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mardi, 14 avril 2015

Jean-Marie Le Pen face à la meute

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Jacques Martinez Boulevard Voltaire cliquez ici

Les Français sont divisés en deux communautés : celle des « bien-pensants » assiégés par celle de leurs opposants. Mme Marine Le Pen vient de passer des assiégeants aux assiégés, laissant son père du « mauvais » côté du mur…

La présidente du Front national était dans le camp des « mal-pensants » jusqu’au lendemain du poisson d’avril, le 2 avril, jour où Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV-RMC, voulant faire un coup – ce qui n’est un détail pour aucun organe de presse -, est revenu sur des déclarations en 1987 sur RTL (dont Jean-Jacques Bourdin était l’un des journalistes à l’époque), déclarations de celui qui était alors président du FN. Et selon la signification attribuée au mot réitéré – « partie d’un tout » ou « insignifiance », comme l’a si bien analysé Marc Tortarolo (« Et si on apprenait à parler français avant de se pincer le nez ? », Boulevard Voltaire du 8 avril 2015) -, c’est de nouveau la ruée ou plutôt l’hallali pour « enfin tuer la bête immonde » !

La fille ne voulant pas être une victime collatérale de la chasse à courre lancée contre son père s’est faufilée dans la meute, fermement tirée par la main par son plus proche conseiller. Cela en adoptant les arguments de cette meute pour s’y fondre au mieux. Meute emmenée de main de maître par les bien-pensants, tout naturellement de gauche – même ceux qui, opposés aux grandes chasses, ne vénèrent pas saint Hubert – et aux traces desquels colle tout ce qui est centre et quasiment toute la droite.

Le vieux sanglier a-t-il voulu cette sortie ? L’a-t-il préparée ? A-t-il prévu la souille où il s’allongera en attendant la meute ? Ou a-t-il plutôt anticipé un repli vers une bauge au plus profond de la forêt ? Là où plus aucun de ses poursuivants, même pas l’un de ses marcassins, ne pourra le rejoindre ? Sinon, peut-être, un marcassin de la troisième génération qui semble mieux le comprendre et qui, dans quelques années, supplantera le marcassin de la deuxième génération, celui qui vient d’intégrer la meute bien-pensante ?

Le vieux sanglier voit sa compagnie – dénomination d’une famille de sangliers – se disloquer… Est-il encore en âge d’en former une autre ? C’est possible, d’autant qu’à sa hure sont encore accrochées des défenses très acérées, longuement aiguisées au fil de décennies d’un combat politique souvent tumultueux. Et comme ne cessent de le répéter les commentateurs, « son pouvoir de nuisance est intact » car, tout le monde le sait, à droite n’existe qu’un « pouvoir de nuisance », jamais, au grand jamais, de « pouvoir de bienfaisance »… La « bienfaisance » est réservée à ceux de la meute.

Pourtant, si l’ensemble de l’électorat s’est, au fil des années, « droitisé » au détriment surtout de l’extrême gauche mais aussi du PS et de ses alliés dont les écolos, « droitisé » bien évidemment au bénéfice de l’UMP/UDI, n’est-ce pas parce que le FN a tiré et a attiré ces électeurs vers la droite ? Et le vieux sanglier n’y est-il pas pour une part, même petite ? Grâce, entre autres, à son « pouvoir de nuisance » ?

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Réaction de Renaud Camus après sa condamnation en appel

0b0a57389a7e9f784d1e5cb8a814f086.jpegUn communiqué du

Parti de l'in-nocence :

Le parti de l’In-nocence prend acte avec tristesse et indignation, mais sans surprise, de la condamnation en appel, sur requête du Mrap, de son président Renaud Camus pour le discours qu’il a prononcé le 18 décembre 2010 aux Assises sur l’islamisation, “La nocence, instrument du Grand Remplacement”.

Le parti de l’l’In-nocence, à l’heure de ce communiqué, ne connaît pas encore les attendus de l’arrêt mais il y attache la plus grande importance. De deux choses l’une, en effet :

— ou bien Renaud Camus est condamné pour avoir parlé de la colonisation démographique dont la France et l'Europe font l’objet, de la conquête en cours, du Grand Remplacement et du rôle que joue la délinquance dans la prise de contrôle du territoire par ses nouveaux maîtres ; et, comme c’est exactement ce qu’il a fait, sa condamnation prouve simplement que l’énoncé de ces tragiques vérités est désormais criminalisé, ce qui n’est pas très étonnant.

— ou bien Renaud Camus est condamné, comme la première fois, pour avoir mis en cause l’honnêteté de tous les musulmans, pour les avoir traités de “voyous”, pour avoir dit qu’ils étaient les soldats de la conquête et pour avoir incité à la violence à leur égard, non pas expressément, sans doute, mais au seul motif qu’il ne proposerait rien politiquement, alors que ce communiqué-ci est le mille huit cent dix-huitième du parti qu’il préside, que le programme de ce parti constitue un programme de six cents pages (où non seulement ne se trouve pas, non plus qu’en les communiqués, la moindre incitation à la violence mais où elle est constamment répudiée et condamnée), sans compter qu’il prenait la parole, le 18 décembre 2010, en tant que candidat à la candidature pour la présidence de la République, une initiative éminemment politique ; et, en ce cas-là, si ces motifs-là sont de nouveau retenus, bien qu’ils soient totalement contraires à la plus évidente vérité et qu’ils prêtent arbitrairement à Renaud Camus et à son parti les sentiments, les convictions et les intentions les plus éloignés de ceux qui sont vraiment les leurs, alors cette condamnation montre que plus aucun citoyen n’est à l’abri de l’arbitraire remplaciste des juges.

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lundi, 13 avril 2015

Jean-Marie Le Pen siffle la fin de la récré...

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Un communiqué de Jean-Marie Le Pen :

Je dois d’abord dire que je suis navré de voir que l’espace public de liberté, tant d’opinion que d’expression, ne cesse de se réduire dans notre pays et même dans nos rangs.

Et pourtant, nous avons longtemps professé, à l’instar de Saint-Jean, que « c’est la Vérité qui nous rendra libre » et j’ai toujours dit que je préférais être battu sur mes idées qu’élu sur celles de mes adversaires.

Je n’ai pas changé !

Je ne ferai rien qui puisse compromettre la fragile espérance de survie de la France que représente le Front National avec ses forces et ses faiblesses.

Elu par le Congrès de Tours Président d’Honneur du Front National, après l’avoir fondé et conduit dans une constante adversité pendant une quarantaine d’années, je pensais être une bonne « locomotive » pour conduite la liste aux élections régionales en Provence-Alpes-Côte d’Azur.

En effet, j’y avais obtenu plus de 33% des voix et fait élire cinq députés aux dernières élections européennes et avais l’appui de la grande majorité des conseillers régionaux dont je suis le Président de groupe.

Une crise grave a été ouverte au Front National, au prétexte de deux interviews, l’une à RMC-BFMTV et l’autre à l’hebdomadaire Rivarol.

Ceci ne justifiait pas le hourvari qu’on a déclenché dans nos rangs au risque d’affaiblir dangereusement notre mouvement.

Je ne serai pas complice de cette manœuvre.

C’est pourquoi, j’ai décidé de ne pas être candidat aux élections régionales.

Je remercie chaleureusement tous ceux, personnalités, élus, responsables, militants, qui m’ont apporté leur soutien dans cette épreuve, et tout particulièrement mon ami, le député Bruno Gollnisch.

Je leur demande, dans l’intérêt supérieur de la France, de soutenir la candidature de Marion Maréchal-Le Pen, député du Vaucluse.

Tant que Dieu me prêtera vie, je resterai à ma place au poste de combat.

Saint-Cloud, le 13 avril 2015

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Réinfo, le mag télévisé du Parti de la France de cette semaine

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Le trotskisme dégénéré débusqué par Patrick Gofman

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En vente en ligne cliquez là

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Jeudi 16 avril, à 20 h, Patrick Gofman est invité par le cercle Dextra de Versailles pour donner une conférence sur "le trotskisme dégénéré" (3, rue de la Pourvoirie - près de la Gare Versailles Rive Droite).

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Samedi 25 avril : colloque de l'Institut ILIADE à Paris

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dimanche, 12 avril 2015

Dans Valeurs actuelles de cette semaine, un entretien Bruno de Cessole / Jean Raspail

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Valeurs actuelles cliquez ici

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Carl Lang sur BFM TV (jeudi 9 avril)

22:50 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Marie Le Pen sur Radio Courtoisie (mercredi 8 avril)

22:47 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 11 avril 2015

Un numéro hors-série de Présent consacré à l'islam :

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Présent cliquez ici

21:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tous le dimanche 26 avril à Lille à la 3e Journée régionale de Synthèse nationale

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Bretons contre la drogue : samedi 25 avril à Vannes

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12:11 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Gabriele Adinolfi dédicacera ses deux derniers livres ce samedi 11 avril à la Librairie Facta

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Librairie Facta cliquez ici

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Pour l'amitié franco-italienne et le soutien à la Casapound

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11:55 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La mairie de Béziers dénonce la fermeture injustifiée des Galleries Lafayette

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Robert Ménard, maire de Béziers, a entrepris une campagne d'affichage dans sa ville pour dénoncer l'attitude de Ginette Moulin, propriétaire des Galeries Lafayette, dont le magasin va fermer dans la cité bitteroise. « Cette femme possède deux milliards d'euros mais elle en veut encore plus! », « 2015: elle ferme son magasin de Béziers... 2016: elle en ouvre un au Qatar », « Galeries Lafayette : Le fric vite plus fort », sont écrits sur les 130 affiches placardées partout en ville, autour d'un portrait peu flatteur de Ginette Moulin.

Les magasins de Thiais - 127 salariés et 80 démonstrateurs (personnels employés par des marques) - et Béziers - 50 salariés et 30 à 40 démonstrateurs - sont condamnés à fermer à la fin 2015. Celui de Lille - 151 salariés et environ 70 démonstrateurs, selon la CGT - est en suspens.

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Journal du chaos

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Affaire Le Pen contre Le Pen : Rivarol s'explique

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La Gauche et ses couards !

P1020933.JPGLa chronique de Philippe Randa

Cette fois, il va être difficile à la Gauche de dénoncer la droite dite extrême après le suicide de Jean Germain, sénateur  socialiste et ex-Maire de Tours… Les accusations ne proviennent pas comme pour Roger Salengro en 1936 d’une campagne de presse – celle de L’Action française, relayée ensuite par Candide – qui cloua au pilori ce ministre du Front populaire pour avoir été un déserteur durant la Grande Guerre.

C’est en effet la Justice de la République qui comptait réclamer sous peu des comptes à Jean Germain pour « complicité dans l’organisation de simulacres de mariage »…

Politiciens et journalistes se contentent de jouer sur le registre de l’émotionnel pour les premiers, de la défense du droit à l’information pour les seconds, alors qu’une évidence interpelle plus probablement le citoyen-électeur, celui qui se réfugie dans l’abstention tout autant que celui qui se détourne désormais de l’UMPS : qui peut croire qu’un innocent se suicide – quelle que soit l’accusation – alors qu’il allait avoir la possibilité de se défendre pour obtenir (peut-être) de la Justice qu’elle lave son honneur ?

Jean Germain, par peur d’affronter la Justice, laissera donc le souvenir d’un élu corrompu dans le souvenir de ses contemporains d’abord ; dans la petite histoire de la République ensuite.

Et supportera désormais pour toujours la même tunique de Nessus de couardise que Roger Salengro.

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Dimanche 10 mai : défilé de Civitas pour Jeanne d'Arc

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02:09 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 10 avril 2015

Ce vendredi soir, sur Méridien zéro

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12:58 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 9 mai, à Paris :

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert Spieler - Rivarol n°3182 - 2 avril 2015

 

LA “SAGA DES RÉPARATIONS”

 

Les lecteurs du récent numéro de RIVAROL ont lu l’interview d’Anne Kling concernant son dernier (et remarquable) livre, « Shoah (indispensable de le lire !) : La saga des réparations ». Il s’agit des réparations que les organisations juives n’ont cessé d’exiger de toutes les nations européennes, complices, comme on le sait, de la shoah. On se rappelle notamment du racket dont la SNCF fut récemment l’objet : elle était coupable d’avoir transporté des déportés dans ses trains, et dut lourdement cracher au bassinet, faute de quoi les organisations juives l’empêcheraient de décrocher tout contrat aux Etats-Unis. Les réparations ainsi obtenues, multipliées, démultipliées, surmultipliées à l’infini ont fini par donner des idées à certains. Plus de huit cents cheminots de nationalité ou d’origine marocaine demandent “réparation” à la Société nationale des chemins de fer (SNCF) pour discrimination durant leur carrière. L’affaire est jugée depuis le lundi 23 mars aux prud’hommes de Paris. La plupart des plaignants ont été recrutés au Maroc au début des années 1970 par la SNCF. Embauchés comme contractuels, avec un contrat de droit privé, ils ne relèvent pas du statut particulier des cheminots. Qu’à cela ne tienne. Le statut de cheminot était réservé aux détenteurs de la nationalité française (aujourd’hui ouvert aux ressortissants européens), pourquoi les ressortissants marocains, européens de souche comme on le sait, n’en bénéficieraient-ils pas ?

 

HITLER TOUJOURS VIVANT ?

 

Le site du quotidien Le Monde nous fait connaître une grandiose nouvelle. Des archéologues argentins affirment avoir découvert un repaire nazi dans la jungle. On savait que Hitler ne serait pas mort, mais qu’à la fin de la guerre, il se serait réfugié au lac Titicaca et qu’il préparerait son retour, style Bonaparte, retour de l’île d’Elbe, Waterloo en moins. Mais voici que des archéologues argentins pensent avoir découvert un repaire nazi secret dans la forêt du nord du pays, à la frontière du Paraguay. Il s’agit de trois structures de pierres maçonnées, à demi effondrées et rongées par la végétation. Ils y ont trouvé des pièces de monnaie allemandes des années 1940, de la porcelaine et des inscriptions nazies. Tout ceci dans un lieu éloigné de toute civilisation et tout à fait inaccessible à l’époque. Un lieu qui est de surcroît situé à dix kilomètres du Paraguay, dont on a connu l’appétence pour le nazisme. Les archéologues, complotistes en diable, expliquent : « Apparemment, au milieu de la Seconde Guerre mondiale, les nazis ont développé un projet secret : construire des abris pour des dignitaires du régime en cas de défaite, sur des sites inaccessibles : au milieu du désert, dans les montagnes, sur une falaise ou au milieu de la jungle, comme ici ». Mais, explique le site du Monde, cette cache n’aurait finalement pas été utilisée, puisque nombre de dirigeants nazis seront ouvertement accueillis en Argentine après la chute du régime, et autorisés à y vivre sans se cacher. Et de citer Klaus Barbie (chef de la Gestapo à Lyon), Walter Kustchmann (un des chefs de la Gestapo en Pologne), Ante Pavelic (chef du régime oustachi en Croatie) ou encore Eduard Roschmann (« le Boucher de Riga »). Quant au docteur Mengele, il séjourna longuement et paisiblement en Argentine sous sa véritable identité avant de se réfugier au Paraguay en 1960, après l’enlèvement d’Adolf Eichmann par un commando israélien dans la banlieue de Buenos Aires. Au fait, sans doute avez-vous déjà vu, en France et surtout en Allemagne, des panneaux “Mengele” surmontant des concessions de machines agricoles. Il s’agit en fait d’une société appartenant à la famille de Mengele qui lui apporta son discret soutien financier, jusqu’au bout, dans son périple.

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VOTEZ FN, VOUS SEREZ PAYÉ !

 

Un site, lancé récemment, propose de rémunérer les électeurs qui peuvent apporter la preuve qu’ils ont voté FN au premier tour des élections départementales. En échange d’une photo prise dans l’isoloir et montrant leur bulletin de vote pour le parti de Marine Le Pen, il leur est en effet promis la somme de 5 euros créditée sur leur compte PayPal. Les fonds proviendraient d’un groupement d’investisseurs privés. Il s’agit évidemment d’un canular que n’apprécie absolument pas Marine Le Pen qui envisage de porter plainte. Le Belge de 24 ans (méfions-nous des Belges, on ne le dira jamais assez) à l’origine de ce site a expliqué que son initiative n’avait aucun lien avec le FN et que son objectif était d’“emmerder” le parti d’extrême droite.

 

DES CANDIDATS “RACISTES ET FASCISTES” À CALAIS

 

Le Parti de la France de Carl Lang présentait des candidats dans le canton de Calais 2, ce qui, a priori, est son droit. Ils ont obtenu le score tout à fait honorable de 3,3 %. Le candidat du Front National, Rudy Vercucque, présent au second tour face aux socialistes, a cru intelligent de déplorer dans la presse locale le score « trop élevé » du Parti de la France et de « ses candidats racistes et fascistes ». Par conséquent, le Parti de la France n’a donné aucune consigne de vote pour le second tour.

 

MANUEL VALLS, UN “MUSSOLINI MOITIÉ TRISOMIQUE” ?

 

Dieudonné était poursuivi en justice pour injure à l’encontre du Premier ministre Manuel Valls, qu’il avait qualifié de « Mussolini moitié trisomique ». Le tribunal correctionnel de Paris vient de le relaxer, considérant que les propos « s’inscrivent dans le cadre d’une polémique politique ». Dieudo avait, dans une vidéo, qualifié celui qui était alors ministre de l’Intérieur de “brêle”, et de « petit soldat israélien veule et docile ». Une fois n’est pas coutume, félicitons les juges qui ont ajouté : « Que l’on apprécie ou non le ton de l’auteur, son propos est l’expression d’une opinion politique, visant un personnage public, dont les choix amènent tant à solliciter les suffrages qu’à se soumettre à la critique ». Las, une hirondelle ne fait pas le printemps et l’on ne saurait d’une manière générale « faire confiance à la justice de notre pays ».

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.

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LE PEN A DIT LA VERITE, IL DOIT ETRE EXECUTE !

SAM_0153.JPGPieter Kerstens

Parce que le président-fondateur du Front National répète inlassablement des détails irréfutables  et avérés de l’Histoire, mais à l’encontre de la Pensée Unique et du Politiquement Correct, outre ses analyses critiques et dérangeantes.

Car les crimes contre l’Humanité et les génocides ne sont pas des cas particuliers ni un monopole du IIIème Reich. Bien avant, à la fin du XIXe siècle, les anglais ont initié des camps de concentration en Afrique du Sud pour y emprisonner les femmes, les enfants et les parents des Boers, afin de contraindre ceux-ci à se rendre et à déposer les armes.

Le 24 avril 1915 les Turcs avaient déclenché le génocide des arméniens, aussi horrible que la découverte 30 ans plus tard des camps de la mort en Allemagne. Après la seconde guerre mondiale les démocrasseux ont constitué l’ONU pour en finir avec les massacres sur la planète. Peine perdue.

En 1975, le 17 avril (coïncidence : le même jour où le sort de Jean-Marie Le Pen sera évoqué au Bureau Politique du FN), les Khmers Rouges défilaient à Phnom-Penh, ayant chassé le maréchal Lon Nol, dans un concert de louanges et encensés par les socialo-écolo-marxistes européens. Bilan ? L’extermination de 25% de la population du Kampuchéa Démocratique ! Silence dans les rangs….

Plus près de nous, en avril 1994, le génocide rwandais a conduit le pays des mille collines dans un bain de sang imaginé, planifié et organisé par un machiavel  africain toujours au pouvoir et protégé par les anglo-américains.

Ceci en ce qui concerne certains « détails » de l’Histoire qui dérangent encore les laquais du Nouvel Ordre Mondial, détails parmi tant d’autres au XXème siècle, comme les dizaines de millions de zeks disparus dans le Goulag d’U.R.S.S. ou les dizaines de millions de victimes des laogaïs chinois depuis 1950. R.I.P.

On peut tout de même s’interroger quant à cet acharnement contre Jean-Marie Le Pen, lorsqu’il exprime son point de vue au micro de RMC et lors une interview dans « Rivarol », en répondant aux questions posées. Il y a quelques semaines tout l’Hexagone avait défilé contre le terrorisme et pour défendre la liberté d’expression, sous le slogan « Je suis Charlie » ! Une liberté d’expression à géométrie variable ? Va-t-on bientôt devoir passer un examen pour avoir le droit de penser ? De s’exprimer ? De se réunir ? D’écrire en toute liberté ? Au nom de la Pensée Unique ?

Nous sommes nombreux à avoir subi les foudres de la Justice et les ciseaux d’Anastasie, parce que nous savions pertinemment que l’Histoire est écrite par les vainqueurs et que les libertés sont jugulées par ceux qui gouvernent.

Non seulement les hyènes de la secte politico-médiatique harcèlent leur proie, mais on entend aussi les petits roquets prétendus « patriotes » réclamer la tête du trublion. C’est mal connaître J-M Le Pen. Jamais il ne fera repentance ni un mea-culpa ou encore son autocritique. On ne le verra pas la corde au cou supplier le pardon des offenses devant les micros ou les caméras. La meute l’entoure, mais il fait face : debout !

Aujourd’hui : « JE SUIS JEAN-MARIE » !

02:12 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 09 avril 2015

Ma seule boussole est celle de la persévérance dans notre combat politique

bruno-gollnisch-discours-villepreux-1024x682.jpgUn communiqué de

Bruno Gollnisch :

Attaché comme je l’ai toujours prouvé à l’unité de notre mouvement, je ne souhaite pas participer à des polémiques sur des sujets qui sèment la division, dont la plupart des commentateurs n’ont au mieux qu’une connaissance livresque, et dont la discussion est de surcroît judiciairement interdite par l’effet pervers de législations liberticides.

L’actualité politique, économique, sociale ou « sociétale» fournit un nombre plus important de sujets en phase avec les préoccupations de nos compatriotes, et en lien avec le mandat parlementaire que j’exerce.

Le respect de la discipline de notre mouvement, la légitime et fructueuse direction de sa présidente, l’accueil de personnalités de qualité venant d’autres horizons doctrinaux me paraissent pouvoir être compatibles avec la liberté d’expression de Jean-Marie Le Pen, à qui nous devons l’existence même du Front National et sa progression au milieu de tant d’épreuves passées.

Il n’y a aucune raison de sacrifier quelque composante de notre mouvement que ce soit en raison d’une diabolisation artificiellement entretenue, ni de maintenir un climat de tension que chercheraient à nous imposer nos adversaires, responsables du terrifiant déclin de notre pays.

Ma seule boussole est celle de la persévérance dans notre combat politique, avec tous les patriotes sincères, qui, dans leurs différences, voire leurs oppositions passées, sont les bienvenus sur ce qui nous unit : la défense de la France et des Français d’abord.

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Un entretien avec Bruno Mégret publié dans Le Point

Bruno Mégret.jpgSource Le Point.fr

Lors du premier contact téléphonique, Bruno Mégret hésite. Pourquoi commenterait-il la vie politique puisqu'il s'en est retiré depuis déjà sept ans ? Il demande 24 heures pour apporter une réponse définitive, mais ne peut s'empêcher de commencer à analyser la progression du FN avant de raccrocher. Rendez-vous est finalement donné dans un café du 7e arrondissement où le retraité a ses habitudes. Il arrive avec une minute de retard, habillé de son traditionnel costume-cravate. L'ancien bras droit de Jean-Marie Le Pen est détendu. Il rit souvent et prend son temps pour répondre à nos questions...

Comment analysez-vous la progression électorale du Front national depuis que Marine Le Pen a pris les commandes ?

Marine Le Pen a mis en œuvre une partie de la stratégie qui était la mienne. Elle a mené une action efficace de dédiabolisation comme celle que je souhaitais conduire et qui m'avait amené à entrer en conflit avec son père, conflit qui a provoqué la scission entre les partisans de Jean-Marie Le Pen et les miens en 1999. À l’époque, je voulais déjà en finir avec les dérapages et les références sulfureuses qui empêchaient le FN de progresser.

Elle a aussi, comme je l’avais fait, engagé une stratégie d'enracinement territorial pour disposer partout en France d'élus et de structures qui puissent relayer l’action et le discours. Enfin, elle affiche l’objectif clair d’arriver au pouvoir. La politique en effet n'est pas faite pour témoigner. Elle n’a de sens que dans l’exercice du pouvoir pour servir un idéal au bénéfice de nos compatriotes et de notre nation.

De ce point de vue, les résultats de Marine Le Pen sont au rendez-vous.

Pourquoi Marine Le Pen a-t-elle réussi à mettre cette stratégie en place alors que vous avez échoué ?

Elle a pu le faire parce qu’elle est la fille de son père. Le Pen a toléré de sa part ce qu'il refusait obstinément lorsque cela venait de moi.

Elle s’appuie aujourd’hui sur les anciens cadres du MNR comme Nicolas Bay, ou Steeve Briois. Vous ne considérez pas ça comme une trahison de leur part ?

Maintenant que je suis en retrait de la politique, je ne vais pas reprocher à d'autres de continuer là où ils pensent pouvoir être utiles.

Que manque-t-il au FN pour arriver au pouvoir ?

Ce qui crée la dynamique électorale du Front aujourd'hui, c'est la dédiabolisation assortie paradoxalement d’une très forte image anti-système héritée de son passé, mais c’est aussi et surtout l'aggravation du sort des Français et le rejet de la classe politique. De ces quatre facteurs, seule la dédiabolisation résulte d’une action volontariste du parti. Pour arriver au pouvoir, tout reste donc à faire. Le défi principal que le FN doit relever est celui de la crédibilité. Car les électeurs qui votent FN le font par exaspération et par colère et non par adhésion à son programme. Celui-ci, notamment sur la question économique, manque en effet de réalisme. Il est absurde de vouloir se mettre à la remorque de la gauche sur les retraites, sur les 35 heures et sur toute une série de dispositions dont on mesure aujourd'hui combien elles sont pénalisantes pour l'économie française.

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Ce jeudi soir, vous pourrez suivre en direct la conférence parisienne de Gabriele Adinolfi sur votre ordinateur...

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Jeudi 9 avril à 19 h 30, Gabriele Adinolfi présentera son nouveau livre «L’Europe» cliquez là en avant première au Crabe Tambour à Paris.

Pour ceux qui ne sont pas franciliens, il est possible de suivre la conférence en streaming où que vous soyez. De votre ordinateur ou de votre i-phone vous pouvez vous connecter et également poser des questions en direct en msg. Il suffit de linker jeudi 9 (pas avant 19 h 30) sur cliquez ici et de vous inscrire, vous serez connecté immédiatement.

Jeudi 16 avril, François Foucart aux Ronchons

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mercredi, 08 avril 2015

Pour information :

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DEUX FOIS PLUS DE MOSQUEES ?

Guy Rouvrais Présent cliquez ici

Samedi, le recteur de la mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, à la tribune du Congrès de l’UOIF (Union des organisations islamiques de France), a déclaré que, pour les « sept millions de musulmans » de France, les 2 200 mosquées actuelles « ne suffisent pas, il en faut le double d’ici à deux ans ». Ainsi notre pays chrétien risque de voir fleurir un peu partout sur son territoire mosquées et minarets, ce que Charles Martel avait empêché !

Jusqu’ici, le nombre de fidèles de l’islam dans l’Hexagone était officiellement évalué à cinq millions. On a donc soupçonné le recteur d’en gonfler les effectifs pour justifier sa requête. Ce n’est pas sûr ! Il est peut-être mieux informé que les services officiels sur la réalité du développement de l’islam, notamment du flux des conversions. Dans un récent ouvrage, Les Converties (éd. du Seuil), l’imam d’Aubervilliers, à propos du nombre de ces conversions, dit ceci : « Les autorités ont les moyens de savoir les vrais chiffres, mais elles ont peur de le savoir ! »

Qui va donc régler la facture de ces mosquées ? Dalil Boubakeur ne le précise pas, mais d’autres disent que l’on fera appel à la générosité des fidèles. Que n’ont-ils brisé leur tirelire plus tôt, au lieu d’émarger depuis des décennies au budget du Qatar ou de l’Arabie saoudite ! L’obstacle à l’édification de ces lieux de culte, si l’on en croit le recteur, est autant administratif que financier, les maires étant réticents à délivrer des permis de construire. La pression des musulmans est donc sur eux. S’il y en a sept millions, c’est près de 10 % de la population française, une bonne partie sont aussi électeurs. Ce qui n’a échappé ni aux imams, ni aux maires. Le 27 janvier 2015, sur I-Télé, le député PS de Seine-Saint-Denis, Razzy Hammadi, a avoué que « certains élus locaux ont négocié les mosquées contre des voix ». Le gouvernement a fermé les yeux sur ces pratiques, et il continuera.

D’abord, parce que le chef du gouvernement est favorable au financement des mosquées par la puissance publique. Dans son livre Les Habits neufs de la gauche, Manuel Valls affirmait en 2006 : « Je souhaite une évolution de la loi de séparation de 1905, pour qu’un peu d’argent public aille à la construction de mosquées. » Aujourd’hui, il ne peut plus le formuler aussi crûment, il le laisse seulement entendre. Ainsi, à Strasbourg le 3 mars dernier, le Premier ministre déclarait : « Nous souhaitons que des solutions existent en France, lorsque des responsables cultuels cherchent un soutien et des moyens pour construire un lieu de culte ou un centre culturel. »

Ensuite, parce que l’électorat musulman est un enjeu qui peut-être décisif en 2017. Rappelons qu’une étude d’OpinionWay, publiée par Le Figaro, révéla que, le 6 mai 2012, 93 % des musulmans pratiquants avaient voté Hollande. Depuis, le lien entre lui et l’islam s’est distendu, à cause du « mariage pour tous ». D’où la nécessité de redoubler d’ardeur pour le reconquérir, de là le curieux communiqué du parti socialiste, daté du 26 février dernier, qui appelle au « développement de l’enseignement privé confessionnel musulman ». Au même moment Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur et des Cultes, déclarait que l’objectif des socialistes est de « mieux organiser la place de l’islam dans la République ». Doubler le nombre de mosquées d’ici à 2017 ? Dalil Boubakeur peut être confiant, Hollande a besoin des voix de ses coreligionnaires.

Samedi, le recteur de la mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, à la tribune du Congrès de l’UOIF (Union des organisations islamiques de France), a déclaré que, pour les « sept millions de musulmans » de France, les 2 200 mosquées actuelles « ne suffisent pas, il en faut le double d’ici à deux ans ». Ainsi notre pays chrétien risque de voir fleurir un peu partout sur son territoire mosquées et minarets, ce que Charles Martel avait empêché !

Jusqu’ici, le nombre de fidèles de l’islam dans l’Hexagone était officiellement évalué à cinq millions. On a donc soupçonné le recteur d’en gonfler les effectifs pour justifier sa requête. Ce n’est pas sûr ! Il est peut-être mieux informé que les services officiels sur la réalité du développement de l’islam, notamment du flux des conversions. Dans un récent ouvrage, Les Converties (éd. du Seuil), l’imam d’Aubervilliers, à propos du nombre de ces conversions, dit ceci : « Les autorités ont les moyens de savoir les vrais chiffres, mais elles ont peur de le savoir ! »

Qui va donc régler la facture de ces mosquées ? Dalil Boubakeur ne le précise pas, mais d’autres disent que l’on fera appel à la générosité des fidèles. Que n’ont-ils brisé leur tirelire plus tôt, au lieu d’émarger depuis des décennies au budget du Qatar ou de l’Arabie saoudite ! L’obstacle à l’édification de ces lieux de culte, si l’on en croit le recteur, est autant administratif que financier, les maires étant réticents à délivrer des permis de construire. La pression des musulmans est donc sur eux. S’il y en a sept millions, c’est près de 10 % de la population française, une bonne partie sont aussi électeurs. Ce qui n’a échappé ni aux imams, ni aux maires. Le 27 janvier 2015, sur I-Télé, le député PS de Seine-Saint-Denis, Razzy Hammadi, a avoué que « certains élus locaux ont négocié les mosquées contre des voix ». Le gouvernement a fermé les yeux sur ces pratiques, et il continuera.

D’abord, parce que le chef du gouvernement est favorable au financement des mosquées par la puissance publique. Dans son livre Les Habits neufs de la gauche, Manuel Valls affirmait en 2006 : « Je souhaite une évolution de la loi de séparation de 1905, pour qu’un peu d’argent public aille à la construction de mosquées. » Aujourd’hui, il ne peut plus le formuler aussi crûment, il le laisse seulement entendre. Ainsi, à Strasbourg le 3 mars dernier, le Premier ministre déclarait : « Nous souhaitons que des solutions existent en France, lorsque des responsables cultuels cherchent un soutien et des moyens pour construire un lieu de culte ou un centre culturel. »

Ensuite, parce que l’électorat musulman est un enjeu qui peut-être décisif en 2017. Rappelons qu’une étude d’OpinionWay, publiée par Le Figaro, révéla que, le 6 mai 2012, 93 % des musulmans pratiquants avaient voté Hollande. Depuis, le lien entre lui et l’islam s’est distendu, à cause du « mariage pour tous ». D’où la nécessité de redoubler d’ardeur pour le reconquérir, de là le curieux communiqué du parti socialiste, daté du 26 février dernier, qui appelle au « développement de l’enseignement privé confessionnel musulman ». Au même moment Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur et des Cultes, déclarait que l’objectif des socialistes est de « mieux organiser la place de l’islam dans la République ». Doubler le nombre de mosquées d’ici à 2017 ? Dalil Boubakeur peut être confiant, Hollande a besoin des voix de ses coreligionnaires.

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mardi, 07 avril 2015

Le nouveau numéro de la revue Terre et peuple

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Numéro 63 - 7,00 € - cliquez ici

LENDEMAIN D'ELECTIONS

Pierre Vial

Terre et Peuple, mouvement d’action culturelle identitaire, ne peut et ne doit se désintéresser du terrain politique, qui est un domaine d’intervention parmi d’autres. C’est pourquoi, sans en faire une priorité, nous avons toujours répondu positivement à nos camarades qui nous demandaient s’ils pouvaient se positionner politiquement. Il est donc naturel de donner notre point de vue à l’issue des élections départementales.

Au-delà des affirmations par lesquelles les media aux ordres du Système essayent de se rassurer, selon la bonne vieille méthode du docteur Coué, certains constats s’imposent, si l’on veut bien regarder les réalités en face.

1 - Les abstentions. Elles n’ont pas atteint, nous dit-on, un record historique… La belle affaire. En fait, un électeur sur deux n’a pas jugé utile de se déplacer. La bonne question à se poser c’est : pourquoi ? La réponse est simple et évidente. Parce qu’il est convaincu que mettre un bout de papier dans l’urne ne sert à rien, ne changera rien par rapport aux soucis, voire aux angoisses, de sa vie quotidienne. Un électeur sur deux ne croit plus aux beaux discours des uns et des autres et sa conclusion est sans appel : tous pourris. Peut-on lui donner tort ? Evidemment non. Et il est très satisfaisant de voir qu’un grand nombre de Français ne sont plus dupes du jeu truqué droite-gauche et ont compris que ces deux faces du Système sont évidemment complémentaires et solidaires pour tenter de sauver leurs prébendes. Sont révélateurs, au sujet de l’évolution des mentalités, les résultats de l’enquête annuelle intitulée Baromètre de la confiance politique, réalisée par l’Institut OpinionWay en partenariat avec le Cevipof (centre de recherches politiques de Sciences Po). Ces résultats n’ont été que partiellement publiés par Le Monde (on comprend pourquoi …) mais révélés intégralement par Valeurs actuelles. Voici les plus significatifs : 75% des Français ne font plus confiance ni à l’Etat ni à la République ; 88% rejettent les partis politiques ; 50% ne croient plus à la démocratie… et 67% trouvent qu’il y a trop d’immigrés en France. Conclusion : les zigotos qui se gargarisent des « valeurs de la République » ont tout faux.

2 - Les résultats du FN. Quelles que soient les réserves que l’on puisse avoir sur le FN (concernant certaines prises de position ou la personnalité de certains dirigeants) le vote en faveur du FN exprime, en grande partie, un refus de l’immigration-invasion (formule de Giscard…) mais aussi le rejet d’un Système basé sur l’exploitation, le mépris des plus modestes et, globalement, de tous ceux qui travaillent beaucoup sans pouvoir bénéficier des fruits de leur travail, confisqués par la rapacité fiscale. Ce rejet de l’UMPS est bien sûr positif et prometteur pour l’avenir. Mais les résultats du FN montrent qu’il a encore beaucoup à faire, en se gardant de tout triomphalisme, pour marquer des points décisifs. 

UMP et PS ont fait bloc, évidemment, pour contrer la montée en puissance du FN et continuer à se partager entre « républicains » le gâteau. Raison de plus pour maintenir la ligne « Ni droite ni gauche » (pour laquelle j’avais prêché, il y a longtemps, auprès de JMLP…) et l’affirmation d’une plate-forme « Troisième Voie » (ce qui exclut les accords avec l’UMP, qui peuvent apporter des satisfactions ponctuelles mais plombent une ligne radicale : il faut refuser tout compromis avec les profiteurs du Système en place). Pour augmenter les voix en faveur du FN, seul le maintien d’une ligne ferme (en particulier sur l’immigration) pourra attirer les électeurs UMP.

Ceci étant, l’implantation locale est la clé de l’avenir. Elle exige de pouvoir présenter des candidats crédibles, c'est-à-dire formés au débat politique, capables d’intervenir publiquement d’une façon sensée et argumentée, présents sur le terrain par une action continue et non limitée aux périodes électorales. Un tissu d’implantation politique est un travail de longue haleine (voir l’exemple du Parti communiste…).

3 - Le PS est déchiré par les dissensions internes, l’UMP par les rivalités entre prétendants à la candidature pour l’élection présidentielle. Les bons résultats de l’UMP aux élections départementales ont été obtenus grâce à son alliance avec l’UDI. Problème pour Sarkozy : s’il veut draguer à son profit une partie de l’électorat FN, il lui faut tenir un discours relativement radical. Mais alors il se coupe de l’électorat centriste… Juppé, lui, veut la grande alliance entre « républicains raisonnables de droite et de gauche » : c’est sa recette « on coupe les deux extrémités de l’omelette, extrême droite et extrême gauche, et on gouverne au centre » (quelque chose comme l’accord entre SPD et CDU en Allemagne). Ce qui confirme le jeu des désistements entre PS et UMP pour faire barrage au FN. Celui-ci doit donc enfoncer le clou : PS et UMP, tous pourris. L’avenir ? Ne pas vouloir obtenir une place autour de la table de jeu mais renverser la table.

23:37 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans Rivarol de jeudi : un grand entretien explosif de Robert Spieler et Jérôme Bourbon avec Jean-Marie Le Pen

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En avant-première sur Synthèse nationale. Quelques phrases-chocs parmi d’autres de Jean-Marie Le Pen dans cette interview :

1)  A propos de la nouvelle affaire du détail et des réactions de la direction du FN :

 « On n’est jamais trahi que par les siens »

 « Je ne suis pas homme à changer d’avis ni à ramper »

 « J’ai cessé de marcher à quatre pattes depuis l’âge de 18 mois. Je ne suis pas l’homo a plat ventrus. »

 « Si l’on ne veut pas prendre de coups, mieux vaut rester ou rentrer chez soi, c’est plus sage. »

2) A propos du maintien définitif de sa candidature comme tête de liste du FN aux régionales en PACA :

 « Je suis candidat tête de liste pour mettre à la porte les socialo-communistes »

 « Je rappelle que j’ai fait aux dernières élections européennes, il y a moins d’un an, plus de 33 %  des voix dans la région PACA. Je suis donc légitime pour conduire la liste du Front national dans cette région où, de surcroît, je suis conseiller régional et président du groupe FN depuis 1992 »

3) A propos de sa volonté d’être président de la région PACA et de succéder à Michel Vauzelle :

 « Je suis candidat à la présidence de la région PACA par la logique des choses. »

4) A propos de la vision des dirigeants actuels du FN de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale :

 « Les nouvelles générations qui n’ont pas connu la guerre sont plus perméables que les anciennes au discours médiatiquement dominant et à une vision manichéenne de l’histoire, comme le faisait déjà remarquer François Mitterrand à Georges-Marc Benamou : “Jeune homme, vous ne savez pas de quoi vous parler” ».

5) Sur Pétain et le pétainisme :

 « Je n’ai jamais considéré le maréchal Pétain comme un traître »

 « L’on a été très sévère avec (Pétain) à la Libération »

 « Je n’ai jamais considéré comme de mauvais Français ou des gens infréquentables ceux qui ont conservé de l’estime pour le Maréchal. Ils ont selon moi leur place au Front national comme l’ont les défenseurs de l’Algérie française, mais aussi les gaullistes, les anciens communistes et tous les patriotes qui ont la France au cœur. »

6) Sur l’influence selon lui détestable du chevènementisme au FN, allusion claire à Florian Philippot, numéro 2 du FN :

 « Je crois que l’origine politique de certains actuels dirigeants du Front a plus d’importance que leur comportement personnel (NDLR : l’homosexualité). Je pense à l’influence nocive d’un homme que je trouve pour ma part tout à fait détestable : Jean-Pierre Chevènement. Il a les apparences d’un patriote alors qu’il est au fond un marxiste. L’influence chevènementiste, si elle continue de s’exercer, est nuisible. Cette tournure d’esprit m’est totalement étrangère. »

7) Sur le grand nombre et l’influence des homosexuels au sein du FN :

 « Il y a en effet un assez grand nombre d’homosexuels au Front national. »

 « Ils ont tendance à se regrouper, même s’ils se détestent les uns les autres. Ils forment une communauté. »

8) Sur « l’immigré » Manuel Valls :

 « Nous sommes gouvernés par des immigrés et des enfants d’immigrés à tous les niveaux »

 « Valls est Français depuis trente ans, moi je suis Français depuis mille ans »

 « Quel est l’attachement réel de Valls à la France ? Cet immigré a-t-il changé du tout au tout ? Qu’a-t-il apporté à notre pays ? »

9) Sur la République et la démocratie :

 « Ils commencent à me gonfler tous avec la République ! »

 «  Je comprends tout à fait qu’on mette en cause la démocratie, qu’on la combatte »

10) Sur les “dérapages” de candidats du FN :

 « Je n’ai pas retiré mon estime à Madame Leclère scandaleusement condamnée à neuf mois de prison ferme »

11) Sur la défense et la survie de la race blanche :

 « Nous devons impérativement nous entendre avec la Russie pour sauver l’Europe boréale et le monde blanc »

12) Sur la retraite à 60 ans proposée aujourd’hui par le FN :

 « J’ai essayé d’expliquer à Marine Le Pen et à ses conseillers que c’était une erreur. C’est ridicule de demander la retraite à 60 ans alors que moi, à la tête du FN, pendant des décennies, je l’ai demandé à 65 ! »

 « En politique on ne doit jamais sombrer dans la facilité ni faire de la démagogie. »

 « Il ne faut pas tomber dans le ridicule de paraître défendre le système de retraite à 60 ans parce que même si l’on y apporte des amodiations (comme les 40 ans d’annuités), elles ne sont pas audibles politiquement. Pourquoi s’accrocher là-dessus ? Je leur ai dis : « Rectifiez le tir ». En vain pour le moment. »

Jeudi, 3,50 €, chez votre marchand de journaux.

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Aramis et Roland Hélie invités mercredi par Benoît Mancheron sur Radio Courtoisie

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