mercredi, 12 novembre 2025
Le Canard enchaîné finira-t-il en camisole ?
Il est question de Synthèse nationale dans la livraison de ce jour du Canard enchaîné (voir l'article ci-dessus). Notre "fine équipe" (comme ils disent) étant évoquée par ces vigilantes vigies de l'"antifascisme" (qui, de plus, ont le mauvais goût de nous vieillir en nous rattachant à Occident), nous leur répondons volontiers :
Normalement, on ne médit bien que de ce que l’on connaît. Mais aujourd’hui, la lecture des inepties déroulées au fil des lignes de six articles, sur une pleine page du dernier numéro du Canard enchaîné, confirme, s’il en était besoin, que médisance et ignorance sont les deux mamelles auxquelles s’abreuve la presse de gauche ayant pignon sur rue.
En principe, un journaliste digne de ce nom travaille sérieusement son sujet, collecte des faits, cherche à comprendre, à se rapprocher de la vérité. Il fait preuve de mesure, de nuance. Seulement, voilà : depuis longtemps, l’idéologie a fait son œuvre au sein des publications "mainstream". Souvent, les journalistes y ont fait place à des militants et l’information à la désinformation, à la propagande…
Désormais, point n’est besoin de savoir pour rapporter. "Croire", "penser que" suffisent. L’approximation est reine. On tripatouille, on caricature, voire on ment. On additionne des vessies et des lanternes. On cite des morceaux tronqués d’articles vieux de plusieurs années. On opère un grand méli-mélo dans le shaker rédactionnel d’où l’on tire une manière de dégueulis infâme ou ridicule qu’on étale ensuite sur une ou plusieurs pages à destination d’un public de convaincus.
La dernière livraison du Canard enchaîné montre que, manifestement, ce journal, qui fut un grand hebdomadaire satirique d’investigation, a succombé à son tour à ce mal de notre époque. Tout y est (en page 3) : la bête immonde qui relève la tête et s’apprête à retendre la patte ; les groupuscules d’ultradroite qui pullulent ; la fièvre haineuse qui se répand ; les tags racistes ou porteurs de vilains messages en -phobes (xéno-, homo-, islamo-) qui fleurissent un peu partout ; les innombrables passerelles qui se tendent entre les activistes « identitaires, royalistes ou païens », entre « la fine équipe » de Synthèse nationale (notre revue étant qualifiée au passage de « feuille de chou », ce qui pourrait nous vexer…) et les milieux du football, les cathos (à commencer par ceux du Congrès Mission ou d’Academia Christiana), le RN ou encore Reconquête !
En fait, cette « Mare aux canards » (nom de la rubrique où figurent les articles en question) n’a d’autre sens et d’autre raison d’être que d’injecter une nouvelle dose de trouille dans les foyers claquemurés de la bien-pensance. Il s’agit, encore et toujours, de garder les forces de gauche en éveil, prêtes à se mobiliser et à s’unir pour opposer un énième "front républicain" à l’épouvantail "fasciste" brandi jusqu’à satiété, jusqu’au dégoût !
Lors des dernières élections, la ficelle, bien que fort grosse, est encore passée inaperçue auprès d’une part notable des électeurs. Mais elle commence à se voir de plus en plus et aux prochains scrutins, il se pourrait bien qu’elle finisse enfin par casser...
Synthèse nationale
23:00 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Eric Zemmour ce mercredi à partir de 17 h sur la chaîne de "Frontières"
21:48 Publié dans Eric Zemmour, Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Quand, un an et demi avant les attentats du 13 novembre 2015 à Paris, les experts de plateaux raillaient sur France2 un journaliste de terrain évoquant la menace terroriste représentée par les djihadistes partis en Syrie...
Le 25 avril 2014, dans l'émission Ce Soir (ou jamais!), animée par Frédéric Taddeï (pas encore tricard sur le service public), le jeune journaliste David Thomson évoque la menace que représentent alors pour la France les djihadistes partis combattre en Syrie (voir en particulier à partir de 19:25) - sur YouTube, cliquez ici - Sur Fdesouche, cliquez là.
Sa mise en garde lui vaut aussitôt une réaction indignée et acerbe des incontournables experts de plateaux présents ce jour-là.
Un an et demi plus tard, le 13 novembre 2015, neuf terroristes sèmeront la mort dans les rues de Paris...
En cette veille du dixième anniversaire de la tuerie de masse, le visionnage de cette séquence vaut mieux que tous les discours dénonçant ce que l'on peut voir ou entendre sur le service public de l'audiovisuel...
Comme l'a (presque) dit le biologiste Jean Rostand : "L'usage de la télévision n'a pas rendu les humains plus sots, mais la bêtise s'est faite plus sonore".
SN
18:44 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) |
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J’étais à Madrid pour les dix-neuvièmes journées de la dissidence
Michel Festivi
Les 7, 8 et 9 novembre derniers, se sont tenues à Madrid les dix-neuvièmes journées de la dissidence, organisées par les Éditions FIDES, sous la houlette de Juan Antonio Llopart leur directeur. Ces journées regroupent depuis plusieurs années, des identitaires espagnols au sens large du terme, qui entendent lutter contre la désagrégation de l’Espagne, et surtout faire savoir que les lois mémorielles socialo-communistes, hautement attentatoires aux libertés publiques, n’ont pas barre sur eux.
Cette année, et pour la première fois, ces journées se déroulaient dans des locaux appartenant à une association amie, l’association Alphonse 1er d’Aragon, tout un symbole. En effet, Alphonse 1er dit Le Batailleur, le bien nommé, régna pendant 29 ans, de 1104 à 1134. Non seulement il fut Souverain d’Aragon, mais aussi de Pampelune, de Castille et de Galice. Il prendra même le titre « d’Empereur de toute l’Espagne », ce qui révélait un volontarisme certain.
Fils de Sanche 1er, il poursuivra farouchement la lutte contre les tribus musulmanes, qui avaient envahi la péninsule en 711. Il agrandira considérablement le Royaume, allant jusqu’à Valence, Cordoue et même devant Grenade. En 1134, devant Fraga, et alors qu’il livrait bataille contre les Almoravides, il fut mortellement blessé. C’est dire si ces journées se plaçaient sous les auspices les plus prometteurs.
Le 8 novembre plusieurs conférences des plus passionnantes eurent lieu : Les mouvements Nationaux Révolutionnaires espagnols des années 80 et 90 ; l’actualité de Ledesma Ramos fondateur de la Jons qui fusionnera en 1934 avec la Phalange, et qui sera assassiné par les miliciens front populistes le 29 octobre 1936, tout cela suivi de débats avec la salle remplie. Puis dans l’après-midi, une table ronde consacrée à la jeunesse, avec la participation du syndicat espagnol universitaire, Vanguardia Juvenil et C.E La Tijera. Pour terminer une aussi dense journée, une conférence sur Gimenez Caballero, écrivain et diplomate qui connut une carrière considérable dans l’Espagne franquiste, et qui sera notamment ambassadeur au Paraguay pendant plus de 10 ans ; et sur Mercedes Formica, avocat, journaliste et écrivain (1913/2002), phalangiste, admiratrice de José Antonio, et qui œuvrera pour la défense du droit des femmes. Elle témoignera de la terreur rouge qu’elle subit à Malaga de juillet 1936 à février 1937. Pilar Primo de Rivera lui confiera ensuite des responsabilités dans la presse phalangiste.
Le lendemain 9 novembre, après la présentation d’un livre de Karl Eckbrecht, diplomate et philosophe allemand dans les années 1920/1930 : Un homme droit (Un hombre recto), nous pûmes assister à un récital de chansons et de poésies. Et pour clôturer ses 3 journées fort bien remplies, Pedro Varela mit la salle à contribution sur le thème : Vers où nous dirigeons nous ?
Car j’ai gardé pour la fin, la première journée, celle du 7 novembre. Après l’installation de très nombreux stands de livres et de revues, cette dix-neuvième journée commença par une réflexion des plus utiles sur le militantisme aujourd’hui, ses difficultés, ses espérances. Puis, j’eus l’honneur de présenter mon livre sur le général Miguel Primo de Rivera, qui gouverna l’Espagne de 1923 à 1930. J’avais écrit cette biographie en 2023 sous le titre : Miguel Primo de Rivera, un dictateur éclairé pour régénérer l’Espagne, ouvrage publié par les éditions Dualpha, avec une préface d’Arnaud Imatz. Juan Antonio Llopart, des éditions Fides me fit savoir exactement l’an passé, lors des précédentes journées de la dissidence, qu’il était intéressé par la traduction et la publication de mon livre.
Promesse tenue, et c’est mon ami Jordi Garriga, qui écrit sur de très nombreux sites espagnols des plus roboratifs, qui se chargea de la traduction et des annotations. Pio Moa très amicalement accepta de faire une préface à cette édition espagnole. Pendant plus d’une heure, assisté de Jordi Garriga et de Pio Moa, j’exposai les grandes lignes de mon livre et le résumé des réalisations du régime : économiques, sociales, militaires, scolaires, culturelles, institutionnelles, à l’international. Comme le déclarera Pio Moa, si en France, les réformes de Miguel Primo de Rivera sont méconnues, même en Espagne, ses près de 7 années de gouvernance très bénéfique restent ignorées, d’où l’intérêt de rappeler cette séquence très intéressante et dense de l’histoire espagnole. Pour citer le grand historien espagnol « Son régime démontra que l’Espagne était capable de se reconstruire et de rapidement récupérer une grande partie du terrain perdu depuis les débuts du XIXème siècle, par rapport aux pays les plus avancés d’Europe ».
En tout cas, ces trois journées furent un beau succès et un acte de foi militant. Ce rendez-vous devient désormais incontournable, malgré ou grâce aux difficultés politiques extrêmes que connait l’Espagne, confrontée à une camarilla gauchiste des plus sectaires, avec des indépendantistes wokistes à souhait qui entendent la pulvériser. J’ai ainsi pu transmettre, par-delà les Pyrénées, le salut fraternel des Français qui entendent eux-aussi, résister aux laminages des gauches et entamer un redressement salutaire. J’ai terminé mon propos en évoquant la grandeur de l’histoire espagnole, qui depuis Pélage, le Cid, les Rois catholiques, Charles Quint, ceux de Covadonga à Las Navas de Tolosa, les soldats du Tercio, de la Sainte Ligue de Lépante, les guérilleros de Despeñaperros et de Bailen, jusqu’aux Héros de l’Alcazar de Tolède et les descendants de José Antonio, ne pouvaient pas disparaître.
Michel Festivi avec le grand historien espagnol Pio Moa
14:48 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Le maire de Verdun interdit une messe pour Philippe Pétain et ses soldats
Le maire de Verdun classé comme divers gauche, Samuel Hazard, a pris un arrêté, interdisant une messe pour Philippe Pétain et ses soldats. La motivation : « je n’accepterai jamais qu’une messe soit célébrée à Verdun en hommage à Pétain, frappé d’indignité nationale en 1945, et donc déchu, entre autres, de son grade militaire », ajoutant « Verdun est la cité de l’Universalité. Pétain est l’antithèse de l’Humanité », faisant part « de son dégoût et sa très vive colère, la cérémonie religieuse va générer à l’évidence des troubles à l’ordre public ».
Si ignominie il y a, c’est bien la position scandaleuse de cet édile, qui visiblement est totalement décérébré historiquement, et qui bafoue ainsi des milliers de soldats, qui sont tombés à Verdun pour sauver la France, sous l’héroïque commandement du général Pétain, qui entrera définitivement dans la gloire militaire et qui sera reconnu, dès cet instant, comme l’un des plus grands et des plus humains chefs militaires que la nation ait connus.
L’Association pour la défense de la mémoire du Maréchal Pétain (l’ADMP) a indiqué qu’elle avait obtenu une autorisation écrite des autorités religieuses d’organiser une « messe en hommage au Maréchal Pétain et à ses soldats », en l’église Saint Jean Baptiste de Verdun, « église martyre pendant la Grande Guerre, en partie détruite par les bombardements et dont les vitraux rendent hommage aux soldats morts pour la France ».
Premièrement, de quel droit un maire peut-il interdire une messe dans un lieu de culte et s’immiscer dans la décision de l’Église ? Le prétexte bidonné « d’atteinte à l’ordre public » est visiblement monté de toutes pièces pour les besoins de la cause. Deuxièmement, une messe n’est en aucune façon une apologie, de quelque nature que ce soit. Une messe est justement faite pour le repos des âmes, quelles que soient les circonstances politiques, historiques. Une messe, c’est l’élévation des esprits dans la tradition chrétienne qui veut que les morts puissent obtenir le pardon du Christ, la rédemption des péchés. L’ignorer ou feindre de l’ignorer est particulièrement grave.
En réalité, le maire de Verdun entend rejouer aux guerres fratricides qui ont ensanglanté la France. Il entend remettre sur le métier la guerre civile française des années 1944-1945. Charles de Gaulle avait présidé une cérémonie à Verdun le 29 mai 1966 pour rendre un hommage solennel aux farouches combattants. À cette occasion, il avait indiqué devant l’ossuaire de Douaumont : « Si, par malheur, en d’autres temps, en l’extrême hiver de sa vie, au milieu d’événements excessifs, l’usure de l’âge mena le maréchal Pétain à des défaillances condamnables, la gloire qu’il acquit à Verdun vingt-cinq ans auparavant, et qu’il garda en conduisant ensuite l’armée française à la victoire, ne saurait être contestée ni méconnue par la patrie. » Visiblement, l’actuel maire de Verdun n’entend pas le reconnaître et bafoue la geste titanesque des soldats commandés en chef par Phillipe Pétain qui les mena à la victoire... « Courage, on les aura » : ainsi se terminait sa première proclamation. Pour cela il recevra la médaille militaire et le titre de Maréchal de France.
Quelques années plus tard, en 1972, lors d’une conférence de presse, le président Pompidou, répondant à une question d’un journaliste lyonnais qui faisait état des troubles qu’avaient occasionnés la grâce de Paul Touvier, répondit ceci : « Allons-nous éternellement entretenir saignantes les plaies de nos désaccords nationaux ? Le moment n’est-il pas venu de jeter le voile, d’oublier ces temps où les Français ne s’aimaient pas, s’entredéchiraient et même s’entretuaient ? ».
Tous les présidents de la République, tous, ont honoré le Philippe Pétain de Verdun, de De Gaulle à Macron qui déclarait en 2017 : « On peut avoir été un grand soldat à la Première Guerre mondiale et avoir conduit à des choix funestes durant la deuxième ». Jacques Chirac indiquera en 2006 : « Il a su prendre les décisions qui conduiront à la victoire et il restera comme le vainqueur de Verdun ». Et François Mitterrand, tous les 11 novembre, de 1981 à 1992, a fait déposer une gerbe sur la tombe du Maréchal Pétain, sur l’île d’Yeu. Mais le maire de Verdun entend reproduire les plaies saignantes de nos désaccords nationaux. Pourtant, Philippe Pétain, qui eut une conduite des plus humaines et vaillantes en 1916 et 1917, sera adulé par tous les poilus et par tous les Français. Il avait été l’un des rares généraux à comprendre qu’il fallait ménager les hommes, assurer les relèves, améliorer les conditions de vie dans les tranchées, organiser des temps de repos et de permissions. Henri Amouroux, le grand historien des Français sous l’Occupation, n’avait-il pas intitulé l’un de ses livres : « 1940 : quarante millions de pétainistes ». Comme le relèvera l’historien Henry Rousso : « Si Pétain n’avait pas été le grand soldat de 1918, et perçu comme tel par les Français de l’époque, il n’aurait jamais eu la possibilité de jouer un rôle ...en 1940 ».
Pendant l’entre-deux-guerres, toute la France, de la gauche à la droite, vouait à Philippe Pétain un culte exceptionnel. Gustave Hervé, un ancien socialiste extrémiste et pacifiste tonitruant, proclamait en 1935 : « C’est Pétain qu’il nous faut ». Pétain deviendra chef d’État-major des Armées, puis ministre de la Guerre en 1934 dans un gouvernement d’union nationale. Qui fera appel à Philippe Pétain, en mars 1939, pour devenir ambassadeur en Espagne auprès du général Franco, avec pour mission impérieuse d’obtenir la neutralité de l’Espagne, sinon le radical socialiste Edouard Daladier ? Pétain réussira dans sa mission, malgré le fait que l’Espagne nationale en voulait terriblement aux gouvernements français front-populistes, qui avaient aidé massivement les miliciens révolutionnaires espagnols. Qui rappela en catastrophe Philippe Pétain pour rentrer au gouvernement, en pleine débâcle, le 18 mai 1940, sinon Paul Reynaud ? Le même conseillera au président de la République, le 16 juin 1940 au soir, de le nommer chef du gouvernement, Reynaud venant de démissionner, et demandera à Albert Lebrun de le désigner en ses lieu et place.
Les premiers gouvernements Pétain étaient composés d’une écrasante majorité d’hommes de gauche, dont des socialistes. Pierre Laval, qui fera octroyer à Philippe Pétain les pleins pouvoirs constitutionnels, venait de la gauche socialiste. Ce sont les Chambres, nettement dominées par les gauches radicales et socialistes, que ce soit la Chambre des députés ou le Sénat, qui donnèrent à Philippe Pétain la possibilité d’édicter une nouvelle constitution le 10 juillet 1940, avec l’accord dithyrambique d’hommes de gauche, comme d’Edouard Herriot et Jules Jeanneney, respectivement président de la Chambre des députés et du Sénat. Sans ces gauches, Philippe Pétain n’aurait jamais eu les pouvoirs exorbitants que la défaite de nos armes avait nécessités. Car qui gouverna la France dans les années 1930, sinon des hommes de gauche essentiellement ?
Mais au-delà de l’histoire tragique des Français et de la France, le refus d’une simple messe révèle les incantations totalitaires d’aujourd’hui. Interdire est devenu le maître mot dans un pays dominé par le sectarisme révolutionnaire liberticide le plus dangereux.
13:48 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Samedi 15 novembre, à Strasbourg : rassemblement pour la souveraineté et pour la paix
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08:32 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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#MontronsLeReel. Jean-Eudes Gannat : Une garde à vue et des poursuites pour un cri du réel, une vague de solidarité qui ébranle l’Inquisition judiciaire
Yann V., Breizh Info cliquez ici
Dans une France où dénoncer l’invasion migratoire semble désormais relever du crime d’État, l’affaire Jean-Eudes Gannat incarne la dérive d’un pouvoir judiciaire de plus en plus politisé. Il aura suffi d’une courte vidéo publiée sur les réseaux sociaux pour que Jean-Eudes Gannat, militant identitaire et chroniqueur à Radio Courtoisie, soit arrêté et placé 48 heures en garde à vue.
Le parquet d’Angers, dirigé par le procureur Éric Bouillard – déjà connu pour ses poursuites répétées contre des figures de la droite nationale, lui qui a déjà empêché par le passé, du fait de poursuites, que J-E Gannat assiste à la naissance de son troisième enfant– a ouvert une enquête en flagrance pour « provocation à la haine raciale » après la diffusion d’une séquence montrant quatre Afghans installés à Segré, dans le Maine-et-Loire. Ces individus auraient porté plainte moins d’une heure après la mise en ligne de la vidéo. Une célérité judiciaire que même les praticiens du droit trouvent inhabituelle, tant elle contraste avec la lenteur des enquêtes quand les victimes sont françaises.
Gannat a été interrogé sur ses activités, sa vie privée et ses opinions politiques avant d’être placé en cellule pour la nuit : six mètres carrés, toilettes à la turque, murs souillés. « Je n’ai pas été maltraité, mais tout cela reste ahurissant pour une simple vidéo », a-t-il confié.
Une réaction populaire et politique sans précédent
Très vite, la nouvelle de son interpellation a déclenché une onde de choc sur les réseaux. Sous le mot-d’ordre #MontronsLeRéel, initié par Radio Courtoisie et la journaliste Liselotte Dutreuil, des milliers de Français ont publié et relayé leurs propres témoignages, photos et vidéos de ce qu’ils vivent dans leur quotidien : insécurité, cohabitation difficile, sentiment d’abandon.
Le mouvement a dépassé les cercles militants habituels : des personnalités politiques comme Marion Maréchal, Florian Philippot, Nicolas Dupont-Aignan ou Éric Zemmour à demi mot ont exprimé leur soutien, tout comme des figures médiatiques de droite et des influenceurs jusque-là éloignés du militantisme. Même Cnews a fini, grâce à Mathieu Bock Côté, par évoquer le cas Jean-Eudes Gannat. Seul le RN, hormis quelques députés moins médiatiques, s’est tu, comme trop souvent, ce qui interroge sur ce qu’il fera, demain, s’il arrive au pouvoir.
Le Britannique Tommy Robinson, figure emblématique de la lutte contre l’islamisation, dénonce un « copier-coller de la censure britannique ». Des influenceurs allemands et américains reprennent la cause de Gannat, symbole d’une répression désormais transnationale des droites européennes.
Une affaire symbole : deux poids, deux mesures
Pour beaucoup, le cas Gannat illustre la dérive d’une justice de plus en plus politique.
Le procureur Bouillard avait déjà ciblé d’autres figures de droite, comme le professeur Frédéric Mortier, relaxé après des mois de procédures. Dans le même temps, les plaintes pour menaces, dégradations ou agressions visant les militants patriotes restent sans suite.
L’essayiste Jean-Yves Le Gallou a parlé d’« anarcho-tyrannie » : un régime où la délinquance prospère tandis que ceux qui la dénoncent sont punis. « On laisse filer l’immigration illégale et la criminalité, mais on réprime ceux qui montrent la réalité », résume-t-il.
La contre-attaque : refuser la peur et organiser la riposte
Jean-Eudes Gannat ne compte pas s’en tenir là : il envisage une procédure contre le procureur d’Angers, estimant que « la meilleure défense, c’est l’attaque ». Une cagnotte ouverte par ses proches doit financer ses frais de justice, deux dossiers étant déjà en cassation.
Mais au-delà de son cas personnel, Gannat appelle à transformer l’indignation en mouvement collectif. « Quand quelqu’un est arrêté pour avoir simplement décrit ce qu’il voit, il faut le soutenir, même si l’on n’est pas d’accord sur tout. Si ce n’est pas lui, demain ce sera vous », a-t-il martelé dans un direct de plus d’une heure et demie sur Radio Courtoisie.
Le mot d’ordre Montrons le réel s’est imposé comme un cri de ralliement : publier, témoigner, filmer, sans haine mais sans peur, pour rompre le silence imposé par la censure et les lois mémorielles.
Le soutien ne s’est pas limité à la droite française. Des Britanniques, des Allemands, des Américains ont relayé l’affaire, voyant dans ce traitement judiciaire le signe d’une répression désormais transnationale contre le courant conservateur européen.
« La gauche a ses réseaux internationaux, ses ONG, ses médias. Nous devons, nous aussi, bâtir cette solidarité entre peuples européens qui refusent leur disparition », a souligné Gannat.
Cette mobilisation révèle une fracture profonde : d’un côté, un appareil d’État obsédé par la répression idéologique ; de l’autre, un peuple de plus en plus conscient de vivre dans un pays où dire le vrai devient un délit.
Vers un procès emblématique
Jean-Eudes Gannat doit comparaître le 6 mai prochain au tribunal d’Angers. Ses soutiens préparent déjà un rassemblement.
L’enjeu dépasse son cas individuel : il s’agit d’un test grandeur nature pour la liberté d’expression en France. Si un homme peut être arrêté pour avoir montré quatre Afghans dans une petite ville de province, alors qu’aucune violence ni injure n’a été proférée, qu’adviendra-t-il demain des journalistes, écrivains ou citoyens qui décrivent la même réalité ?
Lui-même l’assume : « Je n’ai rien d’un héros, mais je préfère passer deux jours en cellule que de vivre dans une société où l’on n’a plus le droit de nommer les choses. »
Son cas, devenu emblématique, a ravivé un débat que le pouvoir voulait clore : celui du droit des Français à parler de leur pays tel qu’il est.
Au-delà du tumulte judiciaire, l’affaire Gannat aura révélé une vérité : la dissidence n’est plus marginale. Elle s’organise, s’entraide et se dresse face à l’appareil politico-médiatique qui tente encore de la réduire au silence. Et derrière un hashtag, #MontronsLeReel, c’est peut-être le réveil d’un peuple qu’on croyait éteint.
« Soyez l’homme providentiel de votre vie. Rendez vos enfants fiers », conclut Gannat, remerciant ceux qui se sont levés pour lui.
De la Bretagne à la Provence, de Paris à Londres, des voix s’élèvent. La peur change peu à peu de camp.
NDLR SN : il y a quelques jours, nous nous inquiétions de la timidité des réactions dans le camp national cliquez ici suite à la mise en garde à vue de Jean-Eudes Gannat. Depuis, celles-ci se dont multipliées et nous ne pouvons que nous en féliciter.
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David Van Hemelryck en Vendée, dimanche 16 novembre
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RAPPEL : samedi 15 novembre, La Roche-sur-Yon : salon du livre de Noël
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mardi, 11 novembre 2025
1914-1918 : comprendre la Première Guerre mondiale, la guerre qui a bouleversé le monde (et suicidé l’Europe)
Source Breizh Info cliquez ici
Il y a plus d’un siècle, l’Europe plongeait, à cause de la querelle d’une grande famille d’aristocrates européens, dans une guerre que personne ne croyait possible : un conflit mondial, industriel, et d’une violence sans précédent. Entre 1914 et 1918, plus de 70 millions d’hommes furent mobilisés, dont près de 8 millions de Français. À la fin, le monde ancien — celui des empires, des rois et des certitudes — avait disparu.
Mais que s’est-il vraiment passé ? Pourquoi cette guerre ? Et pourquoi, encore aujourd’hui, le 11 novembre reste-t-il une date de mémoire nationale ?
Les causes : l’Europe d’avant 1914, un baril de poudre
À la veille de la guerre, l’Europe est à la fois riche, fière et inquiète.
Trois grandes puissances dominent le continent :
- La France (République), meurtrie par la perte de l’Alsace et de la Moselle depuis 1871, veut un jour récupérer ces provinces annexées par l’Allemagne.
- L’Allemagne, jeune empire fondé en 1871 sous la direction de Bismarck, est devenue une puissance industrielle et militaire redoutée.
- L’Empire britannique, à la tête du plus vaste empire colonial du monde, surveille avec méfiance la montée de son rival allemand.
À ces tensions s’ajoutent deux autres grands empires :
- L’Autriche-Hongrie, affaiblie par ses nombreux peuples (Tchèques, Slovaques, Croates, Serbes…) qui réclament leur indépendance.
- La Russie, puissance immense mais fragile, qui soutient les peuples slaves des Balkans.
L’Europe est alors divisée en deux blocs :
- La Triple Entente (France, Royaume-Uni, Russie) ;
- La Triple Alliance (Allemagne, Autriche-Hongrie, Italie – qui changera de camp en 1915).
C’est un équilibre instable, où chacun arme et espionne l’autre. L’étincelle viendra des Balkans.
Juin 1914 : Sarajevo, le coup de feu qui embrase le monde
Le 28 juin 1914, à Sarajevo (capitale de la Bosnie-Herzégovine), l’archiduc François-Ferdinand, héritier du trône austro-hongrois, est assassiné par Gavrilo Princip, un jeune nationaliste serbe.
L’attentat choque l’Europe, mais personne n’imagine encore une guerre mondiale.
Pourtant, en un mois, un enchaînement d’alliances, de menaces et de malentendus va tout précipiter :
- L’Autriche-Hongrie accuse la Serbie d’être responsable de l’attentat et lui déclare la guerre (28 juillet 1914).
- La Russie soutient la Serbie.
- L’Allemagne soutient l’Autriche-Hongrie.
- La France soutient la Russie.
- L’Allemagne envahit la Belgique pour attaquer la France : le Royaume-Uni entre en guerre.
En quelques jours, l’Europe entière s’embrase. La “Grande Guerre” commence.
1914 : l’illusion de la guerre courte
L’été 1914 est marqué par un élan d’enthousiasme patriotique. On croit partir “pour quelques mois”, et être rentré “avant Noël”.
Les soldats français, en pantalon rouge, partent au front la fleur au fusil, persuadés de défendre la patrie contre “l’envahisseur”.
Mais très vite, la réalité s’impose : les offensives meurtrières échouent.
L’armée allemande fonce vers Paris (plan Schlieffen), mais elle est stoppée in extremis lors de la bataille de la Marne (6-12 septembre 1914).
Les deux armées s’enterrent alors dans un système de tranchées qui s’étend de la mer du Nord à la Suisse.
C’est le début d’une guerre nouvelle : la guerre de position, où chaque mètre de terrain se paie au prix du sang.
1915-1916 : la guerre industrielle et la guerre d’usure
Les armées creusent, s’enterrent, se bombardent. Les conditions sont inhumaines : boue, rats, froid, peur, gaz asphyxiants, cadavres omniprésents.
La guerre devient industrielle : canons géants, mitrailleuses, obus à fragmentation, mines, gaz de chlore.
Les civils participent eux aussi à l’effort de guerre : usines, rationnement, impôts, deuils.
1915 :
- L’Italie rejoint les Alliés.
- Les premiers gaz sont utilisés à Ypres.
- Sur le front d’Orient, les Alliés échouent à Gallipoli (Turquie).
1916 :
Année terrible. Deux batailles symbolisent la folie de cette guerre :
- Verdun (février-décembre 1916) : 300 000 morts pour quelques kilomètres. Les soldats français, “les Poilus”, y gagnent une gloire tragique.
- La Somme (juillet-novembre 1916) : plus d’un million de morts ou blessés.
C’est à Verdun que le général Philippe Pétain devient un héros national : il tient bon, coûte que coûte, au cri de “Ils ne passeront pas !”.
1917 : l’année des ruptures
L’année 1917 marque un tournant.
D’un côté, les armées sont épuisées. En France, des mutineries éclatent : les soldats refusent de mourir inutilement. Le général Pétain, devenu commandant en chef, rétablit l’ordre en combinant fermeté et amélioration des conditions de vie.
En Russie, la guerre provoque l’effondrement du régime tsariste. La Révolution d’Octobre porte Lénine au pouvoir : il retire la Russie du conflit.
L’Allemagne peut alors concentrer ses forces sur le front Ouest.
Mais un nouvel acteur entre en scène : les États-Unis, dirigés par le président Woodrow Wilson, déclarent la guerre à l’Allemagne en avril 1917.
Les raisons : les sous-marins allemands qui coulent les navires civils, et la volonté américaine de “défendre la démocratie”.
La guerre devient vraiment mondiale.
1918 : la fin d’un monde
Au printemps 1918, l’Allemagne tente une offensive massive avant l’arrivée en force des troupes américaines.
Mais les Alliés résistent. L’armée française, épaulée par les Britanniques et les Américains, reprend l’initiative sous le commandement unique du général Ferdinand Foch.
Les troupes allemandes, épuisées, affamées, et minées par les révoltes, reculent sur tout le front.
À l’intérieur du pays, la révolution éclate : l’empereur Guillaume II abdique.
Le 11 novembre 1918, à 11 heures du matin, l’armistice est signé à Rethondes, dans la forêt de Compiègne.
Les canons se taisent.
Mais la paix reste à construire.
Le bilan humain : un continent décimé
La guerre de 1914-1918 fut l’une des plus meurtrières de l’histoire.
- Environ 10 millions de soldats tués, dont 1,4 million de Français.
- 6 millions de civils morts, victimes des famines, bombardements, maladies.
- Des millions de mutilés, de veuves et d’orphelins.
L’Europe sort brisée : des villages rasés, des champs minés, des cicatrices dans les corps et les esprits. On parle désormais de “génération perdue”.
1919 : la paix ou l’illusion de la paix ?
Le Traité de Versailles (28 juin 1919) met officiellement fin à la guerre.
L’Allemagne est désarmée, amputée de territoires (Alsace-Moselle, Pologne, colonies) et condamnée à de lourdes réparations.
Mais beaucoup dénoncent un traité humiliant qui prépare les rancunes futures.
Le maréchal Foch résume d’ailleurs l’inquiétude de l’époque : « Ce n’est pas une paix, c’est un armistice de vingt ans. »
En effet, vingt ans plus tard, l’Europe replongera dans la guerre.
Les grandes conséquences du conflit
- Fin des empires
Quatre grands empires disparaissent : allemand, austro-hongrois, ottoman et russe. De nouveaux États naissent ou renaissent : la Pologne, la Tchécoslovaquie, la Yougoslavie, la Finlande… - Changements sociaux et économiques
Les femmes ont travaillé en masse dans les usines, les hôpitaux, les transports : une révolution silencieuse.
L’économie, ruinée, reste marquée par la dette et l’inflation. - Une Europe affaiblie
Les États-Unis deviennent la première puissance mondiale. L’Europe, épuisée, perd son hégémonie. Les idéologies nouvelles (communisme, fascisme, nationalisme) s’enracinent dans les ruines. - Une mémoire durable
Partout, les monuments aux morts s’élèvent dans les villes et villages.
Le 11 novembre, devenu jour de commémoration, rappelle chaque année le prix payé pour la paix.
Une guerre bretonne aussi
La Bretagne, comme toutes les régions de France, a payé un tribut immense. Environ 130 000 des mobilisés ne revinrent jamais. Des monuments, de Ploërmel à Carhaix, de Dinan à Quimper, portent encore aujourd’hui leurs noms.
Les campagnes bretonnes, vidées de leurs jeunes hommes, connurent un deuil collectif qui marqua durablement les familles et les paroisses.
La Grande Guerre a été le premier conflit total : une guerre où tout un peuple — soldats, ouvriers, femmes, enfants — fut mobilisé. Elle a aussi vu l’apparition des tanks, de l’aviation militaire, de la guerre chimique et des propagandes de masse.
Mais elle fut aussi le creuset d’un immense courage collectif, d’une fraternité du feu entre soldats de toutes origines.
Aujourd’hui encore, comprendre 1914-1918, c’est comprendre d’où vient notre monde : les frontières modernes, la peur de la guerre, l’idée européenne, mais aussi la conviction que la paix n’est jamais acquise.
La Première Guerre mondiale ne fut pas seulement un drame ou un suicide européen, elle fut un avertissement. Elle a montré ce que deviennent les nations lorsqu’elles oublient la prudence, la diplomatie et le sens du tragique. Et ce qu’il advient des peuples lorsqu’ils laissent des petites castes dirigeantes les mener à la boucherie.
À l’heure où l’Europe connaît à nouveau des tensions, où les mémoires s’effacent, se souvenir de 1914-1918 n’est pas un exercice d’histoire, mais un acte de lucidité.
11:27 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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lundi, 10 novembre 2025
Tours, la jeunesse tourangelle a honoré Saint Martin samedi
Belle réussite pour les identitaires du mouvement "Des Tours et des Lys". En chantant et dans la bonne humeur, plusieurs centaines de jeunes tourangeaux ont ainsi défilé en direction de la rue Nationale, principale artère de la ville.
Chaque année, début novembre, une telle manifestation se déroule dans la préfecture de l'Indre-et-Loire pour honorer Saint Martin, le Saint-Patron de la ville. Et, samedi dernier, signe des temps, force est de reconnaître que la foule était beaucoup plus dense que d'habitude.
Pour les organisateurs, "ce rassemblement a un objectif à la fois spirituel et culturel. C’est une façon de faire la promotion de notre identité tourangelle, de remettre en avant l’esprit de communauté dans un monde très individualiste".
Bien-sûr comme c'est hélas souvent le cas, une poignée d'antifas, véritables petits miliciens d'opérette de la finance mondialisée, a tenté de perturber, sans succès, cette belle démonstration de force de la droite nationale tourangelle mais, une fois de plus, ils se sont littéralement ridiculisés aux yeux de notre peuple.
Les antifas sont les derniers d'hier, les patriotes, eux, sont les premiers de demain. À Tours comme ailleurs, nous assistons au début du réveil national et identitaire.
S N
Lire aussi Valeurs actuelles cliquez ici
20:55 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Un nouveau numéro (le n°2) du journal mythique des années 1970 "Pour un Ordre nouveau" proposé par Synthèse nationale
Après les numéros 1, 12 et 15, voici le n°2 de Pour un Ordre nouveau remis en vente par Synthèse nationale :
Le 28 juin 1973, suite à l’attaque par plusieurs milliers de gauchistes du meeting contre l’immigration sauvage qu’il avait organisé à la Mutualité (Paris) la semaine précédente, le Mouvement Ordre nouveau est interdit par le pouvoir gaulliste de l’époque.
Ordre nouveau éditait un mensuel de combat, Pour un Ordre nouveau, diffusé à plusieurs milliers d’exemplaires par ses militants. Après la dissolution, les stocks de journaux furent saisis. Quelques exemplaires cependant ont échappé aux rapaces de la police politique.
52 ans après, certains numéros, parmi les 20 livraisons éditées alors, sont ressortis du fond d’un grenier et remis en vente pour les collectionneurs et amateurs (1).
Le reflet d’une époque, un document historique à ne pas manquer…
Après le n°1 (juillet - août 1971), le n°12 (juin 1972) et le n°15 (octobre 1972) de Pour un Ordre nouveau, proposés sur ce site ces derniers mois, nous mettons en vente le n°2 (septembre 1971) du mythique journal du mouvement nationaliste Ordre nouveau.
Un document indispensable pour ceux qui veulent se remettre dans le contexte pour le moins agité de cette époque
D’autres numéros seront bientôt mis en vente…
Pour commander ce n°2 : cliquez ici
(1) Déjà, en 2018, nous avions débusqué un stock mais celui-ci fut très vite épuisé.
20:16 Publié dans Pour un Ordre nouveau | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Information et opinion
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Pour cette année 2025, la chaîne publique d’information en continu, France Info, a réalisé une campagne audio-visuelle sur les antennes du service public dans laquelle elle spécifiait que « l’information n’est pas une opinion ». Par ce slogan simpliste, tout indiquait à la mystification de masse.
En effet, distinguer l’information de l’opinion relève du sophisme. Le journaliste, qu’il travaille pour un imprimé, une radio ou une télévision, sélectionne toujours et hiérarchise les faits que les agences de presse lui déversent en permanence. Sur les injonctions de son rédacteur en chef, de la conférence de rédaction ou de ses propres convictions, il trie dans le flot de l’actualité. Le journaliste choisit une information qui prend alors une certaine valeur informationnelle si, par exemple à la télévision, il met cette nouvelle en titre principal ou à la fin du JT. Il paraît difficile qu’un journal proclame en Une que les pompiers ont récupéré de la cime de l’arbre le chat de Mme Michu.
Le journaliste passe toujours au tamis les informations. La neutralité des faits n’existe pas. La façon dont elles sont présentées exprime inévitablement une opinion. La loi française sur l’audiovisuel proscrit les chaînes d’opinion. Bien des détracteurs de CNews considèrent qu’elle est une chaîne d’opinion hors-la-loi. On remarquera que Radio Courtoisie, diffusée sur les ondes hertziennes en Île-de-France et en Normandie, se définit comme la « radio de toutes les droites » et déroge en tant que radio d’opinion à cet interdit lamentable.
La montée en puissance des télévisions, des radios et des périodiques imprimés liés à l’ensemble de Vincent Bolloré – ce qu’on appelle la « Bollorosphère » - inquiète les belles âmes de gauche. Même s’il y aurait beaucoup de critiques et de réserves à apporter à ce système médiatique polarisé par CNews, cette inquiétude palpable n’en demeure pas moins une grande source de satisfaction.
Libération des 18 et 19 octobre dernier publiait un supplément consacré au festival « Les 24 h de Libé » parrainé par le Parlement européen, le haut-commissariat aux réfugiés de l’ONU, la Fondation Jean-Jaurès, proche du groupusculaire PS, et… France Info ! Dans ce cahier spécial figurait une contribution de Julia Cagé. Professeur d’économie à Sciences-Po Paris, experte en économie médiatique, récipiendaire en 2023 du prix du meilleur jeune économiste de France, membre du conseil d’administration de l’Agence France-Presse et présidente depuis 2020 de la Société des lecteurs du Monde, elle estime que « la bataille démocratique est devenue une bataille de l’information ». Mélangeant chaînes télé et réseaux sociaux, elle juge « urgent de mieux réguler ces réseaux et de prendre à bras-le-corps le problème de la désinformation ». Le mardi 28 octobre, Emmanuel Macron a lui aussi appelé à réglementer Internet, c’est-à-dire à le censurer.
Prônant la parité sociale sur les listes des candidats (inscrire par exemple 6 % d’ouvriers ou 2 % d’agriculteurs), oubliant que des corporatistes du XIXe siècle proposaient déjà cette composition afin d’accroître le caractère conservateur du suffrage universel, Julia Cagé refuse que « la réponse aux médias d’opinion [soit] davantage de médias d’opinion. Or c’est exactement l’inverse qu’il nous faut à garantir les conditions de production d’une information comme bien public, socle indispensable au bon fonctionnement du débat public ». Traduction de la novlangue : il devient impératif de sidérer la population, de modeler ses émotions et de la transformer en hilotisme wokisé.
Il va de soi que Julia Cagé conjure de « plus que jamais protéger le pluralisme et mettre en place des régulations garantissant l’indépendance des journalistes ». Le fameux pluralisme revendiqué cache en fait un entre-soi endogamique qui ne favorise que des débats convenus entre mondialistes et cosmopolites. À quand une confrontation à grande heure d’écoute entre l’économiste - lauréat du Prix Lyssenko 2015 - Thomas Piketty, par ailleurs époux de Julia Cagé, et son disciple, l’économiste Gabriel Zucman, le gars qui veut taxer quiconque aurait au moins un euro dans la poche ? On cherche à égarer l’opinion.
Très révélateur sur ce point est l’article de Grégory Marin dans L’Humanité Magazine du 30 octobre au 5 novembre 2025. Ce journaliste dénonce bien sûr sur quatre pages l’« Offensive brune sur l’audiovisuel public » ! Il souffre que le service public soit contraint d’inviter régulièrement les élus du RN et de l’UDR, « quitte – écrit-il – à heurter la sensibilité de nombreux auditeurs ». On sort un nouveau prétexte, celui de la sensibilité. A-t-il pensé à la sensibilité des contribuables exaspérés qui financent les associations favorables à l’immigration de masse ou qui font la promotion du gendérisme et d’autres lubies arc-en-ciel ? Le journaliste de L’Huma Mag se désole que ces invitations soumises au temps de parole de l’opposition se fasse au « nom d’un “ pluralisme ” amputé de son aile gauche ». Ah bon ? Il déplore en réalité l’absence médiatique du NPA – Anticapitaliste, de Révolution permanente ou de l’Union communiste libertaire. C’est aussi le cas pour Florian Philippot des Patriotes qui ne peut venir en plateau ou en studio qu’une fois par trimestre. Vous avez dit démocratie ?
Grégory Marin n’accepte pas que « les chaînes publiques embauchent même chez “ l’ennemi ” », à savoir les ultra-identitaires et super-nationalistes-révolutionnaires intégraux Alexandre Devecchio, Paul Melun et Nathan Devers ! Il se scandalise qu’à l’occasion du second tour de la présidentielle du 8 avril 2022, sur dix-sept chroniqueurs invités à la soirée électorale de France 2, « six œuvraient pour des médias estampillés à l’extrême droite ». Mais qui les estampille de cette étiquette supposée infamante sinon leurs détracteurs les plus zélés ?
Comment L’Humanité, groupe subventionné à hauteur de plusieurs millions d’euros par an, ose-t-il faire la leçon à l’opinion publique ? En ces temps de disette budgétaire, il serait temps d’arrêter le détournement de l’argent public vers des entreprises déficitaires de formatage de l’opinion. Cela ne rétablirait pas l’équilibre des finances, mais ce serait un signe fort bienvenu d’autant que des titres de presse tels Rivarol, Synthèse nationale, Réfléchir et Agir, Livr’Arbitres et Terre et Peuple Magazine ne vivent que par leurs abonnés. Exister sans la moindre subvention est possible à condition de le vouloir et d’appliquer une stricte rigueur comptable.
Salutations flibustières !
• « Vigie d’un monde en ébullition », n°173, mise en ligne le 9 novembre
20:15 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Mercredi 12 novembre, à Paris : rassemblement contre la vaccination obligatoire
Un appel des Patriotes :
Ce mercredi 12 novembre MOBILISATION NATIONALE contre la loi d’obligation vaccinale dans les EHPAD et pour les soignants, qui annonce une obligation pour tous !
19:47 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Le Sacré-Cœur de Jésus explose le box-office avec Steven et Sabrina Gunnell
Le film "Sacré-Cœur - Son règne n'a pas de fin" de Steven et Sabrina Gunnell est déjà l'événement cinématographique de l'année. Avec plus de 300 000 entrées, malgré les refus de la SNCF et de la RATP d'en assurer la promotion commerciale, ce documentaire retrace les apparitions du Sacré-Cœur de Jésus à une religieuse visitandine de Paray-le-Monial, Sr Marguerite-Marie Alacoque en 1673.
Un brûlant et toujours d'actualité message d'amour dans un monde qui meurt de ne plus savoir aimer ni accepter d'être aimé.
16:15 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Cette fin de semaine, en Ille-et-Vilaine, il y avait :
D'un côté : des "hordes de nazis" qui rappellent les "heures les plus sombres de notre histoire", comme tout un chacun peut le constater sur ces photos :
De l'autre : la Bretagne éveillée, massivement rassemblée (c'est-à-dire 25 "résistants", moitié punks à chiens, moitié instits CFDT, à la retraite depuis 30 ans, sans oublier quelques bobos et camés en mal de frissons) pour exiger, au nom de leur conception très restrictive de la liberté, l'interdiction de cet horrible rassemblement de "bêtes immondes", nostalgiques de Vichy, en marinières et bérets :
On croit rêver...
S N
11:21 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Le mythe de l’inégalité salariale entre les hommes et les femmes
10:59 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) |
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dimanche, 09 novembre 2025
Le Canon Français triomphe à Goven (35) : la gauche bretonne aura offert à l’événement la meilleure publicité possible
Yann V., Breizh Info cliquez ici
Malgré les appels à la censure et les pétitions indignées, les banquets du Canon Français ont rassemblé des centaines de convives dans une ambiance festive et apolitique — au grand dam des militants d’extrême gauche.
On les disait « infréquentables », « d’extrême droite », voire « dangereux pour la démocratie ». On les voulait interdits. Finalement, les banquets du Canon Français, organisés du 7 au 9 novembre au château de Blossac à Goven (Ille-et-Vilaine), ont bien eu lieu. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils ont fait salle comble : près de 2.000 participants se sont succédé tout au long du week-end, dans une ambiance conviviale, festive et bon enfant.
Malgré les pétitions, les communiqués de maires et les cris d’orfraie de l’extrême gauche, le bon sens populaire a triomphé du sectarisme militant. Et, ironie du sort, les tentatives de censure ont offert au Canon Français une publicité inespérée, propulsant l’événement bien au-delà du cercle habituel de ses habitués.
Une polémique montée de toutes pièces
Tout avait commencé par une pétition anonyme, relayée par plusieurs élus de gauche d’Ille-et-Vilaine, réclamant l’interdiction pure et simple du banquet, accusé — sans preuve — d’être « une tribune d’extrême droite ».
Sous la pression, le Château des Pères à Piré-Chancé, premier lieu choisi, avait renoncé à accueillir la manifestation, évoquant des menaces reçues par ses employés. Les organisateurs se sont alors repliés sur le château de Blossac, à Goven.
Là encore, treize élus locaux (dont des députés socialistes et écologistes) ont adressé une lettre au préfet pour demander l’interdiction de l’événement. En vain : le bon sens administratif a prévalu, et le banquet a eu lieu, sans incident, sans débordement, sans politique.
Sous un grand chapiteau dressé dans le parc, 800 convives par soir se sont retrouvés autour d’un repas copieux et festif : charcuterie, cochon rôti, vin rouge, chansons françaises et musique bretonne.
Loin des fantasmes médiatiques, aucun discours, aucune revendication, aucun drapeau partisan. Seulement des rires, des chants et le plaisir simple d’être ensemble.
« On est là pour s’amuser, pas pour débattre », expliquait un participant venu du Morbihan.
« Il y a un fossé entre ce que racontent les médias et ce que l’on vit ici », ajoutait un autre. Beaucoup ont d’ailleurs souligné l’absurdité d’une polémique déconnectée du réel : un repas populaire et festif transformé, par quelques militants, en menace pour la République.
Même la presse locale, après avoir largement contribué à entretenir la fausse polémique, a dû se rendre à l’évidence : rien de politique, rien d’extrémiste, simplement une « soirée franchouillarde » où la convivialité l’a emporté sur les caricatures.
Quand la gauche offre la meilleure publicité
Car, paradoxalement, ce sont bien les élus et militants de gauche qui auront fait la promotion la plus efficace du Canon Français.
À force de crier au « danger fasciste », ils auront attisé la curiosité d’un public bien plus large, venu de toute la Bretagne et même des régions voisines pour découvrir par lui-même.
Les places se sont arrachées, les vidéos ont circulé sur les réseaux sociaux, et le Canon Français sort renforcé de cette polémique, plus visible et plus populaire que jamais.
Seul petit bémol relevé par certains observateurs bretons : le côté très “franchouillard” ou folkorique, et moins breton, de la soirée, au cœur même de la Bretagne.
Certes, la présence de musique bretonne et du Gwenn ha Du sur scène rappelait que l’événement se tenait sur une terre d’identité et de culture. Mais le ton général — bérets, marinières, Marseillaise reprise en chœur — sonnait parfois un peu parisien pour un public attaché à son ancrage régional.
Un décalage plus symbolique que grave, mais que beaucoup ont remarqué : la Bretagne n’est pas un simple décor folklorique de la France éternelle, elle est une nation culturelle vivante, avec sa langue et son âme.
Malgré la tempête politico-médiatique, le Canon Français a remporté son pari : rassembler, faire la fête et rappeler que l’amour du terroir n’est pas un crime.
En voulant interdire, la gauche bretonne a surtout montré son intolérance et son mépris des gens ordinaires.
Et à la fin, comme souvent, les cris des militants se sont perdus dans le bruit des chants et des verres qui s’entrechoquent.
Une belle leçon de liberté, et un beau pied de nez à ceux qui confondent culture populaire et meeting politique.
NDLR SN : lire aussi le reportage sur Boulevard Voltaire cliquez ici
18:47 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Un message de Jean-Eudes Gannat qui sera ce soir sur Radio Courtoisie
11:32 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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LES PREMIÈRES RÉACTIONS À DROITE SUITE À LA MISE EN GARDE À VUE DE JEAN-EUDES GANNAT
Communiqué du Parti de la France (07/11/2025) :
Le Parti de la France apporte tout son soutien à Jean-Eudes Gannat et dénonce la persécution politico-judiciaire dont il est victime.
Pour avoir simplement diffusé une vidéo sur Tiktok où il filme une bande de rôdeurs afghans qui zonent toute la journée devant le supermarché de sa ville natale, Jean-Eudes a été convoqué dès le lendemain à la demande du Parquet, placé en garde à vue et sera jugé en comparution immédiate aujourd'hui à 13h30. Avec un risque élevé d'incarcération.
On nage en plein délire totalitaire. Plus les Français sont hostiles à l'invasion migratoire, plus nos gouvernants et nos magistrats déploient une répression judiciaire abjecte contre les lanceurs d'alerte.
Tout ceci doit prendre fin, et vite.
Réaction de Nicolas Dupont-Aignan :
11:28 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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La gauche complice du libéralisme*

Pour la sortie de son dernier livre, Conversations américaines, le philosophe Jean-Claude Michéa a accordé un entretien à Alexandre Devecchio dans Le Figaro du 8/11/2025. Nous en avons retenu l’extrait suivant.
La panique morale qui s’empare de la gauche au seul mot de « conservatisme » tient au fait que depuis le XIXe siècle la pierre angulaire de toutes ses Eglises est l’idée de « progrès ». Soit en d’autres termes, la foi en un mystérieux « sens de l’histoire » dont l’axe seraitr l’essor continu de la Raison et qui conduirait mécaniquement l’humanité vers un monde toujours plus urbanisé, technologisé et connecté. De là l’idée, progressiste par excellence, selon laquelle tout pas en avant est toujours un pas dans la bonne direction – qu’il s’agisse de la voiture électrique, de l’IA ou de l’élimination du mot « Noël » du calendrier scolaire. Idée dont le corrélat est que toute nostalgie est donc par définition « réactionnaire ». On comprend alors mieux le processus mental qui porte sans cesse la gauche à osciller entre l’idée qu’on n’arrête pas le capitalisme. Car si être progressiste, c’est inviter à chaque instant à « faire du passé table rase » , à « casser tous les codes » et à briser tous les « tabous », alors il est clair que, dans l’histoire de l’humanité, aucun système n’aura mieux mérité ce nom que ce système capitaliste dont la logique exponentielle incite toujours plus, comme le notait Marx, à « profaner tout ce qui était sacré », à saper « tout ce qui avait solidité et permanence » et à dissoudre « toutes les idées antiques et vénérables » dans « les eaux glacées du calcul égoïste » (une dynamique plus proche, par conséquent, de la « cancel culture » que de la « destruction créatrice ». !).
C’est cette parenté structurelle entre l’imaginaire progressiste et celui du capitalisme qui m’a naturellement conduit, dans le sillage d’Orwell, à devoir réhabiliter en partie la tradition conservatrice. Un trait commun, en effet, à toutes les sociétés du passé, y compris les plus autoritaires et les plus centralisées, c’est qu’elles prenaient toujours soin de laisser aux différentes communautés de base, villages ou quartiers, assez d’autonomie matérielle et politique pour que soit préservée cette économie locale de subsistance qui leur permettait de pourvoir par elles-mêmes, au moins en temps normal, à leurs besoins les plus vitaux. Or, on sait, au moins depuis Marcel Mauss, que c’est justement dans ce type de cadre local largement structuré par la « logique du don » et où les relations en face-à-face prennent encore le pas sur les relations anonymes et impersonnelles (ce qu’Alain Caillé nomme la « socialité primaire ») qu’ont toujours le plus de chances de se former et de s’épanouir ces vertus sociales de base (qu’il s’agisse du sens de l’entraide et de l’’effort, du goût du travail bien fait ou encore de la capacité de s’attacher à un lieu, à des êtres ou à des traditions communes). Leur érosion progressive, et a fortiori la dissolution intégrale, condamne toutes société à sombrer dans l’ensauvagement et dans la guerre de tous contre tous. On mesure alors l’ampleur du travail de décivilisation que le capitalisme contemporain est en train d’accomplir.
Car, sans même parler de l’irrationnalité croissante d’un système structurellement fondé sur l’obsolescence programmée, la fièvre consumériste et l’exploitation sans limites des ressources naturelles, on ne doit pas oublieer qu’une des maximes de base du libéralisme économique, comme le rappelait Adam Smith, c’est qu’ « il ne faut jamais essayer de faire chez soi la chose qui nous coûtera moins cher à acheter qu’à faire ». Pourquoi, en effet s’obstiner à produire nous-mêmes, et sur place, les aliments, les outils et les médicaments dont dépend entièrement notre vie quotidienne si son peut désormais les faire tenir à moindres frais, par conteneurs géants, de l’autre bout du monde ?
En encourageant ainsi en permanence – sous le voile d’une socialité de pacotille type Erasmus – la disparition de toutes les formes d’autonomie locale et de vie commune populaire – songeons par exemple à la désertification organisée du monde rurtal -, la dynamique du capital ne conduit donc pas, pas seulement à nous rendre chaque jour plus dépendants des aléas du maerché mondial et de la haute technologie qu’il requiert (quid, par exemple, d’une panne d’électricité géante ou d’un long bug informatique planétaire ?). Elle conduit également à saper toutes les conditions anthropologiques et morales d’une société « libre, égalitaire et décente » (selon la définition qu’Orwell donnait du socialisme) et donc à accélérer encore plus notre course vers les abîmes.
Jean-Claude Michéa, Conversations américaines, Albin Michel.
(*) le titre est de la rédaction.
09:31 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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samedi, 08 novembre 2025
Samedi 6 décembre, en Lorraine : solstice d'hiver et cochon grillé...
18:27 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Dimanche 9 novembre, à 8 h 10, Eric Zemmour sur Europe 1
18:25 Publié dans Eric Zemmour, Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Jean-Eudes Gannat, libéré, nous explique :
13:29 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Le journal du chaos

Pour télécharger, cliquez ICI
08:54 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Mondialisme, marchandisation, multiculturel et Cie.
Pieter Kerstens
Année après année, les esprits lucides nous mettent en garde contre les inconvénients du Mondialisme, cette doctrine qui vise à l’unité politique du monde et surtout contre “la mondialisation”, phénomène qui concerne aussi bien la sphère économique que financière.
Et cette mondialisation ne date pas d’hier. Depuis des siècles, les échanges de marchandises ont aussi précédé les grandes découvertes de nouveaux continents, favorisant l’essor de l’industrialisation en Europe notamment. Et cette industrialisation a bien sûr créé des besoins impératifs pour d’innombrables consommateurs, objectifs des sociétés multinationales visant un Marché Mondial Unifié - la globalisation - que nous connaissons par l’existence des Mac Do’, Kentuky Fried Chicken, Burger King ou encore Coca-Cola entre autres. Au fil des ans, des groupes de pression se sont constitués dans les secteurs qu’ils considéraient comme sources de bénéfices extraordinaires, grâce au développement socio-économique des populations les moins favorisées et à l’appétit des nations occidentales. C’est pourquoi au cours des 50 dernières années nous avons vécu la marchandisation du sport, de la culture, des services publics et du corps humain, marchandisation qui a transformé les citoyens en clients et consommateurs.
TOUT se vend et tout s’achète.
Parce que la diffusion d’Internet sur la planète entière a permis l’accès immédiat aux informations les plus diverses, sans aucun contrôle et proposées au libre-arbitre de chacun. Cela conduit bien évidemment à tous les excès et à des dérives les plus variées pour exploiter la crédulité des futurs consommateurs, pour le grand bonheur des “lobbies” qui engrangent des profits colossaux. On peut le regretter ou s’en réjouir, mais les individus sont aussi les responsables, car ils peuvent refuser les offres qu’on leur propose, au lieu de se précipiter sur des achats « compulsifs ». Une grande partie des centaines de milliers de tonnes de déchets répandues dans le monde provient essentiellement du gaspillage et de la surconsommation des clients qui se lassent rapidement de leurs achats avant même qu’ils ne soient usés. Les récents exemples des ventes « en ligne » des marques Shein et Temu sont la preuve de la nocivité des produits de mauvaise qualité à des prix bradés, qui nous sont expédiés de pays lointains avec un bilan carbone désastreux. Silence radio de la part des écologistes…
Le Multiculturel et le métissage à tous les étages.
Depuis fort longtemps on nous a vanté les bienfaits du « vivre ensemble ». Mais la réalité c’est que l’Europe est une terre de beffrois et de cathédrales et non pas de minarets et de mosquées. Comme la grande majorité des habitants de notre continent, je suis l’héritier d’une civilisation européenne et de culture gréco-romaine. A ce titre, j’accepte donc des immigrés de pays étrangers qui s’assimilent et s’intègrent harmonieusement à nos us et coutumes, en respectant nos règlements et nos lois. Par contre je m’oppose avec force aux « communautés » qui imposent le voile, le hallal et les babouches dans nos cités, avec la complicité de politiciens clientélistes et de financiers cosmopolites qui, avec le parrainage des bureaucrates de Bruxelles, se servent de l’idéologie Droits-de-l’hommiste, pour nous culpabiliser au prétexte de « racisme », grâce à l’immobilisme des populations dont les individus sont hypnotisés par les campagnes des médias favorisent l’implantation de l’islam dans toutes les contrées.
Oser penser, oser agir.
Il est grand temps de s’opposer par tous les moyens à la mafia du mondialisme qui, loin du libre-échange équilibré, nous a conduit à une dépendance économique qui sacrifie nos industries et nous a mené vers le chaos généralisé. Cette même mafia qui met en place la surveillance et le contrôle permanent des personnes par l’Intelligence Artificielle (I.A) et la recherche faciale pour un « monde meilleur » : Big Brother vous regarde…
00:23 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) |
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vendredi, 07 novembre 2025
Francisco Franco, un caudillo pour l’Espagne : entretien avec Michel Festivi
Entretien publié sur Breizh-Info cliquez ici
Cinquante ans après la mort du général Franco, et alors que le service public français sort, avec vos impôts, une série reportage totalement à charge, l’avocat et écrivain Michel Festivi publie Francisco Franco, un caudillo pour l’Espagne (éditions Déterna et Synthèse nationale, coll. « Bio-Collection », 2025). Collaborateur d’EuroLibertés, du Nouveau Présent et de Synthèse nationale, observateur attentif de la vie politique espagnole, il revient dans ce livre dense et documenté sur une figure capitale de l’histoire du XXe siècle, trop souvent caricaturée par l’historiographie dominante. Festivi s’attache à rétablir les faits, loin des mythes antifranquistes, et à rappeler le rôle du Caudillo dans la sauvegarde de l’Espagne face au chaos révolutionnaire de 1936. Une œuvre de rigueur et de transmission, à contre-courant de la doxa officielle, qui invite à relire l’histoire de l’Europe à la lumière du réel.
Breizh info.com : Votre livre, Francisco Franco, un caudillo pour l’Espagne paraît dans la nouvelle « Bio Collection ». Qu’est-ce qui vous a donné envie de consacrer une biographie à Franco, cinquante ans après sa mort ?
Michel Festivi : Justement j’entendais honorer en quelque sorte ce cinquantième anniversaire, puisque Franco est décédé le 20 novembre 1975. L’occasion m’en a été donnée avec cette nouvelle collection, qui ne rassemblera que des biographies. Les éditions Déterna (Philippe Randa) et Synthèse nationale (Roland Hélie), se sont réunies pour entreprendre cette nouvelle aventure éditoriale, avec le concours de Francis Bergeron et de David Gattegno qui réalise de superbes iconographies, dont celles de mon livre sur Franco. Ce sont des ouvrages dans la même veine, peu ou prou, que les Qui-suis-je des éditions Pardès, qui ont cessé leurs activités il y a quelques années.
BI : Entre les récits hostiles du camp progressiste et les hagiographies d’antan, vous dites vouloir « disséquer les faits ». Comment concilier rigueur historique et réhabilitation d’une figure si controversée ?
MF : Ce personnage politique, d’une importance majeure dans l’histoire du XXème siècle, est controversé parce que les gauches ont réussi, en Espagne comme en France, à imposer leur vision ultra manichéenne de l’histoire, à l’égal des discours préfabriqués sur la Révolution française, la période 1940/1945 etc… Pour Franco, lorsque l’on reprend objectivement les faits de sa vie, malgré des erreurs, on découvre un homme qui avait des qualités militaires et politiques exceptionnelles. C’est ce que je me suis évertué à entreprendre de raconter, dans la lignée d’historiens ou de romanciers d’envergure comme Bartolomé Bennassar ou Michel del Castillo. Et puis, nous avons désormais le recul de l’histoire, et quand on voit dans quel état de déliquescence sont nos malheureuses nations européennes, la geste franquiste ne peut qu’en être réhaussée. Le livre contient aussi des nouveautés, notamment sur la répression franquiste de l’après-guerre.
BI : Vous rappelez que Franco a « sauvé l’Espagne du communisme ». Pouvez-vous revenir sur ce qu’était réellement le danger révolutionnaire en 1936 ?
MF : Vous faites bien, au-delà du communisme, d’employer la formule plus globale très exacte de « danger révolutionnaire ». Depuis les années 1933/1934, les gauches espagnoles s’étaient complètement radicalisées, je l’explique dans tous mes ouvrages dont le dernier, paru en juillet : Les griffes de Staline sur l’Espagne républicaine, aux éditions Dualpha. Le pays avait subi un premier assaut armé marxiste-révolutionnaire, en octobre 1934. L’arrivée du front populaire en février 1936, après des manipulations constitutionnelles et des fraudes électorales prouvées, ont fait basculer définitivement l’Espagne dans la révolution, que seul le soulèvement de juillet 1936, a pu contrecarrer. Et Franco, que ce soit en 1934 ou entre 1936/1939, a joué un rôle décisif. L’Espagne était à la merci des bandes staliniennes et des miliciens anarchistes qui prônaient un communisme étatique pour les uns, libertaire pour les autres. L’Histoire a prouvé qu’ils étaient, chacun à leurs façons, pires que tout. D’ailleurs, ils se sont affrontés durement et les premiers ont exterminé les seconds.
19:32 Publié dans Livres, Michel Festivi, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Jean-Eudes Gannat vient de sortir libre
16:00 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Totalitarisme d'atmosphère - Les poursuites contre Jean-Eudes Gannat : une parfaite illustration de la véracité du proverbe chinois : "Quand le sage montre la Lune, l'idiot regarde la doigt".
Synthèse nationale
Avant-hier, mercredi 5 novembre, notre camarade Jean-Eudes Gannat, militant identitaire dynamique et courageux, a été placé en garde-à-vue. Aujourd’hui, vendredi 7, il comparaît devant le tribunal correctionnel d’Angers. Son "crime" : avoir réalisé et mis en ligne une courte vidéo montrant l’une des conséquences des mesures décidées, mises en œuvre ou soutenues, en matière d’immigration, par des élites (de gauche, du centre ou de droite) qui, avec constance, trahissent la Nation et le Peuple (voir l’article ci-dessous).
Ces réactivité et célérité des autorités et d’une certaine "justice", que l’on aimerait constater à l’occasion d’autres affaires autrement plus sérieuses, sont une nouvelle illustration de la volonté des matons de Panurge d’invisibiliser une réalité qui les dérange et de défendre bec et ongles leur narratif de propagande.
Synthèse nationale apporte tout son soutien à Jean-Eudes Gannat. Les dissolutions, les interdictions, les dénonciations, les arrestations et comparutions arbitraires, les menaces ou les violences en tout genre ne feront pas taire nos milieux. On n’efface pas le réel. La vérité est en marche. N'en déplaise aux chiens de garde de la pensée conforme, elle finira par s’imposer et triompher. Le combat continue !
12:32 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Jugé pour avoir osé décrire le réel : l’affaire Jean-Eudes Gannat, un scandale judiciaire qui bâillonne la France rurale

Article publié par Pierre d'Herbais sur le site Mayenne Aujourd'hui - Cliquez ici
Aujourd’hui, 7 novembre 2025, Jean-Eudes Gannat comparaît devant le tribunal correctionnel d’Angers en comparution immédiate. Accusé d’« incitation à la haine raciale » pour une vidéo TikTok anodine, il incarne le dernier avatar d’une répression judiciaire acharnée contre les voix dissidentes. Père de famille, militant catholique enraciné et cofondateur du Mouvement Chouan, Jean-Eudes n’est pas un raciste : il est un patriote qui ose nommer ce que des millions de Français constatent au quotidien dans nos campagnes. Et pour cela, on le traîne en justice comme un criminel.
Rappelons les faits, sans fard ni complaisance. Le mardi 4 novembre, Jean-Eudes publie une courte vidéo sur TikTok. On y voit un parking banal devant un supermarché Leclerc à Segré, en Maine-et-Loire – la ville où il a grandi, un coin de France profonde, paisible en apparence. Devant l’entrée, un groupe d’hommes afghans, en tenue traditionnelle, assis par terre. « Toujours au Leclerc en train d’acheter de la bouffe, à rien branler », dit-il crûment. Pas de violence, pas d’appel à la haine : juste une description brute d’une réalité qu’il dénonce comme symptomatique de l’immigration incontrôlée dans les campagnes françaises.
Après avoir vu la vidéo, je peine à comprendre comment on peut y voir une incitation à la haine raciale. D’après moi, il n’y a pas matière à poursuite. Mais la justice tranchera — encore faut-il qu’elle le fasse sereinement, sans céder à la pression idéologique.
Mercredi 5 novembre, les gendarmes le convoquent. Garde à vue demain, défèrement le lendemain matin à 9 heures, audience à 13 h 30. Le parquet d’Angers, qui suit Jean-Eudes depuis des années, y voit une « incitation à la haine raciale ». Pourquoi cette précipitation ? Pourquoi cette comparution immédiate, réservée aux délits flagrants ? Parce que décrire le réel est devenu un crime quand il dérange le narratif officiel. Parce que Jean-Eudes n’est pas n’importe qui : ex-leader de l’Alvarium – dissous en 2021 pour ses positions identitaires –, il reste une épine dans le pied d’un système qui préfère ignorer le chaos qu’il a engendré.
On peut accuser Jean-Eudes de militantisme radical, d’actions "coups de poing" au sein du Mouvement Chouan ou de l’Alvarium – ces groupes qui, comme je l’écrivais en mai 2024 dans Mayenne Aujourd’hui, portent une voix marginale mais résolue contre un paysage politique déconnecté. Des manifestations contre l’immigration massive, des campagnes pour l’héritage culturel des régions, un plaidoyer pour les valeurs familiales et traditionnelles : voilà ce qui motive ces rebelles, inspirés des Chouans de 1793.
Jean-Eudes m’avait confié alors : « L’offre politique reste décevante, déconnectée des citoyens ordinaires. Nous voulons labourer la terre politique, être proches de notre communauté. » Et pourtant, pour ces actions, c’est la justice qui les laboure : gardes à vue, condamnations, dissolutions. Une justice qu’ils perçoivent comme partiale, indulgente envers les voyous et impitoyable envers les patriotes.
Accuser Jean-Eudes de racisme ? C’est absurde. Sa famille, comme le montre le film Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu ?, est un modèle d’ouverture : mariages mixtes chez ses frères et sœurs, ouverture aux autres cultures sans renier la nôtre. Lui-même, catholique fervent, défend une France enracinée, pas une haine aveugle. Sa vidéo n’appelle pas à la violence ; elle interpelle sur une situation politique : l’arrivée massive de migrants dans des territoires déjà fragiles.
À Segré, comme dans tant de villages, les parkings deviennent des zones d’attente, les traditions s’effritent, et les habitants se sentent abandonnés. Décrire cela, est-ce un crime ? Quid de la liberté d’expression, ce pilier de notre droit, gravé dans l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen ? Quid du débat des idées, que la presse – empressée de coller l’étiquette « extrême droite » ou « raciste » – étouffe sous un linceul de bons sentiments ?
Cette affaire n’est pas isolée. Elle s’inscrit dans une traque systématique : depuis la dissolution de l’Alvarium, Jean-Eudes accumule les ennuis judiciaires pour des faits mineurs. La presse, elle, titre sans nuance sur « l’ex-leader de l’Alvarium en garde à vue pour incitation à la haine », sans un mot sur le fond : l’échec patent d’une politique d’immigration laxiste qui bouleverse nos campagnes.
Aujourd’hui, devant le tribunal d’Angers, Jean-Eudes Gannat ne sera pas seul. Ses camarades du Mouvement Chouan, de l’Oriflamme et du RED seront là pour rappeler que la France n’est pas qu’urbaine et cosmopolite : elle est aussi rurale, enracinée, et en droit de s’exprimer. Filmer la réalité n’est pas haïr ; c’est alerter.
Si le parquet gagne, c’est la France entière qui perd : une dictature douce où le réel devient tabou, où les campagnes sont muselées pour plaire aux élites parisiennes.
On sait depuis l’affaire Charlie Kirk qu’il ne risque pas que de la prison.
Jean-Eudes, courage. Nos pensées t’accompagnent. Et que cette affaire réveille enfin un débat honnête : décrire le réel n’est pas le criminaliser. Montrons-le, débattons-en, librement.
11:29 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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