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vendredi, 20 février 2015

TV Libertés : Martial Bild reçoit Chantal Delsol

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Manipulation et changement de mots.... BFM champion !

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En quelques heures les cimetières chrétiens deviennent des cimetières municipaux. 

10:30 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 19 février 2015

Yvan Benedetti poursuivi pour avoir proclamé qu'il n'était pas Charlie... QUEL CRIME !

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Yvan Benedetti, dont le mouvement, l’œuvre française – à la tête duquel il a succédé à Pierre Sidos – a été dissous suite à l' « affaire Méric » en juillet 2013 (comme ce fut le cas des mouvements Jeunesses nationalistes, Troisième Voie et JNR), avait posté #JeNeSuisPasCharlie sur le réseau social Twitter.

Cela a suffi pour que ce responsable nationaliste qui n’a pas la réputation de mettre sa langue dans sa poche soit convoqué au commissariat au milieu de cette semaine. Il lui a été signifié qu’il était poursuivi en justice pour « apologie de terrorisme » et « antisémitisme ». La police de la pensée ne manque pas d’imagination lorsqu’il s’agit de traquer les patriotes.

Nous exprimons notre solidarité avec Yvan Benedetti, ce d’autant plus que nous avions repris les arguments expliquant pourquoi il refusait de se plier au diktat « Je suis Charlie » dans notre numéro hors-série « NON, NOUS NE SOMMES PAS CHARLIE » publié quelque jours après les attentats du début du mois de janvier dernier. Chacun pourra constater, à la lecture de ce numéro, que les raisons exprimées par Yvan Benedetti sont aux antipodes de ce qui lui est reproché.

Roland Hélie

sn hs 4 couv.jpgLe numéro hors-série de Synthèse nationale "NON, nous ne sommes pas Charlie" cliquez ici

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23:17 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le hors-série de Synthèse nationale : NON, NOUS NE SOMMES PAS CHARLIE

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23:17 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Italie : une invasion de "migrants" programmée par les islamistes !

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Yves Darchicourt

Comme vient de le relever une fois de plus Bernard Lugan dans un article paru sur son excellent blog (L'Afrique Réelle), repris par ailleurs sur Synthèse nationale, "les gangs islamo-mafieux déversent des dizaines de milliers de migrants sur les côtes européennes", des clandestins qui sont systématiquement "accueillis" en Europe et où se trouvent probablement de futurs "agents dormants" du terrorisme islamiste.

Une analyse en règle générale considérée comme politiquement incorrecte voire scandaleuse au regard de l'angélisme ambiant vis à vis de ces "pauvres migrants" et de la législation liberticide en matière d'expression qui ne serait pas accréditée par l'idéologie au pouvoir. Or il se trouve que dans un article du 18 février dernier, le Daily Mail révèle que les autorités italiennes ont désormais la certitude que l'Islamic State of Iraq and Syria (ISIS) est en mesure de faire envahir les côtes européennes - notamment italiennes - par 500 000 à 700 000 "migrants" dont les centaines d'embarcations partiraient des huit ports actuellement sous son sous contrôle ou sous le contrôle d'autres groupes islamistes en Libye. Les très nombreuses conversations téléphoniques interceptées par les services de renseignements italiens, et qui attestent de la réalité de la menace, révèlent en outre que le noyautage de ces clandestins par des djihadistes serait effectué.

En conséquence, le gouvernement italien, qui envisageait de soutenir une action contre les bases de l'ISIS en Libye vient courageusement de faire machine arrière. Ce qui revient à dire que l'Italie n'envisagerait pas de contrer virilement une armada invasive de rafiots de "réfugiés" même mêlés de combattants islamistes. Ce n'est pas seulement navrant, c'est dramatique!

Daily Mail : cliquez ici

17:21 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

UN PEU DE MENAGE !

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Libye : qui présentera "l'addition" à MM. Sarkozy, Juppé et BHL ?

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Un communiqué de Bernard Lugan :

Au mois de mars 2011, à l'issue d'une campagne médiatique d'une rare intensité initiée par BHL, Nicolas Sarkozy décida d'entrer en guerre contre le colonel Kadhafi avec lequel il était encore dans les meilleurs termes quelques mois auparavant.

Le 17 mars, Alain Juppé, ministre des Affaires étrangères, arracha la résolution 1973[1] au Conseil de Sécurité de l'ONU, ce qui permit d'ouvrir les hostilités.

Le 19 mars, 19 avions français (chasseurs et ravitailleurs) lancèrent un raid de 2h30 au dessus de la Libye. L'incompréhensible guerre franco-libyenne ou otano-libyenne, venait de débuter.

Les raisons de ce conflit aux conséquences à ce point dramatiques qu'une intervention internationale paraît aujourd'hui indispensable sont toujours aussi mystérieuses. A l'époque, l'Elysée avança l'argument d'une action humanitaire destinée à "sauver la population de Benghazi". Le mardi 16 décembre 2014, le président tchadien Idriss Deby donna une autre explication en déclarant qu'en entrant en guerre en Libye : " l'objectif de l'OTAN était d'assassiner Kadhafi. Cet objectif a été atteint"[2].

Quoiqu'il en soit de ses causes officielles ou officieuses, réelles ou supposées, étayées ou fantasmées, le résultat de cette guerre "pour la démocratie et les droits de l'homme", est catastrophique :

- Les alliés islamistes du Qatar et de la Turquie ont pris le contrôle d'une partie des approvisionnements gaziers et pétroliers de l'Europe.

- Daesh a lancé une entreprise de coagulation des milices islamistes. Celles qui lui ont fait allégeance contrôlent une partie de la Cyrénaïque et à l'ouest, elles sont sur la frontière tunisienne. Partout, elles font régner la terreur.

- L'Egypte est directement menacée ainsi que la Tunisie et l'Algérie. Au sud, le Tchad et le Niger sont en première ligne alors qu'avec Boko Haram un second front islamiste s'est ouvert sur leurs frontières.

- Les gangs islamo-mafieux déversent des dizaines de milliers de migrants sur les côtes européennes. Au lieu de les refouler, la marine italienne les récupère en mer pour les installer en Europe...d'où ils ne repartiront plus. Or, tout le monde sait que des terroristes se dissimulent parmi eux et qu'ils vont créer des cellules "dormantes" au sein de l' "espace Schengen".

Face à ce désastre, comme s'ils étaient étrangers au chaos qu'ils provoquèrent, Nicolas Sarkozy et Alain Juppé aspirent à la plus haute charge de l'Etat français. Quant à leur inspirateur guerrier, il continue à promener sa superbe et son échancrure de col sur les plateaux des télévisions...

Notes

[1] Voir à ce sujet le texte de la conférence de presse d'Alain Juppé à New York (www.ambafrance-at.org).

[2] Voir mon communiqué daté du 1 janvier 2015 dont le titre est "Le but de la guerre était-il d'assassiner le colonel Kadhafi ?".

Lire l'Afrique réelle cliquez là

10:23 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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mercredi, 18 février 2015

Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3175 du 12 février 2015

 

JE NE reviendrai pas sur l’affaire du ni-ni dont Sarkozy sort sérieusement affaibli. Quelques jours auparavant, il s’était mis en tête de rencontrer la chancelière Merkel, histoire d’assoir sa stature de futur président. Il souhaitait la rencontrer seul et avait écarté dans un premier temps Bruno Le Maire. Mais les résultats de celui-ci à l’élection du président de l’UMP ont fait qu’il avait été obligé de l’emmener dans ses bagages. Las, les choses ne se sont pas très bien passées à Berlin.

 

SARKOZY, REÇU PAR MERKEL COMME UN LIVREUR DE PIZZAS

 

A en croire la revue Challenges, il aurait eu droit à « un protocole pour visiteur de second rang » de la part de la chancelière allemande. L’accueil fut proprement glacial. Pas question qu’il pénètre au siège de la CDU par la grande entrée. Il eut droit à y accéder par le sous-sol, « comme un livreur de pizzas » relève Challenges. Puis on le fit longuement patienter au troisième étage, reçu par un « second couteau » du parti. Pendant ce temps-là, la chancelière, installée au sixième étage, réglait quelques menus dossiers, plus importants dans son esprit que la rencontre avec l’ancien président. Après une longue attente, relève Challenges, il fut reçu, mais moins d’une heure, hors présence de toute caméra. Il n’y a guère que le photographe de la CDU qui ait eu droit de prendre à son intention une photo souvenir que Sarkozy s’empressa de faire mettre sur le site de l’UMP en gommant dans un premier temps, vieille méthode bolchevique, la présence de Bruno Le Maire et de Pierre Lellouche qui l’accompagnaient. On imagine le mécontentement de ces derniers. En tout cas, la photo non caviardée réapparut assez vite sur le site. A propos de cette visite, certains responsables du parti évoquent un cuisant “non-événement” et affirment qu’il est souvent « à côté de la plaque », le député Eric Ciotti assénant quant à lui: « La magie s’est envolée ». Décidément, Sarkozy n’a pas encore gagné la partie…

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DU CÔTÉ DES IMBÉCILES (SUITE)

 

Il s’appelle Charles Demouge et était le candidat de l’UMP aux élections législatives partielles organisées dans le Doubs. On connaît le résultat. La candidate du FN qui a manqué au second tour l’élection d’un cheveu est arrivée largement en tête au premier devant le candidat socialiste. Contre toute attente, l’UMP Charles Demouge a été éliminé. Tant mieux, au demeurant. Cet exceptionnel imbécile, qui a tout compris, n’avait rien trouvé de mieux que d’affirmer au micro de BFMTV, le 30 janvier, lors de sa campagne électorale : « Ce sont les bons petits blonds qui m’emmerdent et pas les gens de l’immigration ». Il évoquait aussi les « Français autochtones ». Un député UMP, Philippe Meunier, a fort justement twitté : un candidat à l’Assemblée nationale qui déclare ; « ce sont les bons petits blonds qui m’emmerdent et pas les gens … de l’immigration », mérite sa défaite. Bernard Antony n’a pas apprécié, lui non plus. Envisageant des poursuites pour ces « propos violents et inacceptables », il demande au président de l’UMP, Nicolas Sarkozy, de sanctionner immédiatement ce membre de l’UMP, comme l’UMP a pu en être capable lorsqu’il fallait sanctionner des propos “homophobes” ou “racistes”.

Une femme qui a accouché est-elle une femme ou un homme ? La question paraît parfaitement saugrenue et débile. Mais elle est des plus sérieuses. C’est le site Nouvelles de France qui raconte ce nouveau délire que l’on trouve en nombre aux Etats-Unis. La ville de New-York demande aux femmes qui ont accouché dans ses hôpitaux et cliniques de préciser dans le certificat de naissance si elles se définissent comme des mâles ou des femelles, rapporte le New York Post. Il y a ainsi une case à cocher pour choisir “masculin” ou “féminin”. Une avocate, Me Susan Sommer, appartenant à un groupe LGBT extrémiste, explique le plus sérieusement du monde : « Pour être clair, il est possible qu’une personne qui a donné naissance à un enfant s’identifie comme un homme ». Ils sont fous à lier…

 

QUI EST SOPHIE MONTEL ?

 

C’est Francetv info qui nous raconte qui est Sophie Montel, la candidate du FN dans la législative partielle du Doubs ? Le site L’entente, qui se donne pour mission « d’observer le FN » a découvert dans les archives quelques propos bien sentis de celle qui est aujourd’hui députée européenne. Ils datent du 23 septembre 1996. Jean-Marie Le Pen venait de déclarer que «l’inégalité des races » était une évidence, suscitant le scandale. Le socialiste Michel Loyat avait interpellé celle qui siégeait alors au conseil municipal de Besançon. Voici sa réplique : « Constater que la civilisationdes Pygmées au XXe siècle aussi nombreux que les Athéniens du siècle de Périclès n’est pas égale à celle de la Grèce Antique n’injurie pas les Pygmées. Constater que la civilisation des Esquimaux aussi nombreux que les Juifs n’est pas égale à celle d’Israël et n’a pas joué le même rôle dans l’histoire du monde ne constitue ni une injure aux Esquimaux ni une atteinte à la vérité. L’observation que les enfants d’origine vietnamienne s’adaptent généralement mieux aux études et au travail que ceux de l’immigration africaine est le fait de tous les enseignants, même de gauche. Nous affirmons que la civilisation française de notre grand siècle était supérieure dans tous les domaines de l’épanouissement de l’esprit, des arts et des lettres à celles des Huns et des Bantous. » Audacieux mais fort juste ! Mais tiendrait-elle encore ces propos aujourd’hui au sein d’un Front national mariniste qui flirte souvent avec le politiquement correct ? On est en droit d’en douter. Sophie Montel s’est d’ailleurs défendue en disant qu’elle n’avait que lire l’argumentaire du parti en 1996 et que cela ne pourrait plus se reproduire, Marine Le Pen ne risquant pas de disserter sur « l’évidente inégalité des races ». Preuve de plus que le FN a bien changé depuis le temps où le Menhir dirigeait le mouvement.

 

UNE ÉTONNANTE HISTOIRE SYRIENNE : DES FEMMES UTILISÉES COMME APPÂTS

 

L’histoire est étonnante. Elle se situe dans le contexte de la guerre en Syrie. Des pirates informatiques volent aux rebelles syriens des informations sensibles, y compris des plans de bataille et l’identité de déserteurs, en utilisant comme appât des supposées femmes, a affirmé la firme américaine de sécurité informatique FireEye qui décrit la manière dont les opérations de piratage ont visé, fin 2013 et début 2014, des combattants de l’opposition, des militants en charge des media et des travailleurs humanitaires. Parmi les informations subtilisées figurait notamment le plan de bataille des rebelles pour capturer Khirbet Ghazalé, une localité stratégique située dans la province méridionale de Deraa. Les insurgés furent dans l’incapacité de s’en emparer, face à la résistance des troupes de Bachar al Assad, étonnamment bien informées de leurs routes d’approvisionnement, des heures du transfert de missiles antichars ou de leurs plans d’attaque. De façon générale, dit un rapport de la société américaine, ce piratage a permis d’obtenir « de solides renseignements donnant un avantage militaire immédiat sur le champ de bataille », et une connaissance approfondie de la stratégie des rebelles. Pour pirater toutes ces informations, les hackers ont utilisé certes la haute technologie mais aussi des “appâts” humains. Ces derniers, se présentant comme des femmes partisanes de l’opposition, prenaient contact avec l’ennemi et leur envoyaient leur supposée photo, qui contenait des logiciels malveillants qui permettaient de prendre connaissance de tous les fichiers de l’ordinateur. Autre technique utilisée par les pirates : la création de faux comptes et de faux sites de l’opposition dont la consultation avait pour conséquence d’infecter leurs ordinateurs. On apprend que l’un des plus célèbres groupes de hackers est l’Armée électronique syrienne (pro-gouvernementale) qui a attaqué des sites de différents media à travers le monde ainsi que des hommes politiques.

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LE NOUVEAU PATRON DE LA CGT ACCUSÉ D’ÊTRE RACISTE !

 

Laurent Gabaroum, de nationalité française, né au Tchad, est cadre chez Renault et occupait des fonctions d’encadrement à la CGT. Il se dit victime d’une « chasse au nègre récalcitrant » selon son expression et avait été mis au placard pour avoir évoqué la question de la diversité et du racisme au sein de la fédération métaux dont il dénonçait « l’absence des Noirs aux responsabilités ». C’était en 2008 et le patron de la fédération était Philippe Martinez, qui vient d’être élu à la direction de la CGT. Gabaroum avait écrit une lettre à Martinez où il déclarait : « Le Noir de la CGT porte ainsi en lui les germes de bien de maux cachés qui le confine d’emblée dans un statut de “nègre de service” ». Il commentait la discrimination dont il se disait victime : « [ils m’ont] empêché de conduire la liste CGT aux élections prud’homales étant le seul conseiller sortant de la section Encadrement à rempiler pour un second mandat parce que, susurre-t-on, un Noir tête de liste serait du plus mauvais effet sur les électeurs dans l’isoloir. » et il ajoutait : « Ce comportement de rejet et d’agression téléguidé depuis Montreuil a pour objet de me contraindre à renoncer à mon engagement antiraciste, à composer avec les auteurs des actes racistes et à monnayer mes convictions antiracistes au détriment du droit à la justice. » Rien que ça ! Martinez n’avait pas apprécié la plaisanterie et Gabaroum fut contraint à démissionner du syndicat. Dans quel monde vivons-nous !

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici. 

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Langue de bois et douteux amalgame

1975795462.2.JPGLa chronique de Philippe Randa

On connaît la langue de bois, si chère aux politiciens ; l’amalgame douteux ne vaut certes mieux et la récente déclaration du Ier Ministre français en est un exemple… Quel besoin a donc eu Manuel Valls de parler d’« islamo-fascisme » après les attentats terroristes en France, puis au Danemark et la profanation du cimetière de Sarre-Union (Bas-Rhin) ? En quoi la doctrine élaborée par Benito Mussolini en Italie dans les années 20 du siècle dernier a-t-elle quelque rapport avec la religion musulmane d’une part et la profanation de cimetières juifs d’autre part ?

Mais Manuel Valls s’adressait-il au peuple de France ou plutôt au premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou après que celui-ci ait invité ses coreligionnaires à quitter l’Europe – pas seulement la France ! – pour émigrer (se réfugier ?) – en Israël…  ce qui lui donnerait probablement prétexte à justifier de nouvelles colonisations au détriment du peuple palestinien…

Des esprits malintentionnés pourraient en déduire que le terrorisme sanglant des djihadistes qui frappe nos sociétés semble servir avant tout les ambitions mal-dissimulées de ce dirigeant d’un pays qu’ils détestent tout particulièrement…

23:16 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une journée sur le Traité transatlantique à Lyon

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23:09 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Djihad par ci, djihad par là !

1222679546.jpgYves Darchicourt

Dans un article publié ce 17 février sur le site de "Challenges" à propos des "attentats de Paris et de Copenhague", un éditorialiste a écrit : « Il faut insister sur un point, le répéter sans cesse, enfoncer le clou sans jamais renoncer (...) rappeler que les musulmans de France et d'Europe n'ont pas grand chose en commun avec les islamistes ». C'est grosso modo la version et le mot d'ordre général du Système et du politiquement correct appuyé sinon dicté par les représentants des communautés musulmanes d'Europe et les dignitaires religieux des pays musulmans prudents. C'est aussi une preuve d'ignorance, une divagation dans l'erreur ou une manipulation éhontée des esprits.

Car enfin, si les musulmans ne sont pas nécessairement des acharnés islamistes, ces derniers sont aussi des musulmans et tous se réfèrent à l'Islam, au même Coran, aux mêmes paroles et aux mêmes actes à proprement parler "exemplaires" du même Mahomet, un même personnage historique dont il n'est pas lieu ici de dire s'il a eu révélation de Parole Divine, s'il a cru avoir révélation ou s'il a prétendu avoir révélation mais qui est unique source de la doctrine de l'Islam.

Cela dit on notera que dans le Coran la racine jhd se trouve dans 35 versets: 22 fois dans un sens général, 3 fois pour une démarche spirituelle et 10 fois pour des actes guerriers. Mahomet n'a pas honni la violence et l'usage des armes: il a lui-même combattu, il a été chef de guerre, il a fait exécuter des prisonniers, il a fait assassiner des contradicteurs et des "chansonniers" qui l'avaient irrité ou ridiculisé. Par ailleurs, dans le Coran, il y a huit versets "pacifistes" mais de fort nombreux autres versets "belliqueux", "anti-pacifistes" ou franchement "bellicistes" ; dans la Sunna nombre de "dits du Prophète" exaltent le djihad comme action strictement guerrière et assurent des récompenses célestielles ; la Sîra, la vie du Prophète, révèle son évolution (et par là même celle de la Communauté) de l'attitude "pacifiste" des débuts précaires, vers la pratique de la guerre justifiée par la défense légitime jusqu'à la légitimation de la conquête guerrière. Enfin, Mahomet a affirmé avoir eu révélation que Dieu ferait prévaloir l'Islam sur les autres religions ce qui implique à l'évidence une domination religieuse indissociable de la domination séculière : d'où la magnification du djihad comme instrument de conquête religieuse et politique.

Le djihad est intrinsèque à l'Islam. Son acceptation spirituelle (djihad du coeur ou de la langue), peu développée dans le Livre et les Dits, n'est mise en avant que lorsque la Communauté se juge en position de faiblesse parce que minoritaire par exemple. Ce qui n'exclut pas l'acceptation de son sens le plus fréquent, le combat guerrier  (le djihad du sabre) dont le but alors n'est pas de convertir mais de conquérir. Tout musulman, dit modéré ou dit fondamentaliste, a cette acceptation à disposition s'il l'estime nécessaire. (à suivre)

15:22 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LES MINORITES TOTALITAIRES ET LEURS EXIGENCES SECTAIRES.

1377734341.jpgPieter Kerstens

Des cohortes d’associations, de collectifs, de groupements, de syndicats, de mouvements, de lobbies ou d’observatoires s’activent dans une multitude de débats tous aussi revendicatifs que stupides.

Que ces actions multiformes puissent améliorer le bien commun, dans l’intérêt général, pourquoi pas ?

Mais c’est loin d’être le cas et, depuis très longtemps, on s’aperçoit que ces innombrables groupuscules s’ingénient à mystifier les citoyens avec leurs utopies et leurs revendications outrancières. Au fil des ans, et sans doute à cause de la lassitude des populations, des milliers de groupes de pression ont imposé leurs visions contre la volonté des gens, encadrés par les gouvernements dans un carcan de lois liberticides.

Ce carcan fut institué par le Tribunal International de Nuremberg (20 nov. 1945 – 1er oct. 1946) dont les jugements ne pouvaient d’aucune façon être remis en cause par quiconque, et jusque dans la nuit des temps. Durant ce procès, le massacre de Katyn fut attribué aux Allemands, désignés comme étant les responsables de l’assassinat de 26.000 officiers, soldats et civils polonais, dont les corps furent découverts en mars 1943 par la Wehrmacht elle-même. Ce n’est que 50 ans plus tard à la fin des années 90, que la Russie a reconnu que ce crime de guerre avait été perpétré sur ordre de Staline, daté du 5 mars 1940, avec l’aval du Politburo du Comité Central du Parti Communiste d’Union Soviétique.

Dès lors, comment croire encore aux élucubrations entourant les prétendus « crimes contre l’humanité » imputés aux Allemands, alors que durant 1/2  siècle les russes, eux, ont fait endosser leur massacre par d’autres, et ce, avec la connivence de l’Occident dans son ensemble ?

On constate que l’Histoire est écrite par les vainqueurs, mais qu’au fil des ans la vérité sort du puits.

Il en va de même avec d’autres affabulations, martelées par les slogans des minorités de khmers verts, d’agités gauchistes et de bobos socialos tendance « caviar », dont les médias ont souillé les esprits :

§  « le nucléaire est un danger planétaire ». C’est encore jusqu’à maintenant la source d’énergie la moins chère et celle qui dégage le moins de CO2.

§  « le trou dans la couche d’ozone va carboniser toute la Terre ». Ce fameux « trou » a quand même très largement diminué depuis 1995.

§  « les bio-carburants doivent être imposés aux automobilistes (exclusivement européens…) pour lutter contre la pollution ». Cheval de bataille des Ecolos au début des années 2000, ce leitmotiv est abandonné, car ces agro carburants obtenus à partir du soja, de la canne à sucre, de la betterave ou des céréales, ont un bilan énergétique négatif et sont la cause de l’étendue des déforestations et de l’abandon des cultures vivrières en Amérique du sud, en Afrique et en Asie, toutes formes d’agriculture qui ne sont même plus destinées à l’alimentation des populations et engendrent des problèmes d’autosuffisance alimentaire dans les pays pauvres. Cette chimère des verts est un crime contre le monde agricole planétaire.

§  « le réchauffement de la planète va engendrer la fonte des glaciers et la montée des océans ». Et alors ? Au cours des siècles le refroidissement et le réchauffement de la Planète se sont succédé.  Au Groenland, île danoise, la fonte des neiges et des glaciers en effraye plus d’un. Au Xème siècle, ce territoire offrait de vastes forêts et d’immenses plaines où les vikings d’Eric le Rouge faisaient paître leurs troupeaux. De là son nom de « PAYS VERT ».

§  « il ne faut plus manger de foie gras, car cela fait trop souffrir les oies ». Et plus de gigot non plus car cela fait pleurer les agneaux ? Pas d’œufs, parce qu’on élève les poules en batteries ? On mange quoi : des asticots, des algues ? Et avec quoi on préparera le tournedos Rossini ? Avec du pâté de neurones issu du cerveau atrophié des eurocrates de Bruxelles ?

Certaines lois sont faites « sur mesure » pour des minorités agissantes et bénéficiant de la complaisance et du soutien indirect des gouvernements (avec des arrière-pensées électoralistes), ainsi le Pacte Civil de Solidarité -PACS- institué en France en 1999 et qui a concerné moins de 3% des ménages ! Il en est de même pour ce qui est du Mariage pour Tous : les mariages entre homosexuels n’ont totalisé que moins de 5% des 241.000 mariages célébrés en 2014.

PADAMALGAM, « VIVRE ENSEMBLE », « INVASION DE CRIQUETS »et « DIVERSITE »

En évoquant la communauté musulmane en France, force est de constater qu’elle est encore minoritaire au sein de la population, bien qu’elle occupe une place importante dans le show-business, le sports ou dans les médias et la rubrique « faits divers ». Cela n’empêche nullement ses représentants de réclamer avec arrogance des revendications non fondées.

A ce titre Azouz BEGAG, ministre délégué à la Promotion de l’Egalité des Chances sous Nicolas SARKOZY, déclarait avec aplomb en décembre 2005 :

« … il faut traverser le périphérique, aller chez les indigènes là-bas, les descendants de Vercingétorix…il faut casser les portes, et si elles ne veulent pas s’ouvrir, il faut y aller aux forceps. Partout où la diversité n’existe pas, ça doit être une invasion de criquets, dans les concours de la fonction publique, dans la Police Nationale. Partout, de manière à ce qu’on ne puisse pas revenir en arrière.*

…je veux un Noir, je veux un Antillais, un type de Madagascar, je veux des femmes, je veux la diversité. J’ai composé mon cabinet en fonction de cette diversité, il ressemble à la France d’aujourd’hui.

…le but de la Charte de la diversité est non seulement que les entreprises ne discriminent plus, mais que la sensibilisation à ce sujet les pousse à aller chercher cette diversité…. C’est mon pays la diversité, et çà, je veux le faire comprendre partout ». Interview à la revue Respect Magazine n°8 Oct/Déc 2005.

Ce ne sont plus le QI, l’expérience, les compétences ou les diplômes qui comptent, ce n’est uniquement que la couleur de la peau : la DI-VER-SI-TE.    Ce n’est pas du racisme çà ? Maintenant, ils récoltent !

Pour créer un syndicat, il faut avoir fait la Résistance en 39-45. Et pas la retraite de Russie ?

Les privilèges corporatistes propres aux syndicats et datant de l’immédiat après-guerre, sont une véritable honte. Ces copains et ces coquins se sont attribué depuis 70 ans des passe-droits et des avantages exorbitants. Ce sont des milliards d’euros qui partent en gaspillages scandaleux. Cet argent, public en grande partie, mais aussi provenant des sociétés, pourrait aller directement dans les poches des salariés, sans passer par les cases comités d’entreprises ou des syndicats !

Ne parlons pas des caisses de retraite des fonctionnaires, des agents des collectivités territoriales et des sociétés parapubliques… Pourquoi ne pas les aligner avec celles du secteur privé ? Pourquoi encore tolérer plus longtemps les injustices qui frappent les travailleurs du secteur privé ? Les fonctionnaires et assimilés doivent, eux-aussi, se plier à l’intérêt général dans le souci du bien commun et par conséquence accepter que leur régime de retraite soit identique à celui du secteur privé. Il s’agit ici très précisément de l’affectation de l’impôt prélevé par l’Etat sur l’ensemble des travailleurs et des sociétés du privé.

Tous ces exemples ne concernent que des minorités. Mais additionnés les uns aux autres (et les cas sont multiples) on arrive à ce que sur 100€ de richesse produite annuellement en France en 2015, 57€ seront destinés à la survie de l’Etat-Providence et à entretenir le  parasitisme d’une multitude d’associations et de cloportes qui vivent sur le dos des travailleurs qui se lèvent tôt le matin.

Si vous trouvez cela anormal, OSEZ PENSER & OSER AGIR ! Un vote sanction sera le bienvenu : Mieux vaut tard que jamais.

* Azzédine TAIB, élu le 30 mars 2014 maire de Stains, est un immigré algérien. C’est le premier maghrébin communiste à prendre la direction d’une commune de plus de 30.000 habitants. Stop ou Encore ?

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mardi, 17 février 2015

Terrorisme islamiste et riposte virile des bobos : "Danois un jour, Charlie toujours" !

219152975.JPGYves Darchicourt

Cette fois "ils" sont danois! Mais toujours "Charlie" Tremblez terroristes les bobos sont dans la rue! On l'aurait parié d'ailleurs après les mitraillages perpétrés à Copenhague sur un Centre Culturel, où se déroulait un débat sur "art, blasphème et liberté d'expression", puis sur une synagogue par Omar El-Hussein, un mahométan plaisamment qualifié de "danois" même si on peut assurer que le djihadiste en question n'avait en lui aucune goutte de sang "viking".

Or donc cet islamiste pur et dur a rafalisé au nom d'Allah et du Prophète réunis et le cirque politico-médiatique qui a suivi est quasi le même que lors de l'affaire "Charlie": les mêmes qui s'émotionnent dans les mêmes médias ressortent les mêmes poncifs sur la liberté d'expression, la laïcité, l'antisémitisme, l'islamophobie, le communautarisme, la démocratie universelle ou le vivre ensemble, des princes chameliers et des dignitaires mahométans assurent hypocritement que le djihad n'a rien à voir avec l'Islam religion d'amour et de paix, un urgentiste de service (qui voit là une terreur fasciste!) et une Hidalgo se précipitent lacrymogéner sur les lieux, quelques "people" concernés y vont de leur petite larme devant les caméras et des rassemblements "spontanés" de virils bobos, d' indignés trois-points sélectifs et de tolérants indécrottables trompettent le "padamalgam".

On peut maintenant s'attendre à une tentative de "remake" de la grande manif' unitaire du mois dernier si utile pour certains politiciens dans les sondages, une nouvelle gugusserie où on devrait pouvoir cette fois admirer les vétérans de la marche de Charlie battre le pavé à la queue chien chien en aboyant, ou plutôt en glapissant "je suis danois" De quoi tétaniser tous les apprentis djihadistes de toute l'Europe et du monde entier.

Et on nous rebattra les oreilles avec la lutte contre le terrorisme, le terrorisme au sens large, une entité, un concept alors qu'il convient, comme dans toute guerre, de cibler l'ennemi à abattre, en l'occurrence le terrorisme islamiste, celui perpétré au nom du djihad par des mahométans pétris des versets bellicistes du Coran. Un ennemi fanatique, sans états d'âme émasculant, sans pitié, aspirant même au martyre ouvrant sur l'éternité qui s'est insidieusement infiltré, réparti et renforcé dans tous les pays européens à cause de la négligence aussi angélique que criminelle des dirigeants de l'Union qui ont toléré voire favorisé une immigration de peuplement clandestine ou non, sans cesse alimentée, à très forte connotation musulmane où le djihadiste se fond tout naturellement. De cela on ne parlera pas et c'est pourquoi cette "guerre contre le terrorisme" est perdue d'avance. Sauf sursaut salutaire des peuples d'Europe, réflexe de survie des souchiens européens. Il faut  y travailler. Vite !

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lundi, 16 février 2015

Samedi 7 mars, dans le Berry

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Le Journal du Chaos de cette semaine

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Réinfo, le mag du Parti de la France

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Attentats : on récolte ce que l’on sème

Le billet de Patrick Parment 

terroriste-terrorisme-attentat-aqmi.jpgA en croire la presse comme nos gouvernants, l’Europe serait menacée par de véritables réseaux terroristes, genre bien organisés. A y regarder de plus près, il n’en est rien. Ce qui s'est passé en France et au Danemark est le fait d’individus isolés qui ont pété les plombs. De surcroît, ni les polices française ou danoise n’ignoraient ces individus qui avaient déjà un passé de délinquant. Certes, me direz-vous, comment se sont-ils procuré des armes ? Cela ne semble guère difficile, les banlieues en regorgent, au même titre que de ces imams qui prêchent la guerre sainte. Si l’aventure est tentante d’aller jouer au soldat au Moyen Orient ou les kamikazes en Europe, c’est bien parce que ces jeunes ont trouvé leur motivation ici, en France, au Danemark et demain dans d’autres capitales européennes. Ce sont bien des actes isolés et donc difficiles à contrôler. On peut craindre le pire.

Retour à la case départ : le laxisme de nos politiques en matière d’immigration, de l’islam dont les mêmes politiques ont tellement la trouille qu’ils financent les mosquées, comme Alain Jupé à Bordeaux et ailleurs (Strasbourg, Marseille, etc.). D’où la question : l’islam est-il compatible avec les valeurs de la République, valeurs tout droit issues de notre héritage gréco-latin puis chrétien ? Faut-il rappeler à tous les amnésiques qui nous gouvernent, à tous ces francs-macs en peau de chagrin qui brandissent l’étendard de la laïcité, que les valeurs dont ils sont redevables sont celles d’un catholicisme bien tempéré par le paganisme de nos ancêtres. Evidemment, il faut avoir des lettres et plus sûrement une paire de c….

Mais, plus que jamais, il faut savoir ce que l’on défend : notre culture, notre histoire, notre identité, nos clochers ou la soupe migratoire où macère le bouillon des cultures et des races ?

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HOUELLEBECQ EN PROPHÈTE DES CANTONALES ? ... L'UDMF nouveau parti politique ?

UDMF.jpgMichel Lhomme

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Ce n’est pas encore le livre de Houellebecq mais l’Union des démocrates musulmans français(UDMF) présentera des candidats dans 8 cantons (sur 2000) lors des élections cantonales de mars prochain : Bobigny (Seine-Saint-Denis), Bagneux (Hauts-de-Seine), aux Mureaux (Yvelines), à Marseille, Lyon, Nice et probablement Strasbourg. 

Elle possède déjà un premier élu à Bobigny, après que le parti ait apporté son soutien à la liste de l’actuel maire UDI, Stéphane de Paoli. Najib Azergui, d’origine marocaine, se défend de vouloir «islamiser la société» ou de vouloir «installer la charia en France». Créée en 2012, l’UDMF revendique environ 900 adhérents et 8 000 sympathisants sur toute la France. Le parti emprunte ses thèmes à la droite et à la gauche et est surtout ultraconservateur sur le plan sociétal. Il est en particulier opposé au mariage pour tous et à la visibilité homosexuelle de quoi alimenter l'homonationalisme. Il est aussi  antilibéral sur le plan économique et social et se veut non confessionnel, à l’instar du parti chrétien-démocrate de Christine Boutin, dont il prétend suivre l’exemple. 

L’UDMF préconise par ailleurs le développement de l’industrie alimentaire Halal pour relancer l’emploi, et le recours à la finance islamique pour assainir l’économie. Il se dit favorable au droit de vote des étrangers aux élections locales et pour l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne. Enfin, le parti veut autoriser le port du voile dans les établissements scolaires. 

En vue des élections des 22 et 29 mars, l’UDMF a présenté dans le canton de Bobigny, Khalid Majid, 36 ans, cadre commercial à la SNCF, et Schérazade Benhaddad, 34 ans, une militante associative et secrétaire de la section locale du parti. L’UDMF a un précédent, le Parti des musulmans de France, créé en 1997 à Strasbourg. Son président, Mohamed Latrèche, avait obtenu 0,92% des voix aux législatives de 2007.

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dimanche, 15 février 2015

Il était une fois... le PFN.

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Les 9, 10 et 11 novembre 1974 était créé à Bagnolet le Parti des forces nouvelles (P.F.N.) qui sera, une décennie durant, le principal concurrent du Front national (F.N.). Pour saluer ce mouvement qui aurait eu quarante ans, les Cahiers d’histoire du nationalisme ont demandé à Didier Lecerf qui (NDLR - participait à la direction du PFN) dans les années 1980 de revenir sur ce parti politique relativement méconnu.

En 1984 – 1985, il était fréquent que les journalistes le confondissent avec le F.N. qu’ils désignaient alors en « Parti du Front national », d’où des quiproquos du sigle… Pourtant, les différences entre les deux frères ennemis étaient fortes. Tandis que le F.N. s’ouvrait aux G.N.R. (Groupes nationalistes révolutionnaires) de Base de François Duprat, aux nationalistes radicaux blancs du périodique Militant, puis aux solidaristes de Jean-Pierre Stirbois, le P.F.N. tranchait par l’esthétisme de ses affiches et voulait incarner une « droite design», c’est-à-dire dans le vent et à l’affût des bouleversements de fond.

Didier Lecerf rappelle d’abord le contexte national et international de cette époque. Le Mur de Berlin divisait l’Allemagne; l’Europe était partagée entre les blocs atlantiste et soviétique; la défaite étatsunienne au Vietnam avait permis à l’U.R.S.S. de s’affirmer dans le monde entier au point que Raymond Aron s’inquiétât dans Le Figaro du déclin irréversible des États-Unis. En France, les anti-communistes pronostiquaient une invasion soviétique imminente et luttaient contre un Parti communiste fort de 15 à 20 % des suffrages.

Le P.F.N. provient de l’insuccès électoral du F.N. aux législatives de 1973. En 1972, Ordre Nouveau (O.N.) entendait élargir son assise électorale et accroître ses effectifs en constituant avec d’autres formations de droite nationaliste ou proches des ultra de l’Algérie française (Mouvement pour la Justice et la Liberté/Unité Française de Georges Bidault) en formant un cartel électoral : le Front national pour l’unité française. Après avoir sollicité Dominique Venner pour en assumer la présidence, la direction d’O.N. s’adressa à l’ancien député poujadiste, puis républicain-indépendant Jean-Marie Le Pen, ancien directeur de la campagne présidentielle de Jean-Louis Tixier-Vignancour en 1965.

Le désastre électoral, la forte personnalité de Jean-Marie Le Pen et la scandaleuse dissolution d’O.N. en 1973 provoquent de vives dissensions et le départ de plusieurs militants de valeur. Ceux-ci créent des Comités Faire front, puis un Comité d’initiative pour la construction d’un parti nationaliste, embryon du futur P.F.N. Animée par Pascal Gauchon, Alain Robert, Gabriel Jeantet et le journaliste François Brigneau, cette structure politique à vocation électorale dispose d’une revue au graphisme percutant, Initiative nationale, ainsi que de quelques relais auprès des étudiants grâce au G.U.D. (Groupe Union Défense), des jeunes (le Front de la Jeunesse) et dans le monde du travail avec l’Association pour un syndicalisme libre. Plus tard, à l’occasion d’événements médiatiques tapageurs, il soutiendra le Comité de soutien à l’armée du sergent appelé Joël Dupuy, hostile à la syndicalisation rouge des militaires, tiendra un « Forum de la nouvelle droite » en mars 1975 et organisera en avril 1976 une prestigieuse « Semaine du cinéma de droite ». De nombreux hommes de lettres, universitaires et journalistes (Thierry Maulnier, Maurice Druon, Jean Cau, Louis Pauwels, Michel de Saint-Pierre, Roland Gaucher, Raoul Girardet, le colonel Rémy, etc.) répondront à son appel. La réaction gauchiste ne se fait pas attendre et se montre violente.

Le corpus idéologique du P.F.N. est résumé dans « une plaquette doctrinale de 88 pages, Propositions pour une Nation nouvelle. […] Pour l’essentiel, on y retrouve les thèmes et les idées développés par la “ Nouvelle Droite ” au sein du G.R.E.C.E. (fondé en janvier 1969) (p. 51) ». L’objectif principal vise à surprendre l’opinion. « C’est ainsi que le sigle “ forces nouvelles ” a été choisi, entre autres parce qu’il étonne à droite ; que la plaquette doctrinale défend l’idée d’une réconciliation de la Tradition et du Progrès; et que sa couverture porte un dessin de l’architecture futuriste Sant’Elia… (p. 63) ».

L’apport théorique du P.F.N. n’est pas anodin, car il cherche à concilier un nationalisme « revu et corrigé » avec une démarche ouvertement européenne. À l’occasion des premières élections au Parlement de Strasbourg en 1979, après une tentative de rabibochage avec le F.N. dans le cadre d’une « Union française pour l’Eurodroite des patries », le P.F.N. monte finalement sa propre liste, intitulée « Union française pour l’Eurodroite », conduite par Tixier-Vignancour et soutenue par le M.S.I. d’Almirante et les Espagnols de Fuerza Nueva. « Toutefois, si les fonds réunis sont suffisants pour être présents (en concurrence avec dix autres listes), ils ne permettent d’imprimer que les bulletins et les affiches pour les bureaux de vote, mais pas les bulletins et les professions de foi adressés aux électeurs. En outre, il ne reste que trois semaines avant l’échéance… (p. 110) » Le résultat déçoit : 1,31 % soit 266 000 voix. En 1981, Pascal Gauchon ne parvient pas à obtenir les 500 parrainages nécessaires pour se porter candidat à la présidence de la République. La victoire de François Mitterrand contraint le P.F.N. à se remettre en question.

À l’automne 1981, Alain Robert et Pascal Gauchon se retirent du P.F.N. Une nouvelle direction, composée (NDLR - entre autres) de Jack Marchal et de Jean-Claude Jacquard, bientôt ultime rédacteur en chef de Défense de l’Occident de Maurice Bardèche, propose une voie plus activiste. Paru en juin 1982, Perspectives d’action expriment un net changement d’attitude militante. Le Front de la Jeunesse devient le Renouveau nationaliste tandis qu’un nouveau titre, Pour une force nouvelle, remplace Initiative nationale. En revanche, le programme proposé reprend, réactualise et réaffirme les thèses fondatrices. Celles-ci paraissent en novembre 1974 dans des Propositions politiques, économiques et sociales qui se révèlent visionnaires. Dans le premier chapitre, l’article 1 stipule que « le système électoral actuel perpétue la domination des partis en place. Pour assurer la représentation réelle de toutes les tendances, nous réclamons l’institution d’un système d’élections à la proportionnelle qui reflète le plus exactement possible les forces politique en présence (p. 184) ». L’article 2 condamne l’organisation administrative française et estime que « le cadre artificiel du département doit perdre de son importance [Hollande et Valls auraient-ils été militants secrets au P.F.N. ?] au profit des communes et des cantons, chargés de l’administration locale, et surtout des régions. Une véritable décentralisation administrative et économique doit être réalisée au profit de celles-ci. En particulier, il est essentiel que le Conseil régional dispose d’un véritable budget par un transfert d’une partie des ressources de l’État à la Région. Cette décentralisation doit permettre un meilleur fonctionnement de l’État en rapprochant les pouvoirs des administrés. Elle ne doit pas être une occasion accordée à un séparatisme anarchisant et passéiste, mais un instrument au service de la Nation et de la construction de l’Europe. Les cultures régionales font partie du patrimoine national; elles doivent donc être protégées par l’État et non réprimées (p. 184) ». À mille lieux, on le voit, des incantations centralisatrices désuètes d’un parti pseudo-protestataire et néo-ringard qui confond le Marais parisien avec le reste de la France…

En économie, ces Propositions… réclament la cogestion, exigent « l’extension du système de conseils paritaires de conciliation prévus dans de nombreuses conventions collectives (p. 186) » et suggèrent le « vote de la grève par les travailleurs au scrutin secret (p. 186) ». Mieux, elles se terminent par une préfiguration de la « remigration » (ou réémigration) et de la préférence nationale : « Interdiction effective et absolue de toute immigration, tant que la France n’aura pas retrouvé le niveau d’emploi de 1972. Préférence d’emploi accordée à toutes occasions aux travailleurs nationaux, revalorisation des tâches jusqu’à présent abandonnées aux immigrés. S’il y a lieu, mise à l’étude d’un plan de rapatriement progressif des immigrés (p. 196). »

Parfaitement adapté aux difficiles conditions de ce premier quart du XXIe siècle, ce programme ne pouvait pas séduire une France qui sortait à peine des « Trente Glorieuses » et qui croyait à la brièveté de la crise en partie déclenchée par le premier choc pétrolier de 1973. Le P.F.N. arrivait trop tôt. Par ailleurs, il commit deux graves erreurs stratégiques. La première, antérieure à sa naissance, fut de ne pas présenter en 1974 un candidat à la présidentielle. Les Comités Faire front auraient pu assez facilement parvenir aux cent parrainages nécessaires. Ils laisseront au « Menhir » l’avantage décisif de se faire connaître des Français, réussissant ainsi un coup déterminant pour l’avenir. La seconde erreur fut de s’entendre en mars 1977 aux élections municipales avec le R.P.R. de Jacques Chirac. Trente candidats P.F.N. figurèrent donc sur des listes à « Marseille, Toulon, Cannes, Aix-en-Provence, Lyon, Villeurbanne, Villemonble, Nancy, Talence, Illzach, Nanterre, Champigny, ou encore à Paris, dans les XVIe et XIXe arrondissements (p. 93) ». Cette participation pesa lourd sur les destinées du P.F.N. désormais toujours soupçonné de rouler pour le calamiteux Chirac. Lors de sa premières « Heure de vérité » sur Antenne 2, le 13 février 1984, Jean-Marie Le Pen qui, dès 1981 contestait déjà « le mondialisme giscardien », refusa toute alliance avec le P.F.N., prétextant ce compromis de 1977.

L’ascension du F.N. plonge le P.F.N. dans la crise. Présentant parfois des candidatures face au F.N., il constate vite que la dynamique électorale est favorable au seul frontisme. En 1985, la direction collégiale propose l’auto-dissolution du P.F.N. et le ralliement au F.N. Interrogé dans ce numéro, Roland Hélie raconte qu’il n’était « pas emballé à l’idée de rejoindre le Front. […] En fait nous n’avions pas beaucoup de contacts avec la direction du F.N., et Le Pen et son entourage ne semblaient pas très chauds à l’idée de nous voir arriver. Ce qui peut se comprendre compte tenu des rapports exécrables qu’il y avait eu pendant dix ans entre nos deux formations (p. 145) ». Toutefois, une trentaine de cadres issus du P.F.N. intégraient bientôt le F.N. où ils occupèrent rapidement des responsabilités grâce à la bienveillance du secrétaire général de l’époque, Jean-Pierre Stirbois.

Dès novembre 1985, une partie des militants du P.F.N. hostiles à ce ralliement rejoint le Mouvement Troisième Voie. S’ensuivirent jusqu’en 1990 des amorces de relance ponctuées par de multiples scissions. Un célèbre numéro du Choc du Mois en 1988 décrivait l’emblème du P.F.N. résiduel d’alors : « Quatre quartiers rouges pour l’eau, le feu, le ciel et la terre, une croix celtique suggérée, et un cercle noir pour figurer la roue solaire. Ouf. » Seules les sections de Strasbourg, d’Orléans et d’Aix-en-Provence n’acceptèrent pas la disparition factuelle du P.F.N. Les Strasbourgeois conçurent la N.A.T.R.O.P.E. (Nouvelle amitié dans les territoires et régions par l’organisation des peuples en Europe), néo-droitiste, alors que les Aixois fondaient un Parti des forces nationalistes d’orientation contre-révolutionnaire. Ce n’est qu’en février 1998 que le Journal officiel annonçait sa dissolution officielle.

Le P.F.N. restera comme une tentative de renouvellement des idées et de la pratique politiques à la fin de la Guerre froide. L’absence de figures charismatiques capables de susciter l’enthousiasme de l’audimat fut sa principale lacune sinon on aurait aujourd’hui un authentique mouvement patriotique français et européen.

111111111.jpgSous la direction de Didier Lecerf, Le P.F.N. 1974 – 1984 : une autre droite, Cahiers d’histoire du nationalisme, n° 4, octobre – novembre 2014, 197 p., 20 € + 3 € de port (116, rue de Charenton, F – 75012 Paris).

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samedi, 14 février 2015

Lauzier visionnaire : c'était il y a 30 ans

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Geneviève Dormann à propos de la repentance

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« Les Juifs m'emmerdent, je le dis tout net. Lorsque, à la moindre occasion, ils me balancent dans les gencives ce qu'on leur a fait, lorsque j'étais petite, prenant un sadique plaisir à tenter de faire surgir chez moi un sentiment de culpabilité ou de mauvaise conscience, je leur en veux comme j'en voudrais à des Vendéens qui, aujourd'hui, m'accuseraient d'avoir ravagé leurs villages et sauvagement assassiné leurs ancêtres... Je revendique le droit d'aimer les bons Juifs et d'envoyer paître les autres. »

Le Crapouillot (n°80)

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Geneviève Dormann nous parle de Colette

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Pour en finir avec l'islamophilie dans la mouvance nationale

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Jean-Yves Dufour

Les patriotes qui voient l'Islam comme un rempart face au mondialisme et à la décadence occidentale sont des naïfs désespérés ou des collabos conscients.

1/ L'Islam ne connaît pas de nation, simplement l'Oumma, communauté des croyants (sous-entendu dans l'Islam). L'Islam a, dès le départ, une vocation expansionniste, impérialiste et mondialiste, révélée à l'origine à des bandes de pillards nomades.

2/ Regardez autour de vous : sous leurs faux airs de sages ancrés dans la spiritualité et débarrassés des plaisirs matériels et charnels, les musulmans sont les plus accrocs aux gadgets des nouvelles technologies, les plus obsédés par le corps et l'apparence (physique, vestimentaire, sexuelle), les plus susceptibles et donc les moins sûrs d'eux-mêmes et de leur foi.

3/ Leur foi-même les pousse à l'individualisme, à gagner le Ciel non pas en aidant les Autres mais pour eux-mêmes et contre les autres. Ils sont les premiers à épier et à dénoncer leur voisin qui ne pratique pas suffisamment et n'est pas assez pur.

4/ Leur religion cache d'ailleurs avant tout un système politique collectiviste et totalitaire, qui n'a rien à envier au mondialisme anglo-saxon, la violence et la cruauté en plus.

Retrouvez les ouvrages et l'actualité de Jean-Yves Dufour cliquez ici

15:05 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Geneviève Dormann : les jeux de l’amour et des hussards

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Dominique Jamet Boulevard Voltaire cliquez ici

Mais dites-moi, elle n’était pas un peu insolente, Geneviève Dormann ? Un peu insolente, vous plaisantez ? Elle était l’insolence en personne. Elle toisait du même regard bleu comme l’acier à la fois froid et rigolard, elle méprisait et elle bravait avec la même assurance, elle rejetait avec le même haussement d’épaule les bienséances, les conventions, les ridicules, les hiérarchies, les lâches, les complaisants, les décorations, les promotions, les récompenses, le politiquement correct et la pensée inique, le qu’en-dira-t-on, le qu’en-pensera-t-on. Elle était libre, Max, dans sa vie privée comme dans ses propos publics, dans ses jugements, dans ses indulgences comme dans ses éreintements, elle assumait avec une imperturbable assurance ses partis pris, et était prête à se faire hacher menu pour ceux qu’elle aimait comme à mordre jusqu’à les déchiqueter ceux dont la tête ou le comportement ne lui revenaient pas. Fidèle comme un dogue, féroce comme un pitbull, elle était la première à rire du surnom de « Dobermann » que lui avaient valu ses excès de franchise et de pugnacité. Ses ennemis, nombreux (je me souviens que nous étions tombés d’accord pour voir dans le proverbe espagnol « Beaucoup d’ennemis, beaucoup d’honneur » la plus belle devise dont puisse s’orner le blason d’un journaliste ou d’un écrivain), ne mettaient systématiquement en avant son caractère bien trempé que pour n’avoir pas à reconnaître le talent qu’elle avait mis dans les romans où elle laissait caracoler sa plume allègre et désinvolte, à la hussarde. C’était une cavale sauvage.

Les hussards, c’étaient ses dieux, et elle ne cessait de maudire le hasard qui l’avait fait naître trop tard, dans un monde trop vieux, vingt ans après ses quatre idoles – Nimier, Laurent, Blondin, Déon – dans la compagnie desquels elle aurait tant aimé être le cinquième mousquetaire. Fumant comme un sapeur, buvant comme un Polonais, jurant comme un cuirassier de la belle voix rauque et sensuelle que le tabac fait à certaines femmes, elle imitait ces modèles jusque dans leurs travers. Garçon manqué ? Mais non, femme réussie, entière, passionnée et qui, bien au-dessus de l’argent, de la gloire, de la famille et même de la littérature, mettait l’amour et l’amitié.

Elle se faisait du tort à plaisir et avec fierté. Il y eut une brève période où la radio et la télévision faisaient fréquemment appel, pour pimenter certaines émissions, à Geneviève Dormann, à cause de son insolence. C’est à cause de cette insolence même qu’elle disparut progressivement de l’antenne et de l’écran. On s’étonna de lui voir cosigner avec Régine Deforges un petit ouvrage sur le point de croix, qui tenait plus du canular que de la profession de foi. Ces dernières années, la maladie l’avait réduite au silence.

Adieu, Geneviève…

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vendredi, 13 février 2015

Un nouveau numéro (n°16) de la revue Livr'arbitres

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jeudi, 12 février 2015

DES BOMBARDIERS RUSSES AU-DESSUS DE LA MANCHE Vers une guerre froide voulue par les Etats-Unis

tu-russe_642.jpgMarc Rousset

Le président russe, Vladimir Poutine, n’est pas vraiment du genre à reculer face aux sanctions imposées à son pays et aux attaques subies par son économie. Il semblerait qu’il ait intensifié non seulement sa rhétorique, mais aussi ses activités militaires.

Sa plus récente initiative a été une autre démonstration de force pour faire comprendre à l’Occident que la Russie est prête à tout pour protéger ses intérêts. La Royal Air Force britannique a dépêché des avions de chasse jeudi après que deux bombardiers russes à capacité nucléaire aient volé au travers d’un couloir aérien civil au-dessus de la Manche. Les transpondeurs des bombardiers étaient éteints, ont déclaré les fonctionnaires britanniques, ce qui les a rendus invisibles pour un certain nombre de systèmes de contrôle aérien. L’incident a retardé plusieurs vols commerciaux et a poussé le gouvernement britannique à demander à l’ambassade russe de se présenter immédiatement devant le ministère des affaires étrangères.

Cet incident fait suite à une série de survols de la côte ouest des Etats-Unis par des bombardiers russes, depuis l’Alaska jusqu’en Californie. Il a même été dit que les Russes auraient testé une nouvelle arme l’année dernière, qui aurait rendu inefficaces les systèmes de contrôle aérien commerciaux de Los Angeles.

Un peu plus tôt ce matin, l’ancien dirigeant soviétique, Mikhaïl Gorbatchev, a décrété que les Etats-Unis et la Russie s’étaient engagés dans une nouvelle guerre froide qui pourrait bel et bien « devenir chaude » si les tensions entre les deux nations ne se dissipaient pas.

L’année dernière, Vladimir Poutine a fait des remarques similaires. Il a accusé Barack Obama d’avoir adopté une « approche hostile » lorsqu’il a décrit la Russie de menace pour le monde lors de son discours devant l’Assemblée générale des Nations-Unies le 24 septembre. « Nous espérons que nos partenaires réaliseront la futilité des tentatives de chantage contre la Russie et se souviendront des conséquences qu’une discorde entre des puissances nucléaires pourraient avoir sur la stabilité stratégique du monde ».

Poutine a ajouté qu’Obama aurait identifié l’agression de l’Europe par la Russie comme l’une des « trois grandes menaces actuelles pour l’humanité », avec l’Ebola et l’EIIL. « Aux côtés des sanctions qui ont affecté des secteurs entiers de notre économie, cette approche ne peut être qualifiée que d’hostile », a dit Poutine.

Le grand allié de la Russie face à l’Occident, la Chine, semble aussi prendre des initiatives courageuses. Selon une photo satellite des îles Nanji, le pays construirait une infrastructure de ravitaillement dont l’emplacement suggère le positionnement éventuel de troupes dans l’anticipation d’une guerre avec le Japon. En 2010, le lancement d'un missile au large de la côte californienne a été attribué à la Chine par certains observateurs qui pensent que le pays cherche lui-aussi à signaler sa volonté de s’engager dans un conflit si la nécessité s’en faisait ressentir.

Avec une économie en déclin des deux côtés de l’océan, l’influence de la Russie qui s’accroît au travers de l’ancien bloc de l’Est, et la présence de forces américaines en Europe, il ne pourrait qu’être une question de temps avant que la situation devienne critique.

Il est inquiétant que la question d’armes nucléaires ait déjà été soulevée. Et plus terrifiants encore sont les psychopathes qui se tiennent debout, le doigt sur le bouton.

12:00 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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mercredi, 11 février 2015

Riposte laïque mobilise à nouveau pour le dimanche 15 mars :

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