vendredi, 10 février 2017
10 février 1977, 10 février 2017 : souvenez-vous d'Alain Ecoffier
Le vendredi 10 février1977, une manifestation devant l’Aéroflot sur les Champs-Élysées à Paris, lieu symbolique de la recherche de respectabilité de l'URSS en France, était organisée par les Groupes d'action solidaristes. En présence d’un important service d’ordre de la Préfecture de police, quelques centaines de militants se rassemblèrent dans le calme, peu avant 15 heures.
Tout à coup, au milieu des slogans hostiles à l’URSS et au communisme en général, un homme jeune, en veste et cravate, se détacha de la foule. Il portait à la main deux jerricans en plastique. Profitant de l’inattention de la police, il entra dans le hall de l’agence soviétique, eut juste le temps de s’asperger de l’essence contenue dans les jerricans, lança un dernier « communistes assassins », puis s’enflamma.
Aussitôt, quelques employés russes de l’Aéroflot tentèrent de le secourir en utilisant un extincteur à poudre, en vain. Gravement brûlé, il fut transporté d’urgence à l’hôpital Foch de Suresnes, où il décéda de ses blessures.
Ce geste, peut être discutable, visait à attirer l'attention des Français sur les crimes communistes dans le monde. 12 ans plus tard, en novembre 1989, le Mur de Berlin s'écroulait.
Le suicide d'Escoffier eut un retentissement dans toute l'Europe. A l'instar de celui de Yann Pallach à Prague en 1968, il marqua toute une génération de militants nationalistes. Une chanson a même été composée quelques jours plus tard par des militants du MSI à la gloire d'Alain Escoffier.
19:12 Publié dans Nous avions un camarade..., Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Quand les politiques prendront conscience de l'importance de notre domaine maritime ?
Source cliquez ici
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jeudi, 09 février 2017
L'Africain Théo Luhaka a menti, l'enquête démontre qu'il n'a pas été victime d'un viol 9 Février 2017
Les premiers éléments de l’enquête de l’IGPN écartent la qualification de “viol”, mais retiennent celle de “violences volontaires”. Le témoignage d’un riverain confirme cette version.
Les circonstances de l’interpellation jeudi dernier à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) de Théo Luhaka, 22 ans, se font plus précises. Le compte rendu de l’enquête de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) transmise au juge de Bobigny en charge de l’affaire, tendrait à démontrer que le jeune homme n’a pas été victime d’un acte de viol intentionnel.
La justice disposerait du témoignage d’un riverain qui aurait assisté à l’interpellation musclée de l'Africain qui se débattait, sans pour autant constater quelque action des policiers apparentée à un “viol”.
L’analyse d’une vidéo de neuf minutes filmée par les caméras de la police municipale aurait permis aux enquêteurs de la “police des police” de s’assurer que le jeune homme n’a pas été “violé délibérément” par l’un des fonctionnaires, mais victime notamment “d’un coup de matraque qui a occasionné de sérieuses blessures sans que celui-ci ait été porté dans l’intention de le violer” précise une source judiciaire.
En ce sens, l’enquête confirme les premiers chefs d’accusations retenus vendredi par le Parquet de Bobigny, qui avait alors qualifié les faits en “violences volontaires”. Mais dimanche soir, dans la précipitation, le juge d’instruction a décidé de poursuivre les quatre policiers pour “violences volontaires” dont l’un d’eux pour “viol”.
Source M6 infos via Thomas Joly cliquez ici
19:17 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Quelle alternative : une monnaie réelle ou une monnaie virtuelle ?
Pieter Kerstens
A l’heure où la Commission Européenne planche pour la suppression du cash et force à nous diriger vers la carte plastique, unique modèle de nos paiements futurs pour toutes nos dépenses qui seraient bien évidemment contrôlées, existe-t-il une autre solution ?
Le Bitcoin est une première devise monétaire électronique décentralisée. Cette devise circule via Internet et possède un avantage par rapport aux autres monnaies alternatives : transmission (échanges) via un réseau (le net) sans passer par une banque ou un intermédiaire financier, ce qui réduit les coûts éventuels de transactions et le temps nécessaire à l’exécution de la transaction qui est plus rapide et rend l’opération mieux sécurisée que les transactions financières classiques.
L’utilisation du Bitcoin est planétaire, le compte ne peut pas être bloqué, et il n’existe pas de conditions préalables pour son ouverture. Pour effectuer des transactions, il est nécessaire de passer par des bourses d’échanges et recevoir des devises ou même payer des services comme le taxi, voir l’achat de biens de consommation. Les Bitcoins sont conservés dans un portefeuille électronique dont l’accès est assuré via un ordinateur ou un téléphone. La sécurité des transactions est assurée par des opérateurs rémunérés sur les Bitcoins nouvellement créés. Ces transactions sont enregistrées dans un registre tenu à la disposition du public : la transparence est donc bien supérieure aux flux financiers classiques trop souvent indétectables. Comme ce système de transactions n’est pas soumis à des règles contraignantes, les intervenants comme les entreprises pourraient l’utiliser pour effectuer des opérations sans pertes de changes, à l’instar du WIR en Suisse qui garantit ainsi une meilleure stabilité à l’économie suisse.
Malgré les quelques déboires enregistrés depuis sa conception en 2009, cette devise cryptographique est nettement moins vulnérable que les devises émises par les banques centrales : pas de contrefaçon possible, vols insignifiants par rapport à l’argent classique, impossibilité de stopper les transactions par un quelconque moratoire, inflation par définition impossible car la création de bitcoins est limitée à 21 millions d’unités.
Cependant la volatilité du Bitcoin est en fait une « devise » spéculative plus qu’une devise d’échanges car le nombre d’intervenants n’est pas encore suffisant pour assurer une stabilité des transactions. Plus le nombre d’usagers du bitcoin augmentera plus le cours se stabilisera, sans pour autant ne plus varier parfois fortement. En effet, le cours du bitcoin est passé de 15 USD début 2015 à 1000 USD en décembre 2015 avant de replonger à 215 USD début 2015. En ce début d’année 2017, le cours avoisine les 1000 USD.
Cliquez ici pour le lien permettant de visualiser l’évolution du cours depuis ses débuts.
De plus, comme le compte sur lequel vos bitcoins sont déposés est lié à votre ordinateur il convient de bien protéger celui-ci ainsi que de s’assurer que le fournisseur d’accès à votre portefeuille l’est aussi.
09:06 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 08 février 2017
Un entretien avec Roland Hélie publié aujourd'hui sur le site Paris Vox.
Paris Vox – Les éditions de Synthèse Nationale sortent en fin de mois un nouvel opus de ces Cahiers d’histoire du nationalisme l’occasion pour Paris Vox de rencontrer Roland Hélie, le directeur de Synthèse nationale et des Cahiers d’Histoire du nationalisme, afin de nous présenter la maison d’édition qu’il dirige et le nouveau Cahier d’histoire du nationalisme traitant du MSI.
Paris Vox : Roland Hélie (1), pourriez-vous nous présenter les éditions de Synthèse nationale ?
Roland Hélie : Nous avons créé la revue Synthèse nationale à l’automne 2006. Le 2 octobre dernier, au cours de la Xe Journée nationale et identitaire, à Rungis, nous avons donc fêté son dixième anniversaire. Quant aux éditions, à proprement parler, elles ont été créées en janvier 2012. Il s’agissait de compléter la revue par des livres destinés à la formation des militants (2).
En avril 2014 nous avons lancé Les Cahiers d’Histoire du nationalisme qui, comme leur nom l’indique, abordent l’histoire de notre famille d’idées. Nous en avions assez que celle-ci soit toujours dénigrée, voire caricaturée, par nos adversaires. Après tout, pourquoi les nationalistes ne seraient-ils pas les mieux placés pour raconter leur propre histoire ?
A ce jour, dix numéros d’environs 200 pages chacun sont sortis. Parmi les thèmes traités : Léon Degrelle et le rexisme, Tixier-Vignancour, le Parti des Forces nouvelles, François Duprat et le nationalisme révolutionnaire, Jean Mabire l’éveilleur de peuples, ou encore Pierre Drieu la Rochelle dans la livraison de l’été dernier…
Paris Vox : Les Cahiers d’Histoire du nationalisme sont une référence “éducative”, le prochain livre traitera du Mouvement Social italien, pourquoi ce choix ?
Roland Hélie : Le MSI a été créé en janvier 1947, il y a donc 70 ans. Nous avons pensé qu’il était important de marquer cet anniversaire. Le MSI, ce n’est pas n’importe quel mouvement européen. Ce fut, 50 ans durant, le mouvement phare de la résistance européenne. L’exemple qu’il fallait suivre et qui inspirait tous les autres mouvements nationalistes d’Europe.
De campagnes originales en succès électoraux, le MSI dirigé entre autres par Giorgio Almirante, personnalité remarquable qui marqua durablement la vie politique italienne, prouva qu’il était possible de développer des idées radicales tout en participant à la vie démocratique du pays. Ce qui ne faisait pas vraiment partie de la “culture maison” des mouvements nationalistes en Europe dans les années 50.
Il faudra attendre le milieu des années 80 pour que la droite nationale française, rassemblée autour de Jean-Marie Le Pen, puisse lui emboiter le pas.
Paris Vox : Qui est l’auteur de ce livre ?
Roland Hélie : Sans doute l’homme le mieux placé et le plus compétent pour réaliser un tel ouvrage puisqu’il s’agit de Massimo Magliaro qui fut pendant plus de vingt ans le bras droit de Giorgio Almirante. Il fut rédacteur en chef du Sécolo d’Italia, le quotidien missiniste (c’est ainsi que l’on appelait en Italie les membres du MSI) et le fondateur de l’agence de presse du mouvement. Après la mort d’Almirante, en mai 1988, Massimo Magliaro, en désaccord avec la ligne de renoncement imposée par Gianfranco Fini (le successeur peu scrupuleux), quitta le MSI et devint alors l’un des directeurs de la RAI (la radio italienne). Il est aujourd’hui l’un des responsables de l’Institut d’études corporatistes et de la revue attachée à cet institut.
Paris Vox : N’a t’il pas été compliqué de le convaincre de réaliser cet ouvrage ?
Roland Hélie : Pas vraiment. En fait, c’est Massimo, qui est un ami depuis presque 35 ans, qui m’a proposé de rédiger ce cahier. Le 70e anniversaire de la création du MSI a eu un bel impact en Italie et nous avons pensé que la droite nationale française devait aussi fêter cet événement, ici à Paris. L’histoire du MSI, qui hélas s’est terminée au milieu des années 90 dans des conditions pas très glorieuses, mérite d’être méditée. Elle est riche d’enseignements.
Paris Vox : Que s’est-il passé ?
Roland Hélie : Alors qu’il atteignait des résultats plus qu’encourageants (dépassant les 20 % à chaque élection), Fini et ses amis, assoiffés de respectabilités, crurent que c’était arrivé et qu’il suffisait de rompre avec les fondamentaux qui faisaient l’originalité du mouvement pour arriver au pouvoir. Le MSI se transforma en une éphémère “Alliance nationale” qui s’intégra dans la coalition droitière de Silvio Berlusconi. Il y perdit son identité et, en quelques années, il disparu du paysage politique italien.
Cette “sortie de course” fut peu reluisante et la droite radicale italienne a bien du mal à se reconstituer aujourd’hui. Même si certaines initiatives, comme la Casa Pound, ne manquent pas d’intérêts.
Paris Vox : Vous organisez un banquet le samedi 25 février prochain pour la sortie du livre et pour les 70 ans du MSI, qui peut venir et comment peut-on s’inscrire ?
Roland Hélie : C’est un banquet amical qui aura lieu dans une grande brasserie parisienne. Tous les amis nationaux, nationalistes, identitaires et patriotes qui s’intéressent à l’Histoire de ce mouvement sont donc les bienvenus. Il leur suffit de s’inscrire et ils recevront les informations précises sur la soirée (3).
Paris Vox : Pour conclure, y-a-t-il d’autres actualités que vous souhaitez signaler aux lecteurs de Paris Vox ?
Roland Hélie : La XIe Journée de Synthèse nationale aura lieu à Rungis le dimanche 1er octobre prochain. Les lecteurs de Paris Vox qui s’intéressent à la démarche de rassemblement des forces patriotiques non conformistes que nous proposons seront les bienvenus.
Notes
(1) Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale et des Cahiers d’Histoire du nationalisme.
(2) Consultez le site www.synthese-editions.com
(3) Pour s’inscrire, il vous suffit d’envoyer vos coordonnées (accompagnées d’un chèque à l’ordre de Synthèse nationale de 42 € par personnes) à : Synthèse nationale 9, rue Parrot (CS 72809) 75012 Paris (correspondance uniquement).
Nous remercions Roland Hélie pour sa disponibilité et invitons nos lecteurs soucieux de mieux connaître les éditions de Synthèse Nationale d’aller sur le site de l’éditeur : www.synthese-editions.com.
Lire Paris Vox cliquez ici
19:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
JEUDI 9 FÉVRIER : JEAN PICOLLEC INVITÉ DE SYNTHÈSE SUR RADIO LIBERTÉS
Ecoutez Radio Libertés cliquez ici
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La seule erreur de Trump : la dérégulation de Wall Street
Marc Rousset
Trump fait ce qu’il dit ! Il l’avait annoncé pendant toute sa campagne électorale, mais Trump a tout faux en voulant déréguler Wall Street et les banques américaines !
Trump souhaite mettre en place un développement économique tiré par le secteur financier et le développement industriel à l’abri de barrières douanières. Mais déréguler est un jeu très risqué si l’on pense à l’énormité de l’endettement des Etats-Unis, au très fragile équilibre économique mondial, à la bulle financière à Wall Street provoquée par l’assouplissement monétaire quantitatif de la Fed et les très bas taux d’intérêt.
Obama le bien pensant, qui a eu tout faux, avait fait une chose juste : réglementer Wall Street et les banques au lendemain de la crise de 2008, en faisant voter par le Congrès la loi Dodd-Franck, afin d’éviter une nouvelle crise financière, économique, sociale, style 1929.
Trump prétend que cette loi complique la vie des entreprises, des banques et des consommateurs, ce qui ralentit la croissance. IL veut donc s’attaquer à la disposition « Volcker » qui interdit aux établissements bancaires de spéculer pour leur propre compte, tout comme de prendre des participations dans des fonds spéculatifs.
Trump a aussi dans le collimateur le « Bureau de Protection financière du consommateur » créé afin de réguler les prêts hypothécaires et les cartes de crédit qui avaient été à l’origine de la crise financière des « subprimes » en 2008.
Trump veut aussi revenir sur l’application de la « règle fiduciaire » qui oblige les banques à agir dans l’intérêt de leurs clients et non pas de leurs spéculations ou de leurs commissions bancaires, avec des risques clairement indiqués.
Le but de la loi était aussi de mieux encadrer les produits dérivés, d’augmenter les capitaux propres des banques, de leur faire passer des tests de résistance, de mettre un terme à la menace des banques « trop grosses pour faire faillite ».
Trump se trouve donc en contradiction avec lui-même car il s’attaque au pilier de sa base électorale pour plaire à l’Etablissement de Wall Street. Et contrairement à ce qu’il prétend, les statistiques de la Fed prouvent que les prêts bancaires aux entreprises et aux particuliers ont été très élevés.
Le principal Conseiller de Trump est Gary Cohn, l’ex numéro deux de Goldman Sachs, qui vient de quitter la banque en vendant 300 000 actions au plus haut, avec 120 millions de dollars pour solde de tout compte ; on comprend alors mieux la réalité de la situation.
Le risque d’un krach bancaire, financier, économique, mondial est toujours très élevé. De nombreux parlementaires Républicains mettent en avant le fait que cette loi a permis d’assainir les banques et le système financier américain. IL faut espérer que le Congrès ne donnera pas son feu vert pour révoquer la loi Dodd-Franck.
13:28 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un nouveau voyage en Syrie est organisé en mars 2017
L’association "La Communauté Syrienne de France" dans le cadre de projet « Solidarité Syrie», organise son 7e voyage de solidarité au cœur du la SYRIE au mois de mars 2017, en coordination avec les autorités et des associations locales…
Programme indicatif :
Un programme d’une semaine vous invite à découvrir les richesses culturelles et historiques de la Syrie et quelques joyaux du patrimoine syrien autant que du patrimoine de l’humanité (Ougarit, le Krak des Chevaliers...).
Opportunité unique d'une plongée dans l’actualité… Vous approcherez la réalité de la guerre actuelle par des rencontres en toute liberté avec le peuple syrien, un peuple debout : civils, dans la vie de chaque jour, mais aussi simples soldats et officiers, personnalités politiques, journalistes dont cetains, sur le front, couvrent cette actualité brûlante. Ceux, nombreux, qui ont déjà participé à des voyages avec la Communauté Syrienne de France ne peuvent que vous encourager vivement à aller à la découverte d'une Syrie authentique, d'hier et d'aujourd'hui…
Principales villes prévues dans les visites : Damas, Lattaquié, Homs, Hama, Alep… (toujours dans des zones entièrement sécurisées par l’autorité syrienne).
Un programme aussi détaillé que possible vous sera transmis dès sa finalisation et sa validation terminées. Ce voyage en Syrie est strictement limité à une participation de 12 à 15 personnes…
Inscriptions reçues jusqu'au 15 février 2017 par courriel à l'adresse suivante : rcsfrance@gmail.com
07:22 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 07 février 2017
Qu’est-ce qu’un envahisseur ?
Bernard Plouvier
Dans l’imaginaire collectif d’Européens trop sensibles aux fééries hollywoodiennes – tellement schématiques, en matière d’histoire, qu’elles ne sont que caricatures -, l’invasion est une affaire sanglante, « pleine de bruit et de fureur », de viols et de rapts, de pillages et d’incendies.
Il est exact que l’invasion des hordes d’Attila fut en grande partie cela, et bien davantage encore la déferlante mahométane en Ibérie et en Aquitaine, puis la barbarie mongole en Europe orientale et centrale.
L’actualité, en Europe occidentale et scandinave, prouve la persistance et la vivacité de ce type de comportement chez les sauvageons africains, proches et moyen-orientaux. Si les attentats, individuels et collectifs, ne défraient la chronique que de façon mensuelle, le vandalisme dirigé contre les installations publiques, les lieux de culte, notamment chrétien, et les propriétés privées est affaire quotidienne, comme le sont les actes de racket, les vols, les viols et les agressions physiques… et si l’on en venait à dénombrer les manifestations verbales de racisme anti-Blancs, l’on devrait compter en secondes. Tout cela est bien connu – sauf de la presse bobo-socialo-friquée.
Il est une autre forme d’invasion, moins spectaculaire dans ses manifestations, mais infiniment plus pernicieuse : celle de la mendicité et du service rendu ou soi-disant tel. « Le Barbare peut franchir la frontière en suppliant ou en auxiliaire aussi bien qu’en agresseur… Il use de la prière ou du service plus souvent que de la violence » (Joseph Calmette, in Le monde féodal, 1934).
Il est de fait que les Germains se sont initialement implantés dans l’Empire romain d’Occident comme auxiliaires ou comme réfugiés, repoussés par les Slaves puis par les Huns. Ils ont d’ailleurs remarquablement aidé les Gallo-Romains à écraser l’envahisseur hunnique au Ve siècle. En outre, même lorsqu’ils se comportaient en pillards, ils régénéraient les populations occidentales par un fort utile apport génétique : on restait au sein de la même race continentale, l’européenne.
De nos jours, le spectacle des réfugiés africano-asiatiques, chassés de chez eux par la barbarie islamique ou les jeux pervers des dirigeants US – du style George Bush junior ou Barack-Hussein Obama -, est indéniablement pitoyable. Seulement, après avoir nourri et formé à un métier utile ces extra-Européens, n’avons-nous pas le devoir de les rendre à leurs continents d’origine, pour que ces ex-réfugiés, secourus et convertis à la technicité occidentale, civilisent leurs Nations d’origine ?
Les agents de désinformation clament l’intérêt de la mixité des races et des civilisations, en complet désaccord avec les faits observés dans les pays multiraciaux (USA, Mexique, Brésil, pour prendre quelques exemples simples où fleurit la violence interraciale de façon quotidienne). On peut prendre ces bêlements de propagande pour ce qu’ils sont : la soumission aux intérêts de la grande distribution.
Les mêmes immigrés-réfugiés-envahisseurs consommeraient infiniment moins s’ils étaient restés chez eux. Accueillis par des États occidentaux, ils jouissent d’une multitude de lois à caractère social (même les immigrés clandestins ont droit à une allocation spécifique en France), en plus d’usages, pas toujours conformes à la loi, d’organismes publics locorégionaux et de dons issus de la charité privée. Pourquoi retourneraient-ils dans leurs gourbis insalubres alors qu’ils bénéficient de jouissances matérielles infiniment plus grandes que dans leur continent d’origine et contre un travail nettement moins harassant, voire pas de travail du tout ?
De fait, se pose le problème de leur intégration. Qu’ont-ils à donner en contrepartie de tout ce que nous leur offrons ? De façon trop fréquente, ils nous font présent de rejetons peu doués, souvent délinquants, presque jamais courtois, en sus d’une religion conquérante, aux usages médiévaux adaptés à des continents où la rudesse et une conception très particulière des rythmes de travail sont opposées aux nôtres.
Les empires hellénistique et romain ont tenté d’amalgamer l’Afrique du Nord et le Proche-Orient à l’Europe, du moins celle qui était étendue de l’Atlantique et de la Méditerranée au Rhin et au Danube, et cela fut un échec intégral.
Pourquoi voudrait-on récidiver dans l’erreur ? Si c’est pour satisfaire l’esprit de lucre des très curieux « humanistes » de Wall Street, de la City londonienne et des multinationales, ou pour communier à la niaiserie, plus ou moins intéressée, des affairistes (souvent repris de justice) du Charity business, d’un pape étonnant et de politicien(ne)s toqué(e)s, ce n’est peut-être pas nécessaire.
17:53 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Carl Lang à Toulouse samedi 11 février
17:46 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Franck de La Personne : plus un outing qu'un ralliement
Hristo XIEP Média presse info cliquez ici
vieille carne cathophobe de Jean-Michel Ribes va en avaler de travers. Lui qui s’est encore distingué dans l’enflure ordurière contre la majorité du peuple américain (« Trump est un gros con élu par des catégories de gens qui ne m’intéresse pas ») et qui touche 4 millions de subventions par an voit l’un des anciens de la série Palace rallier Marine le Pen. C’était à l’époque où Franck de Lapersonne, qui était encore maigre et avait des cheveux roux, jouait dans cette série plusieurs personnages, notamment Combier, l’assistant du docteur Swift du Labo Palace qui fut notamment mordu par une savonnette, et un client qui prit un très gros risque en commandant un rôti de cerf au restaurant… Le pauvre, s’il fut un grand acteur de théâtre, se retrouva à tourner dans les pires navets de propagande, tels Survivre avec les loups, le Crocodile du Botswanga ou Lucie Aubrac. Comme quoi, il est nécessaire de dissocier parfois l’homme de l’œuvre, et que l’on peut bien penser tout en tournant dans de la daube propagandiste. Dame, il faut bien manger… surtout quand on descend d’une lignée aristocratique : des seigneurs de Dhuisy et d’Hermensis, vicomtes d’Acy et seigneurs de Variscourt…
Franck de La Personne, ou plus exactement de La Personne (car son patronyme est orthographié ainsi sur sa carte d’identité), a donc officialisé son ralliement à Marine Le Pen lors du meeting qu’elle a tenu à Lyon le 4 février. Dans son discours, salué par une standing ovation du public, il a développé un argumentaire dans la droite ligne du parti : « Victor Hugo n’a pas appris l’arabe, et ça me fait plaisir de le savoir », pendant que la foule scandait : « On est chez nous ! ».
Le fait que Franck de La Personne soit au Front National n’est pas un scoop. Cela a même failli lui coûter sa carrière. L’un des plus grands connaisseurs des arcanes de la vie parisienne, le Marquis Jean-Paul Chayrigues d’Olmetta, avait raconté comment à la fin des années quatre-vingt, Franck de La personne avait annoncé à haute voix qu’il avait voté pour Jean-Marie Le Pen aux Présidentielles (il s’agissait, si mes souvenirs sont exacts, de celles de 1995) devant un parterre d’acteurs qui étaient plutôt du genre à voter à gauche de la gauche. Réalisant la boulette qui aurait pu lui valoir une fin de carrière immédiate, il a rapidement fait circuler le bruit que les dits propos étaient une blague de mauvais goût dite en état d’ivresse. Il essaya ensuite de brouiller les pistes en se présentant comme d’extrême-gauche, proche du néo-stalinien Jean-Luc Mélenchon.
Si quelques personnalités ont déjà par le passé refuser de critiquer le Front National (le footballeur Christophe Dugarry), voir même pris la défense de membres du FN dans des cas précis (la chanteuse Françoise Hardy, les chanteurs Hugues Aufray et Daniel Guichard), rares sont celles qui se sont engagées partiellement (Albert « Bébert » Kassabi, chanteur du groupe Les Forbans, l’acteur Alain Delon, le commentateur sportif Thierry Roland) ou ouvertement. Parmi celles et ceux qui ont fait en quelque sorte leur « outing » tricolore, notons l’actrice Brigitte Bardot, l’humoriste Jean Roucas, le musicien Mikaël Sala ou le champion automobile Pierre Lartigue… Pour le moment c’est peu, mais attendez que le Front National arrive au pouvoir et ça va se rallier par wagons entiers…
16:41 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les « Bobards d’Or » font le plein !
Source Paris Vox cliquez ici
La 8ème soirée des Bobards d’Or se déroulait hier au Théâtre du Gymnase Marie Bell. Nous vous avions annoncé la soirée ici : cliquez ici. La salle était comble pour célébrer les plus fameux des bobards des médias de propagande. Marion Maréchal Le Pen était notamment présente dans le public.
La soirée sous le patronage de Polémia ne se limitait pas à la présentation des 6 bobards. Le Décodex du Monde cliquez là était sur l’ensemble des lèvres. Chaque Bobard était « défendu » par un journaliste afin de justifier que celui-ci était bien le Bobard d’Or en puissance.
Les six journalistes présents sur le plateau représentaient un panel des médias de réinfomation : Martial Bild (TV Libertés), Charlotte d’Ornellas et Gabrielle Cluzel (Boulevard Voltaire), Yann Valérie (Breizh Info), Caroline Parmentier (Présent ) ou encore le Salon Beige.
Pour chaque Bobard un travail documenté de vidéos et d’articles présentait clairement les preuves du mensonge. Des dessinateurs de presses illustraient la soirée en direct, suscitant bien souvent les rires du public.
Plusieurs intermèdes ont eu lieu entre chaque Bobard, le premier concernait les humoristes sur les antennes radios ou télés, un autre était consacré aux meilleurs Tweet, et Benjamin Dormann a également fait une présentation peu élogieuse de la presse mainstream. Il a notamment dénoncé pendant sa prise de parole la presse qui vit sous perfusion publiques. Selon son décompte, il est versé chaque année 9000 € par carte de presse en subventions. Un état des lieux des actionnaires des médias a également été présenté.
L’élection du Bobard d’Or était serrée entre le bobard poids lourds et le bobard tintin grand reporter. Il a fallu procéder à un deuxième vote pour les départager.
Ce sont Hugo Clément et Yann Barthès, qui officiaient sur Canal + et avaient fait une visite assez militante de Molenbeek, qui ont finalement raflé la mise, charge a Martial Bild de leurs remettre le prix ou du moins d’essayer ! cliquez ici
La soirée était alors conclue par un discours de Jean-Yves le Gallou incitant les médias de Réinformation à créer et produire du contenu qualitatif.
Rendez-vous l’année prochaine pour une nouvelle cérémonie des Bobards d’Or.
12:50 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Extraits du nouvel album CD des Brigandes intitulé "Foutez le camp"
Pour acheter le nouvel album CD des Brigandes cliquez ici
12:41 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
2017 : l’ère des révolutions
Richard Dessens EuroLibertés cliquez ici
La Russie va commémorer le centenaire de la Révolution russe dont la première étape démarre en février 1917. La seconde, celle d’octobre voit la victoire des Bolcheviques et des Thèses d’avril de Lénine.
L’Histoire a des constantes entêtantes. Les siècles historiques ne correspondent jamais aux siècles calendaires. Leurs vingt premières années ont toujours été décisives. La guerre de 1914 et la Révolution russe marquent la fin du XIXe siècle et ouvrent la terrifiante modernité d’un XXe siècle meurtrier.
Petit rappel…
1117 : début du règne des Capétiens qui durera jusqu’en 1328. La période du bas Moyen Âge commence avec celle de l’instauration progressive de l’État.
1217 : après la victoire de Bouvines, Philippe Auguste devient le premier symbole d’une « nation » française en formation. Gengis Khan entame ses conquêtes prodigieuses jusqu’à la Russie, dernier rempart de l’Europe du XIIIe siècle.
1317 : mort de Philippe le Bel en 1314, et début de la fin des Capétiens directs avec les courts règnes désastreux des « Rois maudits », puis de la guerre de Cent Ans.
1417 : fin du règne calamiteux de Charles VI le Fou et réunification de la Papauté avec la fin des antipapes d’Avignon.
1517 : Martin Luther placarde ses « 95 propositions ». C’est le début d’un siècle de bouleversements religieux et politiques sans précédents en Europe.
1617 : après 1613 qui voit l’élection des Romanov en Russie pour trois siècles, la noblesse française entame un processus de Fronde contre un pouvoir central qui la dépouille peu à peu de ses pouvoirs locaux.
1717 : fin du règne de Louis XIV en 1715 et commence la propagation du Siècle des prétendues « Lumières » qui aboutit à la Révolution bourgeoise de 1789.
1817 : Napoléon déchu et signature du Traité de Vienne. Une nouvelle ère s’ouvre sur un XIXe siècle qui révolutionne l’Europe jusqu’à la déflagration de 1914 et la fin d’un monde.
Les entames des siècles façonnent depuis toujours un monde nouveau avec des bouleversements majeurs. C’est ce que nos « années 2017 » nous montrent encore une fois : réveil de la vieille Russie, Brexit, élection inouïe de Donald Trump aux USA, poussées sans précédent des « populismes » en Europe, problématiques religieuses et civilisationnelles posées par l’Islam radical notamment, puissance gigantesque d’une Chine inquiétante, bref, tous les ingrédients d’un changement fondamental politique, sociologique, religieux, sont rassemblés en cette année 2017 symbolique. Année de tous les dangers, année de tous les espoirs.
Il faut être un doux rêveur ou un dangereux idéologue humaniste pour ne pas voir la réalité qui nous entoure et continuer à faire avec les logiciels de la politique issus de 1945 pour les uns, ou à vouloir faire passer leur extrême humanisme pour une modernité révolutionnaire pour d’autres.
Le mot « révolution » est revenu pourtant à la mode d’une manière ou d’une autre : Mélenchon, Macron, Bayrou l’emploient avec leurs propres significations, banalisant le mot en le vidant de sa substance. Lorsqu’on nous dit qu’il est impossible de faire autrement que de sacrifier aux oukases de la mondialisation, de l’Europe financière de la BCE, du FMI, de l’économie libérale, de la DUDH (Déclaration universelle des droits de l’Homme) et autres psalmodies politiquement correctes, il faut se rappeler qu’en Russie en 1917, on a fait autrement, dans un monde ultra-capitaliste ; que les envahisseurs barbares ont fait autrement en 410 lors du saccage de Rome ; que Danton et Robespierre ont fait autrement en 1793. Toujours au prix d’un bain de sang. Mais laisser une politique de renoncement ouvrir un champ libre à ceux qui veulent notre destruction, c’est choisir un autre bain de sang. Il faut garder l’initiative de la force si on ne veut pas se la faire imposer, comme des moutons menés à l’abattoir en bêlant.
On pourrait multiplier les exemples où la force l’a emporté sur un Droit pleutre et dépassé. Lorsque le Droit ne remplit plus son rôle protecteur des valeurs d’un monde, alors une force le balaie et crée de nouveaux droits.
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Génération Identitaire s’oppose au congrès de l’UOIF
Source Paris Vox cliquez ici
Hier, samedi 04 février, les jeunes militants du mouvement Génération Identitaire ont investi le palais des Congrès de Paris afin d’exprimer leur opposition à la tenue du congrès de l’UOIF (Union des Organisation Islamiques de France) qu’ils considèrent comme « complice des islamistes radicaux ».
Les forces de l’ordre, rapidement arrivées sur place, ont procédé à l’interpellation de la trentaine de militants qui ont été relâchés après un contrôle d’identité.
Voici le communiqué de l’organisation Génération Identitaire Paris :
Chassons les islamistes de l’UOIF !
Ce samedi 4 février, une trentaine de militants identitaires a perturbé le colloque de l’Union des Organisations Islamiques de France qui se tenait au Palais des Congrès de Paris, Porte Maillot. Bloquant les accès au salon, ils ont déployés deux banderoles : “Stoppons l’islamisation de l’Europe” et “UOIF complice des islamistes”. Ces messages visent à exiger la dissolution de l’UOIF, organisation islamiste promouvant un Islam totalitaire et conquérant, y compris en Europe.
Ils ont été délogés par la police au bout d’une heure et ont été relâchés à l’issue d’un contrôle d’identité.
L’UOIF est la branche française des frères musulmans, organisation considérée comme terroriste dans de nombreux pays. En islamisant la société française, en promouvant l’islamisme, l’UOIF se fait le complice des terroristes islamistes qui tuent au Bataclan ou à Nice.
Nous ne pouvons tolérer de laisser ces islamistes de l’UOIF s’exprimer publiquement et répandre leur idéologie avec le soutien des autorités françaises.
Pour assurer la sécurité des Français, chassons les islamistes de l’UOIF !
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Le Journal du chaos de cette semaine
Le lire cliquez ici
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lundi, 06 février 2017
Fillon, le chasseur devenu gibier...
Un communiqué de Jean-Marie Le Pen :
Depuis le début de l’affaire FILLON, je mets l’opinion en garde contre les graves dérives qui polluent notre régime démocratique et donnent au gouvernement en place tous moyens de persécuter ses adversaires, au mépris du principe de séparation des pouvoirs.
Ces moyens forment une sorte de trilatérale : la presse, tels Médiapart et le Canard Enchaîné dans le rôle des sycophantes ; l’enquête préliminaire sans juge ni dossier d’accusation ; le parquet national financier enfin, créature juridique socialiste née de l’affaire CAHUZAC.
Ami intime du système, tout soudain bouleversé de se voir appliqué le traitement réservé aux parias, aux « intouchables » selon ses mots, M. FILLON, chasseur devenu gibier, n’a-t-il pas mérité ce douloureux retour de bâton ?
19:23 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le vrai visage de Macron...
18:09 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Réinfo, le mag du Parti de la France, de cette semaine
10:30 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les frontières de cœur d’Erdogan
Au début du mois d’octobre 2016, sur les bords de la Mer Noire à Rizé et devant les cadres de l’AKP, le président Erdogan tint un discours qui aurait dû susciter l’attention et la réaction de tout le monde, des Européens en particulier.
Ce jour-là, le chef d’État turc énonça ce qu’il appelle ses « frontières de cœur ». « On nous demande pourquoi nous nous intéressons à l’Irak et à la Syrie, à l’Ukraine, à la Géorgie et à la Crimée, à l’Azerbaïdjan et au Karabakh, aux Balkans et à l’Afrique du Nord, dit-il. Mais ces pays ne nous sont pas étrangers. Comment faire la différence entre Rizé et Batoumi [en Géorgie] ? Comment évoquer Edirne [l’ancienne Andrinople en Turquie d’Europe] sans parler de Thessalonique [en Grèce, ville natale d’Atatürk] et de Kardjali [en Bulgarie] ? Comment ne pas admettre que Gaziantep, Alep [en Syrie], Mardin, Syrte [en Libye] et Mossoul [en Irak] ne sont pas liés ? De Hatay au Maroc, vous trouverez les traces de nos ancêtres. C’est la même chose en Thrace et en Europe de l’Est. » Il se répéta, le 23 octobre suivant, à Buran près de la frontière bulgare : « Aujourd’hui, lorsque nous parlons de la Syrie, de l’Irak, de la Crimée, de la Thrace occidentale et de la Bosnie, des gens nous regardent comme si nous étions des extraterrestres. […] Mais pour nous il ne s’agit pas d’autres mondes, mais de morceaux de notre âme. » N’oublions pas que l’Albanie, longtemps turque et dont serait originaire la famille de Mustafa Kemal Atatürk, n’accéda à l’indépendance qu’en 1912…
Ces déclarations confirment la vision du monde d’Erdogan déjà exprimée dans son somptueux palais présidentiel par 16 soldats en tenue d’époque qui représentent l’ensemble des empires turcs et turcophones d’Asie centrale depuis le IIe siècle de notre ère. Parallèlement à ces incantations, la Turquie a inauguré en mai 2016 sa première base militaire à l’étranger, au Qatar.
Longtemps adepte de la diplomatie du « zéro problème avec les voisins », Ankara soutient dorénavant un ambitieux projet géopolitique, synthèse entre la vision néo-ottomane des cénacles islamistes conservateurs de l’AKP et la conception pantouranienne anti-européenne du MHP (le Parti de l’Action nationale) qui donne un néo-panturquisme susceptible d’attirer en outre les eurasistes turcs et les kémalistes les plus patriotes (l’invasion en 1974 du Nord de Chypre fut ordonnée par le kémaliste social-démocrate Bülent Ecevit).
Formé dans sa jeunesse par la droite radicale avant de se rallier à la mouvance islamiste, Recep Tayyip Erdogan reprend à son compte le compromis national-islamiste encouragé par le général Kenan Evren au lendemain du coup d’État de 1980. Ainsi l’AKP passe-t-il de la « démocratie musulmane » à un « islamo-nationalisme grand-turc ». Cette convergence s’explique enfin par des considérations politiciennes intérieures : l’AKP a besoin des voix du MHP au Parlement pour réviser la Constitution et établir par référendum une république hyper-présidentielle.
Les propos d’Erdogan ne sont pas encore des revendications territoriales, mais ils indiquent que la Turquie affirme son rôle de puissance régionale face à l’Arabie Saoudite déclinante, Israël ragaillardi, et – surtout – la Russie et l’Iran. L’épineuse question d’Orient relance le « Grand Jeu ».
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 19, diffusée sur Radio-Libertés, le 3 février 2017.
07:44 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Cérémonie organisée par le Cercle franco hispanique en hommage à Robert Brasillach
Samedi matin, comme chaque année, le Cercle franco-hispanique a déposé une gerbe sur la tombe de Robert Brasillach, assassiné le 6 février 1945 et enterré dans le petit cimetière situé au pied de l'église St Germain de Charonne dans le XXe arrondissement de Paris. Une centaine de personnes, dont de nombreux jeunes, a assisté à cet acte de fidélité.
Nous vous proposons ici le message d'Hélène Grimaldi, Présidente du Cercle franco-hispanique, prononcé à l'attention des participants :
Chers amis,
Comme chaque année, nous sommes réunis ici, dans ce cimetière à dimension humaine qui respire la quiétude et la modestie parce que « chaque âge a sa beauté et que cette beauté doit toujours être une liberté ».
Nous avons comme devoir de ne jamais oublier la première semaine de février 1945.
Quand Maître Isorni est venu apprendre à Robert Brasillach que son recours en grâce avait été rejeté par De Gaulle, il lui dira que des « milliers de gens sont avec lui et lui demeurent fidèles », Robert Brasillach répondra : « Je sais ».
Plus de soixante-dix ans après ce « Je sais », notre présence ici est le maigre témoignage de respect et de fidélité que nous lui offrons.
Nous sommes ici pour garder en mémoire ce « Je sais » comme un cri collectif d’Amour et d’Espérance pour la France, en souvenir fidèle à un martyr et aussi en témoignage d’adhésion à Celui qui savais, celui qui a donné sa vie pour la nôtre en disant « Pardonne leur, ils ne savent pas ce qu’ils font ».
N’oublions jamais que l’extrême difficulté de notre mission politique est une épreuve à la hauteur de nos ambitions, toutes au service de la Patrie, que Jose Antonio Primo de Rivera a définit comme une Unité de destin dans l’Universel.
« Vers l’avenir, fidèles au passé » chantons-nous.
Sans nous, sans notre extrémisme qui n’a d’extrémisme que notre rigueur et notre fidélité, le nationalisme ne serait plus digne du sacrifice de Robert Brasillach. Il aurait perdu son contenu historique et empiriste pour se fondre dans un contenu populiste.
Nous élevons la voix comme l’a fait Robert Brasillach contre ceux qui par démagogie rabaisse notre peuple à des discours populaciers, des formules vides, mensongères et irréelles.
N’oublions pas comme disait Robert Brasillach que « nous n’avons pas à renier le 6 février. Chaque année, nous allons porter des violettes place de la Concorde devant cette fontaine devenue cénotaphe en souvenir de nos morts. Chaque année la foule diminue, parce que les patriotes français sont oublieux par nature. Seuls les Révolutionnaires ont compris le sens des mythes et des cérémonies. Mais le 6 février fut un mauvais complot, ce fut une suite de sacrifices qui reste dans notre souvenir avec son odeur, son vent froid, ses pales figures courantes, ses groupes humains au bord des trottoirs, son Espérance invincible d’une révolution nationale, la naissance exacte du nationalisme social de notre pays ».
07:34 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 05 février 2017
6 FEVRIER 1945 : ASSASSINAT DE ROBERT BRASILLACH
10:31 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le seul projet qui vaille
Bernard Plouvier
C’est devenu une mode, en France : le moindre Président de la République veut laisser sa marque, par un grand chantier, généralement une réalisation architecturale, à vocation ou à prétention sportive, urbanistique voire artistique. C’est parfois réussi, parfois grotesque (l’exemple de Centre Pompidou de Beaubourg vient immédiatement à l’esprit)… ne fait pas le Palais de Versailles ou Notre-Dame de Paris qui veut.
Or, la Nation, lorsqu’elle est en état de péril grave, comme c’est le cas dans la plupart des États européens, de nos jours, a besoin de toute autre chose. Il est évident que les robots sans culture et les pions des maîtres du jeu économique ne peuvent apporter que ce pourquoi ils ont été programmés : une économie globale, où l’Europe ne doit plus être qu’un prestataire de services à haute valeur cérébrale ajoutée, un brassage des races et des cultures pour créer le consommateur universel, béat, médiocre dans ses ambitions de vie, et fier de l’être.
Le fait politique est tout autre chose. Le but de toute société bien ordonnée a toujours été et sera toujours de faire accepter, par une majorité de citoyens honnêtes et laborieux, une conception du monde qui renforce la cohésion de la Nation et la stabilité de l’État. Il importe toutefois de ne se tromper ni sur le but ni sur l’échelle des ambitions.
Écrire l’histoire de façon nationale comme on le fait encore de nos jours (soit à la façon des éveilleurs de nationalités du XIXe siècle) est très certainement la pire chose à faire si l’on veut sortir les Européens de leur marasme moral… en médecine, le terme marasme caractérise un processus de destruction progressive des tissus vivants, soit par la sénilité, soit par l’effet d’une maladie dévoreuse, en pure perte, d’énergie, donc de matériaux nobles.
De la même façon, concevoir la vie politique européenne, État par État, est une totale absurdité en cette nouvelle ère de confrontations d’ambitions impériales (ou impérialistes, comme on voudra). Le drame des Européens est d’avoir laissé la bride sur le cou aux chevaliers de l’économie libérale, un monde frelaté où la finance et ses profits l’emportent sur tout autre raisonnement, singulièrement celui de l’utilité sociale.
L’actuelle Europe des économies unies est une mauvaise chose, puisqu’elle est entachée d’erreurs de conception et d’artifices de propagande. Ses concepteurs, puis ses dirigeants n’ont pas été capables d’imposer une langue commune ni d’harmoniser le coût social du travail, donc les règles de concurrence. Ils se sont prosternés devant les grands prédateurs, confondant profits à court & moyen termes et enrichissement continental. Cette Europe-là est dépourvue de grandeur et de noblesse. Elle est destinée à mourir lorsque ses maîtres cosmopolites s’entre-dévoreront.
Le fait politique et ses mythes fondateurs sont donc à revoir et dans une optique toute différente de ce qui a été fait depuis les années 1960, et de façon accélérée depuis les années 1980.
L’idée de Nation doit être remplacée par celle de race et l’État national par un Empire étendu à l’ensemble du continent. Une fois l’idée devenue mythe fondateur, il sera temps de décider de l’organisation de l’État central (Défense et politique étrangère) et de chacun des États constitutifs. Tout en se souvenant que tout mode de gouvernement (centralisé ou fédéraliste) a ses avantages et ses inconvénients et que la théorie doit toujours être adaptée à l’évolution planétaire.
Une chose est certaine, il faudra abandonner sans regret la pratique de la politicaille, telle qu’elle est vécue par les Européens depuis la fin du XIXe siècle. Adieu les politiciens professionnels, inaptes, ineptes et trop facilement corruptibles ! De la même façon, les hommes et femmes des media devront cesser d’être de simples prostitués et retrouver un minimum de dignité, en informant de façon honnête, aussi totale que possible, sans occulter ni grossir exagérément les faits.
Il serait temps, pour les Européens, de tirer les leçons des errements du XXe siècle : deux guerres aussi destructrices que stupides, l’immonde expérience marxiste, la domination absurde de Nations entières par des non-Européens et par des dogmes étrangers à la culture européenne… dogmes religieux, politiques ou économiques.
Il serait bon qu’une saine réflexion, fondée sur l’étude historique honnêtement menée, remplace le simple réflexe mental ; que la pensée, issue du néocortex, refoule le schéma brutal, issu de l’archéocortex ; que le raisonnement l’emporte sur les slogans de propagande.
Contrairement à ce que croient la quasi-totalité des esthètes de la pensée, le populisme repose sur une vision optimiste et assez réaliste de l’être humain, selon laquelle chaque génération produit une quantité appréciable d’hommes et de femmes honnêtes, travailleurs, efficaces, issus de toutes les couches sociales.
De ce fait, la division de la société en castes héréditaires et matrimoniales et en classes distinguées par le rang de fortune est sans intérêt dans un État volontariste, qui a pour but premier de permettre aux individus les plus doués d’organiser la vie économique, sociale et politique, pour améliorer l’existant et, par-dessus tout, pour mettre en place les conditions d’un avenir meilleur pour les générations à venir.
Les petits maîtres de la politique ne laissent derrière eux que des bâtiments censés illustrer leur passage au Pouvoir ou à ses apparences. Les hommes d’État posent les fondements d’une nouvelle société, voire d’une nouvelle civilisation.
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10:02 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Attaquées sur les réseaux sociaux, les Brigandes réagissent
Un communiqué des Brigandes :
3 février 2017. Nous vous informons que les attaques pleuvent sur Les Brigandes. Depuis quelques mois, de fausses pages Facebook apparaissent pour nous nuire en répandant des accusations qui ne nous concernent pas. Autant nous que nos amis proches n’ont d’affaire judiciaire comme on tente de le faire croire. Par contre, les ennemis de tous les bords sont déchaînés.
Nous venons aujourd’hui même de faire fermer une page Facebook particulièrement délirante contrôlée par un pervers qui organise de faux dialogues où il fait les questions et les réponses sous des comptes différents. Les Brigandes n’ont pas de page Facebook et ne comptent pas en avoir, mais elles ont des ennemis tenaces prêts à toutes les impostures.
10:01 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Krach financier et bancaire en vue ! L’Europe passive et impuissante
Marc Rousset
L’Autorité bancaire européenne vient de reconnaître officiellement le risque très grave que représentent les créances douteuses dans les bilans des banques. Mais cet aveu de l’ABE n’est, en fait, que l’arbre qui cache la forêt d’un krach bancaire en vue, suivi d’un krach financier, nonobstant l’inéluctable remontée à venir des taux d’intérêt qui peut déclencher, à terme, un krach obligataire et boursier suffisant, à lui seul, pour mettre aussi au tapis toutes les banques européennes !
Les raisons d’un krach bancaire sont multiples : montant faramineux des créances bancaires douteuses, des capitaux propres bancaires insuffisants pour faire face aux véritables risques des actifs financiers niés par les médias, la folie et l’importance démesurée des marchés des produits dérivés, la quasi-faillite de nombreuses banques avec la Deutsche Bank en tête de liste. Quant à la politique monétaire laxiste de création monétaire européenne par la BCE au rythme de 80 milliards d’euros par mois, pour faire baisser l’euro et les taux d’intérêt, elle ne pourra pas être poursuivie indéfiniment.
Il faut, aussi, savoir que les États et l’Union européenne ont mis en place des fonds « bidon » ridicules et notoirement insuffisants pour sauver les dépôts des entreprises et des particuliers en cas de faillites bancaires. Ces fonds, de plus, ont des capitaux propres insuffisants ; leurs ressources reposent essentiellement sur des emprunts.
On voit donc toute la fragilité du système car, in fine, ces emprunts devront aussi être remboursés par des contribuables.
L’Europe fera face, un jour ou l’autre, au problème des créances douteuses dans les bilans des banques européennes, soit 47 % en Grèce, 47 % à Chypre, 20 % au Portugal, de l’ordre de 10 % dans les pays de l’Est européen, et surtout de 16 % en Italie !
L’Irlande, que l’on pourrait croire sauvée selon les cocoricos médiatiques, en pratiquant le vol fiscal et la concurrence fiscale déloyale avec les pays du continent européen, ne l’est pas puisque son ratio de créances bancaires douteuses est de 14 %.
Le montant des créances douteuses, en Italie, est de 360 milliards d’euros. L’État italien vient de sauver deux de ses banques les plus connues avec maintes difficultés. Il ne semble pas en mesure de sauver toutes les banques si une déflagration se produit. Le talon d’Achille de la zone euro, c’est l’Italie, avec des conséquences directes sur les créances détenues par les banques françaises !
Seuls les contribuables nationaux seront en mesure de combler, théoriquement, les créances douteuses des banques européennes. L’Italie n’a pas respecté les règles européennes consistant à faire payer les déposants lors des derniers sauvetages bancaires car c’était, tout simplement, politiquement et moralement impossible, sous peine de voir Beppe Grillo arriver au pouvoir.
Si l’Histoire est imprévisible, les krachs financiers et bancaires sont, eux, prévisibles, mais le Système est malin, vicieux, rusé et sait se défendre en manipulant les cours de l’or par les prêts en or des banques centrales aux banques, en utilisant tous les artifices comptables et de l’endettement public ou privé tous azimuts. Et n’oublions pas, enfin, qu’au-delà de la Grèce et de l’Europe du Sud, des États comme la France et même les États-Unis et le Japon, c’est-à-dire les derniers payeurs, le dernier recours après un krach bancaire, sont déjà en quasi-faillite ! Ce monstrueux château de cartes conduira inéluctablement à une catastrophe européenne et mondiale qui sera pire qu’en 1929 !
Source cliquez ici
09:46 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 04 février 2017
IL EST SORTI : ÉOLIENNES UN SCANCALE D'ÉTAT
C’est l’ouvrage le plus complet sur la question des éoliennes à ce jour. L’auteur en cerne les origines à travers l’écologie qui, dépouillée de ses oripeaux de la « bien pensance verte », apparaît sous son vrai visage de parti de l’étranger rassembleur des derniers trotskystes à la solde du mondialisme. Il en démasque aussi la dialectique et les enjeux fondés sur trois affirmations hasardeuses : la lutte contre le « réchauffement » climatique, l’extinction « imminente » des énergies fossiles, et la « nécessaire » sortie du nucléaire.
La thèse de l’auteur est terrible : L’éolien est un scandale d’Etat qui conduira tôt ou tard les politiques français promoteurs de cette aberration devant la Cour de justice de la République.
Ce livre est une arme essentielle et exhaustive dans le combat, à la disposition des médias objectifs, des politiques incorruptibles (il en reste sans doute) et de ceux qui luttent avec courage au quotidien partout en France où sortent de terre de nouveaux parcs éoliens.
Il y a une impérieuse urgence à rejeter les injonctions dictatoriales de la Commission européenne si on ne veut pas assister à l’agonie de la France défigurée, la France infectée, la France spoliée...
Eoliennes scandale d'Etat, Alban d'Arguin, Synthèse éditions, collection Pourquoi ?, 178 pages, 20 €
Alban d'Arguin, DEA de droit public, DEA d'histoire, Études d'actuariat (ISUP Paris) a fait une carrière de management et de direction générale à l'international dans un grand groupe financier. Il est retiré aujourd'hui dans l'ouest de la France où il travaille à la restauration d'un domaine entouré de vergers anciens. Il collabore épisodiquement à plusieurs revues sous forme de chroniques.
Passionné par l'ornithologie et les questions environnementales, il a participé récemment à la création d'une association opposée à l'implantation d'un parc industriel dans sa région. Confronté à l'aberration de ce projet "d'énergie du vent", il a décidé d'instruire objectivement et exhaustivement la question de l'éolien en France
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10:08 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LE CIRQUE
Grande découverte : les politiciens sont des menteurs, des tricheurs âpres au gain (aux frais des citoyens… of course comme dirait la douce Pénélope). Nous, il y a belle lurette que nous le savons et le disons. Mais il y a – il y avait ? – encore bien des braves gens, naïfs, pour ne pas le croire, car c’était trop dérangeant pour leur paisible digestion. Les braves gens c’est comme les enfants, ça a besoin de croire au Père Noël.
Pour se sortir du merdier où cet imbécile s’est mis lui-même, Fillon compte beaucoup, en matière de Père Noël, sur l’avocat qu’il a choisi : Antonin Lévy, le fils de l’illustre BHL. Un tel choix est aussi instructif que la mission confiée par Marine Le Pen à Nicolas Bay, ex-MNR, secrétaire général du FN, pour aller en son nom faire acte d’allégeance en Israël, avec l’incontournable visite au Mémorial de Yad Vashem et le rappel de rigueur de la déclaration de la parricide au Point (« les camps ont été le summum de la barbarie ») censée être son billet d’entrée au sein du Système.
Tout cela est dérisoire et pitoyable. Mais – et même les media aux ordres commencent à s’en inquiéter – cela conduit beaucoup de gens, las d’être pris pour des crétins, à considérer avec suspicion et même mépris un Système qui se révèle un peu plus chaque jour pourri jusqu’à l’os. Les pantins qui siègent sous les ors de la République s’inquiètent pour leur avenir. La soupe est bonne mais jusqu’à quand ?
A nous de continuer à accomplir notre mission, pour dire et redire que notre pays va droit dans le mur. Quelle solution ? La Révolution populaire identitaire. Au travail !
10:02 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
HALLUCINANT : les bobos se font moucher par Fabrice Luchini et ils en redemandent encore...
C'était mardi dernier au Lido à Paris lors de la cérémonie des Globes de Cristal où la presse française récompense des artistes français.
09:50 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 03 février 2017
LA MALEDICTION DES FAVORIS
Jean-Claude Rolinat
Les lecteurs de ma génération de la catégorie des « 7 à 77 ans », se souviennent certainement de l’album des aventures de Tintin intitulé « Les sept boules de cristal ». Une histoire dans laquelle la malédiction de l’Inca Rascar-Capac frappait d’un mal mystérieux les savants de retour d’une expédition au Pérou et en Bolivie. Hergé, pour trousser cette nouvelle aventure du héros à la houppette, s’inspirait sans doute de la mort mystérieuse des égyptologues qui avaient violé le tombeau du pharaon Toutankhamon. Un même mal tout autant mystérieux, sans doute moins… « mortel », s’abattrait-il sur les candidats favoris à l’élection présidentielle française, celle de 2012 comme celle d’avril et mai prochains ?
DE DSK à Fillon en passant par Clinton
Il y a cinq ans, juré, craché foi de sondeur, « le meilleur économiste de France » - ça reste à prouver ! – devait entrer à l’Elysée comme une main dans un gant de toilette. Patatras, les « prouesses » sexuelles de Dominique Strauss Kahn au Sofitel de New-York l’envoyaient pour un très court temps derrière les barreaux étatsuniens et détruisaient ses chances d’accéder à la magistrature suprême. Plus près de nous dans l’échelle du temps, un autre favori incarnant le courant social-démocrate du Parti socialiste, le vindicatif Manuel Valls, mordait la poussière face à Benoit Hamon. Ce dernier, éphémère ministre de l’Education nationale et député frondeur, gauchiste pur poil, est l’élu de Trappes « le Molenbeek français ».
En Amérique, Donald Trump, à en croire les sondages, aurait dû être battu à plate couture par l’arrogante Hillary Clinton bénéficiant elle, de l’onction médiatique et du soutien de l’hyper classe mondialiste U.S. Que nenni, les patriotes américains ont fait mentir les sondeurs et l’ancienne secrétaire d’Etat et sénatrice de la « big apple » a jeté l’éponge et regagné son terrier new-yorkais.
Fillon file un mauvais coton
Qu’en sera-t-il de François Fillon, étonnant triomphateur d’Alain Juppé qui caracolait depuis près de deux ans en tête de tous les sondages ? Pour le maire de Bordeaux, la rue du Faubourg Saint-Honoré devait être pavée de roses. Elle ne fut qu’un bref chemin de croix semé d’épines… Est-ce au tour du flegmatique Fillon, empêtré dans les contradictions du « Pénélopegate » , de subir la malédiction des favoris, lui qui était assuré de devenir Président après sa nette victoire aux primaires de son camp ? Visiblement, un méchant coup de bec d’un facétieux Canard semble l’avoir mis K.O. Définitivement ? (1). Sera-t-il contraint d’abandonner sa marche triomphale vers le forum élyséen, tel un César au front ceint de lauriers ? A son tour le jeune patricien Macron, coqueluche des gazettes et voltigeur des sondages, mordra-t-il la poussière du cirque présidentiel, dépassé par le char d’un(e) outsider ?
La vie politique est pleine d’imprévus, de rebondissements, rien n’est jamais vraiment acquis. Il s’en est fallu de peu hier et jadis, que Jacques Chaban-Delmas et Edouard Balladur ne deviennent numéro un, que le Québec et l’Ecosse ne choisissent par la sécession le grand large, que Hofer ne l’emporte en Autriche et que le Brexit ne passe à la trappe. Un homme politique n’est jamais fini tant que la mort ne l’a pas frappé. Il y a mille et cent exemples de par le monde de résurrections qui ne doivent rien à une intervention divine ! Qui aurait imaginé en 1960 que le Vice-Président Richard Nixon tomberait face à John Kennedy à 100 000 voix près, parce qu’il était apparu à la télévision « mal rasé », ou que le même Nixon chuterait sur une petite affaire d’espionnage du Q.G de ses rivaux démocrates ? (2). Pouvait-on espérer que dans son propre Land d’origine, le parti de dame Merkel la CDU, serait battu par l’irruption de l’AFD lors des dernières consultations régionales ? Depuis Charles Maurras, nous savons qu’en politique « le désespoir est une sottises absolue ». Le feuilleton de l’élection présidentielle s’avère être palpitant. Rien n’est joué, tout est possible, le pire comme le meilleur. Néanmoins, il eût été plus confortable de le suivre détendu si, cette fois-ci, l’échéance n’était pas la dernière avant la chute fatale de « notre cher et vieux pays ».
Mais, comme le Prince d’Orange, Stathouder des Pays-Bas au XVIIe siècle, nous pensons qu’il « n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre »…
Notes
(1) Sans émettre aucun jugement de fond sur cette affaire aux aspects scandaleux, il est néanmoins permis de s’interroger sur l’exceptionnelle célérité du Parquet. Il faut avoir présent à l’esprit que Mme Eliane Houlette a été nommée à la tête du Parquet national financier sur proposition de l’ancienne Garde des sceaux Christiane Taubira, et que Mr Jean-Louis Nadal a été placé par François Hollande lui-même à la tête de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. (Organisme créé après la forfaiture de Jérôme Cahuzac).De la République démocratique élective, devrions-nous passer, sans transition, sous le régime de la « République des juges » ?
(2) le fameux « Watergate »
19:11 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les curieuses disparités dans l’accueil des immigrants-réfugiés-envahisseurs
Bernard Plouvier
Donald Trump vient à peine de succéder au crypto-islamiste Barack-Hussein Obama que tombent un chiffre et un décret, tout aussi étonnants l’un que l’autre.
C’est au fruit qu’on juge l’arbre. Les faits, soit les fruits de sa politique, autorisent l’observateur à considérer le premier Président de couleur des USA comme étant le dangereux apprenti-sorcier qui a déchaîné la violence islamiste en Afrique noire et maghrébine, au Proche- et au Moyen-Orient, en pays touraniens, en Europe envahie. Soit, il fut un exceptionnel crétin, soit il fut un authentique agent de propagation de l’islam djihadiste.
Or, il a mené sa politique, désastreuse pour l’Occident, de façon très habile aux USA. De 2010 à 2013, n’auraient été autorisés à y entrer et à y résider que 300 000 musulmans, soit le tiers de ce que l’Allemagne de la Chancelière bizarre a officiellement accueilli, pour la seule année 2015 (soit 1,1 million)… et l’on sait qu’un supplément de 800 000 réfugiés-immigrés-envahisseurs clandestins y est illégalement entré, en 2015-2016.
Obama, fort regretté par ses employeurs du système globalo-mondialiste qui hurlent leur haine à l’encontre de son successeur très démocratiquement élu, fut un agent sournois, mais très efficace, du pourrissement des sociétés d’Europe occidentale et scandinave, échouant totalement dans les pays d’Europe balkanique, où un demi-millénaire d’exactions turques a détourné les peuples autochtones de toute idée de coopération avec les mahométans.
La France étant quatre fois moins peuplée que les USA, il serait logique que les politiciens qui ont tant admiré l’œuvre d’Obama renvoient dans leurs continents d’origine tous les immigrés-envahisseurs des années 2010-13, au-delà du chiffre de 75 000… et comme les Français sont réputés pour leur sens de la logique, il serait souhaitable d'effectuer une autre soustraction légitime et de joindre à ce retour à l’envoyeur autant d’immigrés-envahisseurs en âge de travailler qu’il y a de chômeurs autochtones en France.
Idem, l’on doit renvoyer dans leurs continents d’origine toutes les familles des criminels et délinquants issus du milieu des immigrés-envahisseurs. Idem pour les réfugiés politiques qui font de l’agitation politique, ce qui est interdit par le statut de réfugié, ou qui s’adonnent à la propagande en faveur de l’islam sectaire, conquérant, djihadiste, ce qui est interdit par la loi de séparation des cultes et de l’État (par son article 3).
Le décret Trump, qui fait hurler de rage la coalition disparate de ses ennemis, porte sur l’interdiction temporaire d’entrée aux USA de natifs de 7 pays où la majorité de la population est mahométane : Iran, Irak, Syrie, Soudan, Libye, Somalie et Yémen… il y en a pour tous les goûts : du sunnite, du chiite, de l’alaouite. Curieusement, on ne relève dans cette liste ni la Turquie, ni l’Afghanistan, ni aucun des pays d’Afrique occidentale ou équatoriale (Mali, Tchad, Nigeria) où existe une très forte activité djihadiste. Le décret pourrait donc être secondairement étendu.
Imitons Trump & Obama en limitant de façon draconienne toute immigration d’origine extra- européenne. Dépassons même leurs objectifs et organisons le renvoi en masse, vers l’envoyeur, des envahisseurs illégaux, dépourvus de travail, délinquants et criminels.
Il existe une solution politique hautement légale pour justifier cette décision : prendre l’avis de la Nation, ce qui semble s’imposer sur un tel sujet. Aucune mesure politique n’est plus démocratique que d’interroger, par voie référendaire, le seul souverain légitime de l’État : la Nation. Il est vrai que les pitres des media et les clowns qui s’agitent dans les assemblées considèrent qu’il s’agit d’une mesure populiste. Ils ont raison !
10:18 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |