mercredi, 27 décembre 2017
LES ECOLOS NOUS EMMERDENT !
Pieter Kerstens
Cette caste malfaisante inonde depuis des décennies les médias de sa propagande mensongère dans trois domaines principaux, parmi d’autres : l’arrêt des centrales nucléaires, l’immigration clandestine et l’interdiction des véhicules diesel.
L’énergie nucléaire est la moins polluante et la moins chère.
Mais en exploitant la crédulité et l’émotivité des populations désinformées, ces talibans de l’énergie « renouvelable » nous imposent le dogme du danger atomique, par assimilation mémorielle à Hiroshima, Nagasaki, Tchernobyl ou plus récemment Fukushima, alors que les causes en sont diverses et totalement infondées quant au fonctionnement des centrales existantes en Europe.
Ils taisent également les recherches scientifiques de ces 20 dernières années dans le domaine du nucléaire.
MYRRHA est au niveau mondial le premier prototype d’un réacteur nucléaire piloté par un accélérateur de particules.
Particularité : en tant que source externe de neutrons, cet accélérateur de particules maintient la réaction en chaîne de la fission nucléaire. Il s’agit d’un réacteur sous-critique : le cœur ne contient pas assez de substance combustible pour entretenir spontanément la réaction en chaine.
Cette technologie nucléaire innovante est sûre et facile à contrôler. Lorsque l’accélérateur de particules est arrêté, la réaction en chaîne stoppe automatiquement endéans une fraction de seconde.
En raison de différences significatives avec les réacteurs existants, on peut parler d’un réacteur de recherche particulièrement innovant :
- MYRRAH fonctionne avec des neutrons rapides, pilotés par un accélérateur. Grâce à ces neutrons rapides, le combustible est utilisé plus efficacement dans le réacteur, ce qui réduit la quantité de déchets radioactifs.
- Le refroidissement de réacteur s’effectue au moyen d’un alliage de plomb et de bismuth.
- Le réacteur est sous-critique et de ce fait, facilement contrôlable.
Cette technologie emploie le concept proposé en 1937 par le prix Nobel Glenn Seaborg, dit « spallation nucléaire ». Il est actuellement en développement au Centre d’Etude de l’Energie Nucléaire à Mol en Belgique, mais peu de politiciens en parlent, par obligation du « politiquement correct ». Pourtant il serait urgent de voter les crédits indispensables à la construction de plusieurs de ces réacteurs en Belgique, avant 2030.
Par ailleurs, une équipe de scientifiques internationaux développe le concept de fusion nucléaire, en construisant le projet ITER à Cadarache, avec un réacteur Tokamak qui pourra produire 10 fois plus d’énergie que les modèles EPR et cela, sans gaz à effet de serre, ni émissions de CO2 ou de particules fines !
Les particules fines (en suspension dans l’atmosphère et d’un Ø inférieur à 10 micromètres) sont essentiellement issues des combustions de matières fossiles non seulement produites par les humains, mais en très grande majorité par la nature.
A partir de 80 microgrammes/m3, l’alerte pollution est déclenchée à Paris, où la moyenne annuelle de la pollution a été mesurée à 24µg/m3 en 2014 (source OMS).
Cette moyenne annuelle est de 22 µg/m3 à Londres, de 23 à New-York, de 93 à Mexico, de 121 à Pékin, de 135 au Caire, de 286 à Delhi, de 320 à Ahvaz en Iran, de 448 à Rawalpindi au Pakistan, ou encore de 540 µg/m3 à Peshawar, ville de 1,8 million de Pakistanais.
Qui sont les pollueurs ?
Les ayatollahs de l’écologie à tous les étages, relayés par les médias complaisants, ne cessent de désigner les Européens en particulier comme les premiers responsables de la pollution de la planète, nous accusant quasiment d’être des « criminels ». Ça suffit !
Ces vieux adeptes du « Peace and Love » taisent les effets des tempêtes solaires sur le réchauffement climatique, ainsi que la pollution climatique conséquence des éruptions volcaniques qui, elles, dégagent des millions de tonnes de CO2 et des millions de m3 de gaz sulfureux et toxiques tous les ans dans l’atmosphère.
Selon une récente étude de Global Carbon Project, publiée dans le quotidien espagnol El Pais ce 21 décembre, les émissions de CO2 ont progressé de 1990 à 2016 de 22% dans le monde. Les détails sont instructifs :
- En Europe, on constate une diminution de 35% au Royaume-Unis, de 14% en France, de 16% en Belgique, de 17% en Italie, de 24% en Allemagne, de 37% en Russie, de 20% en Finlande et de 2% en Suède ; mais elles augmentent de 4% en Hollande, de 13% en Espagne et de 26% en Norvège !
- En Asie on observe une augmentation du CO2 de 4% au Japon, de 141% en Corée du Sud, de 235% en Indonésie, de 208% aux Philippines, de 293% en Inde, de 316% en Chine, de 772% au Viet- Nam et de 1339% au Népal …
- En Amérique du Nord, l’augmentation de CO2 a été de 4% aux Etats-Unis, de 21% au Canada et de 46% au Mexique.
- En Amérique du Sud, les émissions de CO2 ont progressé entre 1990 et 2016 de 45% au Venezuela, de 86% en Argentine, de 141% à Trinidad et Tobago, de 134% au Brésil, de 162% au Chili et de 222% au Pérou.
- En Afrique et au Moyen Orient, seul le Zimbabwe a réussi à diminuer ses émissions de CO2 de 30% entre 1990 et 2016. La hausse est de 154% au Maroc, de 185% en Egypte, de 105% au Koweït, de 161% au Nigeria, de 50% en Afrique du Sud, de 242% en Arabie Saoudite, de 360% dans les Emirats, de 487% à Oman, de 218% à Madagascar, de 600% en Angola et de 9580 % en Namibie !
- En Nouvelle Zélande, les émissions de CO2 ont augmenté de 41% et en Australie de 43%.
Mais malgré ce constat irréfutable, les Khmers verts européens s’obstinent à nous montrer du doigt comme de vilains pollueurs, refusant tout effort pour diminuer nos consommations énergétiques et polluantes.
Les immigrés clandestins, réels hors-la-loi, n’ont rien à foutre chez nous.
La gauche bien-pensante, bourgeoise et bohême, se montre tolérante et complaisante, pour ne pas dire complice envers les laquais de l’Islam, comme Tariq Ramadan ou Edwy Plenel, qui eux, combattent par tous les moyens les prétendus « islamophobes » réels ou supposés. Ces chrétiens de gôche, soi-disant humanistes, prêchi-prêcheurs de l’accueil des immigrés de la planète entière, nous obligent d’en héberger quelques-uns dans notre salon, quand eux-mêmes habitent dans des logements administratifs, aux frais de la princesse.
Par ailleurs, il est tout de même curieux de lire que les députés écologistes qui siègent au Parlement Européen acceptent sans broncher que cette institution bruxelloise tolère que ses 751 députés dépensent 95.000 euros chaque année, sans avoir besoin de les justifier.
C’est facile d’être généreux avec l’argent des autres et de leur imposer ses principes, alors qu’on ne se les applique pas à soi-même !
Il est interdit d’interdire.
Ce slogan imbécile cher aux soixante-huitards qui ont infiltré toutes les sphères de l’Etat et de la bureaucratie européenne, ne semble plus d’actualité maintenant quand ceux-ci se trouvent aux commandes.
Ces saltimbanques, clamant jadis le « volem viure al pais », imposent leurs utopies sectaires d’Oslo à Malaga et de Nantes à Bucarest. Partout, ils veulent bannir le diesel ! Les voitures de Monsieur Tout le Monde… car on parle moins des camions et des autres transports polluants.
Et les khmers verts ne manifestent JAMAIS devant les aéroports d’Europe pour interdire le vol des avions, énormes sources de pollutions diverses !
Pas de BLOCAGE des PORTS pour interdire que les énormes porte-conteneurs ne puissent accoster en Europe.
Ces monstres marins, comme les superpétroliers, sont la première source de pollution au monde (l’équivalent de toute la circulation automobile mondiale), car ils consomment du fuel lourd, le plus polluant des combustibles. Mais motus dans les médias, ce n’est pas porteur…
Et quel est le rôle des vents qui portent la pollution dans les cieux ? Les éoliennes vont la disperser ? Partout ? Dans les pays voisins ? Plus de frontières pour les nuages toxiques qui nous arrivent des pays de l’Est ?
La Norvège pour sa part, vient de bannir les vieux navires de croisière à partir de 2019 afin de protéger les fjords inscrits au patrimoine mondial du pays.
Nos extrémistes verts quant à eux ont réussi à convaincre les gouvernements, actuellement au Pouvoir, d’interdire de circulation les véhicules diesel dans nos cités, dénommées Zones de Basses Emissions, au prétexte d’assainir l’atmosphère et d’améliorer la santé publique.
Ainsi, pour prendre Bruxelles en exemple, comme capitale de l’Europe (plus exactement capitale de l’Eurabia, car grande est la présence d’Arabes dans nos rues), ce sont 40.000 propriétaires de voitures diesel qui ne pourront plus rouler dans la Région Bruxelloise (19 communes et environ 1,3 million d’habitants) dès le 1er Janvier 2018 !
Et au 1er janvier 2020, 500.000 autres propriétaires de véhicules diesel seront eux aussi interdits d’accès à la capitale.
Ces prophètes de l’énergie renouvelable ignorent superbement les incidences sociales, économiques et financières de leurs ukases. Ils nous vantent les bienfaits de la voiture électrique, sans prendre en compte sa faible autonomie, son bilan CO2 catastrophique (recyclage batteries et composants), ni l’explosion des coûts indispensables à la production d’électricité supplémentaire et à l’installation d’un maillage serré de milliers bornes d’alimentation.
Ils se bercent d’illusions et leurs chimères vont encore nous coûter des dizaines de milliards d’euros, à l’exemple des portiques de contrôle pour les poids lourds véritable fiasco et monument à ériger au nom de l’imbécilité socialaud-écolo-bobo.
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