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samedi, 22 octobre 2016

Création d'une section du GUD en Bretagne

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vendredi, 21 octobre 2016

Piero San Giorgio ce soir sur Méridien zéro

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Réflexions sur le non-événement de Grozny

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Bernard Plouvier

Les islamologues patentés et les simples observateurs de la dangereuse faune mahométane se repaissent d’une soi-disant grande information : en septembre 2016, à Grozny, capitale reconstruite de la riche Tchétchénie (pétrole, gaz et plantations de pavot), deux centaines d’oulémas, imams et autres recteurs de grande mosquée ont décrétés « schismatiques et anathèmes » les Wahhabites d’Arabie Saoudite.

À dire vrai, on le savait depuis le XVIIIe siècle ! Le wahhabisme, équivalent du calvinisme pour la religion chrétienne, fut une tentative de retour à une soi-disant pureté originelle de l’islam associée à une austérité de vie (au moins de façade… ceux qui ont mis les pieds en Arabie savent que tous les vices y sont rencontrés, mais les hypocrites locaux ont la décence de les faire en privé). Qu’il s’agisse d’un schisme du sunnisme n’est donc pas une nouveauté et l’anathème de Grozny est, au plan de l’histoire du phénomène religieux, un non-événement.

Au plan politique, il en va différemment. Cette République, au très riche sous-sol, est redevenue en 2000 un protectorat russe, pacifié depuis 2006. C’est aussi une zone clé pour le passage des pipe-lines (oléoducs et gazoducs) de la Mer Caspienne à la Mer noire et à la Méditerranée (via la Turquie du très roublard Erdogan).

Les prédateurs US font passer leurs canalisations par la Géorgie… et l’on peut s’attendre à de nouveaux conflits dans ces États caucasiens aux populations fort émotives, corruptibles et vouées à des religions ennemies.

L’enjeu de la comédie burlesque de Grozny est exclusivement politique. La question débattue est fort simple : à qui va échoir le califat ?

Il est évident que les jours du potentat de Mossoul sont comptés. Abou Bakr II peut mourir au combat ou sous les bombes (made in USA) des combattants kurdes, ou encore passer en Afghanistan. L’idéal serait qu’avant de quitter la scène, il narre par le menu ses contacts avec les sbires d’Obama et d’Erdogan, voire avec les chiites d’Iran, cela nous ferait au moins rire un peu et permettrait aux plus niais de nos contemporains d’entrouvrir les yeux sur les turpitudes des globalo-mondialistes. Après tout, le calife qui a donné une ampleur inédite au terrorisme mahométan nous doit bien cette petite compensation.

Dans la guerre qui oppose les maîtres de l’économie globale aux Nations et aux États réfractaires à ses charmes pervers, il faut bien comprendre que le fanatisme religieux n’est qu’une arme, au même titre que les stupéfiants, les explosifs, les gaz de combat, les couteaux à céramique ou les pistolets mitrailleurs et les missiles portables.

On ne connaissait pas grand-chose aux relations existant entre les grands narcotrafiquants et les gouvernements établis jusqu’à la comédie colombienne de cet automne. Certes, on se souvient que du temps de l’URSS, le terrorisme international (étiqueté « gauchiste ») était financé par l’opium du Caucase (et ses produits dérivés) ainsi que le Haschich d’Afghanistan et des États touraniens. Il faut croire que la leçon soviétique, si elle semble avoir été abandonnée au Kremlin, n’a pas été perdue pour tout le monde.

Quant aux « trafiquants d’armes internationaux », chers aux auteurs de thrillers et aux scénaristes des navets hollywoodiens (et de rares bons films), ce sont des intermédiaires officieux entre un ou des gouvernements réputés au-dessus de tout soupçon (éventuellement dirigés par un titulaire du Prix Nobel de la Paix) et des groupes de rebelles au sein d’un pays où l’on veut fomenter une révolution. Les nombreux « printemps arabes », de 2010 à nos jours, en sont de quasi-parfaites illustrations.

Auparavant, les révolutionnaires devaient se procurer de l’argent, beaucoup d’argent, pour financer leur propagande et leur lutte armée. Désormais, il leur faut parvenir à se faire accepter par les globalo-mondialistes comme des agents capables de détruire la stabilité d’un État, puis d’obéir en tous points aux gentils commanditaires, une fois que leur clique s’est hissée aux apparences du Pouvoir.

Dominer l’islam, c’est pouvoir compter sur la fraction jeune, hyperactive et intellectuellement déficiente d’un milliard et demi de mahométans. On comprend que les grandes manœuvres pour prendre la suite du calife auto-proclamé de Mossoul aient commencé.

Rejeter du sunnisme les Wahhabites, c’est donner un coup dans la fourmilière islamo-US. On peut admirer le jeu du grand Poutine, protecteur de la République tchétchène, mais il est évident que l’offense ne restera pas impunie. Surtout si la Clinton devient le pantin de la Maison-Blanche, succédant au pantin crypto-islamiste : sionistes néo-conservateurs et islamo-pétroliers vont s’en donner à cœur joie, dans une alliance qui ne sera jugée « contre-nature » que par les naïfs.

Plus que jamais, l’Europe et la Chine doivent s’attendre à une succession de coups bas, où l’élément islamique sera largement employé.     

12:50 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Il n'est pas trop tard pour lire LE GRAND REMBARQUEMENT

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Décès de Gérald Vivot, militant historique de la cause...

ob_6fe58b_gerald-vivot.jpgAU REVOIR, GÉRALD

Nous publions ici le très beau texte de Gérome paru sur ForumSI cliquez ici

A ceux qui me liront, certains se souviendront de cet homme qui a passé la Porte dimanche soir, après de longues années de souffrance sans se plaindre.

Gérald Vivot, c'était ce genre de personnage qui ne pouvait pas vous laisser indifférent. Il avait été de beaucoup de combats.

Ceux menés sur cette "putain de terre africaine" aux côtés de ceux qui s'étaient eux-mêmes nommé "les affreux". Il y connaîtra ses plus fidèles compagnons qui le visitaient encore toutes les semaines sur son lit de douleur sourde.

En Afrique, il avait connu le feu et vu la mort de près et reçu quelques morceaux de plomb qui l'avait écorché dans sa carcasse.

Et puis les combats des années 60 et 70 sur le pavé parisien et dans les provinces encore françaises.

Gérald ne parlait pas beaucoup, c'était sa nature et cette force simple de ceux qui n'ont pas besoin de trop s'exprimer pour dire qui ils sont.

Gérald, c'était une force de la nature, jusqu'à cette maladie sournoise qui le faisait décliner ces dernières années.
Une force de la nature rassurante dans les bousculades et autres cavalcades qui occupaient le plus clair et le plus noble de notre temps.

À sa place et par sa façon d’être, il nous aura transmis l'exemple de celui qui ne recule pas face au danger et qui ne laisse jamais un camarade blessé derrière quand il faut se replier.

Ceux qui l'ont connu, ne l'oublieront pas.

Gérald était discret, aimait la vie et se retrouver avec sa cohorte de camarades. Il aimait rire, boire et chanter les chants qui parlent de l'idéal indestructible qui animent nos âmes.

Gérald n'avait pratiquement pas ou plus de famille. La seule qui lui restait, c'était sa poignée d'amis fidèles, sa cohorte de camarades, qui lui auront adouci un peu, chaque semaine, son chemin caillouteux.

Gérald a fermé les yeux ce dimanche soir, à Nanterre avec auprès de lui, jusqu'au bout, une petite Soeur des pauvres.

Celle qui avertira de sa fin ceux qui s'occupent maintenant de ses obsèques dans la dignité qu'il mérite.

Les "petites sœurs des pauvres", qu'on soit catholique, païen ou rien du tout, ont ce grand mérite d'accompagner les mourants avec cette générosité d'âme qui appartient à celles ou ceux qui consacrent leur vie aux autres.

Gérald n'était pas ce qu'on appelle un "enfant de Chœur", et cette présence lui a sûrement fait du bien.

Voilà, Gérald, tu as rejoint d'autres camarades qui t'ont précédé et à qui tu avais donné ton amitié et ta fidélité indéfectibles dans les combats.

Que ta dernière nuit soit belle et douce, Gérald.

Nos pensées t'accompagnent. Tu nous laisses un bel exemple de loyauté aux combats perdus comme à ceux qui devraient être victorieux dans " ce monde vétuste et sans joie ".

Comme le dit ce chant - les lansquenets - que tu connaissais bien et qui te ressemble.

Adieu Gérald. 

00:20 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 20 octobre 2016

SURREALISTE...

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A Evry mardi soir, le directeur de la Police nationale

reçu par les policiers en colère... 

17:08 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Revue de presse : le scan du jour du Figaro

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LE SCAN POLITIQUE - Dans la demeure familiale, Jean-Marie Le Pen, épaulé par son directeur de campagne, Lorrain de Saint Affrique, prépare la bataille des prochaines législatives. Visite.

Dans le parc de Montretout à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), il règne le calme qui précède aux grandes batailles. La maison familiale des Le Pen, un temps l'épicentre de l'extrême droite française, abrite une poignée d'irréductibles. Des cartons empilés dans l'entrée contiennent les éléments d'un futur studio vidéo, les pièces du rez-de-chaussée sont aménagées en local de campagne. Sur un mur s'étale une relique: l'affiche de campagne de la présidentielle de 1988 barrée du slogan «Le Pen le Peuple». Les derniers grognards de Jean-Marie Le Pen préparent leur Waterloo, l'ultime combat politique que le patriarche a promis à sa fille. Il portera la bannière des comités Jeanne à l'occasion des élections législatives, un label politique qu'il réserve aux seuls représentants de «la vraie droite nationale». Une façon de s'insurger dans les urnes face à sa mise pied au sein du parti qu'il a fondé.

Il n'y aura probablement ni pardon ni prisonnier dans l'affrontement qui s'annonce avec le FN. Lorrain de Saint-Affrique, directeur de campagne et ouvrier de l'ombre de cette aventure, s'en doute bien et ne s'en émeut pas. Âgé de 65 ans, ce vieux compagnon de route de Jean-Marie Le Pen fut son conseiller en communication de 1984 à 1994, avant de se voir frappé «d'exclusion perpétuelle». Le chroniqueur occasionnel des affres de la droite radicale aborde cet impossible défi avec délectation. On ne peut s'empêcher sentir autour de l'ancien conseiller régional, banni du FN pour s'être frontalement opposé à Bruno Mégret, comme un parfum de revanche. Aussi habile que retors, Saint Affrique s'en défend. «Le Pen m'a appelé à la sortie d'un plateau télé, après 20 ans de silence. Je suis venu retrouver une chaleur militante, revoir les vieux amis, les anciens combattants. Ce n'est pas désagréable», assure-t-il.

La «part de joie cocasse» de la droite nationale

Vice-président des comités Jeanne, Patrick Hays, est de ceux-là. Vétéran du 1er Régiment Étranger Parachutiste (REP), comme Jean-Marie Le Pen. «Il a quitté l'armée en 1962, ça dit quelque chose du personnage», relève Lorrain de Saint Affrique. Ancien secrétaire national frontiste aux Français de l'étranger, il a accompagné «le président d'honneur» dans son exil politique. Roger Holeindre, 87 ans, a lui aussi repris du service. Membre fondateur du FN en 1972, ancien député, il est passé au Parti de la France (PDF) de Carl Lang, et soutient la démarche de son vieil ami. «Si ce n'est pas drôle au sein la droite nationale, c'est que le chemin n'est pas le bon, qu'on est à côté de la plaque. Il faut que l'on rie, c'est dans notre philosophie. Il y a une part de joie cocasse inattendue dans notre courant, dont Jean-Marie Le Pen n'est pas exempt. Il a souvent le mot pour rire», sourit Lorrain de Saint Affrique. On s'offre donc à Montretout un dernier tour de piste entre vieux baroudeurs qui n'ont plus grand-chose à perdre.

Car il y a surtout des coups à prendre dans cette équipée crépusculaire. «Ce n'est pas de tout repos depuis mon arrivée: j'ai été traité de “charognard obsédé par le fric” par Marine Le Pen. Ce n'est pas très aimable de la part de quelqu'un dont on a si longtemps partagé la table. Mais le plus désagréable reste tout de même les perquisitions de l'Office européen de lutte contre la fraude (Olaf). Ils ont tout fouillé et tout vidé: nos dossiers, nos boîtes mail, nos ordinateurs», déplore-t-il. Officiellement employé comme assistant parlementaire de Jean-Marie Le Pen à Bruxelles, il est visé par l'enquête du parlement Européen portant sur les soupçons de détournement financier au bénéfice du parti.

Saint Affrique candidat aux législatives

Peu importent les épreuves pour Lorrain de Saint Affrique, pourfendeur de la «dé-lepénisation» du parti. «Je n'ai surtout pas supporté ce que Marine Le Pen a fait à son père, j'ai eu une réaction physique. Il a été trahi. Je suis un peu inquiet pour elle. Elle était gaie, agréable. J'espère que son père ne nous quittera pas avant un moment sans quoi elle portera ce parricide toute sa vie». Le directeur de campagne sait viser la corde sensible de celle qu'il a connue adolescente: c'est l'une des raisons probables de son recrutement par Jean-Marie Le Pen. Mais pour la forme, il ne revendique aucun esprit de revanche dans la démarche des comités Jeanne. «Notre objectif est de constituer une réserve de voix au sein de la droite nationaliste, celle qui manque encore au FN pour gagner le second tour des élections. Nous voulons dissuader cette partie de la base qui se sent en rupture avec la ligne de Marine Le Pen de sombrer dans l'abstention», soutient-il, avec un brin de malice.

Fragilisé par son grand âge - malgré sa volonté d'en découdre -, Jean-Marie Le Pen soutiendra ses champions sur le terrain «une à deux fois par mois». Et peut-être même à l'international, puisqu'une rencontre avec Donald Trump est envisagée, «si possible». Sans savoir encore où, Lorrain de Saint Affrique sera quant à lui bien candidat en juin 2017. À Montretout, on espère qu'il pourra compter sur 200 à 300 acolytes. «Je ne peux pas seulement envoyer les autres au feu, chez nous il est d'usage de montrer l'exemple. Et puis qu'ai-je à craindre? J'ai déjà candidaté à presque toutes les élections, et perdu presque à chaque fois», s'amuse-t-il, en ourdissant le coup d'envoi.

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Quand la fiction est dépassée par la réalité : Philippe de Villiers confirme les pires prévisions d'Emmanuel Albach dans "Le Grand rembarquement"

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14:40 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Guillaume Bernard sur les clivages politiques



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Le ras-le-bol s'amplifie d'heure en heure : il est temps d'en tirer les conclusions...

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mercredi, 19 octobre 2016

NON MAIS...

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22:49 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le lobby de la haine et les vestiges historiques

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Bernard Plouvier

La menace en était agitée depuis des années. C’est désormais officiel : le gouvernement autrichien veut exproprier les possesseurs de la vieille (et superbe) bâtisse où naquit, le samedi-saint 20 avril 1889, vers 17 heures, Adolf Hitler, soit le site de l’hôtel-auberge Zum Pommer (au Poméranien) de Braunau sur Inn.

On comprendrait fort bien que des édiles veuillent démolir un bâtiment insalubre, menaçant ruine, gênant l’édification d’un beau projet d’urbanisme. Ce n’est absolument pas le cas. Officiellement, le but de cette destruction d’un monument historique, datant du XVIIIe siècle, est d’empêcher l’afflux de néo-nazis… soit un pèlerinage annuel d’une centaine d’individus sur une planète qui en compte plus de 7 milliards !

Pourtant, viennent surtout visiter les sites fréquentés par Adolf Hitler, à Linz, Vienne, Munich ou Berlin, des historiens, en plus des inévitables badauds, ceux-là mêmes qui en font autant avec les lieux hantés par n’importe quelle célébrité du show-business.

Depuis le début des années 1980, et de façon parallèle à une nouvelle campagne de réclamations tous azimuts d’indemnités-réparations-restitutions ou pour l’établissement (aux frais des contribuables) de multiples lieux de culte et d’entretien du devoir de mémoire, au titre de la Shoah, l’on constate une reprise d’activité du lobby de la haine.

C’est bien sûr un lobby « qui n’existe pas ». Pas plus qu’il n’a existé de « syndicat dreyfusard », de « judéo-bolchevisme », ou qu’il n’existe de lobby sioniste orientant la politique étrangère des USA (du moins avant l’arrivée aux apparences du Pouvoir du crypto-islamiste Barack-Hussein Obama).

On a donc relancé la campagne de haine vis-à-vis d’authentiques hommes de sciences qui furent des nazis, par l’effet de leur patriotisme : on pense à l’éthologue Konrad Lorenz, à l’épidémiologiste et infectiologue de grand talent Hans Reiter ou à l’anatomo-pathologiste mondialement connu en son temps Robert Roessle. La musique de Richard Strauss est toujours honnie en Israël et la mémoire de Karajan régulièrement insultée par des minables qui n’ont pas le quart du talent dont faisait preuve ce grand chef.      

La haine se fait désormais destructrice. Après la maison natale du Führer, on en viendra à détruire l’aire des Congrès du NSDAP à Nuremberg, les brasseries munichoises où il a parlé, tel hôtel où il a séjourné.

Dans tout cela, qui s’intéresse aux générations futures ? Détruire des témoignages du passé, ce fut toujours et partout une absurdité. Les Talibans ont détruits les représentations géantes du Bouddha en Afghanistan.

De nos jours, en Europe danubienne, on va détruire une vieille demeure, admirablement restaurée et solide (au point que les vandales veulent en conserver les fondations), pour assouvir une haine de représentants autoproclamé d'un peuple qui se croyait et se proclamait seul « élu d’un dieu », la haine d’un peuple qui se proclame de « race pure et sainte »… c’est le genre de délire que l’historien des années 1919-1945 connaît fort bien, trop bien même pour comprendre qu’on puisse encore enseigner de telles inepties. C’est pourtant ce que l’on apprend aux jeunes et aux moins jeunes qui fréquentent (en stricte séparation des sexes) les Yechivot ou écoles talmudiques.

Le racisme débouche immanquablement sur l’endogamie et les génocides. N’importe quel lecteur de l’Ancien Testament peut aisément s’en rendre compte et nul ne doit l’ignorer. En revanche, détruire des vestiges historiques est pure absurdité. Ce n’est pas en vandalisant le patrimoine culturel de notre continent que l’on va lutter contre la bêtise, contre les conduites potentiellement criminelles.

On annihile les errements du passé par la compréhension du contexte, la réflexion éthique, enfin par la modification des comportements individuels et collectifs. Dans tout cela, il n’y a aucune place logique et raisonnable pour le vandalisme architectural.

Avez-vous lu le Cahier d'Histoire du nationalisme consacré au NSDAP ?

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19:05 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 18 octobre 2016

Alain Escada à Calais samedi prochain 22 octobre :

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Jean-Yves Le Gallou : Télé black-blanc-beur - le FN doit se méfier des sirènes médiatiques !

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Jean-Yves Le Gallou, ancien député européen, Président de Polémia.

Source Boulevard Voltaire cliquez ici

Vous avez critiqué l’initiative de Banlieues patriotes, qui a lancé une web télé black-blanc-beur et invité Camel Bechikh pour son émission inaugurale. Pourquoi ?

Parce que je ne crois pas que la vocation du FN – dernier espoir électoral des Francais de souche – soit de promouvoir une France black-blanc-beur, slogan de SOS Racisme dans les années 1980… D’autant que Camel Bechikh se voit reprocher par sa propre organisation – Fils de France – sa complaisance et ses liens avec l’UOIF, émanation des Frères musulmans.

Mais il est bien normal que le FN cherche à élargir son électorat ?

Certes, mais nul besoin, pour cela, de faire le grand écart à la mode UMP ou LR. Au demeurant, la première démarche pour élargir son électorat, c’est de mobiliser les abstentionnistes de son camp. C’est ce qu’avait recommandé le think tank Terra Nova à Hollande et aux candidats socialistes en 2012. Ils avaient, alors, fait le porte-à-porte dans les quartiers immigrés. Avec succès.

Est-ce à dire que le vote des banlieues est définitivement perdu pour le FN ?

Assurément, non : il y a des réserves d’électorat démoralisé dans les quartiers pavillonnaires encore européens. Il faut aller les voir. Rue par rue et maison par maison. Et les convaincre. Il y aussi toute la « France périphérique », celle qui se révolte contre l’implantation de clandestins venus de Calais. En voilà, des champs électoraux à labourer avec des militants convaincus et formés.

Cela suppose un travail militant plus ingrat, c’est sûr, que de faire le beau dans les médias. Mais le plus grand risque aujourd’hui pour le FN, ce serait d’apparaître comme un parti comme les autres. D’autant que la « normalisation » n’empêchera pas les campagnes de « diabolisation » là où il y aura des deuxièmes tours.

Le FN doit-il renoncer à tout espoir de vote immigré ?

Ce n’est pas sa vocation première ! Et les études politiques sont implacables. Selon l’IFOP et Jérôme Fourquet : « Karim vote à gauche et son voisin vote FN. »

C’est si radical que cela ?

À 95 %, c’est vrai. C’est de la statistique électorale.

Cela n’interdit pas les phénomènes individuels d’assimilation ni les distinctions subtiles. Je ne crois pas à un vote musulman pour le FN qui n’a jamais existé. Pour une raison simple : l’islam est incompatible avec la culture, la civilisation, le mode de vie français.

Pour autant, il y des hommes et des femmes originaires d’Afrique du Nord qui ont choisi de devenir des patriotes français et des Européens de civilisation. Mais ils sont chrétiens et/ou ont rompu avec l’islam. Je pense à Malika Sorel, qui a claqué la porte du « Haut Conseil de l’intégration ». À Jean Messiha, le porte-parole des Horaces. Ou à Karim Ouchikh, qui fait un travail remarquable avec le SIEL (Souveraineté, Identité Et Libertés) et la droite hors les murs.

Mais ceux-là n’attendent pas un discours complaisant avec l’islam. Ni la mise sur le même plan, au nom d’une illusoire laïcité, de l’islam d’un côté et du christianisme et des traditions européennes de l’autre.

Que doit faire le FN, selon vous ?

Se méfier des sirènes médiatiques : les médias, c’est la France des années 68. Chercher à leur faire plaisir ou éviter de les heurter, c’est risquer d’être ringard, néo-ringard, en croyant être moderne. N’oublions pas que le grand mouvement social des années 2010, c’est la Manif pour tous contre la loi Taubira : l’arbre de vie, non la culture du bonzaï. La France réelle, ce n’est pas le plateau de BFM TV ni le quartier du Luxembourg.

Mais encore ?

Écouter davantage les grands intellectuels. À quoi sert de nier le Grand Remplacement pensé par le grand écrivain Renaud Camus ? À quoi sert de de ne pas reconnaître le bien-fondé des analyses d’Éric Zemmour ? À quoi sert d’affirmer, comme Valls et Juppé, que l’islam est compatible avec la République et la France. Dans son livre de confessions (Un Président ne devrait pas dire ça), Hollande dit tout bas ce que le FN officiel n’ose plus dire tout haut… J’ajoute que c’est aussi inélégant que contre-performant de hurler avec les loups contre Camus, Zemmour, Ménard ou Morano.

Voterez-vous toujours FN ?

Oui, en l’état, bien sûr. Le verre n’est pas seulement à moitié vide, il est aussi à moitié plein. Le FN, dans ses profondeurs, reste profondément identitaire. Et il continue de proposer de loin la moins mauvaise offre électorale sur l’identité et l’immigration. Cela étant, je suis un homme libre, je ne brigue rien, je peux donc dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas…

16:58 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bernard Lugan nous raconte l'Afrique sur TV Libertés

08:52 Publié dans TV SYNTHESE, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Camouflet polonais à l’Union européenne

Randa Ph 2.jpgLa chronique

de Philippe Randa

« Mais de qui se moque la Pologne en achetant des hélicoptères américains ? » titre La Tribune… Est-il besoin de préciser ? Oui, et donc, la réponse est : « Mais c’est… bien sûr ! de l’Union européenne ». De qui d’autre ?

C’est bel et bien un magistral bras d’honneur des Polonais qui, non seulement annulent une commande d’hélicoptères à Airbus, mais annoncent surtout que c’est pour acheter désormais… du matériel américain !

« Cette décision reflète d’abord la défiance de la Pologne, gouvernée depuis octobre 2015 par le Parti Droit et Justice (PiS), nationaliste et conservateur, à l’égard du couple franco-allemand. Ce n’est pas le premier point de divergence : la construction du gazoduc Nord Stream II ; l’accueil des réfugiés et leur répartition entre États membres ; ou encore les garanties apportées aux contre-pouvoirs en Pologne sont autant de sujets de tension… », explique Cyrille Bret, maître de conférences à Sciences Po et cofondateur du site EurAsia Prospectives.

« Nous allons ouvrir des entretiens qui s’achèveront avant la fin de l’année », a ainsi déclaré le ministre polonais de la Défense Antoni Macierewicz qui enfonce le clou en ajoutant lors d’un point de presse à l’issue d’une rencontre avec la direction des usines PZL Mielec (sud-est) qui appartiennent à Lockheed Martin : « Cette année encore les premiers appareils de ce type seront livrés aux forces spéciales pour leur permettre de s’exercer… »

« Décision inacceptable » pour notre ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, « Choix préoccupant par rapport à la conception de la défense européenne » s’étrangle Manuel Valls ou encore fureur de François Hollande qui alerte les pays européens sur les dangers de n’acheter que des armes américaines…

Qu’à cela ne tienne, le camouflet est réel et, malgré mauvais cœur et mauvaise fortune, l’Union européenne est bien obligée de manger son chapeau (fabriqué à Taïwan ?).

Lire aussi EuroLibertés cliquez ici

08:42 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 17 octobre 2016

Le Journal du Chaos de cette semaine

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LES « SAUVAGEONS » DE BERNARD CAZENEUVE !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Le « crêpage de chignons » entre Trump et la Clinton, la bataille de chiffonniers aux primaires de la « droite et du centre » comme les lamentables confessions de François Hollande à des journalistes, ont quelque peu occulté les graves événements survenus à Viry-Châtillon ou, en tout cas, les ont relégués au second plan d’une actualité brûlante, brûlante comme les véhicules de police volontairement incendiés par des...  «  sauvageons » !

C’est ainsi que l’inénarrable ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, le « Buster Keaton » du gouvernement, a qualifié la douzaine de voyous cagoulés qui, en pleine journée, ont lancé des cocktails Molotov sur deux voitures de police en faction à un carrefour « sensible » de cette banlieue parisienne. La volonté de tuer des policiers et de les «  griller comme de vulgaires merguez » était évidente. Ces assassins animés d’une farouche haine anti-flic, en bloquant les portières des véhicules pour empêcher notamment un jeune adjoint de sécurité d’en sortir, ont administré au public français leur volonté criminelle d’en découdre avec les « bleus ». Et tout ce que trouve à dire le « premier flic de France », c’est de qualifier de « sauvageons » ces barbares qui ne mériteraient que le châtiment suprême !

Mais voilà, tétanisés par la peur de commettre une bavure et de se retrouver devant les Assises en position d’accusés, les agents n’ont pas fait usage de leurs armes alors qu’ils étaient, largement, en état de légitime défense, on le serait à moins… A croire que les socialistes n’aiment les militaires et les policiers qu’allongés dans leurs cercueils recouverts du drapeau tricolore !

« Que fait-on de « sauvageons ? On les renvoie chez eux après leur avoir tiré les oreilles ? », écrivait Caroline Parmentier dans le numéro du 12 octobre du quotidien Présent. La situation, gravissime, exige des mesures énergiques ; ne sommes-nous pas sous le régime de l’état d’urgence ? Il y a une vingtaine d’années on recensait, en gros, 177 000 mineurs compromis dans des actes de délinquance dont les deux tiers avaient plus de dix ans. De nos jours, c’est plus de 240 000 qui sont annuellement impliqués. Les zones de non droit et autres « quartiers sensibles », ces fameux « territoires perdus de la République », il faut les re-con-qué-rir ! Et il n’y a pas trente-six solutions : une seule, l’état de siège.

L’Algérie d’hier comme modèle ?

En 1957 la « bataille d’Alger » a été gagnée par l’armée à qui le gouvernement - socialiste ! – avait donné les pleins pouvoirs pour éradiquer le terrorisme qui frappait la capitale de la grande province française. Le pouvoir gaulliste n’hésita pas à investir le populaire quartier « pied noir » de Bab-El-Oued pour écraser la résistance française à l’abandon. Mêmes méthodes ou presque au service de deux causes ô combien différentes.

Mais la méthode pour contrôler toutes ces zones de dissidence, de commerces parallèles, de banditisme, est identique : bouclage du quartier, investissement immeuble par immeuble, cage d’escalier par cage d’escalier, palier par palier, appartement par appartement, cave après cave… Et, après les fouilles, centres provisoires d’internement pour vérification des identités des suspects.

Il faut que les forces de l’ordre aient les moyens juridiques et matériels de pénétrer dans tous ces quartiers pour y rétablir l’ordre et la sécurité. Sans cela, le quotidiens des Français et des autres habitants va déboucher sur une sorte de guerre civile larvée, une situation à la libanaise ou à la yougoslave, avec toutes les dérives criminelles imaginables et la perte de souveraineté de l’Etat avec un grand « E ». Mais il faut une volonté politique, la volonté de rompre avec la doxa dominante, d’arrêter de pratiquer la politique de l’excuse envers des populations dites défavorisées. (Défavorisés ces jeunes à qui la France offre une scolarisation gratuite, des équipements sportifs de qualité, des loisirs, l’espoir d’un avenir dans un pays « civilisé » - pour combien de temps encore ? – et des soins, eux aussi gratuits, de bon niveau ?).

La liste des méfaits commis par toutes ces bandes ethniques qui refusent l’assimilation républicaine et se réfugient dans la violence et le terrorisme est longue comme un jour sans pain. Quel candidat à la Présidence de la République aura le courage de dire la vérité, de prendre « le taureau par les cornes » ? Robert Paturel, écrivain, un ancien du RAID, toujours dans PRESENT, s’adressait ainsi à ses collègues :-«  Amis policiers et gendarmes, n’oubliez jamais qu’il vaut mieux être jugé par douze que porté par six »… Si l’Etat ne rétablit pas la sécurité, si la justice ne fait pas son travail, si les prisons continuent d’êtres bondées faute de places, au bord de l’explosion, les braves gens deviendront alors des « gens braves » et s’armeront, comme aux Etats-Unis ou en Israël. Est-ce la solution ? Aujourd’hui seuls les voyous sont armés. Demain, le « Far-West » dans nos rues ?

Encore une fois, c’est à l’Etat et à lui seul de garantir la qualité de vie et la sécurité de ses citoyens. Pour cela il faut qu’il s’en donne les moyens. Il va falloir patienter : les cancres qui siègent dans bon nombre de nos institutions ne sont pas sur cette ligne. Pourtant, une démocratie ne peut survivre qu’en mettant sa force au service du droit. Le droit des personnes à sortir quotidiennement de chez elles sans avoir une boule au ventre. Il est vrai que les excellences qui prétendent nous gouverner n’ont pas cette angoisse, protégées qu’elles sont par des cohortes de gardes du corps !

Ce n’est pas en mettant un couvercle sur la marmite ou en cachant la poussière sous le tapis que l’on redonnera l’espérance aux Français ! Messieurs Hollande et Cazeneuve, un peu de courage, vous avez encore six mois pour ne pas laisser dans nos mémoires la trace de votre indiscutable laxisme envers les voyous et les terroristes !

13:59 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Même au Québec, ils ne sont pas les bienvenus...

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Des militants du mouvement Atalante et de la Fédération des Québécois de souche cliquez ici ont déployé des banderoles pour manifester leur hostilité à l'implantation de l'islam dans leur pays...

12:05 Publié dans Débat sur l'identité | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vivre ensemble ou changer de pays ?

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Bruno Mégret

« Vivre ensemble », tel est le nouveau mot d’ordre de la classe politique et médiatique ! Face aux problèmes de cohabitation créés par l’immigration, face à la pression identitaire de l’islam qui s’impose dans notre vie collective, la nouvelle rengaine des politiques et des journalistes fait maintenant entendre le son du « vivre-ensemble ». Si des attentats se produisent, il faut refuser, nous enjoint-on, de céder aux terroristes qui veulent nous opposer les uns aux autres et afficher au contraire notre volonté de vivre ensemble. Si des troubles surviennent dans les banlieues, réaffirmons à tous la nécessité du vivre-ensemble, nous rappelle-t-on, là encore.

Le « vivre-ensemble » est en effet devenu l’alpha et l’oméga de nos dirigeants, la voie à suivre pour résoudre, selon eux, toutes les difficultés que suscite la société multiculturelle d’aujourd’hui.

Assimilation, intégration, vivre-ensemble

Mais que nous cache-t-on derrière ce slogan ? Il paraît à priori bien anodin et semble même relever de l’évidence : les habitants de la France vivent en effet ensemble sur le sol français. Que cette formule soit utilisée à propos de l’immigration et de l’islamisation doit cependant nous inciter à la méfiance. Et de fait, ce mot d’ordre dissimule en réalité un projet destructeur particulièrement inquiétant. Car cette théorie du « vivre-ensemble » vient en effet remplacer la formule classique de l’intégration comme celle de l’assimilation.

Dans la première moitié du siècle dernier, le concept d’assimilation prévalait : concept par lequel les immigrés polonais, italiens, espagnols ou portugais sont devenus français sans difficultés majeures. Selon ce principe, l’étranger adopte progressivement l’identité française pour se mêler au peuple qu’il a choisi de rejoindre et en faire pleinement partie.

Cette conception a été abandonnée depuis les années 1970 pour laisser la place au principe d’intégration. Dès lors l’étranger peut conserver son identité d’origine mais il doit parallèlement s’adapter aux coutumes et aux règles du pays qui l’accueille afin de s’y insérer au mieux.

Or depuis que l’islam est devenu une donnée majeure du processus migratoire, cette seconde conception a, elle aussi, été abandonnée pour une troisième formule, celle du « vivre-ensemble », notion que l’on rabâche aux Français à longueur de journée.

Or, même si ses promoteurs le nient, cette conception est celle du communautarisme : chacun conserve son identité, ses usages et ses valeurs, mais tous doivent se tolérer mutuellement, s’accepter et même s’aimer pour vivre ensemble harmonieusement sur le même sol.

Un nouveau pays

De ce point de vue, cette notion diffère fondamentalement de celle de l’assimilation et de l’intégration. D’abord, l’effort d’adaptation n’est plus demandé aux seuls étrangers, il l’est tout autant aux Français de souche. Ensuite, il ne s’agit plus pour la nation d’incorporer au mieux des personnes étrangères, il s’agit en réalité de créer un nouveau pays. Sans le dire explicitement les apprentis sorciers du Système s’efforcent maintenant de construire sur le sol national une nouvelle société africano-islamo-hexagonale qui se définirait simplement comme un territoire régi par un état de droit permettant à tous de vivre ensemble.

Les Suédois, qui sont manifestement en avance sur nous, ont été récemment la cible d’une campagne d’opinion sous forme de message publicitaire télévisé pour leur expliquer ce processus :

« Il n’y a plus de retour en arrière, est-il expliqué dans ce film, la Suède ne sera plus jamais comme avant. Il est temps de réaliser que de nouveaux Suédois vont venir avec leur culture, leur langue et leurs traditions, et il est temps de le voir comme une force d’impulsion positive. Ce “nouveau pays” forme un nouvel avenir. Etre suédois doit être accepté non plus comme une question de couleur de peau et lieu de naissance. Cela doit pouvoir être toi, moi et tous ensemble. Ce ne sont pas uniquement les nouveaux Suédois qui doivent s’intégrer. Tout le monde doit s’intégrer, même les Suédois de souche. »

Le choix ultime

Alors, certes, cette campagne baptisée « Le nouveau pays » n’est pas celle du gouvernement suédois et il n’y en a pas encore eu de comparables en France. Mais tel est bien le sens du « vivre-ensemble ». Sans doute dans un premier temps se contentera-t-on d’habituer les Français à cette nouvelle formule et ensuite seulement leur expliquera-t-on, comme aux Suédois, ce qu’elle signifie réellement pour l’avenir. Les immigrés notamment musulmans ne s’assimileront pas à la France telle que nous en avons hérité. « Un nouveau pays est à construire et vous, Français, devrez vous y adapter ». En ce sens l’islam n’est pas foncièrement un problème puisque nous devons construire quelque chose de nouveau où il devra, d’une façon ou d’une autre, trouver sa place.

Il est clair que les tenants du Système sont ainsi arrivés au point ultime du processus idéologique dans lequel ils se sont engagés. Confrontés à la contradiction fondamentale qui existe entre le maintien de la France telle qu’elle est et la présence croissante d’immigrés sur notre sol, ils ont dû faire un choix. Mais plutôt que d’en tirer la conclusion qu’il faut arrêter toute nouvelle immigration, voire commencer un processus de rémigration, ils préfèrent renoncer au maintien de ce que nous sommes et s’engager dans la voie aventureuse de la construction d’une nouvelle entité en rupture totale avec les racines de notre nation.

En choisissant ce chemin, ô combien périlleux et néfaste, le Système révèle son échec, sa faiblesse et son monstrueux cynisme. Espérons que ce projet, lorsqu’il sera plus explicite et mieux compris des Français, provoquera enfin la colère et la révolte du peuple.

Source Polémia cliquez ici

08:22 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La "Manif pour Tous" hier à Paris

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Carl Lang et Robert Ménard ensemble 

pour l'abrogation de la "loi Taubira"

07:59 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 16 octobre 2016

La muflerie empêche-t-elle de bien diriger un pays ?

Randa Ph 2.jpgLa chronique de Philippe Randa

Dernier scud tiré contre Donald Trump, candidat officiel du Parti républicain, la diffusion d’un enregistrement vieux de plus de douze ans des propos pour le moins douteux sur la condition féminine : « The Donald » ne s’y montre guère un gentleman et il s’en est d’ailleurs excusé avec le seul argument possible, celui de la sincérité : il admet ne pas être parfait !

On comprend aisément que les dames, du moins dans leur très grande majorité, ne goûtent guère les propos rapportés et que les hommes, dans leur grande majorité, eux aussi – du moins espérons-le ! – ne les apprécient pas non plus.

Mais de simples paroles, aussi minables soient-elles, sont-elles pires que le cocufiage auquel nos derniers chefs d’État français nous ont habitués ?

Rappelons-nous… Giscard d’Estaing, en galante compagnie, percutant au petit matin un camion de laitier ? François Mitterrand entretenant aux frais de l’État un deuxième ménage où il pouvait voir grandir sa fille cachée ? Jacques Chirac, surnommé « 3 minutes et demie, douche comprise » pour ses innombrables galipettes adultérines ? Nicolas Sarkozy, à peine divorcée de sa deuxième épouse et se consolant dans les bras d’une Saltimbanque aux nombreuses photos dénudées ? Et, évidemment, François Hollande, pincé en aussi flagrant que ridicule délit d’adultère sur un scooter, alors que sa concubine avait encore ses valises à l’Élysée ?

La muflerie empêche-t-elle nécessairement de bien diriger un pays ? En France, on aurait tendance à le croire… mais outre-Atlantique ? Pour le savoir, les Américains savent ce qu’ils doivent faire !

Lire aussi EuroLibertés cliquez ici

12:23 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 15 octobre 2016

Civitas sur le terrain dans l'Isère contre l'implantation de migrants

12:35 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

12 et 13 novembre à Bobigny : FOCUS SUR LE CINEMA SYRIEN EN PRESENCE DU CINEASTE BASEL AL KHATIB..

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En savoir plus cliquez ici

11:27 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pierre Cassen mis en examen pour avoir publié deux dessins sur les tenants du pouvoir

Pierre Cassen Riposte laïque cliquez ici

J’ai donc été entendu, ce vendredi, à 14 heures, par le juge d’instruction Aline Batoz. J’étais accompagné par mon avocat, Maître Pichon.

L’entretien a duré une heure. Le juge, à qui le Procureur de Paris a demandé d’instruire quatre plaintes, m’a confirmé son intention de me mettre en examen, pour mon rôle présumé de directeur de publication dans la mise en ligne de deux dessins jugés outrageants d’Hidalgo et Cazeneuve.

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Concernant la première affaire, celle des dessins du maire de Paris (publiés lors de la commémoration du ramadan à la mairie de Paris par Anne Hidalgo), parus dans trois articles, qui ont donc occasionné trois plaintes, le juge m’a demandé si je comptais répondre à ses questions, ou faire une déclaration.

En accord avec mon avocat, j’ai fait une simple déclaration, où j’ai fait savoir mon étonnement devant le titre qui m’était donné.

J’ai rappelé le verdict du TGI de Versailles de mars 2013, qui avait débouté la plainte d’un machiniste musulman contre Riposte Laïque, parce qu’il s’était trompé d’interlocuteur, le site étant sous responsabilité suisse. J’ai d’autre part rappelé au juge que la 17e Chambre avait condamné récemment Alain Jean-Mairet, alors président de Riposte Laïque Suisse (RLS) comme directeur de publication de RL, pour un article écrit dans les mêmes dates que ceux pour lesquels nous étions poursuivis.

Le juge ignorait ce fait, mais est resté à sa décision initiale, bien que notre avocat ait demandé un statut de témoin assisté me concernant.

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Concernant l’autre dossier, le dessin de Cazeneuve (publié après les capitulations laïques du ministre de l’Intérieur devant les dignitaires musulmans, le 15 juin 2015), le juge a réitéré son intention de me mettre en examen, et j’ai fait exactement les mêmes réponses, contestant le titre qui m’était donné. Comme j’étais également accusé d’avoir écrit le titre de l’article « Cazeneuve champion du monde des lèche-babouches », et les bulles, j’ai fait savoir que cela était le fruit d’un travail collectif.

Rappelons que notre ministre de l’Intérieur, débouté de sa plainte une première fois, est revenu à la charge, avec constitution de partie civile, et que, n’ayant pas voulu révéler ses revenus, il a dû déposer une caution de 4.500 euros, ce qui montre son sens des priorités. Quelques semaines plus tard, la France était à nouveau endeuillée par les attentats du Bataclan…

Nous ferons probablement appel de cette mise en examen, après un nouvel entretien avec mon avocat.

D’autre part, il y aura une nouvelle convocation, où le juge, qui affirme, après la perquisition de mon ordinateur et de mon téléphone, disposer d’élément solides prouvant ses accusations, me posera des questions auxquelles je répondrai, en ayant eu connaissance du dossier, ce qui n’est pas le cas à l’heure actuelle.

Les lecteurs de Riposte Laïque seront donc ravis d’apprendre que dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve-Hidalgo, un homme qui n’est plus responsable de publication du site depuis quatre ans peut être poursuivi pour la publication de deux caricatures, dix-huit mois après les belles envolées de « Je suis Charlie ».

Ils seront ravis d’apprendre que dans cette France, Riposte Laïque est le seul site au monde où la justice poursuit deux directeurs de publication en même temps !

Ils seront ravis d’apprendre que dans cette France, nous avons passé, Christine Tasin et moi, cette semaine, pour six interrogatoires policiers et une convocation chez un juge, une vingtaine d’heures, déplacements compris.

Il seront ravis d’apprendre que dans cette France, Eric Zemmour devra répondre du crime d’apologie de terrorisme, quand Philippe Vardon est condamné à 6 mois de prison pour s’être défendu, devant sa femme et ses enfants, contre une agression de multi-récidivistes.

Ils seront ravis d’apprendre que dans cette France qui vit sous la terreur de prochains attentats islamistes, nous avons des policiers et des juges qui consacrent des milliers d’heures de travail à traquer des Français coupables de trop aimer leur pays.

Ils seront ravis d’apprendre que la stratégie des socialistes, et de leurs obligés, consiste à multiplier les plaintes, même les plus grotesques, contre des sites lanceurs d’alerte sur l’islam, pour leur imposer des procédures judiciaires ruineuses et chronophages.

Les policiers, envoyés au massacre par un ministre de l’Intérieur qui ose qualifier de « sauvageons » de véritables assassins, vont-ils se faire plus longtemps les complices de ce pouvoir qui les méprise ?

Les juges, qualifiés de « lâches » par un président de la République qui fait honte à la France, vont-ils cautionner cette mascarade judiciaire plus longtemps ?

Juste un rappel : l’islam a tué 250 personnes en France en 18 mois, et 30.000 dans le monde depuis le 11 septembre 2001. Et ce n’est qu’un début…

J’espère ne pas tomber sous le coup de la loi si je conclus ce texte par cette phrase de Charles de Foucauld…

« Des musulmans peuvent-ils être vraiment Français ? D’une manière générale, non. Dans cette foi, le musulman regarde l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non-musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s’il est soumis à une nation non-musulmane, c’est une épreuve passagère ; sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l’engage à subir avec calme son épreuve. »

Si Charles de Foucauld vivait aujourd’hui, il aurait été victime de « signalement » d’associations dites antiracistes, puis d’une plainte du procureur de la République. Des policiers et des juges l’auraient longuement interrogé. Il aurait dû ensuite s’expliquer devant un tribunal, se serait vu qualifié de raciste par des commissaires politiques en mission. Il aurait été lourdement condamné, et se verrait systématiquement classé à l’extrême droite, dès que son nom serait évoqué, par la presse aux ordres.

Jusqu’à quand cette mascarade va-t-elle continuer ?

Maître Frédéric Pichon et Pierre Cassen à la sortie du Palais :

11:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 14 octobre 2016

Samedi 15 octobre, Roger Holeindre à Nogent sur Marne

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Vendredi 28 octobre : Thomas Joly à Abbeville (80)

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15:41 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 13 octobre 2016

Le concert des Brigandes lors de la Xe Journée de Synthèse nationale le dimanche 2 octobre dernier

LES CD DES BIGANDES SONT EN VENTE :

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Le commander en ligne cliquez ici

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Le commander en ligne cliquez là

22:09 Publié dans 10 - La 10e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DIMANCHE PROCHAIN, LE PARTI DE LA FRANCE SERA A LA LA MANIF POUR TOUS !

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Carl Lang et les cadres du Parti de la France vous donnent rendez-vous dimanche 16 octobre à 12 h 30 devant la sortie RER C (station Avenue Foch ) à l'angle de  la PLACE DE LA PORTE DAUPHINE (Place Maréchal de Lattre de Tassigny) et du Boulevard FLANDRIN (à hauteur du n° 91) .

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Une Garde Nationale. Pour quelles actions et avec qui ?

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Bernard Plouvier

Entre deux discours démagogiques, un livre de confidences grotesques et des gaffes diplomatiques de première ampleur, notre distingué Président, si dévoué à la Nation française (c’est sa version) ou à l’immigration-invasion (c’est l’analyse objective de ce triste quinquennat), vient de lancer une idée révolutionnaire : la création d’une Garde Nationale.

D’abord, soulignons un fait. En dépit de ce qu’a écrit Éric Zemmour, le règne nominal d’Hollande n’a pas été un « quinquennat pour rien », mais un « quinquennat négatif », c'est-à-dire que l’homme et son équipe de gens bizarres ont singulièrement aggravé les conditions de vie de la Nation française, de 2012 à 2016, en attendant probablement pire pour le premier semestre de 2017.

Cinq millions et plus de chômeurs, une guerre stupide en Syrie et la poursuite de celle d’Afghanistan, des gaffes répétées envers le Président Poutine, une allégeance peu discrète aux roitelets islamo-pétroliers et une capitulation permanente devant les intérêts des multinationales, une multitude de scandales privés et publics entachant une foule de ministres et leurs encombrantes familles, en plus d’une attitude personnelle de potache jouisseur, ce n’est pas « rien ». C’est une honte pour l’institution républicaine.

Et voici qu’à la fin de 4,5 années de pilotage sans visibilité et d’absence de stratégie politique, le Président (ou son brain trust) accouche de la résurrection d’une vieille barbe : la Garde Nationale. S’il s’agit de ressusciter celle des Révolutions de 1789 ou de 1830, ce n’est peut-être pas nécessaire.

Celle créée en juillet 1789, pour contrer les monarchistes réfractaires à tout changement, s’est très vite muée en formation subversive (dès le printemps de 1792), puis en auxiliaire de la Terreur (à partir de l’été de 1792). La Garde de 1830 fut une milice assez ridicule, mais non sanguinaire à la différence de la première : des artisans et des petits commerçants se mirent au service des gros bourgeois, eux-mêmes dirigés par des financiers, où l’élément cosmopolite dominait déjà. En 1848, la révolution populaire aura une indéniable connotation anticapitaliste et (allez savoir pourquoi) antijuive.

Peut-être s’agit-il, dans l’idée jaillie à l’Élysée ou à Matignon, à moins que ce ne soit au ministère de l’Intérieur (les palais de gouvernement sont tellement proches les uns des autres qu’on ne sait pas toujours qui commande), de fonder une milice de citoyens ayant déjà une certaine formation militaire ou paramilitaire, comme celle des miliciens de la Garde Nationale des USA ? Ce n’est peut-être pas nécessaire, là encore !

Lors des émeutes raciales si nombreuses au pays du « melting pot » et du brassage de races si harmonieux (selon la version d’Obama et de ses clowns médiatiques), lors des scènes de pillage qui suivent toute catastrophe naturelle (ouragans et tornades), la Garde Nationale est si vite débordée que l’autorité fédérale a pris l’habitude de décréter la loi martiale et d’appeler, pour « sécuriser le périmètre », des contractors, soit des agents de formations paramilitaires privées.

Pourquoi vouloir créer une Garde Nationale dans la Ve République entrée en son stade d’agonie pourrissante ? À l’évidence, ce devrait être pour prévenir les multi-quotidiennes manifestations d’incivilités, pour rassurer la population meurtrie par l’insécurité permanente dans les cités de France, voire pour aider police et armée à réprimer les émeutes raciales, syndicales et les manifestations, religieuses (on continue de hurler les prières au dénommé allah dans les rues et places de diverses villes de France, en violation flagrante de la Loi de 1905).

Il importe de définir le domaine d’activité des miliciens de la Garde Nationale… car, l’on peut raisonnablement penser qu’avec l’esprit tordu des princes, qui font semblant de nous gouverner pour le plus grand profit de la globalo-mondialisation, l’ennemi désigné ne soit pas celui que commanderait la logique.  

Il se pourrait que nos princes et princesses – dont certains ne sont Français que d’assez fraîche date – aient pour objectif de renforcer la surveillance et la répression des patriotes qui en ont assez de voir la Nation victime d’un racisme anti-Blancs, assez de voir le pays envahi d’allogènes davantage avides de proies et d’allocations que de travail. En renfort des lamentables nervis des groupuscules trotskistes, financés par le ministère de l’Intérieur, la Garde new-look pourrait avoir pour objectif de neutraliser les populistes, soit les seuls défenseurs du petit peuple autochtone de France.

On voit à quel point il est important de préciser la ou les missions qui seraient confiées aux miliciens. Car s’il s’agit de lutter contre les voyous, les violeurs, les tagueurs, les voleurs à la tire, les racketteurs, les incendiaires, les caillasseurs des forces de l’ordre, les trafiquants d’armes et de stupéfiants, il faut impérativement éviter les « conflits d’intérêts » et interdire de recruter les frères de race et/ou de religion des cibles délinquantes ou criminelles.

Avant d’allouer des crédits de fonctionnement – peut-être inopportuns en une période d’inflation gigantesque de la Dette publique -, avant de présenter la chose comme une « grande idée », il importe de dire avec précision quel type de Garde Nationale l’on veut créer : une milice politique pour aider nos princes à conserver leurs places et privilèges ou une milice pour renforcer une police et une armée, débordées et inefficaces, confrontées à une explosion de haine anti-autochtones, à une croissance exponentielle de la délinquance et de la criminalité… les vraies, pas celles des statistiques truquées des ministères de l’Intérieur et de la « Justice ».

Une fois définis les objectifs, nos princes devront prendre l’avis du seul souverain : la Nation française, en organisant un referendum.  

18:34 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |