séduit parfois les Français européens qui espèrent trouver là une solution de repli pour eux-mêmes, n'est pas une bonne réponse à la menace qui pèse sur notre civilisation.

Il n'y a qu'une politique possible en l'état. C'est la politique du retour. Il faut non seulement stopper mais inverser les flux migratoires en provenance des rives sud et est de la Méditerranée et de l'Asie afin de préserver notre identité. '' Organiser le retour des immigrés non européens chez eux, c'est impossible, c'est trop tard... '' Ce sont les propos tenus par les timorés qui regardent disparaître la France avec chagrin, mais sans rien faire. Rien n'est plus faux. Quelques mesures législatives de bon sens sont à prendre :
  • mettre un terme au droit du sol
  • abroger le décret autorisant le regroupement familial
  • restaurer l'éloignement des étrangers délinquants
  • rendre au droit d'asile sa spécificité politique
  • impliquer la préférence française et européenne concernant les emplois, les logements, les allocations familiales, le RSA, la CMU
  • supprimer l'AME, chef-d'oeuvre d'incohérence politique.
    En effet, l'appartenance à la communauté nationale engendre des devoirs et procure des droits et des avantages, qui, par définition ne sont pas accordés à d'autres communautés.

Commençons par compter les immigrés et qui sont illégalement sur notre territoire ou qui contreviennent gravement à la loi : on compte au bas mot 600 000 clandestins, 300 000 personnes appartenant à des familles polygames, plus de 40 000 incarcérés étrangers ou d'origine étrangère, sans compter tous les délinquants récidivistes parfaitement identifiés ('' connus des services de police '') qui alimentent les faits divers. Sans parler des activistes islamistes... On dépasse très largement le million de personnes qui doivent être reconduits à la frontière sans délai.
Commençons par là.
Concernant les immigrés chômeurs en fin de droits, organisons ensuite leur retour humainement.
Tout cela est possible, la preuve : si 250 000 personnes peuvent passer plus ou moins clandestinement la frontière dans un sens chaque année, on imagine mal qu'un gouvernement ne puisse organiser un retour à hauteur de 250 000 personnes par an dans l'autre sens.

Mais surtout nous devons reconquérir notre territoire par une natalité dynamique et une vraie politique d'aide aux familles françaises et européennes. Mais pour être efficace, une politique familiale doit tenir compte du désir des jeunes couples de bénéficier d'une qualité de vie comparable à celle des aînés ; et en particulier du désir pour la femme de conserver une activité hors du foyer. Mais ce n'est pas le sujet de ce séminaire.

La démographie est un secteur plus stratégique encore que celui de l'énergie. On ne s'achète pas un nouveau peuple comme on s'achète des barils de pétrole et l'importation de millions d'immigrés équivaut à un suicide.

Comme il y a une guerre économique, il y a une guerre démographique. Mener ce combat, résister à l'immigration, défendre notre civilisation et notre identité n'est certainement pas un combat d'arrière-garde. Ce combat n'est pas perdu d'avance, si nous avons l'audace de balayer la classe politique qui nous mène à notre perte. Il faut renoncer au palliatif inadapté qu'est l'immigration et oser faire de la natalité une priorité nationale et européenne.

À nous de trouver en France et en Europe, les nouveaux dirigeants qui auront à coeur de défendre nos identités et de faire de l'Europe une puissance mondiale.

Les interventions faites au cours de ce colloque seront publiées dans le prochain numéro de Synthèse nationale.

12:43 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La manifestation contre l'expo blasphématoire à Avignon :

A Avignon, "Piss Christ", l'oeuvre d'Andres Serrano exposée à la Collection Lambert alimente plus que jamais la polémique qui a commencé il y a une dizaine de jours.

Samedi après-midi, plus de 1500 personnes se sont rassemblées devant le musée d'art contemporain pour demander le retrait de cette photo qui représente un crucifix dans un verre d'urine à l'appel de diverses associations et sites catholiques (institut civitas, catholiques en campagne, e-deo, salon beige, observatoire de la christianophobie, etc.).

L'abbé Régis de Cacqueray, de la Fraternité sacerdotale Saint Pie X  a exhorté les fidèles à dire un chapelet de réparation.

Devant les portes fermées du musée et sous le regard des policiers et de la petite dizaine de contre-manifestants de la Ligue des droits de l'homme.

Source Civitas cliquez ici

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samedi, 16 avril 2011

Les cons, ça ose tout. C'est même à cela qu'on les reconnait...

images.jpgLe maire PRG (radicaux de gauche) de Carrière-sous-Poissy (Yvelines), Eddie Aït, a avancé au 11 avril la traditionnelle chasse aux oeufs dans sa ville, habituellement prévue le jour de Pâques (lundi 25). « Je ne voulais pas associer cet événement au fait religieux. J’ai donc décidé de dissocier les deux dates. » Sur les affiches annonçant l’événement, juste « chasse aux oeufs ». Et le repas de Noël à la saint Glinglin ?

Source : la remarquable revue hebdomadaire de presse du Journal du Chaos. Pour la recevoir gratuitement, c'est simple, faites la demande à : lejournalduchaos@gmail.com

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L'affaire du Christ d'Avignon : la résistance s'organise. Manif ce samedi après-midi à Avignon (15 h 00, Place du Palais des Papes)...

2031404426.jpgUn Christ plongé dans l’urine financé par une mairie UMP, un conseil régional PS, un ministère du gouvernement Sarkozy et LVMH.

En France, le Ministère de la culture du gouvernement Sarkozy, une mairie UMP et un conseil régional PS financent actuellement une exposition appelée «je crois aux miracles» organisée autour de la photo d’un Christ plongé dans l’urine. Des affiches de cette photo blasphématoire, appelée «Piss Christ», sont exposées publiquement en pleine rue d’Avignon.

Le groupe LVMH (Dior, Guerlain, Moët, Hennessy etc.), dirigé par Bernard Arnauld, cofinance ce "Piss Christ" et met son logo sur l'affiche, alors que ce même groupe LVMH se définit sur son site internet, comme « l’ambassadeur de l’art de vivre occidental dans ce qu’il a de plus raffiné » !!!  (NB: On comprend pourquoi la société Hermès s'est récemment battue pour ne surtout pas être engloutie dans ce groupe.)

Les actionnaires et clients apprécieront de voir ce que LVMH fait de leur argent.

Enfin quelques sponsors secondaires (non présents sur les affiches) participent au blasphème comme la SNCF ou  la Fondation CARTIER.

Aux Etats-Unis, puis en Australie, cette photo blasphématoire réalisée en 1987 a été bannie. Le gouvernement Sarkozy, la mairie UMP, le conseil général PS et LVMH, eux, en font tranquillement la promotion dans l’ancienne cité des papes. L’œuvre y est installée dans un des plus beaux hôtels particuliers de la ville, devenu une sorte de temple du blasphème.

Devant ces faits inacceptables, les chrétiens mais aussi toutes les personnes honnêtes refusant ces actes discriminatoires et provocants, exigent des autorités et dirigeants impliqués les mesures immédiates suivantes :

  1. Faire retirer la photo blasphématoire de cette exposition et interdire toute présentation publique en France, en raison de son caractère provoquant et discriminatoire envers les chrétiens.
  2. Faire enlever et détruire tous les supports de communication utilisant cette photo (affiches, panneaux municipaux, brochures etc.)
  3. Faire stopper tout financement public et privé de cette exposition (près d'un million d’euros par an prévus pour une nouvelle période de 10 ans !!!  dont une grande partie par le contribuable).
Nous attendons avant la fête de Pâques la prise en compte de ces trois mesures sans aucune négociation possible.

Signé : La communauté des chrétiens de France

Plus d'informations : Civitas cliquez ici

Lire aussi l'article de Robert Spieler dans Rivarol de cette semaine sur ce sujet.

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Dimanche soir sur RBN Méridien zéro :

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Du grand Gofman jeudi soir sur France 3...

Patrick Gofman, auteur du roman Vengeances de femmes (éditions Fol'fer) était jeudi soir invité à l'émission de Frédéric Taddei.

Une certaine Yael Mellul était venue prêcher l’abolition du “plus vieux métier du monde". Ses moyens ? Ceux que préconise Roselyne Bachelot. Réprimer les clients, et expliquer aux prostituées qu’elles sont aliénées ! Les proxénètes ? Pas un mot !

Pas de chance pour cette féministe hargneuse : elle tombe d’abord sur une femme épanouie, puis sur Me Vergès, et enfin sur Gofman ! Faites chauffer la colle !

12:09 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 15 avril 2011

Aidons la Côte d'Ivoire : rendons lui ses émigrés...

1821696191.jpgPar Yves Darchicourt

On a pu entendre hier soir sur RTL, un extrait de la conférence de presse donnée le jour même par Alassane Ouattara au cours de laquelle il s'était exclamé "nous demandons à tous ceux qui sont partis de revenir".

L'espace d'un instant, on a pu croire que le "monsieur à la licorne" souhaitait ardemment le retour au pays des dizaines de milliers d'Ivoirien(nes) partis pour toucher beaucoup plus en France à ne rien faire que chez eux en travaillant. Hélas non, ces propos s'adressaient aux résidents étrangers - en grande partie des Français(es) - ayant quitté la Côte d'Ivoire pendant la guerre tribale parce que craignant à juste titre pour leur vie. 

Les immigrés ivoiriens installés en France ne sont donc pas concernés par ce pathétique appel. Ils seraient pourtant quelques 50 000 à résider chez nous officiellement, entre 80 et 120 000 en tenant compte de la masse fluctuante des clandestins. Selon les dogmes établis, ils doivent être considérés comme autant de "chances pour la France", une France à laquelle ils apporteraient ainsi leur intrinsèque valeur. 

Dès lors, on se demande bien pourquoi Sarközy ne restitue pas cette manne providentielle à Ouattara pour contribuer au redressement de la Côte d'Ivoire. Voilà qui représenterait bien plus que les 400 malheureux millions d'euros d'aide directe que Christine Lagarde va se faire un plaisir de trouver dans le budget national. Les immigrés rentreraient travailler au pays, les 400 millions€ versés par les contribuables français serviraient aux français(es) et tout le monde serait content !

Source cliquez ici

18:31 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le reportage sur la cérémonie des Bobards d'or 2011 présidée par Jean-Yves Le Gallou...

18:20 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi, c'est le jour de Rivarol !

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Avez-vous pensé à réserver votre place pour le grand banquet du 3 000ème numéro de Rivarol le samedi 21 mai ?

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jeudi, 14 avril 2011

FLASH TOUJOURS DEBOUT !

nicolasgauthier.jpgUn message de notre confrère (et ami) Nicolas Gauthier, directeur de Flash :

 

La rumeur est assassine et le téléphone arabe jamais en dérangement, surtout sur Internet. Ainsi donc, le journal Flash serait donné pour mort ou sur le point de l’être…

 

Non, Flash est bien vivant et poursuit son développement.

 

Alain Soral, l’un de nos chroniqueurs vedettes, nous a quittés pour des raisons ne regardant que lui. Ainsi va la vie, celle des familles comme des journaux.

 

C’est donc au nom de toute l’équipe, plus soudée que jamais, Alain de Benoist, Philippe Randa, Christian Bouchet, Topoline, Pinatel, Pierre Le Vigan, Béatrice Péreire, Arnaud Guyot-Jeannin, Clovis Casadue et tous les autres, que je vous confirme la détermination de tous.

 

Il y a bientôt trois ans, nous avons lancé Flash, nouveau venu de la presse alternative, qui s’adresse aux patriotes de droite comme de gauche. Rigoureusement indépendants des partis politiques, indifférents aux querelles de chapelles et à des clivages politiques dépassés depuis longtemps, nous continuons notre chemin afin de révéler à nos lecteurs ce que les grands médias s’acharnent à leur cacher.

 

S’il vous plaît, transmettez ce message à tous vos proches, afin que tous sachent que Flash continue de paraître tous les 15 jours et poursuit son combat !

 

Nous gagnons chaque jour de nouveaux lecteurs, de nouveaux abonnés.

 

Si ce n’est déjà fait, j’espère que vous en ferez bientôt partie. Pour être accessible au plus grand nombre, nous avons fixé le prix à 50 euros pour l’année, soit même pas un euro par semaine, à peine le prix d’un café au comptoir…

 

Pour vous abonner, rien de plus simple : notre site www.flashmagazine.fr, sur lequel il est aussi possible de télécharger les anciens numéros.

 

Merci et à très bientôt, pour le prochain numéro de Flash !

 

Flash cliquez ici

17:09 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La sauvagerie comme voisine de palier...

Joly-cantonale-2011.jpgPar Thomas Joly

Secrétaire général du

Parti de la France

 

La sanglante actualité en Côte d'Ivoire, où ennemis tribaux se massacrent joyeusement les uns les autres avec une frénésie toute primitive, et l'arrivée massive de pseudo-réfugiés du Maghreb, prédateurs sociaux en puissance, m'amène à l'inquiétante réflexion suivante :

 

Ce sont donc ces gens hautement civilisés que l'on laisse entrer en France depuis des décennies, à qui nos gouvernants offrent, avec l'argent de nos impôts, logements, soins, éducation, allocations diverses et variées, nationalité française, passe-droits, etc ?

 

C'est donc avec des Tunisiens qui balancent en pleine mer les femmes par-dessus bord pour délester leurs embarcations de fortune qui leur servent à débarquer à Lampedusa, des Ivoiriens qui brûlent vifs leurs voisins par haine ethnique ancestrale, des pillards Lybiens, des étêteurs Rwandais, des égorgeurs algériens du FLN, que les Français sont sommés de « vivre ensemble » ?

 

Car il est évident que les gouvernants africains ne retiennent pas, bien au contraire, la racaille de leur pays, trop content de s'en débarrasser. Ce qui fait qu'une bonne part des "migrants" dont nous héritons - sans que l'on nous ait jamais demandé notre avis - ne font pas partie du haut du panier, loin de là.

 

Voici donc quel genre de voisins de palier le smicard français peut côtoyer dans son HLM.

 

Peut-on alors encore s'étonner de la sur-représentativité des "personnes issues de la diversité" (pour causer en novlangue) dans les prisons françaises ?

 

Et que se passera-t-il pour les petits blancs que nous sommes quand, comme le prédit sombrement Roger Holeindre, les collabos de l'invasion qui nous gouvernent « en arriveront à armer les banlieues communautaristes pour sauver leurs valeurs de la République » ? Quel sort nous sera réservé lorsque, unis par la haine du pays d'accueil et par la même religion conquérante et belliqueuse, les nouveaux occupants seront majoritaires (ce qui, au rythme actuel de colonisation de notre pays, ne saurait tarder) ? Posons la question à nos compatriotes pieds-noirs rapatriés, je pense qu'ils ont une petite idée du traitement qui nous sera appliqué...

 

Il appartient à nous tous de réagir avant que ce triste présage ne se réalise, avant que le chaos ne s'installe et que les barbares ne balayent notre civilisation en phase de décadence avancée. Rien n'est perdu si notre peuple retrouve sa fierté, son courage et son identité face aux dangers mortels qui le guettent. A nous de lui servir d'éclaireurs.

 

Source cliquez ici

15:22 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Gofman chez Taddei ce soir...

P Gofman.jpgNotre ami et collaborateur à la revue Synthèse nationale, l'écrivain Patrick Gofman sera ce soir 14 avril à 22 h 45 à l'émission "Ce soir ou jamais" de Frédéric Taddei, sur France 3, pour son livre Vengeances de femmes édité chez Fol'fer.

15:14 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les planches pourries du radicalisme...

Borloo_et_Lemetayer.jpgPar Jean-Gilles Malliarakis

L'Insolent

L'annonce de la candidature hypothétique de Jean-Louis Borloo président des radicaux valoisiens a manifestement réjoui certains journaux monopolistes régionaux. L'Est républicain de Nancy semble le soutenir. Et La Nouvelle république de Tours titrait fièrement le 8 avril "Paré pour 2012" avec en première page la photo du grand homme. Quant à la Dépêche de Toulouse, favorable aux radicaux de gauche, elle se montre plus réservée. La nouvelle phare qui réjouit sa rédaction correspond à une défection au sein du parti gouvernemental : "Après Jean-Louis Borloo, Rama Yade quitte l'UMP". Bigre. "Je suis le chemin emprunté par Jean-Louis, et j'invite d'ailleurs tous ceux qui sont en quête du même chemin d'espérance à le faire. Je fais comme lui, je suis solidaire et déterminée comme lui", avait déclaré en effet le matin même l'ex-secrétaire d'État.

De telles péripéties n'ont guère influencé la bourse de Tokyo, comme on peut l'imaginer aisément. L'électorat radical socialiste représente encore en France un bon 2 % des voix. Ceci pourrait jouer un rôle charnière certes, et les intéressés ne manquent pas de le faire valoir.

Offre soumise à condition, toutefois : il faut que l'unanimité des 2 % d'électeurs radicaux se portent sur le même candidat et votent au second tour selon ses recommandations. Pas gagné pour l'instant.

En 2007, le candidat se réclamant de la droite avait obtenu 53 % : un score beaucoup trop élevé au gré des manipulateurs classiques. À partir de 2008, tout a été fait, y compris par le chef de l'État lui-même, pour éroder la popularité de ce que les adversaires du Second empire appelaient déjà le pouvoir personnel.

Mme Yade ne manque pas de talent. Quand elle s'affirme "déterminée comme lui" nous pouvons d'autant plus la croire que la détermination des radicaux socialistes, dans leur longue histoire, au travers de leur 108 congrès n'a jamais strictement rien valu.

M. Borloo gère, en vrai professionnel, un magasin de planches pourries. On peut lui faire confiance pour contourner tout engagement auquel ses interlocuteurs auraient cru. On l'a vu, encore une fois, lors des négociations appelées ridiculement "grenelle de l'environnement".

Dans la période actuelle cette attitude typique des radicaux socialistes tient du vaudeville. Elle donne à rire.

Dans certaines circonstances, en revanche, elle a produit les effets les plus désastreux.

Ainsi, en 1940 la France fut essentiellement vaincue par la supériorité aérienne allemande, elle disposait "d'avions vieillots comme le Potez 25 à côté de chasseurs modernes comme le Morane 406. [Or] (…) avant la guerre on surestimait communément, en Allemagne aussi la force de l'aviation française. Personne n'aurait pu prévoir que l'aviation française jouerait un rôle aussi insignifiant. C'est aujourd'hui encore une énigme de savoir pourquoi il n'a pas été possible aux Français, au moins pendant les huit mois de la drôle de guerre, d'augmenter la capacité de production de leur industrie aéronautique." (3)

La clef du mystère ainsi évoqué tient à la bonne vieille tradition des radicaux socialistes : de 1936 à 1940, deux ministres de l'Air se sont succédé : Pierre Cot, qui recevra plus tard le prix Staline de la Paix, puis de janvier 1938 à mai 1940, Guy La Chambre, tous deux membres à l'époque de ce cher parti "républicain radical et radical socialiste" (nom officiel des radicaux valoisiens).

À celui-ci appartenait également Daladier, président du conseil, dont le protégé politique, le général Gamelin, dirigea si brillamment l'armée française.

Au lendemain de Munich, dès octobre 1938, la Grande Bretagne commença à préparer la guerre. De ce jour l'industrie britannique programma la fabrication de 450 avions de chasse par mois, ce qui permit à la RAF de gagner contre la Luftwaffe la Bataille d'Angleterre de l'été 1940. Dans le même temps il fut demandé aux Français un effort à hauteur de 250 avions par mois : ils ne les fabriquèrent pas.  Pourquoi ?

Les politiciens radicaux socialistes avaient promis. Et ils ne tinrent pas leur promesse.

On pourrait, hélas, multiplier les exemples.

Je ne manquerai pas d'en donner quelques-uns en évoquant (4) de cette étrange période où Staline s'allia à Hitler mais où la France des radicaux socialistes croyait à l'alliance franco-soviétique inaugurée par le pacte de non agression négocié par Herriot dès novembre 1932, continuée par le traité signé par Laval en 1935 etc…

Notes

1 - cf. La Dépêche du 8 avril 2011.

2 - sur RMC et BFM-TV

3 - cf. Revue d'Histoire de la seconde guerre mondiale N°22 avril 1956 p. 90

4 - Dans "l'Alliance Staline Hitler" à paraître le 10 mai 2011

09:59 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 13 avril 2011

Revue de presse : Sophia Aram, les « gros cons » du FN… et la maman escroc ?

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Retour de flamme pour l’humoriste « engagée » Sophia Aram, qui a récemment traité les électeurs du FN de « gros cons » avant de leur faire une leçon de morale républicaine. Sa mère, Khadija Aram, est soupçonnée d’avoir escroqué des clandestins alors qu’elle était adjointe au maire de Trappes !

L’arrogance moralisatrice de certaines bonnes âmes de gauche se prend de temps à autre la réalité en pleine face. Et ça fait du bien…

Si la France avait découvert avec Bertrand Cantat que certains champions de l’anti-racisme étaient de pires salauds que les électeurs du Front National, l’affaire Aram nous ramène à cette froide réalité.

C’est bien beau de professer la morale sur les ondes d’une radio et de faire le tri entre les bons citoyens et les méchants fachos, mais la vraie morale s’applique et ne se professe pas hypocritement.

L’affaire Aram concerne la mère de Sophia Aram, que la justice soupçonne d’avoir soutiré la somme rondelette de 31’500 euros à des clandestins lorsqu’elle était élue de la République en leur faisant croire qu’elle pourrait leur « acheter » des titres de séjour.

Devant les menaces des clandestins escroqués, Khadija Karam serait allé plus loin en tentant de les rembourser avec un chéquier d’une association dont elle est présidente ! Des faits d’escroquerie gravissimes s’ils venaient à être confirmés.

On verra bien comment se comportera Sophia Aram dans les jours et les semaines à venir et si elle mettra la même fougue à dénoncer ce crime, qui reconnaissons le serait bien plus odieux que de glisser un bulletin Marine Le Pen dans une urne !!!

Source 24heures/actu.com cliquez ici

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L'arabe en France : c'est bien une langue étrangère, Monsieur Mitterrand...

imagesCA34Q7G5.jpgUn communiqué du MNR :
 
Le Salon Expolangues s'est tenu du 2 au 5 février à Paris. Ce salon, qui se tient depuis plus de vingt-cinq ans, a été créé pour promouvoir l'apprentissage des langues et défendre le pluriliguisme.

Dans l'éditorial de présentation, écrit par Frédéric Mitterrand, ministre de la culture et de la communication, on lit que "...l'arabe ne saurait être considéré comme une langue étrangère en France...". On y lit aussi que cette langue comprend chez nous "plusieurs millions de locuteurs", ce qui est un aveu de l'importance dramatique prise chez nous par l'immigration en provenance d'Afrique du nord.

Qu'un ministre de la culture ose faire ces remarques met en évidence, une fois de plus, la trahison perpétrée depuis des décennies par nos dirigeants et autorités diverses, qui n'ont rien à faire de notre identité. Une fois encore, c'est l'islamisation de notre pays qui est appelée, puisque l'arabe est la (seule) langue du Coran...

Il faut combattre sans relâche ces hommes politiques qui sont en vérité les fossoyeurs de notre civilisation.

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Chronique de la France asservie et résistante...

!cid_A731066CB5C84B2B9DB01A4A78CDADDA@pcronchons.jpgChronique de Robert Spieler

publiée dans le n°2994 (8 avril 2011) de Rivarol

 

La deuxième édition des Bobards d’or a été organisée il ya quelques jours par l’excellent site Polémia, animé par Jean-Yves Le Gallou. Cette cérémonie « distingue » et « honore » les journalistes les plus menteurs et les désinformateurs du système totalitaire dans lequel nous baignons. Quatre catégories : Presse écrite, Radio, Télévision, Strass et Paillettes. Parmi les « candidats », citons quelques exemples. Histoire de rire ou de nous étouffer d’indignation. Voila tout d’abord Alexandre Adler, du Figaro, ancien compagnon de route de l’Union soviétique, actuellement proche des néoconservateurs américains, qui écrit au mépris de toute vérité : « Il est insensé de prétendre que l’Irak n’a jamais disposé d’armes de destruction massive ». Et Joseph Macé Scaron, directeur adjoint de Marianne, qui s’en prend sur RTL au référendum suisse sur le renvoi des étrangers criminels, déclarant que « le référendum en Suisse a été institué pour des avancées démocratiques ; pas pour des questions de société ». Une énormité…

 

Des histrions ignares et manipulateurs

 

Macé-Scaron commence sérieusement à m’énerver. S’il continue, je vais finir par raconter notre première rencontre. C’était il y a 30 ans à l’université d’été du GRECE, dont le chef était Alain de Benoist. Une violente campagne médiatique avait été lancée contre la Nouvelle Droite, avec comme slogan « Nouvelle Droite, nouveaux nazis ». Des commandos juifs avaient attaqué en 1979 un de nos colloques. Mais à l’époque, notre camarade Joseph ne trouvait rien à redire de l’orientation racialiste et païenne du GRECE… Claude Askolovitch, éditorialiste à Europe 1 a, quant à lui, parmi ses lubies, celle du mariage homosexuel. Il évoque « la France qui n’arrive pas à devenir moderne dans sa tête et dans ses pratiques ». L’homosexualité comme critère de modernité, il fallait oser. Mais il ne s’arrête pas en si bon chemin : « Les homosexuels se marient partout dans le monde ».  Archifaux… Même la Californie a, par un référendum révocatoire, supprimé le mariage homosexuel, le jour même où la majorité des électeurs californiens élisaient Obama. Et puis, pour la bonne bouche, Jamel Debbouzze, « l’histrion ignare manipulateur de l’histoire », comme le qualifie Le Gallou. Debbouze déclare : « L’islam est en Europe depuis 3000 ans ». Nul doute qu’il mérite le Grand Prix de la bêtise crasse.

 

Des candidats FN quelque peu originaux

 

Le dernier éditorial de Lucien Rebatet, paru dans Je suis partout, deux semaines avant l’entrée des Américains dans Paris, avait pour titre « L’espérance est nationale socialiste ». Il fallait une bonne dose de courage pour oser… Curieusement, autant Rebatet était intellectuellement courageux, autant il ne l’était pas physiquement. Jean Herold-Pâquis (« Comme Carthage, Londres sera détruite ») a eu le temps, avant d’être fusillé, d’écrire ses mémoires « Des illusions, désillusions », un livre remarquable (Editions Deterna, 26 euros, 10, rue Primatice, 75013 Paris) que je vous recommande vivement. Des passages hilarants, que je laisse au lecteur le soin de découvrir et que je n’aurai pas la cruauté de raconter. Pourquoi évoquer l’éditorial de Rebatet ? Parce qu’Alexandre Gabriac, nonobstant son jeune âge (20 ans), conseiller régional FN, et candidat dans le canton Grenoble-6, a sans doute été inspiré par cet éditorial, même si, sans doute, il ne l’avait pas lu en août 44. Le Nouvel Observateur publie sur son site une photo d’Alexandre Gabriac faisant de la main gauche le salut hitlérien devant un drapeau nazi, un coup de poing américain sur la main droite. Il se défend en déclarant : « C’est un montage ». Marine Le Pen n’en croit pas un mot et n’a apprécié que modérément, d’autant que son intention de se rendre en Israël se confirme. Gabriac, qui a, malgré le scandale et le retrait du soutien du FN, progressé de 4% entre les deux tours, est sur le point de se faire virer du FN. Ce qui ne sera que justice. Il est en effet du dernier mauvais goût de faire le salut hitlérien en levant le bras gauche…

 

Sandra Kaz  était la candidate du FN à Coudekerque-Branche, à proximité de Dunkerque. D’excellents résultats : 24% au premier tour, plus du tiers au second. Elle s’est prétendue étudiante en littérature, écrivain et chanteuse rock. Pourquoi pas. Certes, elle est une adepte du style gothique, long manteau de cuir noir, cheveux de jais, piercings. Mais après tout, c’est son problème, et elle contribue ainsi à moderniser l’image du Front national. Là où cela devient un petit peu plus gênant, c’est quand les journalistes découvrent sur internet qu’elle est, sous le pseudo de Gothika, une fan de Marylin Manson, chanteur provocateur, rendu célèbre par son album « Antichrist superstar ». Et qu’elle use aussi du pseudo d’Angunn, blonde et sexy, qui propose ses services d’escort girl sur deux sites spécialisés. Elle est aussi présente sur un site gallois qui propose des massages en France… Sacrée Sandra !

 

Remarquez que Sandra vaut largement, électoralement, le candidat du FN dans un canton de Meurthe-et-Moselle, âgé de 93 ans, qui ne quitte plus sa maison de retraite…

 

BHL, vu des Etats-Unis

 

L’éditorialiste américaine Anne Applebaum n’y va pas par quatre chemins, allumant au passage Bernard-Henri Lévy et Nicolas Sarkozy. Elle s’interroge publiquement : « Le président français a-t-il défendu l’intervention en Libye pour avoir de meilleures chances d’être réélu ? ». Et de rappeler le rôle majeur joué par BHL dans la décision du président de la République de reconnaître officiellement les rebelles libyens du Conseil national de transition. BHL, dit-elle, est « un philosophe-pop tellement français qu’il n’a pas d’équivalent américain. Nous n’avons pas de philosophes qui portent des chemises déboutonnées, épousent des actrices blondes, et choisissent avec enthousiasme un camp dans des guerres au Bengladesh, en Angola, au Rwanda, en Bosnie ». Pour Anne Applebaum, l’Union européenne ressortira de cette guerre en très mauvaise posture. « Si le but de Sarkozy était d’exposer les faiblesses et les incohérences de la diplomatie européenne, il n’aurait pu mieux faire ». Bien vu.

 

Une très grosse conne

 

Sophia Aram est parait-il humoriste. Elle sévit sur France Inter, où elle a remplacé Stéphane Guillon, viré pour cause d’insolence à l’encontre du pouvoir. Elle s’en prend avec beaucoup d’humour, aux électeurs du Front national, qu’elle traite de « gros cons ». Elle déclare : « J’aurais tendance à penser qu’avec les gros cons quand il y en a un, ça va, c’est quand ils sont plusieurs que ça pose problème ». D’origine arabe, elle rencontre un autre d’origine, Djamel Debbouze, avec qui elle a un enfant. Qu’elle appelle Chaïm, prénom aux sonorités plus juives qu’arabes ou bretonnes. Commentaire assez marrant de l’auteur de l’article « Sophia Aram ou la connerie satisfaite », sur le blog lorgane.com : « Chaïm ? Ça signifie : hé, ho, moi aussi je suis juive et je veux entrer dans le showbiz ». En hébreu ancien… bien sûr… 

 

Le match Algérie-Maroc dégénère en France

 

Incidents dans plusieurs villes de France, il y a une semaine, en marge du match de football Algérie-Maroc, remporté à domicile par l’Algérie. Des heurts ont opposé de jeunes supporters des deux équipes à des policiers, à Toulouse, où une cinquantaine d’excités a pris à partie les forces de l’ordre, brisant des vitrines et incendiant des véhicules. A Montpellier, une centaine de véhicules venant des quartiers occupés ont bloqué le centre-ville. Les vitres d’un tramway ont été brisées, des poubelles incendiées. Un policier a déclaré : « C’est toujours le même scénario, dès que l’équipe d’Algérie dispute un match, on s’attend à des échauffourées »

 

« L’économie française a besoin de 10 millions d’immigrés d’ici à 2040 »

 

C’est le thème du livre écrit par Karine Berger et Valérie Rabault, Les trente glorieuses sont devant nous. Elles ont élaboré un plan de secours à l’économie française par un recours massif à l’immigration. Elles évoquent le vieillissement de la population. Si rien n’est fait, entendez, dans leur esprit, s’il n’y a pas d’immigration massive, 26% des Français auront plus de 65 ans en 2040. Elles ont raison quant au constat. Mais quant à envisager une audacieuse politique nataliste, ce n’est pas leur préoccupation. Non, la solution passe par l’immigration… A la question qui leur est posée par le quotidien économique La Tribune, « Combien de personnes arrivent chaque année en France ? », elles répondent : « Officiellement, 100.000, beaucoup plus si on prend en compte les clandestins » (merci, nous le savions). Et elles poursuivent : « L’idée est d’envisager plutôt un flux de 300.000 immigrés par an, soit 10 millions de personnes d’ici 2040, qui, selon nous, sont indispensables pour régénérer la population (oui, oui, régénérer, c’est le verbe utilisé, comme ça, en passant, mine de rien…), permettre à notre économie de conserver sa capacité d’innovation (sic…) et pérenniser notre système de protection sociale (re sic) ». Des traîtres à notre peuple…

 

Les représentants des principales religions critiquent le débat sur la laïcité

 

Les représentants des principales religions pratiquées en France se sont unis pour signer une tribune dans laquelle ils ordonnent au gouvernement de renoncer au débat sur la laïcité. Débat dont nous n’avons, au demeurant, rigoureusement rien à cirer. Mais il est toujours intéressant de les observer, de les écouter, ces petits émotionnés qui, avec une voix de châtré, expriment leur souffrance. « N’ajoutons pas de la confusion dans la période trouble que nous traversons. Nous militons ensemble pour une laïcité de bonne intelligence ». Les catholiques qui furent persécutés par le Petit Père Combes, en 1905, lors de la loi de 1905 de séparation de l’Eglise et de l’Etat, doivent s’en retourner dans leur tombe…

 

Réunis au sein de la Conférence des responsables de culte en France, des représentants des bouddhistes (qu’est-ce qu’ils viennent faire là, ceux là ?), des catholiques, des juifs, des musulmans (évidemment), des orthodoxes et des protestants demandent au gouvernement de « ne pas dilapider ce précieux acquis » qu’est la laïcité. Je note avec effroi que les représentants de Seigneur Raël et les adorateurs de la banane bleue n’y figurent pas. La religion des Lumières, la franc-maçonnerie n’y est pas ? Mais vous plaisantez, ils n’ont pas besoin de cette pantalonnade pour imposer leurs idées ! Allez, continuons, avec amusement de noter leurs émotions. « Il nous paraît capital, pendant cette période pré-électorale, de bien garder sereinement le cap en évitant amalgames et risques de stigmatisation », écrit la Conférence des responsables de culte en France. « Stigmatisation » ! Ces châtrés adorent ce mot magique… Stigmatisation… Louant la « laïcité à la française » et espérant que « le facteur religieux soit un élément de paix et de progrès », la CRCF estime que « l’accélération des agendas politiques risque de susciter des confusions qui ne peuvent qu’être préjudiciables ». Et ils concluent par cette phrase qui me fascine par sa profonde connerie : « Le devoir de ceux qui sont ‘en responsabilité’ consiste à éclairer le chemin et à élaborer des solutions conformes au bien de tous. ». C’est pas grandiose, ça, « le devoir de ceux qui sont en responsabilité » ? Mon Dieu, qu’ils sont minables…

 

Mais Anne Sinclair et Dominique Strauss-Kahn vont bien, merci

 

Anne Rosenberg, dite Sinclair, épouse de Dominique Strauss-Kahn, est l’héritière de Paul Rosenberg, un des principaux galeristes de le première partie du XXème siècle. Tranquille… Quelques petites transactions… Un Fernand Léger, adjugé le 4 novembre 2003 à 22,4 millions de dollars, un Claude Monet, à plus de 20 millions, quelques tableaux mineurs adjugés le 3 décembre 2007 14,2 millions d’euros, et un Matisse adjugé le 6 novembre 2010 pour 33,6 millions d’euros. Il reste encore160 œuvres du même acabit a vendre, stockées dans une banque de Libourne. A part ça, ca va : un Riad luxueux dans la médina de Marrakech et un appartement de plus de 200 m2 place des Vosges, à, Paris. Ils sont de gauche ? Et alors ? Jaloux ?

 

Vendredi prochain, retrouvez une nouvelle chronique de la France asservie et résistante de Robert Spieler dans Rivarol...

 

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 Plus d'informations : cliquez ici

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Manifestation samedi à Avignon à 15 h 00 contre l'exposition blasphématoire...

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Vous avez apporté il y a quelques jours votre soutien à la pétition demandant le retrait de la photographie d'un Christ plongé dans l'urine d'un « artiste », exposée à Avignon. L'effort de plusieurs initiatives a fait plier les responsables de ce cliché répugnant et ils ont été contraints de fermer les portes du musée ce week-end. Mais ce lundi, à la suite d'une réunion à la préfecture, ils ont parié sur notre lassitude en décidant de rouvrir l'exposition et donc d'exposer à nouveau cette photographie qui nous scandalise profondément dans ce que nous avons de plus cher : notre foi. Il est impératif de prouver que votre indignation ne faiblit pas. La pétition a déjà réuni plus 44 000 soutiens. Nous vous invitons donc à trouver dans votre entourage 2 autres signatairesafin de franchir rapidement la barre des 100 000. L'ACIMPS apporte son soutien.

Source Michel janva Le Salon beige

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Alassane Ouattara : le "monsieur à la licorne" !

3159587650.jpgPar Yves Darchicourt

Admirables longueteries : "aucun soldat français n'est entré dans la résidence présidentielle (...) aucun soldat français n'a arrêté Laurent Gbagbo"

C'est probablement vrai ! Les forces françaises de la Licorne se sont contentées de pilonner les fidèles de Gabgbo, de paralyser leur logistique, de détruire leurs dépôts et leurs armes lourdes ; les soldats français n'ont fait que préparer ensuite l'estocade en encerclant le bunker (un petit mot innocent pous assimiler Gbagbo à Hitler, un parallèle qui justifie tout et n'importe quoi) et en neutralisant les derniers défenseurs pour ouvrir le chemin aux miliciens de Ouattara qui se sont contentés d'appréhender Laurent et madame.

Et tout cela sans arrières pensées, juste pour la plus grande gloire de la démocratie version Nouvel Orde Mondial. On lira avec profit l'analyse de Bernard Lugan reprise sur le site de Synthèse nationale (voir ci-dessous) annonçant les difficultés qui attendent le vainqueur de Gbagbo, lequel représentait quand même 46% des Ivoiriens dont on peut penser qu'ils sont irréductiblement divisés en deux clans tribaux ennemis.

Arrivé au pouvoir dans les fourgons d'une armée étrangère, Alassane Ouattara vient peut-être de gagner l'incomparable surnom de "Monsieur à la Licorne". De là à dire qu'il ne fera que tapisserie dans le grand bal néo-colonialiste qui ne va pas tarder à s'ouvrir... pour le plus grand bien des investisseurs internationaux, mais pas pour celui des Ivoiriens(nes) qui continueront à émigrer en masse vers l'Europe en général et la France en particulier. Encore un beau succès de Sarközy !  

00:21 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le libre journal du PdF reçoit Eric Pinel, ancien député européen.




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mardi, 12 avril 2011

Réflexions « à chaud » après l’arrestation de Laurent Gbagbo...

Lugan Bernard.jpgPar Bernard Lugan
L'Afrique réelle
 
En quatre mois de crise, Laurent Gbagbo n’aura commis qu’une seule véritable erreur politique, celle de déclarer la guerre à la France. Elle lui fut fatale. Revenons sur les trois jours qui firent basculer la Côte d’Ivoire afin de bien comprendre comment l’histoire s’est subitement emballée.
 
- Le samedi 9 avril, la zone de l’hôtel du Golf fut bombardée par les partisans de Laurent Gbagbo ce qui signifiait donc qu’ils disposaient encore de ces « armes lourdes» que la France avait pour mandat de réduire au silence afin de protéger les populations civiles.
 
- Le dimanche 10 avril, et bien que le camp Gbagbo eut dénoncé ces bombardements comme étant une provocation, les hélicoptères de la force Licorne attaquèrent la résidence présidentielle où ils détruisirent plusieurs véhicules armés. Les partisans de Laurent Gbagbo demandèrent alors aux miliciens de s’en prendre directement aux soldats français. A partir de ce moment, la force Licorne fut dans une impasse. Elle risqua même d’être aspirée dans un engrenage incontrôlable car le camp Ouattara la poussait à intervenir plus directement, cependant que le camp Gbagbo guettait son moindre faux pas pour pouvoir crier au néocolonialisme. Pour l’état-major français la priorité fut dès lors de sortir rapidement de ce double piège.
 
- Le lundi 11 avril, la solution fut trouvée par le haut, au terme d’une opération militaire parfaitement menée. Les hélicoptères français procédèrent à des frappes sévères qui réduisirent les derniers défenseurs de Laurent Gbagbo, cependant que d’autres troupes ouvraient le chemin aux forces d’Alassane Ouattara. Ce furent bien ces dernières qui pénétrèrent dans la résidence présidentielle et qui arrêtèrent l’ancien président. Mais sans le fort « coup de main » français, elles en auraient été incapables.
 
L’arrestation de Laurent Gbagbo ne doit pas faire oublier que la Côte d’Ivoire est coupée en deux et que toute création d’un gouvernement d’unité nationale ne serait que colmatage. De plus, Alassane Ouattara est, qu’on le veuille ou non, arrivé au pouvoir dans les fourgons de l’ancien colonisateur, ce qui ne va certainement pas renforcer son prestige aux yeux des 46% d’Ivoiriens qui ont voté pour Laurent Gbagbo lors du second tour des élections présidentielles.
 
Toutes les informations sur la Côte d’Ivoire seront données dans le prochain numéro de l’Afrique réelle que les seuls abonnés recevront par PDF le 15 avril. Pour souscrire un abonnement annuel de 35€ donnant droit aux 12 numéros de l'année 2011.
 
L'Afrique réelle cliquez ici

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Jeudi soir, au Local...

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lundi, 11 avril 2011

Dimanche 8 mai, à 10 h 00, rassemblement unitaire contre le mondialisme place de la Madeleine à Paris...

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SURVIVRE OU PERIR : IL FAUT REFORMER LE CODE DE LA NATIONALITE !

Jean-Claude Rolinat.jpgLe Bloc-notes de

Jean-Claude Rolinat

 

Monsieur Claude Guéant, ministre de l’Intérieur et de la parole, s’agite beaucoup en ce moment : normal, son patron entend déjà les bulletins de votes hostiles « tomber le soir au fond des urnes »… Nos frontières abolies par l’inique traité de Schengen, dont on n’a pas demandé aux Français de le ratifier ou non,sont une invitation permanente à franchir des lignes virtuelles pour venir toucher le jackpot des prestations diverses et variées. Généralement  accordées généreusement sans discernement au dernier des migrants entré. Avec le tsunami humain en provenance de Tunisie et de Libye qui s’annonce, puis dans un deuxième temps, celui venu des profondeurs de l’Afrique aux ventres si féconds, il y a du souci à se faire ! Sans compter que tous les collabos de France et de Navarre subventionnés par un Etat déliquescent qui s’accommode fort bien de cette véritable entreprise de subversion, sont à pied d’œuvre pour aider, renseigner, guider tous les laissés pour compte d’un continent incapable de s’assumer réellement dans l’ère postcoloniale. Derniers exemples : Libye, Côte d’Ivoire, Soudan, Zimbabwe, etc. Chers « Marcels » franchouillards, fini la petite auto, le petit loto, le petit boulot, le petit caboulot, les gros câlins et les bons dodos... C’est l’heure de se mobiliser dans notre « Camp des Saints », faute de quoi le réveil sera dur ! Avec la droite molle aux affaires, c’est porte et tables ouvertes pour le tiers-monde. Avec la gauche, pire encore s’il est possible, c’est la régularisation juridique massive garantie et annoncée. Premier temps, le droit de vote et d’éligibilité accordé aux résidents étrangers hors Union européenne pour les élections locales. Deuxième étape, l’accès direct à la pleine citoyenneté. Troisième station du « chemin de Croix » des « de souche » si je puis dire, la soumission au plus grand nombre. C’est le scénario Sud-Africain de 1994 : plus jamais les  Afrikaners qui ont fait la RSA, n’arriveront au pouvoir. N’imaginez pas que c’est du folklore exotique : la nature a horreur du vide et les chiffres galopent… Faute d’une imperméabilité de nos frontières et d’un redressement démographique réel, c’est ce qui nous pend au nez.


À Mayotte, 101ème « département » français, on vient accoucher massivement en provenance des autres iles de l’archipel desComores. Même scénario à Cayenne en Guyane où il s’agit simplement pour les Surinamiennes enceintes de franchir le fleuve Maroni. Les immigrées clandestines deviennent inexpulsables car mères d’un enfant réputé « français », le bébé ayant vu le jour en… France ! CQFD ! C’est la loi du sol qui s’applique par opposition à la loi du sang qui, elle, est en  vigueur dans de nombreuses démocraties sans que nos bonnes âmes de gauche et d’ailleurs ne remuent les oreilles. Le jeune Baroin alors ministre des DOM-TOM du dernier gouvernement Chirac, avait soulevé le lièvre : la bête est vite repartie dans son terrier, les loges qui n’étaient pas celles des concierges veillaient au grain ! Il faut exiger de « notre » gouvernement une réforme du Code de la nationalité : être Français, cela s’hérite ou se mérite. Avant d’adhérer à une association,  à un club, on en accepte les statuts et la direction décide souverainement si, oui ou non, elle doit accueillir le candidat. Une vache qui naîtrait par hasard dans une écurie n’en gagnerait pas pour autant le Grand prix de l’Arc de Triomphe, pas plus qu’un étalon naissant dans une étable ne donnerait du lait  pour faire du fromage ! Quant à la bi-nationalité, c’est un scandale permanent. Deux exemples qui me sont proches. Une de mes lointaines petite-cousine née à Denver, Colorado, de parents français qui travaillaient là-bas, est aussi Américaine. Ma cousine germaine (qui n’est pas Teutonne…) est mariée depuis plus de quarante ans à un Italien et ils vivent dans la ville éternelle. Elle vote Berlusconi à Rome et Sarkozy au Consulat de France ! Idem pour beaucoup de Franco-Maghrébins. Monsieur Charles Aznavour, l’indéboulonnable et talentueux crooner français qui réside en Suisse est aussi… ambassadeur d’Arménie à Berne. Je ne dirai rien du soldat Gilad Shalit, recrue de Tsahal, prisonnier du Hezbollah ou du Hamas, je ne sais plus, qui nous est présenté quasi-quotidiennement comme « Franco-israélien ». Cherchez l’erreur… C’est à Monsieur Netanyahou de négocier sa libération, pas au Président français. Madame Eva Joly pourrait nous expliquer comment elle a pu être juge d’instruction de la République  française alors qu’elle est native de Norvège dont elle a gardé l’accent tout en étant député européen alors que son pays natal, et c’est tant mieux pour lui, n’est même pas membre de l’Union européenne ?

 

Quant à moi, né à Paris, si j’avais émigré au Sénégal à l’âge de dix ans, à supposer que ce pays ait été indépendant à cette époque, aurais-je  pu devenir ministre du gouvernement de Dakar ? Il y en a qui trouvent trop facilement leur miel dans la ruche française ! La confusion des genres, les nationalités bradées ou d’occasion - de celles qui font le larron -, les citoyennetés bidons, ça suffit ! Toutes ces assemblées composées d’étrangers, créées par lesocialistes parallèlement aux vrais conseils municipaux ou généraux, sont illégales. On est du pays de ses ancêtres héritier du sang qui coulait dans leurs veines. C’est le même, c’est le nôtre. Pas du pays où le hasard des voyages ou des migrations aurait pu nous faire naître. Si j’avais vu le jour au Chili, je n’en serais pas pour autant un compatriote des généraux O’Higgins ou Pinochet. Il y a urgence à réformer et modifier notre Code de la nationalité. Une VRAIE droite au pouvoir, un véritable gouvernement ayant le sens de ce qui est « national », prendraient immédiatement les mesures qui s’imposent. D’autant plus qu’une telle réforme ne coûterait rien, si ce n’est l’impression des nouveaux documents.

14:10 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Avec son nouveau numéro consacré au déclin de l'Occident, notre confrère Eléments fait peau neuve...

photoelem55.jpgEn réalité, il n’existe pas plus d’« Occident » unitaire que d’« Orient » homogène. Quant à la notion d’« Occident chrétien » elle a perdu toute signification depuis que l’Europe a majoritairement versé dans l’indifférentisme et que la religion y est devenue une affaire privée. L’Europe et l’Occident se sont totalement disjoints – au point que défendre l’Europe implique bien souvent de combattre l’Occident. Ne se rapportant plus à aucune aire géographique ni même culturelle particulière, le mot « Occident » devrait en fait être oublié. 

Parlons donc plutôt de l’Europe.(...) L’Europe paraît aujourd’hui en déclin sur tous les plans. L’Europe n’est pas seulement l’« homme malade de la planète économique » (Marcel Gauchet). Elle connaît une crise sans précédent de l’intelligence et de la volonté politique. Elle aspire à sortir de l’histoire, portée par l’idée que l’état présent des choses est appelé à se maintenir indéfiniment, qu’il n’en est pas d’autre possible, et surtout qu’il n’en est pas de meilleur.(...)

Quand une culture s’achève, une autre peut toujours la remplacer. L’Europe a déjà été le lieu de plusieurs cultures, il n’y a pas de raison qu’elle ne puisse pas être encore le foyer d’une culture nouvelle, dont il s’agit alors de déceler les signes avant-coureurs. Cette nouvelle culture fera suite à la précédente, mais n’en sera pas le prolongement. Plutôt que de verser dans des lamentations inutiles, il vaut mieux avoir le regard assez aigu pour voir où – dans quelles marges – croît ce qui permet de garder espoir.

Au sommaire
:

Dossier : Le déclin de l'Occident
Par Dominique Venner, Hervé Juvin, Jean-François Mattéi, Georges Corm, Costanzo Preve.

Et aussi...
• Immigration, l’armée de réserve du capital, par Alain de Benoist
• Beyrouth-sur-Loire : guerre civile au prochain épisode ? Entretien avec Pierrick Guittaut
• Céline, le casseur de vitres, par Robin Turgis
• Saint Malaparte, comédien et martyr, par François Bousquet
• Wagner uber alles, par Frédéric Guchemand
• Wagner et Berlioz: la mésentente cordiale, par Jean-François Gautier
• Le grand retour de l'ordre moral néo-bourgeois, par Thibault Isabel

5.50 euros, chez votre marchand de journaux...

Site d'Eléments cliquez ici

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