mardi, 14 avril 2015
Réaction de Renaud Camus après sa condamnation en appel
Un communiqué du
Parti de l'in-nocence :
Le parti de l’In-nocence prend acte avec tristesse et indignation, mais sans surprise, de la condamnation en appel, sur requête du Mrap, de son président Renaud Camus pour le discours qu’il a prononcé le 18 décembre 2010 aux Assises sur l’islamisation, “La nocence, instrument du Grand Remplacement”.
Le parti de l’l’In-nocence, à l’heure de ce communiqué, ne connaît pas encore les attendus de l’arrêt mais il y attache la plus grande importance. De deux choses l’une, en effet :
— ou bien Renaud Camus est condamné pour avoir parlé de la colonisation démographique dont la France et l'Europe font l’objet, de la conquête en cours, du Grand Remplacement et du rôle que joue la délinquance dans la prise de contrôle du territoire par ses nouveaux maîtres ; et, comme c’est exactement ce qu’il a fait, sa condamnation prouve simplement que l’énoncé de ces tragiques vérités est désormais criminalisé, ce qui n’est pas très étonnant.
— ou bien Renaud Camus est condamné, comme la première fois, pour avoir mis en cause l’honnêteté de tous les musulmans, pour les avoir traités de “voyous”, pour avoir dit qu’ils étaient les soldats de la conquête et pour avoir incité à la violence à leur égard, non pas expressément, sans doute, mais au seul motif qu’il ne proposerait rien politiquement, alors que ce communiqué-ci est le mille huit cent dix-huitième du parti qu’il préside, que le programme de ce parti constitue un programme de six cents pages (où non seulement ne se trouve pas, non plus qu’en les communiqués, la moindre incitation à la violence mais où elle est constamment répudiée et condamnée), sans compter qu’il prenait la parole, le 18 décembre 2010, en tant que candidat à la candidature pour la présidence de la République, une initiative éminemment politique ; et, en ce cas-là, si ces motifs-là sont de nouveau retenus, bien qu’ils soient totalement contraires à la plus évidente vérité et qu’ils prêtent arbitrairement à Renaud Camus et à son parti les sentiments, les convictions et les intentions les plus éloignés de ceux qui sont vraiment les leurs, alors cette condamnation montre que plus aucun citoyen n’est à l’abri de l’arbitraire remplaciste des juges.
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