lundi, 12 mars 2012
L'ISLAM CHEZ LUI, CHEZ NOUS...
« Il faut dénoncer le piège d’une idéologie, par nature contestable, mais qui est en même temps une religion par nature intouchable… Sinon, dans cinquante ans, la France connaîtra un “printemps arabe” à l’envers. La “fille aînée de l’Église” sera devenue “la fille cadette de l’islam” »
Entretien avec Norbert Multeau à propos de son livre L’islam chez lui chez nous (propos recueillis par Fabrice Dutilleul)
Ce livre semble répondre à l’actualité, notamment sur la consommation cachée de viande Hallal dans notre pays…
Voyez le programme de tous les candidats à l’élection présidentielle : combien prenne en compte le danger islamiste lié à l’immigration musulmane ? Or cela me paraît être le problème majeur, bien plus grave que la dette, de notre époque et des années à venir. Il n’y a jamais de vrai débat sur le sujet car il est impossible de se livrer à une analyse critique des fondements idéologiques de l’islam sans être accusé « d’islamophobie », de « racisme », de « fascisme »… et cela clôt aussitôt le débat. Quand un massacre de chrétiens se commet quelque part dans le monde, c’est, nous disent les bien-pensants, « stigmatiser » l’islam dans sa globalité que de dénoncer les criminels qui agissent ainsi au nom de la charia et du djihad. Alors voici un livre pour dire les choses comme elles sont et non comme on voudrait qu’elles soient. Un livre qui a été refusé par tous les éditeurs auxquels j’en ai soumis l’idée… à l’exception de Philippe Randa, directeur des éditions de L’Æncre.
Ne faîtes-vous pas un amalgame sommaire entre l’immigration qui est un problème politique et social… et l’islam qui une religion ?
Les deux ne font qu’un. L’immigration arabe en France est un problème crucial parce qu’elle est d’abord un problème religieux. Un habitant de la planète sur quatre est musulman. L’objectif de l’islam, sa vocation historique comme sa mission divine, est de convertir les trois autres. Le monde non-musulman ne semble pas s’apercevoir que l’islam, conscient de sa force, réactive son projet multi-séculaire de domination de l’univers : imposer partout le « règne d’Allah » et la loi coranique. En France, l’immigration à flot continu aboutit, non au « choc des civilisations » – tout se passe sans heurt violent –, mais à l’évincement progressif de l’une (la chrétienne) par l’autre (la musulmane). Et cela dans l’indifférence des élites, quand ce n’est pas avec la complicité des « activistes du métissage » comme les appelle Péroncel-Hugoz qui a préfacé L’islam chez lui chez nous. L’intelligentsia française, en particulier, ne semble pas saisir le sens de l’ampleur de ce qui se passe sous ses yeux. Elle voit ce qu’elle veut croire, mais ne veut pas croire ce qu’elle voit.
Cet essai « colérique » n’est-il pas un peu court pour analyser objectivement un sujet comme celui-ci ?
Je sais bien qu’on me reprochera d’être simpliste et manichéen, parce que l’islam « c’est plus compliqué que ça »… Je ne fais pas œuvre d’historien ni de philosophe. Je vais à l’essentiel. Je prends les choses au point où elles en sont. Ici, maintenant. Voici ce qu’est l’islam : une force croyante, conquérante, féconde. Voici ce qu’est l’Occident : une civilisation honteuse d’être ce qu’elle est, qui n’affirme plus rien, qui ne se défend plus…
Pensez-vous la situation irréversible ?
Il faut en finir avec l’illusion d’un islam modéré avec lequel nous pourrions cohabiter sans y perdre notre âme. Il faut prendre conscience de l’islamisation rampante des esprits, des mœurs, et même des lois de la République. Il faut dénoncer le piège d’une idéologie, par nature contestable, mais qui est en même temps une religion par nature intouchable… Sinon, dans cinquante ans, la France connaîtra un « printemps arabe » à l’envers. La « fille aînée de l’Église » sera devenue « la fille cadette de l’islam. »
L’islam chez lui chez nous, Norbert Multeau,
Éditions L’Æncre, collection « À nouveau siècle, nouveaux enjeux »,
dirigée par Philippe Randa,
134 pages, 18 euros.
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20 mars : 3e cérémonie des Bobard d'or organisée par Polémia...
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dimanche, 11 mars 2012
FIN DE PARTIE...
Le billet de Patrick Parment
Nul n’est devin en matière d’élection et encore moins les sondages. Toutefois, il faut se garder de les rejeter en bloc car il existe quelques constantes que chaque élection confirme. Et dans le cas qui nous concerne, la présidentielle à venir, tout porte à croire que le candidat Sarkozy ne comblera pas son retard de trois, quatre, voire cinq points sur son adversaire. On comprend pourquoi les socialistes font bloc derrière leur candidat contrairement à ce qui s’était passé en 2002 et 2007. Les socialistes respirent enfin l’odeur du pouvoir et Martine Aubry comme Laurent Fabius - pour ne citer qu’eux - qui taclaient hier encore le « grand méchant mou » se sont ralliés à son panache rose. François Hollande qui en a bien conscience, fait donc une campagne a minima, se gardant bien de s’aventurer en terrain glissant comme celui de l’immigration. On ne connaîtra donc pas les intentions de « Guimauve le conquérant » sur le sujet, si ce n’est ce qu’il a déjà annoncé : le vote des immigrés aux élections municipales. Autre certitude, qu’il se garde bien d’avancer, c’est la régularisation de nombreux sans-papiers sous la pression des officines pro-immigrés du genre Cimade, Licra, potes divers et variés, etc. Il faut s’attendre à ce que la France s’enrichisse un peu plus de toute la misère du monde. Autre certitude, le grand pédalage en matière de sécurité tant la détestation de la police et de l’ordre en général appartiennent au code génétique des socialistes. De ce côté-là, on peut d’ores et déjà s’attendre au pire.
Reste que, immigration ou pas, passer de Nicolas Sarkozy en François Hollande ne changera rien sur le fond puisque l’un comme l’autre sont ralliés depuis toujours à la vision libérale du monde anglo-saxon (« I am not dangerous » déclare Hollande aux financiers Anglais). Pierre Moscovici, l’un des bras gauches de Hollande, n’est-il pas le vice-président du Cercle de l’Industrie, un puissant lobby patronal. Autrement dit, les Mélenchon et consorts qui roulent pour lui, ne cessent de faire cocu ce « peuple de gauche » qui s’imagine que le « grand méchant mou » et ses thuriféraires vont mettre la finance au pas. Tous vont aller à la soupe et retrouver le confort de situations biens rémunérées… par le contribuable. Les Français vont très vite mesurer de quel bois se chauffe François Hollande et ses potes !
Au final, n’est-ce pas une aubaine pour la France ? Après avoir été plumés par la droite, les Français vont se faire ratiboiser par cette gauche égalitariste et soi-disant humaniste. La dernière version de la lutte finale en quelque sorte. Peut-être la grande aventure pourra-t-elle alors commencer quand nous serons tous dans la grande mouise et que nous n’aurons plus rien à perdre.
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samedi, 10 mars 2012
Lire absolument : le remarquable entretien entre Carl Lang et Jérôme Bourbon dans Rivarol de cette semaine...
Dans le numéro 3037 de Rivarol du 9 mars 2012 (actuellement en kiosques - 3,50 €), vous pourrez lire, et faire lire, le remarquable entretien entre Carl Lang, candidat de l'Union de la Droite nationale, et Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol. Cet entretien est ainsi résumé : "Dire des vérités qui dérangent plutôt que des mensonges qui rassurent". Nous sommes là aux antipodes de la Blédine mariniste... Foncez chez votre marchand de journaux, vous ne le regrettrez pas...
13:36 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Vendée : le génocide dont on ne parle pas...
13:24 Publié dans Un peu d'Histoire, Web | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Cinquantenaire de l'abandon de l'Algérie française : les leçons de l'histoire
A l’occasion du cinquantenaire du 19 mars 1962, Matthieu Mautin, délégué départemental du Parti de la France en Mayenne, tire quatre enseignements pour aujourd’hui :
1 - En quelques années, une population très majoritairement francophile et pacifique s’est pliée à la poigne de fer d’une minorité fanatique et démagogue. Un tel scénario peut tout à fait se reproduire sur le sol de l’hexagone ou la subversion culturelle, l’immigration torrentielle et le chômage de masse réalisent le cocktail redoutable du déracinement et du désoeuvrement.
2 - Comme toutes les révolutions, la révolution algérienne a accouché d’un régime tyrannique qui contraste fort avec les aspirations initiales du peuple. N’en déplaise à monsieur Mélenchon ou Marine Le Pen, la révolution est un mirage qui ne sème que des ruines.
3 - En quelques mois, un million et demi de pied-noirs ont du fuir leur terre natale. Tous ces braves gens qui étaient pourtant dans leur bon droit durent tout abandonner. Ceux qui s’honorent aujourd’hui de la moindre sympathie pour les terroristes du FLN sont donc totalement disqualifiés pour s’insurger contre l’expulsion des immigrés clandestins et des délinquants étrangers.
4 - Si la classe politico-médiatique salue unanimement la création il y a cinquante ans d’une « Algérie algérienne », on ne peut que s’étonner qu’il soit si mal vu de proclamer « la France aux français ».
La France, prise entre le marteau du capitalisme ultralibéral et l’enclume du socialisme international est en proie à un véritable phénomène de colonisation par la finance et l’immigration. En s’inspirant de ces leçons de l’Histoire récente, il apparaît nécessaire et raisonnable d’envisager un processus de décolonisation de notre pays.
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Photos de la réunion "LES FEMMES CONTRE L'ISLAMISATION" à Anvers mardi dernier...
Photos de la réunions cliquez ici
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vendredi, 09 mars 2012
RMC : Carl Lang, Marine Le Pen et les signatures...
19:27 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le journal télévisé de Troisième voie (mars 2012) : Serge Ayoub.
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Vendredi, c'est le jour de Rivarol...
Chez votre marchand de journaux, 3,50 €, ou en cliquant ici.
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jeudi, 08 mars 2012
Présidentielle 2012 : CARL LANG SERA A BORDEAUX LE 21 MARS ET A DIJON LE 23 MARS...
14:00 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Il ne reste plus que quelques jours : POUR LA VICTOIRE FINALE, MOBILISATION TOTALE !
Mardi, lors de sa conférence de presse à Amiens, Carl Lang, candidat de l’Union de la Droite Nationale, a annoncé qu’il venait de recevoir son 400e parrainage. Grace au formidable effort des militants nationaux et nationalistes qui se sont démenés sans relâche pour rassembler ces fameuses signatures et malgré l’ostracisme total de la grande presse, ce qui semblait, il y a encore peu de temps, un objectif irréalisable peut s’avérer devenir la belle et bonne surprise de cette élection : la Droite nationale et européenne peut avoir son candidat.
Il reste à peine une semaine (le dépôt définitif est fixé au vendredi 16 mars à 18 h) pour vaincre le barrage instauré par la classe politique pour museler les forces d’opposition au Système. En une semaine, nous devons rassembler la centaine de bulletins signés qui manque pour que Carl Lang puisse être présent. Sur le papier, c’est réalisable. En réalité, cela dépend de vous tous… Amis lecteurs et Camarades militants, c’est donc le moment de passer à l’action.
D’ici le 16 mars, multipliez les contacts avec les maires de votre région. Vous devez les convaincre de la nécessité de la présence d’une candidature authentiquement nationale à la présidentielle. Carl Lang est le seul candidat à pouvoir revendiquer sans honte ni dérobade la légitimité du mouvement national, nationaliste et identitaire. Il incarne, dans la situation catastrophique actuelle dans laquelle est plongé notre pays, la volonté de redonner à notre nation, à notre peuple et à notre civilisation leur grandeur et leur prospérité. Il est le seul candidat de renouveau et de rassemblement. Il ne reste que quelques jours, alors : mobilisation totale pour la victoire finale.
Synthèse nationale
12:52 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche prochain, 11 mars, le mouvement belge Nation organise une manifestation à Bruxelles contre tous les terrorismes...
Infos complémentaires cliquez ici
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mercredi, 07 mars 2012
Lancement à Anvers d'une campagne européenne sur le thème : "Les femmes contre l'islamisation" en présence d'une délégation française conduite par Anne Kling..
Le 1er meeting des Femmes contre l'islamisation mardi soir à Anvers en présence de plus de 400 personnes.
Hier, mardi, a été lancée officiellement à Anvers la campagne européenne initiée par Filip Dewinter, porte-parole du Vlaams belang, sur le thème : "Les femmes contre l'islamisation".
Une conférence de presse s'est tenue en présence de déléguées venues de toute l'Europe parmi lesquelles la député autrichienne du FPO Suzanne Winter, l'Anglaise J. Cook, notre amie Judith Wolter, de Pro Koln qui a participé à plusieurs de nos journées de Synthèse nationale, et, bien sûr, la courageuse Anne Sophie Dewinter, fille de Filip, qui représentait la Flandre et qui est à l'origine de cette campagne.
La délégation française était conduite par notre amie Anne Kling. Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, était aussi présent à cette conférence européenne.
Le soir, un 1er meeting des "Femmes contre l'islamisation" a rassemblé plus de 400 personnes dans la capitale de la Flandre. Vous trouverez ci-dessous le texte de l'intervention d'Anne Kling lors de ce meeting.
Dans les jours qui viennent, nous vous tiendrons informés de l'évolution de cette campagne.
En attendant, voici le texte de l'intervention prononcée par Anne Kling lors du 1er meeting des Femmes contre l'islamisation mardi soir à Anvers :
Lorsque l’on parle de l’islamisation de nos sociétés, il convient d’avoir clairement à l’esprit que cette islamisation a été, et est toujours, encouragée et protégée par un certain nombre d’instances européennes.
Des instances qui n’ont en rien été créées à cet effet, et qui tout au contraire ont été créées pour défendre en premier lieu les Européens. Plus encore, pour défendre les valeurs de démocratie et de liberté. Au premier rang desquelles figurent les libertés d’opinion et d’expression.
Il est stupéfiant de constater à quel point ces buts premiers – et fondateurs – ont été détournés – ou plus exactement retournés - pour devenir dans la réalité des instruments destinés à museler ces mêmes Européens et à les empêcher de réagir aux substitutions de population qui avaient été décidées et s’opéraient dans le même temps.
Je vais illustrer mon propos, de façon quasi caricaturale mais pourtant totalement véridique, par les démêlés épiques que j’ai eus avec l’instance européenne qui m’employait alors – et qui m’a employée jusqu’à une époque récente – à savoir le Conseil de l’Europe.
Des démêlés causés directement par mes activités politiques et associatives, qui elles-mêmes étaient étroitement liées à l’immigration massive et à l’islamisation qui s’en est automatiquement ensuivie.
Et vous verrez de quelle façon cette organisation, qui se qualifie d’organisation de droit vouée à défendre les nobles valeurs que sont en théorie liberté d’opinion et liberté d’expression, traite dans la réalité ceux qui osent s’écarter de la pensée dominante. C’est-à-dire ceux qui combattent l’islamisation de nos sociétés.
Il faut savoir que le statut du Conseil de l’Europe autorise ses agents à se livrer à des activités politiques et associatives, à condition naturellement qu’elles soient licites et qu’elles ne se réclament pas de l’Organisation. Ce qui est la moindre des choses.
Le premier des conflits liés à mes activités, conflit qui démarre en l’an 2000, ne concernait pas directement le Conseil de l’Europe. Un tract qui établissait un lien entre immigration musulmane et délinquance des jeunes et qui émanait d’une association sur la sécurité dont je m’occupais alors, fut distribué durant une campagne municipale. Ce tract déplut fortement à la LICRA - Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme – qui fit le nécessaire pour que je sois renvoyée en correctionnelle, sous l’habituelle accusation d’incitation à la haine raciale, en 2001. Je fus relaxée. Mais j’étais désormais sous haute surveillance de la part de l’organisation qui m’employait.
Un peu plus tard, dans le cadre de l’association Défendons notre identité que je présidais, une pétition dénonçant l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne fut initiée. Or, la Turquie est membre du Conseil de l’Europe. Ses représentants allèrent derechef demander ma tête au secrétaire général de l’organisation, qui était alors l’Autrichien Walter Schwimmer. J’avais strictement respecté les conditions prévues par le statut et agi en ma seule qualité de citoyenne française. Ce qui n’empêcha nullement que satisfaction fut immédiatement donnée aux Turcs et je fus révoquée sans plus de cérémonie en octobre 2002. Je fus donc mise à la porte pour avoir manifesté dans un tract mon opposition à l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne.
J’intentai un procès que, ô surprise, je gagnai en mai 2004. Le tribunal ordonna ma réintégration au Conseil de l’Europe.
Le secrétaire général et ses amis turcs furent fort mécontents et comme ils souhaitaient avoir néanmoins le dernier mot, une nouvelle procédure disciplinaire fut illico déclenchée contre moi. Toujours pour les mêmes motifs. Contrairement à leurs espérances, cette nouvelle procédure qui était censée bétonner davantage l’accusation, se solda par un pétard mouillé. Puisqu’un simple blâme fut requis par la commission de discipline pour mes crimes.
Après ma réintégration, je fus donc officiellement blâmée pour mes propos dénonçant l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne. Seconde sanction.
Je poursuivis mes activités extraprofessionnelles, qui ne concernaient toujours en rien mon employeur et dans ce cadre extérieur, je publiai en 2006 un livre, La France LICRAtisée, qui est une enquête sur l’association publique qu’est la LICRA et l’influence démesurée qu’elle a exercée sur la vie politique française. J’y parlais notamment de son fort soutien à l’immigration arabo-musulmane et j’énonçais un certain nombre de vérités sur l’islam. De vérités basiques, que tout un chacun pouvait aisément constater.
Ce livre n’a donné lieu à aucune poursuite judiciaire, il n’y avait strictement aucune raison de le faire. Du reste, la LICRA cette fois, s’est bien gardée d’attirer l’attention sur un ouvrage qui la dépeignait avec précision depuis sa création.
Mais le Conseil de l’Europe – en la personne de son nouveau secrétaire général, qui était cette fois Terry Davies, un travailliste britannique, ce qui prouve que si les têtes changent, la politique reste strictement la même – estima que les propos sur l’islam que je tenais dans cet ouvrage étaient intolérables et devaient être à nouveau lourdement sanctionnés. Car il paraît que ces propos étaient contraires aux valeurs prônées par le Conseil de l’Europe. Quelles valeurs ? Apparemment pas celles de la liberté d’opinion ou d’expression. Mais plutôt celles du dialogue interculturel, qui était la nouvelle religion révélée, au nom de laquelle toute critique devait être bannie.
Que faire ? Me renvoyer une seconde fois était un peu trop voyant. La sanction qui suivait immédiatement le renvoi était la rétrogradation. Une troisième procédure disciplinaire – présidée cette fois par un agent de l’organisation qui n’était pas en fin de carrière comme ç’avait été le cas précédemment – fut enclenchée avec diligence.
Cette fois, la procédure se termina à la satisfaction des instances hiérarchiques : je fus rétrogradée pour avoir écrit les phrases que je vais vous citer. La citation que je vais faire est un peu longue, mais elle est nécessaire afin que vous constatiez qu’elle ne contient rien d’insultant, ni de contraire à la vérité. Il s’agit de considérations critiques sur l’islam, faites par une citoyenne européenne, dont la liberté d’expression est en principe garantie par la convention des droits de l’homme, objet de fierté de ce même Conseil de l’Europe. Ce qui n’empêcha pas ces propos d’être considérés comme virulents et agressivement racistes et punis en tant que tels. Les voici :
«On a vu les origines communistes de la LICRA. Or, les points de convergence entre le communisme et l’islam ne manquent pas : tous deux sont fondamentalement internationalistes et à ce titre, combattent ou veulent transcender les nations. Et tous les internationalismes sont par essence destructeurs d’identité nationale. Communisme et islam sont en outre animés l’un et l’autre d’un prosélytisme sectaire et entretiennent la confusion entre le politique et le religieux. Car le communisme a toujours fonctionné à la manière d’une religion nouvelle destinée à remplacer toutes les autres. Cette confusion est parfaitement incompatible avec le système de valeurs correspondant à la tradition européenne et ne peut entraîner à terme que des conflits.
Enfin, communisme et islam ont un point commun supplémentaire : ils combattent tous deux la démocratie. Même s’ils s’en défendent en s’emparant du terme pour mieux le vider de son contenu ».
« Mais si l’islamisme, comme il était inévitable qu’il le fasse, progresse chaque jour davantage, doit-on pour autant reprocher aux musulmans de pratiquer une religion dont la caractéristique est justement de n’avoir jamais évolué et d’être aujourd’hui encore, dans son essence et son expression, ce qu’elle était à l’origine ? Une religion dont nos « élites » connaissaient parfaitement la nature et les manifestations dans sa zone géopolitique naturelle ? Quelle arrogance, quelle illusion d’imaginer que l’islam pût être différent par la vertu de l’air miraculeux respiré en Europe, de ce qu’il est depuis 1 300 ans partout dans le monde ! ».
« Si les musulmans sont aujourd’hui installés chez nous en nombre sans cesse grandissant, c’est bien parce que des politiques irresponsables et veules, sous la pression d’associations dites antiracistes, mais en réalité antinationales et anti-identitaires, leur ont ouvert toutes grandes les portes sans même leur demander en contrepartie de faire l’effort de s’adapter à notre société ».
Voilà les propos qui ont entraîné ma condamnation. S’ils sont critiques, ce qui est le cas, je n’y discerne en revanche ni racisme ni xénophobie. A moins d’attribuer à ces notions un sens nouveau et inédit.
J’intentai à nouveau un procès, mais cette fois, je le perdis. Les juges du tribunal administratif – qui est un organe propre au Conseil de l’Europe – avaient eux aussi majoritairement changé, et cette fois, eux aussi donnèrent satisfaction aux instances hiérarchiques. Je fus donc définitivement rétrogradée en 2007. Troisième sanction.
C’est-à-dire qu’à défaut de pouvoir me réduire au silence, on m’attaquait au portefeuille.
Vous aurez compris à la lumière de ces péripéties, que la liberté d’expression – et la démocratie – si chères en paroles à ceux qui nous gouvernent, n’existent dans la réalité que pour ceux qui soutiennent les positions officielles de la pensée dominante. Pas pour ceux qui sont d’un avis contraire, que l’on réduit au silence en les accusant de racisme.
Je terminerai sur cet extraordinaire paradoxe : au nom de la démocratie et des droits de l’homme, il est défendu, sous peine de sanctions professionnelles et/ou judiciaires, de critiquer les manifestations ici en Europe d’une religion qui est en même temps une vision politique du monde. Et il est défendu de les critiquer y compris lorsque ces manifestations vont totalement à l’encontre des idéaux officiellement prônés, tels que le respect des droits et libertés des femmes, pour ne citer qu’un seul exemple.
Et sont punis, non ceux qui violent ces idéaux, mais ceux qui dénoncent ces dérives plus qu’inquiétantes.
Nous sommes là, déjà, dans une situation digne d’Orwell.
Il est urgent que les Européens prennent conscience de l’énorme fossé qui s’élargit de plus en plus entre les valeurs pseudo-démocratiques vertueusement proclamées par de soi-disant « élites » européennes. Et la triste réalité faite de soumission aux diktats de la pensée unique et totalitaire.
La conférence de presse mardi après midi dans un hôtel d'Anvers. A droite, Anne Kling représentait les femmes françaises.
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BIENVENU : L’AFRIQUE CHEZ TINTIN !
Depuis 2007, une procédure opposait un ressortissant congolais - Bienvenu Mbuto Mondondo - soutenu par le Conseil Représentatif des Associations Noires (CRAN, asbl française) aux éditions Casterman et à la société Moulinsart. Les plaignants exigeaient l’interdiction de la publication de « Tintin au Congo » aux motifs qu’ils considéraient l’aventure du célèbre reporter comme raciste et xénophobe et qu’ils estimaient qu’il s’agissait d’une insulte pour tous les congolais.
Début février, le tribunal de 1ère Instance de Bruxelles a décidé que « Tintin au Congo » pourra continuer à être publié et les plaignants ont été déboutés. Le tribunal a estimé que Casterman et Moulinsart ne s’étaient pas rendus coupables d’infractions de racisme ou de xénophobie.
C’était mieux du temps des Blancs !
Paris, Londres et Bruxelles accueillent un nombre important d’Africains et ce depuis de nombreuses années. Mais il est tout de même curieux de constater qu’au fil des ans cette immigration ne cesse d’augmenter, alors que les médias ont applaudi à la chute de multiples tyrans , « permettant le retour à la Liberté », tels Idi Amin Dada, Jean Bedel Bokassa, Mathieu Kérékou entre autres, sans oublier Mobutu remplacé par le « Mzee » Joseph Désiré Kabila, auquel a succédé son fils Laurent le « Raïs », situations qui auraient logiquement dû inciter une multitude d’Africains à retourner vivre et travailler au pays (le fameux « volem viure al païs » cher aux gens de gauche).
Seulement il y a eu des erreurs de casting et si l’on en croit Kofi Yamgnane, ex-maire de Saint Coulitz en Bretagne, secrétaire d’Etat en 1991 du gouvernement d’Edith Cresson, « c’était quand même mieux du temps des Blancs » selon son interview à la télé LCP dans l’émission « çà vous regarde » du 19 mai 2010).
L’Afrique aux Africains, l’Europe aux Européens.
Les prophètes du multiculturel et du pluriethnique sont ceux qui depuis trop longtemps ne cessent de nous culpabiliser et de vanter les bienfaits d’un « melting-pot » véritable génocide de nos peuples. Nous devons nous libérer de ces saboteurs qui nous ont menés d’échecs en désillusions, de mensonges en félonies, de trahisons en défaites.
A l’image de ce qui se passe pour le conflit israélo-palestinien, les congolais ont importé chez nous leurs problèmes internes et malgré les interdictions de manifester leur haine sur la place publique, Bruxelles a été pendant le mois de décembre le théâtre de violentes émeutes dont les dégâts seront payés par nos impôts.
Il est grand temps que de tels errements cessent. Les Européens ne sont pas responsables des dérives des satrapes africains qui ont conduit la majorité des pays du continent noir dans une situation économique, sociale, financière ou politique calamiteuse.
L’ouvrier de Birmingham, le cultivateur breton, l’enseignant castillan, le retraité sicilien ou le docker anversois ne sont en rien concernés par les rebellions africaines ou orientales. Nos populations ont suffisamment de soucis afin d’assurer leur quotidien, pour encore suppléer aux carences des pays d’Afrique qui, depuis plus de 50 ans ont obtenu leur souveraineté en expulsant très souvent les anciens colons avec le seul choix « La valise ou le cercueil : Toubabs, Muzungus ou Pieds Noirs dehors ! »
Nous ne sommes ni responsables, ni coupables des tares qui affectent les régimes africains. Les potentats et les roitelets locaux se sont constitués des fortunes grâce aux aides européennes et sur le dos de leurs populations. Ces despotes éclairés, bien souvent soutenus par l’Internationale Socialiste, ont mené leur pays respectif au fond du gouffre et leur peuple dans la misère, la souffrance et la famine.
Ils ont laissé tomber en ruine les hôpitaux et le système sanitaire, les ponts, les routes, les voies de chemin de fer, les plantations, les mines et les industries, de même que les écoles et l’administration, édifiés par les européens.
Et la République Démocratique du Congo (ex-Congo belge, ex-Zaïre) en est le parfait exemple : en 1960 le PIB par habitant se chiffrait à 222 $ par an et en 2010, ce même PIB annuel par habitant était de 184 $, soit un recul de 20% !
22:34 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Carl Lang était mardi en Picardie...
La réunion de Carl Lang à Saint-Quentin dans l'Aisne
Mardi 6 mars, Carl Lang, Président du Parti de la France et candidat de l'Union de la Droite Nationale à l'élection présidentielle, était en campagne dans la Somme et dans l'Aisne.
La journée a débuté par une conférence de presse à 10h30 à Amiens puis Carl Lang a rejoint les studios de France 3 Picardie pour une interview en direct sur le plateau du journal régional de 12h (cliquez ici pour visionner la vidéo) où il a annoncé qu'il avait franchi la barre des 400 parrainages. Sitôt son entretien terminé, le candidat de la droite nationale est reparti à la rencontre des militants de la Somme lors d'un apéritif convivial où il a présenté son projet politique de décolonisation et de reconquête nationale ; Thomas Joly, délégué régional et secrétaire général du Parti de la France, ayant rappelé en préambule que le Parti de la France participerait activement aux élections législatives dans la Somme. S'en est suivi un déjeuner de travail avec quelques cadres locaux et des membres de la société civile amiénoise.
À 17h30, se tenait une seconde conférence de presse à Saint-Quentin où Carl Lang a répondu aux questions des journalistes de l'Union, du Courrier Picard et de l'Aisne Nouvelle. Puis, avant un apéritif amical, Carl Lang a pris la parole devant les militants axonnais, dont une très grande majorité de jeunes, rappelant qu'il ne céderait jamais au renoncement ni au reniement face à la colonisation migratoire dont le peuple français et victime.
Au cours de ces deux rendez-vous, du matériel de campagne a été distribué aux militants picards particulièrement motivés pour faire campagne pour l'unique candidat de droite nationale victime d'une omerta très révélatrice de la part des grands médias nationaux qui ont concédé un monopole médiatique à la candidate gaucho-lepéniste.
Source Le blog de Thomas Joly cliquez là
19:40 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tribune libre : Poutine, De Gaulle russe, demain un nouveau Pierre Le Grand ?
Par Marc Rousset
Les Etats-Unis, après avoir avalé la couleuvre Poutine, suite à l’âge d’or de la période Gorbatchev et Eltsine du déclin accéléré, voire de l’éclatement à venir de la Russie selon les rêves de Zbigniew Brzezinski dans le Grand Echiquier (1), prenaient leur mal en patience en espérant se débarrasser de Poutine comme ils furent débarrassés du général De Gaulle en 1969, d’où la tentative désespérée d’une nouvelle révolution orange en Russie avec le nouvel ambassadeur américain à Moscou Mac Faul qui se définit lui même comme « un expert de la démocratie, des mouvements anti-dictatoriaux et des révolutions ». L’opposition actuelle, sans leader, sans unité aucune, avec des tendances diamétralement opposées en son sein, fait la une des médias occidentaux ; mais elle ressemble en fait à l’armée hétéroclite de Bourbaki et fait penser à la fable de Jean de La Fontaine des « Grenouilles qui demandent un roi » !
Les peuples, dans les démocraties occidentales, ne supportent pas très longtemps les hommes d’Etat ayant une vision historique et demandant de l’autorité, de l’effort, de la persévérance, du courage pour non seulement redresser, mais développer le rayonnement et la puissance d’un pays. Ils préfèrent la repentance, les loisirs, la retraite à 60 ans, les 35 heures, le laxisme et l’endettement public éhonté ; c’est aussi plus facile pour se faire élire ! Clémenceau, Churchill et De Gaulle sont là pour attester de cette propension des démocraties occidentales à écouter les Daladier, les Chamberlain, les Mitterrand ou les Hollande, voire les comiques utopiques du style Jean-Luc Mélenchon, plutôt que de mettre le citoyen en face de ses responsabilités, compte tenu des réalités géopolitiques et économiques.
Les Etats-Unis pensaient donc tenir avec Medvedev un nouveau Gorbatchev qui, au nom du développement économique, de la liberté d’expression et d’un droit de l’hommisme à la russe, allait, avec les louanges et les encouragements de l’Occident, terminer en fait le travail de destruction massive de la puissance de l’URSS commencé avec Gorbatchev, toujours très populaire aujourd’hui partout dans le monde, sauf dans son propre pays ! L’erreur grotesque de Medvedev, avec l’absence du droit de véto de la Russie à l’ONU, lors de l’intervention militaire éhontée de l’OTAN en Libye, derrière le paravent humanitaire, était porteuse d’espoir pour l’Occident et les Etats-Unis. Cela sentait bon la bonne soupe, la naïveté et ce n’est pas l’envie qui manquait à Monsieur Alain Juppé qui excelle en la matière, de rejouer le même bon tour à la Russie en Syrie. Vladimir Poutine, en reprenant le contrôle de la politique étrangère, a contrecarré d’une façon prémonitoire les plans de l’Oncle Sam en Syrie et au Moyen orient ! En venant d’être réélu par 109 millions de Russes avec 60% des voix, Président de la Fédération de Russie, il pourrait bien contrecarrer encore pendant douze ansd’une façon irréversible les plans d’encerclement de la Russie et de la Chine par l’Amérique !
Poutine, De Gaulle russe
Poutine, c’est l’homme que les Américains n’attendaient pas et qui a non seulement redressé la Russie, mais l’a sauvée du dépeçage en trois tronçons. Le rêve géopolitique des Etats-Unis si la Russie avait perdu la guerre en Tchétchénie était de faire dela Russie, une nouvelle Grande Pologne, en la ramenant à Stravopol, point de départ de la colonisation russe au XIXème siècle.
Poutine s’est aussi opposé avec succès à l’exploitation des ressources naturelles de la Russie par les groupes étrangers, ce qui était le but affiché par Mikhaïl Khodorkovski, patron de Youkous, interpellé le 25 octobre 2003 sur un aéroport de Sibérie, alors qu’il venait de participer quelques jours plus tôt à un forum d’affaires à Moscou en compagnie de Lee Raymond, l’un des directeurs d’Exxon ; cette sociétéétait sur le point de participer jusqu’à hauteur de 25 milliards de dollars dans la fusion Youkos-Sibneft. Les capitaux américains d’Exxon Mobil et de Chevron-Texaco souhaitaient en fait s’infiltrer avec une participation de 40% dans le sanctuaire sibérien des hydrocarbures russes. En perdant ses ressources financières, la Russie perdait définitivement toute chance de rebondir.
Poutine a réussi pour l’instant à contenir, mais sans le briser complètement l’encerclement par l’Otan et l’oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan (BTC). Avec le projet du bouclier anti-missiles qui revient à l’ordre du jour, les Etats-Unis auront un adversaire redoutable qui continuera à leur dire leur quatre Vérités
Vladimir Poutine, c’est aussi l’homme du KGB qui a vu venir et réussi à combattre à ce jour avec succès toutes les révolutions orange en Ukraine, Géorgie, Kirghizstan, Ouzbékistan, les manifestations actuelles et à venir anti-Poutine en Russie n’étant que leur chant du cygne, un dernier soubresaut, une dernière tentative de l’Occident pour se défaire de Vladimir Poutine !
Comme de Gaulle, Poutine a misé sur les valeurs traditionnelles, le sens de la Grandeur, le patriotisme et l’Eglise orthodoxe pour éviter la « chienlit ». L’autoritarisme plus marqué de Poutine par rapport à De Gaulle convient parfaitement et est même absolument nécessaire, en Russie, tout comme en Chine d’ailleurs, pour éviter l’éclatement tant redouté du pays. Quant à la corruption, de la même façon qu’ elle a continué de plus belle en Ukraine avec l’arrivée au pouvoir del’égérie de la révolution orange Ioulia Timochenko, un pouvoir politique fort, ce que savent tous les Russes, est un bienmeilleur antidote que les oligarchies politiques de type occidental car ces dernières ne feraient que s’acoquiner avec les oligarques russes ; il en résulterait une décadence qui serait encore plus rapide que dans l’actuelle Europe de l’Ouest .
Poutine, un nouveau Pierre Le Grand
Le Patriarche orthodoxe Kirill a vu juste en soutenant Poutine qui pourrait être considéré en 2024 comme un nouveau Pierre le Grand du XXIe siècle, à 4 conditions :
- développer d’une façon très intense le réarmement et la modernisation en cours de l’Armée russe
- réussir le développement et la diversification déjà commencée par Medvedev de l’économie russe
- continuer à combattre la dénatalité russe, ce dont Poutine est, comme De Gaulle en 1945, parfaitement conscient
- ramener dans le giron russe, ce qui est inexorable historiquement à long terme, la Biélorussie et l’Ukraine, afin de constituer un contrepoids humain suffisant de deux cents millions d’habitants face à la Chine, l’Asie Centrale et le Caucase.
L’affrontement actuel en cours de Poutine avec les Etats-Unis peut être comparé au premier combat du jeune Tsar Pierre Le Grand avec Charles XII qui mit fin par la bataille de Poltava le 8 juillet 1709 à la suprématie suédoise dans la Baltique. Pierre Le Grand , tout en renforçant et modernisant l’armée russe ne commit pas l’erreur ensuite d’oublier l’économie, l’innovation et les Arts, ce qu’il montra en 1717 lors d’un déplacement en Europe. Pierre Le Grand ancra la Russie avec une fenêtre sur l’Europe en fondant Saint- Pétersbourg. Le natif Poutine de cette même ville qui parle allemand, ancien espion du KGB à Dresde avant la chute du Mur de Berlin, a une vision continentale européenne et souhaite se rapprocher pour des raisons géopolitiques de la France et de l’Allemagne. Maurice Druon ne s’y était pas trompé en voyant dans Poutine le défenseur européen d’un monde multipolaire plutôt que d’un monde obéissant à un shérif planétaire et « l’un de nos plus décisifs alliés ».Pour Poutine, l’avenir est donc européen !
Mais la Russie regarde aussi à l’Est et vers le Sud d’où peuvent venir de nombreux dangers, la fin de l’intervention occidentale en Afghanistan n’étant pas l’un des moindres. Au-delà de son effort démographique propre pour atteindre au minimum les 130 millions d’habitants et ne pas retomber à 100 millions en 2050, soit l’équivalent de la population turque à cette date, la Russie a besoinà terme de la Biélorussie et de l’Ukraine .Ces deux pays dont l’un est son berceau religieux, représenteraient un apport humain d’environ 60 millions d’habitants pour constituer une superpuissance suffisante face à La Chine et à l’Asie centrale. Si Poutine, sous sa Présidence, réussit ce tour de force, en commençant très vraisemblablement par la Biélorussie, il pourra être véritablement comparé à Pierre le Grand, sinon il n’aura pas démérité et pourra être comparé au minimum à De Gaulle, Churchill, Bismarck, Richelieu et Clemenceau, ces grands Hommes d’Etat ayant eu une vision historique, un courage, une continuité qui font cruellement défaut à nos petits politiciens européens actuels, atlantistes, libre-échangistes, démocrates, démagogues et droit de l’hommistes, ce qui ne sera déjà pas si mal !
(1) ) Zbigniew Brzezinski, Le Grand Echiquier, Bayard, Paris, 1997
09:16 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un enseignant traumatise ses élèves pour les sensibiliser à l’esclavage Delicious Digg Facebook Google StumbleUpon Un enseignant traumatise ses élèves pour les sensibiliser à l’esclavage...
Lu sur Le Parisien : Quand il est rentré à la maison, son fils de 10 ans paraissait « si mal » et Martine*, sa mère, n’a pas compris pourquoi. « Maman, on a lu une histoire à l’école, et j’ai pleuré », lui a-t-il expliqué en lui résumant des passages d’un livre étudié le jour même à l’école Marcel-Cachin de Morsang-sur-Orge (Essonne).
Un ouvrage traitant de l’esclavage et racontant, entre autres, le viol d’une fillette avec un coupe-papier, dans des termes susceptibles de heurter de jeunes écoliers. Sous le choc, une dizaine de familles ont créé le Collectif de parents indignés (CPI). Hier matin, ils ont distribué des tracts appelant à la « protection des enfants » et une pétition est en ligne depuis le 1er mars. Elle avait recueilli hier soir 311 signatures.
Au cœur de la polémique : « Betty-Coton », un roman publié chez Actes Sud Junior, prix Aficion’ados de Mont-de-Marsan 2007, et destiné, comme le confirme son auteur (lire ci-dessous), à un « public averti, pas avant 13-14 ans ». Ce qui scandalise les parents, c’est qu’il a été intégralement lu fin janvier à une classe de CM 1-CM 2, à des enfants âgés de 9 à 11 ans, par leur enseignant.
« Quand j’ai réussi à me procurer les extraits du livre, j’ai été profondément choquée que mon enfant ait dû entendre cela. Les mots étaient bien trop crus et violents pour son âge », explique cette maman dont le fils, affirme-elle, semble « perturbé » depuis cette lecture. « Un enseignant peut aborder tous les sujets, mais il doit adapter son propos au public qu’il a en face de lui. Avoir lu de tels passages, avec des détails sexuels aussi barbares, sans que les parents ne soient au courant ou les enfants préparés, est totalement contre-productif », affirme le président du collectif de parents, Sébastien Narme.
Alertée par les parents, l’inspection académique, qui n’a pas répondu hier à nos sollicitations, a décidé de la mise en place d’une cellule d’écoute animée par une psychologue afin que les enfants parlent de ce qu’ils avaient ressenti à l’écoute de l’ouvrage. L’enseignant mis en cause, Pascal Noury, par ailleurs maire (DVG) de Morangis, a évoqué hier « un devoir de réserve » lié à son statut de fonctionnaire.
« Il n’a pas lu ce roman pour choquer mais pour son aspect pédagogique et humain, glissait un autre membre du corps enseignant. Et il a accompagné sa lecture d’un travail sur le respect de l’autre et de la dignité humaine. Réduire ce travail à la lecture de cette scène, certes violente, est totalement disproportionné. » Et pourtant les parents comptent bien continuer leur action et demandent que « l’Education nationale prenne ses responsabilités face à ce fait grave ». Ils réclament en outre la mise en place d’une autre cellule psychologique, cette fois individuelle. S’ils ne sont pas entendus, assurent-ils, leur action pourrait s’étendre au domaine pénal.
Source Contre Info.com via PdF cliquez ici
NDLR : au sujet de l'esclavage : lire l'excellent livre d'Arnaud Raffard de Brienne, La désinformation autour de l'esclavage (aux éditions Fol'fer). pour remettre les choses à leurs places... A offrir aux enseignants naïfs. (cliquez ici)
08:43 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 06 mars 2012
Solidarité : le site François de Souche menacé :
Communiqué de François Desouche :
Nombreux sont ceux qui nous demandent comment aider Pierre Sautarel à régler ses frais d’avocats et à continuer son travail …
Il est poursuivi en justice par des associations et des personnalités antifrançaises, qui l’accusent d’être le webmaster de Fdesouche.com.
Nous essayons de quémander le moins possible, mais dans le cas présent c’est important et vraiment nécessaire sachant qu’il sera encore mis en examen le 20 mars prochain et qu’il faut de surcroît continuer à assumer les frais courants.Or, le budget actuel déjà très limité d’Esprit de Clocher n’y suffira pas.
Face aux persécutions, montrons-nous solidaires, il ne peut compter que sur nous !
Cliquer sur : François Desouche
23:55 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi soir, au Local...
23:28 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Poutine dans un monde plein de risques et de dangers
par Fedor Loukianov*
La série d’articles de Vladimir Poutine, dont le dernier a été publié dans le quotidien Moskovskie Novosti, donne une idée de la façon dont le Premier ministre russe perçoit le monde environnant et la place de la Russie au sein de ce dernier.
Selon Poutine, le monde est imprévisible et réserve des dangers divers et variés, allant du bellicisme croissant et de l’érosion du droit international jusqu’à "l’utilisation d’outils illégitimes de puissance douce (soft power)", venant de l’extérieur mais rongeant de l’intérieur. Par conséquent, ce message appelle à se préparer à faire face à de nombreux défis et menaces. Cela le distingue, par exemple, du discours de Munich en 2007, qui était offensif, voire même agressif, selon certains. Aujourd’hui, au lieu de l’agressivité, on ressent plutôt l’inquiétude et la préoccupation.
Quel comportement la Russie doit-elle adopter dans ce monde?
Avant tout, elle doit cesser de regarder en arrière, d'évoquer les événements datant de plus de 20 ans. Dans son premier article du programme électoral, Vladimir Poutine écrivait que l’époque postsoviétique était révolue, et que son ordre du jour était épuisé. C’est important, car jusqu’à ce moment, l’effondrement de l’URSS avec toutes ses conséquences diverses et variées avait servi de point de repère, le pays et sa classe dirigeante n’arrivaient pas à surmonter le traumatisme psychologique. Dans son dernier article, Poutine ne mentionne pas la guerre froide (à l’exception du reproche concernant les stéréotypes sur la Russie), ce qui est inhabituel, car jusqu’à présent il l’avait toujours fait. D’ailleurs, l’absence du thème de la guerre froide dans son discours souligne probablement le fait qu’il est inopportun de mettre les problèmes dans les relations avec les Etats-Unis et l’Occident sur le compte de l’inertie de la confrontation du XXe siècle. Cela fait partie du passé, et les divergences des intérêts sont souvent de nature objective.
La Russie de Poutine est déçue par l’Occident. D’ailleurs, pas tant pour son manque de respect envers la Russie et son refus de la reconnaître en tant que partenaire à part entière. Pire encore: la politique occidentale ne donne pas les résultats escomptés, autrement dit, elle est inefficace et à courte vue. Du printemps arabe à la crise de la dette européenne, de l’Iran à la Corée du Nord – rien de se déroule selon les plans. Toutefois, Poutine continue de penser que les principales impulsions politiques viennent de l’Occident, en d’autres termes tout se conçoit là-bas, mais cela n’inquiète pas Poutine, car de toute façon ces initiatives n’aboutissent pas. Vladimir Poutine voit le schéma international dans l’interaction, en soulignant que toute action a des conséquences. L’idée est banale, mais la pratique contemporaine nous suggère que les conséquences sont la dernière chose à laquelle on pense, si tant est que l'on y pense. Chaque action est examinée de manière isolée.
Vladimir Poutine parle des bases de l’ordre mondial en réitérant les positions habituelles: le "principe séculaire de la souveraineté nationale" se trouve au centre des relations internationales, et la protection des droits de l’homme "de l’extérieur" relève de la "démagogie pure et simple." Poutine est profondément convaincu qu’on n’a toujours pas inventé de principe fondamental dans le monde susceptible de remplacer le rôle de la souveraineté. La politique mondiale est basée sur des principes solides, et non pas des valeurs abstraites, dont l’application est déterminée de manière arbitraire, en fonction du rapport des forces dans une situation donnée.
Selon Poutine, la Russie doit rester une puissance mondiale qui joue sur tous les tableaux. Cela distingue l’approche de Poutine des plans de l’époque de Medvedev: la tendance vers la concentration sur les intérêts directs et géographiquement proches, bien qu’ils soient tout de même très larges. Une présence active dans le monde est précisément nécessaire pour ne pas perdre ses positions dans le domaine de l’action directe. Autrement dit, le statu global n’est pas nécessaire pour des expansions en tout genre, mais pour maintenir le statu quo. Et dans ce sens, Poutine voit la Russie non pas comme un simple adversaire systémique des Etats-Unis, comme beaucoup le pensent, mais comme la garante d’un système précis (classique) des points de vue et des relations partagés, selon lui, par les pays du BRICS (le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud). Ce système est basé sur la primauté de l’autonomie stratégique, l’intégrité de la souveraineté et l’équilibre des forces.
Poutine est convaincu qu'une influence permanente et principalement hostile est exercée sur la Russie allant des défis militaires (le bouclier antimissile (ABM) et autres modernisations technologiques, l’expansion de l’Otan) à l'imposition de formes d’organisation sociale (à l’aide de campagnes informationnelles et la "puissance douce illégitime"). Le monde est perçu globalement comme un environnement extrêmement dangereux et hostile. Le succès n’est possible qu’en s’appuyant sur la force la plus "solide." "La Russie n'est respectée et prise au sérieux que lorsqu'elle est forte et se tient fermement campée sue ses jambes."
Vladimir Poutine conserve sa méfiance à l’égard des Etats-Unis, accumulée suite à ses relations avec George W. Bush pendant ses deux premiers mandats. Cela se manifeste constamment dans les déclarations publiques, et le premier ministre russe est sincère. La pause de trois ans et demi, durant laquelle Poutine n’était pas chargé de la politique étrangère, n’a aucunement diminué son sentiment d’avoir été offensé en raison de l’absence de réciprocité dans les années 2000, et cela affectera la politique étrangère de la Russie.
Cependant, Poutine voit la Russie comme un pays ouvert, disposé à coopérer économiquement avec tout le monde, qui ne se replie pas sur lui-même et ne cherche pas à construire ne serait-ce qu’un semblant d’autarcie dans le domaine économique. Dans ce sens, très révélatrice est la reconnaissance du fait que l’achat de matériel militaire à l’étranger est une pratique normale (dans la limite du raisonnable), ainsi que l’explication du bénéfice qu'apportera l’adhésion à l’Organisation mondiale du commerce (OMC), chose impopulaire en Russie. En fait, Poutine s’intéresse aux grandes entreprises et à leur promotion, les alliances stratégiques de grandes compagnies et les transactions importantes en tant que moyen de rapprochement politique.
Enfin, la Russie a commencé à accorder bien plus d’importance à la Chine et à l’Asie en général, y compris en les regardant à travers le prisme du développement de la Sibérie et de l’Extrême-Orient russes. A la vision générale des problèmes de l’ordre mondial, dont on parlait depuis longtemps, s’ajoute aujourd’hui la volonté de gonfler les "voiles de l’économie russe avec le vent chinois". L’attitude sérieuse envers le voisin oriental de la Russie est soulignée toutefois par la mention de "frictions" importantes, y compris l’immigration. Une telle réserve montre que la Chine est réellement une partie importante de l’ordre du jour.
Les événements de ces dernières années ont montré qu’une planification stratégique sérieuse était pratiquement inutile dans le monde contemporain imprévisible. Et il s’avère que la tactique de réaction habituelle russe aux impulsions extérieures changeant en permanence, même si elle n’est pas complètement justifiée, est le seul choix rationnel. Et c’est précisément à cela que le candidat numéro 1 prépare le pays et se prépare lui-même.
(*) Fedor Loukianov est rédacteur en chef du magazine Russia in Global Affairs.
(Source : rianovosti)
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lundi, 05 mars 2012
Tsar russe vs démocrates franco-yankees...
La chronique
de Philippe Randa
Décidément, les Russes sont terribles. Depuis l’Ivan du même nom, on le savait… Et encore davantage depuis que notre Napoléon Ier d’empereur s’aventura bien imprudemment dans les neiges de Moscou : ses habitants brûlèrent la ville pour l’obliger à faire demi-tour, ce qu’il fit en grandes difficultés, au point d’y briser définitivement la toute puissance de sa Grande Armée…
Et puis, quelques décennies plus tard, ce fut les emprunts russes (2,25 milliard de francs couverts pour moitié par la France) que les bolcheviques, sitôt installés à la tête de ce qu’ils rebaptisèrent Union soviétique, s’empressèrent de ne pas payer. Il furent nombreux, alors, nos compatriotes à y laisser leurs économies…
Et puis, ce furent plus de six décennies à craindre un déferlement de l’Armée Rouge jusqu’à Brest… Dans l’entre-deux guerres et durant « la dernière », ce fut même une ligne de fracture dans l’opinion : il y a les « fascistes » qui décidèrent d’une croisade contre le bolchevisme pour parer à ce danger… et les « démocrates » qui s’allièrent avec le « petit père des peuples », ce brave Joseph Djougachvili, dit Staline qui n’avait guère le sens de l’humour, dit-on, mais celui de la répression sanglante, de l’exécution massive et de la déportation sibérienne, voire même de l’anti-judaïté à ses heures, même si certains réussissent toujours, de nos jours, à le faire oublier…
Enfin ! Finit la crainte d’une guerre avec ces satanés Russes ! Encore que…
À lire et à entendre les commentaires sur la réélection (plus de 60 % des suffrages) de Vladimir Poutine, ce week-end, à la présidence de la Fédération de Russie – tel que se nomme désormais le pays de Nicolas Gogol, de Fiodor Dostoïevski ou encore de Léon Tolstoï pour ne citer que quelques-uns parmi les plus célèbres personnages qui peuvent encore avoir la chance d’être connus, sinon reconnus, de nos compatriotes – l’imminence d’une nouvelle apocalypse totalitaire n’échappe pas aux fins observateurs de la vie politique internationale.
Rien de nouveau à l’Est, pourtant : depuis son arrivée au Kremlin, Vladimir Poutine est la cible quasi-permanente des médias occidentaux qui n’ont de cesse de dénoncer les dangers qu’il ferait courir non seulement aux braves démocrates de son pays, mais à tous ceux au-delà des frontières de celui-ci.
Et de dénoncer en premier lieu son obstination à rester au pouvoir… Président élu et réélu, rappelons qu’il laissa ainsi la place à son premier ministre Dimitri Medvedev qui le nomma aussitôt à sa place avant d’appeler à voter pour que Poutine soit à nouveau réélu cette année à la Présidence. Soit un parfait jeu de chaises musicales.
Et alors ? En quoi l’exemple russe diffère-t-il tant que cela de ce qui se déroule dans notre pays depuis que la Sainte Mère Démocratie y règne ?
Pour ne citer que des exemples récents, Charles De Gaulle fit tout pour revenir à la tête de la France à la fin des années 50 du siècle dernier sans que cette volonté ne choque qui que ce soit, pas même ses ennemis politiques… Contrairement à un Philippe Pétain, tant honni par les démocrates contemporains, qu’une chambre des députés aux abois alla chercher pour sortir notre pays du gouffre où il avait sombré. Quoi qu’on puisse penser ensuite de l’action de l’État français sous sa direction maréchalienne, il est toujours bon de le rappeler.
Plus tard, Valéry Giscard d’Estaing tenta un deuxième septennat, sans succès certes, contrairement à François Mitterrand… Et Jacques Chirac fut élu deux fois de suite également… Comme le veut actuellement notre président sortant Nicolas Sarkozy… Et s’il ne vint jamais à aucun d’eux l’idée de se représenter une troisième – et pourquoi pas quatrième ? – fois à la fonction suprême, ce ne fut, soyons-en certain, qu’en raison de l’âge de leurs artères bien davantage que de la maîtrise de leur ambition personnelle.
Quant aux présidents américains, il est de tradition qu’ils tentent tous de se représenter ; seule leur constitution les empêchent de briguer d’autres mandats futurs…
Vladimir Poutine n’aura soixante ans qu’en octobre prochain et c’est un sportif accompli qui ne s’en cache pas : à quoi tient l’humilité démocratique, tout de même !
Quant à estimer les menaces qu’un néo-tsar comme lui puisse faire peser sur la planète, on ne saurait trop le redouter à l’aune de ses interventions militaires… soit d’avoir réussit à mettre fin à une sanglante guerre civile en Tchétchénie et d’être venu en aide aux Ossètes envahis par l’armée géorgienne. En près de douze année de pouvoir quasi-absolu, on peut difficilement y déceler les prémisses de la Troisième Guerre mondiale…
En tout cas, de façon moins évidentes que, dans le même temps, l’invasion de l’Afghanistan, puis de l’Irak par les États-Unis d’Amérique et leurs alliés… et même récemment l’intervention militaire française qui renversa le régime du colonel Khadafi avec lequel nous n’étions même pas en guerre pour offrir ainsi l’État libyen à de chaleureux « démocrates » islamistes.
De là à avoir certaines vilaines pensées à se sentir moins en danger de guerre avec un « Tsar » tel que Vladimir Poutine qu’avec des présidents médiatiquement proclamés démocrates, il n’y a pas loin.
PS : On lira avec intérêt et quelque étonnement la tribune de Nicolas Bonnal publiée cette semaine sur Francephi.com cliquez ici : « Hitler, “Le Point” et le général De Gaulle »
21:00 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 04 mars 2012
Le meeting de Carl Lang :
Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire
Roger Holeindre, Président du cercle national des combattants
Yann Phélippeau, Secrétaire général adjoint du MNR
Olivier Wyssa, conseiller régional du Rhône-Alpes
Fernand Le Rachinel, Pdt du Comité de soutien à Carl Lang
Carl Lang, Président du Parti de la France et candidat de l'Union de la Droite Nationale à la Présidentielle
23:35 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi à Paris : grand succès pour Carl Lang et l'Union de la Droite Nationale...
Source Site du PdF cliquez ici
Les patriotes et militants de la cause nationale étaient nombreux hier, réunis au forum de Grenelle afin de soutenir, d’encourager et écouter Carl Lang, président du Parti de la France et candidat de l’Union de la Droite Nationale à l’élection présidentielle.
Avant son allocution différents intervenants de la Droite nationale se sont succédés. Ainsi les participants ont pu entendre s’exprimer Roger Holeindre, ancien député, figure emblématique du combat patriotique qui a rappelé le devoir de vérité historique et la nécessité de continuer le combat national sur les vraies valeurs de la droite nationale. Valeurs qui ne sont plus portées par un mouvement politique dont il avait été l’un des membres fondateurs et l’un des dirigeants pendant 40 ans.
Robert Spieler, ancien député et ancien conseiller régional d’Alsace, délégué national de la NDP, quant à lui a présenté les combats communs que nous allons mener avec les autres mouvements nationaux et patriotiques d’Europe afin de relever ensemble les grands défis de la dénatalité et de l’islamisation.
Yann Phélippeau, secrétaire général du MNR a rappelé la nécessité d’une France forte et d’une Europe protégée face aux grands bouleversements populaires et islamistes qui touchent l’Afrique du Nord, le Proche et le Moyen Orient.
Olivier Wyssa, conseiller régional Rhône-Alpes, a apporté comme élu son soutien politique et son parrainage à la candidature de Carl Lang qui est le seul aujourd’hui à défendre publiquement les valeurs non négociables du respect de la vie et de notre modèle chrétien de civilisation.
Fernand Le Rachinel, ancien député européen et conseiller général honoraire de la Manche, président du comité de soutien national à Carl Lang a rendu compte du travail considérable effectué depuis près d’un an afin de recueillir les parrainages nécessaires à la candidature de Carl Lang. Il a annoncé que nous avions déjà, à ce stade, recueilli des signatures dans beaucoup plus que dans les 30 départements minimum nécessaires et que le nombre de signatures officielles en notre possession était, le samedi 3 mars de 380. Il a appelé à la mobilisation de tous afin d’ici au 16 mars de franchir la barre des 500 parrainages.
A la suite de ces brillantes et enrichissantes interventions, Carl Lang a pris la parole.
Il a tenu à remercier en premier lieu les intervenants mais aussi les équipes de bénévoles qui ont participé à la réalisation et la bonne tenue de cette journée dont notamment les membres du SEP (Service Encadrement et Protection) dirigé par notre ami Jean-Pierre Dellac.
Le discours de Carl Lang a été l’occasion de rappeler que cette campagne présidentielle se faisait dans l’unité, l’amitié et le bénévolat et ce, au service de convictions et d’engagement pour la cause française. En citant Monsieur de Charrette : « Combattus souvent, battus parfois, abattus jamais ! » il a insisté sur le fait que tout ne faisait que commencer et que la France et les Français avaient plus jamais besoin de nous. En effet, nous sommes les seuls à incarner la droite nationale, populaire, identitaire et européenne. Carl Lang a ensuite rappelé que pour cette campagne il avait fait le tour de France des régions afin de rencontrer les militants et sympathisants de la cause nationale et à organiser avec nos responsables locaux des conférences de presse et des réunions militantes. Au final et ce, depuis quelques mois se sont créés de nouvelles sections départementales, de nouveaux blogs du Pdf et de nombreuses adhésions nous sont parvenues au siège.
Tout cela a été fait sans quasiment aucun relais médiatique national et très peu régional. Carl Lang a insisté sur le fait que tout est fait pour nous interdire le droit à la parole. Cette campagne est réalisée sous le règne de la censure de fait et de l’exclusion. Le peuple n’est pas souverain, les médias sont souverains. Les maîtres de l’information sont les maîtres de l’opinion. Il a notamment dénoncé avec force la propagande rouge de Mélenchon qui pérore sans être contredit. Il a rappelé avec conviction que nous n’avons rien oublié, nous n’avons rien pardonné aux régimes assassins et aux compagnons de route complices des 100 millions de morts du communisme.
Sur le plan économique il a rappelé que c’est à l’Etat de se serrer la ceinture, pas aux Français. Il a présenté ses règles d'or pour une gestion patriotique de la crise et pour une reconquête économique et sociale. Il réitéré son refus de la persécution et répression fiscales, dénoncé le mythe de la redistribution (quand il n’y a plus rien à distribué) et constaté que les politiques de Poutou à Le Pen étaient toutes pareilles s’agissant de leurs discours étatiste et socialiste. Le gaucho lepénisme existe : c’est Marine Le Pen !
Carl Lang a ensuite développé le thème de notre identité française : communion naturelle, culturelle, historique et spirituelle entre le peuple français et la terre de France. La France de ses saints, de ses rois, de ses héros, de ses martyrs. La France de nos ancêtres celtes, francs, latins. Nous devons relever des défis de civilisation qui sont les défis du mondialisme destructeur des nations, du néo-communisme, de la colonisation de la France et de l’Europe et de l’islamisation révolutionnaire. Il a rappelé sur ce dernier point que la charia, le culte et la norme doctrinale, culturelle et sociale édictés par le Coran ne sont pas compatibles avec nos valeurs de civilisation humanistes et chrétiennes. Carl Lang a conclu son discours en proclamant haut et fort le slogan hier dénoncé et renié par d’autres : « La France aux Français ! »
20:29 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 03 mars 2012
DEFENSE DE L’OCCIDENT : HISTOIRE D’UNE REVUE NATIONALISTE…
Article publié dans Synthèse nationale
n°26 (janvier février 2012)
Nous commémorons cette année le soixantième anniversaire de la revue Défense de l’Occident, et le trentième anniversaire de sa disparition. C’est en 1952, en effet, qu’est paru le premier numéro de cette revue, qui fut animée pendant trente années par l’écrivain et critique Maurice Bardèche. Et c’est il y a trente ans, - très exactement en décembre 1982 -, que le même Maurice Bardèche, âgé alors de 75 ans, annonça la fin de sa revue.
Défense de l’Occident ne fut donc qu’une comète à longue queue dans le ciel du nationalisme d’après-guerre. Néanmoins cette revue exerça une grosse influence sur plusieurs générations de lecteurs. Elle fut aussi un terrain où d’exercice de leur talent pour de nombreux jeunes journalistes. Et si l’on regarde l’offre rédactionnelle d’aujourd’hui, Synthèse nationale est sans doute la revue qui se situe au plus près de l’esprit D.O. (comme on disait), même si Bardèche, en mettant un point final à son aventure journalistique, avait estimé qu’il ne laissait pas vraiment de disciples ni de successeurs après lui.
A l’origine de D.O., nous trouvons le Mouvement Social Européen. Dans le contexte d’une Europe en train de se construire, et de l’annonce d’élections européennes (qui ne verront en fait le jour qu’à la fin des années 70), Maurice Bardèche participe à la construction d’une coordination européenne des partis et mouvements nationalistes et européens, sous le nom de Mouvement Populaire Européen, puis sous celui de Mouvement Social Européen. Bardèche, seul grand intellectuel « fasciste » vivant et en liberté, y représentait la France. Et à ce titre, il eut la responsabilité de créer cet organe de liaison nommé Défense de l’Occident. Inutile de rappeler à nos lecteurs que Bardèche était le beau-frère de Robert Brasillach, le poète assassiné par le pouvoir gaullo-communiste de l’époque, et qu’il ne rentra en politique qu’après la mort de Brasillach, comme pour essayer de le venger, ou tout au moins de sauvegarder sa mémoire et de justifier les engagements qui lui avaient valu la mort.
La naissance de D.O., en 1952, « fut sans éclat et passa à peu près complètement inaperçue » devait raconter quelques années plus tard, Jacques Poilot, l’un des co-fondateurs de la revue. « Un tirage très faible, conséquence de notre pauvreté, ne nous permettait d’envisager aucune diffusion commerciale ». Bulletin de 32 pages, D.O. se voulait l’organe du Mouvement Social Européen et développait les thèmes exposés lors des congrès successifs de Rome et de Malmö. Des congrès qui avaient été présentés par la grosse presse d’après-guerre comme la première résurgence de la « peste brune » vaincue sept ans auparavant.
A partir de 1953, le succès aidant, le tirage de Défense de l’Occident fut augmenté, sa pagination passa de trente-deux à quarante-huit, et une diffusion plus large fut tentée par le circuit des librairies et des kiosques.
Mais les moyens de la revue restaient limités, et sa salle de rédaction n’était autre que l’appartement familial des Bardèche-Brasillach, rue Rataud, dans le Ve arrondissement.
Les enfants Bardèche, quoique très jeunes, étaient mis à contribution : « On vit Jacques confectionner des bandes et Pierre-Philippe coller des timbres ; tous les espoirs nous étaient permis puisque la jeune génération était avec nous ! » (Jacques Poilot, D.O., décembre 1955).
Défense de l’Occident, après quelques années de publication en tant qu’organe du MSE, était devenue une revue politique et culturelle. Sa couverture, bleue à l’origine, avait pris une couleur orange soutenue, qui la faisait repérer facilement dans les rayons des marchands de journaux.
La revue comptait des collaborateurs plutôt bien informés des affaires algériennes, ces affaires qui devaient commencer le 1er novembre 1954, six mois après Dien Bien Phu, pour se terminer en 1963 avec l’attentat du Petit-Clamart, la mort du colonel Jean Bastien-Thiry et la fin de la courageuse aventure de l’OAS.
La position de Défense de l’Occident était assez particulière dans l’éventail des publications de la droite nationale. Comme Benoist-Méchin et quelques rares autres, Bardèche avait établi un fructueux dialogue avec les nationalistes arabes. Alors que l’extrême droite française vouait au gémonies l’Egyptien Nasser, et apportait un soutien indéfectible au petit Etat d’Israël, perçu comme le David de la Bible face au Goliath du panarabisme, Bardèche, tout en participant à la défense de l’Algérie française, faisait bouger les lignes de la vision géopolitique de son camp. Peut-être ce philo-arabisme était-il facilité par la complaisance des régimes arabes pour les « survivants de l’aventure hitlérienne ».
Lorsque De Gaulle revient aux affaires, dans le contexte de la crise algérienne, Défense de l’Occident – avec Lectures françaises, la revue d’Henry Coston - est pratiquement le seul organe de presse un peu consistant à mettre en garde les droitistes. Et, dans la classe politique, seul ou presque, Isorni, à droite, manifeste son opposition. « De Gaulle ne sera pas le sauveur de l’Algérie française, mais son fossoyeur », prophétise, pour sa part, Bardèche.
« Tous nos amis revinrent très vite de leur illusion. Mais peu d’entre eux eurent le courage d’en tirer la leçon politique : quand on est faible, il faut être absolu, c’est le seul moyen de n’être pas ridicule. »
La première série de Défense de l’Occident comporte 64 numéros, et paraîtra de décembre 1952 à décembre 1959.
C’est donc d’abord une mince revue, organe d’une coordiation de divers partis et mouvements comme le MSI italien et la première mouture du NPD allemand. Les collaborations sont européennes, et Bardèche est le seul Français à s’exprimer dans ses colonnes.
Mais, dès la fin de 1953, une petite équipe de rédacteurs français se constitue, qui assurera la rédaction de la revue, après la rupture avec le MSE : on trouve en particulier maître Louis Guitard, Pierre Fontaine et Pierre Hofstetter.
Le n° 21 de la revue, en février 1955, est entièrement consacré à Robert Brasillach, à l’occasion du dixième anniversaire de sa disparition. L’année suivante, le succès électoral du poujadisme est analysé avec un autre numéro spécial sur ce phénomène politique. C’est à cette époque que Bernard George rejoint la revue. En janvier 1957, est publié un numéro spécial sur l’épuration, avec la participation de Jacques Isorni, Xavier Vallat, Bernard George et Maurice Bardèche, bien entendu.
L’écrivain Albert Paraz envoie régulièrement des articles à la revue, et y évoque son ami Céline. Le numéro d’octobre 1957 publie d’ailleurs une lettre de Céline. En février 1958, la revue rend hommage à Drieu La Rochelle. Les collaborations de ce numéro sont prestigieuses : Marcel Jouhandeau, Robert Poulet, François Mauriac, Kléber Haedens, Emmanuel Berl, Willy de Spens, etc. Sous l’influence de Bernard George et de Paul Sérant, la revue a pris une orientation littéraire assez nette.
Mais Bardèche suspend un mois la parution de Défense de l’Occident, et annonce, en janvier 1960, le lancement d’une nouvelle série (n° 1 en janvier 1960, et n° 194 en novembre 1982).
Ce n° 1 aligne une équipe prestigieuse. La « une » porte les noms de Maurice Bardèche, bien entendu, Paul Sérant, Michel Braspart (pseudonyme de l’éditeur Roland Laudenbach), Bernard Vorge (pseudonyme de Bernard George), Henry Coston, Michel Mourre (futur auteur du fameux dictionnaire historique « Mourre »), Willy-Paul Romain, Lucien Rebatet. Nous sommes sans doute à l’apogée de la revue, en tout cas pour ce qui concerne la qualité littéraire.
Dans son éditorial, Bardèche explique qu’il veut faire de Défense de l’Occident une véritable revue culturelle, la sortir d’une approche trop étroitement politique, et l’ouvrir à des tendances « différentes des nôtres».
C’est à cette époque que la rue Rataud voit défiler Hergé (qui dédicace à tours de bras ses albums aux enfants Bardèche), Alice Cocéa, Paul Morand, Lucien Rebatet, Bernard de Fallois, Hélène Carrère d’Encausse, Jacques Isorni, Jean-LouisTixier-Vignancour, Marcel Aymé, très souvent, Pierre Gripari, Pierre Béarn, André Barret (le producteur des deux films Tintin et le mystère de la toison d’or et Tintin et les oranges bleues).
Le retour de De Gaulle aux affaires et le drame algérien vont rapidement repolitiser Défense de l’Occident. Quelques jeunes talents de la « génération OAS » ont rejoint la tribune de Bardèche : Fabrice Laroche, alias Alain de Benoist, Dominique Venner, Michel Mourlet, Eric Ollivier, François d’Orcival, Pol Vandromme, Jean Mabire, notamment. Ces journalistes ont entre vingt et trente ans, ils constituent une relève de qualité, mais qui sera éphémère, car leurs signatures, apparues au début des années 60, rejoindront progressivement d’autres organes de presse (Valeurs actuelles et Le Spectacle du monde, les revues de la Nouvelle Droite, Le Figaro magazine…).
Après mai 1968, François Duprat (pseudonymes : François Solchaga et François Massa) envahit à lui tout seul les colonnes du journal. La revue se transforme un peu en revue d’histoire du fascisme (Duprat finira d’ailleurs par créer une revue du même format et de même typographie que Défense de l’Occident, portant ce titre de Revue d’histoire du fascisme).
Enfin une troisième génération de rédacteurs fait une furtive apparition : la génération Ordre nouveau : François-Bernard Huygue, Alain Robert, Pascal Gauchon, Yves Van Ghele, Alain Renault, Eric Vatré, Christian de Bongain, Georges Gondinet. Quelques très bons numéros spéciaux sont publiés : La Croisade antibolchevique (trois numéros de 1974), La Droite vue d’en face (1975).
Mais la revue perd peu à peu son unité. Cela se sent très nettement à la fin des années 70. Elle n’est plus qu’une juxtaposition d’articles de qualité variable. Bardèche y poursuit son monologue géopolitique, tandis que les autres rédacteurs délivrent quelques articles historiques ou culturels.
L’aventure se termine donc discrètement en décembre 1982. Bardèche explique simplement qu’il ne se sent plus l’énergie physique pour poursuivre cette œuvre, qui était en fait un combat solitaire. « Cette disparition n’est ni un évènement ni un symbole », explique-t-il. « J’ai entrepris cette revue par devoir, j’en ai poursuivi la publication par honnêteté, je la cesse sans amertume. Je ne crois pas que les idées que j’ai exprimées aient cessé d’être vraies ou d’être utiles. Je les crois aussi nécessaires qu’autrefois : mais elles sont utiles, elles n’ont d’avenir aujourd’hui que si ce sont des hommes jeunes qui les professent et les répandent. C’est à cette condition seulement que la moisson lèvera. »
Il me semble que dans la France du XXIe siècle cette moisson a levé, et qu’elle est grosse d’espérances.
Francis Bergeron est l’auteur d’un Maurice Bardèche, Editions Pardès, février 2012, 124 pages, 100 illustrations et photos, 12 €.
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Aujourd'hui, samedi 3 mars, TOUS AVEC CARL LANG A PARIS !
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Dimanche soir, sur Méridien zéro...
Méridien zéro RBN cliquez ici
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vendredi, 02 mars 2012
Vendredi, c'est le jour de Rivarol...
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jeudi, 01 mars 2012
Affaire Pulvar Montebourg Le Pen : les limites de la dédiabolisation...
Communiqué de presse de la Nouvelle Droite Populaire :
Audrey Pulvar et Arnaud Montebourg sont les symboles voyants d’un Système responsable de la situation économique et de la crise identitaire actuelle subie de plein fouet par les classes populaires françaises. Le chahut dont ils ont été victimes traduit le ras le bol des « petits blancs de banlieues » qui subissent au quotidien le racisme anti-français et des agressions physiques réelles et parfois mortelles qui ne font jamais la une des journaux.
La Nouvelle Droite Populaire ne peut en aucun cas cautionner, s’ils sont avérés, les propos et les actes rapportés. Cependant, l’attitude de Marine Le Pen qui tente désespérément de faire porter le chapeau de cette affaire montée en épingle par les médias aux authentiques forces nationales prouve son mépris pour son propre électorat et son allégeance au Système. Que nous sachions, ce ne sont ni à la Nouvelle Droite Populaire, ni à l’Union de la Droite Nationale, ni à l’œuvre française auxquels se référaient les protagonistes mais bel et bien au nom de Le Pen. On voit là les limites de la stratégie de dédiabolisation.
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Affaire Pulvar Montebourg Le Pen : un communiqué d'Yvan Benedetti...
Un communiqué d'Yvan Benedetti, Président de l'Oeuvre française :
Ce matin, sur l’antenne de RMC, j’ai été pris à partie par la présidente du Front National.
Sur l’air du « c’est pas moi, c’est Benedetti », la candidate à l’élection présidentielle fait preuve d’un manque total de courage politique. Ceci n’est pas pour nous étonner, puisque nous assistons depuis l’accession de Mme Le Pen à la tête du Front National, à une longue succession de reniements
Oui Mme Le Pen, je suis le représentant de tous ceux qui scandent la France aux Français, ces militants historiques du Front que vous avez exclus, livrés en pâture aux médias du système et sacrifiés sur l’autel de votre prétendue dédiabolisation, pour les remplacer par des ralliés de la dernière heure.
Oui Mme Le Pen, je suis un ardent partisan de la France aux Français, de tous ces Français de souche qui refusent d’être considérés comme des étrangers dans leur propre pays par un système corrompu parfaitement représenté par le couple Pulvar-Montebourg, emblématique de la compromission du journalisme avec le politique.
Si la fin peut quelquefois justifier les moyens, elle ne peut servir d’alibi aux reniements de nos principes fondamentaux, que ces reniements concernent le droit à l’avortement, le renoncement à l’exigence de l’inversion des flux migratoires ou la volonté de se faire adouber par les représentants d’un Etat étranger.
Chère Mme Le Pen, il est urgent de stopper cette calamiteuse politique de dédiabolisation avant que vous ne deveniez le capitaine du Costa Concordia de la Droite nationale.
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