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lundi, 19 juillet 2021

Le professeur Jacques Rougeot, l'un des fondateurs de l'UNI, est décédé

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Un communiqué d'Olivier Vial, président de l'UNI
 
J’ai la tristesse de vous annoncer le décès du Président Jacques Rougeot. Il nous a quittés cette nuit laissant un vide immense à l’UNI. Après avoir participé à la fondation de notre mouvement, il l’avait présidé pendant 42 ans. C’est sa plume qui a tracé, avec clarté et durant des décennies, notre ligne politique. Ses livres, La contre-offensive, La voie droite, L’engagement civique restent pour chaque militant les fondations de cette « école du courage » qu’il avait contribué à bâtir et dans laquelle chaque génération de militants s’est épanouie et s’est préparée à défendre nos valeurs et cette « civilisation française » à laquelle il tenait tellement.
 
Quand j’ai eu l’honneur de lui succéder à la tête de notre mouvement, j’ai toujours pu compter sur lui, sur son regard, ses conseils, ses analyses. Je garderai toujours en mémoire nos longues discussions sur la politique, nos échanges sur la littérature et le cinéma. Il va profondément me, nous manquer.
 
Mes pensées accompagnent sa famille et ses proches. Reposez en paix Monsieur Le Président.
 
 
NDLR - SN : À la fin des années 1960, juste après Mai 1968, alors que la terreur gauchiste triomphait dans les universités, avoir lancé un syndicat anti-marxiste comme l'UNI était un geste audacieux. Certes, nous ne partagions pas toutes les orientations de cette belle machine de guerre, mais, comme toujours, il convient de se remettre dans la contexte tourmenté de l'époque. Nous saluons donc la mémoire de ce combattant courageux qu'était le professeur Jacques Rougeot.
 
Roland Hélie

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Au Portugal les décès dus au Covid passent de 17 000 à 152 !

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On n’a pas l’habitude de lire les informations dans les journaux portugais, parce qu’on n’en maitrise pas la langue, et puis, si l’on n’a pas de connaissances ou de famille au Portugal, il faut bien reconnaître que l’intérêt est somme toute réduit.

C’est pour cela qu’une décision de justice est passée inaperçue, et bien entendu parfaitement occultée par nos médias nationaux subventionnés. Pourtant, elle pourrait ouvrir la voie à une même étude en France, je suis sûr que cela nous réserverait bien des surprises.

À la suite d’une pétition citoyenne (que refusent tous nos gouvernements, et l’on comprend pourquoi…), un tribunal de Lisbonne a été contraint de fournir des données vérifiées sur la mortalité due à la Covid 19.

Les ministères avançaient le nombre de 17 000 décès, mais selon la décision du tribunal, le nombre de décès vérifiés entre janvier 2020 et avril 2021 n’est en fait que de… 152 ! Soit 0,9% de la « réalité gouvernementale ». Tous les autres sont décédés pour diverses raisons, bien que leur test PCR fût positif.

La presse de connivence s’était engouffrée dans le mensonge d’État, mais on ne l’entend pas pour s’excuser, comme Paris Match du 8/02/2021.

Nous voyons bien que :

1) Il est quand même pour le moins indécent qu’une information aussi banale doive être rendue publique à la suite d’une procédure de Justice.

2) Le Pouvoir politique participe activement à une manipulation de grande envergure.

Et en France ?

Les données proviennent du Sistema de Informaçào dos Certificados de Obito (Système d’information sur les certificats de décès) le seul système de ce type au Portugal.

Publié par le site Nice Provence Info

Source portugaise  ICI

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Ite missa est

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Michel Onfray

Je suis athée, on le sait, mais la vie de l’Église catholique m’intéresse parce qu’elle donne le pouls de notre civilisation judéo-chrétienne bien mal en point. Car si Dieu n’est pas de mon monde, mon monde est celui qu’a rendu possible le Dieu des chrétiens. Quoi qu’en disent ceux qui pensent que la France commence avec  la Déclaration des droits de l’homme, ce qui est aussi stupide que de croire que la Russie est née en octobre 1917, le christianisme a façonné  une civilisation qui est la mienne et dont j’estime que je peux l’aimer et la défendre sans battre ma coulpe, sans avoir à demander pardon pour ses fautes, sans attendre une rédemption après confession, contrition et agenouillement. C’est fou comme ceux qui répugnent au christianisme en disant qu’il n’a pas eu lieu s’en trouvent imprégnés comme de rhum le baba que l’on sait !

Benoît XVI fut un pape philosophe formé à l’herméneutique et à la phénoménologie allemande. Il a également lu les auteurs catholiques français dans le texte. Son Jésus de Nazareth (2012) s’inscrit dans l’histoire de l’idéalisme allemand, notamment de l’hégélianisme qu’on dit de droite pour le distinguer de celui qui, dit de gauche, conduit au jeune Marx.

Le pape François n’est pas de ce niveau théologique, loin s’en faut. Mais il ne manque pas de la rouerie jésuitique qui fait que, venant de la Compagnie de Jésus, il choisit pour nom de souverain pontife celui qui se trouve le plus opposé des intrigues et des antichambres du pouvoir où les jésuites aiment à se trouver, à savoir celui de François d’Assise. Jorge Mario Bergoglio, chimiste de formation, vient du péronisme ; Joseph Ratzinger, théologien de formation, de l’antinazisme.

À mes yeux, l’acte majeur du pape Benoît XVI a été le discours de Ratisbonne où, le 12 septembre 2006, dans l’université allemande où il a été professeur, il a fait son travail de pape en estimant que le christianisme et l’islam entretiennent par les textes une relation antinomique, notamment sur l’articulation entre foi et raison, mais également sur la question de la violence en général et sur celle du djihad en particulier. Je dis par les textes car c’était ici son souci, il présentait en effet l’exégèse personnelle d’un dialogue situé au début du XVe siècle entre l’empereur Byzantin Manuel II Paléologue et un érudit persan. L’invitation à réfléchir sur cette question fut prise pour une insulte planétaire faite à l’islam...

L’acte majeur du pape François est, toujours selon moi, de s’être fait photographier devant un crucifix sur lequel Jésus porte le gilet  de sauvetage orange des migrants. C’est ici l’icône triomphante de Vatican II qui congédie tout sacré et toute transcendance au profit d’une moraline tartinée de façon planétaire comme une gourmandise de scout.

C’est selon cette logique qu’il faut comprendre la décision du pape François d’abroger, disons-le dans un terme profane, la décision prise par Benoît XVI de permettre la messe en latin, dite messe Tridentine, pour ceux qui le souhaitent. Dans Summorum pontificum, Benoît XVI libéralisait la messe dite de Pie V. Dans Traditionis custodes, François efface cette libéralité. Benoît XVI voulait dépasser le schisme avec les traditionalistes, François va le restaurer en prétextant bien sûr, jésuite un jour, jésuite toujours, qu’il entend de cette façon réunir ce qu’il sépare. Les vocations chutent avec Vatican II. Mais les religieux qui conservent le rite latin n connaissent pas la désaffection, mieux, ils remplissent les séminaires.

Le pape François préfère les églises vides avec ses thèses que pleines avec celles de Benoît XVI. Séparer n’est-ce pas la fonction dévolue... au diable ? L’étymologie témoigne. Si j’avais la foi catholique, je ne pourrais m’empêcher de penser à l’Épître de Jean qui dit : « Tout esprit qui divise Jésus-Christ n’est point de Dieu ; et c’est là l’Antéchrist, dont vous avez entendu dire qu’il doit venir ; et il est déjà maintenant dans le monde. » (I.4:3).

Ce qui se joue dans cette affaire, c’est la suite de Vatican II, autrement dit l’abolition du sacré et de la transcendance. La laïcisation du rite réduit à une liturgie dont La vie est un long fleuve tranquille a montré toute la puissance avec son curé cool qui joue de la guitare et chante bêtassement « Jésus, Jé-é-é-é-sus, reviens». Onpeutpréférerlechant grégorien sans être pour autant un nostalgique de Vichy...

Or le génie du christianisme, les différents conciles sur la possibilité ou non de figurer le christ témoignent a été de rendre possible une civilisation de l’allégorie, de la symbolique, de la métaphore. Le génie juif se trouve dans l’herméneutique, celui du christianisme dans l’explication des paraboles. Les juifs inventent l’herméneutique pour les plus savants, les rabbins lecteurs de la kabbale ;  les chrétiens élaborent l’herméneutique populaire, pour les fidèles à qui l’on raconte des histoires à déchiffrer avec l’histoire sainte. Notre civilisation de l’image, de la raison explicative, de la philosophie séparée de la théologie, procède de ce monde-là.

La messe en latin est le patrimoine du temps généalogique de notre civilisation. Elle hérite historiquement et spirituellement d’un long lignage sacré de rituels, de célébrations,  de prières, le tout cristallisé dans une forme qui offre un spectacle total - un Gesamtkunstwerk, pour utiliser un mot qui relève de l’esthétique romantique allemande.

Pour ceux qui croient en Dieu, la messe en latin est à la messe du Long fleuve tranquille celle que semble affectionner le pape François, ce qu’est la basilique romaine contemporaine de saint Augustin à une salle polyvalente dans une barre d’immeubles à Aubervilliers : on y chercherait en vain le sacré et la transcendance. Quelle spiritualité dans ces cas-là ? Disons-le de façon énigmatique, le pape François fait bien ce pour quoi il est là où il se trouve... Ajoutons d’une façon tout aussi énigmatique, mais pas tant que ça, qu’on se demande pourquoi nous vivons dans une époque avec deux papes.

*Dernier livre paru : « L’Art d’être français », Bouquins (Robert Laffont).

Source : Le Figaro 19/07/2021

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Répression des non-vaccinés : un « remake » des Gilets jaunes

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Michel Geoffroy Polémia cliquez ici

Les non-vaccinés sont à la dictature sanitaire ce que les Gilets jaunes étaient à la mondialisation heureuse : un front du refus qui s’installe en dehors de tout appareil partisan. Puisque pour l’essentiel tous les partis institutionnels se sont ralliés aux mots d’ordre de la dictature sanitaire. Ce sont les nouveaux Gilets jaunes, mais invisibles cette fois et qu’il faut pour cette raison désigner à la vindicte.

Les non-vaccinés, comme les Gilets jaunes, ne croient pas à la propagande du pouvoir et donc de Big Pharma. Ils se méfient de vaccins aux effets d’autant mal maîtrisés que les laboratoires qui les ont mis sur le marché ont décliné par avance toute responsabilité, avec la complicité de l’Union européenne et des gouvernants !

Ils ne comprennent pas que l’on veuille les vacciner de force : car, si le vaccin est aussi efficace qu’on le dit, en quoi des personnes non vaccinées constitueraient-elles une menace ? Et si le vaccin n’est pas si efficace que cela, alors pourquoi l’imposer à toute la population ? Ou pourquoi préconiser déjà une troisième injection ?

Les non-vaccinés ne font plus confiance, comme les Gilets jaunes, à des institutions et des médias qui depuis le début de la « pandémie » disent tout et son contraire, et donc mentent en permanence.

Comme les Gilets jaunes, ils ne veulent pas être traités comme du bétail que l’on vaccine ou que l’on marque à la chaîne, sous prétexte de protéger les « personnes fragiles » c’est-à-dire en réalité pour l’essentiel les vieux baby-boomers qui nous ont légué, en toute irresponsabilité, un monde invivable et qui votent pour Macron.

La macronie : répression et propagande toujours

Face aux non-vaccinés, comme hier face aux Gilets jaunes, la macronie a choisi la diabolisation, la propagande et la répression. Chassez le naturel, il revient au galop, dit-on.

Les médias mainstream, une nouvelle fois, ont joué leur rôle de relais du pouvoir et de préparation de l’opinion, comme on parle de préparation d’artillerie avant une offensive. En diffusant en boucle la peur de la quatrième vague. Et en lançant la chasse aux non-vaccinés, ouverte symboliquement par un autre Emmanuel : Emmanuel Lechypre, le 29 juin sur RMC.

Et, comme pour les Gilets jaunes, toute l’oligarchie et la bien-pensance politique, de Bernard Kouchner à Éric Ciotti, se sont rangées du côté du pouvoir, laissant éclater une nouvelle fois leur haine de classe en toute impunité. Comme lors des élections régionales et départementales, elles n’avaient pas de mots assez durs contre le RN et ses électeurs.

Pas de liberté pour les ennemis de la vaccination !

Salaud de non-vacciné !

On croyait jusque-là que la pandémie avait pour origine le petit pangolin ou le laboratoire de Wuhan. Mais non : pour nos maîtres piqueurs, le vrai coupable, c’est désormais le… non-vacciné !

Ce galeux irresponsable à cause de qui on risque d’être confiné de nouveau et qui va empêcher la relance de notre belle économie. Ou qui provoque la suspension de la braderie de Lille.

Salaud de pauvre ! Salaud de non-vacciné ! Salaud qui porte son masque en dessous du nez ! Salaud qui roule au diesel en fumant des clopes ! Salaud incivique qu’il faut dénoncer à la nouvelle Kommandantur médiatique !

France macronisée, France muselée

L’offensive politico-médiatique lancée contre les non-vaccinés démontre une nouvelle fois que la macronie n’est forte que pour taper sur les Français, que pour semer la discorde et la haine.

Car, quand il s’agit d’affronter les racailles de banlieue, l’explosion de la délinquance et de la toxicomanie, les zones de non-droit, les islamistes, l’Union européenne ou les bellicistes de l’OTAN, il n’y a plus personne en effet.

La France macronisée devient le seul pays occidental à se voir imposer la vaccination obligatoire de sa population et, comme au temps de l’URSS, le passeport intérieur (baptisé « passe sanitaire ») pour les actes quotidiens de l’existence. Un pays qui va donc imposer à chaque patron, à chaque commerçant, et finalement à chacun de contrôler ses salariés, ses clients ou ses voisins : il faudra montrer son passe sanitaire comme hier son Ausweis.

Quel symbole de la dérive liberticide et dictatoriale de la macronie !

Il est vrai que, compte tenu de son impopularité abyssale, Emmanuel Macron ne peut espérer une réélection qu’en muselant le peuple français, en truquant les élections et en fliquant tous ses opposants. Pour ce faire, la quatrième vague tombe à point ; en attendant la cinquième, qui permettra d’imposer le vote électronique et le vote par correspondance pour l’élection présidentielle de 2022…

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Epona dresse le bilan de la première saison des Entretiens du Parti de la France

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Vers la stagflation et un krach

ROUSSET M 1.JPGMarc Rousset

La Bourse de Paris a terminé, ce vendredi, tout comme Wall Street, dans le rouge à 6.460, plombée par des inquiétudes sur une inflation américaine non temporaire, sur les variants du Covid et l’inégalité vaccinale dans le monde, sur la vigueur de la reprise et un ralentissement en Chine au deuxième trimestre. L’indice des consommateurs américains de l’université du Michigan est ressorti à seulement 80,8, contre 87, de consensus de marché, suite à la hausse des prix de 5,4 % sur un an aux États-Unis (7,3 % pour les prix de gros, au plus haut depuis onze ans). La Fed pourrait resserrer sa politique monétaire avant même, comme elle le prétend, que « la reprise soit complète ». En Europe, l’inflation a atteint 2,5 % en juin, en Espagne et au Royaume-Uni.

Le prix des logements aux États-Unis augmente plus rapidement qu’au sommet de la bulle des subprimes, il y a quinze ans. L’indice immobilier américain (FHFA) progresse à un rythme record de 15,7 % par an. Sur la base des 4.500 milliards de dollars créés depuis le début de la pandémie, l’inflation américaine pourrait osciller entre 5 et 10 % jusqu’à fin 2022. Les taux d’intérêt sont toujours nuls et la Fed achète toujours 120 milliards de dollars d’obligations chaque mois, alors que les programmes de relance de Biden vont conduire à un déficit budgétaire de 3.000 milliards de dollars, soit 15,5 % du PIB, ce qui équivaut à des chiffres d’une période de guerre, contre une moyenne de 8 % environ dans la zone euro.

De plus, les ménages américains ont amassé 2.400 milliards de dollars d’épargne excédentaire qui est gelée depuis quinze mois, ce qui est très supérieur aux ménages français (180 milliards d’euros). Dès que les dépenses reprendront, la vélocité de la monnaie, source d’inflation, reprendra son cours normal. La Fed, prise au piège de la dette, fait face au dilemme du resserrement monétaire immédiat qui conduira à un krach sur les marchés ou à ne rien faire, ce qui laissera le génie de l’inflation sortir de sa bouteille. La BRI (Banque des règlements internationaux) craint que les marchés ne réagissent avant la Fed, ce qui conduirait aussi à un krach.

Il semble également que l’effet déflationniste des 800 millions de travailleurs faiblement rémunérés de la Chine et de l’Europe de l’Est soit épuisé car les salaires ont augmenté d’une façon substantielle, même s’il y a encore de la réserve trop nombreuse en Inde et dans les pays émergents. La réalité, c’est qu’il y a trop d’argent pour trop peu d’offre. La Fed risque d’être forcée de réajuster le calendrier de sa réduction d’achats d’actifs et, comme l’écrit la BRI : « Plus les banques centrales tarderont, pire ce sera. »

De nombreuse pénuries hors normes perturbent l’industrie mondiale. 47 % des industriels français ont des difficultés d’approvisionnement. La politique des flux tendus sans stock de sécurité est remise en question et il peut être intéressant de produire local. Les coûts du transport maritime atteignent des records, à 8.800 dollars le conteneur de 40 pieds, et les fabricants chinois de conteneurs n’arrivent pas à produire suffisamment. En un an, les cours du cuivre et de l’aluminium ont progressé de 50 %.

Le professeur américain Nouriel Roubini est encore plus soucieux que la BRI : il estime que nous nous dirigeons, en fait, vers la stagflation car « la stagflation des années 1970 va bientôt se télescoper avec les crises de la dette de la période post-2008 ». Il écrit, dans le Guardian, que « la question n’est pas de savoir si cela aura lieu mais quand, car les ratios d’endettement sont beaucoup plus élevés que dans les années 1970 ». Il énumère les causes de stagflation : « retour du protectionnisme, vieillissement démographique dans les économies avancées et émergentes, restrictions d’immigration dans les économies avancées, relocalisation de la fabrication dans des régions à coût élevé, balkanisation des chaînes d’approvisionnement mondiales ».

Les marchés risquent de bientôt connaître le « moment Minsky » (autre célèbre professeur américain), suite au changement de politique des liquidités ou par peur du changement de politique à venir des banques centrales, c’est-à-dire le moment où les investisseurs surendettés, après avoir pris des risques élevés mettant en péril la stabilité du système, décident de vendre en masse, déclenchant une spirale de baisse auto-entretenue – ce que l’on appelle un krach.

Boulevard Voltaire cliquez là

00:41 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 17 juillet 2021

Vu, en Bretagne...

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17 juillet 1936 : l'Espagne se lève pour en finir avec la dictature rouge

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L'avis de Jean-François Touzé
 
17 juillet 1936, début du soulèvement nationaliste contre le gouvernement de Frente popular - Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE), Unión General de Trabajadores (UGT), Parti communiste d'Espagne (PCE), Confédération Nationale du Travail (CNT), Parti ouvrier d'unification marxiste (POUM) - et la multiplication des exactions, grèves, incendies d'églises plongeant l'Espagne dans le chaos révolutionnaire rouge et noir.
 
Soutenue par la Phalange et les organisations carlistes, l'armée d'Espagne prend ses responsabilités. Au delà des seules tribunes.
 
NDLR SN : sur l'Espagne nationaliste, lire aussi... 

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Journal du chaos

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Alain de Benoist nous parle de son nouveau livre : "Survivre à la désinformation"

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vendredi, 16 juillet 2021

Samedi 17 et dimanche 18 juillet, dans toute la France : mobilisation nationale pour la Liberté

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jeudi, 15 juillet 2021

Le non-vacciné, bouc émissaire d’une sociéte malade

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Mathieu Slama*

Faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s‘il le faut ! Voici comment un éditorialiste d’une chaine d'information s‘exprimait, il y a environ deux semaines. A peu prés au même moment, un célébre économiste de gauche expliquait, sur une chaine concurrente, qu'il fallait rendre la vie des non-vaccinés « beaucoup plus difficile ». Sur une autre chaine encore, un médecin expliquait, il y a quelques jours, qu’il fallait faire en sorte que les non-vaccinés ne puissent plus faire grand-chose.

On ne saurait mieux illustrer l’hystérie qui s’est emparée de notre pays autour de la question vaccinale. Le gouvernement est le premier responsable de cette situation, usant d’une stratégie particulièrement pernicieuse qui consiste a agiter la menace d’un reconfinement à la rentrée et d’en rendre responsables ceux qui auraient décidé, pour quelque raison que ce soit, de ne pas se faire vacciner (tout en rappelant, comble du cynisme, qu’il ne faut pas créer de fractures entre vaccinés et non-vaccinés!). Cette stratégie du bouc émissaire fonctionne, puisque l’on voit fleurir, sur les réseaux sociaux, insultes et menaces envers les non-vaccinés, certains allant jusqu’a exiger qu’ils soient mis a l’écart de la société et qu’ils payent leurs frais d’hospitalisation avec leur propre argent. Cette fureur répressive et disciplinaire n’est que l’aboutissement d’une longue séquence liberticide, où les Français ont accepté les mesures les plus insensées au nom de l’ordre sanitaire qui leur fut imposé. Mais elle prend une tournure de plus en plus autoritaire et chaotique à mesure que le virus s‘installe et que l'inquiétude se répand. Tous nos fondements démocratiques, au premier rang desquels l’égalité entre les citoyens et la liberté de disposer de son corps, sont en train de voler en éclats. Le retour a une vie “normale” est désormais conditionné au vaccin, comme si le confinement, mesure contraire a toutes nos valeurs démocratiques, était consubstantiel a un potentiel rebond de l’épidémie.

Il nous faut revenir à la raison et rappeler quelques principes de bon sens. Primo, la vaccination protege celui qui décide de se faire vacciner des formes graves du virus : le non- vacciné n’est donc une menace que pour lui-même. Il n’y a, par conséquent, aucune raison de forcer quiconque a se faire vacciner, puisqu'll ss‘agit là d’un choix individuel qui n’a aucune conséquence pour celui qui a décidé de se faire vacciner. Pour les autres, à leurs risques et périls ! Secundo, la citoyenneté ne se divise pas. Il n’y a pas deux catégories de citoyens selon que l’on est vacciné ou non. Le passe sanitaire est une aberration éthique, juridique et démocratique. Tertio, le virus ne disparaîtra pas. Il faut apprendre à vivre avec, se faire vacciner si on le souhaite et reprendre le cours de nos vies. La liberté est notre bien le plus précieux: il serait temps qu’on se le rappelle, avant que l'on ne céde définitivement, par peur et par soumission, aux sirènes de la servitude.

* Mathieu Slama est consultant et analyste politique.

Source : Valeurs actuelles 1/07/2021

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L’État macronien ou la démonstration de l’incompétence !

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Entretien avec Philippe Randa,

directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.

(Propos recueillis par Guirec Sèvres pour le site Synthèse nationale)

Après avoir juré qu’il ne rendrait pas la vaccination obligatoire, Emmanuel Macron a retourné sa veste… Vous vous y attendiez ?

Il a tout misé sur la vaccination, refusant d’envisager d’autres solutions et interdisant de fait – par des pressions et des intimidations – aux médecins de soigner leurs patients avec d’autres solutions… ne serait-ce qu’en attendant la mise au point confirmée des vaccins ! Et malgré le matraquage quotidien du gouvernement et des médias qu’ils contrôlent – à savoir qu’il n’y a qu’une seule et unique solution, parce que seule et unique vérité – les Français rechignent à se faire vacciner. Pire : une grande partie du corps médical, sensé être plus averti que les autres de la validité des vaccins, rechigne « à y passer », ce qui ne peut qu’inquiéter leurs compatriotes… Non seulement, le gouvernement français perd la face – il a l’habitude, certes – mais se retrouve dans une impasse : avec les nouveaux variants, on sait que l’épidémie va redémarrer dès l’automne… Le gouvernement pouvait changer radicalement de braquet en faisant retomber la pression sanitaire, en calmant le jeu, en rassurant la population et en prenant enfin les décisions nécessaires pour permettre à notre système hospitalier de faire face convenablement à la situation sanitaire… Il a préféré donner un grand coup d’accélérateur dans sa stratégie de délire sanitaire et d’entêtement vaccinal.

Comment l’expliquez-vous ?

Les explications les plus simples sont souvent celles qu’on rechigne à admettre ; le rasoir d'Ockham – principe de simplicité, soit admettre que les hypothèses les plus simples doivent être préférées – a pourtant fait ses preuves, mais on l’oublie trop souvent… Pourquoi le gouvernement agit-il ainsi ? Par incompétence, tout simplement… Nombreux sont les gens persuadés que les diplômés sont forcément des êtres supérieurs, plus intelligents parce que certifiés plus instruits… L’obtention d’un diplôme n’est qu’un moyen, souvent indispensable, certes, pour être performant dans une discipline, mais si on est un sot, un vaniteux, un incapable, on peut très bien obtenir un diplôme, même parmi les plus « prestigieux », par obstination, tricherie, coup de chance ou désormais effondrement du niveau requis, mais on restera néanmoins un incapable. Bourrin un jour, bourrin toujours… On ne sort pas des « grandes écoles » forcément plus instruit et plus intelligent, mais avec un carnet d’adresses qui, lui, est souvent la condition sine qua non à une carrière rémunératrice ou prestigieuse. Un exemple ? Sibeth Ndiaye, secrétaire d'État auprès du Premier ministreporte-parole du gouvernement de mars 2019 à juillet 2020, a consterné les uns ou fait éclater de rire les autres. Sa fiche Wikipedia nous apprend « qu’elle se présente par deux fois au concours de médecine avant de se tourner vers la biologie »… et a décroché finalement un « DESS d’économie publique, spécialité économie de la santé ». Fichtre, n’est-ce pas ! Et tout ça pour reconnaître, le 20 mars 2020 : « Vous savez quoi ? Je ne sais pas utiliser un masque. Je pourrais dire : “Je suis une ministre, je me mets un masque”, mais en fait, je ne sais pas l’utiliser (…) l’utilisation d’un masque, ce sont des gestes techniques précis, sinon on se gratte le nez sous le masque, on a du virus sur les mains… »… Et donc, bébête un jour, bébête toujours, mais croyez-vous que ses collègues du gouvernement, même si moins caricaturaux, sont beaucoup plus performants ? Et la grande majorité (tous ?) ont des diplômes en veux-tu, en voilà…

Toutefois, Emmanuel Macron reste populaire…

Sauf erreur, c’est le Journal du dimanche, journal de la Macronie chancelante (comme BFMTV en est sa chaîne officielle) qui l’affirme en tout cas… On pense ce qu’on veut des sondages, restent les faits : voilà près de deux mois que le gouvernement a supprimé l’obligation du masque en extérieur et pourtant, une personne sur deux continue de le porter dans la rue. Ce gouvernement a tellement terrorisé la population que celle-ci ne le croit même plus quand il relâche la pression. Ce gouvernement, plus personne ne l’écoute. Je regardais dernièrement une série policière sur Netflix se déroulant dans les derniers temps du régime communiste en Pologne : on nous montre des gens conscients des mensonges de la propagande d’État, subissant la pensée unique, les interminables files d’attente devant des magasins aux rayons aux ¾ vides, l’omniprésence de la milice… Ils vivaient résignés, mais étaient-ils convaincus des bienfaits du régime communiste pour autant ?

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mercredi, 14 juillet 2021

Ce qu'ils nous préparent :

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mardi, 13 juillet 2021

Le chanteur breton Christoff BZH invité par Martial Bild sur TV libertés

Il est auteur, compositeur et interprète. Il est breton, c’est son identité. Il aime la France, il est donc un chanteur engagé qui sort des sentiers battus. Son deuxième album « Arcadia » a franchi les cercles confidentiels pour connaitre les vrais débuts du succès avec notamment « Dès demain » (avec Romain Guérin) et « Ar Lann Am Helenn » (avec Delphine), des titres phares d’un album aux influences multiples et sophistiquées. Christoff est un chanteur sincère et simple, éloigné des produits marketing et commerciaux que les radios déversent. Il a fait le choix d’être un chanteur à contre-courant quel que soit le prix à payer. Très peu disert et entièrement voué à sa musique, il se confie à TVLibertés et interprète « Dès demain » accompagné de sa seule guitare. L’album « Arcadia » est parfait pour vous accompagner tout au long de l’été !

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Christoff BZH en concert lors des Journées de Synthèse nationale en 2019

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Passe sanitaire : la réaction de Jacques Bompard

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Jacques Bompard,

maire d'Orange, député du Vaucluse

En France, les fossoyeurs de notre système de santé font aujourd’hui le procès ceux qui nous soignent, sous prétexte qu’ils refusent un traitement médical expérimental, droit immémorial garanti par toutes les conventions depuis le serment d’Hippocrate. Cette vaccination obligatoire n’est en somme qu’une échappatoire pour un gouvernement qui a renoncé à soigner les malades et qui ne donne plus les moyens au corps médical d’exercer dignement leur métier.

Parallèlement, la généralisation du passe sanitaire à tous les aspects de notre vie sociale est un basculement significatif vers le fameux « monde d’après ». Un monde où il est plus facile de vivre sans papiers que sans passe vaccinal. Un monde où la faute de l’irresponsabilité et de la trahison permanente de nos élites est sans cesse rejetée sur le petit peuple Français, celui qui travaille et respecte les lois, et qui voit ses droits, ses acquis sociaux et même ses libertés sans cesse régresser tandis que, pour tous les autres, l’impunité règne.

Notre civilisation reposait sur deux piliers : l’usage de la raison et le droit universel à la justice. Le Système, dans sa folie, est en train de détruire l’essence même de notre société. L’usage de la force, comme durant l’épisode des gilets jaunes, est significatif de son inquiétude devant les échéances électorales qui arrivent. Emmanuel Macron fera tout pour dissuader les Français de se mobiliser et de retourner aux urnes. Que chacun prenne ses responsabilités, moi je continue le combat !

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l’Union européenne signale 1,5 million de blessures liées au vaccin, 15 472 décès

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Source: exoportail

La base de données européenne des rapports de réactions suspectes aux médicaments est EudraVigilance, qui suit également les rapports de blessures et de décès consécutifs aux «vaccins» expérimentaux COVID-19.

Un abonné européen nous a récemment envoyé un courriel pour nous rappeler que cette base de données gérée par EudraVigilance ne concerne que les pays européens faisant partie de l’Union européenne (UE), qui compte 27 pays.

Le nombre total de pays en Europe est beaucoup plus élevé, presque deux fois plus, soit environ 50, bien qu’il y ait des divergences d’opinion quant aux pays qui font techniquement partie de l’Europe.

Ainsi, aussi élevés que soient ces chiffres, ils ne reflètent PAS toute l’Europe. Le nombre réel de personnes décédées ou blessées en Europe à la suite des injections de vaccins COVID-19 serait bien plus élevé que celui que nous indiquons ici.

La base de données EudraVigilance indique qu’au 19 juin 2021, 15 472 décès et 1 509 266 blessures ont été signalés à la suite de l’injection de quatre vaccins expérimentaux COVID-19.

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Liberté… j’écris ton nom et je refuse d’être vacciné

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Jarente de Senac

Je suis ce qu’on appelle un sujet à risque. J’ai plus de soixante-dix ans, cardiaque et légèrement diabétique, mais rassurez-vous tout va bien et je vis plus que normalement ayant été très bien soigné par un personnel médical ultra compétent à l’hôpital Georges Pompidou pour ne pas le nommer. Et bien je refuse catégoriquement d’être vacciné car je ne veux pas prendre le risque d’être handicapé par les effets secondaires de leurs foutus vaccins. Mais cette décision n'engage que moi. Je n’ai rien contre la vaccination, dans bien des domaines elle a fait ses preuves et gamin, les gens de ma génération sont tous passés avec bonheur à la moulinette du BCG. On a ainsi quasiment éradiqué la polio. Pour ce qui concerne les vaccins – AstraZeneca, Pfizer, Moderna - mis sur le marché, j’ai tout de suite tiqué, car par un coup de baguette magique on a soudain trouvé le remède miracle. Quand on pense que cela fait vingt que les labos bossent sur le sida sans rien trouver, cela laisse un tantinet songeur. D’ailleurs à ce sujet, on a toujours été étonné que l’on n’ait pas massivement testé la population comme ce fut le cas jadis pour la tuberculose. Le lobby homosexuel, particulièrement visé, a fait pression sur le gouvernement socialiste du camarade Mitterrand et de ses sbires bien placés dont une flopée d’homos évidemment.

Revenons à nos moutons. Depuis plus d’un an maintenant, on a eu le temps de s’apercevoir que ces vaccins étaient sujets à de trop nombreux effets secondaires, pas tous mortels heureusement. Mais handicapant souvent. Et comme par hasard, la communication pour en savoir un peu plus est absente pour ne pas dire étouffée. Tout comme on n’a aucune information sur les gens décédés de mort naturelle et ceux par le covid. Par ailleurs, on a également rapidement mis à l’index le traitement proposé par le professeur Raoult, un grand spécialiste et qui est tout sauf un charlatan. Or, il se trouve que j’ai quelques témoignages de gens soignés par des médecins rebelles qui ont prescrit son traitement et dont les patients s’en sont très bien portés. Sa méthode, même si elle n’est pas sûre à 100%, n’est pas plus dangereuse que les vaccins proposés. Pourquoi a-t-on mis un tel embargo sur cet homme pris pour cible par un corps médical aux ordres du pouvoir politique ? Pourquoi, ensuite n’a-t-on pas fait confiance à tous les médecins de ville pour soigner leurs patients et surtout évaluer le degré de dangerosité, ce qui aurait eu pour effet de soulager les hôpitaux. Là aussi, on s’est retrouvé devant un mur du silence.

Ce gouvernement gouverne en foutant la trouille à tout le monde. Ce que vient d’annoncer Emmanuel Macron est proprement le fait d’un régime totalitaire. Seuls des pays totalitaires comme le Turkménistan, le Tadjikistan et quelques autres ont recours à de telles méthodes. La devise « liberté, égalité, fraternité » n’a plus de sens dans ce pays, hier encre celui, paraît-il, des droits de l’homme. Macron inaugure le droit à l’esclavage. Français vous voici prévenus. Comptez-vous baisser votre froc encore longtemps ?  

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A qui profite l’épidémie de Covid 19 ?

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Arnaud Raffard de Brienne

Article publié dans le n°57 (été 2021)

de la revue Synthèse nationale cliquez là

Depuis plus d’un an, une propagande insensée, d’un niveau d’intensité jamais connu dans l’histoire du monde, ahurit en continu et affole nos concitoyens au sujet d’un virus au comportement étrange mais ne provoquant au final qu’une surmortalité étonnamment faible. Pendant que les multinationales de Big Pharma s’en donnent à cœur joie, les gouvernements occidentaux s’entendent pour multiplier les lois liberticides et la surveillance de masse…

Même le plus candide de nos contemporains et par conséquent le mieux disposé à gober sans sourciller la lourde propagande du régime, sent bien que depuis le commencement de l’épidémie virale, quelque chose cloche aussi bien dans le narratif que dans la méthodologie incohérente, en apparence mais en apparence seulement, suivie par les instances sanitaires et le pouvoir politique. Des centaines de vidéos, blogs, sites et articles non-conformistes proposent une information foisonnante et différente à la fois à qui veut bien se donner la peine d’en prendre connaissance. Mais une majorité de nos contemporains semble se suffire du bourrage de crâne institutionnel, de leur muselière ouatée que beaucoup peineront sans doute à abandonner et de la promesse d’une thérapie génique en phase expérimentale et aux effets inconnus à moyen et long terme, habilement présentée comme un vaccin. Mais quoi de surprenant ? Fallait-il s’attendre à ce qu’un peuple qui n’a su défendre ni son territoire, ni son sang ni même ses enfants à naître, ni sa culture, ni son patrimoine, ni sa langue se métamorphose aujourd’hui en peuple libre ?

Pourquoi est-il interdit de se faire soigner ?

Aux victimes plus ou moins consentantes de la doxa covidiste et vacciniste, il faudrait ne jamais se lasser, afin d’éviter des débats dans les méandres desquels chacun finit par se perdre, de répéter inlassablement cette question simple mais centrale, essentielle même : pourquoi depuis plus d’un an, même et surtout au plus fort de la première vague virale, après avoir pris la criminelle décision de laisser ouvertes les frontières, nous interdit-on et empêche-t-on les médecins de nous soigner ? Notamment, pourquoi depuis le début de cette prétendue pandémie et alors que n’existait et  n’existe toujours aucun vaccin digne de ce nom, a-t-on brutalement et contre toute attente interdit les seuls traitements connus dont, essentiellement, l’hydroxychloroquine, classée « substance vénéneuse le 13 janvier 2020 par Agnès Buzyn, alors ministre de la Santé, mariée à la ville à un certain Yves Lévy, PDG de l’INSERM et co-président du comité de pilotage à l’origine de la création du laboratoire P4 de Wuhan, ville d’où proviendrai le mal ? Cette interdiction reposant sur un avis défavorable du Haut conseil de la santé publique (HCSP) et l’arrêt des essais dans le cadre du protocole clinique européen Dicovery, lui-même influencé par l’étude truquée publiée par The Lancet, en dit long sur l’ampleur de la manœuvre et constitue à l’évidence le plus grand scandale sanitaire du siècle.

Mais que dire aussi du silence forcément complice de l’immense majorité des médecins et comment interpréter leur acceptation docile de renoncer à leur autorité de prescription et à leur serment, renvoyant les patients symptomatiques à leurs pénates avec quelques comprimés de Doliprane et la peu rassurante recommandation d’appeler le SAMU en cas de dégradation de leur état de santé ? Il faudra aussi qu’un jour ou l’autre l’Ordre des médecins ou autre organisme dûment habilité à représenter notre système de santé vienne nous expliquer son refus de thérapies connues et validées scientifiquement comme, entre autres, l’association d’Ivermectine associée à un antibiotique (Doxycycline) et à une prise de zinc. Une telle combinaison a permis de ramener pratiquement à zéro le nombre de morts en Tchéquie, au Mexique, au Paraguay, etc. Les grands médias à la botte n’en auront évidemment soufflé mot sauf, éventuellement pour tenter de discréditer la thérapie. 

Cette question initiale en inspire tant d’autres et notamment, pourquoi en pleine première poussée virale nous déconseilla-t-on vivement le port du masque ? Faute de stock nous a-t-on seriné ? Peut-être, mais alors pourquoi en avait-on détruit les stocks par  milliards avant l’épidémie alors que depuis plusieurs années se multipliaient les avertissements sur un risque de pandémie ? Et pourquoi l’avoir ensuite imposé même en milieu ouvert où il n’est strictement d’aucune utilité, sauf celle de déshumaniser les rapport sociaux et générer un certain nombre de pathologies ? On pourrait ainsi poursuivre sans fin le questionnement mais l’heure a sonné des réponses dont regorgent de récentes publications, notamment dans les deux ouvrages du Professeur Perrone – « Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? » et « Décidément, ILS n’ont toujours rien compris » - mais aussi dans ceux du Professeur Raoult, de Philippe Aimar, Léo Gali, Florian Philippot, Guy Courtois, entre autres et les innombrables interviews, déclarations, articles des Professeurs Alexandra Henrion-Caude, Didier Raoult, Jean-Bernard Fourtillan, du Docteur Gérard Maudrux et de quantité de médecins indépendants ou organisés en collectifs, de biologistes, généticiens et autres lanceurs d’alerte relayés par une kyrielle de sites internet.

Pas de complotistes sans complots 

C’est l’occasion de saluer au passage les efforts, l’opiniâtreté et souvent le courage de tant de lanceurs d’alertes dont la prose diffusée tant bien que mal dans les espaces de liberté résiduelle de leurs blogs et  comptes sur les réseaux sociaux tente de contrebalancer timidement le tumulte des grandes orgues de la désinformation et de la propagande obsessionnelle du système depuis plus d’un an. Si une large part de l’opinion publique ressent spontanément une certaine méfiance à l’égard de ceux qui se sont si souvent trompés et surtout les ont abusés, bien peu de nos concitoyens sont en mesure, malgré la somme d’indices, d’informations et de preuves dont nous disposons, de comprendre ce qu’il se passe réellement. Il est tellement plus confortable de ne pas voir, ne rien comprendre et d’éviter les corrélations sulfureuses qui ont tôt fait de vous ranger dans la catégorie infréquentable des complotistes. Pourtant, ce n’est pas la matière qui manque et, censure ou non – il suffit de fuir les facilités des GAFA – une très abondante documentation, certes de qualité inégale, permet à chacun, pour peu qu’il en éprouve le besoin et veuille bien se donner la peine, de comprendre les véritables enjeux d’une crise sanitaire aux origines plus que suspectes et au traitement effrayant. Quand bien même on n’adhérerait pas aux thèses de l’intentionnalité et que l’on occulterait à la fois les différentes prédictions parfaitement vérifiables, notamment celle de la CIA dès 2005, et l’étrange simulation menée juste avant la révélation des débuts de l’épidémie, il faudrait au moins convenir de la réalité des notes diplomatiques par lesquelles, en 2018, l’ambassade des États-Unis à Pékin, avaient alerté à deux reprises le département d’État américain sur l’insuffisance des mesures de sécurité du laboratoire P4 de Wuhan menant des travaux sur… les coronavirus des chauve-souris. 

Quelques aveux de taille 

Faut-il aussi ranger parmi les complotistes l’ancien président allemand de l’Office pour la protection de la Constitution, Hans-Georg Maaßen, lorsqu’il déclare dans une récente interview accordée au magazine Epoch Times : « Les actions des responsables du gouvernement ne relèvent plus de l’incompétence ou de l’ignorance mais de la préméditation ».

Est-il complotiste à son tour, Olivier Véran, ministre de la santé déclarant que « l’efficacité des vaccins est devenue particulièrement contingente (c’est-à-dire incertaine, aléatoire NDLA) du fait de l’apparition des nouveaux variants ». Ajoutant "le vaccin n'empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la propagation du virus n’est pas encore connu". Pour finir par cet aveu inimaginable que chacun pourra être amené à vérifier tant c’est énorme, notamment sur le site internet d’Europe 1 ou autres sources l’ayant dupliqué : "les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant." Cette dernière précision fait écho aux plus sombres avertissements de quelques lanceurs d’alerte dont il était de bon ton de se gausser il y a encore quelques mois et tendrait à prouver que, finalement, le complotiste, c’est celui qui a raison avant que de trop nombreuses fuites ne viennent éventer les vilaine cachotteries et petits arrangements entre amis. Quoiqu’il en soit, un vacciné avertit en vaut deux et nous savons que l’automne et l’hiver prochains devraient s’avérer particulièrement difficiles sur fond de propagande et de répression accrues.

Toutes les mesures prises à ce jour l’ont été à l’encontre des intérêts et de la santé des Français. C’est une évidence tellement difficile à cacher que le régime ne peut en effet qu’intensifier jour après jour censure et répression, jusqu’aux arrestations et internements pour tenter d’étouffer ce qui peut l’être encore. Depuis le début de cette crise, nos prétendues élites mentent, exagèrent, dissimulent les informations gênantes pour leur plan et truquent les chiffres avec le soutien sans faille des grands médias subventionnés appartenant à quelques milliardaires. Ne pouvant souffrir le moindre contre-pouvoir, elles multiplient les lois liberticides et la surveillance de masse et certains de leurs laquais en deviennent menaçants, tel Éric Le Boucher, directeur de la rédaction du magazine économique Enjeux-Les Échos mais aussi co-fondateur, avec Jacques Attali du magazine américain en ligne Slate.fr, ayant pour principale actionnaire Ariane de Rothschild, titrant l’un de ses papiers dans le quotidien L’Opinion « Il va être temps de s’occuper de ceux qui refusent le vaccin ». Pour notre part, nous pensons qu’il est plutôt temps de s’occuper de tous les Le Boucher qui nous entrainent à notre perte.

Le 9 mai 2021

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Jean-Frédéric Poisson : "Un sentiment de délire liberticide"

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Source Boulevard Voltaire cliquez ici

Le chef de l’État vient de s’adresser aux Français. Ces mots étaient extrêmement forts et ces décisions extrêmement dures. Quelle impression générale vous a donnée ce discours ?

Ce discours était sans surprise avec un sentiment de délire liberticide et de démagogie de campagne électorale. L’imposition du pass sanitaire puis de la vaccination obligatoire pour tous nous font entrer dans un état de dictature sanitaire que j’annonce et que je dénonce depuis quelques mois. Quant aux mesures annoncées sur le plan social, il a envoyé des signaux très clairs à son électorat pour maintenir son socle. Il fera sa réélection sur le dos de la liberté des Français. C’est proprement inacceptable. En d’autres temps, cela relèverait de la Haute Cour. 

Florian Philippot était à deux doigts d’accuser le Président d’avoir un problème de pathologie mentale. Selon vous, est-on sur du cynisme politique total ?

Je n’irai pas jusque-là puisque je n’ai pas cette compétence. Le caractère très anguleux du décor et très froid, tout cela est fait pour donner une impression d’alimenter la peur de l’opinion même si, par ailleurs, les propos sont très rassurants. Alors que le chef de l’État entend rassembler les Français, réunir le pays et assurer la cohésion, la relance de la réforme des retraites dans un contexte comme celui-là est-elle susceptible de le faire ?

Quand on voit la manière dont un certain nombre de personnes du gouvernement omettent leurs obligations les plus fondamentales comme le garde des Sceaux qui a malencontreusement oublié de déclarer une somme de 300.000 euros qui donne le vertige à 99,5 % de la population, on peut se poser des questions. Tout cela est incohérent. C’est une opération de massive division parce que M. Macron n’a pas d’autres moyens que d’assurer sa réélection autrement que par la peur et par la division des Français.

Par conséquent, il joue de ces deux leviers. Malheureusement pour nous tous, nos libertés publiques et individuelles en seront le moyen. C’est la raison pour laquelle il est de plus en plus urgent que tous ceux qui contestent ce projet politique et son caractère absolument néfaste pour nous tous unissent leurs forces et partent en combat ensemble.

On a l’impression qu’Emmanuel Macron s’adresse à ceux qui se sont fait vacciner pour eux et qui attendent des autres qu’ils le fassent.

Il s’adresse d’abord à ceux qui l’ont élu, à ceux qui n’ont pas mesuré la détresse et le désarroi dans lequel se trouve le pays depuis le début de ce quinquennat, à ceux qui sont peu concernés par les violences urbaines. Lorsque Emmanuel Macron dit que le pouvoir d’achat a augmenté, on dirait qu’il ne prend pas l’autoroute et qu’il ne paie pas l’électricité et le gaz. Si c’était le cas, il se rendrait compte qu’il dit des bêtises. Il s’adresse éventuellement à la classe sociologique qui l’a élu et dont il est certain qu’elle le réélira.

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Face à la dictature-Macron : réaction de Thomas Joly

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Face à la dictature-Macron : réaction de Florian Philippot

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Source Boulevard Voltaire cliquez ici

Le chef de l’État vient d’imposer le pass sanitaire et d’autres mesures liberticides. On vous imagine vent debout contre ces mesures.

Je suis sidéré par ce que je viens d’entendre, c’est d’une violence inouïe. L’extension du pass sanitaire aux trains, aux restaurants, aux centres commerciaux, aux hôpitaux, etc., c’est unique au monde. Il a également clairement dit qu’il y aurait la vaccination obligatoire pour certaines professions. La prochaine étape, ce sera pour tout le monde. Il y aura également une troisième dose au mois de septembre. Ceux qui disent, aujourd’hui, qu’on n’est pas dans une dictature, ce sont des sots. On est dans une dictature très violente.

J’ai vu, ce soir, non pas un président de la République mais un psychopathe. Son regard, ses annonces… J’ai vu un fou furieux, inquiétant et dangereux. Nous basculons dans autre chose. Je connais des gens très en colère, sidérés et en pleurs. Je leur dis : « Ne sombrez pas. »

Se faire vacciner pour faire reculer l’épidémie, ce n’est peut-être pas une mauvaise idée…

On parle maintenant d’une troisième dose, et pourquoi pas un abonnement vaccinal ? On nous avait promis l’inverse. Le 24 novembre dernier, Emmanuel Macron avait dit qu’il n’y aurait pas d’obligation vaccinale. On nous annonce, maintenant, une restriction sanitaire pour aller au restaurant ou prendre un train ou un bus.

Les gens qui trouvent cela normal sont comme la grenouille dans l’eau que l’on fait bouillir : ils ont été ramollis. C’est anormal et cela doit appeler à la plus vive résistance, par le boycott. Je n’ai rien contre les restaurateurs, mais tant pis, on n’ira plus. Et les restaurateurs se retourneront contre l’État, pour se débarrasser de ce pass sanitaire. 

Pensez-vous que le Conseil constitutionnel pourrait s’opposer à cette décision ?

Ni le Conseil d’État ni le Conseil constitutionnel ne peuvent valider ne serait-ce qu’un dixième de ces annonces folles. Les principes les plus fondamentaux de liberté et d’égalité sont battus en brèche. Malheureusement, le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État ont trahi, ces derniers mois. Mais il faudra tout de même les saisir. Normalement, ils devraient mettre cela à la poubelle, mais ils sont sous pression et sont plutôt enclins à valider ce que propose le pouvoir.

C’est au peuple français de se libérer par lui-même.

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lundi, 12 juillet 2021

Ne plus payer pour subir ? Suivons l'exemple de Donald !

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François Floc'h

Nous avons appris, il y a quelques jours, que Donald Trump, toujours aussi pugnace, allait porter plainte contre contre Facebook, Twitter, Google pour "censure illégale, inconstitutionnelle" !

De ce côté de l'Atlantique, en ce beau pays des Droits de l'Homme et de la liberté d'expression (humour !), nous apprenions que rien n'allait plus à Europe 1, que la colère grondait et qu'une grève n'était pas exclue. La cause de ce psycho-drame ? Le recrutement de quelques chroniqueurs moins marqués politiquement à gauche. Patrick Cohen en perd alors sa superbe et, en bon gourou, crie au scandale : « Comment moi, Patrick Cohen, "producteur de vérité" comme il se définit en toute modestie, on veut que je partage mes sucettes avec des petits camarades que je n'ai pas choisis moi-même… C'est un scandale ! » Et le scandale se termine par l'embauche, à la rentrée, du sieur Cohen sur France Culture du Service public ! Comme cela, il fera le pendant du politiquement correct de France Inter où règnent Léa Salamé et Nicolas Demorand ! Belle opération pour la pluralité à l'approche de la Présidentielle !

Ces événements croisés portent à la réflexion.

Depuis bien des années, le Service public de l'audiovisuel, jour après jour, heure par heure, œuvre à la propagation des idéologies gauchardes – on dirait aujourd'hui "islamo-gauchistes" – qui participent au délitement de notre nation. France Inter est en quelque sorte le vaisseau amiral de cette offensive. Mais, n'oublions pas tous les autres du Groupe France Télévisions, Antenne 2 et 3, France Info, France Culture, LCP.… qui s'apparente à une arme de désinformation massive ! Sans compter les sous-marins des radios exotiques qui naviguent ça et là cherchant à nous couler !

Gilles-William Goldnadel, en deux mots percutants, utilise l'expression "Sévice national" pour qualifier ces gens-là. Car, ils sévissent, tous frais payés, avec l'argent de nos impôts, collectés efficacement grâce à la "Contribution à l'audio-visuel public" déclenchée par la petite case non cochée de la taxe d'habitation !

Il faudrait donc suivre l'exemple de l'ami Donald et demander des comptes à tous ces militants gauchistes. Une bonne plainte collective lancée par les usagers du Service public pour non respect de la neutralité ébranlerait un peu le système. Dans nos rangs, il y a suffisamment de bons juristes, de bons fiscalistes, et de plaignants !, pour attaquer ces messieurs avec quelques chances de succès.

Peut-être n'arriverions-nous pas à les déloger de leurs prébendes mais, en gagnant une exonération de taxe, nous arrêterions de payer pour être maltraités ! Et quelle surprise pour ces potentats : être contestés au sein même de leur forteresse !

Rappelez-vous…

 – Le "Tour infernal" et son impact sur la Présidentielle de 2002. L'entre deux tours pendant lequel le tam-tam médiatique avait battu le rappel contre Jean-Marie Le Pen !

– Les Bobards d'Or qui leur sont attribués avec humour, chaque année, en sont la plus belle et permanente illustration.

– Aujourd'hui, ce sont toujours les mêmes qui décident si l'on fait partie du camp du Bien ou celui du Mal. Alors, la dédiabolisation tant vantée, elle arrivera peut-être, un jour lointain, … quand les poules auront des dents !

Comme aime à répéter Alain Sanders : le temps est venu que les braves gens deviennent des gens braves ! Ne plus subir et contre attaquer. Privés de nos sous, privés d'auditeurs (voir l'exemple de Cnews !), leurs boutiques à propagande les liquideraient pour faillite et nous pourrions aller sur leurs tombes médiatiques en chantant !

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Demain la guerre civile, vraiment ?

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Georges Feltin-Tracol

Il y a trente ans, en 1991, l’ancien policier Charles Pellegrini répondait aux interrogations de Serge Ferrand dans un ouvrage au titre inquiétant : Demain la guerre civile ? Le thème fait depuis florès tant en librairie que dans les débats audio-visuels et sur les réseaux sociaux numériques. Suite à la fameuse tribune des militaires mise en ligne sur Place d’armes et reprise par Valeurs actuelles, un sondage de l’Institut Harris montre que 45% des Français estiment que nous allons vers une guerre civile. La France connaîtrait dans les prochaines décennies, dans les prochaines années, voire dans les prochains mois, de terribles déchirements internes. L’hypothèse la plus envisagée opposerait les Français d’origine européenne aux descendants des populations allogènes venues d’Afrique et d’Orient, souvent de foi mahométane, à l’instar des deux tomes du surfait Guérilla de Laurent Obertone. Le concept de guerre civile à venir est-il cependant crédible ?

Si la Guerre d’Algérie a conduit au début des années 1960 l’Hexagone au bord de la guerre civile, la dernière en date remonte à 1944–1945 avec la sanglante « Épuration ». Les commentateurs qui parient sur cette éventualité gardent en mémoire la longue guerre du Liban (1975–1990) et s’imaginent des scènes semblables au conflit syrien dans des paysages berrichons, marseillais ou bretons familiers. Ils se trompent !

Des événements comparables n’affecteraient pas l’Hexagone, car les tensions supposées pourraient être d’ordre moléculaire, c’est-à-dire de basse intensité. Certes, les heurts pourraient être violents, mais ils se limiteraient à des zones géographiques précises. En outre, la France n’est ni le Liban, ni la Syrie ou l’Irak. On voit mal en effet un membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, détenteur de l’arme atomique, qui dispose de plusieurs centrales nucléaires et des centres de retraitement radio-actif, première puissance militaire de l’Union pseudo-européenne, plonger sans la moindre réaction dans un conflit intérieur. Sait-on par ailleurs que plus de soixante-dix chefs d’État et de gouvernement y possèdent une résidence secondaire ? Par exemple, le roi du Maroc séjourne longuement dans un château d’Île-de-France ; la dynastie royale belge passe ses vacances sur l’île d’Oléron ; la famille grand-ducale de Luxembourg est mitoyenne du fort présidentiel de Brégançon au bord de la Méditerranée.

Il est donc difficile de croire que le voisinage de la France, les institutions de l’Union dite européenne et l’Alliance Atlantique assisteraient au délitement socio-politique français. En cas d’effondrement des institutions républicaines et de vacance complète du pouvoir, l’OTAN et la Commission de Bruxelles interviendraient certainement dans le cadre d’une résolution onusienne avec l’intervention de forces armées restauratrices de l’« ordre » marchand–progressiste. Verrait-on alors l’entrée en fonction d’une AMGOT (gouvernement militaire américain des territoires occupés) nouvelle mouture prévue à la veille de l’invasion anglo-saxonne du 6 juin 1944 et jamais appliquée en raison de l’hostilité virulente du général De Gaulle et de la Résistance intérieure ?

En cas de guerre civile « perlée » ou totale, qui profiterait finalement de la situation anxiogène ? Gageons que le Bloc occidental atlantiste (BOA) serait ravi d’étouffer la voie spécifique française, de la contraindre à rentrer définitivement dans la nasse mondialiste et de lui retirer sa précieuse dissuasion nucléaire à l’avantage de Washington, de Bruxelles et de Berlin, deux fidèles larbins du Capitole, de Wall Street et d’Hollywood. Ce n’est pas anodin si depuis la présidence de Bill Clinton (1993–2001), l’ambassade étatsunienne installée à un jet de pierre de l’Élysée investit massivement dans les banlieues de l’immigration. Les officines yankees se retrouvent avec leurs concurrentes britanniques, turques, israéliennes, algériennes et marocaines.

Si un conflit identique aux tragédies survenues au Yémen ou en Afghanistan est assez improbable, une stratégie de la tension proche des « années de plomb » 1970–1980 en Italie ou de la « crise d’octobre » 1970 au Québec s’envisage réellement. Il est en tout cas évident que l’hyper-caste cosmopolite a décidé d’accélérer et d’amplifier le populicide programmé des Albo-Européens.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°222, mise en ligne sur TVLibertés, le 6 juillet 2021. Il s’agit de l’ultime « Chronique du Village planétaire » destinée à TVLibertés.

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dimanche, 11 juillet 2021

Le déjeuner champêtre du Parti de la France à Amiens autour de Jean-Marie Le Pen

Thomas Joly, Président du Parti de France, recevait Jean-Marie Le Pen pour une fête champêtre qui a réuni une grosse centaine de convives à Fluy dans la Somme. Les personnes interviewées dans l'ordre de leurs interventions : Éric Pinel, Franck Buleux (directeur de la collection des Cahiers d'Histoire du nationalisme), Benjamin Lematte, Bruno Hirout, Fabrice Lengelé, Alexandre Simonnot, Fiorina Lignier.

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Le site du Parti de la France cliquez ici

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Cette inflation que les banques centrales ne veulent pas voir venir

ROUSSET PIERRE.jpgMarc Rousset

Les craintes d’inflation et le variant Delta sont les deux raisons principales de la volatilité actuelle des Bourses. Après une chute, jeudi, de 2 % du CAC 40 suite aux inquiétudes liées au Covid-19, ce dernier a regagné, vendredi, les 2 % de perte de la veille. Mais cela pourrait bien être les premiers signes d’un été boursier qui s’annonce chaud et animé.

Le ratio moyen cours/bénéfice des Bourses se situe, actuellement, à 21 pour les entreprises du Standard & Poor’s 500 et à 17,5 pour les entreprises européennes, alors que sa moyenne à long terme est de 15, tant aux États-Unis qu’en Europe. De plus, les bonds des bénéfices attendus par les analystes ne seront peut-être pas au rendez-vous si les coûts dérapent, suite aux hausses des salaires, du fret maritime des conteneurs ou aux goulots d’étranglement pour certains produits. Les anticipations fluctuantes d’inflation, de taux d’intérêt, des réductions à venir ou non des achats d’actifs par les banques centrales, jusqu’à la réunion de politique monétaire en septembre prochain à Jackson Hole, peuvent aussi contribuer à la volatilité des Bourses cet été.

L’Autorité des marchés financiers redoute, d’ores et déjà, un nouveau coup de tabac sur les marchés, suite à l’augmentation de l’endettement des États, mais aussi des entreprises ; le gendarme de la Bourse redoute une remontée des taux, ce qui pourrait conduire à de fortes corrections ou à un krach.

Si la France doit connaître effectivement, en 2021, une croissance forte de 6 % du PIB, mais avec une inflation effective de 2 %, la croissance réelle nette du PIB ne sera plus que de 4 % et si la dette réelle doit progresser à nouveau, ne serait-ce que de 8 % à cause du déficit public en 2021, le ratio dette/PIB de la France aura continué de se détériorer schématiquement de 8 % moins 6 %, soit 2 %, malgré une croissance nominale du PIB de 6 % et une croissance réelle nette de 4 %.

Officiellement, l’inflation aux États-Unis est toujours jugée temporaire par la Fed, mais les membres du Comité monétaire ont été surpris par la flambée de l’inflation de 3,6 % en avril et de 3,4 % en mai, selon l’indice PCE. Les principales hausses de taux devraient seulement intervenir en 2023 ou fin 2022, au lieu de 2024, ce qui est toujours une chimère irréaliste et une vue de l’esprit. Quant à la BCE, Christine Lagarde souhaite assouplir les objectifs d’inflation en déclarant qu’il n’y aura pas de réaction sur le « QE » si des hausses de prix sont temporairement supérieures à 2 %, tout en verdissant la politique monétaire contre le changement climatique, ce qui n’est pas le rôle d’une banque centrale.

Le FMI, plus réaliste, estime qu’« une inflation élevée fait partie des risques auxquels est confrontée la reprise économique », avec une croissance de 7 % en 2021 de l’économie américaine, soit son rythme le plus rapide depuis 1984, ce qui pourrait augmenter dangereusement le taux d’inflation et conduire à une hausse nouvelle des taux d’intérêt.

Selon le Wall Street Journal, les supermarchés aux États-Unis augmenteraient déjà leurs stocks, du sucre à la viande congelée, pour se protéger de l’inflation. Le gouverneur de la Banque des Pays-Bas estime, lui aussi, que les risques d’inflation sont sous-estimés. Les pénuries de semi-conducteurs ralentissent toujours l’activité industrielle et le prix du pétrole Brent est remonté à 77 dollars le baril, sur fond de craintes quant à l’avenir de l’OPEP. En France, près de la moitié des entreprises du bâtiment, 41 % du secteur des services et un quart des firmes industrielles peinent à recruter des salariés, ce qui est une source d’augmentation des prix par les coûts.

Une forte inflation et une augmentation substantielle des taux d’intérêt en 2022 avec un krach financier à la clé, sauf en cas de crise sanitaire fin 2021 provoquée par le variant indien et une vaccination insuffisante qui conduirait à un krach immédiat, à la récession et à la déflation, voire à l’explosion du Système, ne relèvent pas de la science-fiction.

16:32 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

70 ans de Fidélité au Maréchal Pétain

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Communiqué de presse ADMP- 9 juillet 2021 

Le 25 juillet prochain, une délégation de l'Association pour défendre la mémoire du Maréchal Pétain (ADMP) sera présente à l'île d'Yeu pour rendre hommage au vainqueur de Verdun dont nous commémorons cette année les 70 ans de la disparition.

Fondée le 6 novembre 1951, trois mois après la mort du Maréchal Pétain, l'ADMP œuvre depuis 70 ans pour sa réhabilitation, la révision de son procès, le transfert de ses cendres à Douaumont auprès de ses soldats.

L'association aujourd'hui présidée par Monsieur Roger Barut, au regard des contraintes sanitaires imposées par le Gouvernement, depuis deux ans, n'a pas pu rendre hommage à cette grande figure qui, en 1940, a fait don de sa personne à la France. Les dernières commémorations ont été organisées en avril et juillet 2019 dans sa maison natale de Cauchy à la Tour, dans le Pas-de-Calais et sur sa tombe en Vendée.

C'est donc avec beaucoup d'émotion que nous serons à nouveau présents à l'île d'Yeu le 25 juillet.

Soixante-dix années ont passé depuis la disparition du Maréchal. Fidèle à son héritage, I'ADMP, association apolitique, n'a jamais baissé les bras.

Ce 70ème anniversaire sera marqué par le lancement de notre site www.marechalpetain.com, par notre présence sur Facebook, par notre nouvelle version de la revue Le Maréchal, et par des stratégies de développement destinée à permettre aux jeunes, respectueux de la figure du vainqueur de Verdun, de nous rejoindre.

Toujours fidèle, toujours présente, l'ADMP tient par ailleurs à rappeler qu'elle n'a aucun lien, ni aucune filiation avec des groupuscules souhaitant s'accaparer la mémoire du Maréchal. Le Maréchal n'appartiendra jamais à des factions, le Maréchal appartient à la France et à tous les Françaises et les Français.

Nous vous donnons rendez-vous le 25 juillet à 11h00 devant l'Hôtel des Voyageurs, 31 quai Carnot, à Port Joinville. Soyez présents, soyez fidèles.

Vive le Maréchal, Vive la France.

Et aussi, à l'appel de Jeune nation :

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16:26 Publié dans Communiqués de presse, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 10 juillet 2021

Le nouveau numéro de L'Afrique réelle de Bernard Lugan

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Bernard Lugan L'Afrique réelle
 
La France en a l’habitude : ses Armées remportent des victoires que ses décideurs civils transforment systématiquement en défaites politiques. Ainsi en fut-il de l’Algérie, puis du Rwanda et aujourd'hui de la BSS où Emmanuel Macron a annoncé la fin de l’Opération Barkhane. 
Depuis, la quasi-unanimité se fait dans les médias pour mettre en avant l’échec prétendu de cette opération militaire, ce qui est à la fois faux et mensonger.
 
Dans une zone d’action vaste comme une partie de l’Europe dans laquelle ne furent au  maximum déployés que moins de 5000 hommes à la fois, la moitié en protection d’emprises ou d’axes de communication, avec des moyens réduits et parfois même obsolètes, Barkhane n’avait pas pour mission d’apporter une solution à des problématiques ethno-raciales millénaires. Elle a en revanche parfaitement rempli la triple mission qui lui avait été ordonné de mener : 
 
1) Perturber les mouvements terroristes, limiter leur liberté d’action, empêcher leur coagulation, éliminer leurs chefs. A cet égard, les résultats du GTD (Groupement tactique désert) Altor du 2e REP dans la région des « Trois frontières », loin  des camps de base, furent remarquables.
 
2) Rendre la plus hermétique possible la frontière entre la Libye et le Niger, afin d’éviter le réensemencement du jihadisme sahélien à partir du foyer libyen. 
 
3) Empêcher la reformation d’unités jihadistes constituées.
 
Assurer la paix n’était pas dans la mission de Barkhane. Etablir la sécurité passe en effet par la construction des Etats, des armées et des administrations, c’est-à-dire par la recolonisation… ce qui  n’est pas exactement dans « l’air du temps »…
 
Au lieu de réfléchir à des solutions fondées sur le réel, les décideurs français n’ont eu qu’un seul remède à proposer, les élections. Or, ce système fondé sur le « one man, one vote » est d’abord une ethno-mathématique donnant automatiquement le pouvoir aux plus nombreux, en l’occurrence aux sédentaires Noirs sudistes, ce que les nomades ne peuvent accepter.
 
Une furieuse polémique sur fond de question kabyle a éclaté en Algérie. Noureddine Aït Hamouda, ancien député du parti  berbère RCD (Rassemblement pour la Culture et la Démocratie) et fils du colonel Amirouche, chef emblématique du maquis kabyle de la willaya III, tué au combat le 29 mars 1959, a en effet qualifié de « traitres », entre autres, l’émir Abd el-Kader ainsi que les présidents Boumediene et Bouteflika. 
 
En 2008, Nouredine Aït Hamouda avait déjà dénoncé les faux moujahidine légitimés par l’ONM (Office national des Moujahidine), 9/10e étant selon lui des imposteurs, ainsi que le chiffre de 1,5 million de morts causé par la guerre d’indépendance. Les œuvres vives du « Système » étant attaquées, sur plainte de l’ONM, Noureddine Aït Hamouda a été mis en prison. 
Il va être de plus en plus difficile à un « Système » aux abois de cacher qu’il est l’héritier des auteurs du coup d’Etat qui, en 1962, renversa le GPRA (Gouvernement provisoire de la République algérienne), évinçant les combattants de l’intérieur essentiellement Berbères pour instaurer le régime arabo-musulman du FLN (voir à ce sujet mon livre Algérie, l’histoire à l’endroit.)
 
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Des filières d’imigration médicale en France

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On savait déjà que l’Aide médicale d’Etat (AME) qui permet aux immigrés clandestins ou non de se soigner gratuitement coûtait fort cher à la communauté des contribuables français. Un rapport parlementaire mené par Véronique Louwagie, député LR de l’Orne, souligne l’existence de filières migratoires spécifiques nourrie par une « offre » sans équivalent en Europe.

Lire la suite ICI `

Source : Présent 10/07/2021

 

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