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jeudi, 17 mai 2018

Un grand entretien avec Philippe Randa sur le site Métamag

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Source Métamag cliquez ici

Écrivain, éditeur, chroniqueur politique, Philippe Randa (il est le fils du romancier Peter Randa) dirige le site internet Eurolibertés. Auteur de plus de 112 livres de genres très différents (essais, dictionnaires, études historiques et romans), il dirige depuis une trentaine d’années des maisons d’éditions diffusées sous l’enseigne Francephi (Dualpha, Déterna, L’Æncre). Ancien collaborateur du site Boulevard Voltaire, Philippe Randa donne actuellement des billets pour le quotidien Présent. Il est également sociétaire de l’émission Bistrot Libertés animée par Martial Bild et co-anime avec Roland Hélie l’émission radiophonique hebdomadaire Synthèse (avec Pierre de Laubier et Aristide Leucate). Philippe Randa nous fait l’amitié de répondre aux questions de Métamag. Il vient de publier Une démocratie hors de prix, préface d’Aristide Leucate (Éditions Dualpha).

Rémy Valat : Une question me vient automatiquement à l’esprit : après avoir écrit autant de livres, comment se fait-il que nous n’ayez aucune visibilité sur les grandes chaînes télévisées ou dans les grands quotidiens ? Seriez-vous l’auteur le plus censuré de France ? Un mal-pensant parce que trop non-conformiste ?

Philippe Randa : Je n’ai pas le culte de la victimisation et soyons honnête, pourquoi des médias avec lesquels, généralement, je ne suis pas tendre, me dérouleraient-ils un tapis rouge ? Ils ne sont pas plus masochistes que je ne pense l’être… Je ne hante pas les « grands médias » comme vous dîtes, et alors ? D’une part, on vit très bien sans médiatisation et à une époque où ces « grands médias » perdent continuellement de l’audience par manque de crédibilité, ça ne me semble pas si dramatique que ça… D’autant que j’ai tout de même la chance de pouvoir m’exprimer très librement à la fois sur nombre de sites internet (Synthèse nationale, Métamag), dans les colonnes du quotidien Présent et bien évidemment dans les différents supports du groupe Libertés… Je dirige depuis deux ans le site de la réinformation européenne EuroLibertés dont les articles – entre autres les miens, donc – sont énormément repris sur différents sites européens francophones (Les Observateurs.ch) ou traduits… Si on cumule toutes ces audiences, je me considère comme un auteur censuré extrêmement diffusé, non ? Quant à être ou avoir été « l’auteur le plus censuré de France », cela vient d’une campagne internet du journaliste Jean Robin qui avait comparé le nombre de livres écrits de certains auteurs avec leur présence sur les grands médias : j’arrivais (largement) en tête de ces auteurs incontestablement bien peu (euphémisme !) invité… Cette campagne a été assez bien relayée et à une époque comme la nôtre où la victimisation est pour certains la qualité suprême s’il en est, je me suis donc retrouvé, très ponctuellement, au top d’une certaine notoriété internet… qui m’a plutôt amusée !

Vous avez commencé votre carrière comme romancier ; pourquoi avoir évolué de la science-fiction et du polar vers la politique et l’édition ?

Je répondrais volontiers que j’ai d’abord été romancier pour faire « comme papa » et que tout naturellement, à cause de mauvais penchants politiques et d’occasions trop belles pour un larron comme moi, j’ai sévis différemment… Disons que j’ai commencé dans mes jeunes années par régler leurs comptes aux bandits et extraterrestres malveillants et qu’ensuite, je m’en suis pris aux malfaisants de la vie politique… C’est vrai que les premiers – criminels et monstres venus de l’espace – étaient nettement plus sympathiques que les seconds – politiciens et mondialistes… Et puis, peut-être aussi qu’à l’époque, j’avais un peu fait le tour de la littérature populaire et que passionné depuis toujours d’histoire et de politique, ceci explique cela… avec également des rencontres qui n’y ont pas été étrangères ; pour l’anecdote, c’est Emmanuel Ratier qui m’a convaincu de collaborer à Minute et Roland Hélie qui m’a présenté à Jean-Pierre Stirbois, alors secrétaire général du Front national, qui m’a ouvert les colonnes de National Hebdo… Et si parallèlement, je me suis lancé dans l’édition, c’était d’abord pour rééditer deux livres qui me tenaient à cœur : Les copains de la Belle étoile, le premier roman de Saint-Loup sur les auberges de jeunesse avant-guerre… et L’écrivain, la politique et l’espérance de Jean Mabire (que j’ai réédité sous le titre La Torche et le glaive) : avant d’y parvenir, j’avais édité ou réédité plusieurs autres titres et ensuite, comme ça a marché, j’ai continué… Il est très difficile de lancer une activité qui réussisse, mais parfois difficile de l’arrêter ensuite. Comme je peux assurer toutes mes activités de chroniqueurs, d’écrivain et d’éditeur, j’en profite et ne vais sûrement pas me plaindre…

Vous avez dirigé un collectif d’auteurs et édité une série de trois volumes intitulée L’islamisation de la France. Fantasme ou réalité… Les tragiques événements qui ont endeuillé récemment la France appellent en effet à réfléchir sur cette question. Pourriez-vous nous apporter des précisions sur ces publications, ses contributeurs et son apport sur la compréhension du sujet ? Quel a été l’accueil des médias au moment de leur parution ?

La place de l’islam dans la société européenne déchaîne les passions et malheureusement, trop souvent, donne l’occasion de dire ou d’écrire n’importe quoi : plus que les pamphlets ou les essais, j’aime les panoramas qui offre aux lecteurs des angles de vue différents – parfois contradictoires, et alors ? – sur un sujet. Et donc, j’ai sélectionné une cinquantaine de contributeurs – écrivains, journalistes, philosophes, acteurs ou observateurs de l’islam – en leur laissant carte blanche pour qu’ils donnent leurs points de vue avec honnêteté sur ce sujet tout de même extrêmement clivant… Personne ne s’est plaint de côtoyer des intervenants qui ne pensaient pas la même chose qu’eux et les commentaires qui ont accompagnés la sortie de ces trois volumes (aux angles assez exhaustifs sur la question : États musulmans, laïcité, athéisme, liberté d’expression, coutumes, mœurs, théologie, politique, djihad, entretiens, témoignages…) ont été parfaitement sereins, si ce n’est même extrêmement favorables. De toute façon, je suis comme mon ami et complice Roland Hélie un homme de « synthèse » : j’accepte les différences de chacun et cherche toujours ce qui peut rassembler plutôt que diviser. Les Français aiment se quereller ; « La France est un pays de guerre civile » répétait avec dépit l’ancien député et directeur de National Hebdo Roland Gaucher ; c’est vrai, mais on peut tout de même espérer changer les mentalités et croire comme Guillaume d’Orange qu’« il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer »… et qui sait si ça ne peut pas changer un jour ?

Le combat métapolitique a-t-il selon vous de l’avenir ?

S’il y a bien un combat qui a de l’avenir, c’est le combat métapolitique. Bien plus qu’un programme politique qui ne peut s’appliquer éternellement, aussi excellent soit-il… En France, les quarante dernières années du XXe siècle ont été dominé sous (étouffé par) la Pensée unique post-soixante-huitarde, celle qu’on appelait communément la « dictature intellectuelle de gauche »… qui a littéralement implosé au début du nouveau siècle, d’abord par la qualification de Jean-Marie Le Pen au deuxième de l’élection présidentielle de 2002 (même s’il a ensuite été largement battu, c’est symboliquement énorme), puis par la campagne électorale et l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007 (et malgré les reniements idéologiques et les échecs économiques de son quinquennat). Certes, une nouvelle Pensée unique – celle des partisans de la mondialisation, pour faire simple – l’a remplacée, mais dans le même temps, cela a réveillé la conscience identitaire des peuples européens ; bien malin qui peut prédire la suite des événements…

Comment expliquez vous le dénigrement et les tentatives de criminalisation d’une partie des médias internet de réinformation ?

J’ai édité une excellente biographie du polémiste Henri Rochefort de Richard Dessens chez Dualpha ; on y découvre qu’au XIXe siècle, figurez-vous, les amendes et les peines de prisons étaient bien plus terribles qu’à notre époque. Ça n’empêchait pas que ruiné, en fuite, en prison ou déporté, tant qu’ils n’étaient que blessés et pas tués (ça arrivait plus souvent qu’on ne l’imagine !), Rochefort et bien d’autres continuaient de défier les Puissants… Quant on a conscience de ça, ce ne sont tout de même pas les insultes, les diffamations et les mensonges de ceux que nous affrontons qui nous ferons perdre le quart d’une demi seconde à se demander si on ne devrait pas plutôt aller planter des choux ou des betteraves à la mode… surtout celle de chez eux !

Site EuroLibertés cliquez ici

Site Francephi cliquez là

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JEUDI 17 MAI, SCIPION DE SALM INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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Dissolution de la Ligue du Midi : « la demande de Muriel Ressiguier est caduque »

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Source Lengadoc info cliquez ici

La Ligue du Midi sera-t-elle dissoute ? C’est en tout cas ce que réclame aujourd’hui Muriel Ressiguier. La députée de La France Insoumise a demandé au ministre de l’intérieur Gérard Collomb, l’été dernier puis à Emmanuel Macron en mars 2018 suite à l’action spectaculaire du mouvement identitaire occitan menée en juin 2017 à Montpellier dans les locaux de RAIH, une association subventionnée d’aide aux jeunes immigrés clandestins.

Le 2 mai dernier, le cabinet du président de la République a fini par répondre à la députée montpellieraine en lui indiquant que sa demande avait été transmise au ministre de l’intérieur afin que celui-ci examine « si les conditions juridiques sont réunies pour une éventuelle dissolution ».

Le président de la Ligue du Midi, Richard Roudier, a bien voulu répondre aux questions de Lengadoc Info sur ce sujet.

Lengadoc Info : Que vous inspire la réponse du gouvernement à la demande de dissolution de Muriel Ressiguier ?

Richard Roudier : C’est une réponse purement formelle sans conséquence pour le moment. Cela veut simplement dire qu’ils ont pris acte du courrier de Muriel Ressiguier. A l’heure où la France est une nouvelle fois attaquée par la barbarie islamiste, j’ose espérer que le gouvernement a autre chose à faire que de réprimer des identitaires. Malheureusement, avec l’ouverture d’une enquête à l’encontre de Génération Identitaire suite à son action contre l’invasion migratoire dans les Alpes, je n’ai guère confiance dans le sens des priorités d’Emmanuel Macron.

Lengadoc Info : Muriel Ressiguier justifie cette demande de dissolution en arguant que la Ligue du Midi s’est rendue coupable d’incitation à la haine lors de l’action dans les locaux de l’association RAIH. Qu’en pensez-vous ?

Richard Roudier : C’est tout simplement faux et Muriel Ressiguier le sait très bien. La justice a déjà écarté les accusations d’incitation à la haine. Lors du procès en première instance en décembre dernier, le tribunal a rejeté ces accusations. J’ai d’ailleurs moi même été relaxé de toutes les accusations. Seul Olivier [le porte parole du mouvement NDLR] a été condamné à 1 mois de prison mais uniquement pour des dégradations. Condamnation dont nous avons, bien entendu, fait appel. En cinquante ans de militantisme je n’ai jamais été condamné pour incitation à la haine. En réalité, la demande de dissolution de Muriel Ressiguier est caduque car elle repose sur des arguments fallacieux.

Lengadoc Info : La Ligue du Midi a, de son côté, réclamé la dissolution de la fédération héraultaise de La France Insoumise suite aux violences lors de la manifestation du 14 avril à Montpellier. Pourquoi ?

Richard Roudier : Muriel Ressiguier a joué un rôle dans les importantes dégradations qui ont eu lieu ce jour là. Lorsque les bandes de casseurs d’extrême gauche ont saccagé le centre-ville et agressé les policiers, Muriel Ressiguier participait à cette manifestation. Elle a même demandé, avec son écharpe de député, aux policiers de laisser passer le cortège avec les 200 casseurs à l’intérieur. La même Muriel Ressiguier a participé à des manifestations contre la police et a soutenu des militants anarchistes connus pour leur violence. Il faut désormais qu’elle paie sa dette aux citoyens montpellierains qui sont les premières victimes de ces groupuscules violents qui ont coûté 400 000 € à la ville rien que le 14 avril.

D’un côté on veut mettre en prison un patriote pour 4 tasses à café cassées par accident et de l’autre on laisse les casseurs d’extrême gauche en liberté. Il faut que cela cesse !

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mercredi, 16 mai 2018

JERUSALEM ? UNE CAPITALE POUR DEUX !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Le 70e anniversaire de la création de l’Etat d’Israël et le transfert de l’ambassade des Etats-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem, a déchainé un climat de violences inouï aux « frontières » de la bande de Gaza au sud-ouest du pays. Les Arabes de cette partie de Palestine libre de toute occupation étrangère, sont partis à l’assaut du no man’s land séparant leur « timbre-poste » de 350 Km2 et d’un million et demi d’habitants, de l’Etat Hébreu. Pneus enflammés, jets de projectiles à l’aide de lance-pierres, tentatives de franchissement, ont ponctué toute cette journée du lundi 14 mai. En face, les snipers de Tsahal ont « allumé » comme des pipes à la fête foraine, les jeunes manifestants. Bilan, entre 60 et 100 morts, des centaines de blessés. La communauté internationale s’est émue à juste titre face à cette riposte disproportionnée.

Trois constats

Le premier, c’est le cynisme qui habite les deux parties. L’Etat juif, tout d’abord, dont les autorités ont froidement répondu qu’elles protegeaient leur frontière et leur population contre toute tentative d’intrusion sur leur territoire. Confirmation donnée notamment par Mme Aliza Bin Noun, ambassadeur d’Israël en France, sur une chaine d’infos. (A noter qu’une barrière de sécurité entoure complètement le périmètre de la bande de Gaza, et qu’un mur en souterrain a été aménagé pour empêcher que les Gazaouïs ne creusent des tunnels).

Le second, c’est l’attitude du Hamas, le parti islamiste dominant la scène politique à Gaza. Il a envoyé sciemment au « casse-pipe » à son habitude, hommes, femmes et enfants, sachant pertinemment que les inévitables victimes feraient pleurer Margot dans les chaumières et, qu’inexorablement, les degrés de sympathie pour la cause israélienne, chuteraient. Tout le monde est, à juste titre, indigné par la mort d’un bébé asphyxié par des tirs de gaz lacrymogène, mais ses parents n’en étaient-ils pas responsables au premier chef ? Il me revient à l’esprit une citation de Bossuet, archevêque de Meaux au XVIIe siècle, qui disait à peu près ceci : «  Dieu se rit des hommes qui se lamentent des conséquences des causes qu’ils chérissent ». On est en plein dedans !

Le troisième, c’est que si des autorités décident que leurs frontières soient infranchissables, elles le sont si des ordres de fermeté sont donnés aux troupiers. A méditer par l’Europe des 27 avec son dispositif de Schengen qui est une véritable passoire. (A noter que l’on n’est pas obligé de tirer à balles réelles sur des foules désarmées, qui il existe des munitions en caoutchouc, et que des tirs de semonce au-dessus des têtes ne sont pas des actes criminels, contrairement à ceux commis par l’armée israélienne dont l’image est à jamais ternie).

Le fond de l’affaire.

Les Nations-Unies ont reconnu et légitimé en 1947 un plan de partage équitable de la Palestine mandataire, elle-même issue du dépeçage de l’Empire Ottoman au lendemain de la Première Guerre mondiale. Ce plan prévoyait deux Etats, l’un Arabe, l’autre Juif avec, au milieu, un corpus séparatum internationalisé, Jérusalem. Les Juifs l’ont accepté, les Arabes l’ont fâcheusement refusé. Résultats des courses, après une guerre perdue en 1948 par les Etats de la Ligue Arabe face à la Haganah juive : 5 à 700 000 réfugiés palestiniens fuyant les zones de combat, qui en Egypte, qui en Jordanie, qui au Liban, qui à Gaza. Les guerres successives de 1956, de 1967, de 1973 et de 1982 au Liban, n’ont rien réglé. Israël s’est agrandi au détriment de ses voisins et Jérusalem a été réunifiée sous la seule bannière de David. Le signataire de ces lignes peut témoigner qu’avant la « Guerre des six jours », il était impossible d’aller directement sur les Lieux Saints occupés par les Jordaniens à partir de la partie juive de Jérusalem. Aujourd’hui les adeptes des trois religions monothéistes peuvent aller prier sur ces Lieux trois fois saints, totalement imbriqués, ce qui ajoute une bonne dose d’absurdité à la situation actuelle ! Les peuples et leurs Etats respectifs ne se reconnaissent pas, mais ils se côtoient dans une grande proximité, pour ne pas dire promiscuité, à chaque heure du jour !

Un territoire pour deux peuples

Après les espoirs nés des accords d’Oslo en 1993 entre Rabin et Arafat, la situation s’est gelée et envenimée. La colonisation forcenée de la Judée et Samarie, - la « west bank » ou Cisjordanie, cette double boursoufflure qui compresse Israël entre la mer et le Jourdain-, par les religieux juifs, mais pas seulement, empêche toute négociation sérieuse. Sans compter qu’il y a le contentieux syro-israélien à propos du plateau du Golan annexé en 1967, un balcon au-dessus du lac de Tibériade d’où l’armée de Damas tenait sous son feu les kibboutz de la plaine. Sans oublier les affrontements récurrents entre le Hezbollah et Tsahal au Sud-Liban. Le baril de poudre attend la mèche ! Si la raison et les intérêts économiques bien compris de toutes les parties l’emportaient, nous assisterions à la création de l’Etat arabe de Palestine avec, pour capitale, Jérusalem-Est. Tout le monde le sait. Les plans sont dans les cartons. L’alternative à la solution des « deux Etats » ? Une entité unique, judéo-arabe, où bien vite ces derniers domineraient démographiquement les premiers, noyant sous un nombre incalculable de berceaux musulmans les berceaux juifs. Cela, Netanyahu ne peut pas l’accepter, pas plus que les Palestiniens ne peuvent accepter le statu quo. Alors, alors, la raison, pour une fois pourrait-elle l’emporter ? En tout cas, j’ai une pensée émue pour les jeunes professeurs d’histoire qui sont chargés d’enseigner, notamment, la shoah dans les écoles de la willaya du 9-3 !

12:00 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'émission Synthèse du jeudi 3 mai sur Radio Libertés avec Patrick Gofman

Les émissions Synthèse sur Radio Libertés cliquez là

00:35 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 15 mai 2018

Pour un Front libéré : Philippe Chevrier invité de Martial Bild sur TV Libertés

20:01 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Jeanne d'Arc de Civitas : interventions des invités d'Alain Escada

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Alexandre Simonnot

 Roland Hélie

 

Alexandre Gabriac

 

Epona chante In Memoriam

 

Alain Escada

 

M. l'abbé Xavier Beauvais 

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Le Journal de Bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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16:38 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le numéro 2 (septembre 1971) de "Pour un Ordre nouveau" est à nouveau en vente

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lundi, 14 mai 2018

Fête de Jeanne d'Arc (Paris, 13 mai 2018) : 10 h, la Dissidence française

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Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale 

 

Alexandre Gabriac, Civitas

 

Hervé Van Laethem, Nation (Belgique)

 

Alexandre Simonnot, Comité Jeanne

 

Vincent Vauclin, la Dissidence française

11:26 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 13 mai 2018

L’ATTAQUE TERRORISTE DU 12 MAI À PARIS : UN BRILLANT RÉSULTAT DU DROIT D’ASILE RÉPUBLICAIN !

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Forum SI cliquez ici

Le 12 mai vers 22 heures, on apprenait que plusieurs personnes avaient été poignardées dans le quartier de l'Opéra à Paris. A minuit, CNews annonçait que l'attentat venait d’être revendiqué par l'Etat islamique, qu’un jeune homme de 29 ans avait été tué et deux personnes grièvement blessé, et que le terroriste avait été abattu.

Fort d’une trop longue expérience de ce genre d’événement, on pouvait penser que le terroriste était, comme quasiment toujours, une racaille « radicalisée » issue de l’immigration. Eh bien, pas tout à fait cette fois-ci, où l’on a eu droit à une variante, que CNews nous dévoilait le 13 mai à 14 heures : le terroriste, nommé Azimov, était le fils de deux « réfugiés politiques » tchétchènes ; il avait, bien entendu, été naturalisé « Français » en 2010.

En l’occurrence, ce n’était donc pas la démentielle politique d’immigrationnisme de masse qui était à mettre en cause, mais son petit-frère, le droit d’asile républicain, qui consiste à accueillir n’importe qui et à accorder la nationalité française n’importe comment, car, lorsque l’on accorde l’asile politique à des Tchétchènes indépendantistes, comme c’était ici le cas, on doit bien se douter qu’il s’agit d’islamistes qui ne vont certainement pas mettre leurs convictions en sourdine une fois installés en France.

Les « autorités » qui ont ainsi accordé l’asile à des djihadistes et naturalisé leur rejeton sans sourciller devaient donc rendre des comptes maintenant, car c’est leur nullité pleurnicharde qui est responsable du drame d’hier. Jamais de tels individus, par définition dangereux et fanatiques, n’auraient dû être ainsi admis à séjourner en France, et jamais leur fils, fiché « S » comme il se doit, n’aurait dû être naturalisé. On se demande d’ailleurs à quel titre il a obtenu cette naturalisation, car, comme le disait le Front national il y a quelques années, « être Français, ça s’hérite ou ça se mérite » : à quel « mérite » le jeune terroriste Azimov devait-il sa naturalisation ?

CONTRE LE TERRORISME, SEPT MESURES INDISPENSABLES

Mais nous posons ces questions et faisons ces remarques pour la forme, bien entendu, car nous savons très bien que, comme d’habitude, les républicains n’y répondront pas, qui se contenteront de mettre en place des « cellules de soutien psychologique » et vont attendre bien sagement le prochain attentat.

Car pourquoi la République prendrait-elle cette fois-ci les mesures qui s’imposent pour assurer la sécurité des Français, alors qu’elle ne l’a pas fait après les précédents attentats ? Ces mesures sont au nombre de six, que nous avions rappelées dans notre article du 24 mars, et que nous rappellerons une nouvelle fois sans nous lasser, en les complétant par une septième, pour tenir compte de la question du droit d’asile :

1 - rétablissement de la double-peine, lâchement abandonnée par le pitre Sarkozy ;

2 - mise en place d’un contrôle solide de nos frontières ;

3 - mise en œuvre d’une sécurisation sérieuse des rassemblements de foule ;

4 - ratissage intégral des soi-disant « zones de non-droit », lâchement abandonnées par la République aux racailles « radicalisables » ;

5 - réarmement du peuple français, qui fut un grand peuple combattant et dont une large partie ne sait plus, aujourd’hui, ni se battre, ni utiliser une arme à feu (ce qui était évidemment le résultat recherché par la République castratrice) ;

6 - lancement d’une politique d’inversion des flux migratoires, seule capable de rendre au peuple français sa sécurité et le respect de son identité ;

7 - vérification approfondie de la personnalité et des idées des demandeurs d’asile, afin de s’assurer que ceux-ci ne seront pas susceptibles de mettre en danger la sécurité de nos concitoyens.

Tel est, une fois encore, le minimum que nous devons exiger de la part de ceux qui prétendent nous gouverner : il ne faut pas les lâcher !

23:15 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’énorme supercherie du Fichage S ou la mollesse érigée en système

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Bernard Plouvier

Après chaque attentat de fou d’allah en France, les journalistes qui se veulent sérieux rassurent le bon peuple, ou tentent de le faire, en évoquant cette merveille conceptuelle, inventée par les gouvernants prosternés devant l’islamo-pétrodollar : le FSPRT.

Ce délicieux acronyme correspond au Fichier des Signalements pour la Prévention de la Radicalisation à caractère Terroriste. En ce glacial printemps 2018, y figurent environ 20 000 mahométans, demeurant en permanence sur le sol métropolitain.

Encore faut-il signaler que 4 600 dossiers sont considérés comme clos, les individus étant devenus, paraît-il, des prix de vertu, des angelots, de « bons citoyens ». 4 000 autres sont « dépourvus de suivi actif », ce qui – en clair – signifie qu’ils sont « dans la nature », perdus de vue par leurs pisteurs.

Presque à chaque attentat mahométan – soit en moyenne une fois par mois -, l’on apprend que le terroriste était « fiché S », c’est-à-dire qu’il était répertorié par ce prodigieux FSPRT. On ne voit pas bien en quoi cette information peut rassurer le bon peuple, celui qui paie des impôts, en contrepartie théorique de services rendus par l’État, dont la Sécurité Publique est l’un des premiers sinon le premier qu’un citoyen est en droit d’exiger. Nos distingués maîtres, Président Macron en tête, feraient bien de réétudier la notion de Contrat social.

Il est évident que l’honnête français assassiné par un fou d’allah « fiché S » n’en a pas moins vu ses jours abrégés, souvent d’ailleurs dans la souffrance. Quant aux blessés, généralement plus nombreux que les assassinés, qui garderont peut-être une invalidité physique permanente et constamment un traumatisme psychique de leur contact avec le fou d’allah, quant aux familles des victimes, il leur reste à entendre cette ineptie : l’État surveille ces assassins en puissance

Mais « l’État » n’en a incarcéré que moins de deux milliers, probablement pour ne pas faire de peine aux milliardaires mahométans investisseurs potentiels ou avérés, ni aux recteurs des très nombreuses mosquées érigées en France, ou aux imams de banlieues qui contrôlent, avec les trafiquants de toutes sortes, ces deux mille cités de non-droit qui vomissent périodiquement des hordes d’émeutiers.

Dans un État bien géré, ce qui exclut la France des Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron, la Sécurité est l’une des composantes essentielles du Bien Commun. En d’autres termes, les terroristes potentiels devraient être soit exportés vers d’autres cieux, soit mis définitivement hors d’état de nuire.

En période de surpopulation, voire de « pollution démographique » comme le disait George Bush senior avant le règne de William Clinton, on ne devrait pas trop pleurer les psychopathes violents ni les sociopathes. En un régime politique où est affirmé le principe de séparation de l’État et des religions, l’avis des « autorités cléricales » d’où qu’elles viennent devrait être égal à Zéro.

On a de plus en plus l’impression que l’État macronien est aussi inefficace que celui de ses peu, voire pas, regrettés prédécesseurs. La protection de la Nation est un devoir régalien. Si les élus du peuple, arrivés aux plus hautes fonctions, négligent ce devoir, la Nation devra se protéger elle-même et, dans ce cas, le risque de dérapages tous azimuts sera grand.     

21:48 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Avec un pareil ami…

Branca.jpgGeorges Feltin-Tracol

« Quand on a de tels amis, on n’a pas besoin d’ennemis. » Cette expression populaire correspond parfaitement au sujet traité par Éric Branca dans son nouvel ouvrage, L’ami américain. Washington contre de Gaulle 1940 – 1969 (Perrin, 2017, 381 p., 23 €).

Historien et journaliste, Éric Branca évoque dans le détail les relations plus qu’orageuses entre Charles de Gaulle et les différents locataires de la Maison Blanche, de Franklin Delano Roosevelt à Richard Nixon. Alors que le système médiatique officiel célèbre jusqu’à la nausée la fumeuse amitié franco-étatsunienne, ce livre rappelle que la plupart des dirigeants yankees, hormis – un peu – Kennedy et – beaucoup – le meilleur président étatsunien du XXe siècle, Richard Nixon, a toujours considéré la France comme un larbin de seconde zone ou un paillasson.

Dès 1940, le général de Gaulle s’oppose violemment aux milieux transatlantiques. De retour au pouvoir en 1958, il doit lutter contre l’« État profond » étatsunien. L’auteur n’hésite pas à se référerouvertement aux travaux de l’universitaire Peter Dale Scott. L’« État profond » organise de puissantescampagnes francophobes. Éric Branca revient avec insistance sur les ingérences permanentes de la CIA dans l’Hexagone. On y apprend aussi que le CIA recruta Alfred Hitchcock pour réaliser un film supposé s’élever contre la soviétisation rampante de la France. Outre des politicards payés tels François Mitterrand, Jean Lecanuet ou Alain Poher, de grands naïfs tels le futur général souverainiste retraité Pierre-Marie Gallois s’épanchent devant des interlocuteurs américains très attentifs. Le pire reste toutefois René Pleven. Auteur de la première loi scélérate liberticide en 1972, ce centriste breton était un habitué des salons dorés de l’ambassade yankee à Paris, haut-lieu de l’espionnage situé non loin du palais de l’Élysée.

La démission du Général en 1969, puis le décès soudain de Georges Pompidou en 1974 permettent aux coteries atlantistes et euro-mondialistes de recontrôler les institutions de la Ve République, de Valéry Giscard d’Estaing à Emmanuel Macron en passant par Mitterrand, Jacques Chirac, le calamiteux Nicolas Sarközy et François Hollande. L’ami américain d’Éric Branca souligne la mainmise quasi-totale des États-Unis en France et en Europe. Combien de temps durera encore cette inacceptable colonisation ?

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°77, diffusée sur Radio-Libertés, le 11 mai 2018.

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La Jeanne d'Arc parisienne

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Dimanche 13 mai, les formations monarchistes et celles de la Droite nationale et catholique se sont mobilisées à Paris pour honorer la mémoire de Ste Jeanne d'Arc, héroïne de la Patrie. Malgré les grèves dans les transports, le calendrier émaillé de "ponts" et l'attentat de la veille, les patriotes se sont retrouvés aux différents rendez-vous en nombre respectable.

A 10 h, la Dissidence française de Vincent Vauclin, magnifiques drapeaux claquant au vent, "ouvrait le bal". Puis ce fut l'Action française et enfin le Parti nationaliste français avec Pierre Sidos. La matinée fut donc bien remplie.

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L'après-midi, Civitas organisait sa marche entre la statue de Jeanne d'Arc de la Place St Augustin et celle de la place des Pyramides. Là aussi, le cortège ne manquait pas d'allure. Derrière trois cavalières en tête les militants de Civitas et du Parti de la France furent applaudi par de nombreux Parisiens présents sur les trottoirs, en particulier lorsque les slogans contre le terrorisme islamiste étaient scandés. Pour être honnête, il y en avait aussi quelques-uns qui semblaient moins réceptifs à nos thèmes, mais la manifestation s'est déroulée sans incident. Ce qui tranche avec les émeutes gauchistes du 1er mai.

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, est intervenu au cours des rassemblements de la Dissidence française le matin et de celui de Civitas l'après-midi. Notre revue Synthèse nationale fut aussi vendue à la criée tout au long de la journée.

Dans les jours qui viennent, nous reviendrons sur cette journée et nous publierons d'autres photos de cette belle fête nationale de Jeanne d'Arc 2018...

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Valérie Redl, Conseillère régionale de Bourgogne/Franche-Comté, rejoint le Parti de la France

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À l’occasion de la fête nationale de Jeanne d’Arc, Valérie Redl, ingénieur commerciale et Conseillère régionale de Bourgogne/Franche-Comté, a rejoint les rangs du Parti de la France.

Déçue par les dérives politiques du néo FN de Marine Le Pen, Valérie Redl marque ainsi sa volonté de continuer à défendre ses convictions de Droite nationale.

Par ce nouvel engagement aux côtés de Carl Lang et du Parti de la France elle montre le chemin à suivre pour les militants et les élus du Front national qui ne se reconnaissent plus dans les idées, la stratégie et les méthodes de Marine Le Pen.

19:53 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Parti de la France en ordre de bataille

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Le Parti de la France réunissait samedi près de Paris son Conseil national à huis-clos. Ce fut l'occasion pour la formation présidée par Carl Lang de s'affirmer comme étant le seul recours national crédible un an après l'arrivée au pouvoir du mondialiste Macron. 

Alors que la l'extrême gauche internationaliste de Mélanchon voudrait se faire passer pour la seule opposition au gouvernement, alors que les Républicains de Vauquier sont totalement en dehors du coup, alors que le néo Front mariniste continue d'agoniser, il est plus que temps que la vraie Droite nationale, sociale, populaire et identitaire reprenne sa place dans notre pays. C'est dans cette perspective que le Parti de la France continue son travail d'implantation. Il faut dire que depuis quelques mois les adhésions au PdF affluent et que Carl Lang, entouré par une direction performante et soudée, a de bonnes raisons de continuer et d'amplifier le combat engagé par son parti depuis sa création il y a maintenant 10 ans.

A force d'être présent à toutes les élections, à force de mener des campagnes militantes dynamiques, à force de privilégier l'action sur le terrain plutôt que de chercher la respectabilité à tout prix, le Parti de la France s'est imposé comme étant une force de rassemblement efficace et constructive.

Au cours de cette réunion plusieurs intervenants présentèrent les ambitions du PdF. Thomas Joly bien sûr, qui, en tant que Secrétaire général, coordonnent les activités des sections, mais aussi, Myriam Baeckeroot, la trésorière, Jean-Claude Rolinat, chargé des élus locaux, Bruno Hirout qui anime la dynamique fédération normande, Arnaud Menu et Jean-François Touzé qui intervinrent sur la communication du parti, Franck Timermans, sur l'indispensable formation des cadres et des militants, ainsi que bien d'autres responsables. Dans la matinée, Jean-Pierre Maugendre, Président de Renaissance catholique, invité du PdF, est aussi intervenu sur le rôle de la France dans le monde.

Il revenait à Carl Lang de conclure cette journée de travail en rappelant que le Parti de la France avait désormais vocation à incarner politiquement et électoralement notre famille d'idées. Il souligna la nécessité de la présence du PdF aux prochaines élections européennes de juin 2019 et il lança un appel aux nationaux  dispersés pour que ceux-ci se rassemblent autour du projet ambitieux et offensif pour sauver notre nation et notre civilisation qui est celui du Parti de la France.

Carl Lang prendra la parole ce dimanche 12 mai à l'occasion du rassemblement en honneur de Jeanne d'Arc organisé à 14 h Place St Augustin à Paris par Civitas.

S.N.

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01:15 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pendant que deux gauchistes pro-migrants chantaient les bienfaits de l'invasion à l'Eurovision, un envahisseur musulman poignardait 8 personnes à Paris

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Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, a réagi sur Twitter au nouvel attentat islamiste qui a eu lieu ce soir à Paris aux abords de l'Opéra Garnier où un islamiste a poignardé huit personnes, en tuant une, avant d'être abattu comme le chien galeux qu'il était.

00:36 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 12 mai 2018

Journal du chaos

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vendredi, 11 mai 2018

Dimanche 13 mai, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, invité à prendre la parole lors des commémorations de Jeanne d'Arc

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Belle démonstration de force des jeunes nationalistes parisiens en mémoire de Sébastien

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Mercredi soir à Paris le Comité 9 mai, soutenu par le Bastion social, a organisé la marche annuelle en mémoire de Sébastien, jeune militant décédé en 1994 suite à une manifestation durement réprimée par la police. Notons le nombre important de participants à cette commémoration. Cela prouve que chez les nationalistes, la fidélité existe.

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L’immigration, toujours une « chance pour la France » ?

logo_caf_bas-rhin.jpgUn communiqué du MNR :

Les Dernières Nouvelles d'Alsace du 7 février 2018 ont donné l'information suivante (ça n'a pas fait beaucoup de bruit à la télé...) : « 32 000 Euros d’allocations perçus avec une fausse identité : le prévenu relaxé » 

Cet Algérien de quarante-neuf ans avait produit un faux acte de naissance irakien ; à la suite de ses démarches auprès de la Caisse d'Allocations Familiales du Bas-Rhin, il avait touché 32 000 € d'allocation pour adulte handicapé, et d'aide au logement, en deux années et demie. La CAF a été déboutée de sa demande de remboursement des 32 000 euros versés.

Qu'en pensent les journalistes et associations « droit-de-l'hommistes » ?

Quand nos hommes politiques, et notre justice, s’arrêteront-ils de favoriser honteusement les immigrés au détriment des Français ?

11:33 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

C'est la France qui a fait la Nouvelle Calédonie, les Kanaks ne représentent qu'eux-mêmes

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Alain Sanders

Rappelons que les Kanaks – et cette graphie est nécessaire pour les dissocier des Canaques, très majoritairement loyalistes – ne représentent qu’eux-mêmes, c’est-à-dire pas grand monde. Les Européens et les Caldoches (les « pieds-noirs » de Nouvelle-Calédonie) sont aussi nombreux que les Canaques, et l’île compte des Mélanésiens, des Wallisiens, des Tahitiens, des Vietnamiens, des Indonésiens, des milliers de personnes originaires du Vanuatu, des Comores, des Antilles, de la Réunion, de Djibouti. Tous ceux-là, qu’on a vu manifester à Nouméa sous une forêt de drapeaux tricolores le 3 mai dernier, voteront bien sûr contre l’indépendance.

A l’occasion du déplacement présidentiel, on a entendu les habituels chiens couchés répéter que les « colons »avaient volé aux Canaques « les terres de leurs ancêtres ». Vide d’hommes (l’île de Shihoku, au Japon, compte près de 5 millions d’habitants pour une même superficie ; Chypre, deux fois plus petite, a quatre fois plus d’habitants), la Nouvelle-Calédonie pourrait, pour être réellement mise en valeur, accueillir sans problème cinq fois plus d’habitants.

Quant à une prétendue « nation canaque » (et a fortiori « kanak »), elle n’a jamais existé. C’est la France qui lui a donné un semblant de consistance en pacifiant une myriade de clans antagonistes et ennemis qui ne parlaient pas la même langue, s’étripaient allégrement et s’entre-dévoraient : il y avait des tribus dites « garde-manger » chez lesquelles les dominants allaient « faire leur marché », et le cannibalisme a été difficilement éradiqué.

Source Thomas Joly cliquez ici

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Décès de Guy Macary, ancien élu du FN en PACA

32202994_642710672738661_2651414136524636160_n.jpgJean-François Touzé 

Notre ami Guy Macary est mort. Officier para-commando, militant OAS, élu Front National, il fut bâtonnier du Vaucluse et président du groupe FN en PACA. Pour avoir été son directeur de campagne aux Régionales il y a quinze ans, je peux témoigner qu'il était l'incarnation de l'honneur, du courage, de la rectitude et de la fidélité. Salut Guy ! 

10:47 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 10 mai 2018

Dimanche 13 mai, Paris rend hommage à Jeanne d'Arc

Les différents cortèges et rassemblements :

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Vous n'avez que l'embarras du choix...

12:28 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Avez-vous lu le livre de Carl Lang ?

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11:30 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 13 mai, 14 h, Paris : M. l'Abbé Xavier Beauvais à la Jeanne d'Arc de Civitas

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00:09 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 13 mai à 10 h à Paris : la Dissidence française rend hommage à Jeanne d'Arc

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mercredi, 09 mai 2018

Le nouveau cancer social français : l’islam djihadiste

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La plaie de la IIIe République fut la radicale-maçonnerie, soit l’invasion par les sectaires du Grand-Orient de l’État dominé par les radicaux, eux-mêmes fort peu soucieux d’améliorer le sort du bon peuple et prosternés devant leurs sponsors électoraux du milieu plutôt faisandé de l’industrie, du négoce et de la finance. Le cancer social était alors la corruption, contre laquelle des patriotes luttèrent vainement : on les appela des « fascistes » !

La débâcle militaire du printemps 40 assura la fin de ce régime de pourriture. Certes, en 1945, les vieux débris de la IIIe voulurent reprendre leurs places, mais une génération se réclamant – parfois avec raison – de la Résistance à l’Occupant décida d’occuper le terrain jusqu’à ce qu’elle s’évanouisse, atteinte par la mort ou le gâtisme.

Dans les années 60, le marxisme tenta de tuer l’Occident par une autre forme de cancer social : le terrorisme. Officiellement pratiqué par des « gauchistes », il était en réalité financé par le KGB, l’officine de propagande, d’espionnage et de tueurs de l’Union Soviétique, grâce à divers trafics de stupéfiants.

Rendons grâce aux jeunes loups du Kremlin des années 1980-90. Ils voulaient rénover le marxisme. Ils ne réussirent qu’à enrichir une maffia ethniquement très typée (aborder le sujet en Occident est très périlleux) et appauvrir la Nation russe, jusqu’à ce que Wladimir Poutine rétablisse ordre, confiance et relative prospérité, en chassant les canailles. Il y gagna - allez savoir pourquoi - une sulfureuse réputation d’anti-judaïque. Au moins, la mort de l’URSS et du bolchevisme financé de Moscou procura-t-elle à l’Occident la fin du terrorisme selon saint Karl Marx.  

Hélas, d’autres génies pervers ont trouvé un substitut au vieux Juif barbu qui n’aimait pas les Juifs spéculateurs. Et désormais, c’est au nom d’un certain allah que des abrutis, désocialisés ou asociaux, en tout cas inutiles à la société laborieuse, tuent au hasard, par joie de nuire à autrui, par désir de révéler au monde leur fabuleuse capacité de nuisance, tout en s’assurant une place au paradis des houris.

Un cancer n’est curable que s’il est traité suffisamment tôt et de façon radicale. Ce n’est certainement pas en favorisant l’immigration de masse des mahométans et en autorisant des roitelets du pétrole, du trafic d’armes, du haschisch et des opiacés (appelés « larmes d’allah » en certains pays mahométans) à financer la propagation de l’islam en Occident que l’on traitera ce nouveau cancer social.

Quoi que puissent écrire certains esthètes sensibles à la poésie du soufisme, islam et djihâd sont indissociables et le djihâd c’est, dans la définition coranique, tuer qui ne veut pas se convertir aux lubies d’un illettré dénommé Mahomet, qui nous ramènent à l’obscurantisme et au fanatisme médiévaux.

On se moque absolument des pleurs et des gémissements d’un public de veaux, rites obligés à chaque manifestation meurtrière de la haine des fous d’allah. On n’a que faire des discours plats et mous de politiciens vautrés devant la toute-puissance de l’économie globale, où le pétrodollar et le football sponsorisé par les mahométans jouent un rôle majeur.

Des mesures rudes s’imposent, qu’aucun gouvernement d’Europe occidentale ne semble disposé à prendre, à la différence de ce qui se passe en Russie. Le plus cocasse, c’est qu’en nos jours de profonde débilité politico-médiatique, l’on s’en prend au Président Poutine parce qu’il n’aime ni le capitalisme de spéculation ni les homosexuels, parce qu’il réprime fermement le terrorisme mahométan et qu’il refuse de déstabiliser les États calmes du Proche et du Moyen Orient. Notre Occident, version Europe des Économies Ultra capitalistes Unies, est à vomir !

Quand les Français, les Germains, les Belges, les Néerlandais, les Scandinaves, les Italiens, les Espagnols et les British en auront assez de servir de cibles aux crapules adeptes du viol en tournante des « petits culs blancs » et aux sociopathes, tueurs voués à la promotion du sieur allah, il leur suffira de se reporter à leur histoire. Ils sauront comment se comporter. Après s’être entretués stupidement durant des millénaires, ils comprendront enfin qu’un envahisseur étranger violent, ça se repousse avec pertes et fracas.

19:58 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Victoire capitale pour Riposte Laïque : la Cour d'Appel de Paris relaxe Pierre Cassen

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La Cour d'Appel de Paris vient de confirmer, un an après, la décision de la 17e Chambre correctionnelle : elle a relaxé Pierre Cassen, estimant ne pas disposer de suffisamment de preuves pour établir qu'il demeurait le directeur de publication de Riposte Laïque, ce que voulaient démontrer le Parquet de Paris et les associations dites antiracistes.

C'est une victoire très importante pour Riposte Laïque et son fondateur, peut-être même capitale. Mais elle ne mettra pas fin au harcèlement  judiciaire subi depuis plusieurs années par Pierre Cassen. En effet, ce dernier passera de nouveau devant les tribunaux, le 23 mai, le 13 juin et le 27 juin, ce qui confirme l'ampleur de l'offensive menée contre RL. Mais Pierre Cassen et son avocat, Maître Pichon, forts de cette relaxe, seront en bien meilleure position pour répondre aux accusations obsessionnelles des associations dites antiracistes et du Parquet.

Ce verdict, ainsi que les résultats des appels aux dons lancés par notre site, mettent Riposte Laïque dans une situation bien plus favorable pour continuer à lutter, quotidiennement, contre l'islamisation de notre pays, permise par l'invasion migratoire organisée par le pouvoir.

Cette victoire est celle de toute la réinfosphère, et des défenseurs de la liberté d'expression. Elle ne nous fait pas oublier que d'autres patriotes sont trop souvent lourdement condamnés, de manière inique, pour oser résister au discours dominant.

Malgré la volonté de ce régime de multiplier les lois liberticides contre la réinfosphère, dont Riposte Laïque, nos contributeurs, quotidiennement, continueront à dire aux Français une vérité que médias et politiciens font tout pour leur cacher.

19:47 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Carl Lang prendra la parole dimanche 13 mai à 14 h à l'hommage à Jeanne d'Arc

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