lundi, 09 octobre 2017
Cette affaire de référendum catalan a le mérite de réveiller l'Espagne et de redonner du grain à moudre à la Phalange...
On ne peut pas reprocher aux Catalans d'aimer la Catalogne. Le problème, c'est que les indépendantistes catalans, tout du moins ceux qui profiteraient de la sécession, ont une vision mondialiste des choses. Ils sont les premiers à manifester leur soutien à l'arrivée massive de pseudo réfugiés et à vouloir brader leur économie aux multinationales apatrides.
Entourée par les mers et les montagnes, l'Espagne est une nation millénaire qui existe grâce à son unité. Certes la tournure des choses prise depuis quelques décennies n'a rien de reluisant mais si celle-ci venait à se diviser, elle disparaitrait complètement. Les exigences catalanes ont donc le mérite de réveiller ce peuple endormi par 40 ans de bouillie démocratique.
Maintenant, il ne faut pas se leurrer. Dans les années 80, à chaque 20 novembre (anniversaire de la mort du Général Franco et de José Antonio), des centaines de milliers d'Espagnols se rassemblaient à Madrid donnant ainsi l'impression que la Droite nationale espagnole était puissante et conquérante mais, le soir venu, tous se dispersaient sans que rien ne se passe. Les nationalistes-révolutionnaires madrilènes distribuaient alors des tracts sur lesquels on pouvait lire : "20 N. : une journée d'hystérie pour un an de passivité". Ils n'avaient pas vraiment tort... On voit où cela à mené.
Si au moins les événements récents redonnent à la Phalange, ou à toute autre organisation nationaliste et identitaire ibérique, une bonne raison de ressusciter, ce sera un point positif ...
S.N.
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mercredi, 23 août 2017
NI SOUMISSION, NI ABANDON, MOBILISATION !
Directeur de
Synthèse nationale
L’événement qui a marqué les six premiers mois de l’année 2017 a été, sans nul doute, la surprenante élection présidentielle. Celle-ci s’est en effet déroulée sous nos yeux comme un véritable tour de passe-passe politico-médiatique.
Souvenez-vous… Il y a quelques mois, fin 2016, les tenants du Système prenaient conscience de la fragilité de celui-ci et leur petit domestique élyséen, François Hollande, renonçait piteusement à un second mandat (prouvant ainsi, à la surprise générale, qu’il était capable d’avoir un éclair de lucidité).
Hollande hors jeu, l’oligarchie se rabattait alors derrière le sinistre Juppé voyant en lui le garant de ses intérêts. Mais la vanité de ce dernier lui fut fatale et il se retrouva éliminé des calamiteuses « primaires de la droite et du centre ». Les électeurs « républicains » lui préférant le controversé François Fillon réputé plus conservateur et donc moins satisfaisant pour les thuriféraires de la pensée dominante.
Emmanuel Macron, le joker du Système
Mais, pour palier cette erreur de casting, le Système avait prévu son joker : le sémillant Emmanuel Macron, à la fois coqueluche de la bobocratie et bouée de sauvetage de tous les ratés de la politique. On connaît la suite…
Face à une Marine Le Pen, qualifiée de justesse au second tour, l’ancien conseiller de Hollande n’eut pas de mal à se faire élire Président. Et, aux législatives qui suivirent en juin, tout ce que la gauche et la droite comptaient de has been en mal de reconversion purent facilement envahir les bancs du Palais Bourbon. Le tout, pour mieux servir les intérêts de la haute-finance apatride. Il faut en effet savoir qu’avec Macron et son parti fait de bric et de broc, ce sera encore plus de soumission aux diktats de la finance, ce sera encore plus de brassage des populations, ce sera toujours plus de fiscalité assommante et de lois antisociales, ce sera encore plus de complaisance avec l’écolo business (style Nicolas Hulot) qui nous imposera, entre autres, une multiplication des inutiles éoliennes…
Au plus bas avec Hollande à l’automne, le Système sort au printemps renforcé de cette Présidentielle.
Les soutiens de Macron veulent faire croire que tout avait changé alors qu’en réalité rien ne change vraiment. Bien sûr, un certain nombre de faiseurs qui encombraient le devant de la scène politique depuis trop longtemps ont dégagé, et l’on ne va pas s’en plaindre, mais l’idéologie reste la même, à savoir le mondialisme ultra libéral destructeur des nations et des civilisations. Quant à Marine Le Pen, dans laquelle beaucoup avaient placé leurs espérances, elle a atteint ses limites et elle ne pourra plus prétendre incarner, avec sa poignée de députés, une opposition crédible.
L’échec de la candidature Marine Le Pen était pourtant prévisible
Depuis son accession à la Présidence du Front national en janvier 2011, Marine le Pen s’est évertuée à vouloir lisser l’image de son parti. Pour cela, elle n’a pas hésité à jeter aux orties une partie importante des références idéologiques (les fondamentaux) et à mettre à la porte bon nombre des cadres et militants qui s’étaient, des années durant, dévoués pour la cause. Le cas le plus emblématique étant celui de son propre père, Jean-Marie Le Pen. En se conduisant ainsi, Marine Le Pen espérait accréditer l’idée qu’elle incarnait dorénavant un mouvement national recentré et susceptible d’attirer à lui de nouveaux électeurs. Là fut l’erreur magistrale…
Il faut en effet savoir que depuis une dizaine d’années, nous assistons à la « radicalisation » d’une partie grandissante de nos compatriotes. Chacun peut le constater autour de lui. Prenons un seul exemple : l’année 2013 au cours de laquelle à quatre ou cinq reprises plus d’un million de Français sont descendus dans les rues de Paris pour réclamer le retrait d’une loi (la loi Taubira en l’occurrence) et la démission du gouvernement socialiste. Du jamais vu « à droite »…
Simultanément, les problèmes liés à l’immigration, à l’islamisation et à la perte de notre identité se sont amplifiés ouvrant ainsi les yeux à un nombre croissant de Français. Or, tous ces thèmes étaient, depuis quarante ans, les chevaux de bataille du FN version Jean-Marie. Et il aura fallu quarante ans pour que l’idée selon laquelle le Front est le seul rempart affirmé face à l’immigration entre dans la tête de nos compatriotes. C’est le moment que choisit Marine Le Pen pour mettre en veilleuse ce thème ô combien porteur.
Ainsi, beaucoup d’électeurs potentiels furent désorientés. Dès le premier tour, les résultats n’ont pas été à la hauteur des espérances. Ceux-ci sont à peine supérieurs de deux points à l’addition de ceux de Jean-Marie Le Pen et de Bruno Mégret en 2002. Et nous sommes loin des scores prometteurs (autour de 30 %) obtenus ces dernières années aux différentes élections intermédiaires
Mais le plus grave pour Marine Le Pen, ce n’est pas que ses résultats soient décevants, c’est que dans cette campagne, en particulier au moment du fameux débat avec Macron, elle a perdu sa superbe. Elle s’est elle-même totalement discréditée aux yeux de ceux qui avaient placé en elle leur dernier espoir. C’est sans doute ce qui pouvait lui arriver de pire. Lors de ses précédents revers électoraux, le FN avait toujours trouvé de « bonnes excuses » (le mode de scrutin, les fourberies, souvent présumées, de Pasqua, la présence de dissidents, une demi douzaine de skinheads repérés dans un meeting…) mais là, la vérité est terrible à admettre. Sa défaite ne peut être imputable qu’à lui-même.
Ceux qui la connaissent prétendent aujourd’hui ne pas être surpris ni déçus. Dont acte. Mais si Marine Le Pen n’était pas capable de représenter dignement notre famille d’idée, c’était au moment de « la succession » qu’il fallait faire un autre choix. L’engouement pour Marine était artificiel car il ne reposait que sur une hasardeuse opération médiatique appelée « la dédiabolisation » Or, si dédiabolisation il devait y avoir, cela sous-entendait que le Front était diabolique (CQFD). La force du Front, c’était justement son opposition sans concession au Système. Son « seul contre tous », mais on peut être seul sans être le diable pour autant. Normalisé, le Front n’a plus de raison de progresser.
D’autres essayent de faire retomber la responsabilité de l’échec de Marine sur son principal soutien, Florian Philippot. C’est un peu facile car, reconnaissons-le, celui-ci a toujours été logique avec lui-même. Il se revendique comme étant gaulliste, souverainiste et post chevènementiste donc totalement éloigné de la culture de la Droite nationale, sociale et populaire dont se réclamait, jusqu’à l’arrivée de Marine Le Pen à sa présidence, le Front national. Marine, après lui avoir accordé sa confiance, ne peut s’en prendre qu’à elle-même et en tirer les conclusions qui s’imposent. En recentrant son parti, elle a raté son rendez-vous avec son électorat potentiel qui, lui, était en voie de radicalisation. Face à l’étendue des dégâts, cet électorat a visiblement préféré s’abstenir au second tour de la Présidentielle et aux législatives.
La récré est terminée, il est temps de passer aux choses sérieuses
Quoiqu’il en soit, tout cela fait désormais parti du passé et la triste réalité, c’est que Macron et la clique mondialiste qu’il représente sont bel et bien au pouvoir. Il faut donc réorganiser l’opposition nationale et identitaire, la seule qui ait vraiment une raison d’être. Le moment est venu pour elle de se remette en ordre de bataille.
Le dimanche 1er octobre prochain se déroulera, comme chaque année depuis 11 ans, la XIe Journée de Synthèse nationale à Rungis. Ce sera à nouveau l’occasion pour les différentes organisations, politiques, culturelles, sociétales qui font la richesse de notre famille d’idées de se retrouver pour échanger, en toute liberté, leurs points de vue. Cette XIe Journée, vous en conviendrez revêt une importance particulière dans le contexte actuel. La refondation est en route et sachons que nous n’avons plus le droit à l’erreur.
La Droite nationale et identitaire, c’est l’alternative
Dans ce nouveau contexte, la Droite nationale et identitaire a plus que jamais le devoir de s’imposer comme la seule alternative authentique et crédible capable, le plus vite possible, de relever la France.
Synthèse nationale, depuis 11 ans maintenant, est au cœur du combat pour la France française dans une Europe européenne. Avec ses relais médiatiques (revues, sites, éditions, réseaux sociaux performants, émissions radio en partenariat avec Radio Libertés…) et militants (journées annuelles à Rungis et en province, campagnes d’agitation, associations thématiques…) notre organisation est à l’avant-garde du combat contre le Système.
Les supercheries électorales auxquelles nous venons d’assister doivent nous amener à accentuer notre action si nous ne voulons pas que le processus de soumission et d’abandon continue à anéantir définitivement ce qu’il nous reste de liberté.
Pour cela, nous avons besoin de votre aide à tous. Que ce soit :
- en vous abonnant à nos différentes revues (Synthèse nationale, les Cahiers d’Histoire du nationalisme, Confrontation…),
- en achetant et en diffusant les livres que nous éditons,
- en adhérant à l’Association des Amis de Synthèse nationale, présidée par Jean-Paul Chayrigues de Olmetta,
- en participant à notre souscription patriotique
- en venant, le dimanche 1er octobre à notre XIe Journée nationale et identitaire à Rungis (Val de Marne).
Ainsi, vous nous permettrez d’amplifier notre travail salutaire pour notre nation et pour notre civilisation. Par avance, nous vous remercions pour votre fidélité.
Editorial du n°46 (ÉTÉ 2017) de la revue Synthèse nationale cliquez ici
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jeudi, 06 juillet 2017
Après les supercheries électorales, ni soumission ni abandon, plus que jamais la Droite nationale et identitaire est l’alternative au Système
Roland Hélie Directeur de Synthèse nationale
Chers Amis et lecteurs de Synthèse nationale,
Nous venons d’assister à un véritable tour de passe-passe politico-médiatique.
Souvenez-vous… Il y a quelques mois, fin 2016, les tenants du Système prenaient conscience de la fragilité de celui-ci et leur petit domestique élyséen, François Hollande, renonçait piteusement à un second mandat (prouvant ainsi, à la surprise générale, qu’il était capable d’avoir un éclair de lucidité).
Hollande hors jeu, l’oligarchie se rabattait alors derrière le sinistre Juppé voyant en lui le garant de ses intérêts. Mais la vanité de ce dernier lui fut fatale et il se retrouva éliminé des calamiteuses primaires de la droite. Les électeurs « républicains » lui préférant le controversé François Fillon réputé plus conservateur et donc loin de satisfaire les thuriféraires de la pensée dominante.
Emmanuel Macron, le joker du Système
Mais, pour palier cette erreur de casting, le Système avait prévu son joker : le sémillant Emmanuel Macron, à la fois coqueluche de la bobocratie et bouée de sauvetage de tous les ratés de la politique. On connaît la suite…
Face à une Marine Le Pen reniant ses fondamentaux et emberlificotée dans ses rêves de respectabilité, Macron n’eut pas de mal à se faire élire Président. Et, derrière lui, tout ce que la gauche et la droite comptaient de has been en mal de reconversion à envahir le Palais Bourbon. Le tout, pour mieux servir les intérêts de la haute-finance apatride. Il faut en effet savoir qu’avec Macron et son parti fait de bric et de broc, ce sera encore plus de soumission aux diktats de la finance, ce sera encore plus de brassages des populations, ce sera toujours plus de fiscalité assommante et de lois antisociales, ce sera encore plus de complaisance avec l’écolo business qui nous impose, entre autres, les inutiles éoliennes…
La Droite nationale et identitaire est l’alternative
Dans ce nouveau contexte, la Droite nationale et identitaire a plus que jamais le devoir de s’imposer comme la seule alternative authentique et crédible capable, le plus vite possible, de relever la France.
Synthèse nationale, depuis 11 ans maintenant, est au cœur du combat pour la France française dans une Europe européenne. Avec ses relais médiatiques (revues, sites, éditions, réseaux sociaux performants, émissions radio en partenariat avec Radio Libertés…) et militants (journées annuelles à Rungis et en province, campagnes d’agitation, associations thématiques…) notre organisation est à l’avant-garde du combat contre le Système.
Les supercheries électorales auxquelles nous venons d’assister doivent nous amener à accentuer notre action si nous ne voulons pas que le processus de soumission et d’abandon continue à anéantir définitivement ce qu’il nous reste de liberté.
Pour cela, nous avons besoin de votre aide à tous. Que ce soit :
- en vous abonnant à nos différentes revues (Synthèse nationale, les Cahiers d’Histoire du nationalisme, Confrontation…),
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- en participant à notre souscription patriotique
- et en venant, le dimanche 1er octobre à notre 11e Journée nationale et identitaire à Rungis (Val de Marne), vous nous permettrez d’amplifier notre travail salutaire pour notre nation et pour notre civilisation. Par avance, nous vous remercions pour votre fidélité.
Dans les jours qui viennent tous les contacts de Synthèse nationale, soit plus de 20 000 personnes, vont recevoir chez eux une plaquette, dont vous venez de lire l'éditorial, les invitant à nous aider. Nous avons besoin de votre aide pour amplifier notre combat et nous savons que nous pouvons compter sur vous tous. Par avance, nous vous remercions pour votre générosité.
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lundi, 12 juin 2017
AU-DELÀ DES LÉGISLATIVES, LE COMBAT CONTINUE...
Roland Hélie Directeur de Synthèse nationale
Le premier tour des élections législatives amène aux constats suivants :
Le parti présidentiel pense avoir gagné et ses candidats peuvent espérer entrer en masse à l’Assemblée. Mais peut-on parler de "victoire" lorsque l’abstention atteint un niveau jamais égalé puisqu’un Français sur deux est resté chez lui. Aux premiers accrocs, cette majorité de pacotille risque vite de fondre comme la neige au soleil.
Reconnaissons cependant le mérite à Macron et aux siens d’avoir atomisé le Parti socialiste et d’avoir rangé les Républicains au placard. Ce dont nous n’allons pas nous plaindre ici. Quant aux prétendus « insoumis », comme on pouvait s’en douter, leurs résultats n’ont finalement rien de très reluisant.
Le Front national, même si certains braves font encore semblant d’y croire, subit les conséquences de sa désastreuse stratégie de dédiabolisation ainsi que celles de la piètre prestation de sa candidate à la Présidentielle. Celle-ci a perdu de « sa superbe » le soir du débat avec Macron et le FN se retrouve ringardisé alors que les conditions de sa réussite, dues à la radicalisation croissante d’une partie de nos compatriotes, semblaient réunies. Nous ne sommes ni surpris ni déçus car, depuis le début de cette dérive, nous savions que le « néo-Front » allait droit dans le mur. Il est temps de tourner la page. La Droite nationale, dans son ensemble, doit tirer les conséquences de cette malheureuse aventure et se réorganiser pour l’avenir.
Mais de tout cela, nous en reparlerons le dimanche 1er octobre prochain lors de notre XIe journée nationale et identitaire qui se tiendra, comme chaque année, à Rungis près de Paris.
En effet, ne soyons pas dupes. Macron, comme nous l’avons déjà dit, est le fruit d’une remarquable opération montée par l’hyper-classe économico-médiatique, consciente qu’elle était de la faillite des partis sensés lui garantir ses intérêts. Les naïfs qui voient en lui un « homme nouveau avec une nouvelle façon de faire de la politique » risquent fort d’avoir rapidement à le regretter. Macron, c’est le pseudo changement dans la véritable continuité… Avec lui, la France restera sous le joug des puissances financières qui veulent transformer le monde en un vaste marché planétaire dans lequel l’homme serait réduit au rôle de consommateur docile, dénué de toute identité, juste bon à enrichir les multinationales apatrides.
Cette conception, vous le savez, n’est pas la nôtre et nombreux sont aussi nos compatriotes qui la refusent. Face à cette prétention morbide du Système désormais incarné par Macron et sa clique, la Droite nationale a, plus que jamais, sa raison d’être. Alors, Amis et Camarades, ni soumission, ni abandon, quelle qu'en soit la forme, le combat continue…
AIDEZ-NOUS À CONTINUER LE COMBAT.
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lundi, 24 avril 2017
BATTRE LE CANDIDAT MONDIALISTE !
Ça y est, le premier tour est passé et la France s'est réveillée avec la gueule de bois et la perspective d’un avenir peu radieux. Le pire scénario s’est en effet produit : le candidat du parti de la finance apatride, Emmanuel Macron, est arrivé en tête. Le lot de consolation, c’est qu’il est talonné par Marine Le Pen, la candidate du Front national.
Les résultats n’étaient pas encore définitifs que le champion de la pseudo droite, François Fillon, annonçait pitoyablement qu’il se désistait en faveur de Macron, ressuscitant ainsi le spectre du « Front républicain » avec les résidus du Parti socialiste, l’autre grand perdant de la soirée. En se conduisant ainsi, Fillon est fidèle à la tradition gaulliste qui consiste à toujours pactiser avec le parti de l’étranger, quelqu’il soit, plutôt que se rallier au mouvement national.
Même si ses résultats sont en dessous de ceux qu’espéraient, compte tenu de la situation actuelle, beaucoup de patriotes, Marine Le Pen est qualifiée pour le second tour. Elle devra donc, dans quinze jours, rassembler l’ensemble des forces nationales et identitaires pour battre le prétendant mondialiste soutenu par le CAC 40 et tous les thuriféraires de la bien-pensance institutionnalisée.
Synthèse nationale
11:37 Publié dans Editoriaux, Présidentielle 2017 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 22 avril 2017
MACRON OU LA FIN PROGRAMMÉE...
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Editorial du n°45 (Printemps 2017)
Publié le 25 mars 2017
Il ne reste plus que quelques semaines avant cette élection présidentielle dont la pré-campagne, et la campagne, nous réservent bien des surprises. Certes, depuis le début de la Ve République, nous savons que les jeux ne sont jamais faits d’avance. Ce qui semble évident six mois avant le scrutin s’avère toujours faux le moment venu. Preuve de la versatilité de notre peuple s’offusqueront les uns ou de l’aveuglement des médias s’exclameront les autres… qu’importe. Il n’y qu’une chose qui est constante, c’est que, de Présidentielle en Présidentielle, le gagnant a toujours été pire que le sortant.
Cette année, nous sommes devant un cas de figure assez curieux. Soucieux que sont les partis institutionnalisés de vouloir accentuer leur image démocratique et voulant sans doute singer l’Amérique, ceux-ci nous ont imposé, à gauche comme à droite, le spectacle pathétique des « primaires ». Car il n’y a rien de tel qu’une primaire pour introduire les divisions dans un parti politique. Regardez-les, ils se sont tous entretués pendant six mois et, maintenant, les disqualifiés passent leur temps à en savonner la planche de ceux qui ont gagné.
Des primaires qui tournent au vinaigre
En plus, c’est hasardeux car dans les deux cas, chez les Républicains comme chez les socialistes, les vainqueurs ne sont pas ceux que le Système aurait voulu. Ni Juppé, ni Sarkozy, ni Valls, ni Montebourg, ces petits valets serviles de l’idéologie dominante n’ont réussit à l’emporter. À chaque fois, c’est un « outsider » qui est arrivé en tête. Benoît Hamon chez les socialistes (mais cela n’a pas beaucoup d’importance vu l’état actuel du PS) et, à « droite », François Fillon, personnage réputé pusillanime qui a été cinq ans Premier ministre de Sarkozy sans que personne ou presque ne s’en souvienne.
Maudite primaire ! Si les gogos commencent à ne plus faire ce que l’oligarchie leur demande, où va-t-on ?
Mais, rassurez-vous, le Système avait son joker : Emmanuel Macron évidemment… Un ancien de la Banque Rothschild reconverti dans le « politique buisness attrape tout » qui, avec sa prudence de banquier, avait justement pris soin d’éviter de passer la case risquée des primaires. Il se retrouve donc promu comme étant le candidat chéri des mondialistes de tous bord. Car avec lui, les mondialistes pourront dormir tranquilles. Il est bien dressé, il saura accélérer le processus de désintégration nationale et de reniement identitaire engagé. Il saura défendre les intérêts des multinationales apatrides et ceux de la haute-finance spéculative aux dépens des peuples et des nations.
Haro sur le Sarthois
Pour les fins stratèges de l’intelligentsia en place (ceux qui jouaient Clinton gagnante, le refus du Brexit et la chute de Bachar…), le calcul est simple : celui qui se retrouvera en deuxième position au premier tour derrière Marine Le Pen (à condition bien sûr que celle-ci soit en tête) à toutes les chances de l’emporter au second. Comme Fillon, par son côté notable provincial et certaines de ses prises de positions iconoclastes, ne répond pas aux critères de la bien-pensance, tout doit donc être mis en œuvre pour qu’il soit recalé en troisième position. Macron contre Marine Le Pen, c’est forcément Macron qui l’emportera croient-ils. Un duel Fillon-Le Pen, dans lequel Macron serait hors jeu, vous n’y pensez pas… Voilà pourquoi, depuis le début janvier, une campagne de presse reposant sur des abus plus ou moins avérés est lancée afin de déstabiliser Fillon. Je ne prétends pas que le Sarthois soit un modèle de vertu, mais force est de constater que ce qui lui est reproché est somme toute assez banal pour un politicien qui a vécu toute sa vie aux crochets de la République.
Mais n’allez surtout pas imaginer que je cherche à le défendre. Même si je lui reconnais un certain panache dans le fait qu’il se soit maintenu en vers et contre tous, à commencer ceux de son propre camp, comme candidat des Républicains, la compassion s’arrêtera là. La manière avec laquelle il a snobé récemment certaines personnalités non conformistes de droite (comme Charles Million et Charles Beigbeder par exemple) qui souhaitaient le soutenir est significative de l’état d’esprit du personnage. En bon gaulliste qu’il est, Fillon a peur d’être classé trop à droite. Il espère sans doute se faire une place au soleil au centre ou ailleurs, mais pas de chance Macron l’occupe déjà.
Et la droite nationale dans tout cela ?
Paradoxalement, c’est au moment où une partie de plus en plus importante de nos compatriotes commence à ouvrir les yeux et à se rendre compte que tout ce que les nationalistes annonçaient depuis des décennies est en train de s’avérer vrai que la candidate qui est sensée représenter notre famille politique adopte un positionnement de plus en plus « clean ». Ce qui est plutôt regrettable.
L’obsession de « la dédiabolisation » a conduit le Font national depuis quelques années à aller à l’encontre des aspirations de son électorat. Heureusement pour lui, ceux qui placent leur dernier espoir en Marine Le Pen ne se sont pas encore vraiment rendus compte de la dérive de son mouvement. C’est d ‘ailleurs peut être mieux ainsi.
Notre peuple, aseptisé par des décennies de culpabilisation et de repentance visant à le rendre honteux de son identité, conditionné par des médias aux ordres champions de la désinformation et accablé par les contraintes d’une existence de plus en plus précaire commence à s’interroger sur l’avenir que lui propose le Système. Il voit dans le FN l’alternative à celui-ci car il ne sait pas que la direction actuelle du FN ne pense qu’à être reconnue par ce Système. On peut toujours rêver…
Quoiqu’il en soit, nous estimons que le vote Marine (additionné à celui en faveur des autres candidats en marges comme Jean Lassalle ou Nicolas Dupont-Aignan) devra être considéré comme un « vote baromètre » qui prouvera le refus grandissant de cette classe politique usée et ternie. Il montrera que les Français sont à la recherche d’une autre voie que celles, éculées, que veut leur imposer le Système.
Vous l’avez compris, Synthèse nationale, en tant que revue, ne donnera pas de consigne à ses lecteurs et amis. Nous savons que la candidate « officielle » de la droite nationale est loin de faire l’unanimité dans notre camp. Cependant, nous sommes aussi conscients de l’enjeu de cette présidentielle. L’élection programmée de Macron serait la pire des choses qui puisse arriver à la France car elle scellerait son asservissement total et définitif au parti de la finance, ce qui, en termes clairs, signifierait la fin de son existence. Et cela nous ne pouvons l’accepter. Eliminer Macron dès le premier tour est donc une priorité absolue, un acte de résistance patriotique et identitaire. Chacun saura, en son âme et conscience, ce qu’il lui reste à faire…
Au-delà de la Présidentielle…
Quel que soit le gagnant du second tour, même et surtout si c’est Macron, nous devrons continuer notre combat. Plus que jamais la France et les Français auront besoin d’une forces nationaliste digne de ce nom. En ce qui nous concerne, à Synthèse nationale, nous continuerons à œuvrer pour l’émergence d’un véritable pôle de rassemblement, fidèle aux fondamentaux qui font la spécificité de notre famille d’idées, résolument tourné vers l’avenir.
Pour l’heure, nous vous donnons à tous rendez-vous comme chaque année à Rungis (94) le dimanche 1er octobre prochain pour notre XIe Journée nationale et identitaire.
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jeudi, 22 décembre 2016
Jean-Marie Le Pen censuré par Le Figaro
Mercredi dernier, Jean-Marie Le Pen a été interrogé par Le Figaro sur, entre autres, ce qu'il pensait de l'homosexualité. Comme vous pourrez le constater en écoutant sa réponse, celle-ci n'avait rien de particulièrement "homophobe".
Mais, dans la France aseptisée dans laquelle nous vivons, l'avis de Jean-Marie Le Pen, parce que c'est l'avis de Jean-Marie Le Pen, ne pouvait qu'être considéré que comme étant "choquant". Il n'en fallait pas plus pour que la direction du quotidien décide de retirer, quelques heures après l'avoir publié sur les réseaux sociaux, le reportage réalisé l'après-midi même à Saint Cloud.
Cette attitude lamentable du Figaro prouve, s'il en était encore besoin, que l'ensemble de la presse aux ordres n'a qu'un seul but, celui de censurer les opinions non conformistes.
Le Président d'honneur du FN a condamné ce soir sur son site cette nouvelle atteinte à la liberté d'expression dont il est, une fois de plus, victime. Cliquez ici.
Synthèse nationale
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mardi, 13 décembre 2016
ALEP LIBÉRÉE PAR L'ARMÉE SYRIENNE DU PRÉSIDENT BACHAR
Selon nos informations, les derniers ilots terroristes d'Alep, soutenus par les mondialistes anéricano-européo-saoudiens, ont été libérés cette nuit par l'armée syrienne fidèle au Président Bachar El-Assad. Dans toute la ville les scènes de liesses populaires se multiplient pour acclamer les libérateurs.
Cette victoire que nous saluons est un vrai camouflé pour l'idéologie dominante et ses larbins parmi lesquels, une fois de plus hélas, la France s'est piteusement rangée...
Un jour viendra où les nations européennes devront remercier la Syrie baasiste pour sa détermination et son courage face à l'ennemi islamiste.
Synthèse nationale
Lire Pourquoi la Syrie baasiste plutôt que l'Etat islamique cliquez ici
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jeudi, 17 novembre 2016
Jean-Marie Le Pen confirmé Président d'honneur du FN
Jean-Marie Le Pen le 2 octobre dernier à Rungis
lors de la Xe Journée de Synthèse nationale cliquez ici
Bien qu'exclu sans ménagement par les nouveaux arrivants (avec la complicité de sa fille qu'il avait lui-même contribué à mettre en place), Jean-Marie Le Pen vient d'être confirmé par le TGI de Nanterre, ce jeudi après-midi, au poste de Président d'honneur du Front national.
D'ores et déjà le co-fondateur du FN a annoncé qu'il participerait aux réunions des instances dirigeantes du mouvement comme sa fonction l'autorise. Cette décision du tribunal met en lumière les faiblesses de l'équipe qui entoure actuellement la candidate Marine Le Pen. Celle-ci prétendait avoir un dossier en béton mais, visiblement, cela n'a pas suffit.
Après le flop de la rose bleue d'hier, la semaine s'avère être rude pour le parti néo-frontiste. La perspective de voir le Président Le Pen assister aux réunions n'enchante guère, dit-on, les amis de Marine Le Pen. Ça promet...
Cela étant dit, on peut s'interroger : Jean-Marie Le Pen, homme de conviction attaché aux valeurs et aux idées, a-t-il vraiment sa place au milieu de ceux qui ont participé au parricide ? N'a-t-il pas beaucoup mieux à faire ? Il y a bien longtemps que ses vrais amis ne sont plus au FN et il le sait bien.
Synthèse nationale
Quelques infos cliquez ici
La réaction de Maître Joachim, l'avocat de JMLP cliquez là
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jeudi, 11 août 2016
Autriche, Grande Bretagne, Hongrie... les peuples contre les pseudo élites !
Directeur de Synthèse nationale
Editorial du n°43 (été 2016) cliquez ici
Nous vous le disions dans la précédente livraison de Synthèse nationale : le monde change. En effet, regardez ce qui s'est passé au cours de ces derniers mois autour de nous.
En Autriche d'abord, le candidat nationaliste du FPO arrive au second tour de la Présidentielle en avril, ce qui est déjà en soit une belle performance. Au second tour, évidemment, il doit faire face à l'éternelle coalition des nantis et des profiteurs du Système, regroupés derrière un écologiste sur le retour. Ceux-ci n'ont que de mots assez sévères et de coups bas suffisamment malhonnêtes pour tenter de discréditer celui qui incarne l'espérance nationale et identitaire du peuple autrichien. Pour être sûr de conserver leurs prébendes, ces faiseurs n'ont pas hésité à truquer le bon déroulement de l'élection présidentielle. Mais ce qui est trop gros ne passe plus et les irrégularités constatées furent tellement nombreuses que la Cour constitutionnelle a annulé le scrutin litigieux. Les Autrichiens retourneront donc voter. La camarilla politico médiatique dans son ensemble s'était égosillée pour saluer "la victoire de la démocratie". Pas un mot pour condamner les forfaitures avérées des démocrates autrichiens... Ce qui nous intéresse pour notre part, c'est que pour la première fois depuis longtemps un nationaliste, qu'il soit au final élu ou non, arrive à casser un Système qui, pour beaucoup, y compris dans nos rangs, est jugé inébranlable...
Passons en Grande Bretagne maintenant. Là aussi l'exemple du Brexit mérite d'être médité. Tout d'abord, il y eu l'arrogance d'un Premier ministre en difficultés qui s'auto persuada qu'il allait être plébiscité par un référendum sur l'Europe. Puis, toutes les forces du Système, avec les énormes moyens que cela représente, se sont mises en branle pour faire avaler aux Britanniques la sauce bruxelloise. Tous les arguments, même les plus fallacieux, ont été exploités. Pour faire peur aux Anglais, en cas de mal vote, tout a été imaginé. Et toc, le jour venu, malgré la chape de plomb du prêt à penser, les Anglais ont souverainement décidé de sortir du carcan européen. Nouveau coup dur pour le Système... L'avenir nous dira comment ce Brexit se passera concrètement, mais ce qui compte pour l'heure c'est que, là aussi, le peuple à ceux qui pensaient une fois de plus le maîtriser...
Dur printemps pour les tenants de la pensée unique !
Ces deux exemples démontrent que rien n'est fatal lorsque les peuples se réveillent. Il est vrai que l'endormissement est tel que l'on peut comprendre que certains finissent par se décourager. L'exemple du référendum de 2005 reste dans la mémoire collective. Le peuple français avait alors nettement (55 % de non) refusé le projet constitutionnel européen et celui-ci lui a été imposé malgré tout, avec le Traité de Lisbonne, par les petits valets du Système qui sont sensés gouverner notre pays. Mais 2005, c'était il y plus de dix ans... Depuis, qu'on le veuille ou non, beaucoup de choses ont changé.
Le Nouvel Ordre mondial que voulait nous imposer l'hyper classe mondialiste après la chute de l'URSS au début des années 90 a prit du plomb dans l'aile. La Russie a relevé la tête et l'Amérique, si par chance elle échappe l'hystérique Clinton, adoptera, peut on espérer, une attitude différente de celle qui est la sienne depuis un siècle. Il ne faut donc pas désespérer. La France et l'Europe, telle que nous la concevons, n'ont peut être pas dit leur dernier mot.
Et au-delà de l'Europe, nous pourrions aussi citer l'exemple de la courageuse Syrie baasiste du Président Bachar Al-Assad. Afin d'étancher leur soif de "démocratie" et surtout leur contrôle sur le pétrole, les mondialistes pensaient mettre à bas ce pays, comme il l'ont fait il y a quelques années en Irak, en Lybie ou ailleurs, en se servant des islamistes sanguinaires pour imposer un gouvernement fantoche à leurs bottes. Mais là aussi, ils se sont heurtés à la résistance farouche du peuple et de ses chefs ainsi qu'à la Russie. L'Amérique a visiblement de plus en plus de mal à s'imposer comme gendarme du Monde.
L'exemple hongrois
Prenons maintenant l'exemple de la Hongrie. Nous avons eu le plaisir, lors de notre journée régionale près de Lille fin avril, de recevoir le journaliste magyar Ferenc Almassy venu de Budapest. Celui-ci nous a expliqué la situation dans son pays où le gouvernement semble beaucoup plus s'intéressé au sort du peuple hongrois, lui aussi menacé par l'invasion, qu'aux intérêts de la haute finance apatride. En l'écoutant, je me disais la chose suivante : nous sommes en 2016, il y a 60 ans, en novembre 1956, Budapest et toute la Hongrie se soulevaient contre l'effroyable dictature communiste qui asservissait le pays. Cette insurrection fut réprimée dans le sang par les soviétiques sans que personne, à l'exception bien sûr des nationalistes en Europe, ne réagisse. Les patriotes hongrois, bâillonnés, emprisonnés, assassinés ou contraints à l'exile, s'imaginaient-ils alors un seul instant que, 60 ans plus tard, la Hongrie serait l'exemple à suivre pour les nationalistes européens ? Je n'en suis pas sûr et pourtant, c'est ce qui se passe aujourd'hui.
Le XXIe siècle sera celui du réveil des identités. Dans le cas contraire, le monde deviendrait un vaste cloaque métissé et robotisé juste bon à obéir docilement à ces pseudo élites qui ne pensent qu'à leurs profits. Pour nous le choix est clair. Face à la soumission, nous appelons à une vaste offensive nationaliste et identitaire. C'est de celle-ci dont nous parlerons le dimanche 2 octobre prochain à Rungis (94) lors de notre Xe journée qui marquera aussi le dixième anniversaire de Synthèse nationale.
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vendredi, 24 juin 2016
QUELLE BELLE MATINEE !
Directeur de Synthèse nationale
Quelle belle matinée qui commence bien ! Sur les ondes (sauf sur Radio Libertés bien sûr) l'ensemble des commentateurs s'étrangle, la haute-finance s'inquiète et... les droites nationales européennes jubilent. Vraiment, pour une fois, les Anglais sont nos amis. Un tel cadeau de si bon matin cela fait longtemps que nous n'en avons pas reçu d'outre-Manche.
Mais ne nous relâchons pas pour autant. Les "démocrates" soumis au mondialisme sont très forts pour retourner à leur avantage une décision populaire qui va à l'encontre de leurs projets. Rappelez-vous avec quelle arrogance ils se sont moqués des résultats du référendum de 2005 en France. On commence déjà à nous expliquer qu'il faudra au moins deux ans pour que la décision du peuple britannique se concrétise. En deux ans, beaucoup de magouilles peuvent avoir lieu...
Quoi qu'il en soit, cette victoire du Brexit démontre elle aussi que le monde est en train de changer. Partout le processus de destruction des nations et des identités voulu par l'hyper-classe affairiste se heurte à la volonté des peuples. Il est temps de réfléchir à une autre Europe...
13:15 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 07 juin 2016
Le complot terroriste inventé...
Une fois de plus les stratagèmes du Système prennent les Français pour des imbéciles. A quelques jours du lancement de la coupe d'Europe de foot-ball, ils viennent de concocter un scénario rocambolesque pour faire frémir les bonnes âmes.
Tenez-vous bien, on se croirait dans un mauvais roman de gare. A la frontière ukraino-polonnaise un Français de 25 ans a été arrêté avec petit arsenal dans le coffre de sa voiture. Pour se procurer un tel armement, même en Ukraine, cela nécessite des complicités et surtout la bienveillance des autorités. Or, le Français ne semble pas être sur ses gardes puisqu'il envisage benoitement rentrer en France par la route en passant la frontière sans problème. Il est vrai qu'une fois en Pologne, il a peu de risque d'être inquiété puisque, en vertu de Schengen, les postes de douane entre les différents Etats ont été supprimés. Mais là où les choses se dévoilent, c'est qu'en perquisitionnant le domicile de notre contrebandier du dimanche les flics français ont découvert, tenez-vous bien, un polo frappé d'un insigne "d'extrême droite". Bingo ! Tous les ingrédients du complot de l'internationale noire sont réunis... et la presse aux ordres peut s'en donner à cœur joie.
En réalité, cela ressemble plus à une farce politico-médiatique qu'à autre chose. Il faudrait nous expliquer comment un individu bénéficiant des moyens pécuniaires et matériels pour réaliser un tel trafic, puisse être assez naïf pour se présenter à la douane sans préjuger les risques qu'il prend...
Tout cela relève de l'enfumage le plus pervers et de la manipulation. Pendant que l'on s'obstine sur de prétendus complots d'extrême droite, les terroristes musulmans peuvent s'organiser tranquillement.
Un jour viendra où les responsables, qu'ils soient à Matignon, Place Beauvau ou ailleurs devront s'expliquer...
Synthèse nationale
11:54 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 13 mai 2016
La nouvelle bataille de Verdun est engagée...
En organisant un concert de rap anti-français avec le dénommé Black M à Verdun le 29 mai prochain, le pouvoir, qu'il soit incarné par Hollande ou par son teckel Hazard, maire de la ville, se conduit en provocateur minable. Non seulement il insulte la mémoire de ceux qui, quelque soit leur camp, sont tombés au cours de cette terrible bataille, mais en plus, il institutionnalise de manière définitive la dégénérescence culturelle venue d'ailleurs. Il prouve ainsi à quel niveau est descendu notre pays. Il est temps de mettre fin à cette sinistre plaisanterie.
Depuis ce matin nous recevons des dizaines de messages de camarades outrés par cette mascarade. Tous veulent agir, tous se préparent. Déjà des convois s'organisent et des initiatives locales sont prises. Plusieurs mouvements commencent à appeler à manifester. La France française n'est pas morte, n'en déplaise à Hollande et aux siens...
Le 29 mai, nous serons nombreux à Verdun pour dire haut et fort que cela suffit. Ce gouvernement, émanation actuelle de l'hyper classe mondialiste, croit pouvoir impunément humilier la France. Mais il ne sait pas ce à quoi il va se heurter. Il est trop tôt pour donner les consignes mais, dans les jours qui viennent, nous vous tiendrons informés de la mobilisation.
La nouvelle bataille de Verdun qui s'engage pourrait être fatale pour la clique de collabos qui depuis trop longtemps est sensée diriger notre pays. Faisons en sorte que cette ville qui a tant souffert pour rester française dans l'Histoire soit à nouveau le symbole de la reconquête nationale et européenne.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
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mercredi, 13 avril 2016
Le monde change...
Editorial de Synthèse nationale
n°42 (printemps 2016)
Ce Système que nous combattons sans relâche est décidément de plus en plus brinqueballant et nous n'allons pas nous en plaindre dans cette revue. L'hyper classe qui, au lendemain de la chute de l'Union soviétique, avait voulu imposer un monde unipolaire et uniformisé reposant uniquement sur les fausses valeurs de la société de consommation voulue par la haute finance apatride commence à ce ronger les ongles. Un peu partout en Europe et dans le monde on observe que des mouvements de réactions nationales et identitaires s'amplifient et rendent ainsi de plus en plus aléatoire son funeste projet de domination planétaire.
Et ce qui est le plus cocasse, c'est que même les Etats-Unis d'Amérique n'échappent pas à cette nouvelle donne. L'émergence heureuse dans la course à l'investiture républicaine du candidat Donald Trump, partisan d'un certain isolationnisme, adversaire déclaré de l'immigration et, apparemment, dégagé de l'influence des lobbys, peut effectivement changer bien des choses. Le fait que Donald Trump soit autant honnis par l'oligarchie ne peut que nous inciter à penser que ce personnage n'est peut-être pas aussi mauvais qu'on veut bien nous le faire croire. S'il venait à être élu et s'il applique son programme, il est évident que cela changerait considérablement la face du monde.
En effet, la question angoissante que l'on pouvait légitimement se poser jusqu'à présent était de savoir quel serait le sort de la France si demain un candidat authentiquement nationaliste arrivait au pouvoir ? Surtout si ce candidat avait l'impudente intention aux yeux des maîtres du monde d'appliquer le programme sur lequel il aurait été élu. Lorsque l'on constate ce qui est arrivé ces dernières décennies à ceux qui se sont opposés à l'alignement de leur pays, on a en effet de bonnes raisons d'être inquiets. On se souvient qu'il n'y a pas si longtemps que cela (en 1999) l'OTAN, bras armé de Washington, bombardait Belgrade afin de mettre à bas la courageuse Serbie qui refusait d'abandonner le Kosovo, son berceau historique, aux terroristes mafio-islamistes albanais...
Le rôle de l'inatendu...
Cependant, depuis quelques années les choses sont en train de changer. D'abord, il y a eu le retour sur la scène internationale de la Russie de Vladimir Poutine. Et maintenant, il y a l'éventualité de plus en plus probante de l'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche. Nous ne sommes plus dans le paysage des années 90 ou 2000 où la Russie postsoviétique en faillite totale, abandonnée aux caprices d'un alcoolique sans charisme, s'effaçait devant une Amérique flamboyante dirigée par les néoconservateurs inféodés aux banques apatrides, aux géants de l'industrie pétrolière et aux multinationales de l'agroalimentaire qui mettent leurs intérêts devant ceux des peuples dont ils n'ont d'ailleurs que faire.
Certes, vous me direz que ces tristes sires sont encore aux affaires outre Atlantique et que nous ne sommes pas à l'abri d'une victoire d'Hystérie Clinton mais il n'est pas interdit d'espérer l'inattendu.
En effet, l'inattendu n'est jamais à sous-estimer en politique. Qui aurait cru au début du XXe siècle que les Empires et les monarchies européennes vivaient leurs dernières heures et allaient s'écrouler au lendemain de la Première Guerre mondiale ? Qui aurait imaginé au milieu des années 80 que le Mûr de Berlin tomberait quelques années plus tard mettant ainsi fin au partage du monde imposé à Yalta ? Plus récemment, qui aurait pensé que le suicide d'un petit colporteur en fruits et légumes de Tunis, accablé par l'administration fiscale, entrainerait les "Printemps arabes" ?
En réalité l'inattendu ne surprend que ceux qui veulent bien se laisser surprendre. Les événements cités, ainsi que bien d'autres, sont le résultat de longues et laborieuses préparations. Les révolutions sont rarement spontanées. D'ailleurs, lorsqu'elles sont spontanées ce ne sont plus des "révolutions" mais des "insurrections". C'est à dire des émeutes populaires, généralement durement réprimées, qui n'accouchent pas de véritables changements. Une vraie révolution se prépare longuement à l'avance. La Révolution française était l'aboutissement du travail de sape entrepris en amont par ceux que l'on a appelé "les Lumières" et relayé par toutes sortes de loges. Voltaire et Montesquieu ne souhaitaient certainement pas la chute de la monarchie mais leurs émules ne se génèrent pas pour faire décapiter le Roi. On connait la suite...
Ne pas céder au découragement...
Bref, tout cela pour dire que l'avenir de notre nation et celui de notre civilisation n'e sont pas définitivement scellés. Tout peut encore arriver. Les éternels défaitistes qui insinuent que tout est foutu, et qui se conduisent ainsi comme les meilleurs alliés de nos ennemis, feraient mieux de regarder ce qui se passe. L'arrivée massive sur notre continent de prétendus réfugiés qui se conduisent en conquérants finit par exaspérer les Européens de souches. Même en Allemagne, pays dans lequel la culpabilisation à fait des ravages, le sentiment national et identitaire ressurgie alors que chacun s'accordait à penser que ce peuple était définitivement annihilé. Les récents résultats électoraux des partis patriotiques allemands et le succès grandissant des manifestations de PEGIDA étant la conséquence logique de la politique criminelle de l'extrémiste immigrationniste Merkel.
Les symptômes de la décomposition du Système sont de plus en plus nombreux. Les mondialistes pensaient détruire les identités en imposant une société de consommation standardisée et le métissage généralisé. Ils avaient sous-estimé la volonté de survie des peuples. En les gavant de bons sentiments, d'illusions démocratiques et d'idéologie des droits de l'homme, ils pensaient les avoir définitivement domptés mais leurs calculs morbides se heurtent à la réalité. C'est à dire au refus de mourir sans réagir.
Il reste cependant beaucoup de travail à faire pour que ce réveil des peuples ne soit pas qu'un dernier sursaut avant l'hallali. Nous devons intensifier nos activités et multiplier les occasions de faire passer notre message. Cela dépend de chacun d'entre vous. L'activisme des droites nationalistes et identitaires en Europe finit par donner des résultats. Depuis des décennies nous semons, aujourd'hui approche l'heure de la récolte. Plus que jamais le thème que nous avions développé lors de notre 9e journée de Synthèse nationale du mois d'octobre dernier à Rungis, "Un autre monde est possible", s'avère être d'actualité. A nous de rendre possible l'impossible.
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dimanche, 24 janvier 2016
A Calais comme à Quimper : le double fiasco de la gauche collaborationniste
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Cette fin de semaine, ce qu'il reste de la gauche et de l'extrême gauche a tenté de mobiliser pour soutenir l'arrivée massive de populations étrangères sur notre sol. En effet deux manifestations étaient organisées par l'ensemble des partis de gauche, une dizaine de collectifs grassement subventionnés, les associations anti-racistes et les quelques groupuscules d'extrême gauche encore existants.
Autant le dire tout de suite, ces mascarades qui devaient prouver au monde entier que la France "accueillante et généreuse" était toujours là ont tourné au fiasco total.
A Calais la manifestation, essentiellement composée de migrants surexcités et d'islamistes belliqueux qui n'hésitèrent pas à agresser de paisibles riverains, ressemblait plus à un mauvais carnaval tropical qu'à autre chose. Nos observateurs locaux n'ont d'ailleurs pratiquement pas repéré de Calaisiens ou d'habitants de la région parmi les quelques blancs que l'on distinguait à peine au milieu du cortège bigarré.
A Quimper, il en allait a peu près de même. Sauf que les quelques dizaines de manifestants afro-arabo-gauchistes étaient concurrencés par un magnifique rassemblement organisé par les nationalistes bretons du mouvement ADSAV. Ceux-ci montrèrent ainsi qu'il en était terminé avec l'image de région soumise aux diktats du politiquement correct qui caractérisait jusqu'à maintenant la Bretagne. Ils étaient en effet près de deux cents dans les rues de la capitale de la Cornouaille pour relever l'honneur de leur terre et défendre l'identité de leur peuple.
Les 6 et 7 février prochains, dans plusieurs villes de France, des nouvelles manifestations patriotiques auront lieux. Et par la suite ce mouvement qui s'amorce un peu partout prendra une ampleur que nous souhaitons importante. Nous entrons dans une période de reconquête. Celle-ci n'a qu'une issue possible : la victoire totale des forces nationalistes et identitaires ou bien il en sera définitivement terminé avec notre liberté et notre civilisation européenne.
Synthèse nationale apporte son soutien à toutes les initiatives qui sont prises dans ce sens par les uns et par les autres, même si nous ne partageons pas forcément toutes les positions des organisateurs de chacune d'entre elles. Il en va de notre avenir. Mobilisation générale !
Quimper, samedi après-midi, ADSAV fait face aux collabos.
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samedi, 23 janvier 2016
Immigration, islamisation, intégration... L'échec total du Système
Directeur de Synthèse nationale
Années 60, quelques revues et mouvements, comme Europe Action ou la Fédération des étudiants nationalistes, s'inquiètent de l'arrivée de milliers de ressortissants de pays africains ayant fraîchement acquis leur indépendance sur notre sol...
Juin 1973, le mouvement Ordre nouveau lançe la première campagne d'envergure pour dénoncer l'immigration sauvage. Le gouvernement de l'époque envoya ses chiens de garde gauchistes pour tenter de perturber les réunions organisées dans le cadre de cette campagne et finalement procéda à la dissolution d'Ordre nouveau...
Mars 1978, le Front national et le Parti des forces nouvelles se présentent aux élections législatives et leurs candidats inscrivent dans leurs programmes l'arrêt de l'immigration. Depuis lors, le FN n'a cessé, à chaque élection, d'amener celle-ci au cœur du débat politique...
La problématique posée par l'immigration n'est donc pas nouvelle.
Au cours des années 80, 90 et 2000, ils sont des millions à avoir quitté leurs terres d'origine pour venir s'installer dans ce qu'ils considéraient comme un Eldorado, à savoir l'Europe. Devenues majoritaires dans des zones entières de notre continent ces populations en majorité musulmanes ont, ce qui est après tout normal, importées leurs us et coutumes chez nous. Et, parmi ceux-ci, l'islam qui, quoiqu'en disent les "gardiens du temple" du politiquement correct, ne fait pas vraiment parti des fondamentaux de la civilisation européenne. Or, l'islam n'est pas seulement une simple croyance, c'est une conception globale du monde qu'il entend dominer.
Le développement en Europe de l'islamisme conquérant se traduit aujourd'hui par les carnages que l'on sait. Certains parlent, pour masquer leur duplicité, d'un "islam radical", mais ils n'ont jamais lu le Coran. Il n'y a pas un "islam radical ou un "islam modéré", il y a la volonté hégémonique d'une civilisation qui repose sur le Coran. Cette domination peut passer par la violence immédiate comme elle peut prendre le temps qu'il faut pour s'imposer, mais le résultat sera toujours le même.
Dénoncer en permanence les vrais responsables
Au delà de l'horreur et de la situation de guerre dans laquelle nous sommes plongés (c'est maintenant Hollande qui le dit), il convient, une fois de plus, de rappeler qui sont les véritables responsables. Les mahométans se sont installés en France et en Europe parce que les "élites" dirigeantes de celles-ci l'ont bien voulu. Le patronat, libéral ou démocrate chrétien, qui ne résonne que par intérêts à court terme, tout comme les syndicats, marxistes ou réformistes, qui vivent dans leurs illusions, ont vu d'un bon œil l'arrivée des immigrés. Les uns pensant avoir trouvé une main d'œuvre facile à exploiter et utile pour faire baisser les salaires, les autres croyant voir là un prolétariat de substitution capable de regonfler les effectifs de la gauche de plus en plus clairsemés. Ajoutez l'angélisme des églises chrétiennes, la lâcheté de la presse aux ordres, la démagogie des partis du Système et la repentance institutionnalisée et cela se termine par une véritable guerre ethnique dont on ne mesure pas encore vraiment les conséquences.
Et derrière tout cela, il y a la volonté de la haute finance mondialiste de transformer le monde en un vaste marché planétaire dans lequel les identités seraient broyées et l'homme réduit à l'état de consommateur docile et malléable. Cette hyper classe apatride est totalement inconsciente de ce qu'est en réalité l'islam et pense naïvement que le brassage des populations, et par conséquent leur déracinement, ne peut être que bénéfique pour ses funestes projets. Mais en attendant que leurs folles illusions se dissipent ce sont les peuples européens qui trinquent.
Les apprentis sorciers du mondialisme n'avaient pas imaginé que les islamistes seraient capables, un jour, d'exporter leurs guerre au-delà du monde arabe et de frapper au coeur des capitales occidentales. Ils ne peuvent s'en prendre qu'à eux-mêmes et ce n'est pas en faisant pleurnicher les Français qu'ils "sont Charlie" qu'ils changeront le cours des choses. D'ailleurs, plus personne ne croit dans ce type d'incantations idiotes.
Reprenons en main notre destin
Oui, dans ce domaine comme dans bien d'autres, les nationalistes ont eu raison dès le début mais le Système a préféré les matraquer que les écouter. On voit les résultats aujourd'hui. Ce n'est pourtant pas faute d'avoir sonné le tocsin !
Aujourd'hui, en France comme partout ailleurs en Europe, un vaste mouvement se lève en réaction contre cette islamisation que beaucoup trouvent de plus en plus insupportable. Notre rôle est de montrer à ces masses grandissantes qui sont les fossoyeurs de nos nations et de notre civilisation. Ce n'est pas en criant "haro" sur les immigrés que l'on changera les choses, c'est en détruisant ce Système criminel qui est prêt à sacrifier les peuples, quels qu'ils soient, sur l'autel de la mondialisation et du profit immédiat. C'est en redonnant aux pays d'origines des allogènes la capacité de se développer et en imposant une remigration que l'on mettra fin au "grand remplacement" qui s'opère depuis trop longtemps. C'est en apportant un soutien sans faille aux états laïques, comme la Syrie baasiste du Président Bachar el Assad, que l'on mettra fin à l'extension des islamistes. C'est en définissant des rapports constructifs avec la Nouvelle Russie de Vladimir Poutine que l'on mettra fin à la volonté américaine de régir la terre entière. C'est en reprenant en main notre destin que nous reconstruirons une France française forte dans une Europe européenne libre.
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samedi, 09 janvier 2016
Cologne : la police utilise les canons à eau contre les patriotes
Selon les dernières informations en provenance de Cologne cliquez ici, la police utilise ses canons à eau pour disperser les milliers de manifestants rassemblés par PEGIDA contre la barbarie imposée par les migrants le 31 décembre dernier.
Il faut en effet savoir comment procèdent les autorités allemandes quand elles veulent empêcher les patriotes de s'exprimer. C'est simple : elles incitent leurs supplétifs (antifas, gauchistes, chrétiens de gauche, verts et autres dégénérés...) à manifester le même jour, à la même heure et au même endroit que les patriotes. Ils laissent alors les deux rassemblements arriver pratiquement au contact l'un de l'autre. Et là, prétextant les heurts inévitables, ils dispersent tout le monde à coups de matraques et avec des canons à eau. Même Valls et Cazevide n'utilisent pas de si minables stratagèmes chez nous.
Il y a quelques années, avec mes amis Robert Spieler, Luc Pécharman, François Ferrier, Annick, Judith, Bertrand et quelques autres, nous avions été invités à participer, au nom de la NDP, à plusieurs rassemblements organisés par le mouvement Pro Köln contre la construction d'une gigantesque mosquée justement à Cologne. Nous avons constaté ainsi par nous mêmes les techniques sournoises de la police démocrate allemande.
La grande différence entre ces rassemblements héroïques auxquels nous étions allés en 2009 et 2010 et ce qui se passe aujourd'hui, c'est qu'à l'époque nous n'étions que quelques dizaines, quelques centaines peut être, et les gauchistes étaient des milliers alors qu'aujourd'hui c'est le contraire. L'Allemagne nationale et populaire se réveille alors que les supplétifs de la haute-finance mondialiste que sont les provocateurs d'extrême gauche ont du mal a rassembler quelques douzaines de déchets camés, islamistes en herbe et autres protestants progressistes pour donner bonne conscience à Merkel et sa clique immigrationiste.
Roland Hélie
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mercredi, 16 décembre 2015
Cambadélis manque cruellement de culture politique : l'Alliance populaire a déjà existé
Jean-Christophe Cambadélis, conscient de la mauvaise passe dans laquelle le PS est tombé, essaye de faire preuve d'imagination pour sauver celui-ci de la faillite. Il pense même avoir trouvé la solution et il ne parle que de cela depuis lundi matin : le salut viendra de... l'Alliance populaire (cliquez là). Voilà une bonne idée, mais quel dommage que nous ne l'ayons pas connu trente ans plus tôt ce Cambadélis.
Si l'ex-trotskiste ne manque pas d'inspiration, visiblement il manque de culture politique. Il faut en effet savoir que l'Alliance populaire, hélas souvent oubliée aujourd'hui (accordons-lui cela), fut la deuxième scission d'envergure du Front national depuis sa création en 1972. La première étant celle du Parti des Forces nouvelles en 1973 (cliquez ici) et la troisième celle du MNR en 1998.
L'Alliance populaire, pour votre gouverne, exista de 1992 à 1996 (elle se transforma alors en Parti national républicain avant de disparaître en 1999). Son Président était Jean-François Touzé et son Secrétaire général... Roland Hélie. Elle fut le premier mouvement nationaliste a appeler à voter NON au Traité de Maastricht lors du référendum de septembre 1992. Aux élections législatives de 1993, elle présenta une centaine de candidats à travers la France et il en fut de même lors des cantonales de l'année suivante. L'AP, dans un souci de rassemblement, appela même à voter Jean-Marie Le Pen à la présidentielle de 1995. Bien que parfois encourageants, ses résultats ne lui permettaient cependant pas d'exister politiquement face au FN. L'Alliance populaire, c'était du MNR avant l'heure en quelque sorte...
Son histoire, brève mais intense, reste à écrire. Ce pourrait d'ailleurs être le thème d'un prochain Cahier d'Histoire du nationalisme. Jean-Christophe Cambadélis pourra ainsi le lire et faire preuve d'un peu plus de jugeote lorsqu'il voudra changer le nom de son parti moribond.
Synthèse nationale
Affiches et tracts de l'AP collées lors des législatives de 1993. Pas vraiment dans le style Cambadélis...
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mardi, 15 décembre 2015
Le bal des cocus
Le billet de Patrick Parment
Les Français, une fois de plus, ont décidé de ne pas franchir le Rubicon. Après un pas en avant, deux pas en arrière. Il y avait là, pourtant, matière à confirmer le peu d’estime qu’ils manifestent à l’égard de leur classe politique. Une fois de plus, les Français ont cédé aux incantations mensongères des parti politiques. Une fois de plus, ils seront cocus. Car, comme n’ont pas manqué de le relever quelques observateurs avertis, seul 2017 préoccupe le camarade Hollande. Et jouer la fausse carte du républicanisme n’était qu’un piège dans lequel seul un Jean-Pierre Masseret n’est pas tombé. Hollande n’a qu’une idée en tête, décrédibiliser la droite, et Sarkozy en particulier, de manière être le seul à affronter Marine Le Pen au second tour des présidentielles. Car il est désormais acquis que le Front national est un parti de premier tour.
Une fois de plus, et à son corps défendant cette fois, le Front national a fait le jeu des socialistes en leur permettant de conserver quatre des sept conseils régionaux en leur possession. Si l’Aquitaine, le Centre, la Bourgogne et le Languedoc ne sont pas passés à droite, c’est bien en raison des scores du Front national qui a caramélisé le candidat de la droite ripoux. Autre leçon de ce scrutin, le « peuple » de gauche s’est bel et bien mobilisé, venant renforcer le clan des cocus.
Au final, qu’ont gagné les Français dans cette élection ? Rien. Si ce n’est de faire monter la pression du Front national afin de titiller cette classe politique qui ne semble guère les satisfaire.
Trois sujets – parmi d’autres – inquiètent les Français : l’immigration, l’emploi et la perte de notre d’identité.
En matière d’immigration, ce que les Français supportent de moins en moins, c’est le laxisme des autorités vis-à-vis des musulmans ou plutôt d’un islam qu’on laisse s’installer au mépris de nos racines judéo-chrétiennes et d’une charia qui devient le code dominant de trop nombreuses banlieues des grandes et moyennes agglomérations. Toute la bande de pseudo laïcards, francs-maçons et consorts qui baissent leur froc devant toute forme de communautarisme tout en nous donnant des leçons de laïcité, est proprement insupportable.
L’autre mensonge, c’est l’emploi. Qu’ils soient de gauche ou de droite, nos gouvernements successifs n’ont eu de cesse que de casser nos outils industriels. Si Pechiney en est le symbole, Areva pourrait en être un autre. Et ceci n’est que le fait d’énarques incompétents qui grouillent à Bercy et à la tête des entreprises d’Etat. Ils sont servis par un patronat dont Pierre Gattaz, après Laurence Parisot, est l’illustre figure de la médiocrité.
Tous les économistes tant soit peu lucides, le disent : il existe des solutions que nos gouvernants s’obstinent à ne pas mettre en œuvre.
Toute course à l’emploi passe par une réforme de notre système éducatif, non pas sur la base d’un égalitarisme à la Najat Belkacem, mais sur la valorisation de l’enseignement professionnel. L’avenir, ce ne sont pas les grosses boîtes mais l’enrichissement du tissu de PMI-PME et des artisans. C’est le maintien de la sélection à l’école afin de former les élites dont notre pays à besoin et dont les grandes écoles sont encore le reflet. Pour combien de temps encore ? L’école, c’est le ciment qui forge la nation.
Enfin, la perte d’identité. Les Français ne se reconnaissent plus dans le flou qu’est devenu la nationalité française ouverte à toutes les maternités. Ils ne se reconnaissent plus dans l’enseignement donné à leurs enfants. Ils ne se reconnaissent plus dans un ailleurs qu’on leur impose au détriment du bonheur d’être ici. Ils se posent la question de savoir ce que signifie cet « être Français » qui fut la fierté de leurs parents.
Mais les Sarkozy, Valls et Hollande ont les yeux rivés sur 2017. Français, une fois de plus, vous êtres cocus !
PS : Le Front national n’est pas la solution à tous nos maux. Il en reste néanmoins l’amorce.
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mercredi, 05 août 2015
De plus en plus pathétique : EN TRADUISANT SON FONDATEUR DEVANT LA COMMISSION DE DISCIPLINE LE FN PERD SA RAISON D'ETRE
Marine Le Pen a décidé de convoquer son père, Jean-Marie Le Pen, devant la commission de discipline du Front national. L'affaire continue à s'enliser et les tenants du Système se régalent. L'obstination de l'actuelle direction du FN à vouloir liquider le "père fondateur" pour devenir un parti comme les autres commence à friser le suicidaire.
Le FN, depuis sa création en 1972, s'est toujours revendiqué comme étant l'incarnation politique de la Droite nationale, sociale et populaire. C'est sur cette ligne qu'il s'est imposé au fil du temps comme un parti crédible capable de proposer le renouveau face à la déchéance dans laquelle les gouvernements successifs ont fait plonger la France.
La prise de conscience récente par une partie grandissante de notre peuple des dangers qui menacent l'existence même de notre nation, et au-delà de celle-ci notre civilisation, fait que, plus que jamais, le développement d'une force nationaliste et radicale offensive contre le Système est nécessaire si l'on veut libérer la France du carcan mondialiste.
Or, en cherchant à devenir un parti "respectable" et respectueux qui ne cesse de donner des gages au Système, le FN s'éloigne de plus en plus de sa vocation a être cette force alternative. En devenant un parti docile et compatible, il perd finalement toute sa raison d'être.
Synthèse nationale
Texte du communiqué de Jean-Marie Le Pen cliquez ici
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lundi, 27 juillet 2015
Le flop de SOS Racisme à Reims
Suite à l'agression dont a été victime une jeune femme, qui se faisait bronzer en maillot de bain dans un parc de Reims en fin de semaine dernière, par une bande de "chances pour la France", l'officine anti-nationale SOS Racisme, largement stipendiée par les municipalités grâce à l'argent des contribuables, avait appelé à un rassemblement citoyen sur les lieux du méfait.
SOS Racisme ne doute de rien et on allait voir ce qu'on allait voir. Toute la presse aux ordres, dans un unanimisme touchant, a salué cette initiative qui devait faire prendre conscience que les Français, dans leur immense majorité, ne faisaient "pas d'amalgame"...
Comme l'atteste la photo de ce rassemblement des bonnes consciences venues de toute la région Champagne-Ardennes, SOS Racisme a fait un flop. Une demi-douzaine de laiderons s'est exhibée devant les caméras en tentant de faire croire que c'était au nom de la France entière que cette démonstration pathétique se déroulait.
Décidément, à part les larbins de la presse du Système, SOS Racisme n'intéresse plus personne. Mêmes les mateurs lubriques ne se sont pas déplacés...
Synthèse nationale
Sur SOS Racisme cliquez ici
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samedi, 11 juillet 2015
Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, lâchement agressé en plein Paris
Notre confrère et ami Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, vient d’être victime d’une odieuse agression en plein Paris.
Lâchement, des individus aux origines indéterminées l’ont frappé et ont diffusé sur les réseaux sociaux le film de leur méfait. Fort heureusement Jérôme Bourbon a réussi à leur échapper rapidement, limitant ainsi les blessures que ses agresseurs voulaient lui infliger.
Depuis qu’il dirige l’hebdomadaire de l’opposition nationale et européenne, Jérôme Bourbon maintient une ligne radicale et refuse toutes compromissions avec le Système. On peut ne pas être d’accord avec lui mais force est de reconnaître son courage et sa rectitude idéologique. Il sait que ses prises de position ne sont pas toujours du goût de tous et il n’ignore pas les risques qu’il prend, que ceux-ci soient judiciaires ou physiques. L’agression dont il vient d’être la cible en est la preuve flagrante. C'est, hélas, le prix à payer lorsque l'on veut rester libre et debout.
Enfin, je vous laisse imaginer les réactions d’indignation de la part de l’intelligentsia politico-médiatique si, à la place de Bourbon, s’était fait agresser un quelconque plumitif de la pensée unique.
Synthèse nationale adresse à Jérôme Bourbon, et à toute l’équipe de Rivarol, le témoignage de sa totale solidarité militante.
Roland Hélie
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mercredi, 13 mai 2015
Contre le Système : devoir de dissidence !
Directeur de Synthèse nationale cliquez là
Editorial du n°39 de la revue Synthèse nationale
Nous l’avons rappelé à maintes reprises dans cette revue, le choix est le suivant : soit on se soumet à la volonté des castes dirigeantes actuelles et on accepte comme une fatalité que la nation française et l’identité européenne se diluent dans un vaste magma aux dimensions planétaires dans lequel l’homme ne serait plus qu’un consommateur déraciné juste bon à enrichir les comptes des groupes financiers dont les sièges sont le plus souvent établis outre-Atlantique, soit on refuse.
Si vous acceptez, c’est simple. Vous vous contentez du prêt à penser ressassé à longueur de journée dans les médias ou à l’école où l’on vous explique que le monde doit être unifié, pacifié, métissé et asexué ; que vous devez consommer tel ou tel produit, vous habiller avec telle ou telle marque et admirer tel ou tel spectacle ; que vous devez voter pour tel ou tel parti à condition bien sûr que ceux-ci disent à peu près tous la même chose. Bref, votre vie sera parfaitement programmée et encadrée et gare aux dérapages...
En acceptant cette logique de soumission, vous vous contenterez d’être l’égal des autres, de faire la même chose qu’eux, de vivre comme eux, de raisonner comme eux... Mais c’est tellement plus confortable de penser et consommer comme tout le monde puisque, ainsi, personne ne viendra vous contredire.
Mais, il y a un envers à cette médaille. En renonçant à toutes critiques du Système, vous êtes condamnés à accepter docilement toutes ses folies.
Ne vous plaignez pas
Lorsqu’une assemblée d’actionnaires avides ou un aéropages de hauts-fonctionnaires apatrides décident, au nom du profit immédiat, d’éliminer un secteur entier de l’économie d’un pays, engendrant ainsi des milliers de chômeurs en plus avec tous les drames que cela peut entrainer, il ne faut pas se plaindre…
Lorsqu’un gouvernement, composé de gens qui pour certains d’entre eux ont acquis la nationalité française depuis peu, décide, sans se soucier un instant des multiples agressions dont sont victimes quotidiennement des dizaines de milliers de Français de souches, de débloquer des sommes ahurissantes pour combattre un racisme et un antisémitisme fantasmé et cela afin que les juifs et les musulmans puissent vivre tranquilles en France, il ne faut pas se plaindre…
Lorsque des technocrates peu scrupuleux décident de souiller définitivement une grande partie de nos magnifiques paysages en implantant un peu partout d’horribles éoliennes dont l’utilité et la productivité énergétique restent à prouver, il ne faut pas se plaindre…
Si vous regardez de plus près ce qui vous sont proposés, vous vous rendez vite compte que les produits qu’on vous invite à consommer proviennent presque toujours des mêmes multinationales, que les partis pour lesquels il est de bon ton de voter défendent pratiquement la même politique, que les livres qui jouissent d’une promotion médiatique vont toujours dans le sens des idées à l’endroit, que toutes les chaines de télévision et toutes les radios divulguent le même message… La société de consommation d’aujourd’hui a, finalement, exactement les mêmes caractéristiques que les dictatures marxistes d’hier. Les dazibaos ont été remplacés par le journal de 20 h et les défilés du 1er mai par les marches blanches incontournables après chaque fait divers où l’émotionnel est de rigueur. Il n’y a finalement que l’emballage qui a changé. Le Système est prêt à tout pour imposer sa conception globalisée du monde.
Pour notre part, nous refusons cette réduction uniformisée et aseptisée de l’Humanité. Et, ces temps derniers, nous avons l’impression d’être de plus en plus nombreux dans ce cas.
Les symptômes de la rébellion
En effet, en France et un peu partout en Europe les symptômes de la rébellion se multiplient. Ceux-ci prennent des formes multiples et diverses. Que ce soit dans les rues, avec les manifs contre l’immigration en Allemagne ou en Italie qui rassemblent des foules impressionnantes, ou dans les urnes, avec les résultats jamais égalés ici et là des formations nationales ou prétendues telles. On assiste à une prise de conscience des Européens de la nécessité de reprendre en main leur destin contre la volonté d’un Système qui repose sur la pensée unique. Cela porte un nom, ça s’appelle « la dissidence » !
Cette dissidence, depuis des décennies, nous autres nationalistes et identitaires la souhaitons et la préparons.
Nous la souhaitons car nous avons toujours refusé de nous soumettre au mondialisme assassin des nations et des identités. Nous ne voulons pas voir nos peuples d’Europe disparaître dans ce grand brassage que l’écrivain Renaud Camus a appelé si justement « le grand remplacement ». Et lorsque nous disons cela, c’est sans aucun mépris pour les autres peuples qui eux-mêmes, par voie de conséquences, seraient aussi amenés à subir le même triste sort.
Nous la préparons car nous savons que nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes. Face à la tyrannie sournoise du pouvoir, face à son arsenal répressif, face à ces moyens colossaux et à sa panoplie de mensonges, nos modestes revues, nos mouvements souvent éphémères, nos groupes de camarades ne représentaient pas grand-chose. Et pourtant leur travail de fourmi commence à avoir des résultats. A force de répéter inlassablement la vérité, celle-ci finit par être écoutée. Maintenant, elle doit être entendue. La paupérisation galopante, l’intensification des flux migratoires, le développement de l’insécurité, l’implantation en profondeur sur notre terre de l’islam, la disparition progressive de ce qui faisait la spécificité de la France… tout cela, nous l’avions annoncé depuis longtemps. Les événements nous donnent chaque jour de plus en plus raison.
Faire l’Europe pour refaire la France
Depuis sa création, en novembre 2006, Synthèse nationale a toujours combattu pour la renaissance d’une France française dans une Europe européenne. Nous voulons une Europe dégagée de l’influence économique et politique des lobbys mondialistes, une Europe qui renoue avec ses traditions et son identité, une Europe qui retrouve sa force, sa vitalité et sa place majeure par rapport aux autres blocs existants ou émergeants. Revendiquer aujourd’hui un tel projet peut sembler totalement chimérique… Et pourtant, lorsqu’en 1974 Alexandre Soljenitsyne se battait pour la chute de l’Union soviétique et la renaissance de la Vieille Russie, beaucoup le prenait pour un illuminé. On connaît la suite…
Soljenitsyne était un dissident. Nous sommes des dissidents. Pour sauver notre nation et notre civilisation la dissidence est un devoir. La dissidence finit toujours par l’emporter. Le combat continue.
Traduit et publié en Norvège cliquez ici
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mercredi, 06 mai 2015
Pour en finir avec le pseudo « islamo fascisme »…
Article publié dans
le n°39 (avril mai 2015)
de Synthèse nationale
Les tueries qui, au début du mois de janvier, ont ensanglanté les locaux de Charlie Hebdo et une supérette kasher du XIIe arrondissement de Paris ont suscité une légitime émotion. Emotion qui fut vite récupérée par les stratèges du pouvoir en place et transformée, en quelques heures, en une remarquable manipulation.
A peine les terroristes refroidis, la France se devait d’être unanimement, pour ne pas dire obligatoirement, « Charlie ». Et pour guider cette nouvelle « France Charlie » on pouvait compter sur la détermination de nos politicards qui, de Hollande à Sarkozy, ont toujours fait preuve, comme chacun sait, d’une remarquable clairvoyance face à l’islamisme conquérant. Et si, par malheur, cette évidence vous avait échappée, c’est sans doute parce que vous êtes un fasciste ou, pire encore, un « islamo fasciste ».
Le mot est lâché, le concept est né : l’« islamo fascisme » est le nouvel ennemi de la démocratie qu’il faut abattre à tout prix.
Mais que diable le fruit de la glorieuse pensée mussolinienne vient-il faire dans cette galère ?
On le sait depuis 1945, le fascisme est le mal absolu. On nous l’a enseigné à l’école, on nous le rabâche tous les jours dans les journaux et tous les soirs à la télévision et si, par ignorance ou par bravade, certains venaient à en douter, la Justice est là pour le leur rappeler.
Mais l’islam, jusqu’à ces dernières années, n’était pas, aux yeux de nos démocrates sincères, une idéologie condamnable. Bien au contraire. Il n’y a pas si longtemps que cela, Hollande et sa clique, à l’instar de Sarkozy pour la Libye, clamaient haut et fort qu’il fallait écouter Monsieur Lévy (Bernard-Henri) et armer les gentils rebelles islamistes en Syrie contre « l’ignoble régime fasciste et laïque de Bachar el Assad ». Et puis, sans aller aussi loin, ne sont-ce pas les mêmes démocrates qui, toutes étiquettes confondues, dans les villes où ils sont aux commandes, autorisent et subventionnent la construction de mosquées, favorisant ainsi l’implantation durable de l’islam sur notre sol ? Face à une telle évidence pour le moins gênante, il fallait trouver une parade. Ce fut vite chose faite avec la formule magique : « pasdamalgame »…
Pas d’amalgame lorsqu’il s’agit de confondre les musulmans et l’islam conquérant mais vive l’amalgame lorsque l’islamisme devient subitement l’islamo fascisme.
Comparer l’islamisme au fascisme est facile, confortable, peut-être même émouvant, mais, qu’on le veuille ou non, totalement inepte. Dans un magnifique article récemment publié par notre excellent confrère Metamag (1), le pertinent Raoul Fougax remet les pendules à l’heure.
Nous en reproduisons ici les principaux extraits :
On les voit venir avec leurs gros sabots. Nos dirigeants, de gauche et de droite d’ailleurs, se veulent des enfants de la résistance au fascismo–nazisme. C’est leur référence absolue. Il ne peut y avoir de mal plus grand que le fascisme dont le nazisme est un avatar. Combattre l’islamisme radical aujourd’hui, c’est donc continuer le combat des démocraties contre le fascisme. (…)
C’est bien sûr totalement faux. C’est juger le présent par rapport au passé de la même manière que l’on juge le passé par rapport aux valeurs du présent. L’anachronisme est une sclérose qui empêche l'analyse. C’est une maladie de l’intelligence.
Le décor est ainsi planté et Fougax précise les choses :
Le fascisme n’a jamais été un obscurantisme. Un totalitarisme oui, un obscurantisme non. Le fascisme n’a jamais été une lecture fanatique d’une religion monothéiste, souvent bien au contraire.
Le fascisme certes cultive le culte du passé mais dans une démarche progressiste. Le fascisme est un socialisme, pas un traditionalisme. Il veut moderniser en valorisant le passé, il invoque la longue mémoire de l'histoire, il ne veut pas ramener la société au comportement de temps révolus.
Et les remet dans le contexte du Monde arabe :
Dans les pays musulmans de plus, le fascisme a toujours été un anti-islamisme, c’est vrai de la Turquie kémaliste comme de l’Egypte nassérienne. La laïcité dans les pays musulmans a été un fascisme non avoué et c’est l'échec de ces régimes totalitaires laïcs, notamment face au sionisme, qui explique la montée d’un islamisme anti-israélien devenu en Europe un nouvel antisémitisme. Vouloir par confort intellectuel ramener tout antisémitisme au fascisme pour, en fait, exonérer les islamistes et donc l’islam de ce péché raciste majeur pour nos dirigeants est une stupidité dangereuse.
Il y a un nouvel antisémitisme qui est un islamisme et qui est lié au terrorisme qui frappe les juifs, pas que des juifs mais tous ceux qui sont des impies au regard des égorgeurs du sectarisme djihadiste. On peut parler d’islamo-sectarisme, car on a à faire à une secte musulmane issue de l'islam. Mais parler d’islamo-fascisme est une désinformation historique par aveuglement idéologique.
Les fascistes n’ont jamais été des islamistes et les islamistes ne sont pas des fascistes. Ils sont des obscurantistes musulmans sans lien avec les racines européennes et sociales du fascisme. (…)
Et Raoul Fougax conclue avec raison :
Ils ne veulent pas restaurer la grandeur de Rome comme le Duce. Ils veulent une mosquée à la place de St Pierre au Vatican. (...)
Ceux qui conseillent l'amalgame islamisme et fascisme pour lutter, on l'a bien compris, contre l'amalgame islamisme-islam sont des malhonnêtes et surtout des apprentis sorciers.
Tout est dit…
Les mots ont un sens et Charles Maurras nous a enseigné qu’« une virgule à sa place, c’est déjà une victoire contre le chaos… ». Comparer l’islamisme au fascisme est une contrevérité que les militants anti-islamiste devraient bannir de leur vocabulaire.
Et que l’on ne nous brandisse pas la prétendue fascination que certains chefs nazis auraient éprouvée pour le Coran. A cet argument fallacieux, il est facile de rétorquer la collusion entre les mêmes nazis et certains ultra-sionistes avant et pendant la Deuxième Guerre mondiale. Mais tout cela relève d’une période révolue. Les alliés actuels de l’islamisme ne sont pas les fascistes mais bel et bien les démocrates mondialistes, au premier rang desquels on retrouve les adeptes de « Nous sommes tous Charlie », qui, avec leurs politiques imbéciles, ont tout fait pour que celui-ci se développe en France et en Europe.
(1) metamag.fr
Photo en tête d'article : Peinture liée à l'art fasciste de Alfredo Gauro Ambrosini , peintre futuriste. Il représente le visage du Duce, superposé à la Rome des César (œuvre de 1930). L'islamisme, pour sa part, détruit l'art.
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lundi, 23 mars 2015
Le discrédit des partis du Système...
En ce lendemain du premier tour des élections départementales, puisque c’est ainsi qu’il faut maintenant appeler les cantonales, quel constat pouvons-nous faire ?
Hier soir les journalistes et analystes qui se succédaient sur les plateaux avaient l’air plutôt rassurés. Leur France (celle qui se veut républicaine et ouverte à tous) échappait de justesse au pire : le FN n’arrivait pas en tête comme les sondages semblaient le prévoir.
Ainsi, dès que les premières estimations furent annoncées, le pathétique Manuel Valls, sans doute plus compétent pour gazer et embastiller ses opposants que pour sauver la mise du Parti socialiste, s’empressa de faire croire que celui-ci n’était pas en si mauvaise forme que ses résultats l’indiquaient (il fallait oser…) et de rabâcher la vieille ruse usée du sempiternel « Front républicain ».
A peine Valls avait-il fermé son clapet que Sarkozy, « le sauveur » inattendu, apparaissait sur les écrans avec l’air plutôt satisfait de celui qui revient de loin. Il proclama, avec la solennité qui s’impose et au cas où cela aurait encore échappé à certains, que l’UMP n’avait rien de commun avec le Front national. Cela va sans dire, mais ça va mieux en le disant… En réalité, si l’UMP arrive en tête c’est parce qu’elle bénéficie de l’implantation de nombreux notables « divers droite » ou indépendants locaux qui, grâce au réel travail des uns ou au clientélisme des autres, enregistrent généralement des bons résultats dans les cantons ruraux.
En fait, même si le FN n’atteint pas les scores annoncés par les sondeurs, il n’en demeure pas moins que celui-ci confirme ses résultats là où il est traditionnellement fort et qu’il les renforce dans ce qu’il est convenu d’appeler « la France profonde ». Le déplacement d’un nombre croissant des habitants des villes vers la campagne expliquant en partie cette nouvelle donne.
Il convient aussi de noter, même si cela est marginal compte tenu du nombre restreint de candidats, les scores non négligeables obtenus ici et là par le Parti de la France, la Ligue du Sud ou encore Alsace d’abord.
Quoi qu’il en soit, et quoi qu’en disent les chiens de garde du Système, ces élections prouvent que l’exaspération croissante de notre peuple se traduit par un vote de plus en plus affirmé pour la Droite nationale. Les partis en place sont discrédités. Les résultats de dimanche prochain confirmeront sans doute cette tendance.
Synthèse nationale
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mercredi, 25 février 2015
Le supporter de Chelsea est un militant des droits de l'homme.
Une fois de plus on aura tout entendu après l'altercation qui a opposé dans le métro parisien un homme d'origine semble-t-il africaine (cf. médaillon) et des supporters anglais venus assister à un match de foot. Toute la bienpensance institutionnalisée y est allée de son petit couplet de pleurnicheries sur fond de retour "aux heures les plus sombres..." bref, vous connaissez la suite...
Manque de chance pour les donneurs de leçons, il s'avère que l'agresseur n'est pas, loin s'en faut, un skin raciste du National Front imbibé de bière... il s'agit d'un ancien flic (tout de même) "militant des Droits de l'homme". Comme quoi "le mal" va se nicher partout...
Après l'antifa profanateur de tombes juives de Sarre-Union, ce nouveau méfait inqualifiable nous amènerait presque à nous interroger sur la nécessité de dissoudre les associations humanitaires. Après tout, Valls en a dissout d'autres pour moins que cela.
En attendant, il serait temps que les "démocrates sincères", si pointilleux lorsqu'il s'agit de calomnier les patriotes, fassent un peu de ménage dans leurs écuries nauséabondes.
Synthèse nationale
14:06 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 30 janvier 2015
Dresde, l’Allemagne, l’Europe…
Directeur de Synthèse nationale
Il y a quelques années, ce devait-être en 2010 et en 2011, avec Robert Spieler, François Ferrier, Luc Pécharman et plusieurs camarades français, espagnols et flamands, nous avons participé à Cologne à plusieurs manifestations contre la construction dans cette ville rhénane de ce qui devait être alors la plus grande mosquée d’Europe. Ces rassemblements se tenaient dans le cadre de la campagne européenne « Les Villes contre l’islamisation » conçue par Filip Dewinter, porte-parole du Vlaams belang. Ils étaient organisés par le mouvement Pro-Köln fondé par deux avocats de talent, Markus Beisicht et Markus Vinner.
Tout cela partait d’un bon sentiment mais ces mobilisations eurent un succès plutôt limité. Nous n’étions que quelques centaines à battre le pavé, entourés d’impressionnantes forces de police et face à des meutes hurlantes de gauchistes hirsutes comme on en voit presque plus chez nous depuis bien longtemps. Je gardais de ces voyages outre Rhin l’amère impression que le peuple allemand était un peuple définitivement anesthésié, incapable de réagir face au développement sur sa terre d’une civilisation, l’Islam, qui lui était jusqu’alors totalement étrangère. Et pourtant…
Et pourtant en politique il ne faut jamais désespérer. En effet, depuis l’automne dernier nous assistons au développement spectaculaire à travers toute l’Allemagne d’un vaste mouvement populaire d’opposition à l’islamisation du pays. Tout commença à Dresde un lundi soir d’octobre où quelques habitants se sont rassemblés pour dire « NON à l’immigration, OUI à l’Allemagne allemande ». Certes, ils n’étaient pas nombreux mais ils ne se sont pas découragés pour autant. Depuis, de lundi en lundi, le mouvement n’a pas cessé de s’amplifier et quelques jours avant Noël ils étaient 17 500 à participer à ce rassemblement hebdomadaire. Dans le même temps, des initiatives similaires se multipliaient un peu partout dans le pays, et pas seulement dans l’ex RDA. à Munich, à Bonn, à Düsseldorf, à Hambourg, et même à Cologne (comme quoi) des milliers d’Allemands viennent gonfler les cortèges.
Evidemment, toute la presse européenne a essayé de passer sous silence ce phénomène inimaginable il y a encore quelques années. Ce d’autant plus qu’à Milan, en novembre, des dizaines de milliers de lombards se sont aussi rassemblés sur la Piazza del Duomo pour crier leur volonté de résister à l’invasion. Il en fut de même en Calabre, à Rome et dans de nombreuses villes italiennes. En France aussi, à Calais plus précisément, sous l’impulsion d’un groupe de jeunes gens un collectif « Sauvons Calais ! » s’est créé et a déjà manifesté à plusieurs reprises contre la présence dans ce qui était jusqu’à ces dernières années une paisible cité portuaire de milliers de clandestins qui empoisonnent l’existence des habitants. Une nouvelle manifestation est prévue fin janvier dans cette ville. Aujourd’hui il n’est plus possible d’ignorer, ou de faire semblant d’ignorer, ce réveil des peuples.
Pour nous, militants nationalistes et identitaires, ces événements ne sont pas vraiment surprenants. Nous savons qu’un jour ou l’autre le ras le bol finira par engendrer la colère un peu partout en France et en Europe. Nous savons que ce Système mondialiste qui asservit nos peuples n’est pas éternel et que sa volonté monstrueuse d’anéantir les nations et les civilisations se heurtera vite à ce qui pourrait se comparer à une révolution.
Actuellement nous n’en sommes qu’à la phase de la prise de conscience. Il reste beaucoup de travail à faire pour que les esprits soient mûrs. Comme nous l’avons expliqué lors de notre 8e Journée nationaliste et identitaire qui s’est déroulée le 12 octobre dernier à Rungis près de Paris, « Nations » et « Civilisations » sont des mots qui pour nous veulent encore dire quelque chose. Le combat que nous menons est donc loin d’être terminé. Tous nos efforts sont justifiés. 2015 s’annonce donc pour Synthèse nationale comme une année chargée.
* Editorial du n°38 de Synthèse nationale (janvier-février 2015) cliquez ici
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jeudi, 08 janvier 2015
Une certaine dose de perversion quand même...
Directeur de Synthèse nationale
Depuis l’annonce du massacre qui s’est déroulé dans les locaux de Charlie hebdo, le 7 janvier, on assiste à un concert de réactions presque toutes aussi dégoulinantes de niaiseries et d’irresponsabilités les unes que les autres. Toute la classe politico-médiatique y va de son couplet rappelant à qui veut encore l’écouter que cet attentat ne doit pas engendrer « des amalgames douteux » ou encore que « l’islam est une religion de tolérance qu’il ne faut pas confondre avec les tueurs fanatisés ». De Hollande à Sarkozy en passant par Juppé et autres Filippetti, chacun rivalise dans le compassionnel de circonstance et les bons sentiments de vierges effarouchées.
Toutes ces simagrées ne doivent pourtant pas nous faire oublier l’énorme part de responsabilité que portent ces gens dans la situation actuelle. A force de refuser de voir les réalités en face, ceux qui sont sensés depuis des décennies diriger notre pays, qu’ils soient de la droite molle ou de la gauche dogmatique, par confort intellectuel ou par soumission à la volonté mondialiste de broyer les identités, ont créé les conditions du carnage qui nous attend. Ils ont bonne mine aujourd’hui d’appeler à « l’unité nationale » alors qu’ils ont tout fait (et qu’ils continueront à tout faire) pour détruire notre nation et anéantir notre civilisation.
Depuis cinquante ans les nationalistes sonnent le tocsin. Nous ne cessons de prévenir que l’importation sur notre sol d’une masse de gens déracinés qui ont une toute autre approche des choses que la nôtre ne peut entrainer à terme que des problèmes graves. Lorsque nous disons cela, je précise que c’est sans aucun mépris pour quiconque. Toute civilisation est respectable chez elle, à condition qu’elle reste chez elle. L’islam est peut être une religion adaptée aux pays où il a prospéré mais il se trouve qu’ici, en France, nous sommes en Europe, terre de tradition helléno-chrétienne hérissée de cathédrales et de beffrois sur laquelle il n’a pas vocation à se développer.
Mais l’immigration massive et incontrôlée n’est pas la seule raison que nous ayons d’imputer à la classe dirigeante la responsabilité du développement du terrorisme islamique. Depuis une trentaine d’années les gouvernements successifs, et leurs chiens de garde que sont les journalistes aux ordres, se sont tous alignés servilement (à l’exception de Villepin au moment de la seconde guerre du Golfe, reconnaissons-le) sur la volonté américaine de déstabiliser le monde arabe. De l’Irak à la Lybie et de l’Egypte à l’Afghanistan, chacun a pu constater « la brillante réussite » de cette politique hasardeuse imposée par les lobbys et légitimée par quelques donneurs de leçons patentés. Le dénommé Bernard-Henri Levy étant un étalon en la matière. Cette politique belliciste continue à faire des ravages en Syrie aujourd’hui.
Revenons à l’attentat qui a visé Charlie hebdo. Cela étonnera peut être certains mais nous aussi nous avons un cœur et, par conséquent, nous partageons la peine des proches des victimes de la tuerie. Cela étant dit, je n’aime pas Charlie hebdo (1). Ce journal réputé satirique est en fait très conforme au « politiquement correct ». Lorsqu’il s’en prend à l’islam, c’est avant tout pour des raisons sociétales. Il refuse de reconnaître la dimension ethnique qui nous en sépare. L’esprit dans lequel les caricatures de Mahomet ont été publiées il y a quelques années ne pouvait qu’à un moment ou un autre entrainer des représailles de la part des islamistes. Ce moment est hélas arrivé. C’est triste, mais c’est ainsi.
Quoiqu’il en soit, il faudra un jour nous expliquer comment d’un côté on se permet d’insulter une croyance quelle qu’elle soit et que de l’autre on favorise l’implantation de celle-ci sur notre sol. Il doit y avoir une certaine dose de perversion chez ces gens là...
Note
(1) Un bémol cependant : je n’oublie pas qu’en juin 2013, au moment de l’affaire Esteban/Méric, Charlie hebdo avait publié un article, signé du politologue Jean-Yves Camus, allant à contre-courant des trombes d’insultes déversées alors sur les nationalistes.
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dimanche, 15 juin 2014
Traité transatlantique : la grande arnaque !
Les citoyens des Etats de l’Union européenne ignorent pour la plupart l’existence du Traité transatlantique étant donné le silence des médias. Si d’aventure ce fameux traité aboutissait, ce serait comme une deuxième mort de l’Europe étant donné que les multinationales pourraient faire la pluie et le beau temps sur le continent au mépris des instances démocratiques. Le plus grave dans cette affaire est que ce sont une nouvelle fois les autorités européennes qui ont imposé aux Etats, sans débat préalable, un projet de négociation avec les Etats-Unis et le Canada visant à unifier les règles des deux côtés de l’Atlantique. Aucun Etat important de l’Union n’a demandé de clarification préalable. Mais le projet a reçu le soutien du Royaume-Uni, fidèle coéquipier des Etats-Unis et de l’Allemagne que la crise de la zone euro a placé en position décisionnaire du système européen.
On se demande bien pourquoi, les Etats-Unis et Allemagne militent pour ce traité alors que les droits de douane sont tombés à un niveau si bas qu’ils n’entravent en rien les échanges commerciaux ?
Les Etats-Unis ont réagi avec pragmatisme à la crise économique de 2008 : ils ont baissé les salaires des employés des catégories pauvres et modestes et recréé ainsi des millions d’emplois détruits. Les coûts bas du travail américain ont donné des idées aux grands groupes industriels allemands qui souhaitent produire aux Etats-Unis non plus seulement pour le marché américain mais aussi pour la réexportation vers l’Europe. Volkswagen, Daimler-Benz et BMW, fortement installés dans les Etats américains du Sud, envisagent de développer leur production au Tennessee ou en l’Alabama pour servir leur clientèle européenne avec de plus fortes marges ! Cette logique libérale est décidément bien tordue.
Par ailleurs, l’enjeu porte sur ce que les acteurs de la politique commerciale nomment les « obstacles tarifaires ». Cet obscur objet du désir désigne en fait les normes, sanitaires, environnementales ou celles liées à la protection des données personnelles, fortement divergentes des deux côtés de l’Atlantique pour des raisons évidemment culturelles.
Ce traité prévoit donc que les législations en vigueur tant en Amérique qu’en Europe se plient aux normes du libre-échange établies par et pour les grandes entreprises européennes et américaines, sous peine de sanctions commerciales pour le pays contrevenant, ou d’une réparation de plusieurs millions d’euros au bénéfice des plaignants. En premier lieu les multinationales.
Ce projet de grand marché américano-européen est porté depuis de longues années par le Dialogue économique transatlantique, un lobby connu sous le nom de Trans Atlantic Business Council (TABC). Créé en 1995 sous le patronage de la Commission européenne et du ministère du commerce américain, ce rassemblement de riches entrepreneurs milite pour un « dialogue » hautement constructif entre les élites des deux continents, l’administration de Washington et les commissaires de Bruxelles. Le TABC est un forum permanent qui permet aux multinationales de coordonner leurs attaques contre les politiques d’intérêt général qui tiennent encore debout des deux côtés de l’Atlantique. Son objectif, publiquement affiché, est d’éliminer ce qu’il appelle les « discordes commerciales », c’est-à-dire d’opérer sur les deux continents selon les mêmes règles et sans interférence avec les pouvoirs publics.
On se pose la question de savoir ce qui pourrait échapper à ce traité. Nos normes de qualité alimentaire sont visées et notamment l’alimentation des animaux – nos porcs, nos bovins où certains produits sont interdits mais non aux Etats-Unis -, la protection des données personnelles, nos services publics soumis à une logique marchande, sans parler évidemment du secteur financier. Inutile de dire que tout cela joue en faveur des multinationales et des intérêts américains. Et, on nous bourre le mou en avançant qu’un tel traité serait aussi un vecteur d’emplois.
Comme le note Jean-Luc Gréau (1) : « Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, l’agenda de la négociation ne comporte pas d’examen de la question monétaire. Peut-on envisager une harmonisation des règles ou des normes sans envisager aussi une harmonisation des parités des monnaies au sein d’un système stable et ajustable en tant que de besoin ? Nous ne le pensons pas. » Et de conclure : « L’omission de la question monétaire confirme aussi que ce sont les intérêts américains et allemands qui président à la nouvelle négociation. Et l’aboutissement éventuel de cette négociation devrait sonner le glas du projet officiel d’une Europe unie, capable de défendre ses valeurs au sein d’un monde globalisé. »
Notes
(1) Economiste, Spectacle du monde, février 2014
Article publié dans le n°35 (mars avril 2014) de Synthèse nationale
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mardi, 08 avril 2014
Défendre d’abord nos intérêts…
Directeur de
Synthèse nationale
Les événements qui se déroulent depuis quelques mois en Ukraine ont entrainé, surtout sur les réseaux sociaux, un débat animé au sein de notre famille d’idées. Cela est bien naturel et à le mérite de prouver, à ceux qui en doutaient, que les nationalistes français sont attentifs à ce qui se passe dans le reste de l’Europe. Les uns, au nom d’une vision romantique des choses et s’appuyant sur des faits historiques terribles (la grande famine planifiée en Ukraine par Staline au début des années 30 qui fit plus de six millions de victimes réelles), soutiennent l’insurrection ukrainienne, tandis que les autres, par réalisme géopolitique et sans doute par admiration pour le style « direct » du Président Poutine, épousent la cause de la Russie.
Tout cela nous amène à quelques observations.
D’abord, force est d’admettre que les deux points de vue sont compréhensibles et il est dommage que certains en arrivent à s’insulter pour défendre celui qu’ils ont choisi.
Les nationalistes ukrainiens, et le peuple ukrainien dans son ensemble, ont souffert, c’est indéniable, du joug soviétique pendant plus de 70 ans. Cela à tel point qu’une partie n’a pas hésité dans un premier temps à se ranger aux côtés des forces de l’Axe pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais, depuis l’indépendance de l’Ukraine, au début des années 1990, la Russie a toujours eu une position ambiguë par rapport à Kiev dont elle dépend en bonne partie économiquement. Les raisons du soulèvement sont d’ailleurs, dans un premier temps, plus à mettre sur le compte d’un refus des pouvoirs ukrainiens corrompus et incapables qui se sont succédés depuis l’indépendance, et sur celui de la misère sociale qui gangrène ce pays, que sur celui de la rancune envers les Russes. Même si celle-ci demeure vivace.
En tant que Français attachés à notre pays et en tant qu’Européens fiers de notre civilisation, nous pouvons comprendre les motivations des insurgés du Maïdan. Le problème c’est que ces motivations ne sont pas forcément les mêmes que celles de ceux qui ont tout intérêt à ce que l’Ukraine se détache de l’influence russe et qui œuvrent en sourdine depuis longtemps dans ce sens.
La sincérité ne doit pas engendrer la naïveté
J’ai pu le constater par moi-même, les nationalistes ukrainiens font parfois preuve d’une certaine candeur. J’ai eu l’occasion il y a quelques mois, avec notre ami Robert Spieler, par l’intermédiaire de Thibaut de Chassay, le dynamique président du Renouveau français qui entretient des liens politiques avec différents mouvements patriotiques de l’Est européen, de rencontrer des responsables de Svoboda, le principal parti nationaliste ukrainien, venus à Paris pour présenter leur mouvement et leurs revendications. Sans douter un instant de la sincérité de ces nationalistes, au demeurant fort sympathiques, j’ai été frappé par leur fascination, frisant la naïveté, pour l’Union européenne. Leur vision du monstre bruxellois était totalement tronquée. Ils plaçaient toutes leurs espérances dans leur visite au Parlement européen prévue pour le lendemain à Bruxelles. Curieuse approche des choses… Je dois avouer que Robert et moi sommes restés sceptiques suite à cette rencontre. Néanmoins, comme quoi en politique il ne faut jamais écarter « l’imprévu », quelle ne fut pas ma surprise de voir que deux de nos interlocuteurs d’alors sont aujourd’hui membres du nouveau gouvernement. Cela dit, il ne faut pas se leurrer. L’Europe, une fois qu’elle se sera bien servie des patriotes ukrainiens contre la Russie, se débarrassera d’eux vite fait car leur idéologie est malgré tout diamétralement opposée à ses projets mondialistes
Parlons maintenant de la position de la Russie de Vladimir Poutine. Celle-ci qui estime, à juste titre, que l’Ukraine est « son berceau » ne peut en aucun cas laisser se développer, à ses frontières, des Etats qui lui seraient foncièrement hostiles. Ce d’autant plus que cela risquerait de faire « tache d’huile ».
Nous considérons pour notre part que la Russie est actuellement, malgré tous ses défauts, l’un des meilleurs remparts face aux intentions belliqueuses et aux menées hégémoniques de l’Empire de la Haute finance apatride. Qu’on le veuille ou non, la Russie d’aujourd’hui n’est pas l’URSS d’hier. Nous ne tomberons donc pas, bien évidemment, dans le piège tendu par les lobbys droits-de-l’hommistes stipendiés par les Fondations mondialistes qui voudraient faire passer Poutine pour un nouveau Staline. Les maîtres du Nouvel Ordre mondial croyaient en avoir fini, au lendemain de la chute du Mur de Berlin, avec l’Union soviétique. Ils pensaient que la Russie allait devenir une puissance déliquescente dirigée par des mafieux ou des ivrognes type Boris Eltsine. Ils se sont lourdement trompés car ils n’avaient pas imaginés l’émergence d’un Poutine capable, en quinze ans, de redonner à son pays sa fierté, comme on a pu le constater à l’occasion des magnifiques Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi, et de lui offrir à nouveau une place essentielle dans le monde. Ce renouveau de la Russie peut, légitimement, susciter une grande sympathie auprès des patriotes français écœurés de voir leur pays « dirigé » par une bande de baudruches incapables.
Ne pas se tromper de combat
Nous le voyons, chacun peut trouver de nombreuses bonnes raisons de soutenir un camp ou un autre. Mais, est-ce bien à nous, nationalistes français et identitaires européens, de nous immiscer dans ce conflit qui, quoiqu’en disent tous les va-t’en-guerre de la terre style BHL, ne nous concerne pas vraiment ?
Notre rôle ne serait-il pas, plutôt, de chercher à apaiser ces antagonismes qui ne peuvent que servir les projets fumeux de ceux qui veulent justement anéantir les nations ?
Louis XIV, pour expliquer sa politique étrangère, disait que « la France n’a pas d’amis ni d’ennemis, elle n’a que des intérêts ». C’est ainsi que les nationalistes français, qui sont sensés mettre l’intérêt national au-dessus de tout, devraient voir les choses aujourd’hui. Plutôt que s’entredéchirer à propos de ce conflit qui, finalement, concerne avant tout les Ukrainiens et les Russes, ne serait-il pas plus judicieux de s’interroger sur ce qui sert le plus notre pays ?
La menace que fait peser sur nos identités et nos libertés le mondialisme destructeur devrait suffire à elle-seule pour nous guider. La réalité, en France comme dans la plupart des pays, c’est que ce sont justement des gouvernements inféodés à la politique mondialiste imposée par les financiers de Wall Street, et leur bras armé qu’est l’OTAN, qui sont aux affaires. Alors, ne nous trompons pas de combat. Au lieu de s’entredéchirer sur la question ukrainienne, les nationalistes français doivent se mobiliser totalement contre le Système qui, ici comme ailleurs, veut détruire notre nation et notre civilisation.
Or, face à ce Système, force est de reconnaître que la Russie, dans l’état actuel des choses, est un allié nécessaire.
Editorial du n°35 de la revue Synthèse nationale
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