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mercredi, 28 mars 2012

Synthèse nationale n°26, abonnez-vous...

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N°26 - 134 pages - 12,00 €

Au sommaire :

Au-delà de la Présidentielle : la bataille finale…

  l’éditorial de Roland Hélie

■ Le capitalisme en crise…


  la chronique de Patrick Parment

■ Focus sur Najat Vallaud-Belkacem…

  par Luc Pécharman

■ GUIDE DE SURVIE DANS UNE SOCIÉTÉ ISLAMIQUE

  présenté par Robert Spieler

■ La surpopulation : mythe ou réalité ?

  par Arnaud Raffard de Brienne

■ LA SOCIETE OUVERTE NOUS AMENE AU NIHILISME 

  par Georges Dillinger

■ FN… Tout ça pour ça ! Un grand entretien avec Anne Kling

En 2012, l’Oncle Sam hors de danger ?

  par Pieter Kerstens

■ Le handicap structurel France /Allemagne

  face à l’euro et l’Europe Puissance…

  par Marc  Rousset

■ Les racines brunes du Parti socialiste autrichien… 

  par Lionel Baland

Pour défendre un peuple persécuté :

  l’acte ultime du Colonel Robert Jambon…

  par Paul Vigne

DEFENSE DE L’OCCIDENT :

  HISTOIRE D’UNE REVUE NATIONALISTE…

  par Francis Bergeron

■ Les rubriques du Marquis, par Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, de Jean-Claude Rolinat, de Patrick Gofman, de Philippe Randa…


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Synthèse nationale est en vente à Primatice (Bad street shop), 10 rue Primatice 75013 Paris (métro Place d'Italie)

23:26 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un nouveau livre d'Hervé Ryssen...

Ryssen-comrendre-le-judaisme.jpgTout le monde entend parler des juifs, mais bien peu de gens les connaissent vraiment. Qui sont-ils ? En quoi se distinguent-ils du reste de la population ?

 

Ces questions sont d’autant plus importantes que le peuple juif joue un rôle central dans l’évolution de l’humanité. On cite souvent Marx, Freud et Einstein, qui ont personnifié un temps le génie du judaïsme.

 

Aujourd’hui, l’apport des juifs à la culture mondiale est d’une richesse extraordinaire. Leur amour de la paix, de l’égalité et de la tolérance, leur combat inlassable pour les droits de l’homme, font d’eux les meilleurs défenseurs de l’idéal démocratique. Alors comment expliquer l’antisémitisme ?

 

Ce petit livre est une synthèse des six livres d’Hervé Ryssen parus sur le sujet et publiés entre 2005 et 2010. Ils sont indispensables pour comprendre le monde contemporain.

 

Format poche (10,5 x 15 cm). 144 pages, 8 € + 2 € de port. Chèque à l'ordre de LALIN, 14 rue Brossolette, 92300 Levallois (ce n'est qu'une boîte aux lettres).

 

Source cliquez ici

09:20 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 27 mars 2012

Mercredi à 18 h 00 : Roland Hélie invité par Martial Bild sur Radio Courtoisie...

imagesCA9JOSDT.jpgMercredi 28 mars, à 18 h 00, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, sera invité par Martial Bild à son libre journal sur Radio Courtoisie. Thème de cet entretien : l'histoire de la Droite nationaliste sous la Ve République. Thème qui sera aussi traité jeudi soir lors d'une conférence au Local (92, rue de Javel 75015 Paris).

Pour écouter Radio courtoisie cliquez là

00:21 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 25 mars 2012

"Les brigades internationales de Franco", un livre de Sylvain Roussillon...

1284-1207-large.jpgSujet sensible, douloureux, profondément ancré dans l'histoire collective de la péninsule ibérique, la guerre d'Espagne a été relatée de multiples manières au gré des décennies. Les historiens ont beaucoup insisté sur l'aide des Brigades internationales aux Républicains, mais jamais inventorié dans leur ensemble les forces internationales dont bénéficia le général Fransisco Franco. Et si l'on sait l'importance de la légion Condor et des combattants italiens, l'on ignore encore l'engagement non moins décisifs de volontaires irlandais, français, anglo-saxons, russes, portugais, nord-africains, marocains, asiatiques, juifs et même musulmans.

Sylvain Roussilon comble ici cette lacune, loin des clichés réducteurs et des visions partisanes, au terme d'une enquête auprès des témoins et de fonds d'archives encore inconnus du grand public.

Préface de Pascal Le Pautremat, 362 pages, Editions Via Romana, 2012, 24,00 €

En vente à la Librairie française : cliquez ici

12:00 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 23 mars 2012

Mohamed Merah, un tueur très populaire sur facebook...

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Une photo de Mohamed Merah postée sur facebook, précédée de la mention « combien de jaime pour mohamed merah », a beaucoup de succès. A 14 heures 15 ce vendredi, près de onze mille personnes avaient cliqué sur « j’aime », manifestant un soutien à l’assassin de sept personnes, dont l’identité a tant déçu la presse.

La page est consultable ici.

A lire les commentaires, on se dit que dans le domaine de l’orthographe et de la grammaire, il y a aussi un espace pour cette diversité tant prônée par nos dirigeants.

[MàJ] : A Rouen, un professeur a demandé à ses élèves d’observer une minute de silence à la mémoire de Mohamed Merah. Luc Chatel, ministre de l’éducation (sic) nationale (sic), a immédiatement demandé au recteur de Rouen de la suspendre.

Source Contre-info.com cliquez là

23:04 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LA LIGNE DE FRONT...

160312_073121_PEEL_t85sB5.jpgEditorial de Militant de ce mois

Depuis quelques semaines, les médias occidentaux ne cessent de tirer à boulets rouges sur la Syrie de Bachar El Assad, dernier régime laïc et nationaliste du monde arabe depuis la destruction du régime baassiste de Saddam Hussein sous de faux et scandaleux prétextes en 2003. Or le régime de Damas avait, jusqu’à la déstabilisation actuelle, activée par Washington et différents services secrets occidentaux, assuré la paix et la concorde dans cet Etat multiconfessionnel où vit une forte communauté chrétienne. Est-ce son crime ?

Quelques mois auparavant, nous avions assisté à l'entreprise de diabolisation de Kadhafi et à son lynchage politique et physique, alors que celui-ci, depuis quelques années, contribuait pourtant à stabiliser la région sahélo-saharienne ; mais il voulait réduire en Libye les profits des grandes compagnies pétrolières et mettre en place un financement indépendant de l’Afrique : cela ne lui a pas été pardonné.

Quant à l'Iran d'Ahmadinejad, il est de plus en plus assourdi par les bruits de bottes qui se font entendre depuis l'Etat juif de Palestine qui joue les voltigeurs de pointe, envisageant froidement des frappes atomiques sur l'Iran dont chacun sait qu'elles feraient plusieurs millions de morts.

De même, la Russie de Vladimir Poutine est-elle vilipendée dans toute la "grande" presse. Son crime ? Refuser de passer sous les fourches caudines de Wall Street et de la City, de bloquer les menées du mondialisme dans son étranger proche, que ce soit sous forme d'un bouclier anti missile – en fait un bouclier anti-russe – déployé à ses frontières par l'Otan sous le fallacieux prétexte de se protéger de l'Iran, ou sous la forme de mouvements subversifs comme les "révolutions de couleur". Pour les mêmes raisons, la Biélorussie d'Alexandre Loukachenko est aussi ostracisée.

Nous pourrions continuer avec la Hongrie de Viktor Orban qui défend la morale naturelle et affirme les droits de la nation hongroise contre le diktat des sicaires de l’Union Européenne, cheval de Troie du mondialisme en Europe, mais aussi, outre Atlantique, avec le Venezuela de Chavez et même avec le régime castriste.

Le point commun de tous ces régimes et de ces hommes politiques est de refuser de se plier aux directives de la "communauté internationale". Mais qu'est-ce que cette "communauté internationale" dont nous ne cessons d'entendre parler ? C'est tout simplement le syndicat de défense de la finance mondialisée et de l'entité sioniste de Palestine. Nous y retrouvons comme agents exécutifs les dirigeants états-uniens et leurs alliés des classes politiques démocratiques du monde occidental.

C'est alors que nous comprenons que la ligne de front passe à l'intérieur de nos nations. Non pas entre la droite et la gauche, qui ne sont que les deux faces du janus démocratique et cosmopolite, mais entre ceux qui veulent le retour des nations, et en premier lieu à la restauration de leur souveraineté, notamment financière : il faut rejeter un endettement illégitime qui les enchaîne à des banksters sans visage qui noyautent des régimes stipendiés, tandis qu’ils encouragent l’immigration de masse inassimilable pour peser à la baisse sur les salaires des nationaux en procédant à une substitution de population et en réduisant les classes laborieuses à la loi d'airain à laquelle elles étaient parvenues à échapper au cours du XXe siècle. Mais elle passe aussi entre ceux qui soutiennent le sionisme international et ceux qui en dénoncent les intérêts qui ne sont pas ceux de notre civilisation : là se situe l'ultime ligne de front.

Conscient de cette réalité, MILITANT, fidèle à la doctrine nationaliste, réaffirme plus que jamais la nécessité du recouvrement d’un Etat national dont les nations d'Europe, et la France en particulier, ont été dépossédés.

Militant cliquez ici

22:39 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A hurler de rire : DU RIFIFI CHEZ LES PETROLEUSES DE L'ANTI-RACISME PATENTE...

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Caroline Fourest, lauréate d'un « Y'a bon Award », attaque Rokhaya Diallo

Source Rue 89 cliquez ici

Créés en 2009 par l'association Les Indivisibles de Rokhaya Diallo, les Y'a bon Awards distinguent ce qu'ils estiment être les pires déclarations xénophobes et/ou racistes tenus par des personnalités. L'année dernière (cliquez là), Eric Zemmour, Robert Ménard et Jean-Paul Guerlain ont été récompensés.

 

Le principe, contestable, de cette distinction infamante, peu transparente, non contradictoire, a peut-être atteint ses limites cette année : lundi, la journaliste Caroline Fourest (Le Monde, France Culture) a obtenu le Y'a bon Award des « experts chronikers » pour avoir dénoncé, le 11 décembre 2010, des « associations qui demandent des gymnases pour organiser des tournois de basket réservés aux femmes, voilées, pour en plus lever des fonds pour le Hamas ».

 

« N'est-ce pas un peu gros ? »

 

La chroniqueuse, qui se définit comme « antiraciste », s'en est indignée dans une note de blog intitulée « Les Y'a bon Awards déshonorent l'antiracisme » :

« Décerner un prix du racisme à une antiraciste. N'est-ce pas un peu gros ? Vous connaissez la formule, un peu modifiée. Les salauds osent tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. »

 

Dans cette note, elle s'en prend à la vision du monde de Rokhaya Diallo (cliquez ici),  qui veut un modèle basé sur les statistiques ethniques et une laïcité à l'anglo-saxonne, « ouverte aux religions et même à l'intégrisme ».

Caroline Fourest rappelle d'ailleurs que Rokhaya Diallo a collaboré avec le département d'Etat américain dans le cadre de International Visitor Leadership.

 

« Et ce malgré ses liens avec les Indigènes de la République et leurs alliés islamistes. »

 

La journaliste se dit également victime d'un jury partial.

 

« La complicité de certains membres du jury ne m'étonne guère : Jean Baubérot (pape des accommodements raisonnables à la canadienne), Frédéric Martel (qui a juré de me faire payer une chronique sur Martine Aubry et va jusqu'à me traiter de sarkozyste pour tenter de me discréditer… On rêve ! ), un journaliste de Politis qui trouve que j'ai eu tort de dénoncer le double discours de Tariq Ramadan, et bien sûr, la spécialiste de l'amalgame féminisme = racisme : Nacira Guénif (auteure d'un livre pro-voile hallucinant sur les “ Féministes et le garçon arabe ”). »

 

Caroline Fourest mentionne ici quatre jurés sur quatorze. Dans le jury, il y avait aussi Florence Aubenas (journaliste), Faïza Guène (romancière), Jalil Lespert (comédien), Youssoupha (rappeur), Aissa Maïgua (actrice).

 

Diffamation, injure, voire incitation à la haine

 

La chroniqueuse, qui considère que les mots qui lui sont reprochés faisaient partie d'un « discours sur l'égalité », annonce qu'elle porte plainte contre l'association et les membres de ce jury, « pour diffamation et injure voire pour incitation à la haine ».

 

A noter, Christophe Barbier (L'Express) s'est quant à lui vu décerner le Y'a bon Award « enquête exclusive, en partenariat avec le journal Minute » pour son éditorial du 18 février 2010 sur le Quick halal :

« Après la burqa et les minarets, à chaque fois c'est la même chose. [...] La République laïque doit imposer sa loi à ceux qui tentent d'en imposer une autre, assez souvent intégriste. »

00:15 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi, c'est le jour de Rivarol !

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Chez votre marchand de journaux : 3,50 €

00:05 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 22 mars 2012

DEFENDRE L'EMPLOI !

23:13 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La cérémonie des Bobards d'Or organisée mardi dernier par Polémia...


3e éditions des Bobards d'Or - 20 mars 2012 par Agence2Presse

21:06 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

UNE ORDURE ISLAMISTE EN MOINS...

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Source Le blog des Rivaroliens cliquez ici

Mohamed Merah est mort lors de l'assaut du RAID. Selon Guéant sur BFM TV, le tueur a jailli de la salle de bains avec des armes à feu et tiré en rafale sur le RAID, avant de se jeter par la fenêtre. La chute a été mortelle.

Mais pour un islamiste mort, combien se cachent encore en France? Combien admirent le fou furieux qui a fait la une des journaux et de toutes les chaînes pendant plus de trente heures, combien aspirent à une même fin "les armes à la main"?

Toulouse est sans doute soulagée, mais l'élément effrayant de cette affaire est la révélation que l'homme était surveillé et connu pour ses voyages au Pakistan, ses entraînements de djihadiste. Combien d'apprentis terroristes laisse-t-on habiter paisiblement sur notre territoire ? Il n'est pas paranoïaque de se poser la question...

Il serait sans doute temps à présent de traquer et chasser, emprisonner ou exécuter tous les islamistes entraînés qui évoluent pour l'heure sans encombre au milieu de civils désarmés et innocents.

19:41 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La tartufferie journalistique...

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Nicolas Chapuis, « journaliste » au Nouvel Observateur, se confie sur twitter :
« Putain je suis dégoûté que ce soit pas un nazi »
« ça aurait été effectivement plus simple », lui répond un collègue journaliste et réalisateur…

Le comble de la tartufferie journalistique…

19:17 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

PAS D’AMALGAME QU’ILS DISENT…

images.jpgLe bloc note de Jean-Claude Rolinat

Les représentants des communautés religieuses sont émouvants. Les yeux dans les yeux, presque la main dans la main, ils appellent toujours à plus de tolérance et de paix. C’est leur rôle, leur mission, ils ont étudié et sont payés pour ça. Un rabbin, un homme d’église, un imam sous le beau ciel de notre belle République ne sont pas là pour attiser la haine, non ? Manquerait plus que ça ! Et surtout, surtout, pas d’amalgame !

 

Le fait que l’assassin de trois militaires et le tueur de trois enfants de confession juive, Mohamed Merah, ne soit ni sikh, ni hindou, ni catholique, ni réformé, ni copte, ni orthodoxe, ni shintoïste, ni zoroastrien n’est que le fait, sans doute, d’un mauvais hasard. Imaginons que le criminel se soit appelé Dupont-Lajoie et qu’il soit un  consommateur de porc de première et, en plus, circonstance aggravante, qu’il ait une fois dans sa vie, voté pour un parti de la Droite Nationale, quel jet d’injures, quel tombereau d’invectives, quelle marée d’indignation déferleraient sur notre paysage médiatique. Nous aurions droit à la mise en lumière de l’éternelle équation inventée par nos beaux  esprits de gauche : Nazi=fascisme=Vichy=extrême droite=droite de conviction…

 

Patatras, le beau scénario qui nous aurait valu un Carpentras bis s’est effondré à l’instant même où était révélée l’identité du terroriste djihadiste. Français de papier qui a froidement abattu  des hommes  parce qu’ils portaient un uniforme honni et tué d’innocents enfants d’une confession détestée en raison d’ évènements complètement extérieurs au périmètre français, voilà de quoi faire réfléchir celles et ceux qui se réjouissaient des révolutions du « printemps » arabe. Lequel dessine les contours d’un hiver islamiste  en Tunisie, Libye, Egypte en attendant, peut-être, le tour de la Syrie. Combien y-a-t-il d’autres bombes ambulantes  de cette nature, chargées de haine jusqu’à la gueule?  Gardons-nous, bien sûr, de généraliser. Si tous les musulmans, d’évidence, ne sont pas des terroristes en puissance,-combien de « chibanis » vivent tranquilles en nos murs et ne demandent qu’à partager notre soleil-, tous les terroristes islamistes sont des Mahométans. Et surtout, encore une fois, pas de confusion , disons « ethno-géographique » : tous les arabes ne sont pas musulmans et la première puissance musulmane au monde, c’est l’Indonésie.

 

En attendant, cette tragique actualité a fait passer à la trappe un autre atroce fait divers : une « chance pour la France », récidiviste, est  très fortement soupçonné d’avoir tué une adolescente à Bouguenais, au sud-ouest de Nantes. Ainsi va ce pays qui fut, jadis et hier, un pays de cocagne…

18:59 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

SALE TEMPS POUR LES HYENES !

Source Terre et Peuple cliquez ici

 

Depuis la tuerie de l’école juive, la curée allait bon train. Au mépris de toute prudence, le grand rabbin de France, Gilles Bernheim, le patron de la LICRA, Alain Jakubowicz, celui de SOS Racisme, Dominique Sopo, comme les dirigeants et les médias d’Israël, des politiques comme Jean-Luc Mélenchon, et la plupart des journalistes et chroniqueurs qui comptent, tout ce joli petit monde s’était engouffré dans la voie qui leur allait si bien : celle du retour de la bête immonde et des heures les plus sombres de l’histoire de France.

 

Pensez ! Un « tireur fou » éligible au grade de membre d’honneur de la SS pour oser abattre à bout portant des enfants juifs innocents. Et, en plus d’être antisémite, il était raciste puisqu’il avait tué des militaires d’origine maghrébine et antillaise. Son profil était tout trouvé. Et cela tombait bien : trois parachutistes, blancs et de souche, avaient été exclus du 17ème RGP pour s’être déguisés en nazillons un soir de Mardi Gras trop arrosé.

 

On imaginait déjà, les yeux embués par l’émotion, le grand défilé républicain qui aurait réuni, de Bastille à République, ou de la Concorde à l’Etoile, des centaines de milliers de manifestants qui auraient marché, au péril de leur vie, pour dénoncer la montée du fascisme. On y aurait vu toutes les organisations qui nous maintiennent dans la vigilance : SOS Racisme, la LICRA, l’UEJF, le MRAP… On y aurait rencontré tout l’éventail de la politique française, de Bayrou à Mélenchon, en passant par Copélovici, Moscovici et Cohn-Bendit.

 

Tous ces braves gens auraient susurré à l’oreille de Sarkozy et Guéant qu’il fallait interdire le Front National, dissoudre tous les mouvements « d’extrême-droite » et embastiller leurs dirigeants. Et même si on n’allait pas jusque là, c’en était fini des espoirs de Marine Le Pen. La plupart de ses électeurs l’auraient abandonnée pour reporter leurs voix sur le « Père de la Nation » de l’Elysée. En quelque sorte, « Carpentras II, le Retour ! »

.

Patatras ! Le tueur fou – sans doute pas si fou que cela –, Mohammed Merah, est un Français d’origine algérienne qui s’est formé dans les camps du Pakistan. Ce djihadiste a donc tué des enfants juifs pour venger les enfants palestiniens. Et s’il a tué des parachutistes, ce n’est pas parce qu’ils étaient antillais ou maghrébins, mais pour punir la France de combattre en Afghanistan (il faut rappeler que 20 à 30% des effectifs de l’Armée, y compris dans les troupes d’élite, sont d’origine immigrée : ce n’était pas du racisme, mais une coïncidence).

 

Qu’est-ce qui menace la France ? Le retour de la bête immonde ou plutôt une immigration sans frein qui sévit depuis un demi-siècle et détruit peu à peu notre pays ? Une immigration dont les rejetons, nouveaux damnés de la Terre, sombrent dans un islam fanatique et le djihad mortifère qui en découle logiquement.

 

Alain Cagnat

09:08 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

19 mars : compte-rendu de manif du Renouveau français à Paris

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Source Contre-info.com cliquez ici

 

Bravo au RF d’avoir sauvé l’honneur à Paris.


Compte-rendu trouvé sur le site du mouvement :

 « Ce 19 mars, la section parisienne du Renouveau français a organisé une manifestation à l’occasion de la célébration mensongère du « 19 mars 62 » par les forces politico-médiatiques.

Une manifestation pour l’honneur, mais aussi une manifestation de dénonciation et de revendication. Il s’agissait de s’en prendre à l’escroquerie qui consiste à présenter le 19 mars 1962 comme la fin de la guerre d’Algérie et comme un « cessez-le-feu ».

Il est intolérable de voir fleurir les places, rues et pont « du 19 mars 1962 ».


Un cortège solennel s’est donc élancé au son du tambour, muni de flambeaux, drapeaux au vent.
Les slogans et chants se succédèrent. Direction la « place du 19 mars 1962 », que l’on doit au sinistre Delanoë, dans le 12e arrondissement parisien.

 

Arrivés sur place, le directeur du RF, Thibaut de Chassey, rappela la réalité de l’après « 19 mars », qui fut en fait le début des massacres de masse.


Plus de 100 000 musulmans pro-français suppliciés, 5000 Européens disparus (hommes lentement mis à mort, femmes et jeunes filles réduites à la prostitution et victimes de la traite des Blanches), plus d’un million de Pieds-Noirs exilés, abandonnant tout derrière eux et fort mal accueillis en métropole.


Ajoutons au bilan près de 30 000 jeunes soldats français sacrifiés pour rien.

L’Etat FLN, qui n’a pour politique à proposer à ses citoyens que la haine et le ressentiment antifrançais – basés sur la falsification de l’histoire -, a été vigoureusement dénoncé.


Héritant d’un pays bâti par la France, avec de nombreuses infrastructures et des ressources exceptionnelles, le FLN n’a rien su faire et aujourd’hui les anciens terroristes les plus en vue viennent se faire soigner à Paris, chouchoutés par les Hollande et Sarkozy.

La trahison de De Gaulle a été pointée du doigt.


Le lien entre la conclusion honteuse de la guerre d’Algérie, pourtant gagnée militairement, et la situation française actuelle a été mis en valeur. La France algérienne à laquelle nous avons droit en est une conséquence.
Notre directeur a conclu en exigeant le rétablissement de la vérité sur l’œuvre française en Algérie et la fin de cinquante ans de mensonges et d’injustice.

 

Puis Roger Holeindre, président du Cercle national des combattants, a pris la parole pour dénoncer en termes vifs la trahison des autorités en 1962, l’arnaque des « accords d’Evian » et évoquer non sans émotion le sort tragique qui en a résulté pour tant de familles.

 

Enfin, Pierre Descaves, ancien résistant de l’Aglérie française, prit le micro pour conclure en nous mettant en garde contre les menaces que nous réserve la situation française actuelle : une nouvelle « guerre d’Algérie » à l’envers est à craindre ici. Il nous expliqua qu’il faudra peut-être, demain, défendre le territoire national, défendre nos familles face à un ennemi haineux et cruel, qui se développe grâce à la lâcheté et la complaisance des pouvoirs publics.

 

Pour l’anecdote, quelques dizaines d’opposants (gauchistes et immigrés haineux munis de drapeaux FLN) ont tenté de s’en prendre par deux fois à la manifestation. La première fois, au début de notre rassemblement, ils ont renoncé à s’approcher trop près… La seconde, après la dispersion de nos militants, ils ont tenté d’attaquer un groupe qui s’était attablé dans un bistrot du quartier. Mauvaise idée : les assaillants ont dû rapidement déguerpir, non sans souvenirs désagréables et après avoir blessé un policier qui se trouvait à proximité. Du côté patriote, personne n’a été incommodé, mais notre mégaphone a été cassé (vous pouvez financer l’achat d’un nouveau modèle(vous pouvez financer l’achat d’un nouveau modèle ici). »

08:56 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

En France comme dans le monde, l’islamisme tue...

70b77ac4-b176-11dd-a4cd-8abe6e7402a3.jpgUn communiqué du

Parti de la France :

 

Le Parti de la France s’est associé à la douleur et au deuil de toutes les victimes civiles et militaires du tueur islamiste Mohamed Merah.

 

Le Parti de la France tient à rendre hommage à l’efficacité de l’ensemble des services de police qui ont permis la neutralisation du Djihadiste et attend que l’enquête soit enfin l’occasion de faire toute la lumière sur la présence et l’organisation des militants et cellules terroristes islamistes sur le territoire français. L’enquête devra aussi établir les liens entre le tueur et les réseaux de l’Internationale révolutionnaire islamiste et permettre d’analyser la logique politique du choix du passage à l’acte en pleine campagne électorale présidentielle.

 

Il faut, une fois de plus, rappeler la lourde et dramatique responsabilité des gouvernements, des partis politiques, des ligues et associations de tous genres dans le processus de destruction de l’identité française et de l’unité nationale par l’organisation délibérée d’une immigration massive extra européenne.

 

Ceux qui appellent aujourd’hui à l’unité nationale sont les mêmes qui ont mené depuis 30 ans et de manière systématique des politiques de désintégration nationale.

 

Le Parti de la France les accuse d’avoir créé les conditions historiques des drames d’aujourd’hui et de demain et appelle les Français, avant qu’il ne soit trop tard, à refuser la colonisation islamique de la France et de l’Europe.

08:46 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le tueur au scooter cerné par la police : les profileurs médiacrates avaient tout faux...

3190468828.jpgPar Yves Darchicourt

 

Déconvenue, désappointement, déception, frustration dans la gent médiatique depuis ce matin. L'impensable est arrivé : le tueur au scooter n'a rien du gaulois bon teint endoctriné dans une quelconque résurgence de la bête immonde! L'homme au 11/43 qui a abattu trois militaires, un enseignant et trois écoliers serait Mohamed Merah un franco-algérien musulman !

 

Pourtant l'affaire semblait parfaitement calée: sept victimes dont deux maghrébins, un antillais et quatre juifs. L'ignoble ne pouvait donc qu'être un nervi de la droite la plus extrème, un seide raciste, islamophobe et, horresco referens, antisémite. Du tout cuit pour une campagne délirante contre les partis politiques, associations et militants nationalistes et identitaires; une campagne d'ailleurs en train de s'orchestrer dans les médias par le jeu perfide des allusions, des sous-entendus et des parallèles oiseux pour lier indissociablement l'auteur des faits à la droite nationale. Puis seraient venus les péroraisons grandiloquentes, l'indignation ciblée, les anathèmes, les interdits et les mesures liberticides...

 

Et patatra, c'est à la fois la Bérézina, Waterloo et Juin 40 pour la médiacratie et le politiquement correct! L'union sacrée contre l'Hydre va tomber en quenouille et les médias vont maintenant devoir s'atteler à une autre tâche : faire en sorte que le citoyen gaulois voit en Mohamed Mehra non pas un immigré algérien devenu soldat de la guerre sainte mais un déséquilibré isolé et mythomane dont le délire meutrier n'entache en rien notre belle politique d'accueil et de tolérance. Le pire est qu'ils vont sans doute y arriver !

08:41 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 20 mars 2012

L'Afrique Réelle N° 27 - Mars 2012

bernardlugan281p.jpgPar Bernard Lugan

L'Afrique réelle cliquez ici

 

Conséquence de la malencontreuse intervention franco-otanienne, l’éclatement de la Libye a déjà des conséquences géopolitiques dont nous sommes encore loin de mesurer les effets à moyen et à long terme [1].

 

Les décideurs français n’ignoraient pourtant pas que la Libye n’est pas un Etat, mais un conglomérat tribal engerbant la Tripolitaine qui regarde vers Tunis, la Cyrénaïque tournée vers Le Caire et le Fezzan qui plonge vers le bassin du Tchad et la boucle du Niger. Ils savaient qu’au départ le mouvement n’était qu’une dissidence régionaliste née en Cyrénaïque et renforcée d’une manière opportuniste par le soulèvement de la minorité berbère vivant dans le djebel Nefusa, à l’Ouest. Leurs conseillers ne leur avaient pas caché que l’épicentre de la « révolution » était la région de Benghazi, capitale de cette Cyrénaïque dissidente à l’époque ottomane, rebelle durant l’Impero italien et insoumise ensuite.


Ce fut donc bien dans une guerre civile que le président de la République immisça la France, au profit d’un camp contre un autre, trompant la Chine et la Russie sur ses intentions réelles tout en transformant un mandat onusien limité à la protection des civils de Benghazi en un droit de guerre étendu à l’ensemble du pays.

 

Reconnu par la France comme « le seul représentant légitime des populations libyennes » dès le 10 mars 2011, le CNT a depuis démontré qu’il ne représente que lui-même. Pendant un temps, sa seule marge de manoeuvre fut de donner des gages à certaines tribus tout en essayant de ne pas s’aliéner les autres. Aujourd’hui, alors que son autorité ne dépasse pas l’antichambre du bureau de son président, la Cyrénaïque vient de faire sécession.

 

Le dossier central de ce numéro de l’Afrique Réelle est consacré au pétrole car le continent fonde d’énormes espoirs sur des découvertes qui se multiplient depuis une décennie. Est-il pour autant cet eldorado décrit par certains observateurs ? La réponse doit être nuancée.


Aujourd’hui, l’Afrique dans son ensemble n’assure en moyenne que 15% de la production mondiale et ses 24 pays extracteurs ne produisent à eux tous pas davantage que l’Iran, le Mexique et le Venezuela réunis. De plus, dans l’état actuel des découvertes, elle ne détient qu’entre 8 et 10% des réserves mondiales prouvées, soit à peu de choses près l’équivalent de celles du seul Iran.


Cependant, de très importantes découvertes étant attendues ou annoncées en off shore et en off shore profond ainsi qu’en on shore, la place de l’Afrique dans la production mondiale va nécessairement augmenter. La question qu’il est donc légitime de poser est de savoir si le pétrole va pouvoir, à lui seul, sortir le continent de sa situation actuelle. Aura-t-il un effet d’entraînement sur des économies sinistrées ?


En Algérie et au Nigeria, la manne pétrolière n’a pas provoqué de décollage et le « tout pétrole » y a détruit une agriculture jadis florissante. Partout, il a provoqué la corruption, le gaspillage et même, ce qui est un comble, les pénuries en produits pétroliers.

 

En définitive, le pétrole n’a pas enrichi les Africains, mais des Africains, quelques Africains. Il a d’abord servi à se servir.

[1] Voir à ce sujet les numéros de janvier et de février de l’Afrique Réelle.

 

Bernard Lugan dans Le Monde  cliquez ici

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Des crimes odieux dans une société sans repères

Le billet de Patrick Parment

Assassiner des enfants ne peut justifier aucune cause si ce n’est celle de l’odieux. Dans l’assassinat de trois militaires maghrébins et de quatre écoliers juifs, il est évident que la première raison qui vient à l’esprit est celle d’un racisme primaire autant que brutal.

Toutefois, on ne saurait se satisfaire de cette simple explication.

Pourquoi un tel acte est-il rendu possible dans une société entièrement vouée à la consécration des droits de l’homme ? Parce que malgré, cela, cette société a perdu tout sens « communautaire » (au sens de communauté de destin), toute notion de solidarité et qu’elle est minée par un individualisme dévastateur. Au nom de cet individualisme, la société a versé entièrement dans la permissivité brouillant ainsi tous les repères sociaux : Pacs, mariage homosexuel, exposition médiatique de tous les déviants au nom d’une normalité pour le moins problématique ; une Eglise, catholique et protestante, qui affirme de moins en moins sa personnalité. Et ce à l’heure même où l’Etat lui-même favorise l’érection de mosquées sur des terres de vieille tradition chrétienne, reniant par là même son propre héritage et bafouant le sacro saint principe républicain de la séparation de l’Eglise et de l’Etat.

L’autre facteur aggravant est celui d’une immigration incontrôlée que la classe politique a imposé aux forceps au peuple français. D’où son refus de tout référendum sur le sujet. Aux ordres du patronat, elle a toujours répondu de son désir de disposer d’une main d’œuvre bon marché afin de faire pression sur les syndicats et les travailleurs. Aujourd’hui, cette même classe politique est totalement débordée et la société, jusque dans ses institutions, est soumise à la loi des droits de l’homme. Il en résulte l’apparition d’un communautarisme où les Français de souche sont nettement moins bien traités que les communautés noire, maghrébine ou juive qui crient au racisme à la moindre occasion. Et l’appareil judiciaire, soumis à la même idéologie, notamment de la part de nombreux juges issus du Syndicat de la magistrature, participe aussi à ce brouillage des repères sociaux. Quand ce ne sont pas des organismes sans aucune légitimité comme SOS-Racisme, Observatoires bidons et autres Halde destinés à taper sur le moindre Gaulois qui passe… au nom d’une légitimité qui n’a de républicaine que le nom. 

Il n’est donc pas extravagant que des citoyens fragiles pètent les plombs et s’érigent en justiciers d’un jour.

 

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Yvan Benedetti, Rivarol, la NDP, Carl Lang : pour se dédiaboliser, il faut trouver un diable !

Source Blog des Rivaroliens cliquez ici

On se souvient de la manoeuvre pathétique de MLP lors de l'agression présumée du couple Montebourg/ Pulvar (cliquez ici - NDLR). Agression, rappelons-le qui se résumait à quelques invectives qui ne visaient même pas les tourtereaux, et à des jets de verre ayant manqué leur cible, si tant est que les deux personnalités aient été les cibles visées. MLP, montrée du doigt en raison des cris des "agresseurs" ("Le Pen président") avait proposé un autre bouc émissaire aux media en la personne d'Yvan Benedetti.

Pour être dédiabolisé, il faut trouver un autre diable ! Benedetti ou Carl Lang (voir ci-dessous) sont les candidats rêvés pour le FuN. Ainsi, au lieu de dénoncer la propension des media à coller l'étiquette de facho à tout ce qui n'est pas au moins aussi mou que Hollande, MLP les encourage et joue le jeu de la diabolisation... de ses adversaires, les vrais nationalistes.

Aliot adopte docilement la même tactique dans la vidéo ci-dessous. Des violents au FuN? Que nenni ! Les violents sont avec Carl Lang ou aux Amis de RIVAROL. Moi "gentil", eux "méchants" (N. B. : nous adoptons ici la terminologie ô combien élaborée de MLP lorsqu'elle parle de politique étrangère) : la pensée unique dans toute sa splendeur.

 
Louis Aliot en off dans Les jeunes et la... par La-flamme

Vidéo postée par La Flamme qui commente ainsi :

Louis Aliot ose dire: « … ils sont aux amis de Rivarol, si vous suivez ces journaux, vous voyez un peu le niveau… ».

C’est vrai qu’il y a une différence de niveau entre Nation Pravda Magazine et Rivarol, mais elle n’est vraiment pas en défaveur du plus ancien des journaux nationalistes. Ni au niveau des signatures passés et présentes, ni au niveau de la durée (Rivarol existe depuis 1951) et encore moins au niveau des articles et des analyses !

Au sujet de Louis Aliot, nous ne résistons pas à vous montrer un dessin paru dans la bande dessinée La vie secrète de Marine Le Pen.

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Jeudi soir, au Local :

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Tribune libre : 50 ANS APRES LES ACCORDS D’ÉVIAN, UN SILENCE D’ETAT POUR MASQUER UN CRIME D’ETAT ?

arton2890-93d3c.jpgBernard COLL

Secrétaire général

de Jeune Pied-Noir*

50 ans après la signature des « Accords » d’Evian, l’Etat français se trouve-t-il toujours devant la même situation qu’en 1962 : trahir ses nationaux pour maintenir la relation de complicité entre les Etats français et algérien créée par le pacte du 19 mars 1962 ?

 

Les archives officielles démontrent aujourd’hui que ces accords fictifs ont été imaginés, préparés et réalisés par le gouvernement français, à la demande du général De Gaulle, pour lui permettre de disposer d’un cadre politique et juridique lui permettant de se débarrasser au plus vite du « boulet algérien ». Et ceci, au nom de la « raison d’Etat », quelles qu’en soient les conséquences humaines pour les Français d’Algérie de toutes origines. Des conséquences tragiques annoncées par le général De Gaulle lui-même qui, dans sa conférence de presse du 23 octobre 1958, avait prophétisé : « Quelle hécatombe connaitrait l’Algérie si nous étions assez stupides et assez lâches pour l’abandonner. » C’est pourtant ce qu’il fit. Dès le 19 mars 1962 au soir, les harkis désarmés, comme ceux de Jean-Pierre Chevènement à Saint-Denis-du-Sig en Oranie, sont massacrés. Aujourd’hui, plus aucun historien ne conteste les drames résultant de l’application des « Accords d’Evian » par ses deux seuls signataires, l’Etat français et le FLN. Déjà Jean Lacouture, témoin visuel du massacre des harkis, reconnaissait dans Télérama du 13 septembre 1991 : « Ce tabou-là n’est pas près d’être levé. 100.000 personnes sont mortes par notre faute. Un massacre honteux pour la France comme pour l’Algérie. Le déshonneur est trop lourd à porter ».

 

Malgré la dénonciation publique de ce « mensonge français » en 2003 par Georges-Marc Benamou dans son ouvrage, ce « silence d’Etat » sur ce « crime d’Etat » n’est, semble-t-il, pas prêt de cesser tant que l’Etat français est tenu par le FLN par le pacte du 19 mars 1962 scellé par le sang de 100.000 Harkis, de milliers de pieds-noirs et soldats français sacrifiés à la décision préméditée du général De Gaulle. Celui-ci, pour faire aboutir sa nouvelle politique d’indépendance de l’Algérie, décidée par lui seul, a dû commettre un crime d’Etat qui s’est accompagné d’un crime contre l’Humanité. Crimes que plus personne ne conteste puisque G-M Benamou a pu déclarer dans Paris-Match N°2841 du 30 octobre 2003 : « La France a jeté les harkis dans les basses-fosses de l’Histoire. Il y a eu 80.000 harkis morts. Paris a systématiquement entravé leur sauvetage. De Gaulle est bel est bien le complice d’un crime contre l’Humanité ». La LICRA et la Ligue des Droits de l’Homme viennent d’organiser à Paris, le 4 février dernier, un colloque international, animé par Audrey Pulvar, sur le thème : « La tragédie des Harkis : un crime contre l’Humanité ? » En posant la question, ces instances humanitaires apportaient la réponse. Il est donc possible, comme le fait Jeune Pied-Noir depuis 1990, d’accuser publiquement le général De Gaulle du pire des crimes pour un Chef d’Etat, celui de « crime contre l’Humanité », sans être poursuivi en justice par sa famille, ses proches ou les défenseurs de sa mémoire. C’est parce que, tout simplement, cela est désormais incontestable.

 

Il est assez fascinant de penser que depuis 50 ans, en dehors de quelques exceptions, les historiens, les journalistes, les hommes politiques, des intellectuels et philosophes, qui disposent depuis 1962 des preuves irréfutables de la responsabilité criminelle du général De Gaulle, se taisent. Car tout le monde connaît la vérité depuis la publication dans le journal Combat, dès avril 1962, des articles du professeur Maurice Allais, prix Nobel d’économie, puis, en juillet 1962, de son ouvrage « L’Algérie d’Evian » (Edition du Fuseau, 1962 – réédition JPN, 1999 avec une nouvelle préface de l’auteur). Le professeur Maurice Allais fut en effet la première des grandes personnalités françaises à avoir compris que les « Accords d’Evian » étaient des accords fictifs conduisant au « génocide », le mot est de lui, programmé des Français d’Algérie. Ce qui rend encore plus forte la démonstration scientifique et juridique du professeur Allais c’est qu’il n’était pas partisan de l’Algérie française. Mais simplement un homme juste, horrifié par les conséquences prévisibles des accords d’Evian. Sa prise de conscience vient du rapprochement qu’il fit entre l’ouvrage d’Alain Peyrefitte « Faut-il partager l’Algérie ? », paru chez Plon en octobre 1961, et le texte des « Accords d’Evian ». Page 109 de l’ouvrage d’Alain Peyrefitte se trouve le plan d’abandon de nos départements algériens, conçu par l’auteur à la demande du général De Gaulle. Ce plan fut intégralement et méthodiquement appliqué. Il précise : « Pour réussir la prise du pouvoir simultanée sur l’ensemble du pays, il faut qu’ils (les dirigeants du F.L.N.) amènent le gouvernement français à éliminer, lui-même tous leurs adversaires ; à organiser lui-même l’évacuation de la communauté européenne en métropole ; à sacrifier lui-même à l’autorité exclusive du F.L.N. les autres tendances (Musulmans élus sur les listes « Algérie française », Musulmans à tendance « association » ou « soutien au général de Gaulle », M.N.A., etc.) ; à installer lui-même un exécutif provisoire unitaire, qu’ils ne peuvent accepter que s’il est composé de leurs doublures ; à créer lui-même les conditions d’une dictature du F.L.N. Les objectifs du G.P.R.A. peuvent se résumer en un seul : obtenir de la France un fidéi-commis pour toutes les populations algériennes ». Les "lui-même" sont soulignés par Alain Peyrefitte dans le texte original. Il expliquera dans la revue Historia N°400 de mai 1980 la genèse de ce plan établit suite à ses entretiens avec le général De Gaulle.

Les preuves de l’exécution intégrale de ce plan ressortent dans les faits, dans les mémoires des acteurs, dans les archives officielles et aussi dans les témoignages des victimes, harkis, pieds-noirs et soldats français sacrifiés à la nouvelle politique algérienne du général De Gaulle. Les procès des généraux qui se révoltèrent contre le parjure du Chef de l’Etat, notamment ceux des généraux Salan, Challe, Zeller et Jouhaud, comme celui du colonel Bastien-Thiry et des autres officiers fidèles à leurs engagements, ont été des tribunes pour ces victimes de la « raison d’Etat ». D’autre part, les écrits de Georges Bidault, successeur de Jean Moulin en 1943 à la tête de la Résistance française, ou de Jacques Soustelle, un des premiers « gaullistes » de 1940, comme les déclarations du Bachaga Boualam à l’Assemblée nationale, ou celles du maréchal Juin à la presse avaient largement informés l’opinion française dès 1962. Car, ce qui peut paraître paradoxal, malgré la censure de l’époque, la grande presse était alors plus libre qu’aujourd’hui. Ou, peut-être, certains journalistes étaient-ils plus courageux ? 50 ans après, les « révélations » de l’historien Jean-Jacques Jordi dans son ouvrage « Un silence d’Etat » (Soteca, 2012) ne font que confirmer, par les archives officielles, ce que tout le monde savait depuis 1962.

Beaucoup de Français « rapatriés » victimes de ce « tabou » d’Etat depuis 50 ans ont pensé sincèrement que l’engagement du candidat Nicolas Sarkozy du 31 mars 2007 devant plus de 200 représentants de la communauté, réunis en son siège de campagne, allait être le moment historique de la « rupture » avec ce silence d’Etat déshonorant la France. En déclarant : « Si je suis élu Président de la République, je veux reconnaître officiellement la responsabilité de la France dans l’abandon et le massacre des Harkis et d’autres milliers de "musulmans français" qui lui avaient fait confiance, afin que l’oubli ne les assassine pas une nouvelle fois ", Nicolas Sarkozy reconnaissait la nécessité d’en finir avec ce « mensonge français ». Malheureusement, en cinq ans de pouvoir, le Président Sarkozy n’a pas tenu son engagement qu’il avait pourtant affirmé vouloir honorer avant la fin 2007 lors d’une réunion privée avec les représentants de la communauté « pied-noir », le 13 avril 2007. Il aura fallu attendre le 9 mars 2012 pour que, devant un parterre choisi de « rapatriés », il prononce à Nice quelques phrases sans portée historique et juridique. En affirmant : « Pour que vous puissiez excuser, il vous faut un pardon : c’est fait ! » puis « Le gouvernement de l’époque a été indigne envers vous », le Chef de l’Etat croît-il se sortir de son engagement du 31 mars 2007 et tourner ainsi définitivement la page pour se consacrer désormais la grande réconciliation franco-algérienne préparée par l’Elysée en secret pour juillet 2012 ? Serait-il assez ingénu pour penser avoir ainsi contenté définitivement les 4 millions de Français rapatriés et descendants qui vont voter en 2012 ?

Ce que veulent les Français rapatriés ce ne sont pas des paroles qui s’envolent, mais des écrits qui restent. S’il y a eu faute de l’Etat, il faut que l’Etat la reconnaisse officiellement. Or l’Etat, en démocratie, c’est le Peuple souverain représenté par le Parlement, non par le Président de la République, représentant provisoire dans les Institutions françaises. Qui peut aujourd’hui dire que le successeur de Nicolas Sarkozy, si celui-ci n’est pas réélu, se sentira engagé par les propos du 9 mars 2007 du candidat-président ou du président candidat Nicolas Sarkozy ?

Face à la vérité historique nous portons tous à la fois une responsabilité individuelle et collective.

Comme le disait Charles Péguy « Qui ne gueule pas la vérité, quand il la sait, se fait le complices des menteurs et des faussaires ». Il appartient à chacun de dire et favoriser la connaissance de cette vérité autour de soi. Le rôle de ceux qui ont une action publique et d’utiliser tous les moyens dont ils disposent pour faire connaître cette vérité. En ce qui concerne Jeune Pied-Noir, nous menons depuis 3 ans, avec l’aide de 42 associations et 1600 donateurs, une campagne de presse dans les quotidiens Le Monde et Le Figaro qui en est à sa 11e annonce. Nous avons aussi réalisé, en coproduction avec l’ECPAD, le DVD « Harkis, les sacrifiés » (JPN, 19€ port compris) présentant les preuves des crimes commis contre nos compatriotes. Pour le 50e anniversaire du 19 mars 1962, nous avons organisé le 17 mars à Paris un Colloque de synthèse : « Les Accords d’Evian : crime d’Etat et/ou crime contre l’Humanité ? » dont les actes sont disponibles auprès de JPN – BP4 – 91570 Bièvres - jeunepiednoir@wanadoo.fr. - Téléphone au 06 80 21 78 54 (Prix 20€). Historiens, journalistes, parlementaires, intellectuels, philosophes ou simple Français désirant participer au rétablissement de la vérité historique peuvent désormais le faire car plus personne ne peut dire : « je ne savais pas ».

* JPN – BP 4 – 91570 Bièvres - Tel : 06 80 21 78 54.

Source Le Huffington Post cliquez là

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Samedi dernier s'est déroulée une manifestation symbolique à Paris contre la commémoration du 19 mars 1962...

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A l’appel de l’association Jeune Pied-noir, les étudiants d’Action française ont répondu présents pour faire entendre la vérité sur le 19 mars 1962, jour de massacre, dénoncer les accords d’Evian, jour de trahison et protester contre l’abandon des harkis par la république ! Ils se sont enchaînés aux pieds de la statue de De Gaulle sur les Champs Elysées...

 

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01:07 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 19 mars 2012

Chaises musicales… IDENTITAIRES : PHILIPPE MILLAU "BLOCBOULÉ" DE LA DIRECTION DU BI

Info publiée par notre confrère

et ami Le nouveau NH  cliquez ici

 

Le président du Bloc identitaire (BI), Fabrice Robert, a annoncé que Philippe Milliau ne faisait plus parti du bureau exécutif du Bloc identitaire et qu’il était "déchargé de toutes ses responsabilités nationale, régionale et sectorielle". Il s’agit selon le communiqué publié par Fabrice Robert de mettre " fin à une situation qui portait atteinte à l’unité, à l’originalité et à la diversité du mouvement identitaire."

 

Le feu couvait depuis un certain temps au sein de la direction du BI. Hostile à tout rapprochement avec le Front national de Marine Le Pen, Philippe Milliau semble donc avoir bel et bien perdu la partie.

 

Fabrice Robert a également indiqué qu’"une nouvelle direction opérationnelle sera mise en place dans les jours à venir."

 

Philippe Milliau était le co-organisteur des Assises "la France en danger" qui se sont déroulées le dix mars dernier à Paris auxquelles le patron du Bloc identitaire niçois, Philippe Vardon, favorable à un rapprochement avec le FN, n’avait pas été convié.

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Chronique de la France asservie et résistante...

Photo 010.jpgChronique de Robert Spieler

publiée dans Rivarol

N°3038 du 16 mars 2012

 

Le mardi 6 mars s'est tenu à Anvers le premier rassemblement européen de l'association Femmes contre l'islamisation, créée à l'initiative du Vlaams Belang et de son porte-parole, notre ami Filip Dewinter.

 

Femmes contre l'islamisation

 

Cette association est présidée par Anke Van dermeersch, la très brillante et très belle (elle fut Miss Flandres) sénatrice du Vlaams Belang. Elle présenta son livre « Hoer noch slavin » (Ni putain, ni esclave) dans lequel elle décrit les problèmes que rencontrent les femmes avec l'islamisation de nos sociétés. Une conférence de presse s'est tenue en présence de déléguées venues de toute l'Europe, dont une anglaise et une allemande, Suzanne Winter qui est députée européenne du FPO autrichien et Anne Kling, auteur de La France Licratisée, qui menait une délégation française dont je faisais partie. La fille de Filip Dewinter, Anne Sophie était bien sûr présente. C'est elle qui figure sur une affiche choc diffusée par le Vlaams Belang. On la voit habillée d'un maillot de bain et d'une burqa entr'ouverte qui laisse voir ses formes généreuses... Le soir, une réunion rassemblait plus de 400 militants, dont une majorité de femmes. Anne Kling devait évoquer les multiples problèmes qu'elle eut avec son employeur, le Conseil de l'Europe, qui lui reprocha ses combats contre l'islamisation de la France et ses campagnes contre l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne.

 

Au fait, le Front national était-il présent ? Et bien, non. Marine le Pen avait refusé de s'associer à cette manifestation. De même qu'elle avait annulé l'invitation qu'elle avait faite à Filip Dewinter et à  Strache, le président du FPO, de participer à son meeting de Lille. La polémique qui avait suivi sa présence au bal des corporations de Vienne, aux côtés de Strache l'avait fait reculer... Pas sûr que Dewinter et Strache aient apprécié la plaisanterie...

 

La France aux Français, ou pas ?

 

Souvent femme varie, bien fol qui s'y fie... Le 18 février, Marine Le Pen déclarait dans l'émission de Ruquier : « ...moi c'est... c'est la France aux Français. » Et le 1er mars, voici son dialogue avec Bourdin, sur BFM. Bourdin : « La France aux Français, c'est un slogan que vous aimez ? » Marine Le Pen : « Non...(bredouillements) » Bourdin : « Vous reprenez (ce slogan) ou pas ? » Réponse de Marine Le Pen : « Mais monsieur, ce n'est pas le slogan du Front national... » En attendant, quelle consigne de vote donner aux électeurs si Marine Le Pen n'était pas candidate, faute d'avoir obtenu 500 signatures ? La question a été abordée en février, lors d'une réunion de l'équipe de campagne du Front national. La majorité des participants a estimé que dans ce cas, la candidate du FN devait appeler à faire battre Nicolas Sarkozy. Bref, à faire élire François Hollande.

 

Halal ou cacher : garde à vous !

 

Après Claude Guéant, c'était au tour de François Fillon d'évoquer le problème de l'abattage rituel. Il avait déclaré, le 5 mars, sur Europe 1 : « On est dans un pays moderne, il y a des traditions qui sont des traditions ancestrales, qui ne correspondent plus à grand chose alors qu'elles correspondaient dans le passé à des problèmes d'hygiène. On pourrait y réfléchir. » Que n'avait-il dit ! Effroi et glapissements dans les synagogues et les mosquées. Deux jours plus tard, le président du Consistoire central, Joël Mergui, le grand rabbin, Gilles Bernheim et le président du Crif, Richard Prasquier étaient reçus à Matignon par le Premier ministre. Qui se coucha bien entendu d'importance. Au sortir de l'entretien, les représentants de la communauté juive déclarèrent que « l'incident était clos » tout en ajoutant qu'ils restaient « en état d'alerte. » En d'autres termes, Fillon est mis sous haute, très, très haute surveillance. S'il récidive, ce sera la Grosse Bertha : accusations d'antisémitisme, voire plus, si affinités... Nicolas Dupont-Aignan, candidat souverainiste (???) de Debout la République y est allé de sa petite crotte, déclarant : « Je ne sais pas jusqu'où va descendre le pauvre Fillon. J'ai connu un François Fillon qui avait un peu plus d'estime de lui-même, de grandeur. Faire une campagne sur comment on égorge une vache, ça me paraît quand même ahurissant. Le Premier ministre de la France en est là. C'est pathétique, pitoyable. » Nul doute que les vaches qui s'apprêtaient à voter Dupont-Aignan y réfléchiront à deux fois avant de glisser leur bulletin dans l'urne...

 

Bonne nouvelle cependant pour Fillon. Il n'est pas seul à avoir été convoqué par le Consistoire. Claude Guéant, qui avait  abordé le sujet de l'abattage rituel, s'est fait remonter, lui aussi, les bretelles par le Grand Sanhédrin...

 

Une histoire de nez en Égypte

 

Il y avait celui de Cléopâtre. Et voici qu'un second nez crée le scandale dans l’Égypte islamisée. Il s'agit du nez d'Anwar al-Bikimy, député salafiste (parti islamiste radical). Tout commence il y a deux semaines quand Anwar al-Bikimy apparaît à la télévision, le visage couvert de bandages. Il annonce avoir été victime d'une attaque armée alors qu'il était à bord de sa voiture et que les assaillants lui auraient soutiré 100 000 livres égyptiennes, soit 12 600 euros. Las, les médecins et le personnel médical de l'hôpital Cheikh Zayeed n'ont pas tardé à révéler le pot aux roses. Ils ont expliqué qu'Anwar al-Bikimy avait récemment profité de leurs services pour se faire remodeler son nez. La pseudo agression n'était qu'un coup monté destiné à cacher une opération de chirurgie esthétique. Dans un communiqué, le parti salafiste a confirmé que l'histoire de l'agression avait été « inventée de toutes pièces » et a annoncé que Bikimy démissionnait du parti et du Parlement. Au delà de poursuites judiciaires, il risque d'avoir quelques soucis avec ses anciens amis. Les « fous d'Allah » considèrent en effet la chirurgie plastique comme une pratique satanique qui vise à transformer la création de Dieu. Mais ce qui choque le plus en Égypte, c'est qu'un islamiste, grand donneur de leçons, s'autorise à dépenser l'équivalent de quatre ans de salaire moyen d'un Égyptien pour se faire refaire le nez. A quoi ressemble le nouveau nez de Bikimy ? Nous l'ignorons. Il reste, pour le moment, planqué sous les bandages, mais je ne manquerai pas d'informer mes lecteurs dès que je disposerai d'informations complémentaires.

 

Un ex skin-head néonazi garde du corps de François Hollande

 

Le site algérien elafkarelwataniya le révèle, photos à l'appui. Un des garde du corps de François Hollande est un ex skin néo-nazi, converti au judaïsme, qui fut un cadre très actif de la Ligue de Défense Juive, connue pour son extrémisme et interdite en Israël, mais non en France. Il en fut écarté il y a quelques années, mais continue à animer un micro groupuscule sioniste ultra extrémiste et à entretenir des relations avec la LDJ. Il s'appelle Philippe Wagner et est aussi connu sous le nom de Philippe Avichaï. Le site affirme que Wagner/Avichaï est un des architectes de l'alliance entre le Bloc Identitaire et la Ligue de Défense Juive. Commentaire du site : « Voici pour les Maghrébins qui voudront voter pour le PS, et aussi pour les arabes de service du Parti « Socioniste ».

 

Bayrou se vautre aux pieds de la franc-maçonnerie

 

Bayrou vient d'être invité à une tenue par le Grand Orient De France. Un grand moment de reptation. Jugez-en. Le Grand Maître adjoint, Jean-Philippe Marcovici demande à Bayrou : « De tous les candidats à qui nous avons proposé de venir à ces grands échanges, vous avez été le premier à répondre à notre invitation. Pourquoi ? » Bayrou commence par évoquer « des responsables de l’Education nationale, dont un certain nombre ou un nombre certain  sont engagés dans la démarche initiatique ». Merci, on savait... Il poursuit avec un numéro de flagornerie éhonté : « Toute ma vie, j'ai essayé de réfléchir à l'oeuvre profonde, à la fois intérieure et collective en loge. J'ai donc consacré beaucoup d'heures, avec beaucoup d'assiduité, à réfléchir à ce qu'était la démarche que vous aviez adoptée et à ce qu'elle évoquait comme écho en moi. J'ai constamment ressenti à l'égard de ce grand courant philosophique beaucoup de reconnaissance. C'est peut-être pour cela que j'ai été le premier à dire 'oui' et peut-être pour cela que j'ai été le premier que vous avez invité. » Comment dit-on « carpette » en langage franc-maçon ?

 

L'équipe de foot allemande DOIT se recueillir à Auschwitz

 

C'est l'ordre que vient d'intimer à la Mannschaft, l'équipe de football allemande, le président du Conseil central des juifs en Allemagne. L'Euro 2012 se jouant en Pologne et en Ukraine, les responsables de l'organisation juive estiment « inconcevable que les Allemands ne se rendent pas au mémorial de l'Holocauste d'Auschwitz ou de Babi yar. » Quelle incroyable houtspa  (culot monstre, en hébreu) !

 

« Mieux vaut être dictateur que pédé ! »

 

C'est la réplique d'Aleksander Loukachenko, le dirigeant à poigne de la Biélorussie, à Guido Westerwelle, le ministre des Affaires étrangères allemand, qui s'était autorisé à critiquer le fonctionnement fort peu démocratique de la Biélorussie. Westerwelle avait rendu publique son homosexualité, d'où cette réponse cinglante de Loukachenko...

 

Un enseignant fou

 

« Betty-Cotton » est un roman publié chez Actes Sud Junior, destiné, selon son auteur, à « un public averti, pas avant 13-14 ans. » L'ouvrage traite de l'esclavage et raconte, entre autres, le viol d'une fillette avec un coupe-papier. Un professeur de l'école Marcel Cachin de Morsang-sur-Orge n'a rien trouvé de mieux que de faire lire à des enfants de CM1-CM2, âgés de 9 à 11 ans. Beaucoup d'entre eux ont été profondément choqués et certains sont rentrés en pleurs à leur domicile. Les parents se sont révoltés et ont créé le Collectif des parents indignés (CPI), appelant à la « protection des enfants. » Une pétition a été mise en ligne. L'inspection académique, alertée, a mis en place une cellule psychologique. L'enseignant fou est , par ailleurs, maire (DVG) de la commune de Morangis. Les parents exigent que « l’Éducation nationale prenne ses responsabilités face à ce fait grave » et envisagent une action au pénal s'ils ne sont pas entendus.

 

Ça se passe ainsi en Afrique...

 

En Afrique, les problèmes de monnaie mènent aux pires extrémités. Un chasseur traditionnel dozo avait effectué un achat auprès d'une vendeuse ambulante de serviettes et d'éponges, dans la ville de Bouaké (centre nord de la Côte d'Ivoire). Il avait exigé que la vendeuse lui rende la monnaie sur le champ. N'ayant pas de monnaie sur elle, elle avait demandé au dozo de patienter quelques instants, le temps qu'elle puisse récupérer la monnaie d'un autre client. Notre dozo, ivre de rage, sort illico deux machettes de sa besace, frappe la vendeuse, lui coupe son bras droit, taillade son cou ainsi que son pied. Il poursuit sur sa lancée, tailladant l'enfant d'une autre vendeuse et s'attaquant à tous ceux qu'il croisait sur son chemin. Son comportement, curieusement, n'a pas été vraiment apprécié par certains témoins qui l'ont rattrapé, aspergé d'essence et brûlé vif jusqu'à ce que son corps soit calciné. Information importante, si l'on en croit un journal ivoirien, les corps ont été ensuite évacués à la morgue et les blessés au CHU.

 

Cet excité de Cohn-Bendit...

 

D'après Cohn-Bendit, Nicolas Sarkozy a « humilié » des « millions de personnes » en affichant sa volonté de diviser par deux le nombre d'immigrés accueillis en France et d'imposer des conditions à l'attribution de prestations sociales aux étrangers. Cohn-Bendit poursuit dans le registre de la plus extrême souffrance personnelle en révélant : « J'ai mal dormi. Ce matin, je suis encore mal, parce qu'il m'a dit quelque chose en pleine figure ; il m'a dit 'tu es un homme en trop' parce qu'il a dit qu'il y a trop d'étrangers sur le sol français » Cohn-Bendit a la nationalité française, mais passons. A mon avis, il n'avait pas fumé que de la moquette... Il conclut par :  « Il me fait froid dans le dos s'il gagne. » Nicolas Sarkozy n'est certes pas notre tasse de thé, mais suggérons à Cohn-Bendit, s'il a si froid dans le dos, d'aller se réchauffer en Allemagne, dont il a aussi la nationalité, 

 

Sarkozy vainqueur ?

 

C'est l'étonnante prédiction que s'apprête à publier L'Expansion dans son numéro du 28 mars. C'est le résultat que donne Electionscope, un modèle statistique, qui avait annoncé, avec deux mois d'avance, les résultats exacts des trois dernières présidentielles françaises et de leurs équivalentes américaines. Le modèle prend en compte tant la situation économique et notamment les statistiques du chômage, que la popularité mesurée par les sondages. Sarkozy obtiendrait, selon le modèle,  50,3% au second tour, qui exclut, quoi qu'il arrive un résultat de 57-43 en faveur de la gauche, comme certains sondages le laissent entrevoir.

 

Chaque vendredi, retrouvez la chronique de Robert Spieler dans Rivarol (3,50 €, chez votre marchand de journaux).

 

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19:39 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'overdose de Mélenchon ce week-end...

431274_284014951668096_865121453_n.jpgPar Thomas Joly cliquez ici

Ce week-end, sur la totalité des chaînes de télévision et radios du pays, on a eu la confirmation de ce qu'on savait déjà mais qui là s'est révélé au grand jour : dans leur grande majorité, les journalistes français sont d'extrême-gauche. Ou s'ils ne le sont pas, ils ont à l'égard de l'engeance communiste une complaisance et une bienveillance sidérantes.

Tout le samedi, il n'a été question que de la "grande marche" de Jean-Luc Mélenchon du lendemain jusqu'à la place de la Bastille où la nouvelle icône allait prononcer l'oracle, comme s'il s'agissait d'un événement exceptionnel méritant une couverture heure par heure.

Le jour J, la frénésie journalistique est à son comble, toutes les émissions d'information se sont consacrées quasi-exclusivement à la Mélenchon-Pride. Les commentaires des envoyés spéciaux, surexcités, parfois au bord de l'extase, sont dithyrambiques à propos de la foule présente. Le chiffre fantaisiste de 120.000 participants avancé par les organisateurs est bien sûr celui qui est repris partout. Les visages des présentateurs sont joyeux, leur ton enjoué, ils jubilent.

Le discours de la vedette est diffusé en intégralité ou à l'aide de larges extraits et commentés par les inévitables politologues de plateaux. Et bien sûr, dans l'euphorie générale, les prédictions de remontée dans les sondages et de nouveau "troisième homme" fusent. Flamby en prend pour son grade. L'homme pivot de cette élection présidentielle c'est le frère Jean-Luc. C'est lui la voix du peuple.

Vu qu'il n'y a aucun candidat à la présidentielle pour s'opposer à ce résidu communiste antifrançais, la représentante du gaucho-lepénisme ayant préféré la pitoyable dérobade au débat, celui-ci peut dérouler tranquillement son discours abject qui va à l'encontre d'à peu près toutes les valeurs en quoi ce qu'il reste de patriotes français croient.

On comprend mieux aussi pourquoi il n'était pas politiquement et médiatiquement souhaitable qu'un candidat de la droite nationale, radicalement anti-communiste et anti-marxiste, puisse rappeler certaines vérités sur une idéologie qui n'a apporté que la mort, la ruine et la désolation partout où elle s'est appliquée...

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Inégalité républicaine et malhonnêteté médiatique...

ttt.jpgLa chronique

de Philippe Randa

 

La campagne pour l’élection présidentielle française 2012 est terminée. Enfin, la première des deux campagnes. Celle que doit remporter tel ou telle candidat(e) pour avoir le droit de concourir. Pour certain(e)s, ce n’est qu’une formalité. Pour d’autres, c’est une épreuve que la plupart ne remportent pas… ou s’épuisent à réussir.

 

Cette première campagne appelle deux remarques.

 

La première, étonnante, est de voir qui, au final, a réuni les 500 parrainages d’élus… et qui ne les a pas réunis.

 

Que Nicolas Sarkozy, François Hollande, François Bayrou, Jean-Luc Mélenchon et Eva Joly aient déposés les leurs – et même bien davantage pour certains, comme s’il s’agissait d’impressionner les adversaires, un peu à la manière des boxeurs qui font jouer leur musculature avantageuse au moment de la pesée en décochant des regards haineux et en laissant fuser, parfois, quelques insultes ou menaces bien sonnées – n’est guère surprenant.

 

Que Marine Le Pen ait peiné à le faire est une habitude pour son mouvement. Qu’elle ait bluffé un peu, beaucoup ou pas du tout, voire que les partis institutionnels l’aient aidée in fine pour éviter l’aberration électorale qu’aurait représenté son élimination, peu importe. La quasi-totalité de la classe politique admet désormais que cette procédure nuit gravellent à la crédibilité de la démocratie française.

 

Mais que la candidate d’un mouvement dont le représentant obtient depuis plus d’un quart de siècle des scores de 14 à 18 %, qui se qualifia même pour le second tour en 2002 et dont les sondages l’ait donnée et la donne toujours susceptible d’arriver première, deuxième ou troisième cette année, soit susceptible d’être empêché de concourir, ne fut pas, cette année, le plus stupéfiant.

 

C’est bien plus encore l’échec de Dominique Galouzeau de Villepin à se présenter aux suffrages des électeurs.

Qu’un ancien Première ministre de la France dont les déclarations publiques n’ont jamais été des plus sulfureuses, dont la réputation ne souffre guère de « casseroles » – si ce n’est une inculpation dans l’affaire Clearstreampour laquelle la Justice a reconnu son innocence – soit empêché de concourir « faute des parrainages requis » et qu’il en ait appelé jusqu’à la dernière seconde à un « miracle républicain », laisse songeur.

 

Car soit l’ex-protégé de Jacques Chirac est un farfelu et on frissonne à l’idée que celui-ci ait pu occuper les fonctions qui ont été siennes à Matignon, soit il a considéré que les parrainages ne seraient pour lui qu’une formalité et son échec prouve qu’il s’agit bel et vient d’un parcours d’obstacles destiné à éliminer des rivaux politiques… ou à les contraindre à rentrer dans le rang, tel le centriste Hervé Morin ou la chrétienne Christine Boutin…

 

Mais cette première campagne présidentielle désormais close appelle à une deuxième remarque qu’étrangement, ou plutôt « à l’évidence », aucun média ne se fait l’écho : que valent les sondages quasi-quotidiens dont les Français ont été abreuvés depuis des mois concernant une élection où l’on ne connaissait même pas les noms de tous les candidats ?

 

Car la présence ou l’absence d’une Marine Le Pen – un temps envisagé, tout de même – celle de l’écologiste Corinne Lepage à laquelle aurait manqué 40 signatures et bien évidemment celle de Dominique de Villepin, changeaient la finalité des scores de la plupart des autres candidats…  tout comme la présence ou l’absence d’un Carl Lang, ancien numéro 2 du Front national, qui affirme n’avoir manqué que d’une cinquantaine de parrainages pour disputer l’épreuve… et de Jean-Marc Governatori, dont beaucoup ont appris par le plus grand des hasards l’existence (entre autre à la lecture du quotidien Le Monde du 16 mars dernier), les velléïtés de candidature au nom d’une Alliance écologiste indépendante (si, si, ça doit exister !) et qui aurait obtenu, lui, 433 signatures…

 

À nouveau, deux hypothèses, soit ces candidats mentent sur le nombre de signatures en leur possession et il serait utile que le Conseil constitutionnel les oblige à prouver leur honnêteté en leur réclamant la preuve de celles-ci… soit la plupart d’entre eux disent la vérité et ont donc une crédibilité suffisante pour que plus de quatre centaines d’élus de la République leur apporte leur caution – à défaut de leur soutien – à se présenter à l’élection présidentielle.

 

Force est donc de constater que ni la démocratie française, ni les médias français, ne sortent véritablement grandis de l’affaire.

 

Mais si l’égalité républicaine et l’honnêteté médiatique étaient véritablement des préoccupations majeures de la vie politique française, cela se saurait. Évidemment.

12:24 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Aujourd'hui, 19 mars 2012...

19mars20121.jpgUn communiqué de Carl Lang :

 

Aujourd’hui 19 mars 2012, 50e anniversaire des honteux Accords d’Evian, Carl Lang et Le Parti de la France rendent hommage à toutes les victimes civiles et militaires du FLN algérien.

 

Les Français ne doivent pas oublier la manière ignoble dont le régime gaulliste a trahi les engagements de la France, renié la parole donnée et abandonné les Français d’Algérie et les Harkis fidèles à la France aux assassins du FLN.

 

Ceux qui pensent que la guerre d’Algérie est terminée se trompent. La soi-disant politique de décolonisation n’a fait qu’ouvrir la voie à la colonisation massive et destructrice de la France et de l’Europe. Il y a 50 ans, les Français en Algérie avaient le choix entre la valise et le cercueil. Aujourd’hui en France, ils ont encore le choix de s’engager pour rendre la France aux Français !

09:21 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Focus sur Najat Vallaud-Belkacem…

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Source Synthèse nationale

n°27 (janv. fév. 2012)

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Par Luc Pécharman

 

« Qui connaît son ennemi comme il se connaît, en cent combats ne sera point défait. » L’art de la guerre – Sun Tzu.

 

Si il y a un nom à retenir à la veille de l’élection présidentielle, c’est bien celui de Najat Vallaud-Belkacem. Cette jeune femme, porte-parole du candidat socialiste François Hollande, est le stéréotype vivant du combat qui est mené contre notre peuple. Car elle n’est pas à ce poste par hasard, poste qu’elle occupait déjà auprès de Ségolène Royal en 2007.

 

Najat Belkacem nait en 1977 au Maroc, et profite du regroupement familial pour rejoindre son père, ouvrier du bâtiment à Amiens. Elle intègre Science-po Paris (IEP) et ressort diplômée en 2000 (la même promo que Rama Yade), mais échoue deux fois au concours d’entrée à l’ENA. 

 

S’en suit toute une série d’opportunités qui la conduiront au Parti Socialiste, dont elle prend la carte en 2003, après dit-elle le coup de tonnerre d’un Jean-Marie Le Pen au second tour l’année précédente. Elle est aujourd’hui adjointe au maire de Lyon, Gérard Colomb, en charge des grands évènements, de la jeunesse et de la vie associative, conseillère communautaire de la communauté urbaine de Lyon, conseillère générale du Rhône, secrétaire nationale du Parti Socialiste aux questions de société mais aussi membre du conseil de la communauté marocaine à l’étranger(1).

 

Une petite parenthèse au sujet de ce dernier mandat. Si, dans la presse et en politique, elle se présente systématiquement avec le nom de son époux accolé au sien, Najat Vallaud-Belkacem, elle n’utilise que celui de Najat Belkacem pour le CCME (conseil de la communauté marocaine à l’étranger). Franco-marocaine en France, et Marocaine au Maroc ? D’ailleurs, il reste étonnant qu’une élue de la république accepte de siéger dans cette dernière organisation qui considère, dans son intitulé même, qu’elle est étrangère à la France. Ce que nous soupçonnions quelque peu…

 

Elle est mariée à un camarade de promotion de l’IEP, Boris Vallaud, avec qui elle a eu deux enfants, Nour et Louis. Notons au passage leur conception de l’intégration.

 

Les deux principaux chevaux de bataille de la dame en question sont la lutte pour l’égalité des opportunités (belle entourloupe sémantique sur laquelle nous reviendrons en détail plus loin dans cet article) et la reconnaissance des LGBT (comprendre Lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres).

 

Et oui, Najat ne fait pas dans la dentelle, et s’attaque frontalement aux deux piliers de notre civilisation : l’identité nationale et européenne et la famille.

 

Elle est l’auteur d’un petit essai intitulé « pluralité visible et égalité des opportunités », en collaboration avec Eric Keslassy (enseignant à l’IEP de Lille). Livre publié dans une collection dirigée par Gilles Finchelstein(2) et Laurent Cohen. Ce recueil, une ode à la discrimination dite positive, est issu d’une vision pluriculturelle dans laquelle les hommes et les peuples sont interchangeables à volonté. Rassurez-vous, pour vous éviter une lecture assez insipide de cet ouvrage prétentieux, nous allons en retirer ensemble les « bonnes feuilles. »

 

« Notre ambition : formuler des propositions qui permettent d’offrir à chaque citoyen les mêmes opportunités, quelles que soient son origine sociale ou sa couleur. Cette idée repose sur un principe unique : tenir compte des avantages et des handicaps des individus au moment de leur appliquer une règle, en considérant que l’égalité de traitement peut être productrice d’inégalité. C’est ce qui la distingue de l’égalité des chances, notion qui persiste à considérer les individus égaux sur la ligne de départ. »

 

Voilà donc ce que nos deux cerveaux féconds (j’ai failli retenir une orthographe différente) ont pondu. L’égalité des chances est source d’inégalité, et il faut corriger (c’est le mot employé dans le livre à plusieurs reprises) ces inégalités supposés. En fait, c’est un principe directement inspiré du PMU. Oui, oui PMU et pas UMP. Pour égaliser les chances des chevaux, les organisateurs handicapent les coureurs en fonction de leurs résultats passés et de leurs qualités supposées. Ainsi ce principe, transposé à la société française grâce à Mme Vallaud-Belkacem, rendrait la vie artificiellement plus compliquée à tous ceux qui ont un certain nombre de caractéristiques qu’il faut gommer. Ainsi, on imagine bien que François Dupont, fils d’Albert Dupont, médecin, dont la famille habite Rouen depuis 300 ans, blanc et catholique, aura un handicap considérable lors de son entrée dans le monde du travail et de la politique. Et ce sera encore pire lorsqu’il atteindra l’âge de 55 ans ! 

 

Si cette fameuse égalité des opportunités doit s’appliquer, selon ses auteurs, à tous les domaines de la vie, ils mettent l’accent sur trois secteurs où elle doit être absolument privilégiée. Il s’agit de l’enseignement supérieur, des médias et de la politique.

 

Pour l’enseignement supérieur, le but est de supprimer des concours d’entrée les tests de culture générale qui rendraient l’accès à ces écoles trop compliqué pour les étudiants issus de la « pluralité visible ». Il faut croire que tous ces anciens élèves de l’IEP semblent avoir été entendus au moins par leur établissement puisque le directeur, Richard Descoings(3), a annoncé le 15 décembre dernier la suppression des ces épreuves lors du concours d’entrée à Science-Po Paris. A vrai dire, sous l’appellation culture générale, c’est bien entendu au socle intellectuel de notre identité que l’on s’attaque.

 

« Non contente de veiller au respect de l’égalité de traitement, la société doit faciliter la constitution d’une représentation fidèle du corps social qu’elle prétend incarner et éclairer. Ces domaines spécifiques, qui réclament que l’on porte une attention plus vive encore à la pluralité visible, sont les médias et la vie politique. […]

 

Il s’agit également de faire accéder ces minorités visibles à des postes à responsabilité (managers, directeurs de programmes, etc.). On les imagine en effet sensibilisées à la nécessité de diffuser des programmes dans lesquels tous les Français puissent se retrouver et qui aideraient à prendre conscience de la pluralité visible de la société française. […]

 

Il ne s’agit pas de donner un droit supplémentaire aux Français relevant des minorités visibles, qui ne peuvent demeurer définitivement enfermés dans leur posture d’outsiders, mais de leur accorder les mêmes opportunités que celles qui sont offertes aux candidats « standard ». Il ne faut en outre jamais perdre de vue que, à chaque étape du parcours de ces candidats « atypiques », des retards devront être rattrapés pour mieux prendre en compte leurs spécificités. »

 

Le plan de bataille de Mme Vallaud-Belkacem est là aussi on ne peut plus clair. Les ficelles du pouvoir doivent de plus en plus revenir aux populations allogènes, et elles se nichent dans la représentation politique (bien entendu) mais aussi et surtout dans les médias. Car cette dame n’ignore pas la puissance incomparable de la télévision sur les masses. Elle préconise d’ailleurs de combattre la monochromie (sic) ambiante dans tous les domaines télévisuels, des actualités aux publicités. Son but ultime est de légitimer une présence étrangère, pourtant indue, aux yeux des Français de souche.

 

Son second combat d’envergure est le combat contre les familles, sous l’appellation mensongère de combat pour l’égalité en faveur des gays, lesbiennes et autres personnes aux préférences sexuelles atypiques. Toutes ces positions se retrouvent bien évidemment dans le programme présidentiel du parti socialiste. Il s’agit, en vrac, du mariage des couples homosexuels, du droit à l’adoption par ces mêmes couples, de l’autorisation de la procréation médicalement assistée pour tous (autrement dit autoriser des mères porteuses à enfanter pour des couples gays, etc.). Plus étonnant, elle défend la levée de la nécessité d’être opéré pour changer d’état civil. Ce concept, directement issu de ce qu’on nomme dans les médias la théorie du genre (où la sexualité n’est pas un élément physique mais psychique), induit que n’importe qui pourra, à l’avenir, aller se déclarer à l’état civil comme homme ou femme, indépendamment de ses attributs génitaux. Voilà qui promet de compliquer, voire de fausser, la loi sur la parité lors des élections. Et tel ou tel candidat, écarté d’une liste ou d’un siège parce qu’il est un homme, aura la possibilité de se faire élire comme femme, sur sa seule déclaration !

 

On en rirait si ça n’était pas si pathétique et dicté par des visées antinationales et anti-européennes.

 

Pour conclure ce chapitre, je vous offre une transcription de la pensée de Mme. Vallaud-Belkacem : « Ma conception à moi du progrès, c’est qu’il serve à corriger les injustices et les inégalités naturelles » Les inégalités naturelles, c’est pour elle que deux hommes ne puissent pas avoir d’enfant ensemble…

 

Femme de lobbies avant tout, lobby marocain, lobby du Siècle(4) même si elle n’en n’est pas encore membre, lobby gay, Najat Vallaud-Belkacem est l’exemple même des perversions idéologiques en œuvres dans notre société. Elle doit être, elle comme ses semblables, combattue avec la dernière énergie.

 

 

Notes 

 

(1) Le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME) a été créé en 2007 par le roi du Maroc Mohammed VI. Le texte créant cette institution est très clair sur ses attributions parmi lesquelles on trouve :

-         Emettre des avis sur les principales orientations des politiques publiques permettant d’assurer aux Marocains résidant à l’étranger le maintient de liens étroits avec leur identité marocaine et notamment celles relatives à l’enseignement des langues, l’éducation religieuse et l’action culturelle.

-         Emettre des avis sur les moyens visant à inciter les marocains résidant à l’étranger à participer aux institutions et aux différents secteurs de la vie au niveau national et à la promotion des actions menées à leur profit.

Ou, en d’autres termes, son but est le lobbying.

(2) Gilles Finchelstein est lui aussi diplômé de l’IEP de Paris, promotion 1988. Il est directeur général de la Fondation Jean Jaurès, directeur des études de Euro RSCG Worldwilde, ancien très proche de Dominique Strauss-Kahn et membre du club « Le Siècle ».

(3) Richard Descoings, diplômé de l’IEP et de l’ENA, est le directeur de Science-Po Paris depuis 1996. Il fut conseiller technique pour les questions d'éducation au cabinet de Michel Charasse en 1991, chargé de mission dans le cabinet de Jack Lang au ministère de l'Éducation nationale et de la Culture en 1992 et pressenti à la tête d'un secrétariat d'État où il aurait été responsable des questions liées à l'égalité des chances et à la discrimination positive lors de l’élection de Nicolas Sarkozy. Il est membre du club « Le Siècle ». 

(4) le club « Le Siècle » est un lobby fondé en 1944. Le meilleur moyen de mieux le connaître est de lire « Enquête sur le club le plus puissant de France » par Emmanuel Ratier (Editions Facta) commandez ici.

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EZRA POUND (1885-1972)...

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