mercredi, 30 mai 2012
Eric Pinel, seul candidat de la Droite nationale dans la 3e circonscription de l'Oise !
Un communiqué d'Eric Pinel, ancien député européen, candidat de l'Union de la Droite Nationale :
Je viens d’apprendre que Madame Le Pen a décidé d’apporter son soutien au candidat Karim Ouchikh, avocat parisien, qui, il y a encore cinq ans, était maire adjoint socialiste de Gonesse (région Ile-de-France).
Un mois après avoir contribué à l’élection de François Hollande à la Présidence de la République, la nouvelle stratégie du Front mariniste, ou plus exactement de ses dirigeants nationaux, est de plus en plus claire : c’est le choix de la politique du pire, le virage à gauche, et l’abandon des fondamentaux historiques du FN.
En cet instant, j’ai une pensée émue pour les militants (dont j’étais !) qui, depuis quarante ans, ont consacré une part importante de leur vie au combat mené par Jean-Marie Le Pen.
Cette cause nationale, c’est aujourd’hui le Parti de la France qui, avec Carl Lang, en reprend le flambeau.
Source cliquez ici
08:46 Publié dans Législatives 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 29 mai 2012
Contre le droit de vote aux étrangers, contre l'islamisation de notre pays : votez pour La France aux Français, votez Union de la Droite Nationale...
15:51 Publié dans Législatives 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 26 mai 2012
L'épuration : 1944-1949... Un livre à lire de Pierre-Denis Boudriot.
20:13 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 24 mai 2012
Un symbole : Jacques Dautrème candidat d'Union de la Droite nationale à Dreux...
Jacques DAUTREME, 64 ans :
Mon engagement politique en 1978 aux côtés de Jean Pierre Stirbois m’a permis de participer au « Coup de Tonnerre de Dreux » en 1983. Après avoir été l’Assistant parlementaire de Marie-France Stirbois, je suis devenu Conseiller Municipal de Dreux et Conseiller Régional du Centre.
J’ai rejoint Le Parti de la France et Carl Lang seule formation politique qui représente les valeurs pour lesquelles j’ai toujours combattu : la famille, la défense de notre civilisation chrétienne, le respect de la vie.
Je repars donc une nouvelle fois pour ces élections législatives sous les couleurs du Parti de la France avec beaucoup de fierté.
Jacques Dautrème est candidat de l'Union de la Droite Nationale dans la 2e circonscription de l'Eure-et-Loir.
00:00 Publié dans Législatives 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 23 mai 2012
Ces éternels artistes prêts à culturer…
La chronique de Philippe Randa
publiée dans le n°27 de la revue
Synthèse nationale cliquez ici
« Le prêt à penser est de gauche, la culture est de droite » : en voilà un beau slogan. Incontestablement, ça fait bien ! Bravo à Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale de l’avoir trouvé. Et même de l’avoir mis en titre du dernier numéro de son édition papier(1). On ne parle pas assez de la culture, surtout en cette période électorale… D’ailleurs, même le candidat-président Nicolas Sarkozy s’en était plaint lors d’un récent passage sur Canal Plus. C’est dire !
Oui, vraiment, c’est un beau slogan, mais au risque de chagriner ce cher Roland Hélie (*), comme tous les slogans, il ne veut strictement rien dire. Car un slogan, c’est le premier qui le trouve qui gagne… le droit à une simple reconnaissance spirituelle.
Ce qui n’est pas rien, certes, mais ne fait guère avancer le débat.
Le prêt à penser est de gauche, la culture est de droite, c’est un peu comme le slogan de l’association Égalité et Réconciliation préconisant « l’union de la gauche du travail et de la droite des valeurs » : ça sonne bien, ça sonne même haut et fort, ça fait son petit effet, mais c’est tout.
Car si l’on prend ces deux slogans à la lettre, cela signifierait qu’il n’y aurait pas de « prêt à penser » à droite, ni de culture à gauche… Tout comme la gauche n’aurait pas de valeurs, tandis que la droite serait étrangère au monde du travail.
Reconnaissons donc aux auteurs de slogans une indubitable maîtrise de la langue française, ce qui n’est pas donné à tout le monde, remercions-les de leurs bons mots, et remarquons plutôt que les différents domaines de la culture, puisque tel est le sujet du (trop) court dossier de Synthèse nationale, ont été indifféremment d’un bord politique ou d’un autre au gré des époques… ou de certaines personnalités fortes qui n’hésitèrent pas à utiliser leurs dons naturels, leurs talents ou leur notoriété pour servir des causes qu’elles jugeaient nobles, voire éventuellement leur propres causes, pour ne pas dire leurs seuls intérêts.
Les exemples abondent d’impostures politico-culturelles, tel le célèbre tableau de Picasso sur les bombardements de la ville de Guernica durant la guerre civile espagnole… « L’opportunisme n’épargne pas plus les artistes que le vulgaire. On sait que Pablo Picasso peignait une scène tauromachique lorsqu’il apprit le bombardement du centre ville de Guernica par 7 avions de la Légion Condor ; il changea le titre de son tableau et, depuis, les critiques d’art ont trouvé des dizaines de justifications symboliques, métaphysiques et psychanalytiques à la présence d’un taureau dans cette composition », nous apprend ainsi l’historien Bernard Plouvier.(2)
On imagine cette supercherie dénonçant à jamais la barbarie anglaise après le bombardement de Dresde en 1945 si le IIIe Reich avait gagné la guerre ? Impossible ? Laissons encore Bernard Plouvier nous apprendre qu’« un peintre allemand a toutefois battu le cubiste dans la supercherie : F. Radziwill, nazi à l’époque, peint en 1934 une toile qu’il intitule Révolution, glorifiant les héros du Parti assassinés par les Rouges durant la période de lutte pour le pouvoir. En 1947, il la rebaptise Démons et cette toile devient garante de son anti-nazisme de toujours ! »
Ah ! les braves gens !
Doit-on alors chercher à tout prix à savoir si une œuvre ou un artiste est « de gauche » ou « de droite », tel l’exercice auquel se sont livrés Isabelle Fringuet-Paturle et Jérémy Patinier. Dans leur livre Tintin est-il de gauche ? Astérix est-il de droite ?, « ils sont allés interroger les stars de la culture populaire pour dénicher leur penchant politique. Dans cette plongée inédite, la relecture de nos héros est permanente ! Il en est de même pour les grands événements populaires (Roland Garros, le Tour de France) et les marques les plus connues. »(3)
C’est véritablement une obsession actuelle particulièrement insupportable que de vouloir à tout prix qu’un artiste soit forcément « de droite » ou « de gauche » et surtout de le faire savoir haut et fort… Des années durant, les sévères gardes-chiourmes du politiquement correct se sont ainsi acharnés à prouver que l’art, sous quelque forme qu’il soit, ne pouvait, forcément, qu’être le monopole d’artistes « de gauche » et l’évidence était telle qu’en conséquence leur devoir était de dénoncer ceux qui ne le reconnaîtraient pas… CQFD !
Ainsi, cette émission de télévision des années 80/90 du siècle dernier dont j’ai oublié le nom où était invité Frédéric Dard, l’auteur des célèbres aventures du Commissaire San-Antonio… Le journaliste l’interrogea brusquement sur ce que lui inspiraient les bons résultats électoraux du Front national et de son leader Jean-Marie Le Pen… À l’évidence, le romancier n’avait guère envie d’émettre quelques commentaires que ce soit, dans un sens ou dans un autre et le dit… Le journaliste ne s’en laissa pas compter et insista. Lourdement. Insista encore et encore jusqu’à temps que Frédéric Dard marmonne que « oui, bien sûr, cela rappellait des heures sombres de l’Histoire… »
Le journaliste, satisfait, accepta seulement ensuite de passer à un autre sujet.
Ainsi donc, ce jour-là, Frédéric Dard rejoignit, à l’évidence sans envie particulière, le troupeau des anti-fascistes de plateaux, sous le sévère contrôle d’un brigadiste de la police de la pensée.
Au-delà de ces exemples « historiques » prouvant que vouloir politiser la culture à tout prix est généralement une imposture et rien d’autre, rappelons également que vouloir imposer les termes de « gauche » ou de « droite » à la culture est d’autant plus délicat depuis ces premières années du XXIe siècle…
La très grande majorité des artistes se produisaient à la Fête de l’Huma pour la seule raison de cachets fort alléchants durant le dernier quart du XXe siècle… De même, dans la même période, les candidat(e)s socialistes ou communistes n’aimaient rien tant que plastronner avec des comités de soutien à rallonge où figurait un nombre impressionnant de chanteurs et de comédiens… Si François Mitterrand se fit effectivement élire et ré-élire à la Présidence de la République, les saltimbanques ne furent pas d’un très grand secours pour les candidats Jospin (en 1995 et en 2002) et Royal (en 2007)… De même pour interdire à Jean-Marie Le Pen d’accéder au second tour de l’élection en avril 2002 : lui, pourtant, ne bénéficiait pas d’un nombre significatif d’artistes pour le soutenir (euphémisme !) ; ni même pour empêcher Nicolas Sarkozy de l’emporter en 2007 !
En 2012, alors que le candidat-président sortant Sarkozy n’était plus en peine de comédiens ou de chanteurs renommés pour vanter ses immenses qualités, ceux-ci ne lui ont pas non plus permis de se faire réélire.
« Le prêt à penser est de gauche, la culture est de droite » ? Non, décidément, non ! Pas plus qu’hier qu’aujourd’hui et encore moins que demain… En revanche, que nombre d’artistes soient « prêts à culturer » sans vergogne là où la gamelle des subventions sera la plus remplie, soit celle vers laquelle le vent de l’histoire les pousse, oui, c’est une évidence rarement démentie…
(*) NDLR : chacun appréciera au passage la liberté d’expression accordée aux collaborateurs de la revue Synthèse nationale, et, comme chacun sait, il en faut plus que cela pour me chagriner... surtout de la part de mon viel Ami Philippe Randa. RH
Notes
(1) Cette chronique de Philippe Randa a été une contribution au dossier de la revue Synthèse nationale, publiée début mai 2012 sous la rubrique « droit à la dissidence ». Voir également le site lié à cette revue cliquez là.
(2) Hitler, Une biographie médicale et politique (tome 3 : Les Triomphes des années de paix), Éditions Dualpha, 2008.
(3) Tintin est-il de gauche ? Astérix est-il de droite ? Éditions de l’Opportun, 2012.
00:34 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 22 mai 2012
Poitiers, 13 mai 2012, grand succès pour la Fête de Jeanne d'Arc : un millier de participants...
Un communiqué de Jean Auguy, fondateur des Editions de Chiré :
Depuis quelques mois il s’était créé à Poitiers une Association Sainte Jeanne d’Arc (La Croix du Clain, 6 route du Moulin, 86240 Smarves, jeannedarcpoitiers@gmail.com), dans le but de marquer le 6e centenaire de la naissance de Sainte Jeanne d’Arc (1412-2012) par une grande journée le 13 mai 2012. Le président était Monsieur Jacques Boisard, et le viceprésident Monsieur Jean Auguy, fondateur à la retraite, du centre contrerévolutionnaire de « Chiré ».
Les organisateurs espéraient 400 à 500 personnes et ils ont eu le double ! ce qui était impressionnant dans les rues étroites du centre-ville de Poitiers.
La journée débuta par la messe à 10h30 dans la chapelle desservie par la Fraternité de la Transfiguration de Mérigny retransmise aussi sur écran dans les anciens jardins de l’Evêché !
Il faut rappeler ici que la Fraternité a réussi à acheter une partie de l’ancien évêché, ce qui lui permet de dire la messe dans un bâtiment relativement récent (1920-1930), situé dans la rue la plus passante et avec sur le fronton les armes de l’Evêque de l’époque !
Le sermon a été prononcé par Monsieur l’abbé Lorens qui a aussi célébré ; il est l’ancien recteur de l’Institut Saint Pie X.
A 14 h, débuta le rassemblement sur la place de la Cathédrale que trop malheureusement on n’appelle plus place du Cardinal Pie ! Et de suite on comprit qu’il y aurait beaucoup de monde. Le défilé était précédé de Jeanne à cheval entourée de deux pages, puis une grosse participation de scouts, guides et élèves de l’Ecole Saint Michel à Châteauroux. Suivaient ensuite un bon groupe de religieuses de différentes congrégations et de prêtres parmi lesquels on remarquait le Père Marziac prédicateur de retraites, les Pères Jean Noël et Lecareux de Mérigny… Le trajet remontait la rue de la cathédrale, passait devant la plaque commémorative intaillée en 1929 pour le cinquième centenaire de la reconnaissance de Jeanne d’Arc par les religieux, passait devant Notre Dame la Grande (dans laquelle il y a la tombe du Cardinal Pie), le palais de Justice, ancien Palais des Comtes du Poitou-ducs d’Aquitaine ou Jeanne d’Arc fut interrogée sur sa mission et se terminait rue des Cordeliers devant la statue de Jeanne, oeuvre de Maxime Réal del Sarte. Jean-Baptiste Geffroy y fit une courte intervention précèdent le dépôt d’une gerbe au son du cor par Jacques Boisard et Jean Auguy.
Une bonne partie de l’assistance se retrouva dans la salle Léon Jouhaux (connue à Poitiers comme Maison du Peuple !) ou notre ami Antoine de Quercy, collaborateur de l’Action Familiale et Scolaire, enflamma et documenta son auditoire. Il fut présenté par Jacques Boisard et Jean-Baptiste Geffroy. Les textes seront très probablement publiés sous forme d’une brochure ou d’un numéro de Lecture et Tradition.
A l’occasion de cette journée, l’association a édité une édition luxe du numéro de mai de Lecture et Tradition. Editorial par Mickael Savigny – Jeanne d’Arc à Poitiers par I. Deswart – Eloge de Jeanne d’Arc le 8 mai 1844 par l’Abbé Pie, futur cardinal Pie – Présentation du cardinal Pie et de Maxime Reéal del Sarte par Ch Lagrave et G Bedel – Prière à Jeanne d’Arc de V. Volkoff. Prix : 5 euros, cliquez ici
10:18 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le voyage de Franck Abed à Kiev :
Il y a deux ans, nous avions le plaisir de recevoir, lors de notre 4e journée de Synthèse nationale (c'était le 11 novembre 2010), une délégation de militants nationalistes venue d'Ukraine.
Il y a quelques mois, ces mêmes camarades ukrainiens prenaient contact avec notre revue pour m'inviter à Kiev pour faire une conférence sur le mouvement traditionaliste et l'idée monarchiste en France. Sincèrement, mes compétences étant des plus limitées dans ces domaines, j'ai suggéré à nos amis d'inviter le jeune écrivain catholique et royaliste Franck Abed qui est sans doute, de loin, beaucoup plus apte que moi pour traiter ces sujets.
Franck Abed s'est donc rendu en Ukraine au début du mois de mai. Il nous raconte ici son beau voyage et nous présente le combat des traditionalistes ukrainiens (cliquez ici).
Roland Hélie
00:35 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 21 mai 2012
JAMAIS DEUX SANS TROIS
Georges-Alexandre Sadrol
A peine les urnes des deux tours de l’élection présidentielle étaient-elles rangées, que la bataille des élections législatives s’engageait. Après le grand-père Jean-Marie Le Pen et la fille Marine, c’est au tour de la petite fille, Manon, fille de Yann, de porter les couleurs du parti familial aux élections parlementaires dans la circonscription emblématique de Carpentras. En Corée du Nord, charmante « démocratie populaire » d’Asie du Sud, on se succède au pouvoir de père en fils. Après Kim-Il-Sung dictateur jusqu’à sa mort en 1994, Kim-Jong-Il prit le relai avant de le transmettre à l’un de ses fils Kim-Jung-Un, adoubé par les hiérarques du parti communiste. Cette « partitocratie héréditaire » , on le voit, n’est pas sans avoir quelques lointaines similitudes sous nos contrées dans un paysage politique, il est vrai, assez différent. Au fait comment s’appelait un célèbre feuilleton diffusées sur les ondes, dans les années quatre-vingts ? Dynastie !
22:05 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le discours de Serge Ayoub dimanche 13 mai 2012 à la fin de la manif unitaire contre le mondialisme :
21:51 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
IMPORTANT : Terre et peuple change d'adresse nationale...
11:17 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Roland Hélie candidat de l’Union de la Droite Nationale aux législatives dans la 3e circonscription de l'Eure-et-Loir (Nogent le Rotrou) :
Un communiqué de la Nouvelle Droite Populaire :
L’Union de la Droite Nationale, qui rassemble le Parti de la France présidé par Carl Lang, le Mouvement National Républicain fondé par Bruno Mégret et la Nouvelle Droite Populaire dirigée par Robert Spieler, est présente dans trois des quatre circonscriptions de l’Eure-et-Loir.
Dans la 3e circonscription (Nogent le Rotrou), c’est Roland Hélie, 53 ans, directeur de la revue Synthèse nationale, membre du Bureau national de la NDP, qui est le candidat de cette Union.
Au moment où la gauche s’apprête à accorder le droit de vote aux étrangers, Roland Hélie entend faire de son opposition totale à cette mesure démagogique et suicidaire son cheval de bataille.
L’attribution du droit de vote aux étrangers impliquera en effet, à terme, des municipalités islamistes en France. Il s’agira donc là d’un bouleversement complet de l’identité européenne et chrétienne de notre pays. Cela, nous ne pouvons le tolérer. La France est une terre de beffrois et de cathédrale, elle n’est pas une terre de mosquées ni de minarets. C’est donc contre l’immigration incontrôlée et contre l’islamisation rampante qui en découle que les nationalistes de la Nouvelle Droite Populaire se battent.
Hier, c’était Dreux qui symbolisait les villes touchées par l’immigration massive, aujourd’hui, toutes les communes de France sont concernées. On ne compte plus les mosquées et les minarets, on laisse les coutumes islamiques s’imposer dans les écoles, les piscines et les cantines, on tolère les abattages rituels qui relèvent plus de la sauvagerie que d’autres choses, on accepte la prolifération des femmes voilées dans nos rues… Cette situation n’est que l’aboutissement des politiques irresponsables menées depuis des décennies par les différents gouvernements, qu’ils soient de gauche ou de la pseudo-droite. Ces politiques ont toujours été encouragée par les lobbys immigrationistes aux premiers rangs des quels on retrouve le grand patronat mondialiste et les partis de la gauche internationaliste. Il est temps que cela change.
Le 10 juin prochain, en votant pour les candidats de l’Union de la Droite Nationale, les Français auront l’occasion de sauver leur identité et leur liberté. Pour nous un seul mot d’ordre : La France aux Français !
08:41 Publié dans Législatives 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Picardie : l'Union de la Droite Nationale présente aux législatives. Pierre Chabot représente la NDP dans la 3e circonscription de l'Aisne.
D'autre part, Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, a présenté la liste de ses candidats dans la région (cliquez ici). En tout, c'est donc 10 candidats de l'Union de la Droite Nationale en Picardie.
00:20 Publié dans Législatives 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 20 mai 2012
Actualités du mouvement wallon NATION :
23:49 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 19 mai 2012
Forbach : pour "La Moselle aux Mosellans !", la Droite nationale rassemblée derrière Eric Vilain...
11:40 Publié dans Législatives 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 18 mai 2012
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, candidat dans la 3e circonscription de l'Eure-et-Loir (Nogent-le-Rotrou) :
23:46 Publié dans Législatives 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
70 candidats défendront la France aux Français avec l'Union de la Droite Nationale (PdF, MNR, NDP) lors des législatives de juin...
Un communiqué de la Nouvelle Droite Populaire :
Finalement, ce sont plus de 70 candidats qui sont présentés par l'Union de la Droite Nationale (qui regroupe le Parti de la France de Carl Lang, le MNR fondé par Bruno Mégret et la Nouvelle Droite Populaire dirigée par Robert Spieler) aux élections législatives des 10 et 17 juin prochains. La liste définitive sera bientôt rendue publique.
Conscients d'être les seuls à incarner la Droite nationale, nationaliste, sociale et identitaire à ces élections, les 70 candidats de l'UDN mèneront des campagnes dynamiques dans leurs circonscriptions respectives sur le thème commun : LA FRANCE AUX FRANçAIS !
Au moment où notre pays retombe sous le joug du socialisme le plus démagogique...
Au moment où notre identité nationale est menacée à la fois par le mondialisme et l'islamisation rampante de notre pays...
Au moment où le nouveau gouvernement envisage accorder le droit de vote aux élections locales aux étrangers, permettant ainsi, à terme, aux islamistes de s'emparer de grandes villes françaises...
Au moment où la droite affairiste qui porte encore le nom d’UMP s'écroule lamentablement abandonnant ainsi la France à ce funeste destin...
Au moment où le FN ripoliné à la sauce mariniste renonce petit à petit aux thèmes qui ont fait sa force et son originalité...
Il est temps de rendre à nos compatriotes le pays qui est le leur. C’est pour cela que se battront les candidats de l’Union de la Droite Nationale. La Nouvelle Droite Populaire, pour sa part, se félicite que cette union tant espérée devienne une réalité.
17:06 Publié dans Législatives 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 15 mai 2012
L’Europe se décompose !
Par Pieter Kerstens
Notre correspondant
permanent à Bruxelles
HIER, rassemblements, manifestations et émeutes. Aujourd ‘hui, rébellions et révoltes. Demain... guerres civiles ?
Le spectacle de zones de non droit en flammes que les médias nous ont montré depuis longtemps est le résultat de soixante années de lâchetés et d’abandons successifs des divers gouvernements européens.
De Birmingham à Athènes ou de Copenhague à Séville, les causes et les conséquences sont les mêmes, à quelque ghetto près …A l’étranger, quand on discute de l’exception belge on nous rétorque : « rage taxatrice », corruption de l’affaire Agusta-Dassault, procès du pervers Dutroux ; on nous reproche un Etat obèse, tatillon et dépensier dont la dette publique atteint des records mondiaux per capita (32.000 € par habitant !). On nous énumère aussi les nombreux congés, les multiples « fêtes », l’usage des boissons et des drogues légalisées qui les accompagnent, les « combines » en tous genres, les grèves quotidiennes et les manifestations innombrables ; on nous parle encore de notre système social devenu tonneau des Danaïdes et de l’immigration incontrôlée dont Bruxelles est la vitrine -cette prétendue « Capitale de l’Europe »- véritable cité poubelle où l’on parle un sabir anglo-arabo-moldave.
Le mythe des quartiers tranquilles, imposé par les politicards ne résiste pas à la réalité !
De Giscard d’Estaing à Sarkozy (et depuis ce 15 mai Hollande), de Felipe Gonzales à Zapatero (maintenant Mariano Rajoy), de Helmut Kohl à Angela Merkel et de Léo Tindemans à Elio Di Rupo, partout du Sud au Nord de l’Europe tous les gouvernements de droite et de gauche ont depuis 1974 déclaré avoir stoppé l’immigration économique, mais en même temps ces princes qui nous dirigent ont vidé les églises pour remplir les mosquées !
Ce sont eux les responsables de la situation que nous connaissons maintenant dans nos quartiers et nos banlieues !
Le boomerang leur revient aujourd’hui en pleine figure et au lieu de mettre en place une politique nataliste favorisant la famille et le renouvellement des générations, ils ont fait tout le contraire : lois favorisant les moyens contraceptifs et l’avortement, mariage des sodomites et des gouines et demain adoption de petits malheureux par des invertis…Tout cela en accueillant des centaines de milliers d’étrangers en Belgique, sous prétexte que ces « allochtones » en travaillant pourraient subvenir aux pensions de ceux qui se retirent du marché du travail depuis la fin des années 90. C’est raté ! Et partout en Europe, la situation est identique : voyez en France, en Italie, en Angleterre ou… en Espagne ! Sans parler de la Grèce …
Depuis le début du 20ème siècle, l’Europe a recueilli de nombreux immigrés venant d’autres horizons : russes fuyant le paradis communiste en 1917-1925, espagnols victimes des boucheries de Marty durant la guerre civile de 1936-1939, italiens opposés à la politique socialiste de Mussolini en 1925-1944, portugais ou grecs essayant de s’assimiler à nos modes de vie en 1970-1980. Tous ces gens ont vécus d’innombrables souffrances et de vexations durant les très longues années qu’ils ont passées sous nos cieux. Eux se sont intégrés, difficilement, mais ils ont le mérite d’avoir réussi, grâce à leurs racines culturelles et de civilisation identiques aux nôtres !
A tous ceux qui crachent sur nos traditions, à ceux qui refusent nos lois et nos règlements, à ces crapules qui attaquent nos vieillards, à cette racaille qui gagne 30.000 euros par mois par des trafics criminels, à cette pègre qui exploite la misère des clandestins, il faut dire simplement :
« L’Europe, aimez-la ou quittez-la !
On ne retient personne… ».
OUI, les responsables nommés plus haut (cette fratrie socialo-libero-écolo-capitalo-humaniste) sont les collaborateurs de l’invasion musulmane, véritable 5e colonne au cœur de nos cités.
Et selon Jan HERTOGEN, sociologue, 1,3 million d’immigrés voteront lors des élections communales le 14 octobre en Belgique, soit 17% des inscrits ! Mais 575.000 autres étrangers n’y participeront pas. Et ces votants immigrés représentent 10% du corps électoral en Flandre, 18% en Wallonie et 62% en Région Bruxelloise avec une grande concentration dans 7 communes !
Il faut exiger sans tarder des mesures de salut public :
* Supprimer les aides aux associations parasites et en finir avec la nuisible politique de proximité.
* Etablir un couvre-feu, dans les quartiers où c’est nécessaire, entre 20 heures et 6 heures.
* Construire en urgence de nouvelles prisons et des centres de rééducation à régime sévère.
* Renforcer les effectifs et les moyens de la police en leur donnant carte blanche pour rétablir la paix civile dans les zones de non droit et organiser le rapatriement des dizaines de milliers (et souvent centaines de milliers) de clandestins vivant actuellement sur notre sol.
* Interdire de séjour les personnes indésirables ou susceptibles de menacer l’ordre public.
* Prévoir des mesures de rétorsion contre les familles de délinquants récidivistes, allant de la suppression des aides sociales à l’expulsion du territoire en cas de récidive.
* Juger et incarcérer, pour une longue durée, tous les délinquants « bien connus de la Justice », dont le casier judiciaire comporte plus de 15 condamnations, alors même qu’ils sont toujours en liberté !
* Rétablir le « jus sanginis » et abolir le droit du sol.
* Modifier la législation sur la naturalisation en assouplissant les modalités de la déchéance et en y incluant les possibilités de rapatriement des condamnés vers le pays de leurs aïeux.
* Traîner devant les tribunaux pour « association de malfaiteurs » ceux des collaborateurs et des complices qui soutiennent les clandestins (hors-la-loi) en leur procurant le gîte et le couvert et ceux des avocats qui en défendant les illégaux devant la Justice font perdre non seulement leur temps aux magistrats mais gaspillent aussi les deniers publics, car il est prouvé depuis 25 ans que plus de 85% des demandes d’asile n’ont aucune raison d’être si ce n’est que les clandestins / sans-papiers arrivent en Europe pour profiter d’un meilleur niveau de vie que dans leur lointain pays d’origine.
* Appliquer d’une façon plus restrictive la délivrance des visas et les autorisations accordées pour les étudiants en provenance d’autres continents.
* Stopper le regroupement familial et interdire la bi-nationalité par acquisition lors du mariage.
* Supprimer la loi qui autorise le vote des étrangers à quelque scrutin que ce soit.
Sans mesures drastiques à brève échéance, sans avoir le courage d’appliquer les lois existantes envers les délinquants et criminels étrangers, sans rapatriement immédiat des hors-la-loi et sans rétablir l’Ordre Public dans les nombreuses zones de non droit, les gouvernements qui hier encore vantaient les charmes de la société « multiculturelle » et « pluriethnique » (mais constatent étrangement son échec depuis quelques mois), nous amènent inéluctablement vers un affrontement sanglant d’un choc de civilisations, car ils sont obnubilés par leurs utopies mondialistes et aveuglés par leurs dogmes sectaires.
17:10 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 14 mai 2012
Ouverture des dépots de candidatures de l'Union de la Droite Nationale aux législatives :
2e circonscription de la Haute-Saône
23:21 Publié dans Législatives 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
«L'Aube dorée» se lève sur la Grèce...
Par Fabien Collet
Le 6 mai dernier, une autre élection a eu lieu à l'extrémité est du continent européen. En effet, les Grecs étaient appelés à désigner les 300 députés du Parlement (la «Vouli»). Comme le système politique grec est infiniment plus démocratique que la Ve République française, il y a une chambre unique et le vote à lieu à un tour, à la proportionnelle. Pour avoir des députés, il faut réunir au moins 3% des voix au niveau national.
Dès 2009, les nationalistes ont fait leur entrée dans l'hémicycle parlementaire grec. En effet, le «Rassemblement Populaire Orthodoxe», désigné plus couramment par ses initiales (LAOS), avec 5,63% des voix, avait 15 députés. Pendant trois mois (11 novembre 2011 au 10 février 2012), ils ont fait partie de la coalition gouvernementale avec deux ministres, entérinant ainsi certaines mesures d'austérité. Finalement, en février dernier, devant un nouveau plan massif d'austérité, ils ont préféré ne plus être associés aux décisions gouvernementales, d'autant que des élections législatives étaient prévues. Une lourde faute politique aux yeux des Grecs puisque les électeurs ne lui ont accordé, le 6 mai, que 2,90% des voix, soit un score qui les a exclus du parlement.
A l'inverse, un parti, Chryssi Avyi («L'Autre Dorée») a pris sa place avec brio puisque, grâce à 6,97% des voix, il a obtenu 21 députés. D'orientation plutôt nationale-socialiste à ses débuts, le parti avait cessé ses activités en 1992, avant d'être relancé en 2003 par son dirigeant actuel, Nicolaos Michaloliakos.
L'Aube Dorée a pour emblème la figure géométrique du méandre (qui symbolise la bravoure et le combat sans fin, selon lui), figuré en noir sur un fond rouge, et la plupart de ses militants sont des jeunes gens. L'Aube Dorée cultive la nostalgie du «mouvement du 4 août», c'est-à-dire la dictature instaurée par le général Metaxas (1936-1941) qui était assez comparable au salazarisme. Une des caractéristiques de ce régime a été sa résistance farouche à l'attaque italienne de 1941, repoussant les troupes de Mussolini jusqu'au sud de l'Albanie, puis à l'attaque allemande. Le drapeau officiel grec de cette époque (croix blanche sur fond bleu ciel) figure souvent dans les manifestations organisées par L'Aube Dorée. Il a aussi une branche à Chypre (avec pour symbole une épée). Aux élections législatives de 2009, L'Aube Dorée n'avait obtenu que 0,28% des suffrages. Mais, en 2010, son dirigeant avait été élu conseiller municipal à Athènes.
Le tout récent succès électoral de L'Aube Dorée s'explique pour trois raisons. La première est que le parti s'est présenté comme patriote et nationaliste, stigmatisant l'attitude de l'Allemagne de Merkel. La deuxième explication tient au fait qu'il a concentré son action sociale sur les banlieues défavorisées des villes (comme Le Pirée, à Athènes). Ses jeunes militants ont distribué des sacs de nourriture et des vêtements aux Grecs nécessiteux, ils ont aidé les personnes âgées à aller chercher de l'argent à leur banque sans se faire détrousser dans la rue, et ils effectuent des rondes dans les quartiers à forte criminalité. Une activité sociale qui a été payante puisque c'est précisément dans ces quartiers que L'Aube Dorée a enregistré ses scores électoraux les plus élevés. Enfin, Nicolaos Michaloliakos a tenu à ce que les candidats viennent de toutes les couches de la société grecque pour que les électeurs puissent s'identifier à des gens proches de leurs préoccupations.
Le dirigeant de L'Aube Dorée a pour principe de ne jamais accorder d'interview aux journalistes. Une règle qu'il a enfreint le 7 mai en organisant une conférence de presse. Lors de celle-ci, il a précisé que «les traîtres qui ont mené le pays à la ruine doivent commencer à avoir peur» et que les 21 députés de L'Aube Dorée ne participeront à aucune coalition. Les deux mastodontes de la politique grecque, à savoir La Nouvelle Démocratie et les socialistes du PASOK se sont littéralement effondrés avec respectivement 18,85% des voix (108 députés) et 13,18% (41 députés). Tous les autres partis (dont de nombreuses et nouvelles dissidences anti-européennes de l'un des d'eux comme les Grecs indépendants ou les gauchistes de Syrija, sorte de NPA en version grecque) sont contre les mesures adoptées par le précédent gouvernement technocratique imposé par Bruxelles et Berlin. Aucun parti n'est dès lors en mesure d'avoir la majorité ou de former une coalition. Bizarrement, quand cela ne l'arrange pas, la «si démocratique» Union européenne, et ses relais mondialistes en France et ailleurs, ne se gênent pas pour estimer que les peuples ont mal voté (cf. le traité européen rejeté par les Français, le référendum néerlandais, celui en Irlande, Irlandais qui seront à nouveau consulté le 31 mai sur l'adoption ou non du Pacte budgétaire européen, etc). D'ores et déjà, des pressions (on devrait dire du chantage) s'exercent sur Athènes pour annuler ce si mauvais scrutin et en programmer un nouveau (deux élections législatives en six mois !) vers le 18 juin. Pas sûr que les Grecs apprécient ce énième chantage européen. En réaction, ils pourraient amplifier leurs choix du 6 mai dernier.
L'Aube Dorée : cliquez là (en grec) Mouvement du 4 août du général Metaxas : cliquez ici (en anglais)
19:23 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Manifestation nationaliste unitaire du 13 mai 2012 contre le mondialisme...
00:23 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 13 mai 2012
Le tract diffusé à 7 000 exemplaires dimanche matin à Paris par la Nouvelle Droite Populaire :
Présidentielle 2012
Un seul gagnant : le mondialisme…
Un seul perdant : le peuple français !
■ Qu’ils soient de gauche ou de « droite », les gouvernements qui se succèdent depuis des décennies mènent la même politique… à savoir une politique au service des intérêts supranationaux et mondialistes. Ils ont tous contribué à l’anéantissement de notre indépendance nationale et, à terme, de notre identité européenne.
■ Quel que fut le gagnant de la présidentielle de dimanche dernier, l’hyper-classe qui dirige le monde pouvait dormir sur ses deux oreilles, les deux finalistes étant, l’un comme l’autre, des petits valets serviles de sa volonté dominatrice. Elle veut transformer les peuples en ensembles de consommateurs déracinés juste bons à enrichir les comptes des multinationales apatrides. Pour détruire nos identités elle encourage l’immigration incontrôlée. Immigration qui engendre elle-même l’islamisation de notre société.
■ Face au mondialisme, nous opposons un ordre nouveau, nationaliste, populaire, social et identitaire. Au-delà des péripéties électorales, la Nouvelle Droite Populaire mène un combat sans concession contre ceux qui veulent la fin de notre nation et de notre civilisation.
■ Il n’y a rien à attendre des partis inféodés au Système. Nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes pour redonner à la France sa liberté et sa grandeur et à l’Europe son identité et son rayonnement.
■ Aujourd’hui, 13 mai 2012, en cette année de 600e anniversaire de la naissance de Jeanne d’Arc, symbole de la France résistante, les nationalistes sont rassemblés et manifestent pour crier haut et fort :
LA France AUX FRANçAIS !
Nouvelle Droite Populaire
Le tract de la NDP cliquez ici
23:50 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : Dimanche 13 mai, 10 h, Place de la Madeleine à Paris, TOUS A LA MANIFESTATION NATIONALISTE UNITAIRE CONTRE LE MONDIALISME....
00:35 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 11 mai 2012
CRIME DE LESE-MAJESTE...
Eh bien, ça promet ! Le journaliste Pierre Salviac s’est fait virer sans tambour ni trompette par RTL pour avoir tenu les propos suivants sur la nouvelle « première dame » : «A toutes mes consoeurs, je dis « baisez utile, vous avez une chance de vous retrouver première Dame de France »)».
Bon, ce n’est pas très délicat, c’est même carrément machiste (encore que…), mais il n’y a quand même pas de quoi fouetter une chatte. Faudrait finalement savoir ce que c’est, la liberté d’expression, au pays de Voltaire. C’est bêler comme des moutons et ne dire que ce qui plaît aux puissants du moment ? Ou c’est pouvoir exprimer le fin fond de sa pensée, même - et surtout - si ça ne doit pas faire plaisir ?
Sa saillie ne tombait pas sous le coup de la loi, non ? Alors… Une engueulade aurait pu suffire, éventuellement. De là à carrément le virer... On se croirait vraiment sous Louis XIV.
Sans compter que je trouve cette réaction, vraisemblablement venue d’en haut, particulièrement dénuée de finesse, de recul et de tout sens de l'humour. Elle donne finalement à penser qu’il a tapé juste et/ou que la « première dame » de gauche et de la main gauche est décidée à mettre les journalistes au pas tout de suite.
La plupart ont déjà compris, qui passent la brosse à reluire à tour de bras avec des « première dame » au kilomètre. Or, que je sache, Hollande, quoique père de famille nombreuse, n’a jamais été marié. Trop bourgeois, sans doute. Et sa compagne d’aujourd’hui, qui est deux fois divorcée par contre, n’est justement que sa compagne, à ce jour. A proprement parler, il n’existe pas de « première dame » officielle.
22:38 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : samedi 12 mai, VIe Conseil national de la Nouvelle Droite Populaire à Paris...
10:12 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 10 mai 2012
RAPPEL : préparons le 13 mai nationaliste, conférence ce jeudi soir, au Local...
08:08 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 09 mai 2012
Belgique : le beau droit d'asile !
Cela c'est passé la semaine dernière dans un centre dit "d'accueil des migrants" géré par la Croix Rouge, à Bierset près de Liège. De malheureux "réfugiés" allogènes en provenance d'Afrique noire, paraissant au demeurant en fort bonne forme, se sont défoulés dans de furieuses danses tribales métissées "rap", brandissant des armes de poings et mimant des exécutions...le tout filmé puis diffusé sur le site de Sudpresse !
Grand émoi parmi les angéliques organisateurs de la déferlante exotique, dont le responsable local - un certain Billy Jungling - a regretté fort amèrement ces "comportements réduisant à néant les longs mois d'effort pour faire accepter ce centre de réfugiés par les riverains". On doutera que les indigènes belges aient eu leur mot à dire pour pouvoir bénéficier de cette promiscuité imposée par les collabos de l'immigration allogène et de la mixité raciale pour le meilleur et - en l'occurrence - surtout pour le pire.
Mais tout est bien qui finit bien : il paraît que la police n'a trouvé dans l'équatorial nid de chances pour la Belgique que des armes factices ! Ben voyons ! On l'aurait presque parié ! C'est tellement mieux ainsi pour l'image du brave migrant qui va devenir un citoyen modèle du Royaume : la preuve, aux prochaines élections communales c'est 1,3 millions d'immigrés allochtones de plus ou moins fraîche date, de nationalité belge ou non, qui vont participer au scrutin et qui représentent globalement 16% des votants (9,80% en Flandre, 18,10% en Wallonie et 62,30% en région de Bruxelles).
En Belgique et partout ailleurs en Europe : Rassemblement ! Résistance ! Reconquête !
07:18 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Véronique Bouzou : Je suis une prof réac et fière de l’être...
Source Les Echos cliquez ici
La victoire de François Hollande à l’élection présidentielle coïncide avec la sortie officielle de mon nouveau livre, Je suis une prof réac et fière de l’être ! dans toutes les librairies de France. Simple hasard du calendrier ou volonté délibérée de retarder la sortie de ce pamphlet, initialement prévue début avril, afin qu’il ne puisse peser dans la campagne présidentielle ?
Je suis en droit de me poser la question car, pour ne rien vous cacher, je voulais que mon livre serve de plate-forme de propositions, notamment en matière d’éducation, à l’attention des différents candidats. J’y aborde sans complaisance les sujets tabous à l’école (autorité, violence, immigration, argent…) et appelle à libérer cette dernière de la mainmise de nombreux syndicats, associations antiracistes et lobbies communautaires qui, pendant la campagne électorale, ne se sont pas privés de soutenir publiquement le candidat PS.
Celui qui vient d’être élu Président de la République ne cesse de réclamer plus de justice et défend une politique qui se veut respectueuse de tous les Français, y compris ceux qui n’ont pas voté pour lui. Nous ne demandons qu’à le croire. Mais ce beau discours résistera-t-il à l’épreuve des faits ? Que vont devenir ceux qui se font régulièrement taxer de « réac » ? Va-t-il falloir, comme le suggère avec humour un article (cliquez ici) du portail libéral-conservateur Nouvelles de France, lancer dès maintenant une souscription à destination de ces futurs exilés afin qu’ils puissent « se présenter à l’accueil pour rencontrer leurs passeurs et récupérer leurs tickets de viande » ?
Plus sérieusement, la parole va-t-elle rester libre pour les propos jugés politiquement incorrects ? Ou bien est-ce que les procès pour « délit de pensée » vont se multiplier comme on peut le craindre ? En ce qui me concerne, les médias vont-ils annoncer la sortie de mon livre et m’inviter à débattre sur les plateaux TV comme ils l’avaient fait pour mon précédent ouvrage, Ces profs qu’on assassine ? Les libraires vont-ils le classer parmi les nouvelles parutions, comme cela se pratique habituellement, ou bien le reléguer au fond des rayons, comme j’ai déjà pu le remarquer de visu dans certaines librairies ?
Va-t-on enfin m’opposer, sous prétexte que je suis enseignante, le « devoir de réserve » pour me faire taire ? Il est vrai que les professeurs qui ne votent pas à gauche sont encore largement minoritaires, comme en témoigne ce commentaire d’un confrère récemment posté sur mon blog (cliquez là) : « Bonne chance pour votre livre que je ne manquerai pas d’acheter et de conseiller, j’aimerais beaucoup vous avoir pour collègue, je me sentirais moins seul, sur l’ensemble des professeurs de mon lycée, nous sommes trois à ne pas être de gauche... »
C’est pour tous ces enseignants quotidiennement ostracisés pour leurs convictions politiques que je continuerai à me battre. Mais aussi pour libérer l’école et surtout les élèves des tentatives de manipulations éhontées, qui s’échelonnent de la remise en cause de l’autorité du professeur jusqu’au détournement des programmes scolaires. Ce que j’ai compris en écrivant ce livre, c’est que l’école est un miroir de notre société et qu’il est illusoire de changer l’école comme la société sans une volonté politique forte. Proclamer « le changement, c’est maintenant ! » ne suffit pas. Encore faut-il être capable de faire le deuil des vielles lunes qui finissent en « isme » comme l’antiracisme, le communautarisme et l’égalitarisme au nom desquelles certains proclament par exemple que « nous sommes tous des sans-papiers » ou bien « nous sommes tous des citoyens du monde ». Alors à mon tour, je vais pour une fois faire une entorse à ma ligne de conduite et proclamer haut et fort : « Nous sommes tous réacs et fiers de l’être ! ». Un slogan qui pourrait inspirer celles et ceux qui vont faire campagne pour les législatives et ne se résignent pas à voir la gauche cinq ans au pouvoir…
Je suis une prof réac et fière de l’être…, Véronique Bouzou, Du Toucan Editions, La Boite à Pandore, 300 pages, 17,00 € cliquez ici
07:07 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 08 mai 2012
Les procureurs de comptoirs...
La Chronique de Philippe Randa
Ainsi donc, c’est la fin du Monde. En tout cas du Monde de la Droite parlementaire à l’Élysée. Mais pour certains, c’est la même chose… Ainsi a-t-on vu, entendu ou reçu via internet ces derniers jours un nombre impressionnant d’appels à « faire barrage à Hollande », émanant tout aussi bien de personnes appelant à voter coûte que coûte pour Nicolas Sarkozy, menaçant, méprisant et insultant ceux qui choisiraient l’abstention ou le vote blanc, telle la première Marine Le Pen venue… et vouant aux gémonies ceux qui voteraient « contre » Nicolas Sarkozy, que ce soit par vengeance ou par tactique, l’une et l’autre tout aussi politique… que de personnes affublant le nouveau président, non pas de tous les noms d’oiseaux de la création, mais (entre autre) d’une célèbre pâtisserie, oubliant que tous les gourmands de 7 à 77 ans l’apprécient à juste titre et que ce n’était sans doute pas le meilleur moyen de faire barrage aux hordes mélenchono-hollandaises qui prirent d’un assaut somme toute fort mesuré les urnes de cette élection présidentielle. Il est connu que ce n’est jamais en période électorale que l’adage « il faut raison garder » est le plus appliqué, la preuve en est une fois encore.
Exit donc Nicolas Sarkozy qui n’aura pas réussi le pari d’être réélu… Le résultat 51,62 % pour son rival et 48,38 % pour lui est toutefois nettement plus serré qu’on ne l’avait prévu. À tel point qu’on peut légitimement penser que bien des choses, ces derniers mois, auraient pû inverser un tel résultat.
En ce jour où tous les commentateurs s’interrogent sur l’avenir de la France durant le quinquennat à venir, nul ne semble tout de même rappeler quelques « incidences » qui ont probablement été déterminantes dans le résultat final de ce scrutin.
Tout d’abord, l’élimination de Dominique Strauss-Kahn pour causes de dérives ancillaires contrariées… Le Parti socialiste, à l’époque, le voulait pour porter ses couleurs. Il n’est pas certain que cela aurait été le meilleur choix, au-delà des révélations ou non de ses frasques sexuelles.
Nicolas Sarkozy aurait peut-être affronté plus aisément un tel Grand manitou de la Finance internationale qui aurait été un « adversaire de connaissance » davantage à sa portée.
Un François Hollande au « charisme d’oursin », bien plus « normal » que lui – à tel point que l’élu de Corrèze n’avait pas manqué de s’en vanter –, labourant les sillons électoraux de la France avec la tranquille persévérance d’un cheval de labour, s’est avéré être bien plus dangereux. On l’a vu durant le débat d’entre-deux-tours : nombreux furent ceux qui s’attendaient à une mise à mort rapide et sans bavure, un effondrement annoncé de l’insignifiant socialiste… et qui en restèrent frustrés : les attaques du candidat sortant n’entamèrent en rien l’impassible posture du successeur de François Mitterrand en qui un nombre encore plus grand de spectateurs reconnurent une « force tranquille » dont ils gardaient la nostalgie.
Mais ce ne fut pas la seule incidence… Car il y a des « accidents politiques » comme il y a des « accidents industriels ». Telle s’avéra être la candidature d’Eva Joly. N’importe quel autre candidat(e) présenté(e) par le courant écologiste aurait pu faire sans trop de mal et au pire d’une campagne qui aurait été considérée comme un échec, 3 à 4 % de plus que les 2 qu’a péniblement réunis l’ex-talibane franco-norvégienne de nos tribunaux.
Ce qui aurait empêché François Hollande d’être en tête au Premier tour et l’aurait ainsi privé d’un avantage psychologique certain auprès des indécis dont beaucoup n’aiment rien tant que d’être certains de voter pour le vainqueur final afin de s’en glorifier auprès de leurs proches les jours suivants.
Et un score écologiste plus élevé n’aurait pas été non plus sans conséquence sur ceux de Jean-Luc Mélenchon et de François Bayrou. Le premier n’aurait alors sans doute pas franchi la barre des 10 %, le second aurait reculé plus dangereusement encore en direction de celle des 5 %, si tant est que la place de l’un et de l’autre n’en eut pas été inversée.
On ne refait évidemment pas l’Histoire et celle de cette élection présidentielle est désormais écrite. Considérer qu’elle aurait pu être somme toute bien différente n’a qu’une utilité : rappeler à tous les « procureurs de comptoirs » qu’il est souvent vain de chercher à passer leur colère, à calmer leur aigreur, à déverser leur bile ou à donner de furieuses leçons à « deux balles » en désignant tel bouc émissaire ou tel autre.
00:48 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 07 mai 2012
Présidentielle : un gagnant, le mondialisme, un perdant, le Peuple français, une réponse, la résistance nationaliste...
Directeur de Synthèse nationale et membre du Bureau de la NDP
La campagne présidentielle est enfin terminée et le résultat de celle-ci est conforme à ce qui devait arriver. Cette élection relevait plus de la farce que d’autres chose puisque elle voyait s’opposer deux candidats qui peu ou prou défendaient finalement la même idéologie, à savoir le mondialisme. Or, que le mondialisme soit servi à la sauce libérale ou à la sauce sociale-démocrate, le résultat est toujours le même : la fin de notre indépendance nationale et la mort de notre identité européenne. Dans ce domaine les deux finalistes n’avaient rien à envier l’un à l’autre.
Sarkozy avait été élu, en 2007, en faisant croire aux Français qu’il allait faire une politique résolument « de droite » guidée exclusivement par l’intérêt national. J’entends encore raisonner les éloges de certains amis nationaux éblouis alors par autant d’audace. Il fallait pourtant être bien naïf pour le croire. Rappelons à ceux qui ont la mémoire courte que durant ses 5 années de règne Sarkozy s’est conduit en parfait petit valet servile des intérêts supranationaux, de la pensée unique et du politiquement correct. En effet :
- qui a fait appliquer le traité européen malgré le « non » massif des Français au référendum de 2005 ?
- qui a nommé des gadgets de gauche style Frédéric Mitterrand, Bernard Kouchner, Fadela Amara, Rama Yade, Eric Besson etc. à des postes de secrétaires d’état ou de ministres ?
- qui a pris Bernard-Henri Lévy comme conseiller particulier ?
- qui a lancé la France dans une guerre en Lybie et y a installé la charia (à moins que ça ne soit pour détruire des preuves de financements occultes …) ?
- qui a mis en place un président musulman en Côte d’Ivoire ?
- qui a réintégré la France dans le commandement de l’OTAN ?
- qui a laissé des soldats français se faire tuer en Afghanistan dans une guerre qui n’est pas la nôtre ?
- qui a augmenté la dette française de plus de 500 milliards d’euros ?
- qui a créé plus d’une vingtaine de nouveaux impôts rien que ces 5 dernières années ?
- qui a laissé plus de 200 000 immigrés rentrer légalement en France chaque année ?
- qui a reconnu l’indépendance de l’état fantoche et musulman du Kosovo ?
- qui explose tous les records de chômage et aggrave la précarité dans notre pays ?
Il est facile de brandir le drapeau tricolore un mois durant avant les élections, mais il est plus difficile de faire oublier son triste bilan et de berner les Français deux fois de suite. Le résultat est là : un mondialiste « de droite » est battu et un mondialiste de gauche est élu. Dans cette présidentielle il y a donc un gagnant : le mondialisme, et il y a un perdant : le peuple français.
Dans cette élection, la position de la Nouvelle Droite Populaire a été des plus claires. Sans se faire aucune illusion sur la politique qu’aurait continué à mener Sarkozy s’il avait été réélu nous avons refusé d’emblée d’être associés à l’arrivée de la gauche au pouvoir. Nous avons donc laissé le libre choix à nos adhérents entre ce que certains d’entre eux considéraient comme un moindre mal, le vote Sarkozy malgré tout, le vote blanc ou l’abstention. De même, au sein de l’Union de la Droite Nationale, certaines composantes ont fait un choix beaucoup moins nuancé que le nôtre. C’est leur strict droit. Une union implique des différences, c’est ce qui fait sa force. L’élection est passée nous ne reviendrons donc pas sur le choix de chacun. Ce qui compte maintenant, c’est l’avenir. Et avec tout ce que nous concoctent les socialistes, nous avons de bonnes raisons de penser que celui-ci ne sera pas vraiment rose.
Hollande et les siens l’ont d’ores et déjà annoncé : ils veulent donner le droit de vote aux immigrés, légitimant ainsi l’implantation sur notre sol de populations venues d’ailleurs et dépeçant encore plus la France de son identité avec tout ce que cela peut impliquer. Rappelons qu’en 2007, Sarkozy était aussi favorable à cette mesure. Nous, nationalistes, nous avons toujours été contre ce droit de vote puisque nous sommes contre l’immigration. Lors des législatives qui se dérouleront les 10 et 17 juin prochains, nous présenterons des candidats à travers toute la France. Ceux-ci feront campagne pour rendre la France aux Français.
Face au mondialisme, il n’y a qu’une réponse à imposer : la résistance nationaliste. Et le premier rendez-vous de cette résistance nationaliste, ce sera dimanche prochain 13 mai, à 10 h, place de la Madeleine à Paris.
10:49 Publié dans Editoriaux, Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La « France du changement » se défoule dans la violence
Par Jean-Pierre Grunberg
Source Dreuz.info cliquez ici
Ce soir, l’élection de François Hollande est fêtée comme il se doit. Côté pile, on vous montre des jeunes qui brandissent des pancartes « Pour une France apaisée ». Et côté face, on ne vous montre pas la place du Capitol*, à Toulouse, ou des violences ont éclaté.
On ne vous montre pas non plus les drapeaux algériens, palestiniens, Place de la Bastille. Je me demande ce qu’ils faisaient là, mais je sais que si quelqu’un les avait brûlés, il y aurait eu une guerre civile.
On ne vous dira pas que dans le 93, le 77 et à Toulouse, dans le 91 et le 92, à Nanterre, ça caillasse et brule des poubelles, et que la police a ordre de pas intervenir.
L’Est Républicain rapporte qu’à Clichy-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis, des voitures ont été brûlées, puis que "la police est passée et comme les jeunes n’aiment pas la police, ils ont commencé à caillasser avec des bouteilles", a raconté un fonctionnaire de la mairie, sous couvert d’anonymat.
Selon d’autres témoignages, des jeunes ont pris de l’essence et mis le feu sur un véhicule abandonné, puis sur un autre. Un cordon de sécurité a été déployé sur place, où une vingtaine de voitures des forces de l’ordre ont été déployées, interdisant l’accès à la mairie, a-t-on indiqué de même source.
« Les pompiers sont intervenus, un cordon policier a été mis en place de manière préventive et le préfet Christian Lambert s’est rendu sur place», a confirmé une source préfectorale… »
Vous ne saurez pas qu’à Marseille, un cocktail Molotov a été jeté sur le commissariat du 3ème arrondissement.
Ni que dans le 20e à Paris, c’est la guerre urbaine contre les policiers : avec des tirs de mortier et plusieurs agressions contre les policiers.
Sur l’ensemble des arrondissements parisiens, ce soir, les policiers en patrouille et en intervention se font insulter.
Dans le 93 ça brûle, et les policiers se font caillasser. Des effectifs de police du 92 ont essuyé des jets de projectiles.
Quelques villes du 93 brûlent, et à Saint Denis, la police se fait caillasser.
Sur les Champs Elysées, les boutiques ferment et les CRS chargent. Ça commence…
Plusieurs « jeunes » s’attaquent verbalement aux policiers à Paris, lesquels ne peuvent intervenir. Il y a des rodéos sauvages un peu partout.
Ordre a été donné aux policiers de quitter les secteurs sensibles.
* Hier soir, une source m’a indiqué avoir vu des drapeaux français brûler à Toulouse. Comme des drapeaux français avaient été brûlés, sur cette même place, en 2007, je n’ai pas été très surpris, et j’ai repris l’incident dans mon article. Et pour être totalement transparent, j’ai également illustré cela d’une photo d’archive.
Il y a quelques minutes, cependant, j’ai reçu un démenti, aussi ai-je décidé, en attendant d’en savoir plus, de retirer de mon texte les références à des drapeaux brûlés, hier soir, à Toulouse, place du Capitole.
07:10 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |