lundi, 24 février 2014
Europe : l'Islande ne veut plus entrer dans l'Union Européenne !
Le gouvernement islandais vient d'annoncer que la demande de candidature du pays à l'Union Européenne était annulée. Les deux partis politiques majoritaires et alliés dans la conduite du pays - les très eurosceptiques Parti du Progrès (centre) et Parti de l'Indépendance (droite) - se sont entendus pour l'abandon du projet d'ailleurs fort largement honni dans l'opinion citoyenne.
Désormais toute velléité d'adhésion à l'Europe meltingpot sauce bruxelloise devra d'abord passer par un référendum dans la "terre de glace" d'Ingolfr Arnarson dont la lointaine insularité a garanti heureusement l' homogénéité raciale et qui est en outre si attachée à cette démocratie directe qui effraie tant les eurocrates, ce qui exclu de facto les manigances de ces "élites" mondialites qui prétendent penser mieux que les peuples ce qui est bon pour eux.
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La Voix de la Russie de cette semaine :
12:06 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un démenti aux bobards de BHL
Pour les naïfs qui croiraient que la récente révolution ukrainienne serait le fait des partisans de l'Union Européenne auxquels Bernard Henri Lévy aurait indiqué la voie lors de son récent déplacement, voici la nouvelle décoration de l'Hôtel-de-ville de Kiev, réalisée par les miliciens de Свобода (Svoboda)…
La légende du portrait indique "Hitler le libérateur". On ne sait pas si ce terme fait référence au communisme ou aux populations allogènes… Ce qui serait gênant pour M. BHL !
Précisions cliquez ici
09:34 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 23 février 2014
Alors que les candidats socialistes promettent 0 SDF à Paris dans quelques années, Solidarité des Français ne peut pas laisser dire n'importe quoi...
Un entretien avec Odile Bonnivard, Présidente de Solidarité des Français (SDF) :
C’est reparti pour un tour, avec un arrière goût de déjà entendu : les candidats promettent et nous devrions les croire !
Voici les réponses d’Odile BONNIVARD, porte-parole de l’association Solidarité Des Français aux questions soulevées sur ce sujet :
- Adhérez-vous à l’objectif Zéro SDF à Paris en 2020 comme le prônent Emmaüs-Défi et le Samu Social ?
OB : Comment pourrions-nous répondre NON à cette question ? Evidemment, OUI, ce serait merveilleux de n’avoir plus aucun SDF dans les rues de Paris (ou d’ailleurs ?), d’ici 6 ans et pourquoi pas avant ?
- Cet objectif est-il réalisable en 6 ans ?
OB : Zéro SDF, ce fut l’une des promesses de Nicolas SARKOZY, candidat à la présidence de la république en 2007, ce fut aussi avant lui, ce que promettait Lionel Jospin en 2002, candidat à la mairie de Paris ; bref, zéro SDF, c’est avant tout un super slogan de campagne électorale que les candidats se réchauffent quand ils en ont besoin et abandonnent aussitôt élus.
15:54 Publié dans Municipales 2014, Rencontre avec... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
AU Panthéon, on va finir par trouver n'importe qui...
Jean Zay, par la volonté de François Hollande, va entrer au Panthéon. Savez-vous comment ce sinistre personnage considérait le drapeau français ? Notre ami Christian P., ancien sous-officier au 1er RCP, nous a fait parvenir le poème suivant, intitulé Le Drapeau, publié en 1924 :
Ils sont quinze cent mille qui sont morts pour cette saloperie-là.
Quinze cent mille dans mon pays, Quinze millions dans tous les pays.
Quinze cent mille morts, mon Dieu !
Quinze cent mille hommes morts pour cette saloperie tricolore…
Quinze cent mille dont chacun avait une mère, une maîtresse,
Des enfants, une maison, une vie un espoir, un cœur…
Qu’est-ce que c’est que cette loque pour laquelle ils sont morts ?
Quinze cent mille morts, mon Dieu !
Quinze cent mille morts pour cette saloperie.
Quinze cent mille éventrés, déchiquetés,
Anéantis dans le fumier d’un champ de bataille,
Quinze cent mille qui n’entendront plus JAMAIS,
Que leurs amours ne reverront plus JAMAIS.
Quinze cent mille pourris dans quelques cimetières
Sans planches et sans prières…
Est-ce que vous ne voyez pas comme ils étaient beaux, résolus, heureux
De vivre, comme leurs regards brillaient, comme leurs femmes les aimaient ?
Ils ne sont plus que des pourritures…
Pour cette immonde petite guenille !
Terrible morceau de drap coulé à ta hampe, je te hais férocement,
Oui, je te hais dans l’âme, je te hais pour toutes les misères que tu représentes
Je te hais au nom des squelettes… Ils étaient Quinze cent mille
Je te hais pour tous ceux qui te saluent,
Je te hais a cause des peigne-culs, des couillons, des putains,
Qui traînent dans la boue leur chapeau devant ton ombre,
Je hais en toi toute la vieille oppression séculaire, le dieu bestial,
Le défi aux hommes que nous ne savons pas être.
Je hais tes sales couleurs, le rouge de leur sang, le sang bleu que tu voles au ciel,
Le blanc livide de tes remords.
Laisse-moi, ignoble symbole, pleurer tout seul, pleurer à grand coup
Les quinze cent mille jeunes hommes qui sont morts.
Et n’oublie pas, malgré tes généraux, ton fer doré et tes victoires,
Que tu es pour moi de la race vile des torche-culs.
EDIFIANT !
15:39 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Retour en images sur les affrontements de Nantes
10:18 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 22 février 2014
Après Rennes, Nantes… Valls toujours complice des milices bolcheviques !
20:30 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
A bon entendeur...
15:46 Publié dans En dessins | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeux de mains, jeux de vilains
Un homme de 19 ans du quartier du Val-Fourré dans les Yvelines a eu la main déchiquetée par un tir de mortier alors qu'il participait à un guet-apens contre des pompiers hier soir, selon la police de Mantes-la-Jolie. "Le jeune homme devrait perdre une partie de ses doigts arrachés par l'explosion", a ajouté la police.
Vers 22H00 les pompiers ont été appelés dans ce quartier de Mantes-la-Jolie pour un feu de camion qui s'est révélé faux, avant que leur véhicule ne soit visé par des tirs de mortier. La police qui les accompagnait n'a pas été ciblée.
Une quinzaine de minutes plus tard, le jeune homme s'est présenté aux urgences de l'hôpital de Mantes-le-Jolie et a "reconnu s'être blessé avec un engin pyrotechnique". Opéré, il n'avait pas encore pu être entendu par les enquêteurs.
12:06 Publié dans Banalisation..., Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : aujourd'hui, samedi 22 février, Jean-Claude Rolinat à la Librairie française
La faillite de Mandela cliquez ici
Jean-Claude Rolinat dédicacera aussi
Salazar le regretté sorti en 2012 cliquez là
00:05 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 21 février 2014
Le JT de TV Libertés de vendredi soir :
23:50 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Hazout condamné pour viols : après Strauss-Kahn encore un grand homme cloué au pilori !
Trust me I'm a doctor avait placardé André Hazout dans son luxueux cabinet de gynécologie du 17e arrondissement de Paris. Et pourquoi n'auraient-elles pas eu confiance les patientes d'Hazout, pour s'exposer à ce spécialiste de l'infertilité, nues, jambes ouvertes, pieds dans les étriers, à mille lieues de tout esprit de provocation ou de la moindre pensée libertine, tenaillées par le désir inassouvi d'enfant et surtout angoissées, redoutant le diagnostic final qui mettrait fin à leurs espérances. Et elles ont eu tort, 33 d'entre-elles ont eu tort de ne voir en lui qu'un praticien aussi cher que renommé oeuvrant en outre dans une clinique et deux hôpitaux alors qu'elles avaient affaire à un pervers, un prédateur sexuel caché sous une rassurante blouse blanche.
Convaincu de viols et agressions sexuelles sur six de ses patientes (27 plaintes concernaient des faits prescrits), l'homme a été condamné à 8 ans de prison et interdiction définitive d'exercer la médecine après seulement 4 heures de délibéré et malgré les envolées de la défense évoquant des "agressions sexuelles" évoluant en "rapports consentis" ! Et puis Hazout est une pointure dans sa partie, une épée de la conception in vitro, un cador de la procréation médicalement assistée, une espèce de bienfaiteur dans son genre et quel cerveau! Pratiquement l'excuse absolutoire à lui tout seul ! C'est sans doute pour cela qu'en dépit d'une dizaine de signalisations avérées, le Conseil Départemental de l'Ordre de Paris a fermé les yeux et les oreilles durant 20 ans. C'est sans doute pour cela aussi qu'un des bavards a pu conclure sa plaidoirie en s'adressant aux jurés : "si vous le condamnez au trou, vous le regretterez" (source:France Info)... menaces directes ou manière de dire qu'un tel puits de science ne saurait être exclu de la société sans dommage pour elle ?
L'affaire Hazout fait immédiatement penser à celle de son congénère Strauss-Kahn. Dans les deux cas, la défense tente de faire du viol ou de l'agression sexuelle une simple péripétie érotique avec des libertines, amours ancillaires ou adultère médical entre adultes consentants; dans les deux cas, il se trouve des "élites" pour sous entendre amèrement que des considérations aussi futiles privent le monde de son "meilleur économiste" ou de son superman de la fécondation artificielle. Et dans les deux cas, on a affaire à un luxurieux à la prétention incommensurable, persuadé de mériter d'être un dominateur qui prend ce dont il a envie sans avoir de compte à rendre.
André Hazout a dû rendre des comptes. Il est en tôle. Qu'il y reste !
17:34 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi 13 mars : une conférence sur l'ingénierie sociale à Paris
17:24 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Serge Dassault au bloc(h)
Patrick Gofman
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Laxiste, la justice de Mme Taubira ? Sans doute cette dernière a-t-elle dit que « la police devrait laisser les “jeunes” s’amuser » à casser et voler. Peut-être projette-t-elle de les exempter des peines de prison égales ou inférieures à cinq ans « ferme ». Mais sa justice vient (19 février 2014) tout de même de mettre en garde à vue Serge Dassault, 88 ans, sur le soupçon de corruption électorale. En veux-tu, en voilà, de la fermeté, il me semble.
Qui donc est ce célèbre inconnu, ce dangereux délinquant du 4e âge ? Vous pensez bien que son cas est infiniment plus grave que celui, par exemple, de cet assassin présumé récemment libéré dans le « neuf-trois » par une panne de fax.
Et son casier est chargé ! Ainsi la Gestapo dut-elle déjà l’arrêter, avec toute sa famille – alors dénommée Bloch – dans les années 40. Son père, Marcel, avionneur éminent, refusant de kollaborer avec la Luftwaffe, atterrit à Buchenwald. En 1946, la famille tente de se refaire une virginité en devenant catholique et en se rebaptisant Dassault.
Ce n’est pas tout. Le magazine US Forbes classe Serge Dassault (Polytechnique, SUPAERO) 69e fortune mondiale, 4e en France ! Quel affront pour le président Hollande, qui « n’aime pas les riches » ! Et réac, avec ça, Dassault. Il a pris la mairie de Corbeil-Essonnes (1995-2009) au PCF. Doyen d’âge du Sénat – qui vient enfin de lever son immunité parlementaire –, il ne craint pas de prêcher ouvertement contre la gauche et le progrès, de persécuter les rédacteurs avancés de son Figaro.
Selon lui, « Nous sommes en train de crever à cause des idées de gauche ». Et « J’espère que vous allez cesser de former des journalistes de gauche ! », ose-t-il enjoindre à des responsables du Centre de formation des journalistes (tout naturellement de gauche à 90 %). Il s’est même permis de voter contre le PACS en 1997, attribuant, à cette occasion, la décadence de la Grèce antique à son homosexualité.
Le 15 septembre 2013, les justiciers trotskistes du site Mediapart ouvrent la chasse. Serge Dassault aurait payé 1,7 million d’euros pour assurer la victoire de son successeur, Jean-Pierre Bechter, à la mairie de Corbeil-Essonnes. Les avocats de l’industriel assurent qu’il s’agissait de sommes versées à des fins philanthropiques.
Allons donc ! Marcel Dassault, père de Serge, était déjà réputé pour ses distributions hasardeuses de gros billets. La philanthropie, c’est le légitime monopole de la gauche, arrosant avec nos sous – pas les siens – près d’un million d’associations des banlieues, qui s’en montrent très reconnaissantes.
NDLR :
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11:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Thibaud Viguier ou la surenchère dans l'islamo-collaboration à Beauvais
Source cliquez ici
L'apparatchik socialiste Thibaud Viguier, candidat à la mairie de Beauvais, a adressé un message à l'électorat musulman mardi en annonçant sa volonté d'accorder « un terrain bien situé et d'une taille adaptée à leur disposition à titre gratuit » pour la construction d'une future mosquée. Celle-ci est au point mort cliquez ici sur le premier site envisagé, rue Corréus, depuis la mobilisation nationaliste cliquez là let la menace d'un recours contre ce projet qui ne répondait pas aux normes élémentaires d'urbanisme.
La liste de rassemblement de la droite nationale menée par Thomas Joly, en cours de finalisation, est la seule à refuser catégoriquement l'implantation de l'Islam à Beauvais, contrairement aux autres candidats islamo-collabos et xénophiles.
10:15 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La charte des langues régionales
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L’Assemblée Nationale a débattu le 22 janvier 2014 d’une proposition de loi constitutionnelle du groupe socialiste portant modification de la Constitution afin de permettre la ratification de la Charte Européenne des langues régionales ou minoritaires. De nouvelles questions se posent.
La reconnaissance officielle de langues régionales ou minoritaires ne participe-t-elle pas de la déconstruction de l'Europe et ne vise-t-elle pas à accroître les fractures hexagonales déjà si nombreuses ? Le régionalisme européen n'est-il pas le serpent de mer de l'américanisation de l'Europe, de son « l'Otanisation », de sa fédéralisation souhaitée par les Atlantistes ? La question est plus qu'embarrassante pour les partisans d’une Europe des régions, du particularisme régional contre l'Europe des nations ou des patries. Et si nous n'avions pas pressenti l'instrumentalisation des régions au sein de la construction européenne ?
L’Assemblée nationale a voté le principe de la ratification de la Charte européenne des langues régionales qui a vu le jour en 1992 sur les bancs du Conseil de l’Europe. Elle vise à protéger et à promouvoir l’usage des langues dites régionales et minoritaires en Europe en leur conférant un statut officiel, et des moyens financiers pour renforcer leur usage notamment dans la sphère publique. La ratification avait buté sur l’article deux de notre Constitution selon lequel « la langue de la République est le français ». Si le Sénat suit demain l’Assemblée, ce qui devrait être le cas, eu égard aux postures politiciennes des différentes formations qui le composent, la voie à un changement de la Constitution sera ouvert. Et rapidement quelque 78 langues régionales auront un statut officiel en France.
L’éloignement et les particularismes locaux bien réels de l'Outre-mer, que l'on songe par exemple au Tahitien ou au Mahorais, justifient que les langues et cultures locales d’outre-mer soient protégées, y compris constitutionnellement mais en métropole, la situation n'est-elle pas tout autre ? Donner des droits linguistiques nouveaux, n'est-ce pas conforter les séparatismes et les communautarismes comme en Espagne ou en Flandre ? La question sous-jacente est-elle d'ailleurs vraiment celle à proprement parler des langues régionales ou celle de la langue arabe dialectale pratiquée dans certaines régions de France ?
Personne n’empêche aujourd'hui les Français d’échanger dans une langue régionale s’ils le souhaitent. Pôle emploi recourt régulièrement au créole pour faciliter la bonne compréhension des usagers aux Antilles mais faut-il aussi instaurer le multilinguisme pour tenir compte des langues de migrants (arabe dialectal, berbère, romani, wolof, swahili …), qui n’ont rien de régional mais sont parfois si importantes en certaines parties du territoire français qu'on n'entend plus que cela ? Est-ce là un moyen efficace pour renforcer l’intégration et permettre à chaque jeune Français de trouver sa place dans la société française ?
Ces débats de fond ont été esquivés. Pourtant, il semblerait que loin de l'actualité immédiate, il y ait eu un volontarisme et un empressement du gouvernement socialiste à faire passer la loi au plus vite. Pourquoi ? Certes, la ratification de la Charte constituait le 56e des 60 engagements du candidat François Hollande. De fait, le texte sur les langues régionales paraît aussi un cadeau qui ne mange pas de pain pour la Bretagne révoltée des bonnets rouges. Mais est-ce si innocent que cela ? Comment ne pas voir aussi que la reconnaissance officielle des langues régionales ou minoritaires participe de la déconstruction nationale programmée par les élites? Le texte ne va-t-il pas échapper à la logique régionaliste de 1992 pour servir d'autres intérêts, la dynamique d'une politique « remplaciste » ?
Revenons, sur ce point, sur quelques détails du texte de loi voté. Il précise à l’article 7-e que la notion de « groupe pratiquant une langue régionale » renvoie à la notion d’un peuple minoritaire enclavé dans un autre peuple. La proposition du groupe socialiste a donné une interprétation de la notion de « groupe » quasiment balkanique qui est contraire à ce que voulait la Charte de 1992 elle-même. De plus, les articles 9 et 10 de la Charte stipulent que « les langues régionales peuvent être utilisées en justice comme langue de procédure, l’accusé pouvant s’exprimer dans sa langue régionale' » et que « les autorités administratives utilisent les langues régionales, mettent à disposition des formulaires dans les langues régionales, et répondent dans cette langue »'. Ces dispositions sont bien évidemment contraires au bien connu article 2 de la Constitution de 1958.
En réalité, les députés socialistes ont fait diversion. Ils ont flatté les tenants des langues régionales ou minoritaires, et, en même temps, ils ont essayé de couper les ailes d’un texte qu’ils savent dangereux pour l’unité linguistique de la République. Bref, ils ont servi leurs intérêts électoralistes futurs auprès de la population immigrée. Ils ont en quelque sorte préparé le terrain de la division civile. Rappelons aussi que le Ministre de l'Education nationale a souhaité récemment généraliser, dans une feuille de route adressée aux éducateurs, l'enseignement de l'arabe ou d'une langue africaine mère dans les collèges et lycées pour favoriser, dit-il, sa chimère laïque de l'intégration.
On voit bien que la charte des langues régionales sert maintenant de tout autre intérêt que ceux du royaume de Bretagne, du Comté de Nice ou du pidgin de la petite île de Saint-Martin dans les Caraïbes.
09:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Nostalgie de la France
Georges Lautner s'est éteint il y a quelques semaines, à l'âge de 87 ans. Le héraut du cinéma populaire que la critique de l'époque n'épargnait guère s'en est allé rejoindre les étoiles, de celles qui survivent aux siècles et que les générations successives regardent, nostalgiques et pensives, sans se douter un seul instant que par ce seul acte, elles conjurent le temps qui passe et l'insolente marche du progrès. Quelque part là-haut, le tonton flingueur en a rejoint d'autres: Audiard dont on fêtera l'année prochaine le trentenaire de sa disparition, Gabin et sa «langue prodigieusement drôle», Francis Blanche menotté au grisbi, Bernard Blier qui à tous les coups dansera la capucine et Lino Ventura et son fameux «quadrille de mâchoires». A cette belle bande de copains s'en grefferont d'autres. Roger Nimier bien sûr, Antoine blondin assurément, peut-être le poète de Charleville-Mézières et pourquoi pas Céline, cet «anarchiste à l'état pur». Ensemble, nul ne doute qu'ils mettront «une volonté assez originale de mêler la préciosité à la truculence, l'intellectualisme au commerce, les joutes de truands aux raffinements d'esthètes, les accords de clavecin au jeu des silencieux, bref d'inscrire les règlements de compte dans une atmosphère de fête galante», comme ils s'y appliquèrent dans l'adaptation culte des quelques lignes du roman d'Albert Simonin et que Jean Narboni avait su bien décrire. Sans doute aussi, dans ces scènes qui se rejoueront, ils riront -avec Dieu et Bossuet - des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes.
Car c'est un bien étrange paradoxe que celui de pleurer ces morts qui, vivants, désarçonnaient les idées du progrès et de l'hygiénisme et qu'en cela, on réduisait à des anarchistes de droite, des ploucs populistes, des beaufs dirait-on aujourd'hui.
Car c'est un bien étrange paradoxe de rire, cette fois à en pleurer, des incroyables tirades d'un Audiard qui ridiculisait le gaullisme, d'un Gabin qui célébrait l'ivrognerie, d'un Lautner qui préférait moquer la cage aux folles que de se lamenter de «la cage aux phobes» (expression consacrée bien après par Philippe Muray), là où il faut désormais y voir un négationnisme politique, une pathologie ou de l'homophobie.
Car c'est un bien étrange paradoxe que d'entonner le chant de la mélancolie en regardant devant son poste les images d'une France de clochers et de cartes postales en noir et blanc - quand les tabacs sentaient encore la gitane froide et le houblon sauvage, quand l'automobile exhalait des fragrances de pétrole en pétaradant joyeusement, quand les journaux se vendaient, et à la criée, quand la tolérance ne sortait pas outrageusement des maisons dans lesquelles on l'avait assignée, quand le sexe, d'ailleurs, n'était pas en plastique, quand les bistrots n'avaient pas encore expulsé les ouvriers pour les cadres financiers et les disc-jockey internationaux, quand le ventre de Paris n'avait pas été encore été déporté, quand le marquis de Cuevas et Serge Lifar se disputaient l'honneur d'un différend artistique au premier sang avant de s'étreindre, quand les chevaux ne se partageaient pas la première place entre deux couches de pâtes, quand on pouvait s'empiffrer à en exploser sans respecter le diktat des cinq fruits et légumes par jour, quand les cinq fruits et légumes par jours poussaient encore dans la terre et que leur prix était abordable, quand la novlangue n'avait pas encore remplacé la jactance hussarde, gouailleuse et française, quand le génie de l'invective n'avait pas en arrière-plan le salon de l'agriculture mais l'histoire, la culture, la curiosité pour les argots de métier et le langage de la rue- puis de couper le poste et d'hurler à la France moisie.
Mais alors, comme la Renaissance rejoua le classicisme romain, les lumières la Grèce antique, l'époque victorienne les codes médiévaux, notre monde moderne, «ce kolkhoze fleuri», mélancolique de l'esprit français frondeur et fripon, tenterait-il de renouer avec son âge d'or et une certaine mythologie française ? L'histoire raconte que le terme «nostalgie» (étymologiquement «retour à la douleur») fut inventé en 1678 par le médecin suisse Johannes Jacob Harder qui tentait de comprendre le mal frappant les mercenaires suisses de Louis XIV dès lors qu'ils entendaient des airs de leur patrie. En 1835, le dictionnaire de l'académie française le définissait comme une «maladie causée par un désir violent de retourner dans sa patrie» quand, quelques années plus tard Chateaubriand le réduisait à «un regret du pays natal». La version moderne de la définition s'accorda à la qualifier comme le désir d'un retour dans le passé, en insistant non plus sur la dimension géographique mais la dimension temporelle. Est-ce ce mal dont beaucoup d'entre nous souffrent lorsqu'ils entendent, entre la rue Monsieur-le-Prince, la rue de Condé et le Carrefour de l'Odéon, s'élever le duo de Bénech et Dumont, «Nuit de chine», que l'on connaît mieux grâce au célèbre binôme Gabin et Belmondo, dans le film culte «Un singe en hiver» ? Sans doute. Car nous convenons volontiers avec Gabriel Fouquet que ce monde sans canailleries, c'est «une paella sans coquillage, c'est comme un gigot sans ail, un escroc sans rosette: quelque chose qui déplaît à Dieu !»
Théophane Le Méné dans Le Figaro
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Ce soir, sur Méridien zéro :
Méridien zéro RBN cliquez ici
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jeudi, 20 février 2014
Le JT de TV Libertés de jeudi soir...
20:56 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ukraine : BHL encore plus rigolo que Dieudo ?
Nicolas Gauthier
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À moins d’habiter sur Vénus, il n’aura échappé à personne que l’Ukraine se trouve aujourd’hui dans l’œil du cyclone. Entre USA vieillissants et Russie renaissante. Avec, en son Ouest, une population catholique tournée vers l’Europe ; et en son Est, un peuple orthodoxe lié à la Russie, laquelle considère, non sans raison, que cette même Ukraine fait figure de berceau de la Rodina, la « patrie ». Pour plus de précisions, se rapporter à l’entretien que Pierre-Alexandre Bouclay, fin connaisseur de la région, a bien voulu nous accorder.
Ce qui, au début, n’avait été que simples manifestations est en train de dégénérer. Près ou plus d’une vingtaine de morts, nous disent les médias. Morts au rang desquels il s’agit aussi de compter certains policiers. Comme quoi tout n’est pas si simple. Qu’il n’y a pas gentils démocrates avides d’Europe d’un côté, et pro-Russes bornés de l’autre. Car si les seconds savent jouer de la matraque, les premiers ne se battent pas non plus avec des pistolets à bouchon. Et que ce qui pouvait, au début des événements, ressembler à de banals débordements mal contrôlés pourrait bien dégénérer en début de guerre civile.
En de telles circonstances, la prudence devrait être de mise et les instances internationales pousser plus à la concertation qu’à l’affrontement. Et c’est là, fatalement, que Bernard-Henri Lévy intervient. Lui qui dit le vrai et le faux, le bon et le bien, le beau et le laid. Lui qui a entraîné la Libye dans la tourmente, s’apprêtant à faire de même en Syrie – avant que ses ardeurs guerrières ne soient réfrénées par le pragmatisme anglo-saxon –, est en train de jouer les va-t-en-guerre en Ukraine.
Sur son blog, laregledujeu.org, le voilà qui, après avoir apporté un soutien à des manifestants ukrainiens qui, pourtant, ne lui demandaient rien, exhorte les nations européennes à suspendre leur participation aux Jeux olympiques d’hiver de Sotchi : « Les Jeux s’achèvent dans quelques jours. Il reste peu, très peu de temps pour cesser de se prêter à ce qui, plus que jamais, ressemble à une lugubre mascarade. Il reste peu, très peu d’heures, pour sauver au moins l’honneur et ne pas rentrer au pays auréolé d’une gloire qui aura le parfum de la compromission et du remords. Faisons, en quittant Sotchi ou en boycottant, à tout le moins, la cérémonie de clôture, que les XXIIe Jeux olympiques d’hiver ne restent pas, dans l’Histoire, comme les Jeux de la honte et de la défaite de l’Europe. »
Fort bien, sachant que ni le ridicule et encore moins le lyrisme de préau d’école de sous-préfecture, façon maire de Champignac dans les aventures de Spirou et Fantasio, n’auront, à cette date, jamais tué personne. Sotchi 2014 comme Berlin 1936, donc. Éternelle réduction ad Hitlerum et point Godwin allant avec. À force de nous faire rire, BHL devrait être remboursé par la Sécu, tant il parvient, involontairement peut-être, à nous faire oublier la morosité ambiante. Un article de BHL ? Encore plus rigolo qu’un spectacle de Dieudo. Lequel a pourtant mis la barre très haut… Ce mec est décidément un régal quotidien.
Pauvres Ukrainiens. Ils n’avaient pourtant pas besoin de ça.
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
08:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le knout, remède à l'hystèrie
Quand nous sommes habitués à subir les avanies des Femen à la solde de la secte LGBT qui a pris le contrôle du gouvernement, on découvre que la neutralisation de ce type d'hystérique exaltée ne pose aucun problème aux forces de l'ordre du président Poutine…
08:28 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 19 février 2014
RAPPEL : conférence d'Europe Identité sur Maurice Bardèche à Lyon le 1er mars
NDLR :
Un livre de Georges Feltin-Tracol édité par Les Bouquins de Synthèse nationale.
124 pages, 18,00 €
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21:28 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le JT de TV Libertés de mercredi soir...
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PSA : C'EST LA FETE...
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Empêchons la diffusion de Tomboy à la télévision
Un communiqué de Civitas :
Tomboy, film français (2011) réalisé par Céline Sciamma, raconte l’histoire d’une gamine de dix ans qui se fait passer pour un garçon, ce qui donne lieu à une amourette entre deux filles.
Tomboy fait du prosélytisme en faveur de l’idéologie du genre. Ce qui a valu à ce film le Prix du Jury du Teddy Awards à la Berlinale, qui récompense les productions cinématographiques traitant de sujets LGBT.
Tomboy est introduit dans les écoles via le programme « École et Cinéma » qui concerne les classes de CE2, CM1 et CM2. Près de 20.000 personnes ont déjà signé une pétition en vue d’interdire la projection de ce film dans les écoles.
Tomboy devrait être diffusé à la télévision par la chaîne Arte ce mercredi 19 février à 20h50. Arte est une chaîne de télévision franco-allemande de service public à vocation culturelle européenne. La chaîne Arte est un groupement européen d’intérêt économique (GEIE) basé à Strasbourg.
Arte France est détenu à 45% par France Télévisions, à 15% par Radio France, à 15% par l’INA et à 25% par l’État français.
Tomboy, film de propagande pour
l’idéologie du genre n’a sa place
ni à la l’école ni à la télévision
Civitas appelle les familles françaises à réagir et à empêcher la diffusion de ce film de propagande pour l’idéologie du genre. Ce film ne répond pas à la mission d’Arte qui est de « concevoir, réaliser et diffuser des émissions de télévision ayant un caractère culturel. »
Si un grand nombre de familles françaises prend les quelques minutes nécessaires pour protester auprès d’Arte, ce sera en même temps un signal fort pour dénoncer le scandale qui consiste à diffuser ce film dans les écoles.
Protestons poliment mais fermement ! Par téléphone, par fax ou par e-mail.
Siège d’Arte GEIE : 4 quai du Chanoine Winterer à Strasbourg – Tél 03.88.14.22.22 – Fax 03.88.14.22.00
Directrice des Relations Publiques : Claude-Anne Savin – Tél 03.88.14.21.45 – claude.savin@arte.tv
Siège d’Arte France : 8 rue Marceau à Issy-les-Moulineaux – Tél 01.55.00.77.77 – Fax 01.55.00.77.00
Directrice de la Communication : Marie-Danièle Boussieres
Tél 01.55.00.70.34 – md-boussieres@artefrance.fr
Secrétariat : Christel Lamontagne
Tél 01.55.00.70.35 – c-lamontagne@artefrance.fr
Relations Publiques : Céline Chevalier
Tél 01.55.00.70.03 – c-chevalier@artefrance.fr
Info et Cinéma : Cécile Braun
Tél 01.55.00.73.43 – c-braun@artefrance.fr
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Mardi 11 mars : 5e cérémonie des Bobards d'Or
14:03 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sortie dans les salles le 14 mai : CRISTEROS, UN COMBAT POUR LA LIBERTE
14:01 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER
RIVAROL N° 3128
du 13 février 2014
LE PRÉSIDENT à la Vespa était reçu, il y a quelques jours, par David Cameron, le Premier ministre d’outre-Manche. Il n’a, évidemment, pas manqué de se ridiculiser dans la presse britannique.
FRANÇOIS HOLLANDE SE RIDICULISE, UNE FOIS DE PLUS
Certes, une partie de la presse britannique est adepte du « French Bashing » (chambrer les Français). Mais, reconnaissons-le, le Pingouin lui donne du grain à moudre. C’est ainsi que Hollande a fait la “Une”, le samedi 1er février, du très sérieux quotidien The Gardian. Le chef de l’Etat français venait de déjeuner dans un pub londonien avec le chef du gouvernement britannique. Damned, à la sortie, il pleuvait, ce qui est, reconnaissons-le, assez souvent le cas à Londres. Du coup, Hollande se mit à courir en direction de sa voiture, aspirant l’air à grandes goulées, car il n’est pas franchement un sportif, ce qu’au demeurant on ne peut pas lui reprocher. Problème, ses joues étaient gonflées par l’effort, comme celles d’un hamster affamé, qui, comme on le sait, stocke des réserves de nourriture dans ses bajoues. Ce sournois de quotidien britannique a titré, photo à l’appui : « Nice lunch, Monsieur le Président ?» (« Bien mangé, Monsieur le Président ? »), Les medias britanniques s’intéressent évidemment de près à l’affaire Hollande-Trierweiler-Gayet, allant jusqu’à reprocher aux journalistes français leur manque de persévérance dans la quête de confirmation de la rumeur. Eux ne reculent pas devant l’insolence. Un journaliste du Daily Telegraph a, lors de la conférence de presse, posé la question suivante : « Monsieur le président, (...) avez-vous encore une liaison avec Julie Gayet et auriez-vous aimé qu’elle soit là ? » Ce n’est pas en France, avec ces valets du système médiatique, que des journalistes s’autoriseraient ce genre de question ! François Hollande avait alors froidement indiqué qu’il ne répondrait pas à l’interrogation. Quel héroïsme !
CHRISTINE BOUTIN, ELLE AUSSI, FAIT FORT !
Cricri s’exprimait au sujet de la Manif pour tous lors d’une interview sur BFMTV. Les journalistes, comme moi, l’aiment beaucoup : tendance un peu décalée, un peu “space”. Elle s’est sagement abstenue de crier victoire, car Christine sait être lucide. Elle déclara : « Ce n’est pas une victoire car il s’agit d’un recul pour une année », affirmant sa détermination à poursuivre le combat. Fort bien. Christine Boutin s’est ensuite emparée d’une note, déclarant martialement : « A propos de la Loi sur la famille, on parle du côté du gouvernement non de “recul” mais de “stratégie provisoire d’avancement à potentialité différée”.
« Stratégie provisoire d’avancement à potentialité différée », c’est grandiose, en effet. Une formule supposée émaner du gouvernement, parfaitement ridicule, et digne d’Orwell. Sauf qu’il s’agit d’un canular du site Gorafi, que j’ai déjà évoqué dans ces chroniques : ce site Internet est en fait un pastiche de site d’informations. Souvent très drôle, et pas franchement de gauche… Il vient de titrer au sujet de la théorie du genre : « les enfants demandent à leurs parents d’agir un peu plus en adultes », et au sujet des rumeurs circulant sur internet quant à la supposée grossesse de Julie Gayet : « Julie Gayet achète un test de grossesse pour vérifier les rumeurs du Net ». Bien entendu, la bourde de Cricri a été reprise sur les réseaux sociaux, qui s’en sont donné à cœur joie.
11:37 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Messe pour le repos de l'âme de Don Blas Pinar vendredi soir à Paris
NDLR :
Le Cercle franco-hispanique et Olivier Grimaldi présentent : Présence de José Antonio
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