vendredi, 04 mai 2012
Présidentielle : POUR L'OEUVRE FRANCAISE, PAS UNE VOIX POUR LE SYSTÈME
Un communiqué d'Yvan Benedetti, président de l'Oeuvre française :
Le premier tour de l'élection présidentielle en France a montré une nouvelle fois à quel point les nationalistes ont raison de dire qu'il ne faut pas placer ses espérances dans les urnes.
Les deux principaux candidats du Système, Hollande et Sarkozy, ont réuni à eux deux plus de 55 % des suffrages exprimés, alors même que notre pays est dans une situation catastrophique dans tous les domaines. Quant à Mme Le Pen, si son score (17,90 %) est supérieur à celui de son père en 2007, elle réalise un score inférieur aux 19,2 % obtenus par Le Pen et Mégret en 2002 et aux 19,7 % réunis par Le Pen et Villiers en 1995 et ne réalise qu'un point de plus que Jean-Marie Le Pen le 21 avril 2002 (16,86 %). Pendant toute sa campagne elle affirmait pourtant qu'elle serait au second tour (elle finit en réalité dix points derrière Sarkozy) et qu'elle dépasserait la barre des 20 %. La dédiabolisation qui l'a conduit à renier l'essentiel du programme historique du mouvement national, à faire allégeance aux différents lobbys, à expulser ou écœurer les militants et cadres nationalistes n'a donc servi à rien. Tout ça pour ça !
Pour le second tour, l'Œuvre française invite les Français non reniés à refuser de choisir entre deux candidats qui sont les deux faces d'une même médaille mondialiste, européiste, antinationale et antichrétienne. Quel que soit l'élu, il sera au service de la finance internationale, de l'Union européenne, de l'ONU, de l'OTAN, de Bruxelles, de Washington et de Tel Aviv. Il poursuivra la destruction de l'indépendance et de la souveraineté nationales et sapera chaque jour davantage les fondements moraux, culturels et spirituels de notre civilisation européenne, blanche et chrétienne.
C'est à une seconde révolution nationale qu'il faut se préparer. L'exemple du mouvement Jobbik en Hongrie prouve qu'un mouvement nationaliste sans concession peut parfaitement emporter l'adhésion d'une grande partie du peuple. Ce n'est pas en s'alignant sur le Système ou en lui donnant des gages que l'on rend service au pays.
Voter pour un candidat du Système, c’est cautionner le Système.
22:57 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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