mercredi, 11 janvier 2017
Samedi 25 février à 15 h à Paris
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Immigration : des écrivains sonnent le tocsin
Camille Galic Polémia cliquez ici
En 1973, le succès presque immédiat et bientôt international du Camp des saints de Jean Raspail éclipsa l’autre grand roman d’anticipation sur l’immigration paru quelques années plus tôt, L’Occident (éditions Robert Desroches, 1969), publié en anglais sous le titre The Walled City : redoutant d’être attaqués, les provinciaux fuient leur campagne et affluent vers la ville, mais les remparts de la cité ne les protégent pas car l’omniprésent et protéiforme ennemi est déjà à l’intérieur.
Qualifié de « grand livre hallucinatoire » par le critique Robert Poulet, qui n’hésitait pas à comparer à Céline le libraire Marcel Clouzot (frère du célèbre cinéaste Henri-Georges),
L’Occident devait marquer durablement l’imaginaire de la droite dure, inspirant par exemple ses célèbres « rats noirs » à Jack Marchal, le dessinateur du Groupe Union Droit qui faisait alors trembler les gauchistes.
Depuis Clouzot et Raspail, la veine ne s’est jamais tarie, au contraire, à mesure que montaient les flux migratoires. Qu’on pense à La Toussaint blanche de Philippe Gautier (éd. Les 5 Léopards, 1993), à La Mosquée Notre-Dame de Paris 2048 de la romancière russe Elena Tchoudinova (éd. Tatamis 2009), la date de 2048 étant un clin d’œil au 1984 d’Orwell, aux Chiens enragés de Marc Charuel (Albin Michel 2014, http/::www.polemia.com:chiens-enrages-de-marc-charuel:) et à maints autres.
Tout récemment : Le Grand Rembarquement d’Emmanuel Albach, qui se déroule en 2019, et L’Edit de Mantes de Modeste Lakrite (1), situé en 2027. Autrement dit demain.
Par leurs prémisses, les deux romans se ressemblent. A partir des banlieues et de certains centres villes dont les auteurs connaissent visiblement la triste réalité quotidienne, avec leur population indigène déjà tombée en dhimmitude et la si prospère économie parallèle qui finance les réseaux djihadistes (2), la France est grignotée, puis largement occupée et violentée par ses immigrés.
Autochtones impuissants et souvent terrorisés, pouvoirs publics dépassés et d’ailleurs noyautés par une kyrielle de politiciens issus de l’immigration et habiles au double jeu, armée malade de la « diversité » laïque et obligatoire, cette déliquescence totale au sommet se double d’une panique générale à la base. Inévitablement on pense à la terrible lettre prémonitoire adressée par Albert Camus à son ami Jean Grenier en 1957, année où l’écrivain reçut le prix Nobel de littérature : « A longue échéance, tous les continents (jaune, noir et bistre) basculeront sur la vieille Europe. Ils sont des centaines et des centaines de millions. Ils ont faim et ils n’ont pas peur de mourir. Nous, nous ne savons plus ni mourir, ni tuer. Il faudrait prêcher, mais l’Europe ne croit à rien. »
Pourtant, des résistances s’organisent.
L’Edit de Mantes
Dans le livre de Lakrite, la Ligue des Vieux Habitants réveillée par Geneviève Nisat (un anagramme ?), ainsi prénommée sans doute en hommage à la sainte patronne de Paris qu’elle défendit contre les Huns, puis contre les Francs païens de Childéric, et sorte de pasionaria de Riposte laïque revue par la Manif pour tous, fait front et le commissaire Lelièvre (car le roman d’anticipation se double d’un roman policier) ne s’en laisse pas conter. Une partie du territoire sera sauvée, mais à quel prix ! L’Edit de Mantes, réédition de l’Edit de Nantes par lequel Henri IV avait garanti les droits des protestants, est un concordat avec les musulmans mais il conduit à la partition. Quelle humiliation pour la « fille aînée de l’Eglise » !
Le Grand Rembarquement
Le titre en témoigne, Le Grand Rembarquement se veut plus optimiste. Si les Shabeb, clones hexagonaux des Shebab ayant instauré par la terreur la Charia en Somalie, ont imposé leur loi au gouvernement, des citoyens se lèvent. Considérant qu’en ne les protégeant pas la République a violé l’antique Traité de Saint-Clair-sur-Epte, la Normandie s’insurge, bientôt suivie par d’autres provinces. Les cadres d’entreprise mettent à profit leurs capacités pour organiser l’opposition aux allogènes ; la notion de salut public renaît.
Finalement convaincus d’évacuer la France, où la présidente Marie Lapotre a succédé au président Noël Servi, les Shabeb s’éloignent, avec l’assurance que femmes et enfants les rejoindront très vite. Ainsi « de nouveau, dans les campagnes, et en ville aussi, comme jadis, on peut laisser sa maison et sa voiture ouvertes sans risquer le vol ou le pillage. En outre, comme les insurrections locales ont été l’occasion d’arracher et de détruire tous les radars du réseau routier, l’ombre menaçante de la tracasserie étatique a aussi disparu, détendant sérieusement l’atmosphère. Pour tout dire, les Français se retrouvent libres, et savourent pleinement cette liberté retrouvée, bien décidés par ailleurs à ne plus jamais laisser l’Etat s’ériger en persécuteur permanent, ni en créature “bruxellisée” ».
Trop beau pour être vrai, que ce retour au meilleur des mondes ? « Point n’est besoin d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer », disait, avant Pierre de Coubertin, Guillaume Ier d’Orange-Nassau, auquel cette devise ne réussit pas si mal puisqu’il se retrouva Stathouder de Hollande (avant, il est vrai, d’être assassiné). Quand, et surtout comment, va-t-on entreprendre la reconquête tant qu’il en est encore temps pour éviter les années vraiment les plus sombres de notre histoire ?
Modeste Lakrite, L’Edit de Mantes, Ed. Diffusia, novembre 2016, 496 pages. Cliquez ici
Emmanuel Albach, Le Grand Rembarquement, Ed. Dualpha, juillet 2016, 331 pages. Cliquez ici
Notes :
(1) Cet étrange pseudonyme a été choisi en référence aux akrites, soldats-paysans grecs chargés par Byzance de protéger ses frontières anatoliennes des incursions de la cavalerie turque, comme les Habsbourg devaient ensuite mobiliser les Uskoks et autres Haïdouks slaves du sud contre l’envahisseur ottoman menaçant l’Autriche.
(2) Sur L’islamo business, de Jean-Paul Gourévitch, lire cliquez là
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Samedi 11 mars, à Rungis, Civitas organise la 1ère Fête du Pays réel
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Vendredi 13 janvier : galette des rois de Jeune Nation et du PNF à Lyon
07:30 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 10 janvier 2017
L'Aristoloche fête les rois
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lundi, 09 janvier 2017
Il est sorti : LE 3e CD DES BRIGANDES
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Lorsque Lucky Luke traumatisait les bonnes consciences
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Réinfo, le mag du Parti de la France
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen
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dimanche, 08 janvier 2017
Une année cruciale
Georges Feltin-Tracol
1917 est désignée par les historiens comme l’« année terrible », l’« année du tournant » dans la Grande Guerre. Cent ans plus tard, 2017 sera-t-elle comme le titre le nouveau numéro de l’excellente revue Conflits « l’année de tous les dangers » ? Malgré cet intitulé pessimiste, permettez-moi de vous présenter tous mes meilleurs vœux de Joie, de Grande Santé, de Force et de Prospérité pour les 359 jours qui seront certainement déterminants pour notre avenir.
L’administration de Donald Trump entrera en fonction dans deux semaines. L’incertitude demeure totale en ce qui concerne ses orientations géopolitiques majeures à un moment où la mer de Chine méridionale devient une véritable poudrière régionale avec l’annexion rampante des archipels Spratleys et Paracels par la Chine et le décrochage des Philippines de la zone d’influence US pour un rapprochement avec Pékin. Comment Trump réagira-t-il ?
En Europe, trois événements prévus marqueront cette année : les élections présidentielles et législatives au printemps en France, les législatives allemandes en septembre avec la possible reconduction d’Angela Merkel à un quatrième mandat (et on accuse ensuite Vladimir Poutine de s’accrocher au pouvoir !) et le déclenchement tant attendu du Brexit par l’activation de l’article 50. L’imprévu concernera d’éventuelles législatives anticipées en Italie avec une poussée prévisible des populismes du Mouvement Cinq Étoiles et de la Ligue du Nord.
Toutes ces péripéties politiciennes ne doivent cependant pas cacher que les soi-disant « migrants » continuent à se déverser sur le Vieux Continent, aidés par des natifs adeptes de l’ethnomasochisme, que la crise fragilise les catégories sociales populaires et moyennes inférieures autochtones et que les lamentables politiques d’austérité exigées par les banques qui croulent sous les profits se poursuivent au nom d’une conception désuète des rapports économiques et sociaux.
Comme pour toutes les années précédentes, 2017 sera surtout riche en événements inattendus et en retournements, plus ou moins considérables, de l’actualité. Une chose est déjà entérinée : la « fin de l’histoire » avancée par Francis Fukuyama est belle et bien achevée. Place donc aux « chocs de l’histoire » !
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 15, diffusée sur Radio-Libertés, le 6 janvier 2017.
23:00 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Salut à Boutang !
Disciple zélé et talentueux de Charles Maurras, le royaliste orléaniste intransigeant Pierre Boutang fut à la fois philosophe, romancier, journaliste, critique littéraire et redoutable pamphlétaire. Révoqué de l’Université pour avoir rallié le général Giraud en 1942, Boutang fonda un journal, La Nation française, dans lequel s’exprimaient l’« historien du dimanche » Philippe Ariès et le critique de cinéma Philippe d’Hugues, soutint la cause de l’Algérie française avant d’approuver l’action néo-capétienne de Charles De Gaulle en qui il espéra un moment une éventuelle restauration monarchique en faveur du comte de Paris. Ayant appris à lire dans les colonnes de L’Action française, Boutang partage l’antisémitisme d’État de son maître à penser, puis se fait le vibrant défenseur du sionisme et de l’État d’Israël peut-être parce qu’il « voit dans Israël un modèle théocratique moderne, la théocratie étant le contenu latent de son rêve (p. 58) ».
Rémi Soulié ne développe pas le parcours intellectuel de son ami parfois sujet à de vives colères ainsi que d’« engueulade en hurlements majeurs (p. 100) ». « Quel caractère de cocon ! (p. 101) », poursuit-il plus loin, ajoutant que « Boutang, c’est Ivan le Terrible, Attila, Tamerlan et Gengis Khan en un seul homme (p. 109) ». Bref, « faute d’avoir trouvé un sage équilibre intérieur entre la paix et l’épée, Boutang ne (se) maîtrisait pas (p. 14) ». Ce tempérament difficile n’empêche pas que « Boutang s’enflamme comme un enfant. Il a des accès d’enthousiasme politique comme j’ai des quintes de toux. Comment fait-il pour rester aussi naïf après tant d’années de combats et de revers, alors qu’il est plus que prévenu contre la démocratie dite libérale et représentative ? (p. 99) ». Cette remarque surprend. En effet, « Maistre et Boutang partagent une même idée de la politique. […] Pour eux comme pour Donoso Cortés, Blanc de Saint-Bonnet et toute l’école de la pensée catholique traditionnelle, les principes de la politique ne se peuvent penser qu’à partir de l’Incarnation, du Dieu un et trine, bref, de la théologie (p. 17) ». Rémi Soulié assène même qu’« au fond, Boutang reste trop biblique (p. 99) ». « Coléreux et généreux, tendre et tyrannique, cet ogre fut un homme de passion [… qui] a construit une œuvre philosophique et polémique parfois hermétique mais qui porte à incandescence les facultés de l’esprit (p. 14). »
Un temps proche des royalistes de gauche de la NAF (Nouvelle Action française) qui deviendra plus tard la NAR (Nouvelle Action royaliste) animée par Bertrand Renouvin et Gérard Leclerc, Pierre Boutang connaît à la perfection les mécanismes démocratiques. « Il travaillait sur la notion platonicienne de “ théâtrocratie ”. Il y voyait le concept idoine à l’intelligence des temps spectaculaires (p. 138). » Parfois suspicieux envers certains titres de Jünger – tels La Paix -, il reconnaît néanmoins volontiers que « l’anarque est celui qui échappe à toute arché. Sont bonnes toutes les archies (monarchies, anarchie…), et détestables toutes les craties (démocratie, ploutocratie…) (p. 101) ».
Il n’est pas anodin si l’ouvrage s’ouvre sur une étude fouillée consacrée à « Pierre Boutang et Joseph de Maistre » au croisement de l’histoire des idées politiques, de la philosophie et de la métapolitique, terme déjà employé par l’auteur des Soirées de Saint-Pétersbourg. Cela peut surprendre chez quelqu’un qui se référait habituellement au philosophe italien Vico. Rémi Soulié insiste aussi sur « l’axe biographique, politique, métaphysique et théologique fondamental pour Boutang : la paternité et la filiation (p. 45) ». Sa pensée s’articule donc autour de ces deux notions qui fondent la nation dans son acception étymologique.
Pour saluer Pierre Boutang est un essai lumineux sur une vie, une personnalité et une œuvre complexe qui devraient probablement faire l’objet d’une étude exhaustive. Les écrits de Boutang peuvent encore avoir aujourd’hui une résonance particulière. Le supposé « populisme chrétien » décrit par Patrick Buisson dans La cause du peuple y puiserait des idées susceptibles de le rendre effectif, cohérent et combatif. George Steiner le considérait d’ailleurs comme « la voix philosophique de l’aile autoritaire de la droite contemporaine en France (p. 16) ». Les jeunes catholiques non-conformistes du début du XXIe siècle auraient par conséquent tout intérêt à redécouvrir ce philosophe engagé après avoir médité le beau livre de Rémi Soulié.
Source Europe maxima cliquez là
• Rémi Soulié, Pour saluer Pierre Boutang, Éditions Pierre-Guillaume de Roux, 2016, 141 p., 21 €.
22:55 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les Cahiers d'Histoire du nationalisme : un outil indispensable pour mieux connaître l'idéal
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22:39 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 07 janvier 2017
L'Aristoloche, version reliée, est paru...
L'Aristoloche, vous connaissez, il est régulièrement repris sur Synthèse nationale cliquez ici. Il s'agit du bulletin d'humeur, plutôt impertinent, publié (quand cela lui chante) par notre ami Pierre de Laubier, par ailleurs chroniqueur régulier de l'émission politique et culturelle "Synthèse" du jeudi en début de soirée sur Radio Libertés.
Une bonne nouvelle, Pierre de Laubier vient de réaliser la compilation de l'Aristoloche dans un élégant ouvrage que les amateurs pourront se procurer en le commandant en cliquez ici
15:29 Publié dans L'Aristoloche (Pierre de Laubier) | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal du chaos de cette semaine
Le lire cliquez ici
13:45 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Après le Mariage pour tous, la sébile pour tous ?
de Philippe Randa
Ceux qui pensaient que l’idée du revenu universel n’était que pure démagogie électorale ou fumisterie intellectuelle se trompaient et pas qu’un peu : ça y est, c’est à l’expérimentation en Europe !
Oh ! pas en France où cette proposition – elle figure entre autres dans les programmes électoraux des socialistes Benoit Hamon et Marie-Noëlle Lieneman, de l’écologiste Yannick Jadot ou encore des candidats à la primaire de la droite Nathalie Kosciusko-Morizet ou Jean-Frédéric Poisson – est seulement à l’étude dans un rapport d’information du Sénat préconisant une expérimentation du « revenu de base »…
Non, c’est en Finlande où 2000 chômeurs entre 25 à 58 ans, tirés au sort, vont percevoir 560 euros par mois à partir de ce 1er janvier 2017. Pour deux années et à la place de leur allocation chômage…
Marjukka Turunen, responsable des affaires juridiques au sein de l’assurance sociale finlandaise (KELA) a confirmé que même « si vous trouvez un travail avec une paye de 4 000 euros par mois, vous continuez quand même à percevoir votre revenu universel de 560 euros tous les mois. »
Le but est de voir si ces deux milliers de chômeurs seront plus motivés à retrouver du travail ou à créer des sociétés… Sachant que le salaire moyen en Finlande se situe autour de 2 200 euros mensuels, le « RU » apparaît toutefois bien insuffisant pour se la couler douce aux frais de la princesse.
Attendons-nous donc sous peu à une demande de revalorisation – soit probablement dès une prochaine échéance électorale – par des politiciens prêts à toutes les générosités avec l’argent public pour raser gratis… ou se faire (ré)élire !
Lire sur EuroLibertés cliquez ici
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AUJOUD'HUI, SAMEDI 7 JANVIER : IGNACE DÉDICACE SON ALBUM "APOCALYPSE FLAMBY" À LA LIBRAIRIE FRANÇAISE
10:41 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 06 janvier 2017
L’idiot utile : la compassion au service des puissants !
David Berton Boulevard Voltaire cliquez ici
Cédric Herrou, ancien organisateur de concerts devenu paysan, a comparu le 4 janvier devant le tribunal correctionnel de Nice pour avoir facilité et aidé des clandestins à traverser la frontière franco-italienne.
L’Obs sous-titrait : « Cédric Herrou est devenu l’emblème de la désobéissance civile en faveur des migrants. » Emblème des médias, de la bien-pensance, des bobos de tout poil ; le héros humanitaire, sans-frontiériste, vielle marotte des 68tards, idiot utile par excellence, est toujours un pion pour la puissance oligarchique mondiale.
Monsieur Herrou indiquait à L’Obs : « Mon geste n’était ni politique, ni militant, il était simplement humain. Ce que j’ai fait était en accord avec mon éducation, avec les valeurs qu’on m’a inculquées. J’ai écouté mon cœur.
Des gens avaient besoin de mon aide, je les ai aidés. C’est aussi simple que ça. »
Hélas pour ce monsieur, sa compassion, in fine, est au service des puissants. C’est cela, un idiot utile : la compassion, sans l’esprit ; il est vrai que l’esprit, sans la compassion, est tout aussi grave. Néanmoins, essayons de réfléchir en articulant les deux.
En France, notre système économique et social est à bout de souffle avec 6 millions de chômeurs, 9 millions de travailleurs pauvres, une dette abyssale et des milliers de sans-abri, nonobstant les 200.000 immigrés légaux par an (et combien de clandestins ?).
Depuis le regroupement familial (1974), l’immigration n’est plus une immigration de travail mais de peuplement ; la destruction du modèle assimilationniste au profit du modèle communautariste (d’inspiration anglo-saxonne), construit sur la haine de la France et du Français de souche, anéantit toute concorde nationale ; concorde nationale devenue impossible, d’un fait simple : le flux migratoire n’a jamais été aussi quantitatif et tant que la France n’affirmera pas ce qu’elle est, avec fierté, elle n’arrivera jamais à se faire respecter, ni à assimiler l’élite méritante de ces flux.
Et quel avenir, pour eux ? Celui d’occuper des travails mal payés, permettant de conforter les grandes entreprises sans scrupules dans l’emploi des mains-d’œuvre à bas coût ? Les marchands de sommeil ? Les mafias ? Les zones de non-droit ?
Et quel avenir, pour nous ? Celui de baisser nos acquis sociaux pour rester compétitifs avec les travailleurs étrangers, d’être jetés dans le chômage, de subir une criminalité grandissante, de constater que nos racines helléno-chrétiennes disparaissent un peu plus sous l’américanisation et le choc démographique d’autres cultures ?
En réalité, le flux migratoire est un outil ploutocratique pour attaquer le régime social français, détruire la classe moyenne, communautariser la société, et diluer les derniers vestiges du christianisme.
C’est, en conclusion, la preuve de la plus grande habileté des puissants que d’utiliser la légitimité morale de cette gauche libertaire et sans-frontiériste pour appliquer le capitalisme le plus violent.
Le système parfait en substance : le libéralisme-libertaire. La jonction du marché et de sa garantie morale.
NDLRSN : lire aussi sur Riposte laïque cliquez là
23:12 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'électricité éolienne aux abonnés absents alors que la France grelotte
Communique de presse de la Fédération Environnement Durable
Le 6 janvier à 8h une vague de froid a recouvert la France. La consommation d’électricité de notre pays était assurée à 74% par les centrales nucléaires et les barrages hydrauliques alors que les énergies intermittentes comme l’éolien ne participaient qu’à hauteur de 1,8% du total.
De plus la France était contrainte d’importer 9% de son électricité au lieu d’exporter 10% à 15% comme elle le faisait traditionnellement avant l’arrivée des programmes de la « Transition Energétique ».
Ces chiffres officiels (1) du réseau de Transport de l'électricité (RTE) démontrent à quel point la filière éolienne, développée depuis des années à grand renfort d’annonces et de subventions et qui produit de l’électricité ruineuse et intermittente, est une erreur stratégique. Les français ont besoin au contraire d’une électricité fiable et bon marché.
Plusieurs millions de ménages sont en situation énergétique précaire et n’ont même plus les moyens de se chauffer. France info a diffusé à la même heure le témoignage d’une habitante de la région Est ou la température a atteint -9°C. Elle a décrit les difficultés auxquelles elle était confrontée. Celles-ci ressemblaient à celles vécues par nos parents lorsque la France occupée était soumise aux restrictions et aux pénuries et de chauffage.
(1) cliquez ici
Sortie prochaine d'un livre consacré au scandale éolien :
22:53 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le hip-hop de Versailles
13:38 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mardi 17 janvier : conférence de Civitas sur l'avortement à Paris
08:42 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
J'avais un rêve...
08:38 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 05 janvier 2017
Samedi 21 janvier : Jean-Marie Le Pen tiendra un grand meeting à Palavas Les Flots dans l'Hérault
Jean-Marie Le Pen tiendra le 21 Janvier 2017 à 18H00 un meeting national et dîner politique à Palavas-les-Flots dans l'Hérault.
Renseignements et hébergements :
comitejeanne34@gmail.com
@comitejeanne - 06 74 88 96 10
Vous avez également la possibilité de vous inscrire en ligne cliquez ici
23:00 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Havre : Jean-Yves Métayer-Robbes sera le candidat de la droite nationale aux législatives de juin prochain
Un communiqué de Jean-Yves Métayer-Robbes :
Je suis heureux de vous annoncer ma candidature aux élections législatives de Juin 2017, au Havre, soutenu par mon ami Carl Lang, le Parti de la France dont il est le Président et les Comités Défense Républicaine dont je suis le Président-Fondateur.
Le Havre va enfin pouvoir choisir librement entre le député sortant laïcardo-mondialiste E. Philippe, ex-porte-parole "d'Alain Juppé le grand perdant" et la vraie droite nationale que j'aurai l'honneur de représenter, dans l'espoir de devenir le futur député de la Porte Océane. Tous vos soutiens sont les bienvenus. Ensemble, nous allons défendre l'identité française. Oui, nous allons tout faire pour stopper l'islamisme et ceux qui l'encouragent tous les jours. Nous serons la droite de conviction, la droite des valeurs européennes et chrétiennes de civilisation, la droite de défense de nos entreprises et du patriotisme économique et social.
Vous allez enfin pouvoir vous faire entendre à l'Assemblée Nationale. Vous pouvez compter sur moi et sur ma détermination.
Le site de Jean-Yves Métayer-Robbes cliquez ici
22:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
OBAMA, MAUVAIS PERDANT, TENTE DE SAVONNER LA PLANCHE DE SON SUCCESSEUR !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
La fin de l’année 2016 nous a apporté quelques satisfactions, à nous autres Français, avec l’élimination de Sarkozy et de Juppé, ainsi que le renoncement de François Hollande. Elle a été assombrie par le drame de Berlin, sorte de répétition de notre 14 juillet niçois, conséquence de la folle politique d’Angela Merkel, et par le décès de célébrités inoubliables, chacune au firmament de leur art, comme les actrices Michèle Morgan et Claude Gensac, ou l’académicien Michel Déon, le dernier des « Hussards ». Nous aurons également une pensée pour nos amis russes qui ont perdu l’essentiel de leur plus célèbre chorale dans un crash aérien en Mer Noire. Mais la politique a repris ses droits et, tandis que la misérable comédie des primaires socialistes encombre nos écrans de télévision et colonise les ondes, la géopolitique subit les effets d’une nouvelle tectonique des plaques qui semble redistribuer les cartes.
La Turquie change-t-elle de camp ?
Longtemps l’alliée la plus sûre et la plus fidèle de l’OTAN, la Turquie vient d’effectuer un virage à 180 degrés de sa politique étrangère. A deux doigts de s’affronter avec la Russie après que son aviation ait abattu un appareil russe dans le ciel turco-syrien, Recep Tayyip Erdogan vient de parrainer avec Moscou un accord de cesser le feu en Syrie ! Pragmatique, réaliste, le Président turc s’est rendu compte que l’objectif qui consistait à renverser Bachar Al Assad en soutenant les guérillas islamistes, était impossible à atteindre. D’autre part, la menace kurde est trop présente dans l’esprit des dirigeants d’Ankara pour accepter d’être pris en tenaille entre un PKK très actif dans l’Est anatolien et un PYD syrien, sécessionniste, sur toute sa frontière sud. Ça tombe bien, Damas ne veut pas entendre parler non plus de séparatisme kurde, ces Kurdes – « cocus » de l’histoire, nation sans Etat - soutenus par l’Occident… Le prix à payer de cette réévaluation de la diplomatie est lourd : les attentats se succèdent, tous plus meurtriers les uns que les autres. Le dernier en date commis lors de la Saint-Sylvestre - des dizaines de morts dans une boite de nuit d’Istanbul, sorte d’opération « Bataclan bis » - est-il comme une piqûre de rappel après l’assassinat de l’ambassadeur de Russie en Turquie fin décembre ? Etrange… Etrange aussi ce putsch raté qui visait le Chef de l’Etat turc, lequel dit-on, n’aurait dû son salut qu’aux informations données par les services secrets russes : à un quart d’heure près, il devait être arrêté ou exécuté dans sa résidence sur les bords de la Mer Noire, avant que son avion ne l’emporte vers la capitale, escorté par des F-16 de l’armée de l’air, cette même arme qui attaquait au même moment le Parlement d’Ankara ! Tout n’a pas encore été dit sur ce mystérieux « golpe » qui aurait été ourdi, à en croire certains officiels turcs, par la CIA. Mais il est vrai que l’on ne prête qu’aux riches ! Une explication plausible en tout cas à défaut d’être vraie, au rapprochement des présidents Poutine et Erdogan.
A quelques jours de son effacement, OBAMA lâche son venin
Faute de peser sur les évènements, le Président sortant à Washington tente de savonner copieusement la planche de son successeur. C’est, tout d’abord, l’invraisemblable accusation contre la Fédération de Russie d’avoir manipulé l’élection présidentielle pour favoriser Donald Trump, dont on connait par ailleurs les idées à propos de la politique russe. C’est ensuite, l’expulsion de 35 diplomates vers Moscou en représailles d’une supposée cyber attaque, piège dans lequel Poutine ne tombe pas, sachant très bien que la situation sera rétablie le 20 janvier : « Nous n’allons pas tomber au niveau d’une diplomatie irresponsable », déclarait le Président russe. Pour sa part, le successeur d’Obama se fendait d’un tweet où il saluait la « belle réaction de Poutine ». « J’ai toujours su qu’il est très intelligent », ajoutait-il. Comme si cela ne suffisait pas, à l’ultime terme de son mandat, le Président américain par l’intermédiaire de son secrétaire d’Etat John Kerry, se lançait dans une féroce – mais à notre humble avis, justifiée – critique de la politique israélienne de colonisation : « Si le choix est celui d’un seul Etat, Israël peut être juif OU démocratique, mais pas les deux ». Comme pour appuyer sa démonstration, son délégué aux Nations Unies laissait filer, par son abstention, le vote de la résolution 2334, texte condamnant les implantations juives en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, partie de la ville prévue pour accueillir les institutions d’une éventuelles Palestine indépendante (1) dans le cadre d’une solution « à deux Etats ». Si Benyamin Nentanyahou, Premier ministre israélien, accusait mal le coup, le futur locataire de la Maison Blanche y voyait une pierre lancée dans son jardin, lui qui veut transférer l’ambassade des Etats-Unis en Israël de Tel-Aviv à Jérusalem, justement. (Mesure qui, soit-dit en passant, ne manquera pas de mettre le feu à la rue arabe…). Et même si l’Etat hébreu a besoin de l’aide militaire américaine, ses premiers avions furtifs F-35 – indétectables - viennent d’être livrés, il ne se prive pas de dialoguer avec les russes dont il s’est rapproché, ayant besoin de leurs garanties face à un Hezbollah « iranisé » sur leur frontière nord et sur le plateau du Golan, qu’Assad voudrait bien récupérer. On voit ici, une fois de plus, que « l’Orient compliqué » nous joue sa partition, qui n’est pas une petite musique de guinguette ! Et c’est sur ce fond de décor diplomatique que le « grand » François Hollande s’apprête à accueillir à Paris le 15 janvier, pas moins de 70 gouvernements, sauf le principal, celui d’Israël, pour parler du…Proche-Orient ! Totalement surréaliste, alors que Moscou comme la future administration américaine, sont partisans de négociations bilatérales, plutôt que d’une approche multilatérale. En tout cas, c’est au Kazakhstan, ex République soviétique, dans sa capitale Astana, que se dérouleront les prochaines conversations relatives à la situation syrienne, mais sans les Occidentaux. On voit se dessiner ici un complexe enchevêtrement d’alliances contre nature, qui fait la saveur de la géopolitique. Et la France hélas, avec ses petits poings, n’a pour l’instant aucun rôle à y jouer. Tournons vite la page de 2016 !
(1) A noter tout de même, qu’un « plan de partage » de la Palestine a déjà été voté aux Nations unies à la majorité de ses membres en… 1947
20:47 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les contribuables devront payer une dette de 119 millions d’euros à cause du fiasco Autolib’
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“Une révolution urbaine “, promettait Bertrand Delanoé le 5 décembre 2011. Seulement voilà, en interne, le groupe Bolloré prévoit en réalité près de 180 millions de pertes, dont les deux tiers seront très probablement payées grâce aux impôts. Avec 131 000 abonnés, le système de voitures électriques est au point mort, comme le montre l’étude du cabinet conseil 6t, de surcroît face à la concurrence des VTC, dont les tarifs égalent presque ceux des Autolib’.
119 millions de pertes payées par la contribuable ?
Comme le rapporte Le Canard Enchaîné, le 22 novembre dernier, la société Autolib’ a dressé son bilan financier auprès d’Autolib’ Metropole (un syndicat mixte des 97 villes d’Ile-de-France adhérentes au “service d’autopartage”). L’annonce est fracassante : le groupe Bolloré table sur un déficit de 179 millions d’euros d’ici 2023, date de la fin du contrat.
“La délégation de service public prévoit que les pertes soient prises en charge par Bolloré, mais à hauteur de 60 millions d’euros”, indique le Volatile. Quid des 119 millions restant ? Les mairies devront se répartir la dette en fonction d’un calcul au prorata du nombre de voitures Autolib’ installées dans leur commune. Une annonce qui affole les élus franciliens.
09:58 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
CE JEUDI 5 JANVIER 2017 : EMMANUEL ALBACH SUR RADIO LIBERTÉS
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Les livres d'Emmanuel Albach :
Beyrouth 2016 des Français
aux côtés des phalangistes cliquez là
Le Grand rembarquement cliquez ici
Redif' vendredi 6 janvier, 9 h et 14 h
09:36 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Aimeric Bordot reçu par Thierry Bouzard sur TV Libertés
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mercredi, 04 janvier 2017
LE JOURNAL DU CHAOS DE CETTE SEMAINE
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Salauds de travailleurs !
La chronique de Philippe Randa
« Les gens ne veulent pas de travail, ils veulent de l’argent ! » : ce constat n’échappe plus à personne.
La réduction du temps de travail est devenue l’obsession d’une grande partie des citoyens, car on les a convaincus lentement, mais sûrement, que leur emploi était aliénant, forcément aliénant. La preuve : un siècle durant – le siècle dernier – on a eu de cesse de réduire les heures de labeur ; qu’on en juge :
– Loi de 1906 instituant la semaine de six jours (jour de repos hebdomadaire) ;
– Loi de 1919 instituant la semaine de 48 heures et la journée de 8 heures ;
– Loi de 1936 instituant la semaine de 40 heures ;
– Loi de 1982 instituant la semaine de 39 heures ;
– Lois de 1986 et 1987 introduisant la possibilité de déroger par accord de branches, puis d’entreprises à certaines dispositions légales ;
– Lois de 1992 et 1993 incitant à la réduction du temps de travail et au développement du temps partiel ;
– Accords interprofessionnels de 1995 organisant la répartition du temps de travail sur l’année ;
– Loi de Robien de 1996 offrant des allégements de charges patronales en contrepartie de réduction du temps de travail ;
– Lois Aubry du 13 juin 1998 et du 19 janvier 2000 instituant la semaine de 35 heures ;
Ces dernières « Lois Aubry » ont eu, plus que les autres encore, un effet pervers : elles étaient devenues un véritable tabou.
Quiconque tentait une critique était couvert d’opprobre citoyen. Pensez, un tel acquis social… Il n’y a vraiment que la « France d’en bas » qui ne comprend décidément rien à rien pour avoir sanctionné électoralement – nous étions alors en 2002 – une gauche si généreuse en lui reprochant d’avoir supprimé des heures supplémentaires qui permettaient de mettre quelque beurre dans les épinards quotidiens.
Et encore cette France-là n’avait-elle pas compris alors qu’outre cette perte, cette loi d’apprentis démagogues, allait aussi bloquer les salaires. Ils le sont toujours !
Puis, certains, moins couards que d’autres ou plus inconscients, ont susurré qu’il serait bon d’en aménager les contraintes, pour permettre aux entreprises françaises de faire face à la concurrence étrangère.
Cela a été fait, timidement, presque en s’excusant, sous les quinquennats chiraquien, puis sarkozyste, mais dans l’urgence de ralentir quelques imminents dépôts de bilan et laisser le temps aux patrons qui en ont encore les moyens, de délocaliser leur entreprise avant son prévisible dépôt de bilan : ce fut la loi du 17 janvier 2003 flexibilisant largement le temps de travail sans revenir formellement sur le principe des 35 heures.
Aujourd’hui, on tente, ici ou là, de dire qu’il est nécessaire d’abroger cette loi débile et de renégocier branche par branche, la durée et la modalité du temps de travail en fonction des impératifs de chaque secteur et de chaque profession et certains candidats à la prochaine élection présidentielle émettent désormais à leur tour quelques réserves sur ces lois restrictives de travail hebdomadaire.
Le tabou fait donc long feu et l’on peut espérer que l’avenir fasse rendre gorge à la calamiteuse rengaine du « travail aliénant ».
Une anecdote en dit long à ce sujet ; elle date d’il y a tout juste dix ans : dans la nuit du samedi 6 au dimanche 7 janvier 2007, les sénateurs ayant maintenu la création d’une taxe sur la distribution de textile pour financer les organismes recyclant les vêtements, un journaliste interrogeait une femme concernée par la question.
Divorcée, sans emploi, avec trois enfants à charge, elle s’était retrouvée en foyer avant d’être salariée par Emmaüs grâce à cette taxe. Elle avait ainsi pu remonter la pente et expliquait alors que sa fille de quinze ans lui avait déclaré que, plus tard, elle ambitionnait de travailler à son tour pour les entrepôts Emmaüs car «… depuis que j’y suis employée, elle me voit tellement heureuse et épanouie ! »
À croire qu’il n’y a que ceux qui, un jour, ont tout perdu, pour reconnaître encore quelques vertus au travail…
Source EuroLibertés cliquez ici
12:44 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Italie, le 7 janvier 1978, trois militants nationalistes tombent sous les balles de terroristes et de la police.
Le 7 janvier 1978, trois militants nationalistes tombent sous les balles de terroristes et de la police.
Les trois jeunes Italiens militaient au Front de la Jeunesse (FGD-Fronte della Gioventù). La première fusillade se déroula quand les militants sortaient alors d’une réunion du Mouvement social italien (MSI-Movimento sociale italiano). Ils furent mitraillés par cinq ou six extrémistes de gauche qui attaquèrent avec des armes automatiques.
Franco Bigonzetti, un étudiant en médecine de 20 ans est tué. Francesco Ciavatta, 18 ans, est blessé ; il parvint à quitter les lieux, pendant que trois autres militants réussissent à revenir au local du MSI, dont Vincenzo Segneri, également blessé par balles.
Les lâches criminels poursuivent Francesco et l’abattent, dans le dos. Il décèdera dans l’ambulance qui le conduit à l’hôpital. Une manifestation spontanée s’organise alors contre ce crime ignoble. Dans une atmosphère tendue, un journaliste de la RAI se livre à un acte tout aussi ignoble : il va éteindre sa cigarette dans le sang de l’une des victimes. Un mouvement de protestation gronde dans la foule ; la police intervient alors est le capitaine de police Edward Sivori abat Stephen Recchini. L’intention de tuer est certaine puisqu’il tire en pleine tête, entre les deux yeux du jeune militant de 19 ans, par ailleurs guitariste du groupe Janus.
Stephano Recchioni décède après deux jours d’agonie.
L’action criminelle des marxistes fera une quatrième victime : le père de Francesco Ciavatta se suicide quelques mois plus tard.
Un cinquième militant nationaliste sera assassiné suite à cette affaire. Un an après le massacres, les organisations nationalistes italiennes veulent démontrer publiquement en souvenir de leurs camarades et pour protester contre l’inaction de la police et de la justice. La marche est interdite par les autorités. Une manifestation spontanée aura pourtant lieu et se déroulera sans le moindre incident.
Alors qu’il rentre chez lui avec un camarade, Alberto Giaquinto est approché par une voiture de police banalisée. Des policiers finissent par en descendre est l’un d’eux tire une balle dans la nuque d’Alberto. Grièvement blessé, il tombe à terre ; les policiers s’enfuient, laissant leur victime mourir. Il demeure plus de 20 minutes dans la rue sans qu’aucun secours n’arrive. Transporté à l’hôpital, il y décède peu après.
Alors qu’il meure, sa famille à ses côtés, le domicile de ses parents est vandalisé par des policiers qui veulent se couvrir et cherchent des preuves – mais agissent sans mandat. Ils prétendirent en effet qu’Alberto était armé, ce qui était faux.
Albert Giaquinto avait 17 ans. La justice n’a jamais condamné les assassins. Plusieurs criminels rouges ont été identifiés : Mario Scrocca, Fulvio Turrini, Cesare Cavallari, Francesco de Martiis e Daniela Dolce. Sans aucun doute coupables, le premier s’est suicidé, le dernier s’est enfui. Les autres seront finalement acquittés.
Les flics tueurs ont également été acquittés.
Trente ans après, aucun des criminels n’a été condamné.
Depuis nos camarades italiens commémorent la mort de leurs camarades sur les lieux du drame.
1er JANVIER 2017 :
LA LIBRAIRIE NATIONALISTE DE FLORENCE VICTIME D'UN ATTENTAT À L'EXPLOSIF.
Le 1er janvier 2017, tôt dans la matinée, une bombe a explosé devant « Le Bargello », une librairie militante proche de Casapound, mouvement culturel et politique italien dissident. Un démineur de la police, qui était sur place après qu’un colis suspect ait été signalé, a été grièvement blessé dans l’explosion.
L’équipe de déminage était intervenue à peine trente minutes après avoir bouclé la zone – via Leonardo da Vinci, dans le centre historique de Florence – suite à l’alerte concernant le colis suspect. En pleine intervention, la bombe a finalement explosé, blessant grièvement au visage et aux mains le démineur qui tentait de la désamorcer. Celui-ci pourrait perdre un œil, mais ses jours ne sont pas en danger.
Il s’agit du troisième attentat visant la librairie « Le Bargello », en à peine un an. En février 2016 déjà, une bombe avait explosé au même endroit. Une enquête est en cours, et des perquisitions ont été réalisées dans un quartier anarchiste de la ville. Lire la suite cliquez là.
Source GUD cliquez ici
12:38 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |