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mardi, 31 mars 2015

Deux ans ferme pour avoir tiré sur des jeunes se trouvant « par inadvertance » chez lui

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Jean-Pierre Fabre-Bernadac

Boulevard Voltaire cliquez là

Il a plus de 80 ans, vit seul dans une maison isolée au bord de la rivière près de Béziers. Parkinsonien, il est sujet aux tremblements et a déjà été cambriolé plusieurs fois.

Dans la nuit du 16 au 17 mars 2011, trois jeunes se retrouvent « par inadvertance » dans sa propriété. Il entend du bruit, prend peur et tire en direction du groupe, atteignant dans le dos, le cou, la face et les jambes un des adolescents. « Je venais de passer une nuit entière sans dormir », explique non sans mal le vieillard. « L’eau montait dans ma propriété alors que la rivière était en crue. J’ai pensé que ces jeunes, qui étaient chez moi, étaient en train de me voler. »

Il vient de passer au tribunal pour violences aggravées.

À la barre, il a du mal à se tenir debout, souffre le martyre, s’explique avec peu de mots : ancien travailleur social, il n’a pas l’habitude de ce genre d’endroit. « Alors j’ai pris le fusil, je l’ai chargé avec des cartouches en plastique et j’ai tiré, en l’air, puis à l’horizontale. Je ne suis pas raciste, je ne les ai pas visés. » Mais, daltonien, il a confondu plastique et petit plomb.

Deux des victimes – la troisième ne s’est pas présentée – témoignent ensuite. Celui qui a été touché précise : « Je ne vis plus depuis les faits. J’ai des plombs dans tout le corps. Je fais aussi des cauchemars. » L’autre, qui s’en est sorti indemne, très énervé, ne tenant pas en place, annonce : « Il vous a raconté n’importe quoi. Il a voulu nous tuer. Nous, on est des gens honnêtes. »

Les deux avocats de la partie civile vont plaider pour récupérer de l’argent afin de dédommager l’un de la frayeur qu’il a éprouvée (oui, vous avez bien lu) et pour l’autre, le plus touché, de son préjudice physique.

Angélique Depetris, le procureur, droit dans ses bottes étatiques, requiert un an de détention. « Il est à lui tout seul un magnifique spot publicitaire pour la lutte contre la prolifération des armes à feu. C’est aussi un véritable fléau que d’imaginer qu’on a une arme chez soi pour se défendre. Il a été un danger pour notre société. » Vous avez donc bien compris, bonnes gens, il est interdit de se défendre chez soi, dixit le procureur !

L’avocat du prévenu a bien tenté d’expliquer que les trois « jeunes » étaient venus pour le voler, qu’ils n’avaient rien à faire chez lui, que son discernement était amoindri par la nuit blanche et la crue de la rivière : peine perdue. La présidente du tribunal est restée insensible aux faits et à l’âge du prévenu. Elle a condamné le vieillard à deux ans ferme. Oui, vous avez bien lu : deux ans ferme.

« Une peine sévère », avoue la présidente, « car le tribunal est inquiet de ce qui peut encore arriver… rien ne justifie de tirer sur quelqu’un avec une arme à feu. »

Cerise sur le gâteau : il devra verser 6.500 € de provision de préjudices à la victime la plus touchée. Le Midi Libre, qui a publié via Internet un article sur cette affaire, n’a pas jugé bon de laisser s’exprimer les internautes. En bas de page, on trouve simplement : « Les commentaires sont fermés pour cet article »… Il a raison,le Midi Libre, parce que, vu la rage qui m’envahit quand je lis cette histoire, mes commentaires n’auraient sûrement pas été politiquement corrects…

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Carl Gustav Emil Mannerheim, le sauveur de la Finlande

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Robert Spieler

Article paru dans Rivarol du 12 mars 2015

Le nouveau, et remarquable livre de Jean-Claude Rolinat, paru aux Editions Synthèse nationale évoque le maréchal Mannerheim, ce grand nationaliste qui sauva la Finlande de la mainmise soviétique. On découvrira dans cet ouvrage passionnant  des textes d’Alfred Fabre-Luce, d’Henri Bordeaux et de François Duprat.

Mannerheim naît le 4 juin 1867 à Askainen dans une famille aristocratique finlandaise. A cette époque la Finlande fait partie de l’Empire russe. Il séjourne de 1882 à 1886 à l’école des cadres de Hamina dont il sera renvoyé du fait de son entêtement et de son indiscipline. C’est à partir de cet épisode que la mutation s’opère. L’adolescent turbulent, parfois violent, devient progressivement un jeune homme du monde au comportement sociable et distingué. Il entre à l’Ecole de cavalerie Nicolas de Saint-Pétersbourg dont il ressortira diplômé en 1889 : les chevaux occuperont toujours une place importante dans sa vie. Sa vocation militaire, qui est profonde, l’amènera, comme nous le verrons plus loin, à se réaliser d’abord dans l’armée russe (de 1887 à 1917) puis dans l’armée finlandaise de 1918 à 1951. Sa première expérience de la guerre se situe en Mandchourie où l’armée russe affronte le Japon, puissance montante en Asie, qui vient de lui infliger une terrible défaite maritime, l’escadre navale russe ayant été envoyée par le fond les 27 et 28 mai 1905, dans le détroit de Tsuchima. Il s’agissait de la première grande défaite du monde blanc, face au monde jaune…Lors de la bataille de Moudken, en Mandchourie, Mannerheim  fait preuve d’un grand courage qui lui vaut d’être promu colonel. En 1907, il entame une mission scientifique d’exploration en Asie centrale et en Chine, le long de la célèbre Route de la soie. A l’été 1908, il rencontre le chef spirituel des Tibétains, le Dalaï-Lama. L’expédition a certes des objectifs de recherche ethnologique et archéologique, mais elle sert aussi de couverture à l’officier russe pour une mission de renseignement. Sa mission secrète était de collecter des renseignements militaires sur les garnisons de l’ouest et du nord de la Chine, sur les réformes entreprises dans l’armée chinoise ainsi que sur les itinéraires de marche praticables de la Russie en direction de Lanzhou et de Pékin. Reçu, à son retour, en audience par l’Empereur, il fut nommé commandant du régiment des Uhlans de la garde personnelle de Nicolas II, basée à Varsovie, et ne tarda pas à recevoir le titre prestigieuxde « général de la suite impériale ».

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Français encore un effort !

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Patrick Parment

La gauche a pris une raclée et Sarkozy peut faire cocorico en imaginant que sa stratégie a été payante. Faux répondent les coqs de sa basse-cour qui ont tenté de donner de la voix. On a eu droit aux niaiseries d’un Juppé, Fillon, Bayrou ou bien encore Le Maire. Le cirque était au complet.

Sur le fond, tout ce petit monde devrait pourtant s’inquiéter. Car Marine Le Pen a tout lieu d’être satisfaite des résultats. Sans programme particulier et avec des quidams sans grand passé politique, le Front national est désormais présent dans tous les départements français. Les résultats du premier tour en attestent. Certes, au final, une centaine de conseillers départementaux, c’est peu. Mais qu’importe.

Parce qu’ils soient de gauche ou de droite, ces élus « républicains » sont les représentants du système et donc bien incapables, à l’image de leurs états-majors, d’entreprendre les réformes qui s’imposent au pays et qui nécessitent du courage politique. Or, du courage, ces gens-là n’en ont pas. Que ce soit le PS ou l’UMP, leurs cadres sortent du même moule incapacitant, l’Ena, et leurs élus, lobotomisés par le système qui les a fait roi, sont des fonctionnaires.

Ce qui signifie que notre pays va continuer de décliner. Et ce sont les mêmes qui vont payer la facture, toujours plus lourde : le peuple qui bosse pour financer les frasques d’une classe politique qui osent nous parler d’une France généreuse, celle des droits de l’homme et autres balivernes, au point de financer plus de dix millions d’immigrés dont la grande majorité vit des aides sociales inventées par nos guignols de droite comme de gauche. Les mêmes qui depuis trente ans et plus sabordent nos industries et bradent notre pays à Bruxelles quand ce n’est pas au Qatar.

Jusqu’où faudra-t-il descendre pour que cette France profonde et laborieuse comprenne l’imposture de cette droite ripoublicaine et de cette gauche schizophrénique ? Rassurons-nous, ce jour viendra. Marine Le Pen doit simplement faire preuve d’un peu de patience. Les résultats d’aujourd’hui augurent bien ceux de demain.

Mon unique souci, c’est de savoir ce qu’elle compte faire de cette ou ces victoire(s) à venir.

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lundi, 30 mars 2015

Le JT de TV Libertés de lundi soir :

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Jeudi 9 avril : conférence de Gabriele Adinolfi sur l'Europe...

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Réinfos, le mag hebdomadaire du Parti de la France...

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dimanche, 29 mars 2015

Le Journal du Chaos de cette semaine :

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L'Abbé Beauvais traqué par les nouveaux inquisiteurs...

L'Abbé Xavier Beauvais qui fut pendant des années le curé de Saint Nicolas du Chardonnet, la célèbre paroisse traditionaliste de Paris, passait mercredi dernier devant la XVIIe Chambre correctionnelle. Il lui est reproché d'avoir donné un avis sur Madame Taubira et un autre sur le tirailleur sénégalais Banania... Ce qui dans la France d'aujourd'hui est intolérable.

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Valls n’aime ni la France, ni les Français !

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Pierre Cassen Boulevard Voltaire cliquez ici

Manuel Valls, né à Barcelone, naturalisé français en 1982, à l’âge de 20 ans, a continué, ce dimanche, malgré une fessée mémorable qu’il a essayé de maquiller, à éructer contre un parti à qui il refuse de donner l’imprimatur de « républicain ». Quand la présidente du FN, excédée, lui fait remarquer qu’il est un Français un peu jeune pour donner des leçons de patriotisme à une « Française de souche » comme elle, il glapit qu’il se sent autant français que la famille Le Pen, et se lance dans de grandes diatribes sur le droit du sol, et sur son amour du pays qui l’a accueilli.

Pourtant, au-delà des mots, qu’a apporté Manuel Valls à la France depuis 1982 ? A-t-il, comme ces millions d’Italiens, Portugais, Espagnols, Algériens, Polonais, travaillé de ses mains dans les mines, dans les champs, dans les usines, et rendu, par son travail, à notre pays ce qu’il lui offrait ? Celui qu’on surnomme Adolfo Ramirez a, certes, obtenu une licence d’histoire, été administrateur de la MNEF, conseiller régional à l’âge de 24 ans, conseiller de Lionel Jospin (bravo pour 2002) et passé sa vie à grenouiller dans les couloirs du PS ou des ministères, avant de devenir Premier ministre, mais on a du mal à percevoir ce qu’il a apporté de positif à notre pays et à ses habitants.

Depuis qu’il milite, il a soutenu une immigration massive sans intégration, l’islamisation accélérée de notre pays, la mise sous tutelle de la France par l’Union européenne.

En outre, en insultant ceux qui, comme Zemmour ou les militants patriotes, ne veulent pas voir notre pays submergé par une immigration extra-européenne, en taisant les agressions contre les Églises, mais en hurlant à l’islamophobie à la moindre prétendue souillure d’une mosquée, il donne l’impression d’incarner ce livre du journaliste du Nouvel Observateur, Hervé Algalarrondo : La gauche et la préférence immigrée.

Par sa politique migratoire acharnée, il donne raison à Renaud Camus, qui voit la France actuelle subir un Grand Remplacement et un changement de peuple qui le hantent.

Par ses propos complaisants sur l’islam, il valide le terme « crétin » utilisé à son encontre par Michel Onfray, mais confirme surtout sa duplicité avec un dogme totalitaire qui menace notre civilisation.

Il se comporte en serviteur zélé d’une mondialisation qui doit en finir avec les États-nations et les peuples, donc la France et les Français, et transformer notre pays et le Vieux Continent en un grand marché libre peuplé de consommateurs métissés.

Bref, il a beau nous dire qu’il aime la France, toute son action est contraire aux intérêts de notre pays et de ses habitants.

Le professeur de philosophie Maurice Vidal écrivait en 2009 : « L’Histoire qui me porte est aussi l’Histoire que je porte dans un sentiment permanent d’auto-défense. Mon identité est un silence intérieur capable de colères. L’actuel débat sur l’identité nationale corrobore cette évidence. La France gronde en moi comme en chaque Français qui aspire à rester français, car l’actuelle identité de la France est en train de changer l’identité des Français ! Les Français en ont assez, en effet, de vivre au quotidien l’altération de leur être. Etre français, c’est donc être hostile à ceux qui sont hostiles aux lois françaises, à commencer par celles qui sont perçues comme lois du pays d’accueil. Je suis français parce que je dénonce la “nouvelle France” ! »

C’est un réquisitoire contre l’action quotidienne du Premier ministre, et celle, passée, de Sarkozy. On imagine sans effort Valls, les yeux hors de la tête, la main gauche tremblante, insulter l’auteur de ce texte, tandis qu’on voit très bien Marine Le Pen l’applaudir à tout rompre.

C’est toute la différence entre Français de papier et Français de cœur.

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vendredi, 27 mars 2015

Alain de Benoist : « Le FN aurait tout intérêt à abandonner ses positions jacobines »

Alain_de_Benoist.jpg27/03/2015 – 09h00 France (Breizh-info.com) ‑ En cette période d’entre-deux tours électoraux, nous avons voulu faire un tour d’horizon de l’actualité avec l’écrivain, essayiste, politologue et philosophe Alain de Benoist, principal théoricien de la Nouvelle Droite dans les années 70, dont l’immense bibliographie n’a d’égal que la méconnaissance que Manuel Valls, Premier ministre, y porte, comme en témoigne son récent accrochage avec Michel Onfray.

Breizh-info.com : Que vous inspirent les résultats du premier tour des élections départementales en France ?

Alain de Benoist : Il n’y a pas beaucoup de choses à dire. Le PS limite la casse, mais reste le grand perdant du scrutin (il est éliminé dans plus de 500 cantons et a d’ores et déjà perdu plusieurs de ses bastions historiques). L’UMP et ses alliés obtiennent de bons résultats, qui vont se confirmer au second tour. Le FN n’atteint pas les 30 % dont le créditaient les sondages, mais n’en réalise pas moins, avec plus de 25 % des suffrages, un score sans précédent, supérieur de 11 points aux cantonales de 2011. Il confirme son implantation locale, arrive en tête dans 43 départements (sur 102) et se qualifie pour le second tour dans plus de la moitié des cantons. Qu’il soit désormais le premier parti de France, ou seulement le second, n’a qu’un intérêt secondaire.

Le fait important est que ce scrutin confirme la disparition du bipartisme au profit du tripartisme. C’est un fait essentiel, notamment dans la perspective de l’élection présidentielle. Jusqu’à présent, les deux grands partis de la classe dirigeante étaient assurés de se retrouver et de s’affronter au second tour. Ce n’est plus le cas. Si Marine Le Pen accède au second tour, l’un des deux autres n’y sera pas. Il leur faut donc modifier complètement leur tactique.

J’ajouterai que le tripartisme actuel pourrait bien à terme céder la place à un autre. L’UMP englobe aujourd’hui deux partis différents : un parti centriste libéral et un parti souverainiste. Même situation au PS, où l’on retrouve également un parti centriste libéral, associé à un parti social-démocrate. Il ne me paraît impossible que les deux partis centristes libéraux finissent à terme par fusionner, tandis les souverainistes de l’UMP rejoindraient le FN, les sociaux-démocrates du PS s’agrégeant de leur côté à un nouveau bloc « de gauche ». On y gagnerait en logique et en clarté.

Breizh-info.com :  La stratégie de dédiabolisation entamée par le FN était-t-elle finalement utile ? En Bretagne, le parti cherche à s’implanter durablement avec pourtant un discours très centralisateur, très jacobin . N’est-ce pas voué à l’échec dans une terre aussi résistante au centralisme ?

Alain de Benoist : L’époque de la diabolisation du FN est terminée. Personne n’y croit plus. C’est l’une des raisons pour lesquelles le parti de Marine Le Pen commence à s’enraciner dans des régions qui lui étaient auparavant plutôt inhospitalières.
Cela vaut aussi pour la Bretagne, comme en témoigne l’exemple des Côtes-d’Armor. Je ne doute pas de l’hostilité des Bretons au centralisme, mais je ne suis pas sûr qu’aujourd’hui cette préoccupation l’emporte chez eux sur celles qui sont liées à l’immigration et au chômage.

Cela dit, je suis de ceux qui trouvent détestables les positions jacobines, « nationales-républicaines » et « anti-communautaristes » du Front national.

Le FN aurait à mon avis tout intérêt à les abandonner, mais il ne faut pas se faire d’illusions : le régionalisme n’est pas dans son logiciel.

Breizh-info.com :  Comment voyez-vous l’évolution de la France dans les années à venir ? 

Alain de Benoist : Je ne fais pas profession de lire l’avenir. La France est aujourd’hui un pays fatigué, démoralisé, comme vidé de son énergie. Les gens ne font confiance à personne et doutent de tout. Crise morale, dissolution des repères, disparition des liens qui libèrent, extinction des grandes passions collectives – on vit dans la misère spirituelle et matérielle, affective et sociale, mais sous l’horizon de la fatalité.

Eclatent parfois des colères, mais qui ne durent pas et ne n’assortissent d’aucun véritable projet politique ou idéologique. J’ai eu l’occasion d’écrire récemment qu’il n’y a de perspective révolutionnaire que lorsqu’une reconstruction idéologique radicale rencontre un mouvement social réel. Il me semble qu’on en est encore loin. Tout ce que l’on peut constater, c’est la désagrégation progressive de tous les cadres institutionnels que nous a légués la modernité.

Comme nous vivons à l’heure actuelle dans une ère de transition, l’histoire reste plus que jamais ouverte. Mon sentiment est que les choses ne bougeront vraiment en France que sous l’effet d’événement graves qui se dérouleront à une échelle bien supérieure à celle du cadre national. Et que ces événements seront d’une nature très différente que ce dont on parle aujourd’hui le plus.

Breizh-info.com :   L’acharnement de Manuel Valls contre une partie du peuple Français est-il le syndrôme d’une disparition programmée du PS ? Ou bien du basculement vers un totalitarisme de moins en moins caché ?

Alain de Benoist : N’exagérons rien. A moins qu’il ne soit atteint de façon précoce d’une maladie neurologique, Manuel Valls s’agite dans le vide. En multipliant les coups de menton mussoliniens sur fond de gestuelle empruntée à Louis de Funès, il se rend tout simplement ridicule. Sa seule préoccupation, c’est d’être candidat à la présidentielle de 2017, de faire en sorte que le PS accède au second tour et, quoi qu’il en dise, que le FN y soit aussi.

Breizh-info.com : Le mot « république » est omniprésent, dans tous les partis politiques. Qu’est-ce-que la République Française et ses fondements ? La démocratie ne doit-t-elle pas triompher de la République ?

Alain de Benoist :  Si le mot « république » est omniprésent, c’est qu’il ne veut plus rien dire. La classe dirigeante nous rebat les oreilles à propos des « valeurs républicaines », mais il n’y a pas de valeurs républicaines, il n’y a que des principes républicains. Encore faudrait-il préciser de quelle République on se réclame. De la Ière, celle de la loi des suspects, de la Terreur et du génocide vendéen ? De la IIIe, celle de la colonisation des « races inférieures » patronnée par Jules Ferry et les tenants de l’idéologie du progrès ? De la IVe, restée célèbre par son instabilité ?

Je trouve pour ma part révélateur que la classe dirigeante préfère évoquer des « valeurs républicaines » plutôt que les valeurs démocratiques. Les premières renvoient principalement à l’Etat, tandis que les secondes privilégient le peuple (souveraineté étatique et souveraineté populaire ne sont pas la même chose).

Or, le fossé séparant les peuples des élites mondialisées ne cesse de se creuser. Le peuple rejette spontanément les mots d’ordre de la Nouvelle Classe. La Nouvelle Classe se méfie du peuple, qui pense mal et ne vote jamais comme on lui dit de le faire. D’où les critiques contre le « populisme », manière élégante d’avouer qu’on méprise le peuple et qu’on aspire par-dessus tout à gouverner sans lui.

Source : Breizh info

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Valls vient pleurer à Vauvert : il a fait du P.S un parti résiduel

resistencia1-2-.jpgUn communiqué de la Ligue du Midi :

Ce n’était jusqu’à présent qu’une rumeur, mais Manuel Valls sera bien présent ce vendredi 27 mars à 18h30 à Vauvert. Il vient soutenir un de ses affidés, Jean Denat, président socialiste sortant du Conseil général et candidat en grande difficulté derrière le candidat du FN, puisqu’il affiche un retard de près de 12 points au 1er tour (42.69% pour le FN et 30.82% pour le binôme DVG/PS).

Manuel Valls qui vient chaque année, depuis 2 ans en été, prononcer un discours de politique générale, devrait pourtant comprendre qu’en menant une politique hostile à notre population, il ne peut être bienvenu sur nos terres.

- Monsieur Valls, nous sommes ici en Camargue dans une région fortement identitaire dont la population autochtone ne supporte plus vos discours mondialistes qui sous couvert du “vivre ensemble” sont ceux d’un centralisateur jacobin  né sous d’autres cieux.

- MonsieurValls, les classes moyennes et les petites gens d’ici n’en peuvent  plus de votre matraquage fiscal qui les met en grande difficulté pour aborder les fins de mois.

- Monsieur Valls, notre population ne comprend rien à vos “binômes”, à la configuration des nouveaux cantons, à ces départements dépensiers que vous vouliez supprimer en 2014 et qui resurgissent en 2015. Notre population conchie votre incapacité à résorber le chômage, à réduire le train de vie de l’Etat, à raboter le mille-feuilles territorial, terreau de la corruption et du clientélisme.

Votre réunion électorale, la dernière de la campagne,  est en tous cas la preuve éclatante que le “pays réel” vous échappe et ce, de la manière susceptible de vous faire le plus mal : par les élections. Car dans le Gard, le FN sera présent au 2ème tour dans tous les cantons et dans la zone de la bouvine de Mauguio à Beaucaire, on se réjouit que sur 7 cantons, le FN a cartonné à plus de 40%... vous aurez ainsi réussi le tour de force de faire du P.S un parti résiduel.

09:30 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une dictature soft : la démocratie

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Samedi prochain, 28 mars, Synthèse nationale au pot annuel des Amis de Rivarol à Paris

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07:26 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 26 mars 2015

POLICE PARTOUT : SECURITE NULLE PART !

SAM_0153.JPGPieter Kerstens

C’est le constat amer que l’on peut dresser quand on se souvient du cruel bilan des attentats de la gare Atocha à Madrid en mars 2004 et ceux de Londres en juillet 2005. En Espagne effectivement, les forces de l’ordre connaissaient le terrorisme basque depuis plus de 30 ans, alors que dans la capitale anglaise, des dizaines de milliers de caméras observaient le moindre geste suspect.

Il en va de même aujourd’hui avec les déploiements de l’armée aux abords des synagogues, des mosquées, des bâtiments publics ou de lieux à forte concentration populaire.

Partout en Europe les gouvernements ont sorti leur panoplie hystérique et brandissent le bouclier « Padamalgam » afin d’empêcher le peuple de désigner l’ennemi, puisque selon eux, la guerre au terrorisme est déclarée. Car enfin, de Merah à Coulibaly en passant par Nemmouche et Kaouchi, ce ne sont pas des bouddhistes fanatiques, mais bien des musulmans (grands criminels multirécidivistes) qui sont les auteurs des récentes tueries au nom de « Allah Akbar ! » confirmant ainsi la relance d’une guerre de religion ancestrale. On remarque par ailleurs que le plan Vigipirate n’empêche en rien les bandes de racailles de dévaliser les passagers du RER et de poignarder les plus faibles pour quelques euros.

« Je suis Charlie », « Je suis danois », « Je suis Bardo » : OUI. « Je suis Maaloula », « Je suis Maïduguri », « Je suis Sanaa » : combien de bougies, combien de manifs… ?

A croire que les lunettes roses des laquais du Nouvel Ordre Mondial occultent les persécutions et les assassinats que subissent les chrétiens -et d’autres- dans l’arc musulman depuis 50 ans. Au nom du « vivre ensemble », les pantins européens nous imposent leur vision frelatée d’une société multiculturelle et pluriethnique qui se désagrège au fil du temps.

Cà et là, quelques courageux polémistes, intellectuels et criminologues tentent d’établir une analyse accablante sur les conséquences néfastes de l’envahissement de l’Europe par des individus qui ne cherchent ni à s’intégrer ni à s’assimiler à nos sociétés fondées sur des traditions, des us, des coutumes et des règlements hérités d’une culture et d’une civilisation européenne multiséculaire. Il en va de même pour une grande partie d’immigrés nés sur notre sol, qui revendiquent des comportements et des usages incompatibles avec nos lois.

Plus grave : les marionnettes pseudo-humanistes interdisent toute forme de contestations et refusent le débat des idées, au motif que seules leurs valeurs « citoyennes » seraient acceptables. Ils vivent dans une sphère aseptisée, hors des réalités du quotidien, entre initiés, seuls détenteurs de la vérité. Ils ignorent le mécontentement populaire, l’exaspération des citoyens et le désespoir de ceux « d’en-bas ».

Et cela ne date pas d’hier. En désignant les volontaires partis faire le djihad en Irak, en Syrie (après avoir désigné Bachar Al-Assad comme « l’homme à abattre »), en Lybie, au Mali ou ailleurs, comme étant des terroristes, ils oublient que lors de précédents conflits en Afghanistan en 1980, en Irak en 1991, en Tchétchénie en 1991, en Bosnie en 1992, au Kosovo en 1998, à nouveau en Afghanistan en 2002 et encore en Irak en 2003, des milliers d’européens étaient partis combattre aux côtés des islamistes au nom « d’Allah le Tout Puissant ! ». Certains de ces djihadistes sont restés sur place, mais la grande majorité est rentrée en Europe. Combien de tueries ont-ils commis chez nous ces 30 dernières années ? Combien d’attentats à la bombe ou à la voiture piégée comme au Proche-Orient ?

La 5e colonne n’est pas à Damas, à Mossoul ou à Tunis, elle s’est déjà formée dans nos banlieues avec la complicité de nos politicards. Ces collabos de l’immigration/invasion, ceux-là mêmes qui depuis des décennies ont vidé les églises pour remplir les mosquées (qui forment et informent les futurs « terroristes ») et nous imposent la nourriture hallal dans les cantines, afin de complaire à de futurs électeurs ; ces clowns tristes responsables du déclin et de la décadence de nos pays ont imaginé maintenant des quartiers d’isolement pour islamistes dans nos prisons et une nouvelle restriction pour tous de la liberté d’expression.

Mais à ceux qui pensent que le problème commence en prison, je dis NON, il commence, pour certains, en classe primaire. Touche pas à mon pote ?

23:35 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le FN et les départementales, succès ou demi échec au premier tour ?

images.jpgPierre Le Vigan

Donné par les sondages entre 29 et 31 % (et une fois à 33 %), le FN a fait plus de 25 % des voix. Il n’est pas arrivé en tête. Il a été devancé par le bloc des droites. Comment resituer ces résultats ? Il faut d’abord noter qu’il est certes distancé par les droites, celles-ci à 29 % mais celles-ci constituées du parti UMP, des centristes, de divers droites. C’est sans doute une coalition mais pas un parti.

La première chose à faire pour évaluer le niveau du FN-RBM à ces élections, à l’issue du  premier tour,  c’est de comparer avec les élections cantonales de 2011. Elles ne portaient que sur la moitié des cantons, mais cela ne change guère le point de comparaison. Le FN avait fait plus de 15 % des voix. On dit donc qu’il a progressé de 10 points. En fait, le FN n’était pas présent partout en 2011. Là où il était présent, il a obtenu 19 % des voix. C’était un très bon résultat : un point au-dessus du score (17,9 %) de Marine Le Pen, un an plus tard, à la présidentielle de 2012.

En 2015 où les élections départementales avaient lieu dans tous les cantons ensemble pour la première fois, le FN a beaucoup dit qu’il serait présent partout. Il a fait un gros effort et a obtenu un très bon taux de présence sur le territoire. Il n’était toutefois pas présent partout. Il était en fait présent dans 93 % des cantons redécoupés (et divisés par deux avec l’absurde système de candidature d’une paire de candidats). Résultat : là où il était présent, le FN a réalisé en fait 27 % des suffrages en moyenne. Il faut donc comparer 27 % à 19 %. Une progression non négligeable.

Le FN n’a pas explosé à ces élections mais il a encore progressé par rapport aux européennes. Il s’est enraciné dans ses bastions tout en ayant de plus en plus un vote « national ». C’est-à-dire qu’il n’est faible que dans très peu de départements, ce qui est un élément nouveau depuis 2012. Son implantation aux municipales porte ses fruits et, en un sens, son succès aux municipales de 2014 est encore plus important que son succès aux européennes de la même année.  Le FN est le seul parti qui progresse. Reste pour lui à franchir le mur du scrutin majoritaire. Il y a réussi parfois, et dès ce premier tour des élections ex-cantonales devenues départementales. Cela reste exceptionnel. A partir d’un certain seuil, une accélération de ce type de succès n’est pas à exclure.

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26 mars 1962 : fusillade de la rue d'Isly à Alger

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Gabriele Adinolfi était invité sur Radio Courtoisie au Libre journal de Martial Bild

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Gabriele Adinolfi est une figure incontournable du néofascisme italien. Au cours de ce qu’il est convenu d’appeler « les années de plomb », c'est-à-dire les années 70, un véritable climat insurrectionnel régnait en Italie. Le pouvoir démocrate-chrétien, lié à la maffia et aux intérêts américains, était englué dans une multitude de scandales. Les terroristes communistes des Brigades rouges multipliaient les actions violentes et pour beaucoup la nostalgie de la glorieuse époque mussolinienne commençait à se faire ressentir. Afin d’éviter leur chute les pourris au pouvoir imaginèrent de fomenter des attentats meurtriers et de les mettre sur le dos des organisations nationales-révolutionnaires. Le plus spectaculaire d’entre eux fit plus de 80 morts et 200 blessés le 2 août 1980 dans la gare de Bologne.

S’en suivit une vague de répression inouïe contre les milieux néofascistes, en particulier contre le mouvement Terza posizione qu’animait entre autres Gabriele Adinolfi. Pourtant, jamais sa culpabilité, ni l’implication de son mouvement, furent prouvées. Trente-cinq ans plus tard, plus aucune charge ne pèse contre eux. Il n’empêche que pour des dizaines de militants ce fut la prison ou l’exile. Ainsi Adinolfi passa près de vingt ans dans la clandestinité à Paris. C’est ce qu’il nous relate dans ce livre captivant, bourré de rebondissements, de rencontres inattendues et d’anecdotes truculentes.

Aujourd’hui l’auteur vit à Rome, il anime l’Institut Polaris et est l’un des inspirateurs de la Casapound, le mouvement qui se revendique fièrement du fascisme du XXIe siècle. Gabriele Adinolfi a gardé de nombreux contacts en France où il revient régulièrement. Ce livre est aussi une galerie de portraits des militants et responsables nationalistes français qu’il rencontra au cours de sa longue cavale.

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Jeudi 9 avril, à 19 h 30, Gabriele Adinolfi donnera une conférence  au Crabe-Tambour (4, rue Auguste Chabrière à Paris XVe).

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Réunion du Parti de la France vendredi à Marseilles

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3180 du 19 mars 2015

 

« SUIS-JE UN pur démocrate, vient de se demander Poutine sur le ton de l’humour devant des media russes. Bien sûr que oui. Absolument. Le problème est que je suis le seul, le seul de mon espèce dans le monde entier. Il suffit de regarder ce qui se passe en Amérique, c’est terrible, la torture, les sans-abri, Guantánamo, les personnes détenues sans procès ni enquête. Et regardez la violence avec laquelle l’Europe traite les manifestants, des balles en caoutchouc et des gaz lacrymogènes sont utilisés dans une capitale après l’autre, des manifestants sont tués dans les rues… Je n’ai plus personne à qui parler depuis que Gandhi est mort. » Ces propos ont-ils vraiment été tenus par Poutine ? « Si non e vero, bene e trovato » (Même si ce n’est pas vrai, c’est bien trouvé)…

 

CHARLES PASQUA, UN TENDRE HUMANISTE

 

Comment lutter contre le djihadisme ? Charles Pasqua a la solution. Interrogé par Laurent Delahousse dans l’émission « 13h15 le dimanche » sur France 2, l’ancien ministre de l’Intérieur de 88 ans a proposé d’isoler les islamistes radicaux sur une île et de leur faire accomplir des travaux forcés. Il a asséné : « Qu’est-ce-que j’apprends, moi ? Je lis le journal comme tout le monde. J’apprends qu’on va regrouper tous les détenus islamistes dangereux au même endroit. Et c’est où cet endroit ? C’est sur le sol de la métropole ? Non ce n’est pas sérieux ». Le journaliste lui demanda perfidement : « Un Guantanamo à la Française ? » l’ancien ministre a répondu « Qu’on les mette sur une île, qu’on les mette loin, bien entendu ». Avant de déclarer, « On a qu’à recréer les travaux forcés ».

 

VALLS TREMBLE COMME ADOLF HITLER

 

On se souvient de l’extraordinaire film La Chute qui raconte les derniers jours du Führer dans son bunker, à Berlin. Hitler, atteint de la maladie de Parkinson, maîtrisait tant bien que mal ses tremblements. Manuel Valls est-il atteint de la même maladie ? C’est la grave question que nous sommes en droit de nous poser au vu des vidéos publiées sur Vidéo Voltaire où l’on voit Valls, tremblotant de la main gauche (comme Hitler), répondre à une question de Marion Maréchal-Le Pen à l’Assemblée nationale qui l’accusait, il est vrai, pour faire simple, de crétinisme aigu. Grave question que s’autorise Boulevard Voltaire : Que ce soit pour des raisons médicales (neurologiques) ou par simple perte de contrôle due à l’énervement, les Français ont le droit de savoir aux mains, fussent-elles tremblotantes, de qui se trouve le pays…

 

IL FAUT BOYCOTTER LES MÉDICAMENTS JUIFS

 

Bénédicte Bauret est conseillère municipale (Gauche Citoyenne) de Mantes-la-ville et Présidente de la section LDH de Mantes-la-Jolie et du Mantois. Elle vient de dénoncer sur Facebook les supposés rapports entre un laboratoire pharmaceutique israélien et les « pharmaciens juifs ». Elle écrit : « Voici quelques informations très importantes concernant les médicaments génériques TEVA. Il y a une caisse spéciale pour les génériques TEVA réservée aux pharmaciens juifs à qui 20 % sont déduits, ces 20 % allant directement à Israël. Ce système est appelé Pharmadom ». D’après Bénédicte Bauret, ce système a été imaginé pour contrer le boycott des laboratoires israéliens. Elle a lancé un appel sans ambiguïté : « Alors, faites comme moi, et mettez sur votre carte Vitale le petit autocollant “TEVA, j’en veux pas” ». Du coup, la LDH est légèrement gênée aux entournures face à cet abominable acte antisémite.

 

EFFRAYANTE PERSÉCUTION À L’ENCONTRE D’ANNE-SOPHIE LECLÈRE

 

Anne-Sophie Leclère est cette ex-candidate du Front national aux municipales à Rethel dans les Ardennes, qui avait été condamnée à 9 mois de prison ferme, cinq ans d’inéligibilité, assortie d’une amende de 50 000 euros, pour un photomontage humoristique qu’elle avait diffusé sur les réseaux sociaux, assimilant le ministre de la Justice, Christiane Taubira, à un singe. La justice avait été saisie par le mouvement indépendantiste guyanais Walwari, co-fondé en 1992 par l’actuelle garde des Sceaux, et l’affaire avait été jugée en première instance à Cayenne. Aucun avocat local n’avait accepté de la défendre. Elle n’avait, de plus, évidemment pas les moyens pour se rendre sur place. De nombreux observateurs, fussent-ils de gauche, avaient dénoncé un verdict aberrant, pariant que l’affaire serait évidemment dépaysée en appel et que le procès aurait lieu en métropole. A la stupeur générale, on apprend que la Cour de cassation a rejeté sa demande de dépaysement. Autant dire que les choses se présentent bien mal pour elle, qui se retrouve persécutée par les chiens qu’évoquait François Mitterrand après le suicide de Pierre Bérégovoy, mais aussi lâchée par le FN mariniste. Quelle honte ! L’excellent et coruscant Me Jérôme Triomphe assurera sa défense en appel. Nous sommes de tout cœur avec elle…

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TAUBIRA ET SA CONCEPTION DE LA DÉMOCRATIE

 

Elle est folle de rage, à l’instar de son alter ego Manuel Valls. Elle n’en dort plus la nuit ni même le jour, songeant avec effroi au succès probable du FN aux prochaines élections départementales. Du coup, elle assène des propos définitifs : il n’y a pas à tergiverser : le FN n’est pas compatible avec la République. « Je conteste aussi bien sa nature républicaine que sa nature démocratique », a dit la ministre. Cette grande démocrate explique : « Il ne suffit pas d’aller aux élections pour être un parti républicain, il faut accepter d’avoir les valeurs de la République ». En d’autres termes, les partis qui ne pensent pas comme elle ne devraient pas pouvoir se présenter. Elle prend en exemple l’horreur que représentent ces municipalités conquises par le FN et déclare : « Lorsque que dans les municipalités tenues par le FN, on se rend compte qu’ils font des distinctions entre les associations par exemple qui interviennent auprès des publics les plus vulnérables et qu’ils leur suppriment les moyens financiers, ils rompent le pacte républicain. » En fait d’association qui intervient « auprès des plus vulnérables », Taubira fait référence à la Ligue des Droits de l’Homme qui disposait, on se demande pourquoi, d’un local à Hénin-Beaumont, dont elle vient de se faire éjecter, ce dont on se consolera aisément.

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QUAND TAUBIRA PLEURE, C’EST DANS SA CHAMBRE

 

Taubira souffre. Les attaques incessantes dont elle est l’objet la meurtrissent, mais elle sait rester digne. Dernière en date : la première adjointe au maire de Juvisy, une élue UMP, a en effet exprimé sur Facebook son souhait de voir le ministre de la justice « repartir là-bas » (à Cayenne). Taubira dénonce les « vieux démons » qui gagnent l’UMP dans la course menée contre le FN. S’il souffre de toutes ces attaques, le garde des sceaux assure courageusement vouloir garder pour lui ses états d’âme. « Parfois mon fils aîné trouvait que je résistais à trop de situations, et je lui avais dit “mais quand je pleure, je pleure dans ma chambre” », a résumé Taubira. Elle n’a pas fini de pleurer… On s’en occupe. En attendant, l’hebdomadaire Valeurs Actuelles a proposé avec esprit un sondage en ligne. La question est : « A votre avis, pourquoi Christiane Taubira pleure-t-elle dans sa chambre ? ». Quatre réponses ont alors été proposées : « parce que la GPA n’est pas encore autorisée », « parce que la Manif pour tous est une force d’opposition puissante », « parce qu’elle n’est pas Premier ministre », « parce qu’elle sent la défaite du PS aux départementales ». Fureur de Taubira et de Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement, qui a qualifié ce sondage de “lamentable”.

 

UN CANDIDAT MARINISTE PÉDOPHILE

 

Le FN mariniste devient décidément un parti comme les autres. On y trouve des végétariens, des goinfres, des homosexuels, des mères de famille et des pédophiles. Surveillant pénitentiaire de son métier, Arnaud Couture, 23 ans, conseiller municipal FN de Cusset, a été mis en examen début mars pour « enregistrement, détention et diffusion d’images à caractère pédopornographique ». Il était candidat aux élections départementales dans l’Allier et vient d’annoncer qu’il renonçait « à l’ensemble de ses fonctions au sein du parti ainsi qu’à sa candidature ». Problème : sa candidature ayant été déposée dans les règles, il est impossible de la retirer. Le pauvrichon bat sa coulpe et déclare : « Dorénavant, je ne me considère plus comme candidat pour les départementales et à même de porter les couleurs du Front national ». Grâce à la démocratie, nous apprendrons cependant combien d’électeurs de l’Allier éprouvent de la sympathie pour la pédomanie.

 

LA SHOAH, RAUS ! (DEHORS)

 

Pour des raisons inconnues, la Shoah « n’entre pas » dans certaines écoles hollandaises. Enfin, des raisons pas si inconnues que cela. Il paraît, d’après des professeurs qui s’exprimaient dans un débat avec des députés du parti du centre, que les élèves musulmans s’opposaient à ces petites fantaisies. Horreur : « Bloeme Evers, un rescapé de la Shoah, n’ose pas donner de conférences en tant que conférencier extérieur dans certaines écoles », a dit Arie Slob, le chef parlementaire du parti et anciennement professeur d’histoire. « J’en suis consterné. Il est inconcevable que 70 ans après l’Holocauste, l’antisémitisme en Hollande soit en expansion ». Un professeur relève cette monstruosité : « Dans la classe, c’est toujours de la faute des Juifs. Certains élèves disent que les Juifs n’ont pas leur place. C’est dur ». Amis lecteurs, sortez vos mouchoirs !

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.

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Le directeur d'école violeur d'enfants avait déjà été condamné comme pervers !

1952993891.jpgYves Darchicourt

Son identité n'a pas été révélée, dans les médias il reste "le directeur d'école" auteur présumé de viols sur plusieurs de ses élèves. Il faut dire que l'individu n'est pas un religieux, qu'il n' a pas été dénoncé comme un suppôt avéré de la famille naturelle ou du mariage traditionnel et qu'il ne semble pas avoir été soupçonné de complaisance envers ce qui de près ou de loin n'est pas conforme à la pensée unique. Horreur! malheur ! l'homme est un enseignant promu directeur d'école à l'Educ'Nat, pire même en septembre dernier il a été publié dans la "Voix de l'Ecole "- organe du Syndicat National des Ecoles - où il a expliqué son engagement et son combat pour que les enseignants relèvent la tête et reprennent en main leur métier. Et pour que ce métier soit de nouveau considéré et que l’Ecole ne soit plus le fourre tout de la société ».

L'anonyme prédateur sexuel est donc fonctionnaire du Mammouth et syndicaliste. Consternation ! c'est un pédophile, auteur avoué de neuf viols aggravés, des fellations abominablement imposées à ses petites victimes (au moins 7 fillettes et 2 garçonnets) dans le cadre des activités organisées par le salopard dans un "atelier du goût" L'immonde était en outre receleur d'images répugnantes mettant en scène des enfants. Derechef d'ailleurs car on sait maintenant qu'il enseignait malgré une condamnation à 6 mois d'emprisonnement avec sursis écopée en 2008 pour recel d'images pédopornographiques !

Une condamnation fort légère pour un personnage ayant charge d'enfants, assortie simplement de l'obligation de soins aussi traditionnelle que bidon pour des pervers de ce genre. Il semblerait là que les robins de la Justice (disons l'a-justice) taubiresque - sans doute imprégnés des doctrines fumeuses style théorie du genre ou autres déviances sur l'éveil sexuel des pré-adolescents illustré par les mémoires de la braguette de Cohn-Bendit par exemple-  aient voulu lui laisser une chance en ne lui interdisant pas toute activité en rapport avec des enfants comme ils en avaient la possibilité et n'ont pas même voulu avertir l'Inspection Académique concernée.

Résultat, l'ignoble est passé aux actes. Les robins responsables ne seront pas estimés coupables d'un laxisme scandaleux, peut-être idéologique d'ailleurs, et on ne va pas leur reprocher d'avoir laissé une brute perverse s'occuper d'enfants. Quand aux fonctionnarisés de l'Educ'Nat sont paraît-il autant sous le choc que les petites victimes, leurs parents et leurs jeunes camarades...tous proies futures des charlatans de l'inévitable cellule psychologique. Le violeur a quand même été suspendu de ses fonctions à l'Educ'Nat et devrait être emprisonné... souhaitons lui d'être accueilli comme il se doit par ses codétenus en général fort peu compréhensifs avec les pervers de ce genre.

02:09 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le président al-Assad reçoit une délégation de parlementaires flamand conduite par Filip Dewinter

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Source SANA cliquez ici

Le président Bachar al-Assad a reçu aujourd’hui une délégation parlementaire et partisane belge présidée par le membre du Parlement flamand, Filip Dewinter.

Au cours de l’entretien, le président al-Assad a affirmé que ce qui se déroule en Syrie est tout à faire différent de ce qui est dépeint par des politiciens et des mass médias qui déforment l’Opinion publique dans leurs pays, au service d’une déficience visuelle et d’intérêts étroits qui ne servent pas leurs peuples.

Le président al-Assad a ajouté que les délégations qui visitent la Syrie et rencontrent les Syriens pourraient contribuer à la correction de l’opinion publique de leurs peuples à propos de la vérité de la guerre antiterroriste en Syrie.

Il a ajouté que certains pays européens commettent des erreurs graves en s’alliant avec des pays soutenant le terrorisme qui déforme l’image de l’Islam, affirmant que les organisations terroristes et les parties qui les soutiennent ne représentent pas l’Islam juste qui rejette toute forme de violence et qui se base sur la tolérance et la fraternité.

Les membres de la délégation belge ont affirmé que la Syrie est en 1ère ligne de front face à l’extrémisme et au terrorisme, et qu’elle est la seule qui fait face aux terroristes, précisant qu’en cas de l’effondrement de cette ligne le terrorisme parviendra aux pays européens, « ce qui implique la solidarité avec la Syrie dans sa guerre », ont-il ajouté, précisant qu’un nombre de partis et de responsables occidentaux ont maintenant cette conviction.

Ils ont affirmé avoir saisi en Syrie la volonté de vie en dépit de la souffrance quotidienne dont souffrent les Syriens en raison des crimes perpétrés par les groupes terroristes et de l’embargo imposé au pays depuis plusieurs années.

Mouallem souligne le rôle des parlements européens dans la transmission de la vérité des événements en Syrie à leurs peuples.

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mercredi, 25 mars 2015

Mercredi soir, Gabriele Adinolfi parmi les invités de Martial Bild sur Radio Courtoisie

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"Années de plomb et semelles de vent" cliquez ici

Au programme :

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Radio Courtoisie cliquez ici

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mardi, 24 mars 2015

Le Vlaams Belang offre dix billets d’avion pour le retour de musulmans...

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Sous le slogan : « Ce que les autorités ne font pas, le Vlaams Belang le fait ! », le Vlaams Belang d’Anvers a lancé ce jeudi 19 mars 2015 une campagne intitulée : « Est, Ouest ? Le mieux est chez soi ! » La conférence de presse s’est déroulée symboliquement à l’aéroport de Deurne.  

Le Vlaams belang va distribuer 60.000 dépliants au sein des quartiers d’Anvers à forte densité de population musulmane de Borgerhout, Anvers-Nord, Deurne-Nord et Hoboken. Dans cet imprimé se trouve un concours. Les personnes qui le désirent sont invitées à répondre à sept questions à propos de l’islam et à donner leurs coordonnées afin de gagner un aller simple vers  un pays musulman au choix.

Source Lionel Baland cliquez ici

Voir le dépliant en néerlandais : cliquez là

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Samedi 28 mars : soirée "Amour, absinthe, révolution..." au Crabe Tambour à Paris

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12:51 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : conférence d'Arnaud Raffard de Brienne à Berhen (59) samedi 28 mars :

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 NON, NOUS NE SOMMES PAS CHARLIE cliquez ici

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lundi, 23 mars 2015

POUR CONNAÎTRE MAURICE BARDÈCHE Un livre collectif : « Maurice Bardèche l’insoumis »

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Pierre Le Vigan Métamag cliquez ici

Polémiste, écrivain politique, critique littéraire, Maurice Bardèche (1907-1998) a été tout cela. Son image reste sulfureuse. Elle l’est même beaucoup plus que dans les années 1950, preuve que nous avons fait un grand pas vers le schématisme, l’intolérance et l’inculture. Philippe Junod, aidé de sa femme, a voulu mieux faire connaître celui qui fut le beau-frère et l’ami de Robert Brasillach mais qui avait, bien entendu, son tempérament, ses goûts et son histoire propres. Le pari de mieux connaître Bardèche est tenu dans le cadre des Cahiers des Amis de Robert Brasillach cliquez ici

Officiellement apolitique jusqu’en 1945, ses activités hors enseignement n’allèrent guère au-delà, sous l’Occupation, d’essayer de sauver Jean Cavaillès. Plus handicapé qu’aidé par ses liens familiaux trop voyants, il passe de maître de conférence à la Sorbonne à professeur à l’Université de Lille où il n’avait aucune attache.

Ce qu’il ressort des études consacrées à Bardèche, est l’unité de sa vision des choses, du politique au littéraire. Cela ne veut évidemment pas dire que l’on soit obligé d’être « fasciste » pour, en même temps, lui reconnaître d’avoir beaucoup apporté à la connaissance de Balzac ou de Proust.  Mais il faut reconnaître que ce qu’il appelle « fascisme » est en fait quelque chose qui va au-delà d’un épisode historique, aussi important qu’il ait été (et sachant qu’il fut définitivement clos en 1945). Au-delà : c’est-à-dire une critique de la domination de l’économie sur nos vies, et une critique de la domestication de l’homme par le monde moderne.

Bardèche était non pas un homme de concepts mais un homme de principes. Il  été pionnier en maints domaines dans une large mouvance intellectuelle : la critique de la « conscience universelle », c’est-à-dire l’appareil idéologique du nouvel ordre mondial américain, le refus de l’uniformisation planétaire par le règne des marchands, le souci de la liberté des peuples et de la continuité de ceux-ci qui doivent rester fidèles à leurs instincts (thèse assez rousseauiste), l’appel à l’indépendance de l’Europe. Pour des raisons parfaitement évidentes, il était conscient de ne pouvoir être à la bonne distance pour juger de l’action du général de Gaulle. Aussi demandait-il des avis autour de lui. Il faisait partie de ceux qui, à tort ou à raison (je m’interroge moi-même), ne prenait pas au sérieux la troisième voie gaullienne.

De la création du modeste Mouvement Social Européen, qui n’était certes pas un mouvement de masse, à novembre 1982, date de la parution du dernier numéro de sa revue Défense de l’Occident (elle accueillit quelques uns de mes premiers articles), fondée trente ans plus tôt, Bardèche a été le principal « doctrinaire » (mais on hésite à employer ce terme un peu trop sec et désincarné)  mais plus encore le principal écrivain du nationalisme européen.  Il a permis à beaucoup de ceux qui l’ont lu d’aller au-delà, ou ailleurs, preuve que c’était avant tout un homme libre, un rebelle non aligné. 

Les témoignages regroupés dans le cahier des ARB, souvent chaleureux, mais aussi bien sûr parfois critiques, aident à mieux connaître celui que l’on veut réduire à des caricatures, tant notre époque aime les idées simples, et fausses de préférence. Ce sont les idées les plus confortables, et notre époque aime son petit confort. Un excellent libraire, bibliophile de province, juif, et parfaitement (sic) de gauche me disait, à propos de la biographie de Balzac par Bardèche (Julliard, 1980) : « Il faut reconnaître que c’est quand même la meilleure des études parue sur Balzac ». 

cahiers-des-arb-51-52-maurice-bardeche-l-insoumis.jpgCahiers des amis

de Robert Brasillach,

N°51/52,

Maurice Bardèche l'insoumis cliquez ici

courriel : brasillach@europe.ch

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Les Brigandes : La loge des Jacobins

23:06 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le JT de TV Libertés de lundi soir :

22:55 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Départementales : le grand ouf tabagique de Manuel Valls

757062989.pngYves Darchicourt

Son parti ne représente plus que 6,34% des inscrits au corps électoral et la "gauche" dont il se veut le représentant emblématique sera absente au second tour dans près d'un canton sur trois.

Et pourtant le gandin de Matignon a semblé content de lui lors de la soirée électorale. Il faut dire que la déculottée reçue a été un peu moins dure que prévue et que le gazeur de femmes et d'enfants devrait conserver sa sinécure gouvernementale.

C'est sans doute pourquoi, après les déclarations de circonstances, repu et bien calé, le bellâtre soulagé s'est allumé un barreau de chaise à la cubaine et a suivi la retransmission télévisée du match de football opposant le Real de Madrid au club de Barcelone qu'il soutient ardemment par atavisme. C'est aussi cela un politicard !

18:22 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |