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mercredi, 19 février 2014

2014 : Elections, piège à abstentions/sanctions

1_téléchargement.jpgRaoul Fougax

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Nous avons été  parmi les premiers, sinon les premiers à lier indirectement l’affaire Dieudonné à l’élection municipale. C’était un symptôme entre autres de l’élargissement du rejet du Ps dans les banlieues populaire, c’est à dire aujourd’hui immigrées. Pas besoin de grands sondages pour arriver à cette conclusion. Un peu de bon sens et d’analyse objective suffisent.

S’il y a débâcle municipale du parti socialiste, elle sera provoquée par une abstention des déçus des promesses de campagne et par un rejet sociétal communautaire. Le Ps redoute une abstention massive de ses électeurs notamment de ceux des banlieues. Maintenant, il le dit et le président s’agite. Il multiplie les déplacements et les gestes vis-à-vis notamment des musulmans. C’est inutile.

La mémoire des combattants de 14-18 n’a rien à voir avec l’enseignement à l’école à la place de l’histoire, d’une société non diversifiée sexuellement. On peut estimer que ce vote capital pour certaines mairies de gauche a été perdu finalement par la franco-marocaine Najat Vallaud Belkacem. Son  féminisme exacerbé fait peur aux mamans des banlieues. La plus populaire des ministres, Valls étant à la ramasse depuis l’affaire Dieudonné, est la plus détestée par certaines familles musulmanes. Qui l’eut dit ?

Dans les banlieues, on n’aime pas les homos et le mariage pour tous est considéré comme une preuve supplémentaire de dégénérescence de la république. Cette politique contraire aux racines et à la tradition est imputée politiquement au parti socialiste.

Le Figaro Magazine s’intéresse à la plus populaire et controversée des ministres PS, Najat Vallaud-Belkacem (Droits des femmes). Sous le titre «la Khmère rose», l’hebdo donne la parole au député UMP-Manif pour tous, Hervé Mariton qui met en garde contre cette «Viêt-minh souriante» qui veut «désaliéner le peuple». Le sociologue Jean-Pierre Le Goff en fait l’incarnation du «gauchisme culturel» qui prétend «changer les mentalités par les moyens de l’éducation». En réaction, la ministre a souhaité que le Fig-Mag revienne à «ses sujets de prédilection» en indiquant à ses lecteurs «où acheter les meilleurs caviars». Ce qui est tout de même une réponse assez courte.

Le fait que la plus engagée des ministres du gouvernement dans la construction d’une nouvelle société coupée de ses traditions familiales soit d’origine marocaine enrage encore plus de nombreux immigrés. Ce vote de » répulsion » des banlieues entre abstentions et sanctions est bien sur un atout pour la droite. Une vague bleue n’est possible qu’avec l’abstention massive de la gauche. Il faut donc faire peur aux immigrés sur la politique de l’éducation du gouvernement, ce qui ne sera pas difficile.

Il faut faire peur d’un autre coté sur le vote Fn. Copé s’y emploi. Il peint des mairies  ayant à leur tête des incompétents, privés de subventions. Dans certains cas ça peut marcher aussi. La stratégie de reconquête des mairies par l’Ump est donc tout sauf glorieuse. Mais seul le résultat compte dans le système de la démocratie élective.

C’est ce qu’on se dit au Ps où tout va être fait pour rassurer les familles immigrées sur l’évolution sociétale de la France qui doit respecter toutes les sensibilités et pas seulement celles de Najat et de tous ses  amis, moins nombreux cependant qu’ils ne le pensent.

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Le JT de TV Libertés de mardi soir :

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En Suisse, l’armée protège… mais « aux heures de bureau » seulement !

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La chronique de Philippe Randa

Boulevard Voltaire

On savait la Suisse d’un naturel à ne pas trop s’angoisser, du moins « tant qu’il n’y a pas l’feu au lac », comme on dit là-bas… Alors, pensez si la nonchalante Helvétie ne va pas se faire plus de souci que nécessaire pour un simple détournement d’avion dans son ciel. Car l’heure, c’est l’heure et au pays des montres de précision autant que de prestige, les pirates de l’air sont priés de « mettre le cheni » (mettre le bazar)… aux heures de bureau car l’armée n’y est jamais « opérationnelle avant 8 h du matin »… Gag !

La preuve par ce Boeing 767-300 d’Ethiopian Airlines à destination de Rome, détourné dans la nuit de lundi à mardi au-dessus du Soudan… Bien qu’alertés dès 4 h 30 du matin, les militaires suisses n’ont pas bougé, s’en remettant à leurs voisins plus… matinaux ! Une fois l’avion détourné arrivé dans l’espace aérien italien, ce sont donc d’abord deux Eurofighter de l’armée transalpine qui ont pris « l’affaire en vol » avant que deux Mirage 2000 de l’armée française ne l’escortent ensuite jusqu’à l’aéroport de Genève où il s’est posé à 6 h 02…

« En 2014, l’armée de l’air suisse n’intervient que durant les heures de bureau », a ainsi expliqué sans crainte du ridicule au journal 20 Minutes Laurent Savary, porte-parole des forces aériennes suisses, ajoutant pour la Tribune de Genève que « les forces aériennes suisses sont disponibles entre 8h et 12h et de 13h30 à 17h. »

Déclaration à mettre en parallèle avec l’ambition déclarée d’Ueli Maurer lorsqu’il prit, en 2008, la direction du Département fédéral de la défense : « Faire de l’armée suisse la meilleure du monde. »

Les réalités budgétaires, hélas, sont malheureusement trop impitoyables : « Vous avez un budget et vous êtes obligés de faire des choix en fonction de vos priorités », reconnaît Jürg Nussbaum, porte-parole de l’armée suisse.

Un choix qui tombe à un moment délicat des relations de la Suisse avec les autres pays européens après les résultats de la récente votation limitant à l’avenir l’immigration en Suisse… Nul doute que les populistes de l’UDC vont prendre prétexte de leur armée ridiculisée pour réclamer qu’on la dote de moyens supplémentaires, tandis que les pro-européens vont dénoncer le risque d’un isolement continental de leur patrie…

« Ces divergences vont réapparaître en mai. Les Suisses voteront en effet sur l’achat de nouveaux avions de chasse Gripen. Décidé par le gouvernement et le Parlement, le financement doit encore être approuvé par le peuple. Mais selon un sondage diffusé lundi, 53 % des Suisses s’opposent à une telle dépense », rapporte déjà Alexandre Boudet dans le Huffington Post.

Et le pirate de l’air, dans tout cela ? Arrêté dès sa descente (par un hublot) de l’avion, il ne s’avère être finalement qu’un énième demandeur d’asile politique… Un natif d’Éthiopie qui avait profité que le commandant de bord soit allé aux toilettes pour s’enfermer dans le cockpit. C’est fichant ! Comme on dit aussi au pays du gruyère (sans trous, le gruyère).

Conseillons, en attendant, à nos amis helvètes d’autoriser désormais leurs pilotes à ne se soulager qu’en dehors des « heures de cockpit »…

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mardi, 18 février 2014

Europe et immigration de masse : les peuples contre les eurocrates !

349057970.jpegYves Darchicourt

Retombées de la votation suisse sur l'immigration ? Le journal alémanique Blick (2e quotidien helvétique après le gratuit 20 Minutes) a publié samedi dernier les résultats d'un sondage réalisé conjointement en Allemagne, en France et en Grande-Bretagne sur l'éventualité de la mise en place dans ces pays d'une législation restrictive de l'immigration telle que celle approuvée par les Helvètes le 9 février 2014 sur proposition de l'UDC.

Le résultat serait sans appel. Plus largement même que les Helvètes, les citoyens allemands, français et britanniques seraient "favorables" ou "plutôt favorables" à une limitation de l'immigration de masse : 61,80% des teutons, 69,70% des Gaulois et 77,50% des anglo-saxons seraient partisans d'un tel projet...que bien évidemment les "élites" au pouvoir se garderont bien de soumettre aux peuples concernés. Et d'ailleurs le journal zurichois relève fort justement que dans ces trois pays seul "le peu de poids politique des citoyens" empêche à ce jour toute possibilité de mise en oeuvre d'une telle législation, même si "le malaise face à l'immigration" y est fort sensible.

Il s'agit bien là d'une illustration parfaite de l'abîme qui sépare les peuples d'Europe attachés à leur identité de leurs "élites" soumises aux impératifs du nouvel ordre mondial en faveur de l'immigration allogène de peuplement et au métissage généralisé, laïc et obligatoire. On ne s'étonnera donc pas d'apprendre que les citoyens interrogés seraient aussi largement favorables à l'organisation régulière de "votations" à la suisse sur des sujets aussi essentiels (52% des anglais, 77% des français et 85% des allemands). Cerise sur le gâteau, le même jour, un sondage Ifop pour Atlantico révélait que 59% des Français seraient pour une limitation de la liberté de circulation des "européens" sur leur territoire, une liberté de circulation qui est fort bien perçue comme pain béni pour les immigrés allogènes clandestins ou non.

Bref, un camouflet de plus pour l'Union européenne à la bruxelloise en général et surtout pour les "commissaires", ces bureaucrates non élus à la prétention inouïe, pourfendeurs patentés des peuples et des nations millénaires de notre continent. Lueur d'espoir aussi, ni le bourrage de crâne systématique, ni la répression ouverte ou rampante, ne peut venir à bout du viscéral attachement des peuples d'Europe à leur identité civilisationnelle. Sans optimisme démesuré, il faut se réjouir de ce qu'un peu partout, face à l'eurocratie, les peuples indigènes d'Europe commencent à se rebiffer...pour l'instant calmement, mais de plus en plus fermement !

 

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16:45 Publié dans En Europe et ailleurs..., Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le JT de TV Libertés de lundi soir :

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Flandre : la "campagne des illégaux" du Vlaams Belang !

3314601507.jpgYves Darchicourt

Nos amis et camarades du Vlaams Belang entament une vaste campagne de sensibilisation de leurs concitoyens et congénères aux problèmes posés par la pullulation des immigrés clandestins. Trois véhicules publicitaires vont sillonner les rues des cités flamandes en invitant ironiquement les illégaux "à rentrer chez eux ou à aller en prison" et en donnant connaissance des numéros de téléphone du cabinet de Maggie De Block, secrétaire d'Etat à l'asile, et du service ouvert pour les candidats au retour volontaire.

Filip Dewinter qui, avec raison, n'a pas hésité à déclarer "les clandestins abusent de notre hospitalité et de notre sécurité sociale" a fustigé le laxisme des autorités qui faillissent à "traquer, enfermer et rapatrier" les illégaux.

La caravane devrait prochainement sillonner Anvers, Malines, Vilvorde et Gand. Le bourgmestre de Bruxelles vient lui d'interdire la ville-capitale à la "campagne des illégaux" au prétexte de "xénophobie" ! Ben voyons !

10:03 Publié dans En Europe et ailleurs..., Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 17 février 2014

Le Glaive et la Charrue, le livre Richard Roudier commenté par Georges Feltin-Tracol

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Georges Feltin-Tracol

Méconnu du plus grand nombre de nos compatriotes, Richard Roudier n’en est pas moins un activiste convaincu. Très tôt adhérent à Europe Action, il conduit aujourd’hui la Ligue du Midi, identitaire et régionaliste, et préside le Réseau Identités. Ce combattant politique – et culturel – a souvent porté le glaive sans pour autant renoncer à la charrue, lui qui s’impliqua fortement auprès des viticulteurs languedociens en tant que syndicaliste agricole.

C’est d’ailleurs sous ce titre qui réunit une arme de poing et un instrument agraire que Richard Roudier publie ses mémoires. Mais cet « itinéraire identitaire » ne se veut pas pas que biographique. Résolument tourné vers l’avenir, l’ouvrage estime que « le temps de la réunification a sonné et que le temps des laboratoires devrait s’effacer devant celui de la préparation des conditions de la victoire (p. 10) ».

Richard Roudier retrace son parcours. Fils de petits paysans de Béziers, il suit enfant l’effervescence poujadiste. Plus tard, ses premiers émois militants concernent la lutte viticole et son implacable répression policière hexagonale encouragée par un pouvoir parisien centralisateur qui n’a jamais digéré le grand soulèvement fraternel et méridional de 1907 brisé par l’infâme Clemenceau, personnage le plus infect de l’histoire de France avec le retors Adolphe Thiers.

Lycéen à l’époque de la Guerre d’Algérie, il rejoint les rangs de la F.E.N. (Fédération des étudiants nationalistes) où il rencontre le jeune Pierre Krebs. Ils fondent ensemble un petit journal ronéotypé intitulé Spartiate, et lisent avec passion Europe Action. Souvent, dans le Midi, les distributions de tracts et l’organisation de réunions publiques s’achèvent par des bagarres avec les gauchistes. L’auteur ne cache pas le plaisir qu’il avait de s’y jeter… S’il passe ensuite au M.N.P. (Mouvement nationaliste de progrès), l’héritier politique d’Europe Action, il omet toute éventuelle participation au R.E.L. (Rassemblement européen de la liberté), sa version électoraliste, puis à l’I.E.O. (Institut des études occidentales) de Dominique Venner et de Thierry Maulnier, ne s’engage pas en revanche au G.R.E.C.E. dont le ton très nordiciste l’agace. Richard Roudier suit néanmoins avec intérêt ses recherches et approuve régulièrement les orientations prises par cette centrale d’idées.

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Renaud Lavillenie, un extraterrestre ? Simplement un champion… et c’est plus rare !

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La Chronique de Philippe Randa

Boulevard Voltaire

Un exploit reste toujours un exploit. Et celui du perchiste français Renaud Lavillenie qui a passé 6,16 m (nouveau record du monde) à Donetsk (Ukraine), sur les terres de l’ancien recordman Sergueï Bubka, restera de fait dans les mémoires sportives. L’ancien record était vieux de 21 ans… Combien de temps le restera le sien ? Des mois ? Des années ?

Les records sont faits pour être battus, notre champion le sait très bien lui-même. Au journaliste du quotidien L’Équipe, Nicolas Herbelot, qui lui demande : « Ces 6,16 m, n’est-ce pas votre plus beau saut ? », il a cette réponse mesurée : « Peut-être pas le plus beau, mais le meilleur. Beau, on s’en fout un peu. C’est le saut rêvé puisqu’on passe au-dessus de la barre, que cette barre est belle et qu’elle reste en haut quand on redescend. Un record olympique aux Jeux à Londres (5,97 m), c’était déjà bien ; un record du monde aux Championnats du monde, c’est encore mieux. Mais la médaille d’or reste la plus précieuse. Derrière, il y a la Marseillaise… Et puis on la garde, alors que le record, on le perd un jour… »

On appréciera, au passage, qu’un tel athlète soit sensible à notre hymne national et le fasse savoir… Il faut dire qu’il n’y a désormais plus guère que dans le domaine sportif où le patriotisme a encore sinon droit de cité, tout au moins droit d’être cité.

Et saluons également la réaction du champion détrôné Sergueï Bubka, légende de la perche mondiale et présent au meeting Pole Vault Stars. Il a été parmi les premiers à féliciter le Français : « Une nouvelle ère dans ce sport est arrivée. Aujourd’hui, le vainqueur est un champion olympique, une personne qui a déjà obtenu de nombreux succès. Nous nous attendions à cet événement et nous sommes ravis que cela se soit passé précisément ici, à Donetsk […] J’ai beaucoup de sympathie pour ce gars. Je suis sûr que ce n’est pas le dernier sommet qu’il atteint et que d’autres succès brillants l’attendent. »

Cela étant dit, et sans retirer une once d’admiration à ce grand athlète des plus sympathiques, constatons aussi que nombre de commentaires du monde politique et journalistique n’ont pas la même élégante pondération.

Depuis sa prestation connue, le langage des journalistes connaît une inflation de superlatifs assez grotesque… Pourquoi le qualifier « d’extraterrestre » ? Ne peuvent-ils imaginer qu’un simple terrien, à force d’entraînement, de volonté et de travail (il a amélioré à deux reprises son record depuis le début de l’année) soit ainsi capable d’un tel exploit ? Comme d’autres avant lui et, à l’évidence, après lui ? Et s’ils étaient, eux, des extraterrestres de l’information ?

Plutôt que d’imaginer ainsi quelque « anormalité terrestre », ne serait-il pas plus valorisant pour notre héros de reconnaître qu’un terrien, certes issu d’une famille de perchistes – mais si cela suffisait, ça se saurait – puisse presque tout gagner dans sa discipline et se hisser aux premières places majeures (à l’exception des Championnats du monde), parce que, comme il l’assure, « à aucun moment je n’ai douté. Je me suis dit “donne tout ce que t’as” »…

Renaud Lavillenie, un extraterrestre ? Simplement un champion… et c’est plus rare !

 

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16:30 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

2 réunions du Parti de la France avec Thomas Joly en Bourgogne

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16:25 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Voix de la Russie de cette semaine :

16:18 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cinéma : les Américains sont toujours les rois…

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Sans commentaire…

 

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13:17 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les frères Martineau chantent pour le soulèvement des Veilleurs...

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dimanche, 16 février 2014

Le Journal du Chaos de cette semaine :

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Le Journal du Chaos cliquez ici

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"LA FRANCE LICRATISEE", le livre incontournable d'Anne Kling est en vente aux Bouquins de Synthèse nationale...

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Puisque la justice du Système s'abat de plus en plus fréquemment sur la résistance patriotique, nous pensons qu'il est utile de mieux connaître ces organisations anti-françaises qui ont la prétention d'imposer leur loi dans notre pays. Nous conseillons donc à nouveau à nos lecteurs et amis de lire le remarquable ouvrage publié par Anne Kling : La France licratisée.

Ce livre, par ailleurs agréable à lire, retrace parfaitement l'oeuvre destructrice, des années 20 à nos jours, des officines à la solde du communisme international. Officines qui continuent à sévir et dont on ne dénoncera jamais assez le rôle néfaste.

Lisez et, surtout, faites lire La France licratisée, c'est un acte militant.

La France licratisée, Anne Kling, Editions Mithra, 2007, 246 pages, 18,00 € (+3,00 € de port).

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Anne Kling lors d'une récente réunion de Terre et peuple :

04:40 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 15 février 2014

Serge Ayoub répond à Frédéric Haziza :

NDLR :

aaclemeric.jpgLe livre de Serge Ayoub, L'affaire Clément Méric, du fait divers au scandale politique, est en vente aux Bouquins de Synthèse nationale cliquez ici

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19:27 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

En France, pour manifester, mieux vaut être un antifa !

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Anne-Laure Debaecker

Boulevard Voltaire cliquez ici

Samedi 8 février, plusieurs centaines d’antifas ont saccagé le centre-ville de Rennes. Motif de cette « colère » ? La tenue d’un meeting du FN…

Celui-ci avait suscité l’indignation à gauche : de nombreux syndicats, partis d’extrême gauche et associations antiracistes avaient appelé à venir manifester. Ces appels se sont soldés par une violente manifestation émaillée de jets de pierre, cocktails Molotov, d’une voiture brûlée et de vitrines brisées, dont celle d’un commissariat…

Que des partis et syndicats de gauche appellent à perturber la tenue d’un meeting, rouage nécessaire à l’exercice de la démocratie, laisse songeur sur la réalité de cette dernière… Mais lorsqu’on apprend que, sur les 600 antifas présents, quatre seulement ont été mis en garde à vue, on constate une fois de plus le deux poids-deux mesures qui caractérise ceux qui se veulent les chantres de la tolérance, de l’égalité et de la fraternité.

Selon la définition du dictionnaire Larousse, est fasciste celui « qui impose une autorité arbitraire, dictatoriale et violente à son entourage ». Au vu des dégradations et violences exercées pour empêcher la tenue d’un meeting pourtant organisé en toute légalité, on peut s’interroger sur la cohérence de mouvements utilisant les mêmes procédés que ceux attribués aux groupes qu’ils pourchassent.

Dans l’histoire française, la gauche a souvent utilisé le terme de fasciste comme une injure destinée à disqualifier ses adversaires politiques, que ce soit De Gaulle, les membres de la SFIO, ou encore Le Pen. Cette tactique a d’ailleurs également été utilisée par la RDA communiste lors de la guerre froide, qui érigea le mur de Berlin comme « mur de protection antifasciste ».

Il ne faut donc plus s’étonner de l’incroyable tolérance et impunité dont bénéficient les mouvements antifascistes, malgré leurs incohérences idéologiques et leur violence caractérisée. Peu importe la légitimité, le bien-fondé des revendications et la manière dont celles-ci sont exprimées : tant que l’on partage la vision politique et idéologique de ceux qui nous gouvernent, elles seront tolérées, si ce n’est défendues. En France, en 2014, mieux vaut mieux être un antifa que de défendre le modèle traditionnel de la famille !

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Dresde 13-14 février 1945 : la guerre des lâches !

123716073.gifYves Darchicourt

Février 1945 : Dresde est une ville ouverte, une ville désarmée où les 25 hôpitaux et les dizaines de centres d'accueil hébergent, nourrissent, réconfortent et soignent tant bien que mal des dizaines de milliers de réfugiés, de mutilés et de blessés fuyant les "libérateurs" staliniens.

A cette date, la partie est perdue pour l'Allemagne, tous les fronts sont enfoncés et les 42 divisions soit-disant massées aux alentours de la ville de Dresde pour une contre-attaque vers l'Est n'existent que sur le papier. Dresde n'est plus un objectif militaire et les civils qui s'y entassent peuvent se sentir quelque peu "rassurés"d'être loin des combats. C'était sans compter avec la décision des politiques anglo-américains de faire amplifier par leurs états-majors la stratégie de la terreur sur les civils censée démoraliser l'Allemagne : surpeuplée de civils Dresde était une cible de choix, comme le furent Berlin ou Hambourg, et comme le seront Tokyo, Hiroshima et Nagazaki.

La nuit du 13 au 14 février : pour un temps "oublier" la guerre, se raccrocher à tout ce qui est la vie comme ces petits carnavals improvisés qui s'animent çà et là et puis viennent quinze heures d'apocalypse, 650 000 bombes incendiaires et engins à fragmentation, les civils écrasés, déchiquetés, brûlés au phosphore; 1000° au sol, des corps amalgamés au béton et à l'acier, des petits enfants englués vivants dans l'asphalte en fusion; la folle terreur, l'indicible douleur, la mort dans l'épouvante. Combien de morts ? 35 000 pour l'Histoire officielle, probablement au moins 135 000. Des monceaux de cadavres aux chairs brûlés comme offerts en Holocauste à quelque hideuse divinité. Le "Bomber Command" du général-boucher Arthur Harris va pouvoir jubiler, comme prévu la ville était sans défense et tous les avions sont rentrés. Sortis des carlingues décorées à la pin-up, sourire et bulle de chewing-gum aux lèvres, les "héros" tout juste un peu fatigués vont pouvoir fêter çà et imaginer ce qu'ils diront plus tard à leurs enfants qui leur demanderont peut-être: raconte moi ta guerre papa.

Ignominie qui n'est pas la guerre sinon celle des lâches, monstruosité susurrée à Yalta dans l'oreille d'un sénile qui faisait sous lui par un alcoolique chronique en perpétuel état second sous le regard ironique du plus grand criminel politique de l'Histoire et pour laquelle aucun responsable ni exécutant ne sera jamais inquiété. Ce crime de guerre au parfum de génocide n'est pas près d'être officiellement considéré comme tel. Il est vrai qu'il a été commis - comme tant d'autres le seront encore - au nom du Bien par des démocraties humanistes. Tant que l'Histoire ne sera pas remise à l'endroit, le martyre de Dresde restera une péripétie et les martyrs de Dresde n'en seront jamais que des détails !

 

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EXCLUSIF. Le rapport des RG qui dit la vérité sur les événements de Rennes

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Source Valeurs actuelles cliquez ici

Rédigé par les ex-RG, la SDIG (Sous-direction de l’information générale) de Rennes, le rapport confidentiel que Valeurs actuelles a pu consulter met en lumière les informations que le ministère de l’intérieur et certains médias ont voulu cacher.

Les faits

Samedi dernier à Rennes entre 600 et 700 militants de gauche ont saccagé tout un quartier de la ville en protestation contre la tenue d’un meeting du Rassemblement Bleu Marine.

Le rapport de police commence : « le 8 février 2014 en fin d’après-midi, la DDSP 35 (Direction Départementale de la Sécurité Publique, NDLR) mettait en place un dispositif renforcé de sécurisation en raison du risque d’une action de militants d’extrême gauche. Et ledit dispositif est impressionnant, à la hauteur de la gravité des événements : « le service d’ordre engageait 2 compagnies de CRS, 1 escadron de gendarmerie, soit plus de 250 policiers et gendarmes ».

Les militants de gauche attaquent un poste de Police et tentent d’y mettre le feu

Le rapport se poursuit ainsi : « vers 18h30, 400 personnes d’extrême-gauche se rassemblaient (…) pour dénoncer la tenue de cet événement du « Rassemblement bleu marine » (…) à 19h50, (…) ils cassaient des vitrines (5 commerces et 4 établissements bancaires) et poursuivaient leurs exactions (…) où ils tentaient d’incendier un bureau de police en brisant plusieurs vitres et en y jetant un fumigène qui mettait le feu à un fauteuil (…) ». Le document rapporte ensuite qu’« un véhicule était incendié».

La riposte des forces de l’ordre

La réponse policière est décrite à l’image de la situation d’urgence : « au cours des heurts, les forces de l’ordre faisaient usage d’un canon à eau, de grenades lacrymogènes et du flash-ball (…) pour repousser les assaillants. Quatre policiers et un gendarme étaient blessés par des jets de projectile. Au plus fort des événements, 630 manifestants étaient réunis ».

La réponse judiciaire : les casseurs sont relâchés

Selon les informations contenues dans le rapport, trois individus ont été interpellés. Le premier, âgé de 20 ans a été placé en garde-à-vue. Le second, 24 ans, a fait l’objet d’une « audition libre ». Le dernier, 22 ans a été relâché. Toutes les personnes interpellées ont été laissées libres « sans aucune suite judiciaire », précise le rapport de Police.

Dans sa communication à la presse, le préfet de Bretagne, Patrick Strzoda, l’un des meilleurs de France,  passe étrangement sous silence les policiers blessés: « lors de ces heurts il n’y a pas eu de blessé mais quatre manifestants ont été interpellés ». Manuel Valls a-t-il veillé à faire « oublier » les policiers blessés ? La question peut être posée après lecture de la dépêche AFP, qui a été envoyée dans la soirée en « oubliant », elle aussi, de faire état des victimes policières. Seul un journaliste de Ouest France, qui lui, était présent sur place et a filmé la soirée, en fait mention. Son article, pourtant très précis, n’a curieusement pas été repris. Dans la soirée, les journaux nationaux ont tous cité en boucle la dépêche de l’AFP, arrangeant bien les comptes de Manuel Valls. Les manifestants pacifiques de la Manif Pour Tous, qui n’avaient pourtant causé ni dégât ni violence l’an dernier, n’ont pas eu le droit au même régime de faveur.

NDLR :

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Jean-Claude Rolinat sera dimanche matin sur Radio Courtoisie

images.jpgJean-Claude Rolinat, auteur du livre La faillite de Mandela cliquez ici, sera demain dimanche 16 février, de 8 h 30 à 10 h 00, l'invité d'Alain Sanders dans son émission dominicale sur Radio Courtoisie cliquez là. Il nous parlera aussi de son récent livre consacré à Juan Peron (chez Pardes).

Rappelons que Jean-Claude Rolinat dédicacera La faillite de Mandela, ainsi que la biographie qu'il avait consacré à Antonio Salazar, Salazar le regretté, début 2012 cliquez là, samedi 22 février, de 15 h 00 à 18 h 00, à la Librairie française, 5, rue Auguste Bartholdi à Paris XVe (métro Dupleix ou La Motte Piquet) cliquez ici.

NDLR :

mandela.jpgLe nouveau livre de Jean-Claude Rolinat : La faillite de Mandela édité aux Bouquins de Synthèse nationale.

En savoir plus cliquez ici

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Le JT de TV Libertés de vendredi soir :

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Un film réalisé par Europe Identité

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vendredi, 14 février 2014

Milices bolcheviques : après Rennes, Nantes ?

Une semaine après le saccage du centre de Rennes par 600 miliciens "antifas" qui s'en sont pris aux commerces et ont livré pendant plusieurs heures une féroce guérilla urbaine contre les CRS (muselées par les ordres du pouvoir complice) à coup de pavés et des cocktail molotov, sera-ce au tour de Nantes de subir les mêmes violences ?

Difficile d'en douter à la vue de l'affiche appelant à une manifestation ce soir contre la tenue du meeting de campagne du candidat frontiste aux élections municipales :

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Vous ne rêvez pas : le personnage choisi pour illustrer le document pose en toute décontraction fusil à la bretelle…

Alors que les manifestations pacifiques de la France réelle sont soit interdites, soit victimes de provocations des milices para-gouvernementales type "femen" – voire même directement de la police – et sévèrement réprimées, les trotsko-immigrationistes se permettent d'appeler en toute transparence à la lutte armée contre les candidats concourant pour les prochaines élections.

Gageons que là, nulle interdiction de la préfecture ne tombera au dernier moment, que la police ne réprimera que très mollement les attaques aux biens et aux personnes…

Les milices supplétives du gouvernement Ayrault le mal nommé mettront vraisemblablement les rues de la ville dont il fut le maire dans le même état que celles de Rennes la semaine dernière.

Ce qui est terrible avec ces énergumènes, c'est qu'ils finiraient par nous rendre sympathique les candidats du néo-Front national.

C'est dire s'ils sont nuisibles et si leur éradication est plus que jamais une urgence !

 

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Après le référendum en Suisse, satisfaction du MNR

2793785427.jpgUn communiqué du MNR :

A la suite de I'initiative populaire du 14.02.2012 'Contre l'immigration de masse', le vote du 9 février 2014 en Suisse a donné la majorité aux partisans d'une restriction de l'immigration. L'article modifié de la Constitution suisse inclut notamment les mesures suivantes : « Le nombre des autorisations délivrées pour le séjour des étrangers en Suisse est limité par des plafonds et des contingents annuels. Les plafonds valent pour toutes les autorisations délivrées en vertu du droit des étrangers, domaine de l’asile inclus. Le droit au séjour durable, au regroupement familial et aux prestations sociales peut être limité. »

« Les plafonds et les contingents annuels pour les étrangers exerçant une activité lucrative doivent être fixés en fonction des intérêts économiques globaux de la Suisse et dans le respect du principe de la préférence nationale; ils doivent inclure les frontaliers. »

Ce vote est ressenti comme un coup de tonnerre par les autorités immigrationnistes européennes. Il montre aussi l'intérêt de la démocratie directe telle qu'elle est pratiquée en Suisse. On peut légitimement penser qu'un tel vote en France (ou dans d'autres pays européens) donnerait le même résultat.

Avec tous les patriotes, luttons pour que nos gouvernants s'attaquent aux effets néfastes d'une immigration non maîtrisée.

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Le JT de TV Libertés de jeudi soir :

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Ce soir sur Méridien zéro :

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Méridien zéro RBN Cliquez ici

 

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jeudi, 13 février 2014

Libé qui rit, Libé qui pleure...

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Jacques-Yves Rossignol

Je connais un endroit à Paris où l'on ne ricane plus tout à fait de la même façon. Oh, on ricane encore, parce que c'est mécanique, automatique, mais on a compris que le temps du ricanement heureux est terminé. Au siège de Libération, il y a comme un goût de cendres dans les ricanements de cet hiver 2014. On perçoit que le type de méchanceté qui était la raison d'être de ce repère de bobos a fait long feu et ne se porte déjà plus.

Durant trente ans, la fonction de Libération a été de moquer, de stigmatiser les braves gens, ceux qui ne voulaient pas, devenir des mécaniques mentales téléguidées par l'industrie culturelle, ceux qui refusaient de voir leur personnalité entièrement déterminée par le marché du cinéma, de la musique, de la high-tech. Ceux qui refusaient de devenir des zombies "fabriqués" par le marché mondialisé en un mot.

Pour cela, les gens de Libération ont ressassé à satiété les mêmes invectives, les mêmes amalgames, les mêmes ignominies, les mêmes trucs d'école de photo, les mêmes banalités d'école de cinéma, les mêmes ricanements hautains et méprisants, tout cela toujours dirigé contre les mêmes cibles, les Français attardés, les ploucs ringards, les provinciaux sous-développés, les beaufs grossiers. 

Les mêmes trucs photo lamentables utilisés pendant trente ans pour ridiculiser les braves gens. Il faut le faire !

"Nous sommes un journal" titrent ces pitoyables bobos de l'ex-Libération en réponse aux financiers qui viennent de siffler la fin de la récréation et de leur signifier en clair qu'ils sont devenus des idéologues superflus et, si j'ose le dire, et j'avoue que j'ai plaisir à le dire : ringards.

Mais non : vous n'avez jamais été un journal, bobos ahuris ! Vous n'avez été qu'une association de malfaiteurs chargée par le marché capitaliste de démoraliser et de désespérer un peuple sain et drôle, la classe populaire française. Classe promise à la liquidation et à l'éradication par différents moyens, parce qu'elle représente tout ce que le marché mondial ne peut supporter : l'ironie et l'esprit frondeur. Il se trouve qu'aujourd'hui, le marché n'a plus besoin de vous pour ce sale boulot, que votre type de méchanceté est éventé et vieillot et que vous rejoignez votre destination naturelle : la poubelle aux collabos usagés.

Vous ne saviez donc pas ceci que le marché capitaliste ne fait de promesses à personne, et qu'il les tient toujours.

 

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La Ligue du Midi manifeste à Montpellier contre l'entrée éventuelle de la Turquie dans l'Union européenne

François Hollande vient d'annoncer son intention de consulter les Français par référendum sur l'entrée de la Turquie dans l'Union Européenne. Cette nouvelle annonce vient s'ajouter aux différentes actions entreprises par le gouvernement depuis le début 2013 pour accélérer et forcer l'intégration de ce pays d'Asie mineure au sein d'une union qui n'aura plus d'européenne que le nom.

L'adhésion de la Turquie à l'UE n'est motivée que par des raisons économiques qui auront des conséquences catastrophiques pour les peuples d'Europe : délocalisations massives, remplacement des travailleurs européens par une main-d’œuvre immigrée docile et bon marché. De plus, la Turquie sera une porte d'entrée gigantesque pour tous les trafics illégaux venant d'Asie et d'Afrique (immigration clandestine, drogue, armes, etc...)

Face aux dangers que représente un tel projet tant sur le plan identitaire qu’économique et social, les militants de la Ligue du Midi ont manifesté à Montpellier, place de l'Europe –tout un symbole-, leur refus de voir leur terre et leur civilisation toujours un peu plus sacrifiées au nom du mondialisme et du profit. Face aux adversaires de notre civilisation, nous serons toujours présents, que ce soit dans la rue, dans les manifestations, dans les facs ou sur internet pour que l'Europe soit à jamais européenne !

Maîtres chez nous !

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mercredi, 12 février 2014

Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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Chez votre marchand de journaux, 3,50 €

23:44 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le JT de TV Libertés de mercredi soir...

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Chronique de la France asservie et résistante

IMG_0188 -Copier-.JPGRobert SPIELER

RIVAROL N° 3127

du 6 février 2014

 

LES LECTEURS de RIVAROL n’osent pas forcément acheter Closer dans les kiosques et avouer ainsi qu’ils sont fans de presse people. Un des rôles de RIVAROL est de leur apporter des infos qui les passionneront forcément. Grave question : où en est Trierweiler, après sa répudiation ?

 

C’est, si je ne me trompe pas, ce qu’en grammaire on appelle un zeugma : « Il prit la porte et son chapeau » ou « Vêtu de probité candide et de lin blanc » (Victor Hugo) « Ma mère était caissière et mon père amputé d’une jambe »… C’est l’émouvante déclaration de Trierweiler à la presse, lors de son voyage en Inde. Elle a évoqué dans Paris-Match, une « rupture sans préavis », douloureuse, certes, mais où elle se révèle « souvent touchante », selon le magazine, dont elle est toujours salariée. Closer a recueilli ses propos : « J’entendais des rumeurs, évidemment, mais on en entendait sur tout le monde. J’en entends sur moi aussi, tout le temps. Je n’y prêtais pas attention. Lorsque j’ai su, c’est comme si j’étais tombée d’un gratte-ciel ». Elle raconte qu’elle avait certes entendu la rumeur d’une liaison entre François Hollande et Julie Gayet, mais qu’elle avait refusé d’y croire. Elle explique : « Il y en a tellement (de rumeurs), je n’y faisais plus attention ». Sa biographe, son amie Nadia Le Brun, dit quant à elle : « si on ne peut pas imaginer qu’elle ignorait tout de la supposée liaison » de son compagnon, « on peut aisément supposer qu’elle tentait de le reconquérir ». Mais quelle est la raison de cette cruelle rupture ?

 

Le rottweiler a sa théorie : il pourrait s’agir du pouvoir, un univers “inhumain” et “hypocrite” dont elle serait aujourd’hui “vaccinée”, explique l’ex-pseudo-“Première dame”, en reconnaissant toutefois que « le détachement avait commencé » avec François Hollande. Révélation de Paris-Match : la veille de la rupture, « le couple présidentiel a passé la nuit à discuter, sans manger ni dormir ». Une épreuve sans doute effroyable pour Hollande. Entendant les informations livrées par la presse, elle s’évanouit et fut, comme on le sait, hospitalisée. Mais ça va mieux, merci. « Je suis plus dans la déception que dans la colère, confie-t-elle encore. Cela peut paraître étrange mais, pour moi, je ne traverse pas une période de crise. Ce n’est pas la première rupture dans ma vie. » On se doutait bien en effet qu’elle n’avait pas mal vécu… Et puis, elle se transforme en midinette, larmoyant au sujet du communiqué plus que laconique de Hollande, annonçant leur séparation (« Je fais savoir que j’ai mis fin à la vie commune que je partageais avec Valérie Trierweiler. »)

 

Certains dénoncent l’attitude d’un “goujat” et même « une atteinte à la dignité de toutes les femmes » (Georges Fenech, député UMP). Marine Le Pen n’a pas hésité à parler de “répudiation” Nathalie Kosciusko-Morizet, qui a comparé la situation à un licenciement, explique, toute en sororité : « Les termes de ce communiqué ne laissent pas indifférents une femme. Ça ressemblait plus à une lettre de licenciement qu’à une lettre de rupture » (mais en quoi cela la regarde-t-elle ?). « Dix-huit mots, presque un par mois passé ensemble depuis son élection », constate Trierweiler dans le Parisien Magazine. Elle ajoute : « Il faut être deux pour s’aimer, mais il suffit d’un pour se quitter. » Et elle ajoute, émouvante en diable : « A un moment, il n’y a plus de vie. Nous n’avons pas vécu le pouvoir de la même façon. Ça a cassé quelque chose. J’aurais préféré une vie normale (la normalitude, à la sauce Ségolène ?), on serait peut-être encore ensemble aujourd’hui. Je sais qui je suis, je peux me regarder dans la glace. (sous-entendu : pas sûr que Hollande le puisse). » Quant au magazine Elle, il relaie l’interview tout aussi émouvante de Trierweiler : « Je me suis retrouvée à l’Elysée sous les dorures. Les gens le savent peu mais ma mère était caissière et mon père, amputé d’une jambe. J’ai grandi dans une HLM. Il y a eu un énorme décalage. » On avait bien compris qu’il y avait quelque chose qui clochait chez Trierweiler. Il convient de se méfier comme de la peste des femmes dont la mère est caissière et le père amputé d’une jambe. En attendant, l’ex-première harpie de France envisage d’écrire un livre. A la place de Hollande, je serais très, très inquiet…

 

TRIERWEILER ÉMUE À SON DÉPART DE L’ELYSÉE ? HOLLANDE RIGOLE…

 

Hollande serait « carrément soulagé » voire « rasséréné » depuis qu’il a officialisé sa rupture avec Trierweiler. Elle a dû lui en faire voir des vertes et des pas mûres… Revenant sur la dureté du communiqué publié par François Hollande le week-end dernier, un de ses amis avoue : « C’est vrai que le communiqué est raide, mais il reflète bien l’état d’esprit du président : il n’est pas enclin à une tendresse particulière, et ce depuis un bon moment ». François Hollande a ironisé, lors de son voyage en Turquie, sur le tweet de Valérie Trierweiler posté sur le réseau social au moment de son départ de l’Elysée « Toute ma gratitude va à l’extraordinaire personnel de l’Elysée. Je n’oublierai jamais son dévouement ni l’émotion au moment du départ » avait ainsi tweeté l’ex-concubine du chef de l’Etat. Prenant connaissance du tweet, François Hollande aurait alors lâché devant ses collaborateurs : « S’il y a des gens qui souhaitent quitter l’Elysée, pris par l’émotion, ils doivent me le dire dans les prochains jours ».

 

Ambiance…

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18:20 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |