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samedi, 10 mars 2018

Journal du chaos

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vendredi, 09 mars 2018

La Java de l'identité du Dr Merlin

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jeudi, 08 mars 2018

En finir avec le modèle social (anti-)français

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Arnaud Malnuit

Postiers, SNCF, hôpitaux, CAF, etc. tous les politiques, y compris la candidate des patriotes lors de la dernière élection présidentielle, vantent, défendent, même lorsqu’ils affirment le réformer, le fameux modèle social français, tellement fameux que le monde entier nous l’envierait. Sauf que ce modèle social est un poison, un boulet poula France car contrairement à ce que les partisans de ce modèle affirment, il ne profite en rien aux Français…

Bien au contraire, il grève d’impôts commerçants, artisans, chefs d’entreprise, il gèle la rémunération des salariés, il affaiblit les retraites, il diminue l’épargne… En effet, ce modèle – établi pour mieux répartir les richesses, mis en place pour aider précaires et nécessiteux à ne pas tomber dans la misère, conçu pour financer les services publics d’un Etat omnipotent plus efficace que le marché pour favoriser la solidarité et l’équilibre entre les territoires – n’est désormais qu’un gouffre des maigres richesses des Français, qu’un créateur d’une dette abyssale qui financent, à fonds perdus, la subversion migratoire dans des pans entiers de notre pays, sans parler de l’achat de clientèle électorale… 

En effet ce fameux modèle ne se résume plus qu’en la fameuse politique de Vile qui a déversé des millions et des millions d’euros dans les quartiers de l’immigration et ce pour rien, au détriment de cette France rurale de plus en plus en périphérique, qui vide les écoles rurales au bénéfice des immigrés et pour un résultat qui sera bien entendu nul… 

Ce modèle social crée aussi des comportements d’assistés qui ne comprennent pas pourquoi ils n’auraient pas autant que les immigrés qui reçoivent sans rien faire, qui encourage la triche et le mensonge pour obtenir des prestations, qui met à mal la natalité française, per exemple, en considérant que les familles françaises qui ont les moyens doivent recevoir moins voire plus du tout d’allocations et ce aux bénéfices des familles immigrées ou d’origine immigrée.

Ce modèle est donc devenu parfaitement injuste et anti-français.

Pour autant, il ne faut pas supprimer toute forme de solidarité publique qui passerait par l’impôt, mais il s’agit de fermer les vannes de financement de la substitution de notre peuple, de mettre fin aux logiques clientélistes des élus pro-immigration – qu’ils soient de droite ou de gauche –, de ne plus ériger le poison de l’assistanat comme modèle de société, de permettre, par le principe de subsidiarité, aux familles d’assurer la protection de leurs membres.

Oui, si la droite nationale veut être populaire et sociale, elle doit dénoncer ce modèle social anti-français et mettre en place de nouvelles solidarités au profit de notre peuple.

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Dimanche prochain, dans la 8e circonscription de Haute-Garonne, pas une voix ne doit manquer au candidat de la Droite nationale, notre ami Guy Jouvelin

20649802-24035622.jpgDimanche 11 mars, Guy Jovelin portera les couleurs du Parti de la France lors de l'élection législative partielle dans la 8e circonscription de Haute-Garonne. Les électeurs les plus lucides auront l'occasion de voter pour un représentant de la Droite nationale non-reniée qui veut clairement rendre la France aux Français et la désislamiser.

01:59 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Conférence internationale de Chisinau, à la portée prometteuse

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Nicolas Tandler

A Chisinau, capitale de la Moldavie, république située entre la Roumanie et l’Ukraine (plus connue des amateurs d’histoire contemporaine sous le nom de Bessarabie au XXe siècle), il s’est tenue à la mi-décembre 2017 une conférence internationale. Avec la participation d’orateurs français de qualité, sur le thème redoutable du « capitalisme financier », pour le moins esquivé en Occident. Les retombées de cet événement indiquent que son but a été atteint, et justifient de revenir sur le sujet, aux incidences multiples.

Les Français conviés à s’exprimer à Chisinau : Ivan Blot, qu’on ne présente plus, Valérie Bugault, juriste spécialiste en matière financière, Hervé Juvin, économiste de réputation internationale, Emmanuel Leroy, analyste politique combatif bien connu. Ces intervenants ont illustré leur pays à cette occasion, atteignant la même cible, sans se recouper. Ils n’ont pas déparé dans un aréopage de spécialistes aussi pointus que clairs.

Le pari réussi des autorités moldaves

Les autorités politiques de la jeune république (fondée en août 1991) de 3 700 000 habitants, à la création dramatique, le Président Igor Dodon et le Premier ministre Paul Filip, avaient pris le risque de lancer un non-événement. Non seulement cela n’a pas été le cas, mais une pierre fondatrice a été posée, pour un combat de longue haleine, essentiel pour l’avenir du genre humain.

On ne nous en voudra pas de devoir nous limiter à un compte-rendu des intervenants français, un numéro entier d’hebdomadaire ne suffirait pas à rendre la richesse des prises de position. Mais la conférence aura des suites, n’en doutons pas.

Valérie Bugault a fait preuve une fois de plus de sa parfaite maîtrise des circuits et de l’esprit des groupes financiers en démontant les éléments du « Nouveau Ordre Mondial », accapareur de richesses. Elle n’a pas hésité à remonter à Montesquieu pour bien appréhender la situation présente, et les procédés des détenteurs de l’économie.

Un éclairage de l’actualité récente

Sa dissection du secteur bancaire n’a rien laissé dans l’ombre, et elle a dégagé la signification réelle de bien des termes en usage, de fait incompris. Elle n’ a pas laissé d’illusions aux éternels optimistes, le salut ne viendra pas de l’Occident, tout en évoquant la seule arme efficace, le droit. Ivan Blot, pour sa part, a tranché le nœud gordien, n’hésitant pas à éclairer l’actualité la plus récente en France. Tout en revenant à Adam Smith comme à Lénine, et en se confrontant aux contradictions idéologiques.

Il s’est référé à l’exemple helvète, le prenant par ses côtés si évidents que personne ne les voit plus. Et loin de désespérer, il a évoqué la fin de la tyrannie des sectateurs de Mammon, de la manière la plus plausible. Lui aussi a envoyé aux auditeurs une bouffée d’espérance.

Hervé Juvin s’est interrogé sur la recherche de la survie par l’entrée dans un quatrième monde, celui du retour à la politique. Il a exploré le potentiel des ressources naturelles, sous tous leurs aspects. Et il a dévoilé les mensonges fondamentaux attachés présentement à cette question. Dans un second temps, il s’est dressé face à un autre mensonge, celui du “développement” permanent. En guise de conclusion, il a dévoilé l’effondrement politique de l’individualisme, tant prôné en ce moment, au travers du système libéral.

Des solutions à cette tragédie

Avec lucidité, il conclut sur la fin de l’ego, et démasque « le moyen subtil d’employer le travail forcé » grâce au « mouvement de la fin des frontières ». Ne se contentant pas de dénoncer, il recherche les solutions à cette tragédie, dans l’immédiat, et il nous prie de ranger au musée les figures tant prônées de Milton Friedman ou de Friedrich von Hayek.

Le rejet du matérialisme, la recherche de la diversité, voilà la voie du salut. Même s’il faut pour cela se remémorer la Conférence de La Havane de 1948-1949. Quant à Emmanuel Leroy, parlant au nom du Comité Jean Parvulesco, il a condamné le troupeau de ceux qui sont élus pour « servir les intérêts, dans tous les sens du terme », et qui ont érigé « la dictature de la dette ».

« remettre les marchands du temple à leur place »

Soulignant les étranges analogies entre les expériences américaine et soviétique, il réclame la libre entreprise, oui, « mais au service de la collectivité ». « L’économie est une chose trop sérieuse pour être laissée aux banquiers », et demande le contrôle de la puissance régalienne. Et il revient sur l’essentiel : « trancher le nœud gordien de l’argent-dette », en énumérant les multiples mesures à prendre en ce sens. En peu de mots comme en cent, « remettre les marchands du temple à leur place ».

Il s’interroge sur l’initiative suisse, dite de la monnaie pleine, la démonte, la salue. Oui, il faut que le secteur financier soit au service de l’homme et non pas l’inverse. Sa conclusion respire un optimisme clair : le basculement du monde s’enclenche.

Oui, la Conférence de Chisinau constitue un signal dans les ténèbres du système qui nous enserre. Venu d’un petit pays, son appel est promis à l’avenir des prophéties irrésistibles. Moins l’Occident y fera attention, plus son destin sera catastrophique. Il n’y aura pas à attendre des décennies, oh que non.

Lu pour vous dans Rivarol,

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mardi, 06 mars 2018

JEUDI 8 MARS SUR RADIO LIBERTÉS : HOMMAGE À FRANÇOIS DUPRAT

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Vendredi 9 mars : conférence d'Alban d'Arguin sur les éoliennes à Fallon (Haute-Saône)

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La victoire en Europe des droites nationales patriotes et populistes est en vue ! Pas bon du tout pour les profits et les cours de bourse.

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Marc Rousset

Le résultat des votes allemand et italien montre que la victoire, en Europe, des droites nationales patriotes et populistes est en vue ! Pas bon du tout pour les profits et les cours de Bourse.

Madame Merkel estime, à tort, que les États-Unis font fausse route avec le protectionnisme, des taxes douanières américaines de 25 % sur l’acier, de 10 % sur l’aluminium, des représailles chinoises sur le sorgho et le soja américain, des représailles européennes sur les Harley-Davidson, le bourbon et les Levi’s. La nécessaire fin du libre-échange mondialiste, excellente nouvelle pour les peuples et les emplois des pays occidentaux, n’en est pas une pour les Bourses.

Quant au fonds américain Bridgewater, il a détrôné George Soros. Il vient de miser 22 milliards de dollars sur un krach dans les douze à dix-huit prochains mois. Il estime qu’on est proche de la fin d’un cycle, que le niveau des dettes publiques et privées, des crédits aux ménages aux États-Unis est démentiel, que les entreprises européennes sont très menacées suite à leur exposition aux marchés américains et internationaux. Il spécule donc à la baisse pour la moitié du DAX allemand (7,3 milliards de dollars), 4,5 milliards de dollars pour les entreprises françaises, 3 milliards pour les entreprises italiennes. Enfin, ce fonds a tout particulièrement dans son viseur la Deutsche Bank et les banques italiennes gangrenées par les créances douteuses telles que Intesa Sanpaolo.

En Italie, nombre de petites banques pléthoriques sont en difficulté. Elles croulent sous des montagnes de créances douteuses, des prêts bancaires souscrits par des entreprises et des particuliers qui ne parviennent pas à les rembourser en raison de la crise économique.

Les prêts pourris avoisinent les 1.000 milliards d’euros dans les bilans des banques de la zone euro, soit 6,2 % du montant total des prêts, contre 1,3 % aux États-Unis et 0,9 % au Royaume-Uni. Si les banques européennes comptabilisaient les prêts pourris dans leurs comptes à leur juste valeur, le levier d’endettement serait de 23,3 pour le Crédit agricole, 29,0 pour BPCE-Natixis, 38,3 pour BNP Paribas et 38,9 pour la Société générale (autrement dit, 1 euro de capitaux propres pour 38,9 euros d’engagements). La Banque Lehman Brothers avait un effet de levier de 32 lorsqu’elle a fait faillite en septembre 2008.

De 2000 à 2017, le PIB américain est passé de 10.600 milliards de dollars à 19.300 milliards de dollars, soit une augmentation de 8.700 milliards de dollars, tandis que la dette publique du gouvernement américain augmentait plus vite, pendant la même période, de 15.000 milliards de dollars.
 
Le déficit du gouvernement américain, en 2017, est de 1.200 milliards de dollars, soit plus que le PIB australien. La valeur de l’actif net du gouvernement américain (ses actifs moins les dettes) est de -20,4 milliards de dollars – la faillite totale, donc, pour une société privée. Mais, plus effrayant encore, si l’on tient compte des dépenses futures et des revenus futurs des caisses de retraite et d’assurance publiques américaines, l’actif net du gouvernement américain est dans le rouge pour 50.000 milliards de dollars de plus, soit -70 000 milliards de dollars !

S’il a fallu des décennies, à la Banque du Japon, pour faire gonfler son bilan jusqu’à 5.000 milliards de dollars, il aura fallu seulement huit ans à la Federal Reserve américaine pour faire bondir le sien à 4.500 milliards de dollars. Les marchés ne sont pas prêts pour le franchissement, par les obligations américaines sur dix ans, du seuil des 3 % et un dollar qui plonge, a déclaré Thomas Buberl, directeur général d’Axa.

Draghi nous annonce que la BCE ne peut pas stopper ses achats obligataires car les taux du Bund allemand sur dix ans pourraient doubler à 0,79 %, avant de doubler à nouveau et de s’envoler ! Or, à l’automne, les achats devraient normalement cesser et les taux directeurs augmenter.

De 2007 à 2018, les taux d’emprunts d’État ont dégringolé, en moyenne, de 4,2 % à 0,9 %. Une hausse des taux de 1 % alourdirait la note, pour l’État français, de deux milliards par an, tandis que le cours des obligations baisserait de 10 %. Powell et Draghi font face à la quadrature du cercle pour augmenter les taux. Krach en vue !

20:28 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le grand effacement culturel, l'autre visage du grand remplacement

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Arnaud Malnuit

Tout oser, tout souiller, tout dénaturer pour montrer que nous existons plus, voire même que nous n'avons jamais existé. Pendant très longtemps on nous expliqua qu'il n'y avait pas d'invasion migratoire, que la présence de millions d'immigrés légaux et clandestins ne changerait rien la nature de notre nation tant sur le plan ethnique que culturel. Désormais, on nous explique tout aussi doctement qu'il faut se faire à ce nouveau visage de la France, qu'il incarne tout aussi bien nos grands mythes nationaux...

Pendant longtemps également ces nouveaux visages se cantonnaient aux figures et valeurs de la république, on pense ainsi à la Marianne noire qui défraya la chronique dans certaines mairies il y a une vingtaine d'années. Désormais, ce sont les grands mythes nationaux français qui sont incarnés par cette « nouvelle » France... Et le dernier en date n'est pas n'importe quel symbole puisque c'est Jeanne d'Arc elle-même.

Oui, la fameuse « affaire Jeanne d'Arc »... Ainsi, une jeune fille métisse, polonaise et béninoise, va incarner Jeanne d'Arc pour l'édition 2018 des fêtes johanniques à Orléans. Oui, une métisse pour incarner la Française par excellence. Et c'est là que l'affaire prend, avec certainement une opération de communication au bénéfice du pouvoir. En effet, prenant prétexte que cette jeune métisse répond aux critères de sélection, beaucoup de catholiques et patriotes sincères ont cru bon justifier ce choix pour montrer en quoi la France et le peuple français n'étaient pas racistes, que la France n'était pas une race et qu'en gros  du moment que l'on pouvait partager certaines valeurs on pouvait être parfaitement français voire bien plus français que ceux dont la souche est pourtant bien gauloise...

A croire que contrairement à certaines analyses, certains essais, la France ne se droitise pas, ou en tout cas une bonne part de la droite dite pourtant de conviction a peur de son ombre, qu'elle accepte donc in fine le cadre imposé par la gauche depuis des décennies, notamment quant à l'accusation de racisme. En effet les propos de ces membres de la droite de conviction, du FN et d'éminents catholiques prouveraient qu'affirmer que le peuple français est un peuple majoritaire et dans même dans son essence blanc – sans émettre un moindre jugement de valeur par rapport aux autres peuples – serait donc du racisme... Autant laisser la gauche garder le monopole des idées, des valeurs et des interdictions, au nom d'une prétendue dédiabolisation...

Ce qui est également effarant dans ces prises de position c'est une forme de déni du réel. Cette jeune métisse aurait pu parfaitement incarner Jeanne d'Arc au nom de l'assimilation si la France s'était affirmé comme un pays et si nous avions eu quelques dizaines de milliers d'immigrés. Or là la submersion migratoire est flagrante et le gouvernement de la France veut que cette dernière s'efface. Donc soutenir le choix de cette jeune fille au nom de valeurs patriotiques est pour le moins absurde, voire criminel.

D'autant que cette jeune fille n'est pas en cause, malgré quelques commentaires ridicules trop vite mis en épingle par la presse. Non, là les vrais fautifs que l'on peut même qualifier de criminels sont ceux qui se servent d'une métisse, donc de quelqu'un qui n'a pas vraiment d'enracinement, pour dénaturer un mythe du roman national ; mythe qui, rappelons-le sert à vanter la résistance à l'occupation étrangère et le fait que servir Dieu c'est faire que les Français restent maîtres chez eux, à l'époque d'une France quasi intégralement blanche...

C'est d'autant plus nécessaire de refuser ce choix que derrière on voit la volonté de partisans de Macron, issus de la diversité et proche de tenants de la haine de la France enracinée, de mettre en avant cette jeune fille au service de l'idéologie macronienne : celle d'un monde indifférencié, celle où les peuples autochtones européens doivent se fondre dans e grand néant. D'une part en dénaturant leurs mythes, leur histoire, d'autre part en les rendant minoritaires sur leur sol.

Source Parti de la France cliquez ici

12:08 Publié dans Michel Malnuit, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bordeaux, jeudi 26 avril : conférence d'Alban d'Arguin, auteur d'"Eoliennes un scandale d'Etat"

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11:18 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 05 mars 2018

Journal du chaos

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16:40 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce qu'il faut savoir avant le congrès du FN...

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12:38 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

En Thiérache, contre les éoliennes, les "ploucs" se réveillent

Exprimez-vous sur les éoliennes cliquez là

La réunion d'Alban d'Arguin

du 9 février à Vervins cliquez ici

12:36 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 04 mars 2018

Candide ministre

Varoufakis.jpgGeorges Feltin-Tracol

Pendant cinq mois et neuf jours, Yanis Varoufakis fut ministre des Finances du gouvernement grec de gauche radicale Syriza alliée aux souverainistes du parti des Grecs indépendants. Cet universitaire en économie à la double nationalité gréco-australienne accepte la demande d’Alexis Tsipras et veut renégocier la dette hellène auprès de l’Eurogroupe, du FMI, de la Banque centrale européenne et de la Commission européenne. Conversations entre adultes (Éditions Les liens qui libèrent, 2017, 526 p., 26 €) relate dans le détail ses nombreuses discussions.

Cet ouvrage au sous-titre explicite, « Dans les coulisses secrètes de l’Europe », est passionnant. Il se lit comme un polar à la différence que les victimes sont bien réelles. Le peuple grec subit à la foisd’incessantes trahisons de la part de ses politiciens, et un véritable martyre. En homme de gauche humaniste, démocrate et progressiste, l’auteur découvre peu à peu que les dirigeants de Syriza sont bien avant leur accession au pouvoir en collusion étroite avec les banquiers cosmopolites et les oligarques hellènes.

Certes, ce livre plaide en faveur de son auteur. Si les sociaux-démocrates allemands et les socialistes français en prennent pour leur grade, l’auteur refusant leur double langage : conciliant en privé et cassant en public, Varoufakis ose révéler l’inimaginable à propos du fonctionnement de l’Organisation de Bruxelles. Il ne s’explique pas en revanche quand et comment Tsipras a capitulé. Il découvre que le fameux Eurogroupe n’a aucune existence légale, ce qui ne l’empêche pas d’exercer un poidsdéterminant au point que son président d’alors, le ministre néerlandais Jeroen Dijsselbloem, fait taire le Commissaire aux Affaires économiques et financières, le Français Pierre Moscovici…

Tout au long de ses semaines ministérielles, Yanis Varoufakis qui n’est pas partisan du Grexit, soumet aux créanciers d’Athènes plusieurs plans qui conviennent bientôt au FMI et à Washington. Or les usuriers de la Grèce agissent comme une véritable mafia et rejettent toute proposition acceptable afin de faire de la nation d’Homère un exemple punitif pour les autres Européens. Candide chez les hyènes, l’économiste-ministre découvre, stupéfait, les méandres absurdes des institutions européennes et les atermoiments des gouvernements des États-membres qui cherchent avant tout à cacher à leurs opinions publiques respectives qu’ils ont ont été dupés par les technocrates et autres bureaucrates attachés aux banksters internationaux.

Les oligarchies politiques, financières et médiatiques appartiennent comme l’indique le titre original en anglais à l’« Établissement profond » européen. Celui-ci fomente contre ce ministre grec si atypique de violentes campagnes de presse diffamatoires. Yanis Varoufakis ne se bat pourtant pas seul. Il parvient à recruter des alliés parmi les anciens membres du FMI et chez des Anglo-Saxons (des conservateurs britanniques ainsi que des démocrates étatsuniens souvent proches du sénateur Bernie Sanders). Il ne dispose toutefois pas des pleins pouvoirs et voit son action superviser, puis saper par des ministres issus, eux, de Syriza. N’est pas Antonio Salazar qui veut !

Conversations entre adultes prouve enfin que la crise de l’euro résulte principalement de l’absence initiale de tout contrôle politique effectif, car cela aurait supposé au préalable l’avènement d’une autorité fédérale réelle. Son récit confirme enfin qu’il sera très difficile à un mouvement politique non conforme de s’imposer face aux mailles serrées du Système. On le remarque déjà avec la Pologne en dépit de nombreuses relations nouées avec les milieux atlantistes.

Il importe de lire Conversations entre adultes, surtout si l’on aspire à de hautes fonctions ou qu’on recherche une rupture fracassante avec le Système dominant. C’est un formidable avertissement.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°68, diffusée sur Radio-Libertés, le 2 mars 2018.

23:37 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

 

23:34 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LES AVEUX DE MARINE LE PEN

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Pierre Vial

Marine Le Pen est prête à tout pour montrer qu’elle fait partie des adeptes du politiquement correct et qu’elle doit donc être admise parmi eux. Les naïfs qui en douteraient encore peuvent le vérifier grâce à ses déclarations sur BFM, reprises par toute la presse, où elle a déclaré qu’il était normal qu’une métisse, fille d’un Béninois, ait été choisie pour incarner Jeanne d’Arc lors des festivités d’Orléans.

Evénement anecdotique ? Que non pas. Ceux qui ont fait un tel choix veulent envoyer un message très clair : la France doit être désormais un territoire peuplé d’un ensemble bigarré de populations venues de partout, où les Blancs seront encore tolérés… mais pour combien de temps ? L’ethnomasochisme faisant son œuvre, certains Blancs se soumettent, par lâcheté, à cette situation. D’autres, même, s’en réjouissent car c’est l’accomplissement de leur idéologie. On va voir, désormais, quels sont ceux qui vont oser résister.

Source Terre et peuple cliquez ici

22:41 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parution du nouveau numéro de "Réfléchir & Agir"

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En vente chez les marchands de journaux

 

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samedi, 03 mars 2018

Poitiers, jeudi dernier : la réinformation contre la désinformation

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Philippe Randa, Jacques Soulis, Roland Hélie et François-Xavier d'Hautefeuille

Jeudi 1er mars en début de soirée les patriotes poitevins se sont retrouvés nombreux à la conférence sur la réinformation organisée par notre ami Jacques Soulis, président de l'association locale "le Cercle des Chats bottés" cliquez là

Cette réunion fut l'occasion de dénoncer les méthodes sournoises employées par le Système pour manipuler notre peuple et surtout pour le culpabiliser en permanence. Il est temps de mettre fin au monopole du prêt à penser et, pour cela, l'émergence de nouveaux médias (sites, revues, radios et télés) peut être considérée comme une bonne chose. Néanmoins, pour que les médias non conformistes puissent se développer, il faut que les éditeurs puissent éditer. Les intervenant insistèrent donc sur la nécessité de soutenir ces véritables pôles de résistances que sont les maisons d'éditions de notre mouvance.

Prirent successivement la parole : François-Xavier d'Hautefeuille, directeur des Editions de Chiré cliquez ici et de la revue Lectures françaises cliquez là, fondée il y a 70 ans par Henri Coston, Philippe Randa, animateur du site EuroLibertés cliquez ici, éditeur et écrivain cliquez là, et Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale.

Il fut aussi beaucoup question de la situation politique en générale et les raisons de croire en l'avenir de la Droite nationale furent bien sûr avancées.

Comme c'est toujours le cas, ces réunions sont l'occasion de retrouver de nombreux amis et pour beaucoup d'entre eux de s'abonner à nos revues.

18:03 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Marine Le Pen au Salon de l'Agriculture...

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15:52 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 02 mars 2018

Jean-Marie Le Pen sur TV Libertés

17:30 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Jacobinisme et la puissance de l’État

lll.jpgBernard Plouvier

C’est devenu une scie depuis la période soixante-huitarde et sa contestation tous azimuts que de dénoncer le «Jacobinisme»... et généralement, les polémistes semblent ignorer ce que fut réellement la lubie des Jacobins d’octobre 1789, lors des premiers débats d’idées au sein du Club, jusqu’à sa fermeture en novembre 1794.

L’unique doctrine constante des Jacobins – car il y eut foule d’avis contradictoires entre Divas – fut la soumission de l’Exécutif au Législatif, si l’on préfère : placer les ministres (et, de 1790 à 1792, le roi) sous la tutelle de l’Assemblée Nationale.

Les institutions de la Ve République ont tranché sur les éditions précédentes qui étaient effectivement ce que les savants nomment une Ochlocratie : un Pouvoir partagé par une foule, en l’occurrence celle des parlementaires, soumis en principe à la foule des électeurs. En réalité, les électeurs ont systématiquement été dupés par leurs élus.

Notre République actuelle, qui n’est plus du tout « jacobine », est comme les précédentes soumise aux décisions des maîtres de l’économie et de la finance. Et cela dure depuis la Monarchie de Juillet, qui n’était nullement « jacobine », le Roi-Bourgeois ne tenant que rarement compte des avis, d’ailleurs très divergents, des ténors des assemblées.

Démocratie, depuis les années 1830, est devenue un synonyme de capitalisme, à l’exception de l’État français, tant vilipendé.

La mauvaise acception du terme « Jacobinisme » est : centralisation. C’est ce que presque tout le monde croit comprendre, quand on ressort le terme pour impressionner l’auditoire, puisqu’après avoir été glorifié (jusqu’en 1958), il est devenu une appellation « maudite ».

Encore faut-il comprendre pourquoi cette centralisation administrative, politique, économique et financière est devenue « mauvaise », poussant les orateurs et les manifestants à la grogne.

D’abord, les vrais maîtres sont toujours centralisés. Les directions des banques, des grandes entreprises et de la filiale française des multinationales sont parisiennes, comme sont présents à Paris tous les preneurs de décisions.

Il est, en effet, plus simple de s’activer dans la même métropole pour se concerter (avec ou sans fâcherie), d’autant qu’il est vite devenu évident que les télécommunications – qui semblaient le meilleur argument en faveur de la décentralisation – sont très aisément espionnées voire piratées. Pour les « gens qui comptent », se voir et se parler discrètement reste essentiel et, pour ce faire, on n’a rien inventé de mieux que d’œuvrer dans un même lieu géographique.

Depuis la fin de la Grande Guerre, on a réclamé en France la décentralisation administrative et une certaine autonomie des régions (créées par l’État français du maréchal Pétain). L’ennui est que pour toute décision régionale importante, on se réfère « à Paris ». Et cette disposition d’esprit relève d’une logique historique.

Les débuts de l’unification administrative continue en France remontent au XIVe siècle – certes, Charlemagne avait tenté la chose dans son Empire, mais tout avait disparu dans les vingt années suivant sa mort. Les Allemagnes sont restées divisées jusqu’en 1871. On comprend qu’en Allemagne, les Laender aient leur autonomie pour tout ce qui n’est pas régalien (monnaie, affaires étrangères, armée).

Quand l’on connaît le particularisme des extrémistes régionaux et des écologistes de France, l’on ne peut qu’approuver une centralisation administrative... à condition qu’elle soit vouée au seul bien de la Nation et nullement aux maîtres de la Finance ou aux envahisseurs.

De fait, le parisianisme actuel, qu’il ait été fluctuant et grotesque sous le règne des nullités chiraquienne et hollandienne, ou qu’il soit celui du très directif Emmanuel Macron, est parfaitement illégitime parce que la Nation n’y trouve pas son compte, à la différence des maîtres de l’économie et de la cohorte de leurs féodaux.

Dans l’actuelle réalité géopolitique, où s’affrontent des blocs de taille et de puissance monstrueuses, la concentration dans un pays est utile, à l’unique condition d’être au service de la Nation, elle-même appelée à se fondre dans un vaste empire (européen, pour l’exemple français), où les affaires courantes seraient traitées dans chaque sous-ensemble ethniquement homogène.

En notre époque de périls monstrueux, la décentralisation est une absurdité, car elle aboutit à éparpiller les forces. En revanche, le Pouvoir central doit être au service des autochtones et conserver les deux critères de la véritable démocratie : l’égalité de tous – gouvernés et gouvernants – devant la loi et l’attribution au seul mérite – donc par concours anonyme - des postes payés par l’argent public.

La véritable Démocratie est parfaitement compatible avec la concentration géographique du Pouvoir. La Démocratie exige uniquement le respect d’un tout petit nombre de principes dans la gestion du Bien Commun. On le sait depuis 25 siècles en Europe. Plutôt que d’aller butiner des vérités premières exotiques, il est important d’en revenir aux fondamentaux de notre Mère, la Grèce antique, et de notre Père, la Rome antique... en n’oubliant pas que dès la pratique des élections, tricheries, corruption et achat des votes sont apparues.

La Démocratie véritable exige une lutte de tous les instants contre la corruption et le favoritisme... les deux mamelles de la vie politique européenne actuelle.

17:27 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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17:19 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le gouvernement s’attaque aux écoles privées hors-contrat

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Francis Bergeron Présent cliquez ici

Jean-Michel Blanquer fait partie de ces ministres bénéficiant d’un préjugé favorable, parce qu’il veut mettre en place ou soutenir des règles de bon sens dans l’école publique. Quelle mouche l’a donc piqué pour appuyer aujourd’hui un projet de loi, issu de la période Vallaud-Belkacem, restreignant la liberté d’ouvrir des écoles privées hors-contrat ? Le projet actuellement examiné par le Sénat définit en effet un encadrement strict de ces écoles.

Une soixantaine de sénateurs du centre et de la droite poussent à la roue. Ils ont sans doute dans leur viseur les écoles coraniques qui se développent à grande vitesse, et qui sont loin d’être à l’abri du salafisme et de l’islamisme sous diverses formes. Il y a eu le cas de l’école Al-Badr de Toulouse, à présent fermée, ou de l’école musulmane Mine de savoirs, à Raismes, dans le Nord. Mais si Al-Badr a pu être fermée, cela prouve bien qu’une loi nouvelle n’est pas nécessaire pour empêcher l’endoctrinement islamiste d’enfants et d’adolescents.

En durcissant les conditions d’ouverture de ces écoles, en donnant des délais beaucoup plus longs au maire de la commune d’implantation, et à l’administration, pour contester un projet d’ouverture, c’est presque une déclaration de guerre qui est faite à l’enseignement vraiment libre, et en particulier aux écoles catholiques traditionalistes.

En principe le contrôle de l’administration est censé se limiter à l’hygiène et aux bonnes moeurs. Mais la sénatrice centriste qui porte le projet de loi a des formules inquiétantes. Elle explique par exemple que cette loi permettra de s’en prendre à des écoles privées assurant «des enseignements tendancieux» en histoire et en sciences.

Sur le plan de l’enseignement tendancieux, notamment en histoire, ne faudrait-il pas alors faire d’abord un grand nettoyage dans les écoles publiques ? D’ailleurs, d’une façon générale, le fort développement des écoles privées a surtout pour origine l’effondrement de notre enseignement public, le souhait des parents de mettre leur progéniture dans des écoles de qualité. M. Blanquer en est conscient, et il est alors d’autant plus incompréhensible qu’il puisse soutenir un tel projet de loi.

Restriction des libertés

Demain, en histoire, sera peut-être considéré comme « tendancieux » de soutenir que la Révolution française n’a pas eu que du bon, ou que la Vendée a été victime d’un génocide. Et en sciences qui nous dit que ne sera pas considéré comme « tendancieux », et justifiant la fermeture d’une école privée, le fait d’enseigner que l’avortement tue ?

A un vrai problème (la montée des fanatismes islamiques), répondre par une restriction de liberté de cette nature est la plus mauvaise des solutions.

Philippe de Villiers est monté au créneau pour exprimer son inquiétude : une telle loi pourrait menacer son école du Puy du Fou. Anne Coffinier, la spécialiste française des écoles privées, avec sa Fondation pour l’école, ne décolère pas. Elle voit elle aussi dans le projet de loi un retour par la bande du vieux rêve socialiste du « tout Etat ».

08:16 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 01 mars 2018

AFFAIRE JEANNE D’ARC : LA DROITE A ENCORE PERDU UNE BATAILLE !

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Julien Langella Vice-Président d'Academia christiana

Il y a plusieurs leçons à tirer de cette affaire Jeanne d’Arc.

Louis Aliot, numéro 2 du FN, a sauté sur l’occasion pour s’acheter une caution antiraciste à bas coût en brocardant les « identitaires » et « tous les haineux », au nom de « nos véritables valeurs »… et de Notre-Dame d’Afrique !

Or, Notre-Dame d’Afrique est une basilique achevée en 1872 à Alger pour soutenir l’effort de mission auprès des musulmans. Notre-Dame d’Afrique est aux pieds-noirs ce que Notre-Dame de la Garde, la Bonne Mère, est aux Marseillais. Ainsi, dans un raccourci très réducteur et contestable, Louis Aliot transforme un symbole spirituel et identitaire en emblème d’une coexistence multiculturelle fantasmée.

De surcroît, ce propos totalement déconnecté de la base militante est une tentative de dédiabolisation ratée. En effet, selon Jack Dion, directeur adjoint de Marianne : « Si Mathilde n’était pas catholique mais musulmane, elle serait jugée hors course par Louis Aliot […] Ainsi en va-t-il dès lors qu’on juge en fonction de la couleur de peau, de la religion et non en vertu de principes universels. » Pour les gardes rouges du politiquement correct, un homme de droite ne sera jamais assez antiraciste.
 
Autre leçon : il y a encore trop de prises de parole purement « réactives » et émotives dans notre camp. À la notable exception de Charlotte d’Ornellas (évoquant les « crispations sans doute légitimes » des Français), les défenseurs du choix de Mathilde ont allègrement mélangé, avec une rare violence, les « twittomanes compulsifs » et ceux, majoritaires, qui pensent que le moment pour donner le rôle de Jeanne d’Arc à une Métisse est extrêmement mal choisi. Les personnes qui, avec des accents particulièrement méprisants, n’ont eu que le mot « raciste » à la bouche n’ont tout simplement pas compris que beaucoup de Français, à force de se faire piétiner, n’ont plus la force de conserver leur sang-froid et de rester polis. Puisque la démocratie est un leurre, il ne reste plus qu’Internet, ou certains stades de foot, comme espace de liberté. Alors oui, il y a des Français grossiers et certainement xénophobes (de cette « aversion » xénophobe que le penseur catholique Jean Madiran considérait comme un signe de bonne santé mentale), mais que les donneurs de leçons de la bonne bourgeoisie catholique conservent leurs anathèmes pour nos adversaires et se mettent à évangéliser ce peuple qui n’a pas eu la chance de grandir dans des familles « bien comme il faut ».

Ainsi, la plus grande peur de la droite en 2018 n’est pas de manquer de charité à l’égard des plus faibles, de formation intellectuelle ou de courage, non, c’est d’être « raciste ». Bref, l’ennemi a bien verrouillé le débat, imposant les limites morales autorisées. En France, tout le monde se droitise, sauf la droite.

Certes, les Fêtes johanniques ne sont pas un « biopic ». Mais point d’hypocrisie : le rappel des événements de 1429 est bien au cœur de cette célébration avec une reconstitution du parcours de Jeanne d’Arc intra muros. Toute patrie est une famille, l’histoire de notre patrie est donc une histoire de famille. Il est donc légitime de souhaiter que notre libératrice, une brave fille de chez nous, soit incarnée par une jeune femme au visage de chez nous. Il est regrettable que Mathilde soit prise dans ce tourbillon, mais l’enjeu est beaucoup plus large : la France n’est-elle qu’une culture littéraire, une mémoire historique et une foi (auquel cas, un Gabonais catholique serait plus français que Baudelaire ou Dominique Venner), ou bien est-ce aussi une réalité vivante, c’est-à-dire un peuple avec un certain visage, celui de nos ancêtres gréco-gallo-romains qui s’est perpétué jusqu’à nos jours ? Si nous refusons cette réalité, alors notre vision de la France, désincarnée, n’est qu’un pâle décalque « de droite » du discours républicain réduisant notre pays à Marianne.

Source Boulevard Voltaire cliquez ici

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Cachez ce mâle que je ne saurais voir !

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Claude Bourrinet 

Les chiffres, quand ils sont pris dans une globalité qui arase les singularités, ce qui est le cas des statistiques, servent souvent à des fins propagandistes. La « découverte » qu'un tiers des femmes, les moins obèses (les goûts ayant évolué depuis la préhistoire) sont « victimes » de harcèlements sexuels dans le travail, visent, bien évidemment, à continuer la démolitions du mâle et de son prétendu pouvoir dans une société libérale qui cherche frénétiquement à s'éloigner des lois naturelles.

Car, au fond, dans ce qu'il est convenu d'appeler la « civilisation occidentale », dont les aspirations passent désormais par le truchement de la technoscience et de la marchandise, un lopin de jungle dans un univers bétonné, une errance de renard ou de sanglier dans une rue de mégalopole, semblent aussi incongrus qu'un poisson juché sur une bicyclette. L'être humain étant, somme toute, encore un animal, bien qu'on lui prédise des lendemains mutants, il semble en même temps normal et impensable qu'il se laisse aller à ses instincts ataviques dans un cadre, comme celui du travail, qui, par définition, a pour vocation de contredire la nature. De là le scandale.

Sans vouloir nier le phénomène, et même en s'étonnant qu'il ne soit pas plus large – mais il faut peut-être envisager l'hypothèse que certaines femmes, peut-être nombreuses, n'ont rien eu à dire d'être ainsi « harcelées », et y ont même trouvé leur compte - on notera qu'il n'est pas question, dans cette étude, des hommes harcelés par leurs vis-à-vis féminins, les premiers, par pur masochisme, sans doute, n'y voyant aucun inconvénient. Il faudra aussi nous expliquer comment draguer, à moins qu'on nous enjoigne de relire Platon, et de s'en prendre aux âmes, plutôt qu'aux corps. Mais on sait que l'homme n'est pas un philosophe né, et même qu'il est un misérable pécheur.

Toujours est-il que, face à cette exorbitante mise en relief des « dérives » sexuelles, dont l'objectif est de déconsidérer le mâle, donc la nature, les multiples violences, sociales, symboliques (le sexe est partout dans les médias, ainsi que les pulsions les plus crues), politiques, policières, judiciaires, et j'en passe, sont occultées, ou seulement évoquées de façon pudique, l'intérêt de les voiler étant probablement immense.

La vérité est que nous vivons dans un monde où les codes de conduite, les repères moraux, les contrôles familiaux, la décence élémentaire, comme aurait dit Orwell, ont éclaté sous l'action nihiliste de la marchandise, de l'exploitation capitaliste, de la pression libérale, et du dérèglement conséquent des mœurs. Face à ce vide, l'autorité, largement contrôlée par des lobbys minoritaires et variés, n'a plus que la violence des lois, et la peur qu'inspire la police, pour établir un ordre, qui risque bien d'être celui des cimetières, ou ce profond ennui mélancolique qui règne dans les quartiers puritains, le dimanche, où, du reste, se succèdent, le long des trottoirs, temples et sex shops.

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Mai 68 : Jack Marchal invité par Martial Bild

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Jan-Marie Le Pen invité de Soir 3

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LA TURQUIE, POSSIBLE DÉTONATEUR D’UNE CRISE PROCHAINE DE LA DETTE

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Marc Rousset

Les raisons à venir d’un krach financier sont malheureusement très nombreuses et pourraient concerner de nombreux pays. La Turquie, dont on ne parle jamais, pourrait bien être le canari dans la mine de l’explosion de la dette. Comme la France médiatique de Macron, la Turquie est censée bien se porter mais, en fait, son économie très fragile est au bord du gouffre.

Les entreprises turques sont trop endettées en dollars et la réaction du dirigeant autocratique Erdoğan face aux Kurdes, au coup d’État manqué de Fethullah Gülen avec la bénédiction des États-Unis, aggrave la situation. Suite à l’arrestation de 60.000 personnes, au licenciement de 150.000 autres, les intellectuels et les possédants, et non plus seulement les classes populaires, quittent aujourd’hui le pays.

La corruption est omniprésente ; le niveau de l’éducation baisse et les tribunaux sont ultra-politisés.

L’inflation est de 11,9 % en 2017, tandis que la livre turque, de 0,5 euro en 2011, n’en finit pas de s’effondrer à 0,22 euro en février 2018, ce qui renchérit la dette de 450 milliards de dollars aux créanciers étrangers, dont 276 milliards en euros et dollars. Les taux d’intérêt, en Turquie, sont passés de 6 %, en 2013, à 12 %, en 2018. Les taux américains ainsi qu’européens pour les dettes des entreprises libellées en devises étrangères sont, eux aussi, en augmentation rapide. 170 milliards de dollars doivent être remboursés en 2018. La dette extérieure, qui représentait 39 % du PIB en 2012, s’élève aujourd’hui à 58 % du PIB.

La bulle immobilière est en train d’exploser, avec une augmentation des faillites de 120 % dans le bâtiment et les travaux publics. Des constructions immobilières sont déjà à l’arrêt au milieu de tours gigantesques, de bureaux et de logements en surnombre. On sent la démesure avec le nouvel aéroport d’Istanbul, le plus grand du monde (200 millions de passagers), les appels d’offres pour un deuxième Bosphore, le « Grand Canal Istanbul », ainsi que pour le plus grand tunnel au monde « Eurasia » devant relier l’Europe et l’Asie avec un tunnel à trois voies superposées en étages.

La bulle boursière est aussi sur le point de crever, suite à la hausse des taux d’intérêt et à la fuite des capitaux. Depuis la tentative de coup d’État en 2016, les actions turques ont quasiment triplé.

Une menace de plusieurs milliards de dollars pour non-respect des scandaleuses sanctions imposées par les États-Unis pour commerce non autorisé avec l’Iran pèse sur les banques locales turques, alors qu’un banquier turc a déjà été reconnu coupable par un tribunal new-yorkais.

La Turquie, hors Union européenne et Suisse, est le 4e partenaire commercial de la France, ce qui pourrait avoir des conséquences, en cas de défaut turc, pour des ventes de missiles antiaériens, pour les 400 entreprises françaises implantées, dont Renault et Peugeot. BNP Paribas a déjà déprécié la valeur de sa filiale dans son bilan. Quant au flux des migrants afghans, syriens et irakiens, momentanément tari contre le versement d’une honteuse et stupide rançon annuelle, à Erdoğan, de trois milliards d’euros, alors que nos pères européens auraient déjà depuis longtemps envoyé des navires de guerre au large des côtes turques pour régler le problème, il pourrait reprendre !

Si Erdoğan devait mettre en place un contrôle des capitaux, l’impossibilité pour les investisseurs étrangers de vendre des obligations et des actions contre des devises fortes aurait pour effet de déclencher un krach financier.

La crise des liquidités en Turquie pourrait, alors, ressembler à celle de la Thaïlande en 1997 et à celle de la Russie en 1998, mais au-delà de la crise ponctuelle d’un pays, cela pourrait bien être, dans le contexte mondial actuel, l’étincelle imprévue qui met le feu aux poudres dans les pays émergents, en Europe, à Wall Street, Shanghai et Tokyo.

08:06 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Michel Golliard, un militant nous a quitté

csm_40_Michel_GOLLIARD_a115f1462b.jpgJean-Claude Rolinat

C’est avec tristesse que nous avons appris la disparition, à l’âge de 58 ans, de notre ami et camarade Michel Golliard.

Militant du FN-92 au début des années 1980, tout d’abord responsable des jeunes de cette structure, il participa à toutes les actions militantes de cette fédération, secondant activement Jean-Yves Le Gallou dans ses campagnes électorales à Colombes. Après la crise des années 1998/1999, il était resté fidèle au parti de Jean-Marie Le Pen, rejoignant le Parti de la France après la mainmise de Marine, sur le Front National. Toujours souriant, gentil et fidèle à ses idées, il était de toutes les manifestations jusqu’à ce que ses ennuis de santé l’éloignent de la politique active.

Nous garderons le souvenir d’une personne de qualité, disparue trop vite du monde des vivants. Adieu Michel, nous pensons à toi, en souvenir des heures magnifiques passées ensemble.

07:09 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |