samedi, 22 février 2014
Après Rennes, Nantes… Valls toujours complice des milices bolcheviques !
Après les violences de cet après-midi à Nantes à la suite de la manifestation revendiquant l'abandon du projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes, Manuel Valls a déclaré que «cette violence venant de cette ultra-gauche, de ces Black Bloc, qui sont originaires de notre pays mais aussi de pays étrangers est inadmissible et [qu'] elle continuera[it] à trouver une réponse particulièrement déterminée de la part de l’Etat».
On attend toujours de savoir ce qu'est une réponse particulièrement déterminée, quand six fonctionnaires de police ayant été blessés et de lourds dommages matériels étant à déplorer, une seule interpellation a eu lieu…
Laissons le velléitaire nous décrire la scène : «Un millier d’individus de l’ultra gauche, ainsi que des Black Bloc, très violents, se sont livrés à des exactions et à des violences intolérables : cocktails Molotov, boulons, pavés jetés sur les forces de l’ordre, détruisant des vitrines de magasins, saccageant un certain nombre de commerces, du mobilier urbain ainsi que l’entrée d’un commissariat de police».
Mais rassurons-nous, le pire a été évité et il convient de rendre hommage «au préfet de la Loire Atlantique, aux forces de l’ordre, policiers et gendarmes, qui avec beaucoup de sang froid et de professionnalisme ont contenu cette manifestation, et cela avait été prévu ainsi, en dehors du centre-ville de Nantes»…
Une nouvelle fois, Mañuel Valls se moque des Français ; comme à Rennes il y a quinze jours, les milices bobolchevico-immigrationnistes agissent en toute impunité. Et cette déclaration d'intention d'une fermeté que chacun sait devoir rester verbale ne peut être prise que comme un clin d'œil de complicité par les casseurs bretons.
20:30 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les commentaires sont fermés.