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mardi, 17 mars 2015

Presse sous-terraine : un nouveau numéro (n°4) de l'Aristoloche

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L'Aristoloche 4 cliquez ici

10:03 Publié dans L'Aristoloche (Pierre de Laubier), Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Béziers : la Ligue du Midi a participé activement au rassemblement de soutien à Robert Ménard contre la "rue du 19 mars 1962"

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Le 14 mars 2015, 2000 patriotes réunis à Béziers ont fait tourner, en sens inverse, pour la première fois dans l’histoire contemporaine de notre pays, la roue dentée de la décadence. En face d’eux, à une centaine de mètres, 250 contre-manifestants, cornaqués par quelques fossiles communistes locaux et vieux profs, tentaient de se convaincre que les masses musulmanes allaient remplacer dans les organisations des “damnés de la terre”, les prolétaires d’usine, aujourd’hui défaillants.

Dans un discours sans concession qui, n’en doutons pas, sera étudié dans quelques dizaines d’années dans les universités et les lycées, Robert Ménard a déroulé le triptyque du combat de demain :

Dire non à la repentance, et au révisionnisme historique
« Non, je ne veux plus que nous soyons dans la repentance, je veux dire notre vérité à ceux qui armaient le bras des assassins des harkis, aux bourreaux qui nourrissent encore une haine de la France … » rappelant qu’en aucune manière la date du 19 mars 1962 n’a marqué la fin de la guerre d’Algérie, puisque le FLN continua durant plusieurs mois les massacres barbares de civils Pieds-Noirs et de harkis, notamment en juillet 1962 à Oran.

Combattre le Métissage, fruit du multiculturalisme
«Non à cette France multiculturelle qu’on nous impose»… « Il y a 50 ans (…) nous tapions sur des casseroles en scandant « Algérie française ». Il faudrait aujourd’hui, avec la même ardeur, dire non à cette France métissée qu’on nous promet (…) mais dire oui à une France fière d’elle-même, de son histoire, de ses racines judéo-chrétiennes » Et Ménard de conclure d’un «Vive la France française» ….

Lutter contre l’immigration de peuplement
« Alors qu’on obligeait un million de Français à quitter leur Algérie natale, on ouvrait la France, quasi simultanément, à des millions d’immigrés bien décidés pour certains à ne jamais se sentir, à ne jamais devenir des Français à part entière ». Par cette formule, Robert Ménard avait l’intelligence d’enraciner son combat dans les réalités de la France d’aujourd’hui.

Evidemment ce discours identitaire était insupportable pour la “grosse” presse qui s’est contentée au mieux de renvoyer dos à dos, les deux manifestations, et au pire de dénoncer l’initiative de Robert Ménard comme étant un appel à la haine, ou à la division des français… mais il confortait les identitaires de la Ligue du Midi présents en nombre lors de cette inauguration, venus en cars ou en voitures de toutes les régions du Midi et bien sûr de Béziers et de ses villages alentour….

La Ligue du Midi, qui termina cette journée par une réunion de direction dans les salons d’un hôtel de la ville se félicita du succès incontestable de ce rassemblement auquel elle aura contribué en relayant pendant trois semaines les informations sur l’évènement et en y amenant plusieurs centaines d’adhérents et de sympathisants. Signalons que ses membres sont intervenus à plusieurs reprises lorsque quelques inconscients ont cru opportun de déployer des drapeaux algériens aussi bien dans la contre manifestation que sur une villa toute proche…

Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi, profitait de la diffusion d’un tract par ses militants pour répondre à de nombreuses sollicitations, s’entretenant avec des représentants des pieds noirs, des association de Harkis, des associations d’anciens combattants ou de défenseurs des prisonniers et fusillés de l’Algérie française. Sur ce tract tiré à 2000 exemplaires on pouvait lire en en tête : “Non à la repentance… Oui à la reconquête !” Décidément l’osmose était totale avec le discours du maire de Béziers.

09:54 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Echirolles (Isère) : des candidats nationalistes sans concession...

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lundi, 16 mars 2015

Assises pour la Liberté d'expression : la seconde partie de la matinée marquée par l'intervention controversée de Maître Nicolas Gardères et la réponse vigoureuse, mais amicale, Christine Tassin...

Roland Hélie évoque l’affaire Méric, un mensonge d’Etat

 Taricq Dali démontre l’autocensure des hommes politiques

Discours controversé, mais sincère, de Nicolas Gardères...

...et réponse vigoureuse de Christine Tasin

La suite des interventions demain matin...

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Le JT de TV Libertés de lundi soir : grand angle sur les Assises de dimanche

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Robert Ménard rend un vibrant hommage au commandant de Saint Marc

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Languedoc info cliquez ici

Ils étaient près de 2 500 ce samedi à avoir fait le déplacement pour assister à l’inauguration de la rue du commandant Denoix de Saint Marc, anciennement rue du 19 mars 1962. Parmi eux, de nombreux pieds-noirs et harkis mais également des anciens combattants coiffés de leur béret rouge de parachutiste ou vert de la Légion Étrangère, les deux armes du commandant de Saint Marc.

C’est sous les applaudissements de la foule que le maire de Béziers accompagné de la famille du commandant de Saint Marc, a été accueilli. Un Robert Ménard particulièrement ému, la voix parfois tremblante et qui rappelle «qu’oser dire, oser laisser penser que […] la guerre d’Algérie s’est terminée le 19 mars, le jour de la signature des accords d’Evian, n’est pas seulement un mensonge, c’est une ignominie, une insulte à la mémoire de tous ceux – pieds-noirs, harkis, jeunes du contingent – qui ont été torturés, qui ont été émasculés, qui ont été tués, qui ont disparus après cette date, après cette capitulation, après cet abandon ».

Après les prises de parole des filles du commandant de Saint Marc, le maire de Béziers a fait un discours particulièrement fort, rejetant les mensonges de « l’histoire trafiquée, réécrite, bafouée » et refusant « cette perpétuelle repentance ». « L’Algérie, disait ma mère, c’est notre paradis à nous » déclare Robert Ménard, d’origine pied-noir, « ce paradis qu’on nous a enlevé, ce paradis qui hante, toujours, plus de cinquante ans plus tard, nos cœurs et nos mémoires. Après nous avoir pris notre pays, certains voudraient maintenant nous priver de nos souvenirs. »

Faisant un parallèle avec la situation actuelle de la France et notamment les récentes attaques terroristes à Paris, Robert Ménard dénonce ceux devant qui la France s’est agenouillée en 1962, « des assassins, des bourreaux qui nourrissent encore aujourd’hui une haine à l’égard de la France, de ses valeurs, de son histoire, de ses combats, de sa civilisation […]. Que s’est-il passé pour qu’aujourd’hui, dans notre pays, on occulte à ce point la réalité de notre histoire ? Tout simplement que, alors qu’on obligeait un million de Français à quitter leur Algérie natale, on ouvrait la France – quasi simultanément – à des millions d’immigrés bien décidés pour certains à ne jamais se sentir, à ne jamais devenir des Français à part entière. Colonisation de peuplement, disait-on de la présence française en Algérie. Il faut parler aujourd’hui, en France, d’immigration de peuplement, d’immigration de remplacement. Un chassé-croisé dont l’histoire a le tragique secret et dont je redoute que nous ne cessions de mesurer les funestes, les dramatiques conséquences. Je voudrais me tromper. Je crains d’avoir raison. »

« Il y a 50 ans, je m’en souviens, vous vous en souvenez, nous tapions sur des casseroles en scandant « Al-gé- rie fran-çaise ». Il faudrait aujourd’hui, avec la même ardeur, avec la même détermination, dire non à cette France métissée qu’on nous promet, qu’on nous annonce, qu’on nous vante. Dire non à cette France multiculturelle qu’on nous impose. Mais dire oui à une France fière d’elle-même, de son histoire, de ses racines judéo-chrétiennes. »

Un discours qui visiblement ne plaisait pas à tout le monde puis qu’au même moment, à une centaine de mètres, élus du parti socialiste, communistes et anarchistes de la CNT, brandissant des drapeaux de l’Algérie, ont tenté de contester l’initiative du maire de Béziers. Un contre-rassemblement qui a davantage démontré les faiblesses et l’impopularité de la gauche à Béziers puisqu’elle n’a rassemblé que près de deux cents manifestants alors que l’appel était soutenu par une centaine d’associations, syndicats et partis politiques.

Quelques photos de la cérémonie :

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Assises pour la Liberté d'expression : les interventions de la première partie de la matinée

Christine Tasin ouvre les Assises

 Discours de Pascal Hilout (apostat de l’islam)

 

 Message de David Miège (dessinateur, journaliste, illustrateur)

 

 Discours de Pierre Renversez

(animateur de Pegida Wallonie et

président de l’association belge Nonali)

Discours de Hugues Bouchu (responsable du Réseau Identités)

 

Un message de Mario Borghezio,

député européen (Ligue du Nord - Italie)

Suite des interventions très prochainement...

14:44 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Compte-rendu des Assises pour la liberté d’expression

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Caroline Alamachère Riposte laïque cliquez ici

Plus de cinq cents personnes avaient répondu présentes à l’appel de nos Assises malgré le lieu excentré et l’heure matinale.

A 10 h 30, Pascal Hilout a ouvert le bal, évoquant l’islam et rappelant que face à l’apartheid islamique la laïcité ne peut être d’aucun secours et que la liberté ne peut se défendre que s’il se trouve des hommes et des femmes prêts à y laisser leur peau.

C’était ensuite au tour de Pierre Renversez du mouvement Nonali de Belgique, nous saluant d’un tonitruant « bonjour la France, bonjour la France résistante ! ».

Non sans une certaine pointe d’humour, il nous a avoué qu’en Belgique il n’y avait aucun problème avec l’islam, que quand on déplore des actes de violence avec des jeunes musulmans il s’agit juste de violences par des jeunes sans préciser leur origine, que même s’il y a 30% de musulmans dans les prisons belges, ceux-ci sont parfaitement intégrés puisque tous les prisonniers de Belgique mangent halal, tous comme les écoliers d’ailleurs, et que le plat national reste bien toujours les frites… accompagnées de kebab. Sur le plan international, la Belgique se porte très bien puisque c’est le pays qui exporte le plus de djihadistes. Tout cela prouve bien, ajoute-t-il devant l’assistance amusée, que l’intégration a été pleinement réussie.

Blague à part, Pierre Renversez a dit refuser que les lois démocratiques soient remplacées par des lois restées figées dans le 7e siècle, mais que les vrais responsables à condamner ne sont pas les musulmans qui, eux, font leur boulot de bons musulmans, mais nos propres responsables qui les font venir, ceux qui nous gouvernent et qu’il va falloir faire comprendre aux collabos qu’ils devront payer un jour pour ce qu’ils font à nos peuples.

Il s’est interrogé enfin sur la capacité d’intégration à nos lois et à nos cultures quand on inculque à un petit garçon musulman, futur adulte, qu’il vaut deux filles, qu’il est supérieur aux non musulmans et que les Occidentales non voilées sont des putains.

René Marchand, prenant sa suite, nous a rappelé que l’islam avec ses textes refuse la liberté de conscience, que ce n’était en rien une religion mais une idéologie totalitariste et guerrière, et qu’un jour le coq gaulois viendrait chanter cocorico en arabe du haut d’un minaret.

Il a désigné les complices des crimes perpétrés sur les victimes de l’islam, c’est-à-dire ceux qui ne font rien, ces lâches tachés du sang des martyrs du Proche-Orient et en Afrique. Tandis qu’il évoquait cela, un double attentat de talibans durant la messe dans le quartier chrétien de Lahore au Pakistan, faisait 14 morts et 70 blessés.

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14:20 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Roger Holeindre invité de Réinfo, le mag du Parti de la France

Le nouveau livre de Roger Holeindre :

DSC_0148.jpgTour à tour soldat, grand reporter, député, écrivain, Roger Holeindre a été un acteur et un commentateur de l'actualité française de ces 70 dernières années. Il présente aujourd'hui son dernier ouvrage, ÇA SUFFIT !, où il se charge de démontrer toutes les impostures politiques, médiatiques et culturelles qui sévissent en France, au nom du politiquement correct imposé par des lobbys aussi puissants que secrets pour assouvir leurs desseins mondialistes.

À 86 ans, le baroudeur de la Résistance, de l'Indo, de l'Algérie, des salles de meetings reprises aux Rouges par la force des poings, ne cherche ni le pardon ni la repentance… Il tape fort, n'épargne personne et surtout pas les soumis de la dédiabolisation… 

Attention, l'écrivain-combattant prend la parole…

ça suffit, Roger Holeindre, Editions Héligoland, 600 pages, 29 €

Commander ce livre cliquez ici

13:58 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Roland Hélie aux Assises pour la Liberté d'expression

Nous publierons dans la journée les différentes interventions à ces Assises.

09:35 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 15 mars 2015

Magnifique succès des Assises pour la Liberté d'expression dimanche à Rungis

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La grande salle de l'Espace Jean Monnet à Rungis était à peine assez vaste pour recevoir ce dimanche les centaines de participants aux Assises pour la Liberté d'expression organisées par Riposte laïque et Résistance républicaine.

Ces Assises se sont déroulées dans une ambiance chaleureuse, rassembleuse et offensive. Elles furent l'occasion de développer un certain nombre de thèmes comme la lutte contre l'Islamisation, la dénonciation de l'impérialisme américain, la nécessaire entente avec la Russie, l'indispensable union des patriotes.

Nous reviendrons dans les jours qui viennent sur cette belle réunion.

23:55 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 14 mars 2015

RAPPEL : dimanche 15 mars, Roland Hélie interviendra lors des Assises pour la Liberté d'expression à Rungis

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Programme de la journée cliquez ici

19:14 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal du Chaos de cette semaine :

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Pour télécharger, cliquez ICI

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DÉPARTEMENTALES : LE PdF PRÉSENT, MAIS EN NOMBRE LIMITÉ

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Le nouveau NH Pierre Picace cliquez ici

Alors que tous les yeux sont tournés vers le score que fera le Front national le 22 mars prochain, le Parti de la France présidé par Carl Lang présente des candidats dans six cantons. Une participation plus que modeste, le Parti de la France ne faisant pas de ces élections départementales une priorité, selon son secrétaire général, Thomas Joly cliquez là.

Dans un entretien accordé à Jeune Nation cliquez ici, Thomas Joly dévoile les raisons qui l’ont poussé à participer au scrutin « J’ai choisi de me présenter dans le canton de Beauvais 2 pour m’opposer à la chienlit socialiste et UMPiste mais aussi à la candidature du militant homosexualiste Sébastien Chenu qui portera les couleurs du Rassemblement Rose Marine. Il représente à lui seul la dégénérescence d’un parti politique… » qui poursuit « Contrairement à ces gens avec qui nous n’avons définitivement plus rien de commun, le Parti de la France se refuse à verser dans l’électoralisme. Nos scores importent peu. L’objectif de notre participation aux élections est de diffuser au plus grand nombre notre projet de défense de nos valeurs de civilisation. »

Voilà qui a le mérite d’être clair.

Le Parti de la France présente les candidats suivants :

  • Thomas Joly et Monique Thierry – Beauvais 2 – Oise
  • Monique Delevallet et Kévin Reche – Calais 2 – Pas-de-Calais
  • Katy Basseux et Dominique Slabolepszy – Marly – Nord
  • Pierre Deplanque et Dolorès Thomas – La Couronne – Charente
  • Dominique Chalard et Jean-Claude Perdreau – Pont-du-Château – Puy-de-Dôme
  • Patricia Goutay et Dominique Morel – Brassac-les-mines – Puy-de-Dôme

Le Parti de la France soutient les candidats suivants :

  • Jean-Christophe Fiaschi et Valeria Vecchio – Draguignan – Var
  • Magali Martinez et Thierry Vermeille – Sorgues – Vaucluse
  • Christophe Chagnon et Marie-France Veyret – Échirolles – Isère

14:44 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

EUROPE : LA LEÇON ISLANDAISE Ils ne veulent pas de cette Europe là

img_2-11778_drapeau_0_carte_islande.pngJean Bonnevey

Métamag cliquez ici

Alors que, pour cause de petite stratégie politicienne pour éviter le naufrage des départementales, les partis systémiques se rattachent à l’Europe, certains européens, eux, ne perdent pas le nord.

L’Islande a annoncé jeudi avoir retiré sa candidature à l’Union européenne, deux ans après l’arrivée au pouvoir d’un gouvernement eurosceptique de centre-droit qui promettait de mettre un terme au processus lancé en 2009. Comme quoi, on peut tenir ses promesses électorales et se passer de l'UE.

Cette décision est l’application simple du programme de la coalition de centre droit arrivée au pouvoir en 2013, qui promettait de mettre fin au processus d’adhésion. « Les intérêts de l’Islande sont mieux servis en dehors de l’Union européenne », a justifié le ministère des Affaires étrangères.

Il avait fallu des circonstances très particulières pour que Reykjavik dépose sa candidature en 2009, le premier gouvernement de gauche de l’histoire du pays, une grave crise financière qui avait ébranlé la confiance des citoyens dans leurs institutions nationales et la chute de la valeur de la couronne, qui avait suscité l’envie d’adopter l’euro…envie vite passée depuis. Plus de six ans après, l'effondrement d'un secteur financier hypertrophié qui avait plongé l'île dans la récession, la principale préoccupation d'une majorité d'Islandais n'est pas l'UE, mais les emprunts contractés durant les années de "boom" économique qu'ils ont du mal à rembourser.

Les sociaux-démocrates islandais n’ont jamais réussi à expliquer à l’opinion comment ils allaient combler le fossé entre Bruxelles et Reykjavik sur les quotas de pêche. Ce sujet épineux n’aura même pas été abordé lors des négociations entre juin 2011 et janvier 2013.

L’Europe déteste les spécificités qui font les nations.

L’adhésion aurait soviétisée la principale ressource du pays. "Le gouvernement n'a pas l'intention d'organiser un reférendum", a précisé le ministère des Affaires étrangères. Et mieux, "si le processus doit être repris à l'avenir, le gouvernement actuel considère important de ne pas progresser sans en référer préalablement à la Nation".

Même si une majorité des électeurs aurait souhaité un reférendum, il semble difficile d'imaginer ce qui pourrait les amener à voter "oui" un jour, alors que le pays bénéficie déjà de nombreux avantages grâce à ses liens avec l'UE, sans souffrir des inconvénients. L'Islande est ainsi membre de l'Association européenne de libre échange (AELE) et applique la convention de Schengen qui permet la libre circulation des personnes. Cela permet au pays d'exporter ses produits de la mer vers le continent sans barrière tarifaire, alors même qu'il est engagé dans une "guerre du maquereau" avec l'UE. Depuis que l'Islande a relevé son quota de pêche en 2010, au motif que le réchauffement climatique aurait fait migrer l'espèce vers le nord, le conflit n'a pas pu être résolu malgré une multitude de réunions. Laisser Bruxelles décider du quota de pêche islandais paraît impensable sur l'île.

L'espace Schengen stimule une autre industrie importante pour le pays, le tourisme, crucial pour les entrées de devises. On peut donc être eurosceptique, européen  et hors de l'Union l’assumer et s’en bien porter. Gageons que Manuel Valls parlera peu de l'Islande avant le premier tour de la municipale.

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CRETINISME

484191219.jpegRichard Millet

Au sujet de Michel Onfray faisant le jeu du Front national parce qu’il préférerait un juste point de vue d’Alain de Benoist aux fausses analyses d’insignifiants sophistes de la gauche caviar (désignation oubliée au profit des Bobos, comme si l’on voulait, en temps de crise économique, faire oublier qu’on est immensément riche), la déclaration de M. Valls me rappelle celle d’un autre premier ministre, également socialiste, J.-M. Ayrault, à mon propos, pendant l’affaire qui porte mon nom : le crétinisme semble devenu la marque du socialisme français, pour peu qu’il ne l’ait pas toujours été, trouvant néanmoins sa perfection dans la fonction de premier ministre.

On ne saurait trop recommander à M. Valls d’abandonner ses coups de menton rhétoriques, qui sont l’apanage des hommes petits, pour lire un livre d’Alain de Benoist, par exemple le récent Traité transatlantique et autres menaces (paru chez Pierre-Guillaume de Roux) : il comprendrait ce qui menace réellement la France. L’hystérie anti Front national ne sert qu’à détourner l’attention des problèmes auxquels nul homme politique n’ose s’attaquer, en particulier du naufrage continu de l’enseignement public, origine de la plupart de nos maux. Elle recoupe aussi le point de vue de la presse de gauche charlifiée, anti-amalgamiste et pro-musulmane, dont les directeurs s’efforcent de trouver chez certains intellectuels l’origine, voire la fabrication des djihadistes, donc les vrais auteurs des attentats parisiens.

Il se trouve que j’ai dîné, la semaine dernière, avec Alain de Benoist, par la grâce d’une jeune amie. J’ai été frappé de l’attention que ce penseur, dont me sépare mon catholicisme et sans doute d’autres choses, porte à autrui : une attention très rare et précieuse pour moi qui ai dû supporter pendant des décennies la chiennerie d’un milieu, le littéraire, où abondent les narcissistes rebelles et persécuteurs. Nous avons surtout parlé de ce qui empêche la France d’être un pays libre, et non du Front national.

Pour en revenir à M. Valls, il faut sans doute voir l’origine de sa bévue dans son goût pour Le Clézio. On ne peut en effet aimer Le Clézio sans en être abêti ni se mettre à parler à tort et à travers. Doit-on penser, comme on le disait pour Harry Potter, qu’il vaut mieux lire ça que rien du tout, au contraire du chef de l’Etat, qui ne lit pas ? Non : ne pas lire Le Clézio est un réel avantage pour la pensée ; ce qui n’implique bien sûr pas qu’on pense : Hollande en est la preuve. C’est que l’œuvre du Clézio participe du crétinisme justement évoqué par Onfray dans sa réponse à M. Valls. Ce lamentin transatlantique, ce grand doudou ultramarin, cette belle tête molle nobélisée n’a pas, lui non plus, perdu l’occasion de se taire, Valls et Le Clézio dansant ensemble le tango de l’identité multiple : le bon immigré parfaitement assimilé (ce qui est vrai pour le Catalan) et le pseudo-Mauricien qui menace de rendre son passeport français si le Front national arrive au pouvoir, voilà qui prêterait à sourire si El Clézio, comme tous ceux qui parlent de s’exiler, ne révélait son mépris de la France jadis profonde et aujourd’hui périphérique et muette, dégradée par le pouvoir socialiste (dans lequel j’inclus la droite).

Nous aimerions, nous aussi, jouir d’un autre passeport et nous exiler dans notre pays d’origine, ou ailleurs. Nous n’avons pas la chance de ces gens dont on pourrait dire qu’ils ruinent la noblesse même d’exil si les voir partir ne dût pas être une chance pour la France, sans doute la dernière. Que Clézio méprise la France des petits Blancs et des pauvres, là n’est pas la question ; ce qu’il a écrit dans La Pravda du  16. I. 2015 est révélateur d’une bêtise non seulement insondable mais surtout blasphématoire, voire criminelle : « Trois assassins, nés et grandis en France, ont horrifié le monde par la barbarie de leur crime. Mais ils ne sont pas des barbares », explique le koala de la pensée mondialiste. Nés et grandis en France : on notera la hardiesse de l’anacoluthe pour désigner des criminels non-barbares qui n’ont eu que de mauvaises fréquentations. J’ignore quelle a été la réaction des proches des victimes de ces pauvres gamins de banlieue que l’horrible pouvoir républicain a rendus criminels.

On ne saurait donc assez recommander à M. Valls de changer de lecture et, outre Alain de Benoist, de lire Michel Onfray ; un homme qui a écrit La Religion du poignard, éloge de Charlotte Corday (Galilée) ne saurait  être tout à fait mauvais.

Source : site de Richard Millet cliquez ici

via Le Journal du Chaos

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vendredi, 13 mars 2015

Ce vendredi soir, sur Méridien zéro

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AMALGAME JUDICIAIRE EN TERRE PICARDE

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Un communiqué de Serge Ayoub :

L’arrestation de 16 personnes lundi dernier en Picardie a été le prétexte, pour un pouvoir lancé dans son incongrue croisade contre « l’extrême-droite », de tenter de salir une nouvelle fois un mouvement, la Troisième Voie, dont la dissolution en juillet 2013 reste, à mes yeux ainsi qu’à ceux des juristes compétents, parfaitement injustifiée.

Le site du journal Le Monde a ainsi pu écrire que les dissolutions de Troisième voie et des Jeunesses Nationalistes Révolutionnaires avaient été, "ordonnées après l'émotion suscitée par la mort du militant d'extrême gauche Clément Méric, le 5 juin 2013, avaient été prises sur décrets au motif que Troisième voie et les JNR constituaient des "milices privées" et "provoquaient à la haine, à la discrimination et à la violence" selon le Conseil d'Etat" cliquez ici.

En tant qu’ancien responsable de ces deux mouvements, il est de mon devoir de rappeler que la carte de presse n’excuse ni la paresse ni la malhonnêteté, et que le Conseil d’État n’a pas retenu dans son jugement du 30 juillet 2014 cliquez là la provocation à la haine, à la discrimination et à la violence :

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Les journalistes auraient également pu rappeler, plutôt que les origines picardes d’Esteban Morillo qui n’a strictement rien à voir avec cette affaire, que ce même Conseil d’État a invalidé la dissolution de l’association Envie de Rêver qui gérait le Local, et le camouflet pour le gouvernement actuel que constitue cette invalidation. Comme le Courrier Picard évoque perfidement une éventuelle fréquentation du Local (ouvert au public) par certaines personnes mises en examen, il aurait pu rappeler que la fermeture de ce Local restera pour toujours un abus de pouvoir caractérisé et une infraction injustifiable, de la part d’un gouvernement de gauche, au principe républicain de liberté d’association.

Par ailleurs, je m’étonne de la « reconstitution de groupe de combat », et me permets de renvoyer à l’interview du procureur d’Amiens, très hésitant lorsqu’on lui demande de justifier ce curieux chef d’inculpation : vidéo cliquez ici

De l’aveu même du procureur, les faits reprochés aux inculpés n’avaient pas pour but de financer « leur activité d’extrême-droite », mais simplement d’en vivre comme n’importe quel délinquant. Le seul élément permettant d’étayer une soi-disant activité n’est donc rien d’autre que le fait d’avoir « une idéologie » et une appartenance passé à un mouvement.

Il est donc permis de soupçonner ici que « le délit de reconstitution de ligue dissoute ou de groupe de combat » ne serve ici qu’à dissimuler un délit d’opinion pur et simple dont l’objectif est d’apporter du grain à moudre au moulin de la croisade contre « l’extrême droite », croisade dont le pouvoir semble avoir fait le moteur de sa fuite en avant électorale.

Pour les patriotes et les authentiques républicains soucieux du droit et de la justice, cet amalgame de mauvais aloi entre de banales affaires de délinquance et un militantisme politique contestataire, est un argument de plus pour l’abrogation de la loi de 1936.

Source Solidarisme cliquez ici

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jeudi, 12 mars 2015

Les Bobards d'Or 2015 de Polémia : c'était mardi dernier

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Vendredi 27 mars : Bernard Lugan aux Ronchons

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16:12 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 14 mars : la Ligue du Midi sera à Béziers aux côtés de Robert Ménard

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RAPPEL Vendredi 13 mars à Beauvais : réunion de soutien à Thomas Joly avec Carl Lang

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Vendredi 13 mars à 19h30 à Beauvais se déroulera une réunion de soutien aux candidats du Parti de la France sur le canton de Beauvais 2, Thomas Joly et Monique Thierry.

Carl Lang, Président du PdF, présentera les orientations politiques de notre mouvement.

Réservation obligatoire au 06.09.96.44.37

ou thomasjoly60@yahoo.fr

09:15 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

Un grand article consacré à notre dernier numéro des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré au Maréchal Mannerheim, sauveur de la Finlande cliquez ici

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N°3178 du 5 mars 2015

VOICI ce que vient de déclarer “Mgr” Batut, “évêque” conciliaire de Blois : « Il y a trois jours, le groupe Daech en Libye décapitait froidement 21 coptes égyptiens. Pourquoi ? Pas parce qu’ils étaient égyptiens, mais parce qu’ils étaient coptes, c’est-à-dire chrétiens, et pour aucune autre raison. » Au cas où on en aurait douté, ceux qui ont vu la vidéo diffusée sur internet pouvaient y lire que ces 21 malheureux étaient mis à mort parce qu’ils faisaient partie, je cite, « du peuple de la croix fidèle à l’Église égyptienne ennemie. »

 

LE HONTEUX COMMUNIQUÉ DE L’ELYSÉE

 

C’est pourquoi personne ne peut être fier du communiqué de l’Élysée condamnant, je cite, « avec la plus grande fermeté l’assassinat sauvage de “21 ressortissants égyptiens”. Non, personne ne peut être fier de ce (honteux) communiqué, parce qu’il ne fait pas honneur à notre pays. D’où vient le fait qu’il paraît impossible à certains de nos dirigeants de reconnaître qu’il y a des pays où les chrétiens sont persécutés ou même assassinés parce qu’ils sont chrétiens, et non parce qu’ils sont égyptiens ou libyens ? Reconnaître cela serait-ce attentatoire à la laïcité ? J’affirme aujourd’hui haut et fort que si — ce qu’à Dieu ne plaise — certaines personnes le pensent, même et surtout si elles ont de hautes responsabilités au sommet de l’État, ce n’est pas à leur honneur, ni à l’honneur de la France. Et la situation du monde est trop grave en ce moment pour que, chrétiens ou non, nous puissions nous résigner à avoir honte de notre pays. » A noter que “Mgr” Batut, considéré comme plutôt conservateur quoique conciliaire, avait été désigné en 2013 pour prendre en charge l’évêché de Metz. Cela ne se concrétisa pas car sa nomination, votée par la « Congrégation des évêques » et acceptée par François, fut bloquée par le ministre de l’intérieur Manuel Valls. Le Concordat qui s’applique à l’Alsace et à la Moselle donne en effet ce pouvoir à l’Etat.

 

JEAN-MARIE LE PEN ET LES FEMEN

 

Dans son « journal de bord » n° 393, Jean-Marie Le Pen commente l’actualité de la semaine écoulée, à sa manière. « Les femen vont se balader avec leurs gros nichons dans les églises, mais jamais dans les mosquées ou les synagogues » Preuve que leur adversaire c’est le catholicisme et non pas les autres religions !

 

MARINE LE PEN S’EN PREND À ROLAND DUMAS

 

Lors d’une conférence devant l’Association des journalistes de la presse parlementaire, Marine Le Pen a déclaré : « Je trouve ses propos (de Roland Dumas) absolument inintéressants. Je trouve que ses propos n’ont aucun sens ». Roland Dumas ne faisait pourtant que répéter au grand public ce que Manuel Valls affirmait en 2011 devant la communauté juive : « Par ma femme, je suis lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël ». Dumas, qui accusait Valls d’être sous « influence juive », voilà qui était insupportable pour la présidente du FN. Se sentirait-elle aussi visée ? Serait-elle aussi sous « influence juive » à cause de son concubin sépharade ? Nous n’osons le croire.

 

MARINE LE PEN S’INSPIRE DE MCDONALD’S

 

Marine Le Pen aime McDonald’s, preuve qu’elle n’est pas gastronome. Elle aime tant McDonald’s qu’elle lui a emprunté sa phrase culte, « Venez comme vous êtes », histoire d’attirer de nouveaux adhérents. Elle s’explique : « J’essaie de faire avancer le parti ». Avec d’aussi puissants arguments, nul doute qu’elle y réussisse. Elle déclare dans un récent reportage du New York Times consacré au Front National : « Un leader doit être avant-gardiste, doit avoir une vision ». Reconnaissons que sa vision de McDonald’s comme modèle politique est d’une grandiose pertinence. Mais elle ne s’arrête pas en si bon chemin. Elle rappelle, histoire de se faire bien voir de la planète gay new-yorkaise, le ralliement de Sébastien Chenu, fondateur de Gaylib, ajoutant, et c’est hautement émouvant : « Pour moi, Sébastien représente l’idée que n’importe qui a sa place au Front National. On ne défend pas des intérêts religieux ou ethniques », a-t-elle confié à nos confrères, avant de conclure sur un argument définitif: « C’est comme McDonald’s : “Venez comme vous êtes !” » N’importe qui a sa place au Front national mais manifestement pas les « catholiques intégristes » qu’elle ne veut pas voir revenir, ni les révisionnistes, ni les nationalistes. En revanche les activistes gays ont eux toute leur place et… toutes les places !

 

“MARINE LE PEN EST IRRÉPROCHABLE”, DIXIT ROGER CUKIERMAN

 

Le président du Crif, Roger Cukierman, a fait cette déclaration quelques heures avant le traditionnel dîner de son association. Il a cependant ajouté que le FN était “infréquentable” Le FN n’était, en effet, pas convié au 30e dîner du Crif, contrairement à toutes les officines de gauche, de droite, et d’ailleurs. Dieu, que Marine Le Pen aurait aimé être présente ! Mais ça viendra, ça viendra… Pas tout de suite. Laissons du temps au temps et les reptations aux reptations. Le FN, estime Cuki, n’est pas fréquentable. La faute évidemment à Jean-Marie Le Pen, qui en reste pour l’instant, en tout cas, le président d’honneur. Et puis, il convient, pour Cuki, de faire la distinction entre le FN et sa dirigeante. « Je crois que nous sommes tous conscients dans le monde juif que, derrière Marine Le Pen, qui est irréprochable personnellement (normal, son concubin, Louis Aliot est d’origine juive), il y a tous les négationnistes, tous les vichystes, tous les pétainistes, et donc, pour nous, le Front national est un parti à éviter ». Mais le dirigeant du Crif enfonce le clou, déclarant ne rien avoir à lui reprocher “personnellement”. Du coup, certains se sont mis à couiner, dont Serge Klarsfeld : « Mme Le Pen n’a pas rompu avec son père. Elle dirige le Front national qui porte le passif des prises de position antisémites du père qui est président d’honneur du Front national » a dit l’ancien avocat. Mon Dieu, qu’ils sont méchants !

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QUELQUES CITATIONS DE SYMPATHISANTS DU CRIF : À MÉDITER

 

« Nous souhaitons le développement des réseaux dans le tissu planétaire, nous appelons au métissage. » (Edgar Nahum, dit Edgar Morin, sociologue, in Terre-Patrie.) « Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, béret, bourrées, binious, bref, franchouillard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux. » (Pierre Bergé, un des 3 propriétaires du groupe Le Monde). « Il faut encourager la diversité, partager les richesses, s’ouvrir aux cultures des autres, favoriser tous les métissages… » (Bernard-Henri Lévy). « [il faut] imposer par quotas la diversité dans les élections municipales, régionales, nationales, européennes et syndicales. » (Jacques Attali). — « Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d’une jeune française issue de l’immigration ce jour-là la France aura franchi un grand pas » (Laurent Fabius). — « Parce que la Turquie est un pays musulman, je souhaite qu’il entre dans l’Union Européenne ». (Pierre Lellouche, député (RPR, puis UMP).

 

LES RELATIONS DIFFICILES DE NICOLAS SARKOZY AVEC SON PÈRE

 

Les relations de Nicolas Sarkozy avec son père, Pal, sont des plus compliquées. Le père semble être particulièrement dur et moqueur avec son fils, si l’on en croit cet ouvrage, Même les politiques ont un père, écrit par la journaliste Emilie Lanez. « Le père a une constante obsession, celle de rabaisser son fils, expliquait-elle sur France 2 à la sortie de son livre. Pal Sarkozy voudrait que Nicolas Sarkozy ne soit pas devenu ce qu’il est devenu, c’est paradoxal. […] C’est une relation très singulière, un amour malade. Je ne pense pas qu’ils se détestent complètement, je pense qu’ils ont beaucoup de mal à s’aimer ». Le père ne manque jamais une occasion de dénigrer son fils, tenant des propos assez odieux. La journaliste raconte : « Tel un éleveur se gaussant du pedigree de son cheptel, [Pal Sarkozy] énumère le prénom de chacun de ses enfants, leur taille et leurs revenus annuels. “Guillaume, 1,90 m et des centaines de milliers d’euros par an. François, 1,87 m et des centaines de milliers d’euros. Olivier, 1,89 m et des millions d’euros. Caroline, elle, est très grande, elle aussi.” […] Une fois de plus, il n’a pas évoqué Nicolas. Il n’a donné ni sa taille, ni le montant de ses émoluments. Tous, sauf Nicolas. » Quand la journaliste lui a fait remarquer son “oubli”, Pal en a profité pour le tacler sur sa taille : « Il est tout petit, il tient de Dadu (la mère). Pour faire de la politique, il faut avoir des complexes, Nicolas en a beaucoup. » Le père indigne s’amuse aussi des déboires sentimentaux de son fils. Emilie Lanez raconte : « Il se régale de raconter que son fils a été trompé, puis quitté par sa femme », se gaussant avec cette vantardise : « Moi, une femme ne m’a jamais quitté ». On comprend mieux cette confidence de Nicolas Sarkozy : « À part d’un père, je n’ai manqué de rien. » Et la mère de l’ancien président ? Le livre ne l’évoque pas, mais voici quelques informations que m’a livré un de mes amis, Rivarolien de surcroît, et totalement fiable. Il paraît que c’est une femme de grande qualité, qui apporta son soutien aux prisonniers de l’OAS. Cet ami a surpris, par le plus grand des hasards, dans un restaurant en province, la conversation entre la mère de Nicolas Sarkozy et un de ses frères, qui demandait à sa mère : « As-tu des nouvelles de l’excité ? » Ambiance familiale…

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QUAND MARTINE AUBRY EST SURNOMMÉE “TULLIUS DETRITUS”

 

Personnage de la bande dessinée Astérix et Obélix, Tullius Detritus fut envoyé par César pour semer la zizanie dans les rangs du village gaulois. François Hollande et Manuel Valls se plaisent, en tout humanisme, à surnommer ainsi Martine Aubry. Il est vrai qu’il est assez difficile de trouver plus enquiquineuse, plus pénible, plus épouvantable que Martine Aubry. Encore que. L’ancien ministre UMP Xavier Bertrand, qui ambitionne de très hautes fonctions au sein de la République a, paraît-il lui aussi, son petit surnom qui est… Tullius Detritus ! Pourvu que ces deux-là ne fassent pas des petits ensemble. On imagine d’avance les terreurs. Les albums d’Astérix sont décidément une mine pour piocher des surnoms. C’est ainsi que Manuel Valls fut surnommé « Pepe Manuel » par l’ancien ministre écologiste Cécile Duflot. Pepe Manuel a, dans la bande dessinée, la particularité d’être capricieux et fier. Mais Valls, lui, est en plus haineux. Il dénonce sans cesse la haine alors que lui-même en est empli. L’homme fait peine à voir. Et dire que c’est ça le Premier ministre de la France !

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mercredi, 11 mars 2015

Ce mercredi soir, Gabriele Adinolfi dédicacera son nouveau livre à la Librairie Contretemps (Paris VIIe)

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 Librairie Contretemps

41, rue Cler 75007 Paris - Métro Ecole Militaire

Sur le livre de Gabriele Adinolfi cliquez ici

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Europe : plus de 230 000 entrées de clandestins en 2014 !

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Yves Darchicourt

Les chiffres publiés par FRONTEX (agence européenne de contrôle des frontières), repris récemment par le Figaro, parlent d'eux-mêmes pour illustrer le "grand remplacement" des peuples d'Europe qui est en train de s'opérer ! Encore s'agit-il là des entrées répertoriées, probablement comptabilisées ad minima, et ne tenant pas compte évidemment ni du nombre de clandestins passés entre les mailles (fort lâches) du filet, ni de l'immigration "légale".

Des clandestins, bien vite rebaptisés migrants ou réfugiés, qui dans leur immense majorité sont des hommes jeunes, en bonne santé et en parfaite condition physique, tout juste un peu stressés et affaiblis après les difficultés du "passage" terrestre ou maritime mais qui récupèrent bien vite après avoir été dorlotés trois ou quatre jours dans les structures sanitaires mises à leur disposition aux frais des contribuables européens dont on n'a pas demandé l'avis et qui sont ponctionnés pour financer un accueil forcé de surnuméraires et budgétivores allogènes.

On notera les chiffres effarants de la pression migratoire clandestine aux frontières européennes en 2014 par rapport à 2013 : +153% de clandestins interpellés (la moitié durant le seul 3e trimestre propice aux eaux calmes en Méditerranée) alors que le nombre des renvois effectifs diminue (-2%), ce qui induit un nombre croissant de clandestins séjournant illégalement en Europe (+21%) et de demandes d'asile (+38%). Et tous ces mâles clandestins, en majorité mahométans, ont pour objectif d'être régularisés, installés, soutenus et de faire venir leurs femmes, leurs familles et de reconstituer en Europe des clans soudés, des tribus fort prolifiques.

Il est bien évidemment politiquement incorrect de parler d'invasion. On dira simplement que c'est l'Italie (îles et sud de la péninsule) qui est en première ligne sur le front maritime suivie par l'Espagne pour les assauts en provenance d'Afrique noire via le Maroc ; l'offensive terrestre s'étendant des Balkans à la Pologne avec récemment des percées en Hongrie. On précisera que tout ce beau monde finit par majoritairement être "accueilli" dans les pays le plus propices à une occupation pérenne dont la France, pays des droidlome, au maillage serré d'associations collaborationnistes et à la législation partisane si favorable aux envahisseurs et si dure aux souchiens-résistants.

Bref, l'Europe risque bientôt de ne plus être qu'une citadelle investie, aux remparts écrêtés, aux tours minées, aux barbacanes détruites, aux fossés comblés, à la population démoralisée, défaitiste, pervertie par l'ennemi, corrompue par les traîtres, hostile même à ceux de ses défenseurs qui osent encore monter aux créneaux. Alors pendant qu'il et encore temps : tocsin, boute-selle et sonne tambour ! Défendons nous !

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«JE ME SENS PLUS Â GAUCHE QUE MANUEL VALLS ! » Un entretien avec Alain de Benoist publié dans Le Point

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Source Le Point cliquez ici

La polémique fait rage entre Onfray et Valls. En jeu, l'intellectuel étiqueté (très) à droite Alain de Benoist. Nous lui avons demandé ce qu'il en pensait. Lauréline Dupont pour Le Point.

Le Point : Ce week-end, Manuel Valls a déclaré : «Quand un philosophe connu, apprécié par beaucoup de Français, Michel Onfray, explique qu'Alain de Benoist - qui était le philosophe de la Nouvelle Droite dans les années 70 et 80, qui d'une certaine manière a façonné la matrice idéologique du Front national, avec le Club de l'horloge, le Grece - [...] vaut mieux que Bernard-Henri Lévy, ça veut dire qu'on perd les repères." Manifestement, le Premier ministre préfère BHL à vous. Comment réagissez-vous à ses déclarations ? 

Alain de Benoist : Avec une certaine surprise, car c'est un propos inattendu. La question que je me pose est la suivante : pourquoi le Premier ministre, qui est en pleine campagne électorale, croit nécessaire, dans sa campagne électorale, de s'en prendre à Michel Onfray ? C'est un peu surréaliste. J'ai l'impression que Michel Onfray, dont Manuel Valls essaye de faire croire qu'il se "droitise" - ce qui à mon avis est tout à fait faux -, est le symbole d'une gauche restée fidèle à ses engagements de gauche. Onfray est un peu la statue du commandeur, il ne cache pas le mépris qu'il a pour la gauche sociale, libérale, réformiste incarnée par Manuel Valls. Il a été plus proche dans le passé du Front de gauche, donc, en s'en prenant à lui, Manuel Valls essaie de se débarrasser de quelqu'un qui le gêne parce qu'il lui donne mauvaise conscience. 

Deuxièmement, Manuel Valls lui reproche de préférer Alain de Benoist à BHL, je note que Michel Onfray n'a jamais dit cela. Il a dit qu'il préférait une idée juste émise par Alain de Benoist plutôt qu'une idée fausse émise par BHL, ce qui ne me paraît pas être une déclaration stupéfiante et révolutionnaire, mais, apparemment, cela pose des problèmes à Manuel Valls.

Troisièmement, voir Manuel Valls me faire cette publicité un peu involontaire est étonnant, car je ne doute pas qu'il ne connaît pas une ligne de ce que j'ai pu écrire dans ma vie. Il recopie les fiches qu'on lui a transmises. Je n'ai jamais fait partie du Club de l'horloge, il m'attribue la paternité de la matrice idéologique du FN, ce qui a dû bien faire rire les gens du Front. Bref, il parle de ce qu'il ne connaît pas. J'ai l'impression qu'il a complètement pété les plombs. C'est un homme ambitieux et nerveux qui fait des coups de menton un peu mussoliniens, mais cette espèce de mauvaise humeur perpétuelle cache plutôt un certain désarroi, une incertitude de soi. Il fait partie d'une classe dirigeante qui constate que tout est en crise, que tout s'effondre et qui a le sentiment que le sol se dérobe sous elle. Ses déclarations apocalyptiques selon lesquelles Marine Le Pen peut arriver au pouvoir en 2017 - ce que je ne crois pas - sont faites pour terroriser l'opinion, on est dans une espèce de climat de "terrorisation", si je peux employer ce terme. 

N'est-ce pas un peu schizophrénique de la part de Valls d'expliquer d'une part que la France va se fracasser contre le FN et d'autre part de stigmatiser ceux qui, à gauche, seraient coupables d'accointances avec une droite qu'il juge trop à droite ? Pointer du doigt Onfray revient à affirmer que la gauche est incapable d'évoluer, de se remettre en question, quelle que soit la menace. 

Je vais vous faire une confidence, je me sens beaucoup plus à gauche que Manuel Valls ! Apparemment, le Premier ministre s'adresse à des gens qui croient que le clivage gauche-droite garde une certaine validité, alors qu'il m'apparaît complètement obsolète, je crois qu'il a été remplacé par un clivage entre les partisans et les adversaires de la globalisation, ceux qui en profitent, ceux qui en souffrent. 

Dans le dernier numéro d'Éléments, vous appelez Michel Onfray à vous rejoindre... 

Pas à nous rejoindre ! Onfray a un souci aigu de son indépendance, je m'en voudrais d'y porter atteinte. Je pense que tous les gens qui se sentent un peu mal dans cette société dominée par les rapports de classes et la logique de l'argent ont tout intérêt à se rencontrer et à bavarder un peu. 

Entre lui et vous, lequel des deux a évolué ? 

Tout le monde évolue et surtout la situation évolue. Je ne dis pas ce que je disais il y a 25 ans, et c'est la même chose pour Michel Onfray. 

À vos yeux, le clivage droite-gauche est obsolète, vous participeriez aujourd'hui à une aventure qui s'appellerait la Nouvelle Droite ? 

La Nouvelle Droite n'a jamais été une autodésignation, ce sont les médias qui, en 1979, ont dit : "Ah, extraordinaire, il y a une nouvelle droite", à l'époque je n'étais pas ravi de cette expression, à la fois parce qu'elle avait un caractère très politique, alors que je ne suis pas un acteur de la vie politique, et aussi parce qu'elle nous enfermait dans une dénomination très réductrice. Au cours de ma vie, j'ai adressé des critiques incessantes à beaucoup de gens de droite, donc je n'ai jamais beaucoup aimé cette étiquette. Mais quand une étiquette a été lancée comme ça, on est obligé de l'assumer. Repartir dans une nouvelle aventure, oui, mais je ne le ferais certainement pas sous cette étiquette-là aujourd'hui.

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Valls ou comment tenter de torpiller ses adversaires en 10 leçons (assez grossières…)

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Gabrielle Cluzel Boulevard Voltaire cliquez ici

Stupeur et tremblement au gouvernement. Il suffit de voir les sondages, ça sent le sapin même quand le ministre des Finances n’est pas dans les parages. Tachycardie et mains moites à tous les étages. Manuel Valls, lui, est carrément en nage. Il faut peut-être desserrer sa cravate, l’allonger, appeler Anne Gravoin, qu’elle vienne lui tapoter la main ? C’est la crise d’anxiété caractérisée. Celle qu’on n’arrive plus à dissimuler.

On en parle à tout le monde : Manuel Valls « angoisse » face à la montée du FN. J’ai un doute : n’est-ce pas au gouvernement d’écouter les angoisses des Français… et non l’inverse ? On a connu bien d’autres pachas de navire en perdition, mais aucun n’est allé toquer aux portes des cabines pour confier ses sourdes inquiétudes, même pas celui du Costa Concordia.

On se raccroche à des réflexes infantiles qui rassurent : disserter sur Alain de Benoîst comme matrice idéologique du FN sent le topo entre étudiants acnéiques dans le local de l’UNEF en 1980. Pour se mettre à son niveau, le philosophe Michel Onfray, sur Twitter, vient de lui répondre par une blague Carambar traînant dans les cours de récré depuis à peu près la même époque : « On ne peut pas être Manuel et intellectuel. » Tout cela tire vraiment ce pays vers le haut.

On se passe un gant de toilette sur le visage et on retrouve la tête froide pour régler quelques dossiers courants. Comme saper l’UMP. Par le système – supervisé par le ministère de l’Intérieur – des « nuances » politiques, aussi scabreuses que celles du cinéma, désignant les candidats aux départementales. Laurent Wauquiez tempête, et on le comprend : si, dans un canton, il y a une alliance de l’UMP avec un autre parti de droite, le binôme sera plutôt étiqueté « divers droites ». Si au contraire, le PS s’unit à un autre parti de gauche, le tandem sera homologué « PS ». Bref, sur 2.054 cantons, on trouve 428 binômes UMP contre 997 PS, 1.173 estampillés « union de la droite » contre 587 « union de la gauche ». Pas mal. Le soir des élections, ce sera du meilleur effet visuel sur les camemberts à la télé.

Sauf qu’évidemment, on a oublié l’essentiel. Par le cordon sanitaire que l’on a soi-même tendu autour du FN, on lui a interdit, bêtement, toute alliance… Ne restent que des monômes, insubmersibles dans le marécage du « divers droites ».

Alors les nerfs lâchent. On tape rageusement, poings serrés, sans réfléchir : Manuel Valls, bon sang, n’a pas assez lu Marie Higgins Clark. La moindre des choses, quand on projette d’assassiner quelqu’un, est d’éviter de le menacer en public juste avant. Il se vante de vouloir « stigmatiser Marine Le Pen » et, d’un coup, Martin Schulz, à quelques jours des départementales, découvre 20 assistants parlementaires FN « fortement suspectés de ne jamais travailler sur le front européen » (Le Monde). Et le président du Parlement européen d’« avertir de son initiative » Christiane Taubira, et de lui « révéler des faits qui pourraient inciter le parquet national financier à se saisir du dossier », car « Les pratiques décrites pourraient être assimilées à du financement illicite de parti politique. »  

Je ne connais pas ces 20 assistants et n’ai donc pas la moindre idée de la façon dont ils meublent leur journée au bureau, s’ils s’occupent de l’Europe, du FN, ou de leurs courses sur auchan.fr quand leur frigo est vide. Mais je connais un gouvernement fortement suspecté de ne jamais travailler sur le front français, préférant se concentrer sur sa propre cuisine électorale. Et cela pourrait être assimilé aussi à du financement illicite de parti politique…

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Une heureuse initiative de TV Libertés : le lancement prochain d'une émission consacrée à l'artisanat animée par deux spécialistes, Pierre Chabot et Patrick Rizzi

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mardi, 10 mars 2015

Tentative de refus du matériel de propagande de Thomas Joly, candidat nationaliste à Beauvais

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Un message de Thomas Joly :

Lors de la Commission de propagande chargée de valider les documents électoraux pour le canton de Beauvais 2, le représentant de la Préfecture a fait du zèle et tenté de faire refuser la circulaire du Parti de la France parce qu'elle comportait (en écriture pourtant minuscule) la mention "Préfecture de l'Oise".

Alors même qu'il n'existe aucune jurisprudence électorale ou de textes légaux justifiant un tel refus, qu'une telle mention n'entrave en rien la sincérité du scrutin, que tous les documents électoraux du Parti de la France comportent cette mention depuis sa création, la Commission a pris contact avec le Ministère de l'Intérieur et a scanné mes documents, espérant pouvoir trouver des motifs pour les retoquer.

Finalement, la mort dans l'âme, ils n'ont pu contourner le droit électoral et ont validé mes documents. Un tel acharnement démontre bien qu'on dérange...

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