vendredi, 23 avril 2021
La France sur un volcan
A tout juste un an de la présidentielle, le jeu des prévisions est difficile. Après les crises sociales – « gilets jaunes », réforme des retraites –, la crise sanitaire, avec son lot de conséquences économiques et sociales, bouleverse encore davantage le pays. Les répercussions de la présidentielle de 2017 se font encore sentir. La droite se cherche un leader, la gauche reste très fragmentée et les écologistes, s’ils ont marqué des points dans l’opinion, peinent à en trouver une traduction politique nationale. Seuls Macron et Marine Le Pen figurent en tête dans tous les sondages. Mais rien n’est joué pour autant. Pascal Perrineau, longtemps à la tête du Cevipof (Centre de recherches politiques de Sciences po) aujourd’hui professeur émérite des universités, et qui observe la vie politique française depuis longtemps, répond ici aux questions posées par Les Echos. Un mot résume tout : désarroi.
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Éric Zemmour vers une candidature ? Deux signes de sa part qui ne trompent pas
Frédéric Sirgant Boulevard Voltaire cliquez ici
La question de la candidature d’Éric Zemmour qui agitait la droite, il y a quelques semaines, semblait oubliée depuis que les sondages ne cessent de présenter Marine Le Pen comme l’indépassable horizon de la droite pour 2022. Même la fondation Jean-Jaurès l’affirme : elle pourrait être élue si, et si, et si.
Mais ne voilà-t-il pas qu’Éric Zemmour vient d’envoyer, coup sur coup, deux signes que ses partisans interpréteront comme des cartes postales en vue d’une éventuelle candidature.
D’abord, lui qui se cantonnait à sa chaire de CNews et qui était assez distant des réseaux sociaux vient d’ouvrir plusieurs comptes à son nom. Selon Valeurs actuelles, « Éric Zemmour débarque et cartonne sur les réseaux sociaux. Pour attirer la jeunesse, l’éditorialiste vient de se lancer sur différentes plateformes. » Les RS en question ? Instagram, Facebook, TikTok ainsi qu’une chaîne Telegram qui « sont venus accompagner le compte Twitter de l’éditorialiste, déjà suivi par plus de 127.000 personnes ». Et ce nouveau pas vers un élargissement de son audience médiatique et populaire s’est accompagné du dévoilement d’une « signature » : il se met à « signer ses tweets avec les initiales “E.Z.”, comme au début du mois d’avril, quand il souhaite une joyeuse fête de Pâques à ses followers ». EZ versus EM ?
Mais il y a un autre signe plus fort, car plus profond et plus personnel. Dans sa dernière chronique du FigaroVox, publiée mercredi soir, il conclut sa recension du livre de Christophe Dickès sur Bainville par le testament angoissé du vieil historien se reprochant de n’avoir pas assez agi alors qu’il avait tout prédit sur les périls des années 30. Une sorte de miroir tendu à Éric Zemmour un siècle après et une chronique en forme d’introspection :
« Son fils, Hervé, a raconté à Christophe Dickès le désespoir de ses dernières années : “Tout ce que j’ai fait est stérile…” Il regrette de ne pas avoir participé à la vie politique de manière plus active. De ne pas avoir abandonné son métier de journaliste. Il rumine sans apitoiement sur soi : “Pourquoi si bien prévoir et pouvoir si médiocrement ? J’ai toujours eu le tort de ne pas viser assez haut. Excès de fausse modestie, fausse fierté ! Méfiance exagérée de soi même, sentiment d’impuissance”. »
C’est tout son dilemme qu’Éric Zemmour décrit ici. Le parallèle n’a rien d’excessif et il est, somme toute, assez juste. Il relevait aussi, dans sa chronique, cette sentence de Bainville sur la politique française des années 30 : « Ce qui est dangereux et haïssable, c’est le simulacre de l’action. » Là encore, nos dirigeants dépassés ressemblent à ceux de la IIIe République finissante.
Au moment où un Président lance avec légèreté et en anglais qu’il faut « déconstruire notre Histoire » et reste en même temps sans réponse devant une femme voilée s’inquiétant que son enfant ne connaisse pas le prénom Pierre, comment Éric Zemmour, qui a parfaitement diagnostiqué le mal français depuis vingt ans, et précisément sur cette question des prénoms et de l’assimilation, ne ressentirait-il pas le puissant appel de l’action ?
Alors, le prochain débat d’Éric Zemmour ? Face à Emmanuel Macron ? Mais pas sur CNews. Et en mai 2022.
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Un nouveau livre consacré à Eugène Deloncle et à la Cagoule vient d'être édité par Dualpha
Dans la nuit du 23 novembre 1937, Marx Dormoy, le ministre de l’Intérieur, convoque la Presse en urgence pour lui révéler la découverte d’un fantastique complot : après six mois d’enquête, la Sureté nationale a lancé une série de perquisitions qui lui a permis de saisir un millier d’armes, certaines parmi les plus modernes dont ne disposent ni l’Armée ni la Police, comme les pistolet-mitrailleurs Bergmann et Beretta, dix mille grenades, d’un modèle très original, et deux cent mille cartouches. À la tête de la conspiration, un ingénieur-conseil aux Chantiers de Penhoët, Eugène Deloncle. Ce dernier a recouvert la France d’une vaste organisation calquée sur l’Armée, avec un premier, un deuxième, un troisième et un quatrième bureau et a réparti ses effectifs en divisions, brigades régiments et bataillons.
Eugène Deloncle, de La Cagoule au MSR, Patrice Delhomme, Dualpha, 2021, 358 pages, 31 €
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jeudi, 22 avril 2021
Pierre Jovanovic : "Comment tous ces gens étaient-ils au courant ?"
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Lynchage médiatique et racisme anti-blanc
Christian Dalsug
Dans une ville tenue par la gauche, le procès de la police, de l'ordre, des Blancs. Dehors, une foule surexcitée qui exige une peine maximum. Et au-delà de cette foule, dans tout le pays, une presse, des politiciens, des organisations qui entre tiennent le lynchage en distillant une haine féroce. Voilà le tableau. Et son verdict sans surprise : coupable, trois fois coupable. La ville, c'est Minneapolis, dans le Minnesota. Celui qui est au banc des accusés, c'est Derek Chauvin, policier au commissariat central. Le 25 mai 2020, à la suite d'une technique de maîtrise corporelle très efficace et enseignée dans toutes les écoles de police, Chauvin constate que l'homme qu'il vient d'arrêter est sans connaissance. Il mourra durant son transfert à l'hôpital. La victime est noire. Le « tueur » est blanc - forcément. Donc, à l'évidence, crime raciste. Simple fait divers qui enflarnrne l'Amérique pour des mois.
George Floyd,la victime, était tout sauf un père de famille exemplaire, un pieux protestant et un citoyen irréprochable qui aurait été la proie désignée et mal heureuse d'une brutalité flicarde et naturellement raciste. Cela, c'est le faux Floyd,le Floyd de la propagande, celui des manœuvres, d'un montage, d'une imposture qui a débouché sur une parodie de justice. Le vrai Floyd ? Un colosse de 46 ans pesant plus d'un quintal, un dangereux multirécidiviste, un habitué des vols à main armée et des séjours en prison, un individu fiché et connu pour sa régulière consommation de drogues « dures ». Le 25 mai 2020, Chauvin a voulu l'immobiliser. La prise dont il s'est servi exigeait le maintien de son genou sur la nuque du suspect durant plu sieurs minutes. Ce fut un geste de trop. En apparence, il provoqua la mort par asphyxie. En réalité,l'organisme de Floyd, délabré par de lourds dommages aux muscles cardiaques et respiratoires dus aux stupéfiants, fut incapable de supporter une épreuve prévue pour des individus en pleine possession de leurs moyens.
Ce geste de trop, qui n'est pas un geste de criminel, vaudra peut-être à Chauvin 4 0 ans de prison. Mardi après-midi, les jurés l'on déclaré coupable des trois chefs d'accusation retenus contre lui. Verdict dans deux mois. Son défenseur fera appel : le procès aurait dû se tenir dans une autre ville que celle où eurent lieu les faits incriminés. Et les jurés auraient dû être séquestrés pour leur éviter toute pression venue de l'extérieur. Or, des pressions, il y en eut, et d'innombrables. Toutes les officines se réclamant de l'antiracisme se muè rent subitement en brûlot d'un racisme anti-blanc. Dans une atmosphère tendue, empoisonnée, cette manœuvrese transforma en chantage : Condamnez lourdement Chauvin ou la rue se soulèvera et des villes brûleront. Le sort de l'inculpé était donc fixé bien avant la réunion des jurés. Le simulacre dans ce genre de procès semble désormais le prix àpayer pour les nombreux succès de la subversion qui dicte ses principes et impose sa loi.
Source : Présent 22/04/2021
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REJET DE L’IVERMECTINE CONTRE LE COVID : À QUOI SERT DONC L’ANSM ?
Un communiqué du Mouvement national républicain (MNR) :
Le 31 mars 2021, l’Agence Nationale de la Sécurité du Médicament a rejeté une demande de Recommandation Temporaire d’Utilisation pour l’Ivermectine contre la covid 19, estimant que :
« il ne peut être présumé d’un rapport bénéfice/risque favorable de l’Ivermectine en traitement curatif ou en prévention. »
L’ivermectine est un médicament antiparasitaire connu depuis longtemps, et très peu cher. Son efficacité contre la covid était apparue en mars 2020 dans un EHPAD de Seine-et-Marne, à l’occasion du traitement d’une épidémie de gale. Depuis, dans divers pays, de très nombreuses observations montrent son efficacité, en prévention et à tous les stades de la maladie.
« Pour accorder une RTU, la loi ne prévoit que deux conditions : une présomption d’efficacité et un minimum d’effets indésirables afin d’établir un rapport bénéfice/risque favorable. Or I’ivermectine est un des médicaments les plus sûrs de la pharmacopée mondiale. » (dr. Gérard Maudrux).
Il est vraisemblable qu’avec ce médicament, l’engorgement des hôpitaux ne serait plus à craindre, et de nombreux morts auraient pu, et pourraient encore être évités.
Au moment où l’activité économique est au point mort, ainsi que le moral de la population, peut-on espérer que les « autorités » sanitaires se montrent moins timorées, (ou peut-être moins corrompues) ?
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mercredi, 21 avril 2021
Bernard Gantois invité de l'émission "Synthèse" sur TV Libertés
L’automobile est dans le collimateur du pouvoir, qui a multiplié depuis des années les mesures coercitives contre elle et ses usagers. L’assassinat en cours d’être perpétré n’a rien d’un acte gratuit. Bernard Gantois, auteur de l’ouvrage « Autopsie d´un assassinat – En route pour une dictature mondiale » (Éditions de Chiré), que nous recevons dans cette nouvelle émission « Synthèse » (animée par Roland Hélie, Philippe Randa et Pierre de Laubier), nous alerte sur l’urgence de défendre cette liberté essentielle de déplacement individuel, tout autant que collectif.
Plus encore, ce sont les libertés, telles que les entendaient les anciens, qui doivent disparaître avec l’automobile, avec les derniers reliquats de l’ancien monde – souveraineté des nations, civilisation occidentale et religion d’un Dieu tout à la fois transcendant et incarné – pour faire définitivement place nette au Léviathan tapi, tel le Minotaure en son labyrinthe, derrière les prétendues conquêtes d’une modernité plus que jamais liberticide. Il faut remonter le fil d’Ariane en compagnie de l’auteur, spécialiste des politiques publiques en matière de transport, pour découvrir le mobile caché du crime.
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Il serait temps d’avoir une lecture ethnique de la France
En visite dans un quartier sensible de Montpellier, Emmanuel Macron a été interpellé par une habitante sur l’augmentation de la concentration de la population d’origine étrangère sur place. La démographe, MichèleTribalat dresse l’état de la situation.
Michèle Tribalat est une ancienne chercheuse à l’Institut national d’études démographiques (Ined). Elle étudie les questions de l’immigration en France, de l’intégration et de l’assimilation des immigrés et de leurs enfants. Auteur de plusieurs ouvrages salués par la critique, Michèle Tribalat a notamment publié « Les Yeux grands fermés : l’immigration en France » (Denoël, 2010) et « Statistiques ethniques, une querelle bien française » (Éd. L’Artilleur, 2016).
A lire ICI
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Vous avez dit sécurité ! Quelle sécurité ?
Le billet de Patrick Parment
Une fois de plus, nos dirigeants se foutent littéralement de notre g… et réduisent la démocratie à son plus petit dénominateur commun. Ce qui explique en grande partie les taux d’abstentions records aux élections quelles qu’elles soient. De quoi s’agit-il ? Tout simplement de la bouglionesque prestation d’Emmanuel Macron en matière de sécurité. A l’image d’un Sarkozy – il n’est pas plus grand, 1m10 et 3 de tension – Macron veut nous montrer qu’il a du muscle. Cette pantomime, tous, de droite à gauche, nous l’ont déjà faite et notamment les ministres de l’Intérieur de Pasqua à Sarkozy en passant par l’Espagnol « qui n’a pas une goutte de sang français », Manuel Valls.
On n’a jamais vraiment su si Macron était de gauche ou de droite pour la bonne raison que sur le fond, il n’est rien. Mais en bon énarque qu’il est, le calcul est très simple concernant sa prochaine candidature, elle se jouera à droite, la gauche ayant quasiment disparu du paysage. Elle est en pleine dérive, au point, et là on se marre franchement, que l’insoumis de mes fesses, Jean-Luc Mélenchon déclare qu’il se sent « Maghrébin européen ». Il a dû trop fumer de pétard dans son périple sud-américain. Car en matière de classification des races, on ne sait toujours pas à quoi cette espèce correspond. Mais à l’heure des transgenres et des manipulations génétiques, une nouvelle race est peut-être née, le gaucho-méchancon-sapiens !
Mais revenons au camarade Macron et à ses biceps. Inutile d’être Madame Soleil pour savoir que si tout doit se jouer à droite, il suffit alors d’en épouser les grands thèmes : l’immigration et la sécurité. Ca mange pas de pain et ça peut rapporter gros… Sauf que… Sauf que ce scénar, on nous le fait à chaque élection et ça donne quoi ? Sarkozy a purement et simplement supprimé plus de 10 000 policiers et gendarmes de la carte du pas-tendre-du-tout et que depuis quatre ans qu’il est aux manettes, le Sieur Macron a vu la délinquance et l’insécurité exploser sous son nez. On ouvre à peine un journal que les meurtres d’individus de races bien déterminées nous sautent aux yeux : Maghrébins, Pakistanais, Subsahariens Tchetchènes, Tsiganes roumains, j’en passe et des meilleurs.
Il y a même une justice qui se réfugie derrière la maladie mentale pour absoudre certains d’entre eux qui s’avèreront de joyeux récidivistes. Quant aux expulsions, on frise la rigolade. Les sacro-saintes lois démocratiques permettent à de savants avocats d’effectuer des tours de passe-passe devant des magistrats qui ne demandent qu’à se faire enfumés. Nos amis les pandores ne cessent d’ailleurs de se plaindre de leur laxisme. Au risque de figurer sur le « mur des cons » érigé par le sacro-saint Syndicat de la magistrature.
Alors Macron, me direz-vous ? De l’esbroufe mon cher Watson. Car il suffit d’interroger des juristes sérieux pour qu’ils vous répondent franchement que les lois pour lutter aussi bien contre la délinquance que l’immigration clandestine sont là et qu’il suffit de les appliquer. C’est franchement pas plus compliqué que ça. Le vrai problème est donc que l’Etat est incapable de faire appliquer les lois qu’il fait voter. Et c’est bien là que ça devient surréaliste.
Sauf que la réalité demeure, les Français en ont ras-le-bol qu’on leur marche sur les pieds, que des ministres au lieu de combattre l’islam politique se rendent dans des mosquées qui n’auraient jamais dû voir le jour, dès qu’un moindre tag « raciste » y est apposé. Marre qu’une classe politique se couche devant la pression qu’exercent les islamistes sur nos institutions, et l’école notamment. Les Français veulent que règnent les lois françaises dans leur pays et mieux encore qu’on les applique. Au lieu de cela , tout un chacun a bel et bien le sentiment que nous sommes devant des pouvoirs faibles et incapables de réagir face aux multiples agressions dont les Français font les frais dans leur quotidien. Un pouvoir fort n’est pas incompatible avec une démocratie digne de ce nom. Car nos démocraties ont le droit de se défendre face à ceux qui refusent ses règles du jeu. Encore faut-il s’en donner les moyens.
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mardi, 20 avril 2021
Entrevue avec l'avocat Reiner Fuellmich
18:44 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Méphisto-Macron joue avec le feu
Bernard Plouvier
Notre Génial Président-Dictateur-Général (PDG, pour faire court) s’est mué en démagogue : dépenses folles, déroute des magistrats qui ne rendent plus la « Justice », enfin mépris ouvertement affiché de la police.
Il est évident que la République macronienne non seulement « ne marche pas », mais encore expose au risque d’explosion sociale. De Gaulle disait au milieu des années Soixante : « Moi ou le Chaos ! ». Macron, c’est l’apprenti-sorcier qui mène directement à la banqueroute de l’État – ce n’est pas chose nouvelle en France -, mais aussi à la guerre des races et des religions sur le sol métropolitain. Bref, Méphisto-PDG risque d’incendier le pays.
Là encore, ce n’est pas nouveau : on a connu la chose en 1792-94, et ça s’est terminé en guerre continentale, puis en invasion : Prussiens, Autrichiens, Russes et Britanniques se sont retrouvés maîtres de Paris en 1814 et en 1815. Cette fois-ci, le Finis Franciae aura un goût de charî’a et la Reconquista risque d’être fort longue et fort coûteuse.
Le Macron nouveau, né avec sa « guerre du coronavirus », est à l’opposé du jeune politicien arrogant et volontariste de 2017-18, qui voulait réduire les dépenses de l’État et créer des emplois. Tel qu’il s’y prenait – par la méthode économie globale et immigration-invasion -, c’est raté d’avance, mais le suicide français se faisait avec un certain panache : on allait droit dans le mur, mais avec enthousiasme !
En 2021, le tableau est tout différent :
1 – Le Macron nouveau explose la Dette, non par des investissements productifs ou générateurs d’emplois nouveaux, mais en inondant le pays de « dons d’État », octroyés en une monnaie de singe à l’imitation de ce qui se fait partout ailleurs : on crée du jour au lendemain des milliards d’euros, $, £, Yen ou Yuan, sans la moindre contrepartie en production de biens, simplement pour gérer une panique liée à une virose épidémique qui tue selon l’éternel principe de la sélection naturelle.
Macron fait « comme les autres »... c’est-à-dire qu’il se comporte comme les autres crétins qui pilotent à vue, voire sans visibilité. Bref, notre distingué Super-PDG est remplaçable comme n’importe quel charlatan expert ès n’importe quoi.
2 – La « Justice » aux mains d’un curieux avocat blanchit à tour de bras des criminels qui presque tous sont des Africains et généralement des mahométans. Manifestement, notre brillante magistrature hyper-politisée et maçonnisée à outrance oublie le Code pénal, regarde un peu trop du côté des prisons – que l’on peut facilement vider en réexpédiant dans leur continent d’origine les extra-Européens qui forment une énorme partie des locataires – et envisage avec terreur le risque d’une expérience populiste française.
Et franchement, pourquoi avec terreur ? Car seuls les terroristes, les criminels, les canailles d’affaires devraient avoir peur d’une « Justice » équitable !
3 – Le Macron nouveau – en dépit de discours non suivis d’effet – se détache du soutien aux policiers et aux gendarmes. L’usage de la « violence légitime » - celle des forces de l’ordre affrontant des criminels et des émeutiers – est désormais contesté en Macronie. L’héritage de 20 siècles de civilisation est sacrifié sur l’autel d’une réélection devenue très problématique. Super-Macron lorgne l’électorat extra-européen !
Mais il y a plus grave que la déculottée méritée de Génial-PDG. Lorsque la guerre ouverte des races et des religions remplacera la guérilla qui existe depuis un quart de siècle, avec quoi nos brillantes « élites » la combattront-elles ?
Avec des policiers et des gendarmes démoralisés par la démagogie des politiciens veules – et trop souvent corrompus, ou avec des militaires dont 25 à 30% selon les armes sont d’origine extra-européenne... au point qu’en lieu et place d’aumôniers chrétiens, l’on engage désormais des imams ?
Les Français de souche européenne en sont à minuit moins cinq : ils sont encore majoritaires. Ils ont encore le pouvoir démocratique – celui apporté par la Loi du Nombre – de stopper les sottises et de tourner le dos aux « élites » veules, lâches, prostrées devant le veau d’or... en passe de se prosterner devant un dromadaire doré.
14:17 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Une délinquance exponentielle
Nos concitoyens sont nombreux – pour ne pas dire majoritaires – à estimer que la violence contre les personnes s’est affranchie de toute limite. C’est l’une des conclusions à laquelle arrive Jérôme Fourquet, directeur du pôle opinion et stratégies d’entreprise de l’Ifop, qui analyse ici le phénomène, estimant que cela sera l’un des enjeux majeurs des futures élections. Il faut bien dire que la réalité ne nous incite guère à l’optimisme et il faut être un sectaire de gauche à la Mélenchon, qui se définit désormais comme un «Maghrébin européen», pour estimer que l’immigration et les migrants – clandestins ou pas – n’y sont pour rien.
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lundi, 19 avril 2021
Mercredi 21 avril : Bernard Gantois invité de l'émission Synthèse sur TV Libertés
18:46 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les Arcs-sur-Argens, paisible commune du Var...
Jacques Mayadoux
Les Arcs-sur-Argens, paisible commune du Var, située à quelques kilomètres de Draguignan et de Fréjus connait une agitation peu ordinaire et la presse nationale s’est emparée d’un fait divers suite à l’occupation par des squatters depuis le 27 septembre 2020 d’une villa.
Peu importe leur nationalité, ces squatteurs qui ont pénétré par effraction dans cette habitation sont des voyous et interdisent à de paisibles citoyens de jouir de leur bien.
Les autorités (police municipale, gendarmerie nationale etc.), toujours promptes à verbaliser un malheureux passant ayant omis son attestation de déplacement ou de porter son masque, ne bougent pas. La préfecture se réfugie derrière le prétexte de la treve hivernale afin de justifier son manque de réaction. Jean Raspail, dans son livre prémonitoire Le Camp des Saints, publié en 1973, prédisait déjà cette invasion des migrants sans respect pour notre civilisation et la pleutrerie de nos gouvernants.
Aujourd’hui, nous voilà envahis par des hordes venues d'ailleurs et la majorité des hommes politiques nous parlent de "règles sanitaires".
Une manifestation s’est déroulée dans le calme ce samedi 17 avril. Manifestation de braves gens qui en ont assez de voir se dérouler sous leurs yeux une telle incurie. Avant de se disperser, à la fin de leur marche, ils ont entonné La Marseillaise, notre hymne national. C’est très bien, mais visiblement pas suffisant. Chacun est rentré chez soi, le préfet est rassuré, pas d’incident... et les squatteurs toujours en place.
Imaginons maintenant ces mêmes manifestants, armés de fourches et pourquoi pas de fusils, faisant le siège de la villa occupée illégalement aux cris de « Nous voulons rester maitres chez nous ! ». Monsieur le préfet aurait-il envoyé les forces armées face au peuple de France ?
Il est temps de réagir et de se dresser contre ces ennemis de la France et de nos lois. Les Français doivent réagir contre cette immigration invasion qui demain anéantira notre civilisation.
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Quand des magistrats ont pour des tueurs de flics les yeux de Chimène…
Entretien avec Philippe Randa,
directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés. cliquez ici
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
Comment réagissez-vous au verdict en appel dans l’affaire des policiers brûlés en 2016 à Viry-Châtillon qui a vu l’acquittement de certains prévenus et des peines atténuées pour d’autres ?
Je m’étonne de l’indignation, de la colère et de l’incompréhension que provoque ce verdict jugé trop « clément » (euphémisme)… Pourquoi celui-ci ? Parce qu’on parle dans ce cas précis de préméditation, de guet-apens, de volonté de tuer ? Ah bon ! Mais quasi-quotidiennement désormais, on nous relate que dans telle ou telle ville, chaque nuit, on tire au mortier sur les forces de l’ordre ou sur les pompiers, si ce n’est encore sur des citoyens… Sans qu’il y ait alors de préméditation, de guet-apens, de volonté de tuer ? Il faut nommer cette affaire de Viry-Châtillon comme il se doit et pour ce qu’elle est : un simple fait-divers… Certes deux policiers, dont une femme – tiens ! on n’a pas entendu les chiennes de garde du féminisme dans cette affaire qui a dû échapper à leur si sourcilleuse vigilance ! à moins que… – ont été transformés quelques minutes en torche humaine, cela a pu frapper quelques âmes encore trop sensibles, certes…
Le verdict est tout de même surprenant : des peines ont été diminuées et des prévenus condamnés en première instance ont été acquittés ; certains n’hésitent pas à parler de naufrage de la justice…
Un naufrage sous-entendrait que la justice ait sombré, donc qu’elle n’existe plus, ce qui n’est pas le cas : tout va continuer comme auparavant… Il serait plus juste de parler d’une Justice qui a muté, mais encore une fois, est-ce si nouveau ? Les verdicts rendus à l’encontre de délinquants issus de zones de non-droits pour des affaires de violences, certaines allant même jusqu’au sang versé, voir à des morts, sont-ils habituellement si différents ?… Dans ce récent procès de Viry-Châtillon, un des avocats généraux a fait remarquer dans ses conclusions que les accusés auraient selon lui « de l’empathie » pour leurs victimes et qu’ils constituaient, donc, de ce fait, « à ses yeux une richesse pour le pays»… Après les « chances », nous voici donc aux « richesses » pour la France ! Ce n’est plus « autres temps, autres mœurs », mais « autres procureurs, autres verdicts » et fait écho, finalement, au courroux d’Assa Traoré, sœur d’un délinquant, qui s’offusquait dernièrement dans les médias de l’acharnement policier et judiciaire contre sa famille ; je la cite : « On a mis tous mes petits frères en prison. Il faut savoir que cinq des frères d’Adama Traoré sont passés par la case prison. On a fait toutes les prisons d’Île-de-France »… Les médias désigne cette personne comme une « militante » ; en d’autres temps et en d’autres mœurs, ce n’est certes pas ainsi qu’elle aurait été dénommée.
C’est quand même une première qu’un procureur prenne ainsi fait et cause pour des prévenus, tout de même inculpés pour tentative de meurtre sur personnes dépositaires de l’autorité publique… D’un avocat de la défense, on aurait pu admettre, pour les intérêts de son client, qu’il tente le tout pour le tout, même une telle énormité, mais pas d’un procureur…
Pour ce procureur, il est probable que ce n’est absolument pas une énormité, mais une vérité : depuis plus de 40 ans maintenant, une partie de la population a grandi, formatée par des slogans du type « les immigrés sont une chance pour la France »… Donc, toute personne d’origine non-européenne ne peut être que le nec plus ultra de l’humanité, tandis que l’Européen, lui, ne peut être que le responsable de tous les maux de cette même humanité ; d’où les critères discriminants imposant le postulat de base que seuls les Blancs peuvent être racistes… ou politiquement, qu’être étiquetté « de droite », c’est forcément être « con », comme l’avait illustré le « Mur des cons » du Syndicat de la magistrature… Étonnez-vous ensuite que des magistrats aient pour des tueurs de flics les yeux de Chimène…
Pour vous, même après ce verdict contesté, rien ne va changer ?
Je ne prédis pas l’avenir, je me contente de constater que des verdicts aussi décriés que celui rendu à Viry-Châtillon dans cette affaire, sont monnaies courantes dans les tribunaux français depuis des décennies – je ne suis pas le seul à le dire – et que ce « scandale » comme certains l’appellent n’est ni une première ni sans doute le dernier. Après la Ire Guerre mondiale, un slogan faisait florès dans l’Opinion publique : « Plus jamais ça ! » avec les suites connues… Aussi, peut-on juste se demander qu’elle seront les possibles prochains verdicts dans des procès similaires : décoration des accusés ? Condamnation de policiers ou de jurés pour leur harcèlement envers des populations dont les ancêtres auraient tant et tant soufferts ? Tout est possible au jeu de massacre du bon-sens qu’offre actuellement la société française…
18:11 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le signe de la bête
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La geste d’une reine
Bertrand de Saint-Vincent
Les images des funérailles s’enchaînent dans un alignement tiré au cordeau. Nulle place pour l’amateurisme ou l’inspiration de dernière minutes dans ce ballet dicté par les siècles. Pour ses adieux au prince Philip, la monarchie britannique a sorti le grand jeu. Parade militaire dans les allées du château de Windsor. La famille, réduite aux plus proches - 30 personnes — avance d’un pas égal derrière le Land Rover, dessiné par le duc d’Édimbourg, sur lequel repose son cercueil ; une casquette et un sabre d’officier trônent sur ce dernier.
Sur son passage, les gardes inclinent respectueusement la tête. Émotion et humilité. Les larmes du prince Charles, le collier de la reine, que porta un jour Diana, resplendissant autour du cou de Kate Middleton. Il n’y a pas de hasard. Le soleil se reflète sur la carrosserie de la Bentley bordeaux à bord de laquelle a pris place Elizabeth II; il fait scintiller les décorations épinglées sur les habits noirs des Royals. Le ciel est d’un bleu roi, l’air limpide. La musique d’un requiem sur mesure : trompettes de la Royal Navy, sifflement des pipes de marins, notes de cornemuse du régiment royal d’Ecosse. Le son du canon et celui des cloches, l’hymne britannique – God Save the Queen – et les chants religieux. Une minute de silence réunit le royaume.
A l’entrée de la chapelle Saint-Georges, l’archevêque de Canterbury accueille la souveraine. Le moindre geste est millimétré. La procession funéraire n’a pas excédé huit minutes. Seule au monde, une vieille dame pénètre dans l’église et s’assoit dans la stalle qui lui est réservée. Au-dessus de son masque noir, son regard perdu fixe le vide qu’a laissé en elle le départ de son époux.
À la fin de la cérémonie, les caméras suivent un bref échange entre William et Harry. Tout cela ne formerait qu’un tableau magnifique, mais éphémère, si ces images n’étaient reliées entre elles par le lien sacré de la monarchie. C’est ce régime, à l’aura mystérieuse, qui confère à ces gestes leur grandeur et à une nonagénaire sans vrai pouvoir, celui, irritant pour certains, de sublimer le monde.
Source : le Figaro 19/04/2021
15:11 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sécurité et enfumage.
12:51 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Philippe de Villiers et la situation actuelle sur Sud Radio
12:49 Publié dans Sur les ondes libres, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 18 avril 2021
La France macronienne, c’est comme le poisson : elle pourrit par la tête !
Bernard Plouvier
Ah qu’elle est belle notre élite officielle – de moins en moins d’origine européenne, il est vrai !
En ce mois d’avril 2021, par un temps glacial – c’est un « printemps de réchauffement climatique », si, si ! – tout le monde officiel brait parce que des tags d’origine imprécise ont décoré – une fois n’est pas coutume – un centre culturel islamique de Rennes, en véhiculant des idées anti-mahométanes.
Quel drame ! Depuis un demi-siècle, des mahométans « niquent la France » en tous coloris de bombe à tags et tout le monde s’en moque. Certains rappeurs chantent même leur volonté de tuer du Blanc, singulièrement des bébés, et notre belle « élite » fait silence.
Alors rappelons un fait. Sur le sol métropolitain français depuis 2012, une trentaine d’attentats de fous d’allah ont tué plus de 270 personnes et en ont blessé plus ou moins grièvement un millier. C’est effectivement moins grave que des tags anti-mahométans !
D’ailleurs, quand l’on proteste - en mairie ou ailleurs - parce que des tags de « gentils immigrés » salissent (pour rester poli) des façades privées, déshonorent des monuments publics, les journaleux aux ordres - et même des officiers de gendarmerie - parlent de « culture de la ville », de « muralisme » etc., sans trop s’appesantir sur le message de haine anti-Blancs, de haine pour la France véhiculé par ces « œuvres d’art » !
En ce même mois d’avril 2021, on blanchit un tueur de juive, un mahométan africain et antijudaïque, au prétexte qu’on a découvert du haschisch dans ses urines... un médecin hospitalier sait bien que cette « découverte » est une banalité chez certains « jeunes » !
Peut-être qu’en affirmant cette évidence, on risque la prison ferme chez Macron et sa « Justice » curieuse... puisqu’un blogueur – certes parfois un peu agité et aussi un tantinet injurieux – se retrouve condamné à six mois ferme pour avoir affirmé qu’il « n’y avait pas de Celte noir »... ce qui, (comme le fait que les Peuls blancs n'existent pas non plus), est visiblement une évidence !
C’est sûr, « l’élite » française – politiciens, « juristes », conseillers médicaux du Génial Président-Dictateur-Général, journaleux et « artisses » - est mûre pour l’asile d’aliénés... mais un lointain confrère en médecine l’avait déjà écrit il y a trois quarts de siècle !
18:57 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Effondrement de la France et de l’Italie en 2022, si la croissance est faible
Marc Rousset
Le chiffre spectaculaire de la croissance chinoise de 18,2 %, au premier trimestre 2021, n’est qu’un trompe-l’œil, suite à un très faible premier trimestre 2020. Aux États-Unis, suite aux vaccins, à la relance gigantesque de Biden, à la politique laxiste de la Fed, il y aura un fort redémarrage, et même des risques de surchauffe, d’inflation de 3,7 %, avec un taux d’intérêt à 10 ans de 1,59 %, des mises en chantier de logements neufs au plus haut depuis 2006, mais le phénomène sera-t-il durable en 2022 et dans les années suivantes ?
En France, préoccupé par le surendettement de nombreux pays (Grèce 200 %, Italie 160 %, Espagne 122 % et France 117 %), Emmanuel Macron veut lancer la réforme des règles européennes sur la dette et le déficit. Même la vertueuse Allemagne n’a jamais autant emprunté (370 milliards d’euros en 2020). Selon les « sages » allemands de la Cour des comptes qui s’inquiètent de la fuite en avant du gouvernement Merkel, « sortir de la crise et de la dette par la seule croissance est irréaliste ». Mais exception faite de la règle selon laquelle les pays qui dépassent 60 % du PIB pour la dette publique doivent, chaque année, réduire de 5 % leur endettement, changer les règles ne changera rien à la réalité de la catastrophique situation financière et économique. La réalité, c’est également la Cour des comptes française qui redoute le manque de réalisme des prévisions actuelles, avec des dépenses à venir très supérieures, d’autant plus que les aides ne seront pas aussi rapidement débranchées que le prétend Olivier Dussopt, ministre des Comptes publics.
La réalité de la situation, c’est aussi que la France vient de dépenser, en 2020, 424 milliards d’euros pour les mesures de soutien, que les vaccins finiront probablement par prendre le dessus. Mais sans doute sera-t-on obligé de revacciner tous les six mois, en faisant face à de nouveaux variants et une crise sanitaire qui ne va pas se terminer miraculeusement en 2021. Les vaccins semblent seulement diminuer les taux de mortalité, mais n’empêchent pas complètement d’attraper le virus ni de le transmettre. Les prévisions de Paris pour les taux de croissance des prochaines années sont aussi jugées « optimistes » par le Haut Conseil des finances publiques. La croissance à venir dépendra, enfin, fortement de la propension des ménages à consommer ou à épargner, par crainte ou non de l’avenir.
La réalité, c’est qu’il y a des cycles en matière économique, qu’il y a eu 1929 mais que, suite au krach boursier du 9 mai 1873 à Vienne, Paris et New York, les États-Unis et l’Europe ont plongé dans un long marasme économique qui n’a pris fin qu’au milieu des années 1890.
L’Italie de Draghi laisse monter Macron au créneau, mais joue exactement le même jeu que la France. Draghi parie sur la croissance et une forte reprise de l’économie pour assainir la dette. Mais en 2021, il augmente les dépenses publiques de 40 milliards d’euros et révise à la baisse ses prévisions de croissance à 4,5 % et 4,8 % pour 2021 et 2022, avec un déficit public de 11,8 % du PIB en 2021 et une dette à 160 % du PIB, soit le plus haut niveau depuis 1921 ! « Nous parions sur la croissance » avec davantage d’investissements, nous dit Draghi, mais que se passera-t-il si les dettes sont toujours là mais que la croissance n’est pas au rendez-vous ? « Vous ne seriez pas le président du Conseil, on serait absolument terrifié par de tels chiffres », a pu lui dire une journaliste lors de sa conférence de presse.
Le drame, c’est qu’il y a de fortes chances, compte tenu des expériences passées, que les dépenses publiques seront plus élevées que les prévisions, aussi bien en France qu’en Italie et aux États-Unis, mais que les taux de croissance espérés ne seront probablement pas atteints. Auquel cas, l’optimisme actuel des marchés laissera place à une panique pire qu’en 1873 et 1929. La fausse prospérité des marchés boursiers provoquée par les délices des vaccins, du « QE », de l’endettement exponentiel, des bas taux d’intérêt, des dépenses publiques actuelles très élevées, des prévisions trop optimistes en matière budgétaire et de croissance, prépare l’effondrement à venir à partir de 2022. La seule véritable incertitude, c’est de savoir si l’effondrement probable aura lieu, dans un premier temps, dans un cadre déflationniste ou inflationniste.
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18:20 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 17 avril 2021
HERVÉ RYSSEN A ÉTÉ LIBÉRÉ CE MATIN
20:28 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
500 MILLIARDS…
C’est le coût de la gestion calamiteuse de l’épidémie de Coronavirus en France, pour fin 2021.
Cela fait plus d’un an que l’on voit les milliards d’euros sortir chaque jour comme par enchantement, sans pour autant que personne ne s’inquiète de cette dette de 7 500 € par habitant, qu’il faudra rembourser, alors que le docteur Micron promet 10 séances gratuites de psychothérapeute pour tous les petits Français de 7 à 17 ans…UBU loge à l’Elysée ! Et hop, encore un petit milliard pour aider les viticulteurs à cause du gel ! Mais combien dans 3 mois s’il y a une sécheresse ou des inondations suite au dégel ? Les bêtises succèdent aux idioties.
Pourtant, en matière budgétaire, deux règles règnent en maître à Bruxelles depuis le traité de Maastricht, signé en 1992, qui jetait les bases de la monnaie unique :
• Le déficit public des Etats ne devait pas dépasser 3% du PIB.
• La limite de l’endettement était fixée à 60% du PIB.
Ce sont bien les euros mondialistes (avec le Dr. Micron) du Conseil Européen qui ratifient les directives de la Commission Européenne, directives transposées ensuite dans les législations par chacun des 27 Parlements nationaux. C’est clair, net et précis, compréhensible par tous.
Et qui se souvient aujourd’hui des conséquences de la crise grecque de 2008 ? Car pour rejoindre la zone euro, en 1981, la Grèce avait maquillé ses comptes publics et falsifié son bilan économico-financier, sur les conseils de la banque américaine Goldman Sachs.
Fin 2020, la dette publique en Grèce atteignait 200% du PIB, son déficit annuel s’élevait à 5% du PIB et le taux de chômage se montait à 16% de la population active. Pourtant pendant plusieurs années les eurocrates de Bruxelles ont imposé des mesures drastiques aux Grecs :
• austérité budgétaire et fin des dépenses injustifiées,
• privatisations de fleurons industriels,
• baisse des salaires,
• diminution des retraites,
• hausse des impôts et chasse aux fraudes fiscales,
• suppression de postes dans la fonction publique et respect de la durée du travail.
Cela fait des années que le FMI américain, la BCE en Europe et les autres banques centrales mondiales font marcher la planche à billets jour et nuit, pour éviter que les Etats ne fassent faillite. Pourtant Maurice Allais, prix Nobel d’économie en 1988, avait déjà avertit il y a plus de 20 ans que « l’économie mondiale toute entière repose sur de gigantesques pyramides de dettes, prenant appui les unes sur les autres, dans un fragile équilibre ».
En violant leur statut, par le rachat d’obligations et d’actions pourries, les banques centrales ont fabriqué en permanence des bulles spéculatives sur le cours des matières premières, sur les actifs boursiers, sur l’immobilier et en créant un environnement financier instable et pénalisant la vie économique. Mais bizarrement, ni Christine Lagarde (BCE), ni personne, n’en parle.
Quand on fixe des taux d’intérêt artificiellement bas, sans se soucier de la solvabilité de l’emprunteur et de la durée du crédit, on est dans le déni complet du risque financier.
Certains d’entre nous ont déjà tiré le signal d’alarme à plusieurs reprises et il est probable que l’explosion d’un krach financier mondial suivra la crise Covid-19, après la fin des aides, prêts, dons, subventions et allocations diverses. Mieux vaut savoir et se souvenir des conséquences néfastes subies par la Grèce il y a déjà treize ans.
20:18 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Procès de policiers
Le billet de Patrick Parment
A Marseille, plusieurs policiers de la brigade anticriminalité des quartiers Nord se retrouvent devant les tribunaux pour un racket qui va de la simple bouteille d’alcool aux cigarettes et à la drogue. Les flics me direz-vous sont là pour faire appliquer la loi, pas pour la détourner. On est bien d’accord. Sur le principe. Sur le principe toujours, il serait judicieux que les flics règlent leurs comptes entre eux et la justice sans que cela apparaisse pour autant dans la presse qui en fait ses choux gras. Ah, les affreux ripoux ! s’empressent de juger tous les tordus de Libération, du Monde immonde et l’ensemble de cette presse de gôôôche si moralisatrice, en mal de papier bon marché quand papillonnent les pédo-criminels issus de leurs rangs. Mais dès que l’un d’eux prend un coup de pied au cul, il s’empresse d’appeler Maman, les flics. Idem de l’autre tordu d’Edwy Plenel qui lorsqu’il sévissait au Monde était branché direct sur les services de police qui lui fournissait la matière de ses papiers vengeurs. Plenel, l’homme à la moustache stalinienne ! Toute cette presse, si prompt à viser une fantasmatique extrême-droite là où elle n’est pas le plus souvent et à absoudre la racaille d’extrême-gauche qui casse et tape sur tout ce qui bouge lors des manifs.
Mais revenons à nos policiers. On est stupéfait d’apprendre que pour un vol de cigarettes ou d’alcool, des policiers se retrouvent devant les tribunaux face à des juges qui vont se faire un plaisir de leur faire la morale et au pire de les condamner ! Mais ce ne sont pas ces juges qui ont les mains dans la merde sociale, matin, midi et soir, avec peu de moyens et des salaires pas toujours à la hauteur de la tâche. Même prudence à adopter en matière de drogue qui comme chacun sait irrigue toute l’économie souterraine de ces banlieues qui sont souvent des ghettos. Trafics sur lesquels tous les gouvernements, socialistes en tête de l’ère Mitterrand, jettent un voile pudique ne voulant pas prendre le risque d’enflammer ces foutues banlieues où règne la misère d’une immigration qu’ils ont engendré faute d’avoir voulu et su la juguler. Alors, faute de mieux, on voit des ministres de l’Intérieur venir nous dire qu’ils vont faire le ménage, rendre la police vertueuse, comme si eux l’étaient. Quand on voit un Gerald Darmanin se déplacer pour de simples tags sur une mosquée, on imagine aisément le feu vert qu’il donne à une justice pour sanctionner les flics ripoux. Ce même Darmanin qui interdit les Identitaires, alors que leur dossier est vide de toute violence, et qu’ils n’ont fait que dénoncer, une fois de plus, la complaisance – et l’impuissance - d’un pouvoir à l’égard de l’immigration.
Défendre sa police, tel est le rôle du pouvoir. La sanctionner aussi quand il le faut, mais loin des caméras et des médias toujours à l’affût d’un sujet bien saignant monté en épingle. Mais doter sa police des moyens adéquats et les rémunérer à la hauteur des sacrifices demandés, telle est aussi la mission d’un Etat soucieux de protéger ses citoyens. Tant il est vrai que l’on mesure la grandeur d’une civilisation à la hauteur de la paix sociale qu’il accorde à son peuple. Le problème est que depuis des décennies maintenant, le pouvoir n’est plus à la hauteur du peuple !
12:04 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
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01:24 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 16 avril 2021
"DANSER ENCORE" - Flashmob - Gare de l'Est - 8 Avril 2021
15:47 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La journaliste Regina Villela fait la chronologie des faits qui allaient aboutir à une tentative de "coup d'État" pour renverser Bolsonaro.
Le 6 septembre 2018, Bolsonaro subit une attaque et le lendemain, le haut commandement de l'armée se réunit pour prendre des mesures. Sous la pression des autres généraux, le général Villas Boas, alors commandant de l'armée, a décidé d'imposer au président du STF (Suprême Tribunal Fédéral), Dias Toffoli, la nomination du général Fernando Azevedo e Silva comme conseiller direct, afin de "surveiller" de près les coulisses du STF.
L'opposition savait déjà que Bolsonaro allait remporter l'élection et l'attentat était la dernière tentative pour empêcher sa victoire dans les urnes ;
Bolsonaro est élu et nomme le général Fernando Azevedo e Silva comme ministre de la défense, sur indication du général Heleno, un homme de toute confiance ;
Tout au long des deux premières années de son gouvernement, Bolsonaro a rompu avec les " traditions " politiques qui déplaisaient à l'establishment et avec cela, début 2020, un premier coup d'État a été fomenté contre lui, mené par Rodrigo Maia et le STF, comme l'a dénoncé Roberto Jefferson dans une interview avec le journaliste Oswaldo Eustaquio, accordée en mars 2020 ;
Avec Maia hors du "jeu", le STF a pris la tête de l'"opposition", ayant maintenant comme "pièces du jeu d'échecs" certains députés aigris par Bolsonaro, comme Joice Hasselmann. Mais avant, le STF devait "tester" le système, pour voir comment les réactions à leurs actions se manifestaient. D'abord, il avait déjà révoqué l'arrestation en deuxième instance, ce qui a permis à Lula d'échapper à la justice. Deuxièmement, elle avait besoin de faire taire et de faire peur à la société, en exigeant que les critiques populaires à l'égard de la STF elle-même soient réduites au minimum. Il l'a fait par le biais de deux enquêtes notoires, les "Fake News" et les "Actes anti-démocratiques" ;
Sans réaction plus forte de l'État (pouvoir exécutif / forces armées), le STF est allé plus loin et, en cette année 2021, a annulé les condamnations de Lula dans l'affaire Lava-Jato, le rendant éligible, et a laissé le juge Sergio Moro suspect dans le procès de Lula dans le processus du "Triplex", ce qui pourrait avoir des conséquences désastreuses à plusieurs égards ;
Dans ce scénario catastrophe, le STF a reçu des signaux constants du ministre de la Défense selon lesquels les forces armées ne feraient rien ;
Avec un signal positif pour aller de l'avant, la Chambre des représentants (Représentante Joice Hasselmann) se mettrait en action, proposant un projet de loi pour destituer le Président de la République pour cause d'aliénation mentale ;
Dans son déroulement final, Bolsonaro serait jugé inapte par le STF pour la façon dont il a géré la pandémie du "pire est meilleur" (quanto pior, melhor) ;
Grâce au travail de renseignement du GSI (Gabinete de Segurança Institucional da Presidência da República - Bureau de la sécurité institutionnelle de la Présidence de la République), le général Heleno a découvert que le ministre de la Défense a consenti à l'avancée du STF, en se "lavant les mains", en échangeant des messages avec le président du STF selon lesquels les forces armées resteraient toujours neutres en cas de désaccord entre les Pouvoirs ;
Avant que le coup d'État n'aboutisse, Bolsonaro a appelé le ministre de la défense et l'a disculpé, mettant fin au complot diabolique qui se tramait.
15:21 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 15 avril 2021
EVIAN : SOUMISSION !
10:53 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les désaccords d’Evian
Etienne Defay
C’est l’histoire d'un vendeur d'eau qui avait oublié que les musulmans de France étaient en plein ramadan. Ce mardi, la personne chargée du compte Twitter de la marque Evian postait un message demandant si tout le monde avait bien bu un litre d'eau aujourd'hui. Il n'en fallait pas plus pour déchaîner les musulmans du réseau social accusant la marque d'islamophobie manifeste. Comment peut-il oser demander si tout le monde a bu aujourd'hui alors que les croyants n'avaient pas le droit de boire ? Devant le torrent d'insultes et de menaces, et plutôt que d'assumer sa question, la marque a présenté ses excuses.On serait presque tenté de penser que Pilate s'était lavé les mains avec de l'eau d'Evian spécialement importée par galère.
Cette affaire est anodine mais elle révèle deux choses : premièrement, la France tout entière est censée se mettre au pas du ramadan. Les entreprises et les citoyens sont priés de s'abstenir de parler 'de nourriture ou d'eau en public de peur d'exciter la susceptibilité de ses habitants musulmans. Deuxièmement, elle démontre la force de frappe de ces mêmes musulmans capables de faire faire demi-tour à n'importe qui. Elle est révélatrice de la peur qui paralyse l’opinion dès qu’il s’agit de cette frange de la population. Un tag sur une mosquée ? Le ministre de l’Intérieur se déplace. Pour les catholiques, il faut au minimum une église qui brûle pour espérer voir un ministre arriver.
A vrai dire, depuis plusieurs mois, le climat est irrespirable. Pas à cause d'une supposée et délirante islamophobie d'Etat comme aime à le prétendre la France Insoumise pour raisons électorales évidentes, mais bien à cause de cette montée en puissance d'un islamisme grimpant maquillé en indigénisme. Ne serait-ce que l'annonce de la sortie d'un album de slam interprété par Tariq Ramadan. Un exercice artistique douteux qui voit l'ex-meilleur ami musulman de la gauche parisienne déclarer « Vous allez perdre vos privilèges et votre identité. Vous serez sauvagement remplacés ». Tout un programme. Dans ce climat irrespirable ponctué de violences gratuites (qui a parlé de Christophe, 45 ans, égorgé au bas de son immeuble dans le Nord ?), de séparatisme avéré et d'attaques terroristes, la France parvient encore à être prise en otage par une supposée islamophobie. Qui parmi les musulmans dénonce cette supercherie ? Dans le concert de pleureuses, heureusement certaines réactions de bon sens comme Chems-Eddine Hafiz, le recteur de la Grande mosquée de Paris qui a estime sur RTL qu'il n'y a « pas du tout » un climat anti-musulmans en France.
Il y a quelque chose de fascinant d'ailleurs à voir les journalistes chercher frénétiquement des figures médiatiques de l'islam affmner la paix et la modération sur une antenne ou une chaîne de télévision. Une fois que vous avez invité plusieurs fois l'imam Chalghoumi, vous tournez vite en rond. Le débat sur le séparatisme a montré un sursaut français léger, l'affaire des mosquées de Strasbourg a fait tweeter tout le monde, mais derrière, rien. La conquête se poursuit. La seule chose que demande la France, c'est qu'elle se fasse en douceur.
Source : Présent 15/04/2021
10:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 13 avril 2021
Jean-Marie Le Pen et Jacques Bombard se sont entretenus
Comme rapporté dans Le Figaro, Jean-Marie Le Pen et Jacques Bompard se sont entretenus par visioconférence vendredi 19 mars.
Par la grâce et la mémoire des années d’engagement commun, l’incompréhension durable entre le président d’honneur du Front national et le maire d’Orange a été mise au ban des souvenirs. « Nous sommes d’accord sur l’essentiel. C’est déplorable de voir des listes du RN face à des candidats de sensibilité parallèle. Il faut favoriser les axes d’unité. Le plus dur est devant nous, et nous allons vivre des moments difficiles. Il est nécessaire, plus que jamais, de réunir les gens de bonne volonté », affirme Jean-Marie Le Pen. Il a donc été convenu de tout tenter pour éviter de reproduire l’erreur de Tarascon sur les cantons d’Orange et de Bollène lors des prochaines départementales. « Le localisme que j’ai toujours pratiqué est une volonté de maintien dans le département des idées nationales, et impose de respecter ceux qui se battent sur le terrain depuis des décennies à Orange et à Bollène », ajoute Jacques Bompard.
A côté des vœux électoraux formés, c’est une conversation entre deux militants de la cause nationale qui a repris ce jour-là. Comme si elle avait été interrompue la veille.
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16:30 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |