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lundi, 30 avril 2012

PRÉSIDENTIELLE : SUR LE POIDS DE MARINE LE PEN...

Source Pierre Pigace  Le nouveau NH

 

Au final, la déferlante bleu marine n’a pas eu lieu. La présidente du Front national retrouve en les améliorant les scores de son père. Avec moins de 20% des suffrages, et sans alliances, le FN peut tout juste espérer jouer les arbitres en attendant une hypothétique implosion de l’UMP aux législatives.

 

On ne peut pas dire que la chose soit inédite, pourtant à chaque nouvelle élection c’est le même psychodrame, la presse feint de découvrir ou de redécouvrir l’importance du vote Front national.

 

Déjà pour les élections européennes de 1999, le FN était crédité de 20 à 22 % des intentions de vote. La scission entre partisans de Bruno Mégret et partisans de Jean-Marie Le Pen mettra pour un temps un frein à cette tendance ascendante.

 

Trois ans plus tard et malgré le départ de plus de la moitié de ses cadres, le FN se qualifiera pour le second tour de la présidentielle en éliminant le candidat socialiste. Il faut dire que le 11 septembre est passé par là et que Jean-Marie Le Pen a pu faire campagne relativement tranquillement, du moins au premier tour…

 

En dépit d’un déchaînement totalement hystérique de tout le système (1) durant les quinze jours de l’entre-deux tours, le candidat du FN obtiendra 17,79% et 5 525 032 suffrages.

 

Les élections législatives qui suivront seront décevantes pour le parti de Jean-Marie Le Pen. Les dirigeants du mouvement tablaient, au vu des résultats de la présidentielle, sur 237 duels ou triangulaires, Jean-Marie Le Pen ayant même avancé le chiffre de 300 candidats au second tour. En fait avec ses 11,3% (2), le FN ne pourra se maintenir que dans 37 circonscriptions pour au final n’avoir aucun élu.

 

2007 : une erreur de casting !

 

L’élection présidentielle de 2007 est avant tout une erreur de casting et de scénario. Avec le départ de Jacques Chirac, une page se tourne. L’UMP et le PS investissent deux "jeunots" le sautillant Sarkozy et la rigide Ségolène Royal, à près de 80 ans, Le Pen pense pouvoir incarner "le sage", "le patriarche", "la force tranquille" face à la jeunesse et l"’inexpérience" de ses deux principaux adversaires. L’image d’un Le Pen "apaisé" est confiée à sa fille Marine qui devient sa directrice de campagne. Si Sarkozy a fait de la rupture son slogan de campagne, Marine Le Pen la met en œuvre. Les Le Pen abandonnent les thèmes traditionnels du FN au profit d’un discours jugé plus "fédérateur", plus "républicain" mais à "contre flots" de son électorat. Résultat : Le Pen arrive en quatrième position derrière François Bayrou avec 10,44%. Un mois plus tard aux législatives, le Front national enregistre ses plus mauvais résultats depuis les législatives de 1981 (3).

 

C’est pas Le Pen qui grimpe, c’est Sarkozy qui baisse…

 

L’édition 2012 des élections présidentielles est un mixte de celles de 2002 et 2007. Cette fois-ci, le casting est le bon et si Marine Le Pen, ne parvient pas à rééditer l’exploit de son père en se qualifiant pour le second tour, elle retrouve (17,90%) et dépasse même en voix le score de 2002. En revanche le scénario proposé par la candidate frontiste est lui toujours plus ou moins bancal. Les tueries de Toulouse et Montauban lui permettront de sortir sans en avoir l’air du discours sur l’abandon de l’Euro pour renouer avec les thèmes du FN sur l’immigration et la sécurité laissés jusque là sur la touche, mais toujours aussi porteurs auprès d’une large partie de son électorat.

 

Au final s’il n’y a pas eu de déferlante "bleu marine", sa troisième place et ses 6 421 426 électeurs lui permettent de jouer les prolongations et de faire entendre sa petite musique durant l’entre-deux tours. Comme en 2002, les "stratèges" du FN ont déjà fait des projections sur le nombre de circonscriptions (357) où un candidat FN serait en mesure de se maintenir au second tour, histoire sans doute de faire monter la pression du côté des députés UMP.

 

La stratégie du pire

 

La défaite annoncée de Nicolas Sarkozy, suscite bien des espoirs dans le camp de Marine Le Pen qui espère pouvoir profiter d’une hypothétique implosion de l’UMP dans la foulée des législatives pour se proposer comme la principale force de recomposition de la droite. Sur le papier, c’est peut-être possible, même si on voit mal le patron de l’UMP, Jean-François Copé, laisser filer son rêve de 2017 pour se ranger sous la bannière de l’" Alliance pour un rassemblement national". Aujourd’hui la "stratégie du pire" (4) fait le lit du socialiste François Hollande. En 1981, Jacques Chirac avait fait le choix de faire battre Giscard d’Estaing, pensant récupérer la mise en 1988… On sait ce qu’il en est, la parenthèse durera 14 ans…

 

Notes

 

(1)   (1) Seul le MNR de Bruno Mégret appellera à voter Le Pen pour le second tour. Arlette Laguiller et Lutte ouvrière appelant ses électeurs à ne pas choisir entre Chirac et Le Pen.

(2)   (2) Le FN participera à neuf triangulaires sur dix (contre 76 en 1997), à dix-neuf duels FN-droite et à huit duels gauche-FN.

(3)   (3) En 1981, Jean-Marie Le Pen n’avait pas pu se présenter à la présidentielle et aux législatives, le Front national avait réalisé les plus mauvais résultats de son histoire 0,18%. En 2007, sur la lancée de la présidentielle, le FN s’effondre à 4,3 % (moins 7 points par rapport au scrutin précédent).

(4)   (4) Au programme de François Hollande, le droit de vote des étrangers aux élections locales, la régularisation des clandestins, etc…

09:46 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 29 avril 2012

Barrons la route à la Gauche socialo-communiste : Non à Hollande !

imagesCAHSFSK6.jpgUn communiqué de Carl Lang, Président du Parti de la France :

 

Nous savons que notre projet de redressement national n’est porté par aucun des deux candidats présents au deuxième tour de cette élection présidentielle. Mais, quelque soient les intérêts tactiques des partis politiques et les plans de carrière ou les intérêts personnels de leurs dirigeants, le choix des électeurs de la famille nationale doit se déterminer en fonction de l’intérêt national. Il nous faut répondre à une seule question: que faire afin d’éviter le pire pour la France et le peuple français ?

 

Si le premier tour d’une élection permet, en général, de choisir son candidat, le second tour nous offre le droit d’éliminer le plus nuisible à la cause nationale et le plus hostile à nos idées. Il est parfaitement clair pour les patriotes que nous sommes que le pire serait le triomphe de la Gauche rose-verte-rouge et que le plus dommageable pour la France française serait la victoire de son candidat François Hollande.

 

Carl Lang et Le Parti de la France ne se lavent pas les mains de l’avenir des Français et ne seront pas complices de la victoire de la Gauche socialo-communiste qui annonce le droit de vote des étrangers aux élections municipales, la légalisation du mariage homosexuel et l’adoption d’enfants par les couples homosexuels, qui prépare une politique d’agression de l’école libre et de destruction aggravée du respect de la vie humaine, qui annonce un projet irresponsable et démagogique de gaspillages publics et se prépare à imposer un programme de répression fiscale et de matraquage financier des Français.

 

Carl Lang et Le Parti de la France ne seront pas complices du défilé de la victoire des drapeaux rouges et des poings levés.

 

Avec ces gens-là, demain sera encore pire qu’aujourd’hui.

 

Le 6 Mai, barrons leur la route !

12:59 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 28 avril 2012

Du « moindre mal, au « moins pire », en passant par le « pareil au même »…

ftyyy.jpgPar Jean-Claude Rolinat

Le peuple a parlé si tant est que le suffrage universel, le fameux « one man, one vote », soit l’horizon indépassable de la démocratie. Tout d’abord un mot sur les instituts de sondages et leurs résultats. Ils se sont magistralement plantés sur le nombre des abstentionnistes. Quant aux estimations de sorties d’urnes, elles ont été pour le moins fantaisistes, - sauf pour les tendances lourdes -, jusqu’à ce que les chiffres officiels figent  les scores des uns et des autres.

 

La presse dans son ensemble, use et abuse toujours de loupes grossissantes ou d’optiques déformantes. C’est ainsi que   si le vote « droite nationale » est en hausse par rapport à 2007 où Jean-Marie Le Pen avait fait une contre-performance, il est en baisse par rapport à 2002 où deux candidats qualifiés « d’extrême droite », Le Pen et Mégret, s’affrontaient tout en additionnant leurs suffrages : 16,86 % plus 2,34 %, soit  19,20 %, score supérieur aux 17,90  % recueillis par l’héritière de Saint-Cloud. (Même si le nombre des voix a augmenté, effet mécanique d’un plus grand nombre d’inscrits et donc de votants). Ensuite, le total des suffrages de droite au sens large du terme, -Sarkozy, Le Pen, Dupont-Aignan -, est supérieur à celui de toutes les gauches réunies,  les électeurs de Bayrou étant à retrancher des deux « camps ». Quant à l’étrange Cheminade, ses 89 572 voix iront sans doute vers la planète Mars…

 

Ceci étant dit, et ce n’est pas le moindre des paradoxes, Hollande est donné gagnant pour l’instant au deuxième tour. C’est sans doute l’un des objectifs de la Présidente du Front National qui croit naïvement  qu’avec sa politique de dédiabolisation, une UMP éclatée tomberait dans son escarcelle. Mais  pour réaliser ce scénario, il nous faudrait de ce côté-ci des Alpes, un Berlusconi, quoique l’on puisse penser du personnage, qui n’hésita pas, lui, à faire l’union des droites   italiennes avec la Ligue du Nord, Forza Italia et un ersatz de MSI sous la conduite d’un Gianfranco Fini « repenti ». (Mais, hélas, pour quels résultats ?) En France, je ne vois pas un Copé dont les dents râpent le parquet ni un Fillon au look de croque-mort, se lancer dans une telle démarche. Une fois que l’on a dit cela, reste l’attitude à avoir le 6 mai prochain. Comme dimanche dernier, les nationalistes, nationaux et autres identitaires se disperseront : les uns choisissant d’aller à la pêche, les autres glissant un bulletin blanc ou nul ou encore votant pour l’un des deux candidats restés en piste.

 

Pour moi, l’idée que le prétendant socialiste, terne comme un employé de banque proche de la retraite,  puisse accéder à l’Elysée, m’est totalement insupportable. Etre obligé d’accrocher son portrait dans ma mairie et de siéger au conseil municipal sous son regard  de taupe me donneraient, déjà des boutons (forcément roses…) ! Et s’il n’y avait que lui, mais il faudra supporter le retour des Guigou, Lang, Moscovici, Fabius et autres éléphants échappés de la ménagerie PS ! Imaginez une Effa Choly ministre de la justice ou Cécile Duflot secrétaire d’état à l’environnement : au secours ! Un Président de Conseil général qui a mis son département en faillite en dilapidant, par exemple, en gadgets pour collégiens l’argent public, est-il qualifié pour serrer les boulons de la Maison France ?

 

Je sais, je sais, j’entends les murmures désapprobateurs qui montent de nos rangs rien qu’à l’idée qu’il faille reconduire  l’ancien maire de Neuilly à la tête de l’Etat, un baratineur de foire qui  vendrait un réfrigérateur  à un esquimau. Mais comme l’écrit justement Bernard Antony de l’Institut du Pays Libre, il y a  « le moindre pire » que je qualifierai de « moindre mal ».  Si Hollande était élu, ce qu’à Dieu ne plaise, il y a gros à parier que le temps des persécutions, inéluctablement, sous la pression de ses alliés, reviendrait pour notre camp. C’est une grave illusion que de croire que la crise ou l’effondrement du système nous profiteraient. Convaincu, par mille « détails » comme dirait l’autre, que Hollande ou Sarkozy ce n’est pas du « pareil au même », que la « politique du pire est la pire  des politiques », c’est en me bouchant les narines et en fermant les yeux, que je glisserai dans l’urne de mon bureau de vote un bulletin au nom du sortant. Il y a péril dans la demeure. Avec Hollande c’est garanti, l’immigration et ses collabos feront la loi et nous n’aurons que trois alternatives : raser les  murs, entrer en résistance ou nous exiler ! Avec Sarkozy le doute est encore permis.

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Sortie du nouveau livre de Patrick Gofman, sans doute fin connaisseur en la matière : Dictionnaire des Emmerdeuses...

9782733912010.gifPatrick Gofman publie son Dictionnaire des Emmerdeuses (Grancher éd., avril 2012). Cela mériterait un an de prison et 45 000 € d’amende…

Après vos livres “Bats ta femme”, et autres “Vengeances de femmes”, n’était-il pas temps de vous calmer un peu ?
Certes ! J’avais bien l’intention de changer de sujet… D’ailleurs il me reste sur les bras d’excellents romans noirs, inédits, “Dernier amour” ou “Une poupée gonflée”. Mais M. Grancher, prestigieux éditeur de Marine, a des arguments irrésistibles.

Je vois… Mais la loi antisexiste a ses arguments aussi ?
Rassurez-vous : le “Dictionnaire des Emmerdeuses” ne discrimine nullement les femmes, ces anges de bonté, mais chahute doucement quelques exceptions d’entre elles, un peu moins vivables et sympathiques.

Mais enfin, pour quoi faire ?
Pour se marrer, en hâte, avant d’être obligé de pleurer.

On se demande si vous n’êtes pas un peu snob, à prendre systématiquement le contre-pied des magnifiques avancées du droit des femmes, promu par tous les médias et toutes les autorités du monde industrialisé…
En ce cas, je suis en bonne compagnie. Celle d’Eric Zemmour, mais aussi d’Elisabeth Badinter ou encore d’Evelyne Sullerot, féministe repentie devenue marraine de SOS Papa. Sous couleur de droit des femmes, le Système s’attache à humilier les hommes, pour mieux les dominer, les exploiter. Je ne l’accepte pas.

Macho ?
Mais oui. Pourquoi pas ? Fierté, dignité, protection des femmes et des enfants. Le programme machiste est inégalable. La vaste majorité des femmes le pense comme moi.

“Dictionnaire des Emmerdeuses”, 320 pages, 16 €. ISBN : 978-2-7339-1201-0. Distribution : Hachette.

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vendredi, 27 avril 2012

Oser Sarkozy ou Hollande...

Randa 2011.jpgLa chronique

de Philippe Randa

 

L’entre-deux tours de l’élection présidentielle française de 2012 a au moins un point commun avec le premier : aucun sujet d’importance n’est évoqué, seulement celui dont tout un chacun mesurera la pertinence, à savoir conclure ou non pour l’UMP à l’avenir des alliances avec le Front national… Toute la gauche se mobilise comme à l’accoutumé pour hisser haut le vieil épouvantail du fascisme à combattre dont elle s’auto-persuade du retour depuis un demi-siècle… et les ténors de la droite parlementaire, unanime à rejeter la moindre entente avec les dirigeants frontistes, de confirmer, un peu façon méthode Coué, qu’ils ne feront jamais (ô grand jamais !) d’alliance avec ce parti tant honni de la bien-pensance citoyenne… tout en se demandant bien comment récupérer à leur avantage les électeurs de celui-ci, toujours aussi nombreux… Comme disait Jean Cocteau : « Le tact dans l’audace, c’est de savoir jusqu’où aller trop loin. »

 

Le plus hilarant, parce qu’il faut bien rire de tout et puisque c’est le propre de l’homme, est d’entendre les uns comme les autres se retrancher derrière leur haute conception de la « moralité » pour refuser toute légitimité républicaine à Marine Le Pen tout autant qu’aux autres dirigeants de son mouvement…

 

Une conception tout de même bien particulière pour une classe politique qui, pour une partie d’entre elle, s’apprêtait voilà un an à présenter sans la moindre vergogne Dominique Strauss-Kahn à la Fonction Suprême, ce qui aurait, on le sait maintenant, transformé le Palais de l’Élysée en Palais des mille et une nuits très chaudes… et pour l’autre partie d’entre elle, de compter parmi ses dirigeants et notamment le prétendant à sa propre succession présidentielle, des gens compromis dans des scandales financiers à répétition, pour les uns celui de la fortune Bettencourt, pour d’autres l’argent sale des ventes d’armes et son aboutissement sanglant dans l’attentat de Karachi qui coûta la vie à onze de nos compatriotes, le 8 mai 2002… On en passe pour les uns comme pour les autres sur tant et tant d’autres compromissions, prévarications, mensonges, captations, abus de biens publics et autres crapuleries qui éclaboussent toute la classe politique française aux Affaires depuis plus de quarante ans…

 

Que cette classe politique-là se targue d’être le parangon de la légitimité républicaine, de l’honnêteté citoyenne et la défenderesse de nos si chères libertés – si chères, d’ailleurs, qu’elles en deviennent de plus en plus hors de prix ! – est décidément cocasse.

 

Toutefois, et contrairement aux pronostics des instituts de sondage, les Français se sont assez massivement déplacés pour aller voter… et pour qualifier justement les deux prétendants de cette classe politique. Une fois de plus ! Alors, pourquoi attendre que tout change pour que rien ne change ?

 

Les supporters de messieurs Hollande ou Sarkozy qui, sincèrement, s’enthousiasment ou se désespérent à l’idée que l’un ou l’autre l’emporte dans une dizaine de jours, sont touchants. Oui, réellement ! Leurs certitudes les portent avec une telle audace que c’est à elle, paraît-il, qu’on ne manque jamais de les reconnaître…

10:38 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 26 avril 2012

Jean-Claude Rolinat était hier soir sur Radio Courtoisie pour parler de son dernier livre : SALAZAR LE REGRETTE...

Salazar flyer.jpg

A propos de ce livre, voici ce qu'en dit Le Journal du Chaos, la remarquable revue de presse hebdomadaire de Patrick Parment : cliquez ici

La littérature sur Antonio de Oliveira Salazar n’est pas abondante. Et le politiquement correct qui sert de baromètre à notre amnésique époque le classe dans la catégorie des dictateurs fascisants. Le grand mérite de Jean-Claude Rolinat est de nous démontrer le contraire dans cet ouvrage qui inaugure les éditions de la revue Synthèse nationale. Figure singulière dans le paysage européen de l’entre deux guerres puis de l’après guerre, puisqu’il gouverna le Portugal de 1933 à 1968, Salazar fit entrer son pays dans la modernité en plaçant l’homme au centre de ses préoccupations selon un modèle que nous pourrions définir comme une économie organique dont le corporatisme est la pierre angulaire. Jean-Claude Rolinat explore ainsi tous les aspects du « salazarisme » et nous rappelle qu’aujourd’hui encore il demeure une icône forte de l’inconscient collectif portugais.

Nous vous rappelons que si vous souhaitez recevoir Le Journal du Chaos (gratuitement), il vous suffit d'en faire la demande à : lesanars@orange.fr

Salazar le regretté... Editions Les Bouquins de Synthèse nationale, 164 pages, 18,00 € + 3,00 € de port.Chèque à l'ordre de Synthèse nationale, à retourner à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris.

Pour commander ce livre : cliquez ici

ou à la Librairie française cliquez là 

ou chez Francephi cliquez là

Et aussi dans les bonnes librairies...

12:32 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 13 mai, quel que soit le résultat de la Présidentielle, les forces nationalistes seront dans les rues de Paris :

Les rassemblements dans l'ordre :

A 9 h 00, rue Royale, rendez-vous des monarchistes d'Action française.

Le matin, les forces nationalistes

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L'après-midi, les forces nationales et catholiques :

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Participez en nombre à ces manifestations ! 

11:06 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nancy, mardi dernier : belle réussite de la conférence du Général Lajos Marton organisée par Synthèse nationale...

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La Lorraine recevait, à l’initiative de notre ami François Ferrier et dans le cadre des conférences de la revue Synthèse nationale, le Général Lajos Marton de la Garde Nationale Hongroise. C’est à Nancy qu’il avait donné rendez-vous, en ce mardi 24 avril 2012, aux jeunes étudiants des facultés ainsi qu’à tous ceux qui souhaitaient connaître l’élan patriotique qui renaît en Hongrie.

 

Une Nation libérée du communisme qui ne souhaite pas subir les dictats de Bruxelles ou siège un parlement prétendant faire disparaître l’identité et les spécificités de notre Europe millénaire.

 

Alors que la France est asservie de toutes parts, Lajos Marton, homme d’actions et de convictions (il fut non seulement un héros de l’insurrection de Budapest en 1956, mais aussi l’un des conjurés, au nom de la défense de l’Algérie française, de l’attentat du Petit Clamart en 1962 visant le Général De Gaulle), a montré aux Lorrains que la volonté d’un peuple à prendre son destin en mains l’emporte face à toutes les tyrannies.

 

Les forces patriotiques hongroises, à l’initiative des gouvernants qu’elles se sont choisies librement, prennent un nouveau départ. Histoire, Famille, Patrie, redonnent aux femmes et aux hommes de Hongrie la volonté irrésistible d’offrir à leurs enfants les chemins de l’honneur et de la fidélité tracée par leurs aïeux.

 

Face à la grisaille européiste et mondialiste, l’exemple hongrois montre combien il est possible de retrouver un nouveau destin national. Et cela sous la protection de Saint-Etienne patron des Hongrois.

 

A l’issue de cette superbe conférence, à laquelle assista un public nombreux et attentif,  le Général Lajos Marton dédicaça son dernier livre Ma vie pour la patrie (1). Un document référence pour le peuple de France qui va devoir décider de son avenir tout autant chargé d’histoire que nos amis hongrois.

 

Un grand Merci à Lajos, les Lorrains reconnaissants.

 

 

      (1) Ma vie pour la patrie, Edition Les amis du livre européen, 376 pages, 23 €. cliquez ici

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Présidentielle : panorama sur quelques perdants !

Par Yves Darchicourt

 

Qu'on le veuille ou non, l'Héritière a perdu et abandonne la scène à l'UMPS ! Dans une élection présidentielle il n'y a qu'un gagnant, tous les autres candidats sont des perdants; Marine Le Pen a loupé sont élection de 32,11 points et sa qualification au 2e tour de 9,29 points. Elle a fait mieux que son papa lors de l'élection de référence (2002) mais globalement moins bien que le total alors des scrores de la droite nationale (Le Pen + Mégret) ; en 10 ans, le FN a donc stagné et comme le faisait dire Jacques Brel à monsieur Dupneu le chef du contentieux, "qui n'avance pas recule". Ses courtisans peuvent encenser le score de leur idole, ce ne sont que fanfaronades, un peu à l'image de cet écuyer qui se félicitait d'avoir rompu trois lances au tournoi et à qui un vieux chevalier faisait remarquer qu'il aurait mieux valu qu'il mette à terre trois adversaires avec une seule lance.

 

A quoi vont servir ses résultats ? Sarközy va flatter les électeurs du Front Marinien dans le sens du poil en sachant fort bien que les promesses n'engagent que ceux à qui elles sont faites. On sait d'ores et déjà qu'il ne fera aucun accord pour les législatives, englué qu'il est dans les lobbies qui vont hurler au "front républicain" et reste à savoir si les votants Le Pen bis vont soutenir ses représentants locaux. Marine Le Pen ne garde que l'assurance d'engranger les subventions attachées au score global des législatives: ce qui n'est pas si mal, surtout pour pour ses permanents mais cela ne changera rien au devenir de notre pays.

 

Mélenchon avait la face encore moins avenante que d'habitude à l'annonce des résultats en plouf retentissant par rapport aux sondages qui portaient l'agité en 3e voire même parfois 2e position ! Il paraît qu'il va soutenir Hollande sans rien demander en échange...disons qu'il pensait si fort à quelques strapontins ministériels et à des circonscriptions gagnées d'avance que c'était un peu comme s'il avait exprimé son chantage à haute voix. Hollande devra évidemment composer avec l'énergumène qui a réussi le tour de force de sortir le moribond PC"F" des limbes où il croupissait en l'attente du Jugement Dernier pour les soutiens de l'idéologie la plus criminelle de l'Histoire de l'humanité.

 

Quant à la pauvre Eva Joly, elle est pratiquement KO debout. La représentante des écolos version bobo a amusé la galerie tout au long de la campagne mais au final s'est pris une raclée style Azincourt ou juin 40; la pauvrette n'a pas grand'chose à vendre et va probablement disparaître de la vie publique même si ses 2,50% sont toujours bons à prendre pour Flamby qui va revêtir l'armure du preux combattant de ce réchauffement climatique dont nous subissons les effets en ce mois d'avril glacial.

 

Il nous reste une dizaine de jours pour départager les deux représentants de l'UMPS : il y en a forcément un qui est pire que l'autre. Si l'on vote, ce sera forcément avec la fameuse pince à linge sur le nez ! En attendant, préparons nous aux combats futurs loin des compromis et du politiquement correct, aux antipodes de l'UMPS et de ses laquais, avec la droite nationale, radicale et identitaire.

10:28 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 24 avril 2012

Réédition des Cahiers d'histoire du fascisme de François Duprat : UN ENTRETIEN AVEC ALAIN RENAULT...

Histoire-Fascismes-e.jpgBeaucoup d’études ont été publiées sur le Fascisme, quel est l’intérêt de celles de François Duprat ?

 

Le terme de « fascisme » recouvre des réalités différentes. Duprat étudie des « fascismes » méconnus dans la perspective des combats d’aujourd’hui car il considère que « des leçons bien précises peuvent être tirés de l’histoire du mouvement nationaliste-révolutionnaire dans le monde ». Ses monographies portent donc moins sur l’idéologie, marquée par le temps et l’espace, de ces différentes formations que sur leur action, leurs rapports face à la « droite » et la « gauche », leur capacité à recruter et à mobiliser, les raisons de leurs échecs ou de leurs succès.

 

Mais le Fascisme ne se confond pas avec le nationalisme-révolutionnaire, étiquette revendiquée par Duprat ?

 

Non, et d’ailleurs seul un imbécile n’ayant d’ailleurs rien compris à l’essence du Fascisme, mènerait aujourd’hui et en France une action politique en s’en réclamant… Comme l’a écrit Duprat « le nationalisme doit être considéré aujourd’hui puisque nous sommes des relativistes et que nous croyons à l’obligation pour les formulations idéologiques de s’adapter aux situations changeantes ». Mais, quelle que soit l’étiquette retenue, il n’en demeure pas moins que certains principes perdurent même si certains font du « fascisme » sans le savoir, voire en s’en défendant.

 

Les analyses de Duprat restent-elles actuelles, 34 ans après sa mort ?

 

En tous cas, sa méthode, son logiciel de pensée, sont d’une actualité permanente. J’ai d’ailleurs sélectionné ces monographies, et les enseignements pratiques que l’on peut en tirer, pour l’action de notre temps. Ma préface les inscrit dans le combat actuel et dans l’analyse politique plus générale de Duprat. Celui-ci semble avoir été très en avance dans sa prédiction des crises économique et identitaire qui commence seulement à apparaître.

Quelles leçons générales à tirer de l’ouvrage ?

 

Chacun peut en tirer des leçons individuelles par ses propres réflexions sachant que « la réflexion est ACTION si elle sait déboucher sur l’amélioration qualitative de l’action pure » en étudiant les erreurs qui mènent à l’échec et, plus positivement, les méthodes qui peuvent mener aux succès sachant que les conditions de ceux-ci ne les garantissent aucunement. « Si nous ne savons profiter des événements historiques en cours ce sera la preuve non pas que l’Histoire ne devait pas aller dans notre sens, mais que nous avons été, au moment voulu, incapables de profiter de notre chance. »

 

Histoire des Fascismes, de François Duprat, Préface, sélection, présentation et annexes par Alain Renault, éditions Déterna, Collection « Documents pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 310 pages, 29 euros.

 

Des mêmes auteurs, chez le même éditeur :

 

Les Fascismes américains – 1920-1944, de François Duprat et Alain Renault (328 pages, 31 euros) : Cette étude porte sur l’action de ces mouvements entre le début du XXe siècle et l’entrée des États-Unis dans la Deuxième Guerre mondiale : les précurseurs, la campagne antisémite de Ford, les « démagogues », produits de la crise de 1929, les mouvements purement fascistes de Shirts, le « Bund Germano-américain » et diverses organisations du même type, la lutte contre la guerre et la répression des « menées fascistes ».

 

Ordre Nouveau, préface d’Alain Renault (465 pages, 35 euros) : Son histoire, ses idées, son programme ont fait l’objet des deux ouvrages publiés successivement par le Mouvement, en juin 1972 et en juin 1973 dont l’intérêt suscite cette réédition.

 

Pour commander ces ouvrages cliquez ici

19:33 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 23 avril 2012

Revue de presse : les résultats du FN relativisés...

Le Nouvel Observateur cliquez ici

Le score obtenu par Marine Le Pen (17,9%) a sans doute été la surprise de ce premier tour. Elle est en effet 4 points plus haut que la moyenne des sondages du 20 avril. Preuve qu’il y avait bien un vote lepéniste masqué (peut-être planqué chez Mélenchon ?), que les redressements n’ont pas permis de dévoiler. Mais deux remarques s’imposent, qui nuancent fortement le constat. D’abord, à 18%, elle retrouve très exactement le niveau dont les enquêtes la créditaient jusqu’à la mi-février. Preuve que ce score n’était pas si imprévisible. Ensuite, si elle fait 7,5 points de plus que son père en 2007, elle ne fait qu’1 point de plus que lui en 2002, et même moins que le total Le Pen + Mégret cette année-là (19,2).

"Dédiabolisation" ou pas, la "vague Marine" est donc à relativiser : son score s’inscrit logiquement dans la tendance observée depuis la fin des années 80 : la montée lente et constante d’un néo-populisme xénophobe et anti-européen (phénomène qui s’observe d’ailleurs dans plusieurs pays voisins). 1988 : 14,38%. 1995 : 15%. 2002 : 16,86% (sans Mégret). 2012 : 17,9%. Si l’on met les choses en perspective, ce n’est pas le score de Marine ce dimanche qui constitue un accident, une anomalie. C’est celui de son père en 2007. Une anomalie dont les causes sont bien connues : cette année-là, un tiers des électeurs frontistes ont décidé d’"essayer" Sarkozy, l’homme de "l’identité nationale" et du "travailler plus pour gagner plus". Essai non concluant : une fois élu, le président les a reperdus aussi vite. Les enquêtes d’opinion ont montré que cet électorat, essentiellement populaire, avait lâché Sarkozy dès l’hiver 2007-2008. Et tous ses efforts pour le reconquérir – du discours de Grenoble à la polémique sur le halal, en passant par le débat sur l’identité nationale et la loi sur la burqa – ont été vains. Ces électeurs se sont sentis floués. Ils se sont vengés le 22 avril (et auparavant, rappelons-le, à toutes les élections intermédiaires). Sarkozy pourra-t-il les récupérer le 6 mai ? C’est son pari. Sa seule chance. Sinon il sera étrillé. Et son conseiller Patrick Buisson, inspirateur de la ligne droitière, finira dans les plumes et le goudron.

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Présidentielle : 21 avril 2002- 22 avril 2012 : La grande revanche du Parti Socialiste et la victoire de la bipolarisation Gauche-Droite...

h-20-1375110-1231154722.jpgUn communiqué de Carl lang,

Président du Parti de la France :

 

Les annonces et les attentes du grand bouleversement du système politique français à l’occasion de cette élection présidentielle ont fait long feu. Nous assistons à la qualification plus que facile des deux candidats des habituels partis de gouvernement. Avec 28,63% pour François Hollande et 27,07% pour Nicolas Sarkozy, ils n’ont été menacés par personne au premier tour et sont les seuls à passer la barre des 20%.

 

Pour les autres candidats, dix ans après 2002, nous constatons un quasi statu quo électoral.

 

En 2002, le parti communiste et l’extrême gauche recueillaient ; 3,37% pour Robert Hue, 5,72% pour Laguiller, 4,25% pour Besancenot, 0,47% pour Gluckstein , soit un total de 13,81% des voix. Aujourd’hui, Mélenchon (11,13%), Poutou (1,1%) et Arthaud(0,57%) obtiennent ensemble 12,80% des suffrages. Rien de nouveau sous le soleil malgré les démonstrations de force du front de gauche.

 

En 2002, Jean-Marie Le Pen (16,86%) et Bruno Mégret (2,34%) totalisaient au premier tour 19,2% des voix pour la vraie droite nationale. Aujourd’hui, Marine Le Pen, en situation de monopole recueille 18,01% des suffrages. Rien de nouveau sous le soleil malgré une exposition médiatique que n’avait jamais connue son père. Son ralliement au discours économique de gauche ne fera finalement que le jeu du parti socialiste au deuxième tour. Enfin, à 9 points derrière le candidat UMP et 10 points derrière le socialiste le mythe de l’accès garanti au deuxième tour par la baguette magique de la « dédiabolisation » s’est effondré.

 

Alors que la France et le monde traversent la plus grande crise financière et économique depuis 1929, les forces soi-disant alternatives aux partis dominants disposaient des conditions historiques pour réaliser le grand changement. Il ne s’est rien passé de nouveau ; Malgré un bon résultat électoral, l’échec politique est patent. La qualification de Sarkozy et de Hollande au deuxième tour n’a finalement été qu’une formalité.

 

Jacques Chirac président sortant en 2002 obtenait 19,88% au soir du premier tour ; Nicolas Sarkozy, président sortant d’un quinquennat de crise mondiale obtient 27,08%. Lionel Jospin, le candidat PS de 2002 obtenait 16,28% et était éliminé ; François Hollande recueille 28,63% des suffrages et arrive en tête.

 

Le succès de premier tour des deux partis dominants du système est donc total. C’est la revanche, 10 ans après, du parti socialiste et la victoire de la bipolarisation gauche-droite de la vie politique française.

 

Nous sommes donc à des années lumières du grand choc de 2002 qui, par la qualification au deuxième de Jean-Marie Le Pen avait ébranlé le régime de cohabitation.

 

Le Parti de la France fera part de sa position (cliquez ici) politique pour le deuxième tour dans les jours prochains, et, puisque tout reste à faire, se prépare activement au rendez-vous des élections législatives de juin.

15:56 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Présidentielle : première analyse...

images.jpgPar Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

membre du Bureau national de la

Nouvelle Droite Populaire

 

Les résultats de la présidentielle sont tombés.

 

François Hollande plastronne, comme prévu, en tête de cortège.

 

Nicolas Sarkozy, dont la campagne a essentiellement consisté à vouloir chasser plusieurs lièvres à la fois (l’un sur sa droite et l’autre au centre),  ne réussit pas à être en première position au premier tour mais n’est pas pour autant dans une situation désespérée.

 

Marine Le Pen, propulsée par un soutien médiatique sans précédent, augmente de près d’un point et demi le score de référence obtenu par son père en 2002 (il n’y a pas de quoi sauter au plafond…), sans réussir toutefois, et  loin s’en faut, à se qualifier pour le second tour comme elle le prétendait ardemment depuis le début de sa campagne. Il faut souligner que celle-ci, dans un premier temps axée sur une hypothétique dédiabolisation, piétinait dangereusement et que seul son retour sur les fondamentaux de la Droite nationale opéré subitement au cours des trois dernières semaines, comme ce fut d’ailleurs déjà le cas lors des régionales de 2010, lui a donné un nouvel élan lui permettant de faire son score.  

 

Quant au fanfaron Mélenchon, il ne fait guère plus que la somme du PC et des gauchistes lors des précédentes présidentielles, ce qui n’est pas pour nous déplaire. Une fois de plus la presse, avide de sensations fortes, s’est emballée sur un leurre qui  n’en valait pas la peine.

 

Par charité, nous ne nous étendrons pas sur la débâcle du centriste béarnais. Elle confirme simplement qu’il n’y a vraiment aucune place pour ce centre mou qu’il entendait incarner dans le paysage politique qui se dessine.

 

Le second tour est une toute autre affaire. D’un côté nous avons une gauche dogmatique, pétrie de certitudes socialistes à la sauce marxiste, qui se rassemble derrière son candidat et qui,  très vite, imposera le droit de vote aux immigrés comme elle le préconise dans son programme ultra démagogique. Imaginez ce que sera la France avec à sa tête une bouillie de François Hollande, de Martine Aubry, d’Eva Joly et de Mélenchon… Et de l’autre côté un Nicolas Sarkozy qui, en 2002, avait promis monts et merveilles à son électorat de droite et qui, une fois élu, s’empressa de faire une politique d’ouverture à gauche. Souvenez-vous, il nous promettait le Karcher pour remettre de l'ordre dans les banlieues, et, finalement, il donna des ministères aux représentants auto-proclamés de celles-ci, style Fadela Amara… On trompe jamais deux fois les mêmes, Sarkozy le sait bien, et pourtant, il sait aussi  qu’il ne trouvera, une fois de plus, son éventuel salut que sur sa droite. Il va donc falloir qu’il fasse des concessions...

 

Et la Droite nationale, nationaliste et identitaire (PdF, NDP, MNR) rassemblée au sein de l’UDN, quel est son avenir dans cette nouvelle configuration ?

 

Plus que jamais, et quel que soit le résultat définitif de la présidentielle, nous devons être présents pour affirmer haut et fort la nécessité de se battre sur les thèmes fondamentaux du mouvement nationaliste, à savoir une lutte sans défaillance contre le mondialisme et une défense intransigeante de notre identité française et européenne face à la déferlante migratoire venue d’ailleurs et l’islamisation sournoise de l’Europe qui en découle. L’Union de la Droite Nationale (UDN) sera donc présente aux élections législatives de juin prochain afin d’amplifier le mouvement de redressement national qui se dessine. Pour éviter les dérives néfastes qui gangrènent notre famille politique, pour lutter contre l’islamisation, le mondialisme et pour rendre la France aux Français, une seule solution : le vote en faveur des candidats de l’Union de la Droite Nationale.  

13:43 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 13 mai, à 10 h 00, Place de la Madeleine : MANIFESTATION NATIONALISTE UNITAIRE CONTRE LE MONDIALISME !

FLYER-3.jpg

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samedi, 21 avril 2012

Présidentielle : et pan dans les urnes !

437895657.pngPar Yves Darchicourt

La distinction spécifique du politique, à laquelle peuvent se ramener les actes et les mobiles politiques, c'est la discrimination de l'ami et de l'ennemi." Ainsi disait ce grand juriste et philisophe qu'était Carl Schmitt que nous suivrons ici en soutenant que le politique est bien le domaine où il convient d'identifier, de nommer et de combattre l'ennemi, sans concession aucune au pragmatisme, au ralliement conditionnel, au soutien du bout des lèvres, au "oui mais" ou au "non toutefois".

 

Or en France, pour les tenants de la droite nationale et identitaire, l'ennemi est le Système, la dyarchie UMPS, ses satellites et ses ralliés opportunistes tels que représentés par les dix candidats à l'élection présidentielle française et qu'il a autorisé à faire acte de candidature. Il est emblématique que Carl Lang, représentant l'Union de la Droite Nationale, ait été empêché d'être le seul candidat prônant une rupture totale et radicale avec ce Système.

 

Tous les candidats en lice sont peu ou prou alignés sur les "valeurs" de la République (ou de la Ripoublic), la laïcité militante, le "droit" à l'avortement, le "Pacs" ; tous sont soumis au lobby homosexuel, au lobby juif (qui pourtant n'existe pas) ou franc'mac ; ils s'entendent à sublimer la tolérance partout sauf dans les maisons éponymes, à ne pas considérer l'Islam comme un et indivisible et à soutenir qu'il est un Islam "modéré", "français", tout prêt à être digéré par une belle société ouverte; ils envisagent soit d'ouvrir encore plus les vannes de l'immigration -sans d'ailleurs dissocier l'immigration européenne de l'immigration allogène- soit de réguler "drastiquement" celle-ci alors que notre survie civilisationnelle exige non seulement l'arrêt total de l'immigration allogène mais aussi le départ massif, volontaire ou non, des colons de peuplement exotique qui croissent et embellissent sur notre sol.

 

En fin de compte, ces dix candidats nous offrent le choix entre la dissolution dans le métissage universel, laïc et obligatoire sous l'égide de la démocratie mondialiste made in USA cornaquée par l'oligarchie des fortunes anonymes et vagabondes ou la survie en tant que minorité raciale et culturelle dans un espace submergé par les barbaresques de l'Islam conquérant. Ce n'est que le choix du mode de disparition de nos identités régionales, nationale et européenne; ce n'est que le choix entre la lèpre ou le choléra, le billot ou la corde.

 

Nous refusons ici ce choix parce que nous avons choisi le combat non la servitude ou l'anéantissement et que de la Gauche extrème et verdâtre au Front Marinien en passant par le centre mou et l'UMPS, tous sont nos ennemis et qu'il n'en est pas un qui n'utiliserait pas contre nous ses médias, ses zassos, ses délateurs, sa police et ses juges. Le combat continuera demain quel que soit l'élyséen à venir qui n'aura pas été choisi par nous. N'allons pas danser au bal des cocus ! Abstention !

23:18 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

POURQUOI JE N'IRAI PAS VOTER !

images.jpgOpstaan (cliquez ici)

Les jeunes de la

Maison flamande (Lille)

 

Le choix de l'abstention lors de grands rendez-vous électoraux est souvent très mal compris, il est souvent suivi de critiques fortes et de reproches plus ou moins houleux. Pourtant, je vais vous expliquer ce choix que j'ai pris de manière bien réfléchie.

Je ne choisis pas cela par plaisir de rester confortablement chez soi devant la télévision, mais bien parce que je ne crois pas ou plus aux élections comme moyen de changer le monde qui m'entoure.

Je ne crois en aucune manière en ces candidats pourris, qui usent de tous stratagèmes pour ne vouloir être que "khalife à la place du khalife"et qu'ainsi dans leurs intérêts se perdent nos voix.

Je ne crois pas non plus en leurs programmes, véritables fourre-tout de promesses irréalisables qui ne peuvent guère aboutir en quelque chose de concret.

Je ne crois plus au pouvoir des gouvernements aux prises de marchés financiers et autres lobbys de tous genres, qui n'acceptent les résultats électoraux que lorsqu'ils conviennent à leurs intérêts.

Je ne crois pas au vote blanc, qui n'est guère pris en compte dans les résultats finaux, il a d'ailleurs trop peu de considération et d'importance par rapport au taux d'abstention, c'est d'ailleurs ce qui inquiète le plus tous ces candidats de pacotille.

Je crois surtout que si les élections avaient le moyen de changer quoi que ce soit, elles seraient interdites... Car, seule l'action aux dépens des élections est la seule solution pour lutter efficacement contre un système pourri.

Ainsi, je voudrais dire à tout cet électorat modèle qui méprise l'abstention de se regarder en face et de cesser de jouer aux hypocrites ! Ce n'est pas en attendant les périodes électorales, qu'il faut se bouger tel un troupeau de moutons guidé par le berger « Devoir du citoyen » pour exprimer votre mécontentement, camouflés derrière un isoloir en masquant votre désaccord dans une enveloppe qui s'en ira dans une urne comme tant d'autres, mais qui comme toutes les autres, elles n'auront aucune importance ! Il est ainsi facile d'exprimer sa révolte quand il ne s'agit pas de descendre dans la rue pour le faire ! Les morts de la lutte pour l'obtention du droit de vote doivent se retourner dans leurs tombes...

De cette façon, le système se nourrit des élections pour repousser toujours plus le moment où le peuple se révoltera.

Enfin, je tiens à préciser que cet article n'est pas un appel au vote abstentionniste, il est là pour expliquer un choix personnel qui est et qui restera assez incompris.

Sur ce, je vous laisse vous méditer sur cette citation :

"Gouverner n'a jamais été autre chose que repousser par mille subterfuges le moment où la foule vous pendra, et tout acte de gouvernement rien qu'une façon de ne pas perdre le contrôle de la population."
Comité invisible - L'insurrection qui vient.

15:33 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 20 avril 2012

UNE MAUVAISE HISTOIRE BELGE...

index.jpegLe bloc notes de

Jean-Claude Rolinat

On l’aura compris, Nicolas Sarkozy n’est pas ma tasse de thé, même si je considère que le « Hollandais », c’est Sarkozy en pire. Toutefois, une campagne électorale mérite une certaine équité  dans son traitement, surtout vue par l’étranger, fut-il proche. Etranger qui doit marquer d’une façon ostensible sa neutralité. Pour l’instant, la chancelière allemande, en dépit des sympathies qu’on lui prête pour le sortant français, s’est abstenue d’intervenir publiquement en faveur de son poulain. Tel n’est pas le cas du Premier  ministre belge,- si, si, ça existe encore ! -, qui a assisté au premier rang des spectateurs de marque au meeting lillois de soutien à François Hollande le mardi  17 avril.

Solidarité idéologique ? Certes, le belge est aussi socialiste que peut l’être « Flamby ». Mais, en tant que personnalité de premier rang d’un Etat voisin et ami, il s’immisce dans un débat électoral qui ne le concerne pas et viole délibérément la neutralité diplomatique qu’il devrait afficher en pareille circonstance. Bien sûr, Monsieur Elio di Rupo n’est pas un chef charismatique, il n’est pas une personnalité de premier plan en dépit de son look à la Buster Keaton affublé d’un inséparable nœud papillon qui le fait repérer entre mille spectateurs… S’est-il  posé la question ce chef de gouvernement dont l’administration ministérielle a été accouchée aux forceps, de savoir ce que peuvent penser des français de son  inacceptable présence à une réunion électorale dans leur pays pour soutenir l’un des candidats principaux dans la course présidentielle ?

Et si demain nous nous mettions en devoir d’intervenir dans les incessantes querelles linguistiques et communautaires qui rongent le Royaume d’outre Quiévrain, si, par exemple, nous prenions parti en faveur de la création d’une République flamande et du rattachement de la Wallonie à  la France, - ce qu’à Dieu ne plaise, car ce n’est qu’un repaire de socialistes ! -, en déclarant que Bruxelles, la pseudo capitale européenne n’est qu’un  nœud musulman et islamiste au cœur de notre vieux continent ?

Elio Di Rupo n’est qu’un… rigolo !

12:33 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RESTONS NATIONALISTES !

homepage_logo.jpgPar Jérôme Bourbon

Directeur de Rivarol

 

Les jeux semblent faits. Sauf énorme surprise François Hollande sera le prochain président de la République française de sorte que la gauche concentrera tous les pouvoirs, tant au niveau national que local : l’Elysée, Matignon, le Sénat, le Palais-Bourbon (après les législatives de juin), la plupart des régions, des départements et des grandes villes, sans même parler de sa domination quasiment absolue dans les media, le monde syndical, culturel et associatif. Alors que Nicolas Sarkozy semblait avoir comblé une partie de son retard sur son concurrent socialiste, voilà qu’il paraît dévisser dans les dernières enquêtes d’opinion, l’ex-concubin de Ségolène Royal arrivant devant le chef de l’Etat sortant, le plus souvent dès le premier tour (selon le dernier sondage CSA Hollande serait à 29 % et Sarkozy à 24 % !) et de plus en plus largement au second où le différentiel entre les deux hommes serait de 10 à 16 points, alors qu’il s’était réduit à 6 au cours de la campagne. Certes, il ne s’agit là que de sondages et l’opinion peut encore fluctuer d’ici dimanche (un quart des personnes interrogées précisent qu’elles peuvent encore changer d’avis) d’autant que nous ne savons pas quel sera le taux d’abstention qui pourrait être élevé (le précédent record date du 21 avril 2002 avec 28,4 %, ce qui avait permis l’accession de Jean-Marie Le Pen en finale de la présidentielle) compte tenu des vacances scolaires qui concernent les trois zones et du manque d’attrait des dix candidats en lice.

 

Néanmoins le président semble bel et bien pâtir du recentrage de sa campagne où, ces dernières semaines et contrairement à ce qu’il avait fait auparavant, il a davantage cherché à séduire l’électorat de François Bayrou (que le ministre des Affaires étrangères Alain Juppé a publiquement pressenti comme un possible Premier ministre d’un Sarkozy réélu) que celui tenté par la candidate du Front national. Plus personne ou presque dans la majorité ne semble croire encore aux chances de l’Elyséen de se succéder à lui-même. C’est si vrai que plusieurs ministres ayant appartenu à des gouvernements dits de droite ont déjà franchi le Rubicon. C’est le cas de l’écologiste Corinne Lévy-Lepage qui fut ministre du gouvernement Juppé, d’Azouz Begag et de Brigitte Girardin qui sévirent sous Villepin et surtout de la fondatrice de l’association féministe Ni putes ni soumises Fadela Amara que Sarkozy avait propulsée comme ministre dès son élection en 2002. Le voilà bien mal récompensé de cette ouverture à gauche. Amara retourne chez les socialistes, sa famille naturelle, comme le chien de l’Ecriture revient à ses vomissures. On sait par ailleurs que Jacques Chirac votera dès le premier tour pour Hollande, tout autant par haine à l’égard de son ancien ministre de l’Intérieur que par sympathie radical-socialiste envers l’homme qui lui a succédé à la présidence du conseil général de Corrèze. La plume de Chirac, Jean-Luc Barré, a en effet confirmé dans Le Parisien que le ci-devant maire de Paris se prononcera en faveur de l’ex-premier secrétaire du Parti socialiste. Issu de la gauche communiste (il vendait L’Humanité et a signé l’appel de Stockholm), Chirac revient à ses premières amours.

 

Cette année RIVAROL ne donne aucune consigne de vote et laisse une totale liberté d’appréciation à ses lecteurs. Chacun se déterminera en son âme et conscience. Les rivaroliens sont en effet assez grands pour savoir ce qu’ils ont à faire. Certains s’abstiendront (c’est ce que nous ferons à titre personnel aux deux tours du scrutin), d’autres voteront blanc ou nul, d’autres enfin, engageant leur seule responsabilité, voteront en faveur du candidat qui leur paraît le moins éloigné de leurs idées ou le plus apte à leurs yeux à assumer la magistrature suprême. Quel que soit le choix fait par les uns et par les autres, évitons de nous anathématiser, de nous excommunier réciproquement pour des questions purement électorales et donc tout à fait secondaires. De toute façon aucune révolution salvatrice ne sortira des urnes. Les dés sont pipés, le système est verrouillé, l’électoralisme est la tare et la sauvegarde du régime. De plus, les dix candidats en lice qui ont été présélectionnés (ce n’est pas un hasard que Poutou, Arthaud et Cheminade aient eu leurs signatures au contraire de Carl Lang !) sont tous pour la déesse laïcité, les valeurs de la République, le droit à l’avortement, le Pacs. Tous sont soumis au lobby gay et au lobby juif. L’affaire Vanneste et la mort de Raymond Samuel-Aubrac l’ont amplement montré. Si le Front national était resté fidèle à ce qu’il fut naguère nous l’aurions évidemment soutenu, fût-ce de manière critique, mais le Front mariniste n’a plus à rien à voir avec le FN canal historique que nous avons aimé, soutenu, servi avec sincérité et enthousiasme, même si en quarante ans d’existence force est de reconnaître qu’il n’a rien pu empêcher, ni l’invasion de notre pays, ni le démembrement de notre souveraineté, ni le délitement de notre civilisation. Une dernière preuve parmi tant d’autres de la triste mutation de ce parti : Marine Le Pen a exigé de Bruno Gollnisch qu’il retire immédiatement l’éloge de François Brigneau que ce dernier avait posté sur son blog à l’annonce de sa disparition. En revanche, la présidente du FN a rendu un vibrant hommage à Raymond Aubrac, « un grand homme et un grand résistant » tandis qu’elle compare l’islamisme à « un fascisme vert » (sic !)

 

Par fidélité à François Brigneau qui fut le plus talentueux journaliste de l’équipe fondatrice de RIVAROL, qui ne renia jamais aucune de ses convictions, qui n’était pas homme à mettre de l’eau dans son vin, il nous est impossible aujourd’hui de soutenir publiquement Mme Le Pen qui a abandonné les fondamentaux du nationalisme (renonciation au chèque scolaire qui permettait aux parents de choisir l’école de leurs enfants, refus de la pourtant nécessaire inversion des flux migratoires, abandon de la suppression de l’impôt sur le revenu et des droits de succession, fin d’une politique familiale et d’accueil de la vie, soumission au sionisme international, condamnation du révisionnisme, etc.). Appuyer sa candidature, ce serait cautionner ses purges, ses reniements, ses trahisons, son effrayant vide moral et doctrinal, les poursuites judiciaires qu’elle intente contre tous les nationalistes qui ne lui font pas allégeance. Chacun agira selon son bon vouloir mais pour notre part nous ne participerons pas à ce système frelaté dont rien de bon ne peut sortir. Restons résolument et plus que jamais nationalistes !

 

Editorial du n°3043 de Rivarol en vente chez votre marchand de journaux (3,50 €) ou en cliquant ici.

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Présidentielle : un communiqué de l'Oeuvre française

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L’élection présidentielle de ce printemps 2012, comme les élections législatives qui vont suivre, sont de l’énergie et du temps perdus pour la France. En dépit d’une apparente diversité, les candidats qui ont passé le filtre des parrainages imposé par le régime lui sont tous inféodés à des degrés divers.

 

Tous ont, d’une manière ou d’une autre, fait allégeance au mondialisme et à la « communauté internationale » qui n’est que le syndicat de défense de la finance mondialisée et de l’entité sioniste de Palestine.

 

Bien sûr, les rôles sont intelligemment distribués : il y a les candidats officiels du régime, Sarkozy et Hollande et leur roue de secours, Bayrou, dont la mission est de poursuivre la dissolution de la France dans le cosmopolitisme financier. A leur côté, les Eva Joly, Poutou, Arthaud et Mélenchon représentent en surnombre les altermondialistes, partisans d’un mondialisme d’esprit marxiste, qui, tout en fustigeant les puissances financières, prônent le métissage et l’immigration, tout autant que l’interruption de la vie à la naissance et dans la vieillesse, soit l’avortement et l’euthanasie, de même que les unions contre-nature des invertis sexuels. Un « souverainiste » comme Dupont-Aignan ou un Cheminade acquiescent d’une manière ou d’une autre à la déviance des mœurs et des principes naturels sans lesquels aucune société ne peut exister sainement. Quant à Marine Le Pen, campée dans le rôle du diable, elle constitue en fait la voie de garage que le système a aménagée pour la partie de la population qui, sainement, refuse de voir la France mourir : en effet, le Front National souscrit à la démocratie qui est pourtant à l’origine de tous nos maux et fait tout ce qu’il peut pour se « dédiaboliser » en donnant toujours plus de gages au système, notamment en recherchant l’aval des magistères sioniste, franc-maçon voire homosexuel.

 

Pas plus qu’hier et pas plus que demain, rien de bon pour la France ne sortira du processus électoral. Le système démocratique qui affaiblit la France depuis plus de deux siècles et gangrène notre civilisation est verrouillé et irréformable. C’est pourquoi l’OEuvre Française appelle à préparer et à conduire une deuxième Révolution nationale qui seule peut rendre la France à son destin en la nettoyant des parasites qui la détruisent avec une virulence accrue depuis plus de 60 ans.

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jeudi, 19 avril 2012

Présidentielle : un communiqué du Parti de la France

2637521918_2(1).jpgLe Parti de la France ne donne aucune consigne de vote pour le 1er tour de l'élection présidentielle

 

Constatant qu'aucun représentant de la droite nationale ne concourt à l'élection présidentielle, le Parti de la France laisse à ses militants, ses adhérents et ses sympathisants l'entière liberté de choisir ou de ne pas choisir dimanche prochain.

23:30 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 18 avril 2012

Mardi 24 avril : 1ère conférence de Synthèse nationale à Nancy avec comme invité Lajos Marton...

SN Lorraine L Marton Nancy.jpg

Invitation : cliquez ici

Présidentielle : QUE FAIRE ?

P1010959.jpgRoland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Quel que soit le résultat de la Présidentielle, une chose est sûre, le grand perdant sera le Peuple français.

En effet, si l’on regarde la liste des candidats, aucun ne représente la Droite nationaliste et identitaire. La candidature de Carl Lang ayant, hélas, échoué faute d’avoir obtenu le nombre nécessaire de parrainages. Nous ne nous étendrons pas ici sur la candidature de Marine Le Pen : ses renonce­ments successifs et sa soif de respectabilité l’ayant définiti­vement rangée, selon sa propre volonté, parmi les zélateurs du Système. Dans ces conditions l’hyper-classe  peut dormir sur ses deux oreilles : le futur Président, qu’il s’agisse de Nicolas Sarkozy ou de François Hollande, sera l’un de ses serviteurs bien dressé.

La droite libérale et la gauche sociale-démocrate, incarnées par l’UMP et le PS, continueront à mener la même politique au service de ceux qui veulent détruire les nations, les iden­tités, les racines et les traditions, au profit d’un vaste cloaque mondialisé dans lequel l’homme ne serait plus qu’un gentil consommateur servile et abruti par les médias juste bon à gaver les comptes des actionnaires des multinationales apatrides.

Du passé faisons table rase (sauf lorsqu’il sert à culpabiliser, donc à affaiblir, les peuples européens bien entendu…) et broyons les identités, tels sont les projets de ceux qui diri­gent le monde aujourd’hui.

La mondialisation entraine la paupérisation comme l’immigration entraine l’islamisation.

Le problème, c’est que cette vision, à la fois angélique et barbare, de l’avenir de l’humanité se heurte par la force des choses à un obstacle de taille : la paupérisation grandissante des classes moyennes. En termes clairs : les riches sont de plus en plus riches et les moins riches deviennent de plus en plus pauvres. En France, et en Europe, la consommation moyenne des ménages commence à baisser sérieusement et les prix ne cessent d’augmenter. Le nombre des chô­meurs augmente malgré tous les artifices imaginés pour masquer la réalité et l’immigration continue comme si de rien n’était, entraînant au passage une islamisation rampante de notre continent. Et ce n’est pas la demi-douzaine d’expulsions décidée par le gouvernement à la suite de la triste affaire de Toulouse et Montauban qui changera le cours des choses.

Entre une pseudo-droite qui fronce gaillardement les sourcils pendant les campagnes et qui reste pleutre à souhait entre elles, une gauche démago qui propose l’instauration du droit de vote aux étrangers, un centre intrinsèquement pathétique et une Marine Le Pen en mal de dédiabolisation (?) et d’affection médiatique qui trahie sans vergogne son camp, reconnaissons que nous sommes plutôt « mal barrés »…

Cette situation est d’autant plus grave qu’aucun candidat n’apporte à ce défi des mondialistes une réponse authenti­quement nationaliste. Chacun cherchant à rester dans les normes imposées et surtout à ne pas apparaître comme étant hors-système. Un exemple parmi tant d’autres : la présence déplacée, pour ne pas dire hypocrite (si les crimes de Mohamed Merah s’étaient produits trois mois après les élections, seraient-ils tous venus ?), aux obsèques des mili­taires assassinés de quatre candidats (le seul qui était à sa place étant l’actuel président de la République) prouve la soumission de ceux-ci au politiquement correct et l’absence de leur part de toute volonté de rupture avec le Système. Quant aux gesticulations du sinistre fanfaron Mélenchon, elles ne nous feront pas oublier qu’il est le candidat de l’idéologie la plus criminogène de tous les temps, à savoir l’internationalisme communiste… Et au mondialisme, on n’oppose pas l’internationalisme, fut-il communiste.

En 2007, le leurre du moment s’appelait Sarkozy (l’avenir a confirmé nos appréhensions), et même si la campagne du FN nous semblait prendre des tournures inquiétantes (Valmy, Argenteuil…) nous avions appelé, sans hésitation aucune, à voter pour Jean-Marie Le Pen (cf. Synthèse natio­nale n°2 et 3). Cette année, nous l’avons vu, les choses sont différentes.  Alors, me dire-vous, dans ces conditions que faire le 22 avril ? Ma réponse est simple et elle n’engage que moi : faites ce que vous voulez… vous êtes prévenus. Pour ma part, je resterai chez moi.

Le combat continue

L’Ordre nouveau, nationaliste, social et identitaire auquel nous aspirons n’est donc, semble-t-il, pas pour demain si l’on s’en tient au calendrier électoral. Nous le savons et cela n’entame en rien notre détermination. Les événements peu­vent, nous le savons bien, se précipiter et l’essentiel, c’est d’être prêt.

L’objectif que nous nous sommes fixés depuis la création, en octobre 2006, de Synthèse nationale est de contribuer à l’émergence d’un vaste mouvement de rassemblement po­pulaire capable d’imposer la seule alternative crédible au Système destructeur des peuples : l’alternative nationaliste. Une fois les leurres écartés, le travail sera plus facile. Déjà les premiers résultats sont là : la constitution au mois de novembre dernier de l’Union de la Droite nationale qui réunit les principales formations politiques (Parti de la France, MNR, Nouvelle Droite Populaire) restées fidèles aux fonda­mentaux de notre famille politique et qui a obtenu les sou­tiens de nombreux mouvements, journaux et associations autour de la campagne de Carl Lang, ou encore l’organisation, le dimanche 13 mai prochain (10 h, Place de la Madeleine) d’une grande manifestation unitaire contre le mondialisme à Paris. La première manif qui viendra troubler la quiétude mortifère du futur gouvernement.

Bref, les nationalistes, même s’ils sont absents de cette péripétie présidentielle, n’ont pas dit leur dernier mot. Bien au contraire…

Editorial du n°27 de la revue Synthèse nationale (cliquez ici)

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lundi, 16 avril 2012

L'Union Européenne finance l'Enseignement supérieur algérien !

2854912896.jpgPar Yves Darchicourt

On a appris que l'Union Européenne - celle dont il importe de sortir au plus tôt - s'est engagée à soutenir financièrement un vaste programme de renforcement de la qualité de l'enseignement supérieur et de la recherche... en Algérie ! D'ici à 2016, c'est ainsi quelques 21,50 millions € qui seront octroyés généreusement par les contribuables européens au ministère algérien de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique. Mustapha Haoucine, représentant du dit ministère s'est bien évidemment félicité de cette manne céleste et de la coopération pérenne avec des universitaires et des experts européens qui va suivre.

Encore un bel exemple de la politique mondialiste des eurocrates qui détournent vers les pays allogènes des fonds qui devraient servir exclusivement au développement de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique en Europe. Les ressources de l'Europe doivent profiter aux européens et en aucun servir comme dans ce cas précis à développer la formation de futurs cadres scientifiques qui feront de leur pays un concurrent et non plus un client de l'Europe.

"On n'a pas de pétrole mais on a des idées"... gardons-nous d'aider à créer des générateurs d'idées à ceux qui ont déjà le pétrole !

Source cliquez ici

23:30 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Présidentielle : un communiqué du MNR...

3-mnr.JPGLe MNR regrette que Carl Lang, à qui il avait apporté son soutien pour l’élection présidentielle, n’ait pas recueilli les 500 signatures nécessaires.

A la veille du 1er tour, le MNR s’inquiète des menaces majeures qui continuent de peser sur l’avenir de notre pays : islamisation de la France, immigration massive, mondialisation économique et destruction de notre civilisation.

Il invite en conséquence ses adhérents et sympathisants à émettre le vote le plus efficace pour faire progresser les valeurs qu’ils défendent ou pour faire reculer les idées qu’ils combattent.

23:03 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LES BANKSTERS S’OCTROIENT LES PLEINS POUVOIRS...

Photo 003.jpgPar Pieter Kerstens

Et durant la période électorale, les affaires continuent !  Parce que contrairement aux affirmations mensongères des uns et des autres : la crise,  on est en plein dedans !

Souvenons-nous de François Baroin qui assénait sur France 3 en septembre 2010 : « la croissance est au rendez-vous et la crise est derrière nous ». De Christine Lagarde qui, le 29 janvier 2011 affirmait devant les décideurs du monde entier, réunis au Forum Economique de Davos, « l’euro a franchi le cap et la zone euro a désormais le pire de la crise de la dette derrière elle ». Et de B. Obama qui déclarait le 30 août 2011 que « nous venons de traverser la pire crise financière depuis la Grande Dépression (crise de 1929) et après les récessions et les crises financières que nous venons de vivre, le patient met du temps à guérir. Notre économie a eu une crise cardiaque, le patient vit toujours, il va mieux, mais guérit trop lentement ».

Et pour Joerg Asmussen, membre du conseil de la Banque Centrale Européenne (BCE) « Le pire de la crise semble passé. La balle est à présent dans le camp des gouvernements. C’est à eux d’agir», in l’Echo du 16.avril 2012.

Chacun d’entre nous peut effectivement se rendre compte de la situation réelle que nous vivons.

Les eurocrates à la manœuvre.

Et pendant ces 4 dernières années où  les politicards au Pouvoir se sont ingéniés à coller des rustines sur les fuites financières, la D.G.S.I (la Davos–Goldman-Sachs-Idéologie, comme l’appelle le criminologue Xavier Raufer) a diffusé ses métastases dans tous les rouages de la mondialisation. A tel point que les crânes d’œufs qui s’agitent dans les bureaux du Caprice des Dieux bruxellois et leurs complices banksters ont imaginé de remplacer le Fonds Européen de Stabilité Financière (FESF, créé en urgence en mai 2010 à cause de la faillite grecque et doté de 1.000 milliards €), par une autre usine à gaz dénommée Mécanisme Européen de Stabilité   (M.E.S)... Et ici, on touche au grandiose !

Jugez-en : le Conseil européen de mars 2011 a modifié l’article 136 du traité de Lisbonne, sans tambours ni trompettes. Le cadre légal du M.E.S assujetti les peuples de la zone euro à être garants et cautions des dettes auprès des banques.

On vous en a parlé ? Expliqué les implications ? Vous êtes d’accord ? Eh bien… pas moi !!!

Extravagant : parce que l’article 9 du traité instituant le M.E.S précise que « les membres du M.E.S s’engagent de manière irrévocable et inconditionnelle à verser sur demande les fonds demandés par le directeur général en vertu du présent paragraphe dans les 7 jours suivants la réception de ladite demande ».

Très fort : les articles 27 et 30 octroient la personnalité juridique au M.E.S, qui pourra engager des poursuites judiciaires (par exemple envers un Etat qui ne lui verse pas la somme exigée), mais jouira (ainsi que les membres de la direction et du personnel) de l’immunité diplomatique. De plus, les documents du M.E.S ne seront pas disponibles pour le grand public, car « les archives du M.E.S et tous les documents qui lui appartiennent ou qu’il détient sont inviolables ». C’est clair : personne ne pourra demander des comptes détaillés sur les décisions ou les options prises et imposées par cette institution. Démocratie ? Connaît pas !

Encore mieux : d’après l’accord de décembre 2011, le M.E.S sera géré suivant la règle de la majorité qualifiée. Une décision devra recueillir au moins 85% des droits de vote pour être valide, alors que c’était l’unanimité qui était prévue auparavant. Cela confère maintenant un droit de veto de fait à trois pays qui ont plus de 15% des voix : l’Allemagne (27,1%), la France (20,4%) et l’Italie (17,9%). Cela fleure bon les arrangements entre coquins...

Toujours plus fort : un des autres pays ne pourra pas seul s’opposer à une décision du M.E.S, comme ce fut le cas à l’automne 2010 pour la Finlande ou la Slovaquie. En réalité, voilà une institution qui sera permanente, antidémocratique, inattaquable sur le plan juridique, occulte, et qui pourra exiger de n’importe quel pays de la zone euro, dans un délai d’une semaine, des milliards d’euros de manière inconditionnelle et irrévocable !

On assiste ici et en catimini, avec le silence complice des médias, à une prise de pleins pouvoirs financiers par une caste cosmopolite qui prétexte la crise et le problème de la dette publique ! L’austérité, la rigueur et la bonne gestion ne concernent ni les socialauds, ni les écolos, ni les banksters et leurs laquais libéros-démocrates : seul le peuple paiera !

Mais ce qui est consternant est le fait que PAS UN des partis ou mouvements nationalistes en Europe -dont certains sont en campagne électorale- n’aie jugé bon d’étaler sur la place publique ce véritable hold-up de la souveraineté des pays concernés et la mise sous tutelle des citoyens européens ! Exit les libertés fondamentales.

Le poids des maux, le choc des impôts.

A l’inverse des déclarations lénifiantes et soporifiques des chefs d’Etats européens, de nombreux pays sont en récession et bien malin sera celui qui pourra prédire la reprise réelle de nos économies, la réduction effective du déficit public, la diminution de la dette publique nominale et le retour au plein emploi.

Parce que durant les 4 dernières années et encore actuellement, les pourriticards de gauche comme de droite ont menti et caché la réalité calamiteuse de leur gestion des affaires. Le réveil sera terrible et on ne pourra pas échapper à une réduction de notre pouvoir d’achat et de notre train de vie (pour 80% de la population), car les dépenses publiques devront être fortement diminuées. Pour la France cela représentera 30 milliards € par an et durant 5 ans, y compris des privatisations et des cessions d’immobiliers, selon un rapport publié par la Fondation pour la Recherche sur les Administrations et les Politiques Publiques (iFRAP) publié en mars.

Par ailleurs la croissance sera absente dans la plupart des pays d’Europe en 2012 : Grèce -4,5% ; Portugal -3,3% ; Italie – 1,5% ; Espagne -1% ; Belgique -0,5% ; France 0%. Et ce n’est pas en augmentant les impôts et les taxes que l’on ranimera la confiance des entrepreneurs et des ménages. Il faut prendre des mesures structurelles et sur le long terme.

OUI, il faudra rapidement supprimer les aberrations de l’Etat Providence, sous peine de sombrer dans le désespoir que connait maintenant la Grèce…

22:56 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Magnifique succés pour les Amis de Rivarol à Nice vendredi dernier...

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La conférence a fait salle comble (certaines personnes ont même dû rester debout faute de chaises disponibles, ou s'asseoir sur les stands de Rivarol ou des brochures National Social Radical). Des figures de la mouvance nationaliste locale et même nationale avaient fait le déplacement.

André Gandillon, directeur de Militant et des amis de Rivarol, a traité de l'actualité internationale, faisant un panorama, dans le monde entier, de la lutte entre les l'axe israélo-américain, dont l'objectif, fondé sur un certain nombre de théories géopolitiques du XXème siècle, est de contrôler une bande qui va de la Russie à l'Inde, et ses adversaires, chinois, russes ou musulmans, notamment au moyen des "révolutions colorées" lancées par des agents provocateurs formées par les organismes financés par Wall Street et les bases américaines. Toujours précis, mentionnant beaucoup de références (par exemple le mouvement subversif serbe Otpor! dont les agents ont aidé entre autres à lancer la révolution en Egypte, via son organisme Canvas) et d'aspects méconnus de la lutte souterraine entre les grandes puissances mondiales (comme l'investissement de la Chine en Afrique). On peut néanmoins regretter qu'il n'ait pas, pour éviter le confusionnisme, fait également la critique de ces "adversaires" du Nouvel ordre mondial, notamment de Poutine dont on sait bien qu'il réprime le nationalisme et que les oligarques qu'il a installé en remplacement des anciens sont aussi inuits que leurs prédécesseurs.

Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, a évoqué l'actualité nationale, notamment au travers de la présente campagne présidentielle, et plus largement en exposant les grandes tendances que prendra l'involution de la France dans les années à venir, que ce soit sur les plans raciaux, familiaux, moraux... Nous dressant le portrait d'une France malade, décrépie, dirigé par des pseudo-"élites" écœurantes au dernier degré et où le jeu démocratique n'est qu'un des avatars de la société du spectacle, il sut fait preuve d'un grand humour, provoquant les rires de la salle avec ses petites piques cinglantes lancées contre Dominique Strauss-Kahn ou la mafia rose, par exemple. Son intervention, initiée par un hommage solennel à François Brigneau, captiva l'attention de l'auditoire du début à la fin.

Les conférences furent suivies d'un repas convivial entre les nationalistes présents. Ces conférences, qui s'inscrivent dans une tournée à l'échelle de toute la France, destinée à faire vivre le mouvement nationaliste, placent une fois de plus Rivarol et Militant à la pointe du combat pour la défense de la France et des valeurs du sang contre celles de l'or.

Source : le forum National social et radical cliquez ici

Prochaine conférence de Jérôme Bourbon : le samedi 21 avril à Nîmes, à 18h à l'hôtel-restaurant L'orangerie.

Lire Le blog des Rivaroliens cliquez là

10:04 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quand le rêve est un cauchemar...

2794590666.jpgLe billet de

Patrick Parment

 

Les jeux semblent à peu près faits et François Hollande est assuré de passer le premier tour. Ce qui reste en suspens, c’est le score des suivants. Rien n’affirme que Sarkozy passe la rampe, décapité par une conjuration Lepéno-Mélanchonesque ! Souvenez-vous de Jospin en 2002 ! Du coup Pierre Arditi était remonté dans sa Jaguar pour entrer en résistance.

 

Non, le grand gag serait que Mélenchon talonne François Hollande au premier tour et que l’on assiste à un duel entre gauche libérale et extrême gauche version programme commun.

 

Vous imaginez le dilemme pour ce peuple de gauche perpétuellement cocu – Mitterrand était vichyssois et ils ont guillotiné Jospin.

 

Alors Mélenchon ! Mélenchon, à n’en pas douter, incarne une gauche de conviction et la foule qu’il draine dans ses mitinges le prouve.Il s’est même payé le luxe de réveiller les cocos qui étaient moribonds. Malheureusement ses propos justifiés contre le capitalisme et la finance apatride se heurtent à sa vision multiraciale d’une France encore franchouillarde et qui en a marre des immigrés. Ces immigrés qui sont autant de pauvres bougres exploités par le patronat et qui n’ont, dans la majorité des cas, d’autres ressources que les généreuses aides sociales. Il y a là tout un lumpenprolétariat qui devrait tout de même inquiéter les candidats à la présidentielle. Mélenchon en tête. Cet ardent défenseur des damnés de la terre. Ben non !

 

L’autre pierre d’achoppement, c’est le consensus sur la réforme scolaire où l’on remplace l’instruction par le gardiennage. L'aboutissement du plan coco Langevin Wallon. Demain, tous les mômes seront amnésiques ! La France avec.

 

Les ânes votent, les porcs gouvernent disent les gauchistes allemands. Rien de nouveau sous le soleil.

09:58 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 14 avril 2012

François Brigneau a été enterré hier à Saint Cloud...

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François Brigneau, journaliste, polémiste, militant historique de la cause nationale, a été enterré hier après-midi à Saint Cloud (92) en présence de sa famille et de nombreux amis et admirateurs. Un hommage particulièrement émouvant lui a été rendu par l'un de ses fils, deux petites filles, et par notre ami Aramis, le tatentueux déssinateur très proche du défunt.

Article publié hier sur le nouveau N H  (cliquez ici) :

Pour le Front national de Marine Pen, François Brigneau est plus grand mort que vivant…

Avec François Brigneau, c’est le Front national des années Le Pen père que l’on a enterré hier vendredi au cimetière de Saint-Cloud. Ni Jean-Marie Le Pen, ni aucun représentant du parti, qui d’ailleurs s’apprête à changer de nom, n’ont cru devoir se déplacer pour accompagner le corps de François Brigneau à sa dernière demeure.

A une semaine du premier tour de l’élection présidentielle, ordre a été donné aux cadres du parti de ne pas se montrer, ni de rendre un hommage à celui qui pendant de longues années a mis son talent de journaliste et de polémiste au service de ses idées et de Jean-Marie Le Pen.

Lire aussi l'article de Patrick Gofman cliquez là

Lire la lettre au Bon Dieu de François Brigneau publiée sur le site Jeune Nation cliquez là

10:47 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 13 avril 2012

Sortie du nouveau livre de Bernard Lugan : Histoire des Berbères, des origines à nos jours. Un combat identitaire pluri-millénaire.

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Les Berbères ou Imazighen (Amazigh au singulier) constituent le fond ancien de la population de l’Afrique du Nord. Ils formaient à l’origine un seul Peuple peu à peu fragmenté par une histoire à la fois riche, complexe et mouvementée. Des dynasties berbères régnèrent  sur le Maghreb jusqu’au XVI° siècle.

Les partisans de l’arabo-islamisme affirment que les Berbères sont sortis de l’histoire, leur conversion à l’Islam les ayant inscrits de façon irréversible dans l’aire politico-culturelle de l’arabité. Dans les années 1950, la revue Al Maghrib alla ainsi jusqu’à écrire qu’ils ne peuvent accéder au Paradis que s’ils se rattachent à des lignées arabes. Quant au ministre algérien de l’Education nationale, il déclara en 1962 qu’ils « sont une invention des Pères Blancs ».

 Aujourd’hui, les dirigeants arabo-islamiques nord africains doivent faire face au réveil berbère si fortement exprimé en 2004 par Mohammed Chafik au travers de sa célèbre question réponse: « Au fait, pourquoi le Maghreb arabe n’arrive-t-il pas à se former ? C’est précisément parce qu’il n’est pas Arabe ». Cette phrase était incluse dans un article dont le titre explosif était : « Et si l’on décolonisait l’Afrique du Nord pour de bon ! », intitulé signifiant qu’après avoir chassé les Français, il convenait désormais pour les Berbères d’en faire de même avec les Arabes…

Qui sont donc les Berbères ? Quelle est leur origine ? Comment furent-ils islamisés ? Quelle est leur longue histoire ? Comment se fait aujourd’hui la renaissance de la berbérité? Peut-elle être une alternative au fondamentalisme islamique ?

C’est à ces questions qu’est consacré ce livre qui n’a pas d’équivalent. Son approche est ethno historique et couvre une période de 10 000 ans. Il est illustré par de nombreuses cartes en couleur et par des photographies.

Ce livre est édité par L'Afrique réelle : 29,00 € cliquez ici

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jeudi, 12 avril 2012

Disparition de François Brigneau : un communiqué du MNR

img_4f859e8ca79c4.jpgUne grande figure de la droite nationale nous a quitté.

Le journaliste François Brigneau vient de nous quitter dans sa 93ème année. Il avait été l'un des fondateurs du Front National, mais n’avait pas voulu prendre parti, lors de la scission de 1998, entre Bruno Mégret et JM Le Pen. Ses articles et ses ouvrages se distinguaient par un style d'une verve remarquable. Il s'était retiré de la vie politique depuis plusieurs années.

Le MNR rend hommage à ce grand serviteur des idées nationales.

 

Sur la disparition de François Brigneau cliquez ici

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