lundi, 30 novembre 2015
La catastrophe Fabius...
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Les trois petits cochons
Gabriel Matzneff - Le Point.fr
Trafalgar Square et la gare de Waterloo sont à Londres. La gare d'Austerlitz et la rue d'Arcole sont, elles, à Paris. Aux lieux, aux monuments, on donne des noms de victoires, non de défaites. De même, dans les écoles militaires les promotions de jeunes officiers prennent les noms de soldats victorieux : « Maréchal de Turenne », « Général Lassalle », « Lieutenant-Colonel Amilakvari ». Quand, par extraordinaire, il s'agit de vaincus, ce sont des vaincus qui se sont battus héroïquement jusqu'au bout, ont été vaincus avec tous les honneurs de la guerre : une des promotions de Saint-Cyr se nomme « Ceux de Diên Biên Phu ».
Quel est le suicidaire crétin qui a donné le nom de « génération Bataclan » aux jeunes femmes et jeunes hommes qui ont l'âge des victimes du vendredi 13 novembre 2015 ? C'est l'État islamique qui doit donner ce nom à ses jeunes citoyens, non la France, pour qui ce vendredi 13 novembre 2015 demeurera la date d'une de ses plus spectaculaires et déprimantes défaites.
La médiocrité de cette « génération Bataclan »
Ce choix de « génération Bataclan » exprime un masochisme, un mépris de soi ahurissant. Et l'on est accablé par la médiocrité petite-bourgeoise, l'insignifiance des propos tenus par les survivants de cette « génération Bataclan » lorsqu'ils sont interrogés par les journalistes ou s'expriment sur les réseaux sociaux. Le zozo qui s'est mis une ceinture de cœurs autour de la taille, l'autre imbécile qui se balade avec une pancarte « Vous êtes tous super ! », le troisième qui déclare fièrement que son but dans la vie est de continuer à se distraire, à voir les copains, ces petits bourgeois qui tiennent pour un acte de courage de dîner au restaurant le vendredi soir.
S'il s'agissait de gamins de douze ans, ce serait admissible. Hélas, ce n'est pas le cas. Ceux qui se comportent de manière si niaise, si médiocre sont des adultes, des barbus. J'ai dit « ahurissant », mais le mot juste est « consternant ». Comme a été consternante la cérémonie d'hommage aux victimes dans la cour des Invalides. J'adore Barbara et je connais par cœur certaines de ses chansons, mais ce jour-là, c'est le « Dies irae » qui, après La Marseillaise, devait retentir en ce haut lieu, non une gentille chansonnette, et nous aurions été autrement saisis aux tripes si, à la place du discours fadasse de M. Hollande, un acteur de la Comédie-Française nous avait lu le Sermon sur la mort de Bossuet.
Ils ne vivent pas, ils existent
Cette niaiserie, cette médiocrité s'expliquent par le total vide spirituel de tant de nos compatriotes. Ils ne vivent pas, ils existent, ils ont une vue horizontale des êtres et des choses. Ce sont les trois petits cochons d'une chanson que M. Hollande aurait dû faire chanter aux Invalides, elle lui va comme un gant : « Qui a peur du grand méchant loup ? C'est pas nous, c'est pas nous ! Nous sommes les trois petits cochons qui dansons en rond. »
À part le pape de Rome et le patriarche de Moscou, qui, en Europe, fait appel aux forces de l'Esprit, invite les gens à la transcendance ? Personne. En tout cas, personne en France où les responsables politiques pleurnichent contre la montée de l'islamisme, mais leur unique réponse, pour endiguer cette montée, est d'interdire les crèches de Noël dans les mairies. Bientôt, j'en fais le pari, la passionnante fête de la Nativité, du mystère de l'incarnation, du Verbe qui se fait Chair, du Christ Dieu et homme, sera, comme en Union soviétique à l'époque de la persécution antichrétienne, remplacée par une fête du Bonhomme Hiver, Diadia Moroz, mouture léniniste du père Noël.
Ce qu'ils désirent, c'est continuer à boire des bocks de bière
Jadis, du général de Gaulle à François Mitterrand, certains chefs d'État surent parler de transcendance aux petits cochons à béret basque et baguette de pain, les inviter à se dépasser, à lire Sénèque, Plutarque et Pascal. Aujourd'hui, l'État n'invite pas les Français à renouer avec les vivifiants trésors de leur patrimoine gréco-romain et chrétien, il en est incapable. L'État ne parle jamais de leur âme aux Français de la « génération Bataclan », et ceux-ci persistent à n'avoir d'autre souci que de gagner de l'argent, en foutre le moins possible, partir en vacances et s'amuser. Les trois petits cochons tiennent à leur vie pépère, le tragique leur fait horreur, ils ne veulent pas entendre parler de la mort, ni de l'éternité, ni du salut de leurs âmes, ni de l'ascèse, ni du jeûne, ni de Dieu ; ce qu'ils désirent, c'est continuer à boire des bocks de bière et surtout, surtout, que les vilains terroristes du méchant calife Abou Bakr al-Baghdadi les laissent tranquilles, na !
Pendant ce temps-là, dans nos banlieues où l'on s'ennuie, où au lieu d'inviter les jeunes Français d'origine maghrébine à – comme le firent naguère les jeunes Français d'origine arménienne, russe, espagnole, italienne, polonaise – lire Les Trois Mousquetaires, visiter le Louvre, voir Les Enfants du paradis, l'État n'enseigne que le football et d'abstraites « vertus républicaines » qui ne font bander personne, c'est le méchant calife qui leur parle de leur âme ; leur enseigne la transcendance ; leur explique que ce qui fait la grandeur de l'homme, comme l'enseignèrent jadis le Bouddha, Épicure, le Christ, ce n'est pas le Sum, mais le Sursum ; non pas le soi, mais le dépassement de soi ; non pas le confort, mais le sacrifice. C'est ce que ces adolescents rebelles, écorchés vifs, comme le sont depuis toujours les adolescents sensibles, ont soif d'entendre. Éduqués, instruits, ils pourraient devenir de lumineux Aliocha Karamazov, mais, grandissant parmi des adultes plats comme des limandes, ils basculent du côté du calife, de l'archange noir de la mort, du grand méchant loup. Il faut être très bête, ou d'une extraordinaire mauvaise foi, pour s'en étonner.
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Réinfo, le mag du Parti de la France, de cette semaine
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dimanche, 29 novembre 2015
Le Journal du Chaos de cette semaine
Pour télécharger cliquez ICI
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samedi, 28 novembre 2015
Demain, dimanche 29 novembre : MONTRONS-LEUR QUE NOUS NE SOMMES PAS DUPES, TOUS A RUNGIS, A LA TABLE RONDE DE TERRE ET PEUPLE...
Intervention de Roland Hélie
et stand de Synthèse nationale
Venez nombreux !
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« Plus jamais ça ! »… en attendant « l’After » !
La chronique
de Philippe Randa
Après les sanglants attentats du 13 novembre dernier, le débat fait rage sur l’utilité réelle, mais surtout les conséquences éventuelles de l’instauration de l’État d’urgence, décrété par le Président de la République française : nos libertés, pour ne pas dire LA liberté, serait-elle plus gravement menacée encore par des restrictions momentanées de notre expression ou de nos déplacements que par les Kalachnikovs des Fous d’Allah ?
La réponse semble évidente pour une grande majorité de Français, tétanisée par l’hécatombe des sextuple attentats sur leur sol : leur protection avant tout !
La vie n’a pas de prix, n’est-ce pas ? Qui leur donnerait tord ? À part ceux, bien sûr, qui n’accordent pas à celle-ci la même valeur que le commun des humains…
Et puis, pense sans doute cette grande majorité de Français, nos institutions sont telles, n’est-ce pas ! qu’elles remédieront automatiquement aux dérives éventuelles, une fois le péril djihadiste définitivement éradiqué… ce qui ne saurait tarder avec la grande coalition militaire poutino-hollandienne qui aura juste un peu tardée à se constituer ! Tout redeviendra alors comme avant, mais n’est-ce pas là le vrai souci, justement ?
Avant quoi ? Avant que les Français ne découvrent, ahuris plus encore que terrorisés, que parmi les millions d’extra-Européens venus vivre chez nous comme chez eux, ils sont nombreux à n’avoir aucune envie de goûter à la douceur de cette France louée jadis par Joachim du Bellay et que l’on pourrait pasticher désormais par une France plus pour son
« Loire gaulois, que l’Euphrate syrien,
Plus (son) petit Liré, que le mont Nimba,
Et plus que l’air africain la doulceur angevine. »
Avant donc l’invasion migratoire des quarante dernières années et des bouleversements inévitables, forcément ! tragiquement ! qu’elle allait engendrer ?
Et que si aujourd’hui, on mitraille en France, demain on vivra tranquille, grâce à quelques opérations policières dans ces quartiers devenus de non-droits républicains ? Détruisons quelques nids de fanatiques islamistes – depuis Saint-Denis en Région parisienne jusqu’à Molenbeek, en périphérie de Bruxelles –, bombardons l’État islamique comme il le mérite, et retrouvons au plus vite notre quiétude perdue…
C’est, à quelques nuances citoyennes près, les discours lénifiants que le président François Hollande et son Premier Ministre Manuel Valls, rabâchent depuis le vendredi 13 novembre, avec l’un et l’autre des accents martiaux qu’on ne leur connaissait certes pas, sinon, par le passé contre ceux qui prédisaient les périls à venir… et qui sont venus.
Et ensuite ? Une fois ce danger imminent écarté ? Qu’annoncent nos gouvernants pour que les Français puissent être convaincus qu’ils ne subiront « plus jamais ça ? »
Comme leurs grands et arrière-grands-parents avaient eux-mêmes tant espérés « Plus jamais ça ! » au sortir d’une guerre, qui fut baptisée « Grande » sans doute parce qu’elle avait durée quatre années, et parce qu’ils ne pouvaient imaginer revivre un jour de telles souffrances…
On sait désormais – les historiens sont quasi-unanimes sur ce point et c’est à peu près le seul, d’ailleurs –, que les termes des folles stipulations du Traité de Versailles, signé en juin 1919, contenaient tous les germes à l’origine de la Guerre mondiale suivante. Il aura alors fallu une vingtaine d’années seulement avant la déflagration de 1939 !
Alors, oui ! Boualem Bensaïd, Lionel Dumont, Mohammed Merah, Mehdi Nemmouche, Chérif et Saïd Kouachi, Amedy Coulibaly, Abdelhamid Abaaoud et quelques autres, emprisonnés ou exécutés ces dernières années, ne sont peut-être que les premiers d’une liste de terroristes islamistes auxquels vont s’ajouter dans les temps prochains quelques autres en attente d’actions djihadistes… Mais après ?
Dans le terreau de populations déracinées et inassimilées, combien seront-ils demain à relever l’étendard sanglant du djihad ? Tout autant stimulés par l’exemple de leurs aînés mort au champ d’Allah que méprisant à l’égard de l’utopie droit-de-l’hommiste des gouvernements français successifs.
Combien de temps avant que les germes qu’on refuse de reconnaître, ne prolifèrent suffisamment pour déclencher le futur chaos, alors même que l’actuel n’est pas encore éradiqué ?
Stimulés par les événements récents, gageons qu’il ne faille pas attendre vingt ans pour cela…
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vendredi, 27 novembre 2015
Ce vendredi soir, sur Méridien Zéro
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LE GOUVERNEMENT EST-IL COUPABLE DE NON ASSISTANCE A PEUPLE EN DANGER
Le bloc-notes de
Jean-Claude Rolinat
L’assassinat de militaires et d’enfants par le « Toulousain » Mohamed Merah, le meurtre d’une jeune femme à Villejuif, l’agression de passagers dans le Thalys par un autre Mahométan tout comme la tuerie au siège de « Charlie Hebdo » et celle de l’épicerie casher de la Porte de Vincennes, tous ces actes criminels n’auraient-ils pas dû interpeller les autorités plus tôt et les amener à prendre, déjà, des mesures draconiennes de protection des populations civiles ?
A croire que tous ces « avertissements » n’auront servi à rien. Il aura fallu attendre le massacre de masse du funeste vendredi 13 novembre 2015 pour qu’enfin, le Président de la République réagisse et que, sans doute, les belles âmes socialistes et autres « bobos » prennent conscience non pas du danger, mais du péril. Car si le recueillement est nécessaire, les fleurs et les bougies ne viendront pas à bout de la barbarie.
QUELLES MESURES AVAIENT-ELLES ETE PRISES APRES L’ATTAQUE DE « CHARLIE » ?
Le renvoi immédiat dans leur pays de tous les étrangers ayant fait l’objet d’une fiche « S » avait-il été décidé ? Non.
L’internement administratif ou, à tout le moins, la surveillance sous bracelet électronique des Français faisant aussi l’objet d’un tel fichage, avait-il été arrêté ? Non.
L’autorisation du port d’armes par les policiers et les gendarmes en dehors de leurs heures de service avait-elle été donnée? Non.
L’arrestation, puis l’expulsion des imams aux prêches extrémistes prononcés en arabe avaient-elles été envisagée puis exécutées ? Non.
La fermeture des quelques 80 mosquées salafistes comme celle de Lunel, grosses pourvoyeuses de djihadistes, avait-elle été faite ? Non.
Et la dénonciation des accords de Schengen et le rétablissement des contrôles aux frontières ? Non
Le nettoyage définitif des quartiers et autres cités « sensibles » où perdurent trafics de drogue et d’armes de guerre avec, comme le réclame une sénatrice socialiste des Bouches du Rhône, le recours de l’armée, avait-il été ordonné ? Non !
On pourrait continuer comme ça cette triste litanie qui souligne avec cruauté l’impéritie des responsables gouvernementaux. Le Président Hollande à la triste mine, avec un air grave, sans doute profondément marqué par la tuerie du Bataclan, s’est transformé en quelques jours, en quelques heures, en chef de guerre. Si l’Etat islamique était déjà l’ennemi public numéro un, que n’a-t-il été copieusement et quotidiennement bombardé en Syrie ! Fallait-il attendre un tragique bilan de 130 morts et de plusieurs centaines de blessés dont certains garderont à vie de grave séquelle d’une soirée ponctuée par des larmes ? La cécité de nos actuels dirigeants comme celle d’ailleurs, dans une moindre mesure, de leurs prédécesseurs, était – est ? - incommensurable. Ajoutons à cela l’angélisme du ministère de la justice libérant par anticipation des fripouilles patentées et nous avons un cocktail….explosif ! Et pour toutes ces excellences, ce n’est pourtant pas faute d’avoir été informées et d’avoir reçu des signaux alarmants. La preuve a été administrée que parmi des centaines de milliers de vrais et faux réfugiés originaires des théâtres d’opérations du Proche-Orient, se sont glissés des terroristes islamistes. Mais ceux qui, comme nous, annonçaient ces potentialités, étaient traités de sans-cœur et accusés de xénophobie. Les faits nous ont donné raison.
DESIGNER L’ENNEMI
Par peur de stigmatiser une catégorie de la population – le fameux « pas d’amalgame ! »- les pouvoirs publics ont rechigné à désigner clairement l’origine ou l’inclination philosophique et religieuse de ces barbares venus semer la mort parmi des populations civiles. Pourtant ces criminels ne viennent pas de la planète Mars, ils ne sont ni Esquimaux, ni Papous, encore moins Patagons ! Le Président lui-même devant les parlementaires réunis en Congrès à Versailles, contrairement à son Premier ministre, reconnaissons à ce dernier cette franchise quand il parle de « terroristes islamistes », n’a pas franchi cette mystérieuse frontière sémantique qui consiste à nier l’évidence. Nos anciens de 14-18 ou de 40-45 n’hésitaient pas, eux, et n’avaient pas cette pudeur de midinette : l’ennemi c’était le « boche » ! Aujourd’hui l’ennemi c’est le terroriste islamiste et si, d’évidence, tous les musulmans, Dieu merci, ne sont pas des terroristes, tous les terroristes islamistes sont des Mahométans ou se réclament du Coran, voir le communiqué de Dae’ch revendiquant la paternité des attentats. Les gouvernements arabes de pays amis comme l’Egypte, la Jordanie, la Tunisie – cruellement frappée elle aussi – ou le Maroc, l’ont compris. Et ça n’empêche nullement leurs populations de pratiquer librement et traditionnellement leur culte et leurs dirigeants de surveiller les agitateurs radicalisés. L’Algérie post française du FLN n’a pas hésité dans les années 1990 , à mener une guerre farouche contre le Front Islamique du Salut (FIS). Pour revenir à notre pays, tous ces évènements signifient que, malgré l’attaque contre l’équipe rédactionnelle de « Charlie » et l’hyper casher, les imams radicaux avaient toujours pignon sur rue et que leurs mosquées restaient opérationnelles. Et ce n’est pas l’arrestation – provisoire à ce jour – de « l’Emir blanc » de l’Ariège et son inculpation pour la détention illégale d’un fusil de chasse qui nous rassurera ! Tout le monde, à la campagne, légalement ou non, a un fusil de chasse ! La détermination du gouvernement de combattre le « radicalisme » religieux devrait conduire, en toute logique, au démantèlement de tous les réseaux salafistes, wahhabites et autres « Frères musulmans ». « Wait and see » comme disent les anglo-saxons, nous demandons à voir….En attendant, les familles des victimes du drame du 13 novembre ne seraient-elles pas habilitées à se constituer en un collectif qui porterait plainte contre « X » pour non-assistance à personnes en danger ? Ce n’est pas la cérémonie – nécessaire - organisée aux Invalides en mémoire des 130 victimes, qui règlera le problème du terrorisme, pas plus que le pavoisement de notre pays en bleu-blanc-rouge, conseillé et exceptionnel ce seul jour-là. Pour ma part, mon drapeau restera en berne. Pour un bon moment…
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Eric Zemmour et le drapeau sur RTL
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La troisième émission de Radio Brigandes
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jeudi, 26 novembre 2015
Le CD des Brigandes sera en vente dimanche prochain à la Table ronde de Terre et peuple à Rungis
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Ces familles qui appellent au boycott de l’hommage national
Gabrielle Cluzel - Boulevard Voltaire cliquez ici
Disons-le. On se demandait combien de temps, assommées par le choc, hébétées par le chagrin, les familles des victimes du 13 novembre resteraient silencieuses. Combien de temps le gouvernement pourrait poursuivre ses discours graves et émus en se lavant les mains sans que personne – personne de touché dans sa chair – n’y trouve à redire. Combien de temps il parviendrait à tranquillement prospérer, refleurir, rajeunir même, engrangeant sans vergogne les dividendes électoraux de sa propre impéritie.
Cette fois, c’est fait. Une jeune femme s’est levée. Son frère, François-Xavier Prévost, a été assassiné au Bataclan et elle l’écrit en lettres capitales :
J’APPELLE AU BOYCOTT DE L’HOMMAGE NATIONAL RENDU AUX VICTIMES ET VOUS INVITE A PARTAGER MON STATUT.
Elle égraine, une à une, sans violence ni insultes, mais avec l’inexorable évidence des faits, les raisons pour lesquelles sa famille et elle « refusent cette main tendue par les représentants politiques de la France ».
Parce qu’en France, depuis les attentats de janvier, rien n’a été fait, « 10 mois plus tard, les mêmes hommes sont en mesure de recommencer et de faire cette fois-ci 10 fois plus de morts ». « Parce qu’en France, il est possible d’être en lien avec un réseau terroriste, de voyager en Syrie et de revenir librement », parce qu’en France, les « personnes fichées S […] circulent librement », empruntent les transports en commun, louent des voitures, « travaillent à nos côtés », sans faire l’objet d’aucune obligation de suivi ni de surveillance. Parce qu’avant les événements tragiques du 13 novembre, jamais personne ne s’est posé la question de la « dissolution » des « 89 mosquées recensées comme radicales »…
"Votre main tendue, votre hommage, nous n’en voulons pas et vous portons comme partie responsables de ce qui arrive ! C’est plus tôt qu’il fallait agir. Les attentats du mois de janvier auraient dû suffire" termine, implacable, Emmanuelle Prévost.
Comment ne pas la comprendre ? Lorsqu’un lotissement est inondé, on ne poursuit pas seulement l’entrepreneur véreux qui a bâti, mais aussi l’élu local qui, avec une légèreté criminelle, a laissé faire. Lorsqu’un patient meurt sur la table d’opération d’un chirurgien alcoolique notoire, ce n’est pas seulement celui qui tenait le scalpel qui est mis en cause, mais la hiérarchie de l’hôpital qui, bien qu’au courant, n’a pas viré – par insouciance, copinage, démagogie, désorganisation ? – le toubib. Et quelle famille supporterait de voir le maire, le chef de service la serrer avec emportement contre son cœur et plastronner, avec une mine de circonstance, le jour de l’enterrement ?
Alors au-delà des terroristes, qui est responsable ?
Sa déclaration, qui a fait un gigantesque buzz sur Facebook, est reprise désormais par la presse. Déjà, dans Var-Matin, le père d’une autre victime – Aurélie de Peretti – lui emboîte le pas. Jean-Marie de Peretti a fait savoir qu’il ne se rendrait pas à l’hommage auquel il a été convié et dit pourquoi : « L’espace Schengen est devenu une passoire. » « [Il] a laissé passer toutes ces personnes pourtant signalées par le fameux fichier S. »
François Hollande demande aux Français, vendredi, de pavoiser leurs fenêtres. Ces familles endeuillées ne peuvent supporter l’idée que ce soit lui qui pavoise, sans rendre de comptes à personne.
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Samedi 28 novembre : une messe célébrée pour les pilotes russes tombés au champ d'honneur
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol
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mercredi, 25 novembre 2015
BEYROUTH 1976, des Français aux côtés des Phalangistes...
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Au milieu des années 70 une guerre terrible éclata au Liban. Celle-ci opposait les diverses milices musulmanes aux Phalanges chrétiennes alors dirigées par Béchir Gemayel. Elle ensanglantera le pays du Cèdre pendant de nombreuses années.
A Paris, un groupe d'étudiants est scandalisé par la lâcheté du gouvernement giscardien qui refuse d'intervenir pour soutenir les chrétiens menacés. Ils décident de sauver l'honneur de la France et partent se battre, les armes à la main, à Beyrouth. L'un d'entre eux, Stéphane Zanettacci n'en reviendra jamais.
Emmanuel Albach fut l'un des deux premiers Français à se rendre sur les champs de batailles libanais. Il nous raconte son histoire et nous explique le sens de son engagement.
L'auteur :
Emmanuel Albach a combattu au Liban de janvier à juillet 1976. Il a ensuite étudié l’arabe aux Langues’O avant de faire une carrière de journaliste (le Figaro, AFP, An Nahar arabe et international). Il a publié cinq essais et enquêtes.
Il a rédigé ce témoignage personnel dès son retour de Beyrouth. 40 ans après, alors que les chrétiens d'Orient sont victimes d'une nouvelle tentative d'élimination, il lui a semblé temps de le publier.
Emmanuel Albach est le président de l’AAVFL (Amicales des Anciens Volontaires Français au Liban). Il a reçu du parti Kataëb la Médaille du Combattant pour « acte de bravoure ».
Beyrouth 1976 Des Français aux côtés des Phalangistes, Emmanuel Albach, Les Bouquins de Synthèse nationale, 250 pages, cahier photo, 22 €
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Dimanche 29 novembre : A RUNGIS, A LA TABLE RONDE DE TERRE ET PEUPLE...
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RAPPEL : dimanche 29 novembre, "Lire sous les sapins" organisé par Anne Brassié...
Charles-Henri d'Elloy dédicacera ses livres
dont le fameux Abécédaire d'un Français incorrect
publié cette année par Les Bouquins de Synthèse nationale
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Mardi 8 décembre, Chantonnay (85) : conférence sur la Vendée
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Face à la mascarade morbide des politicards : un émouvant témoignage
Emmanuelle Prévost - Source cliquez ici
Vendredi 27 novembre, un hommage national sera rendu aux victimes des attentats terroristes du 13 novembre dernier.
En tant que famille de François-Xavier Prévost, victime de cette tuerie, nous n’y participerons pas.
Nous refusons cette main tendue par les représentants politiques de la France pour plusieurs raisons :
- Parce qu’en France, les attentats perpétrés du 7 au 9 janvier de cette année ont fait 17 victimes,
Que depuis, rien n’a été fait. Si des textes ont été votés, aucun décret d'application n'a encore été publié. Que 10 mois plus tard, les mêmes hommes, sont en mesure de recommencer et faire cette fois-ci, 10 fois plus de morts,
- Parce qu’en France, il est possible d’être en lien avec un réseau terroriste, de voyager en Syrie, et de revenir, librement,
- Parce qu’en France, des personnes fichées S (pour « atteinte à la sûreté de l’Etat » ou visées terroristes) circulent librement, empruntent n’importe quel moyen de locomotion (je pense notamment à l’attentat déjoué du TGV Thalys le 21 août dernier), louent des voitures (les voitures utilisées le 13 novembre pour perpétrer les fusillades dans les rues du 10e arrondissement de Paris avaient été simplement louées), travaillent à nos côtés (je fais ici allusion à l’un des employés de la RATP)…
Il faut rappeler que le recensement de certaines personnes en catégorie S n’entraîne aucune action automatique de coercition, ni même aucune obligation de suivi ou de surveillance par les autorités. Par ailleurs, les fiches S sont temporaires. Si une personne fichée ne commet aucune infraction et se fait oublier, sa fiche est effacée au bout d’un an.
- Parce qu’en France, 89 mosquées sont recensées comme étant radicales, c’est à dire qu’elles appellent ou profèrent la haine. Qu’il a fallu attendre les événements tragiques du 13 novembre pour que se pose enfin la question de leur dissolution.
- Parce qu’en France, un homme ayant perpétré un homicide en 2006, condamné en 2008, est libre en 2013. Parce que ce même homme n’a pas peur de dire à la France entière après avoir hébergé plusieurs jours des terroristes « On m'a demandé de rendre service, j'ai rendu service ». Ben oui…
- Parce que les représentants de l’Etat français ont décidé de mener des raids aériens contre l’Etat Islamiste en Irak puis en Syrie sans se soucier de préserver, avant d’agir, la sécurité de leurs concitoyens.
Alors NON, merci Monsieur le Président, Messieurs les politiciens, mais votre main tendue, votre hommage, nous n’en voulons pas et vous portons comme partie responsable de ce qui nous arrive ! C’est plus tôt qu’il fallait agir.
Les attentats du mois de janvier auraient dû suffire !
J’APPELLE AU BOYCOTT DE L'HOMMAGE NATIONAL RENDU AUX VICTIMES ET VOUS INVITE A PARTAGER MON STATUT.
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"NOUS DEVONS NOUS ENTENDRE AVEC LA RUSSIE" : le Général Tauzin reçu par Martial Bild sur TV Libertés
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Gabriele Adinolfi s'exprime après les attentats du 13 novembre
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mardi, 24 novembre 2015
Roger Holeindre écrit au Premier Ministre...
Monsieur le Premier Ministre,
J’ai attendu avec patience la fin des trois jours de deuil national pour vous envoyer cette lettre, car je ne voulais pas vous donner l’occasion de m’insulter, comme vous avez l’habitude de le faire depuis des mois, en accusant les français de droite de ne pas aimer leur pays.
Si comme la totalité de mes amis, je suis pour l’UNION SACREE face aux tueurs islamistes, je crois n’avoir aucune obligation d’obtempérer à vos ordres, car vous faites partie des hommes du gouvernement qui sont responsables de la situation désastreuse dans laquelle se trouve notre pays.
En effet, c’est votre politique laxiste, sectaire, et antichrétienne qui a fait des enfants de France des APATRIDES, non seulement ceux venus de l’immigration, mais aussi ceux nés ici, de parents et de grands-parents “Français de souche”… terme qui ne vous plait pas.
Faisant suite aux décisions suicidaires de M. Sarkozy, vous avez, avec entrain, continué à démolir l’armée française, et à vendre ses biens… tout en lui demandant de plus en plus d’efforts… pour en arriver à déclarer la guerre à un ennemi… que vous n’avez même pas le courage de nommer sciemment. Pas d’amalgame ! dites-vous en ne prenant d’ailleurs que des demi-mesures, car les annonces ronflantes du Président de la République quant au renforcement de nos armées, de la police, de la douane, etc… ne sera en fait réalisable que dans les mois, voir les années qui viennent.
D’après vous, notre pays, endetté à hauteur de 2 000 milliards d’euros, peut encore accueillir tous les “faux réfugiés politiques” qui passent nos frontières sans problème… puisqu’il parait (sic) que l’on ne peut les arrêter, avec, bien sûr, en plus, un contingent de futurs terroristes que drive l’État Islamique, super organisé… financièrement… politiquement… et, surtout, en matière de propagande, c’est-à-dire la guerre psychologique à laquelle la gauche ne croit pas, sauf quand il s’agit d’abrutir les Français.
Jamais, en effet, les médias n’ont été autant à la botte d’un pouvoir qui n’hésite pas à déclarer fausses, des déclarations officielles… à tronquer des phrases. L’affaire Morano étant un récent exemple frappant. De même était-il nécessaire, sinon pour des raisons purement électorales, d’annoncer urbi et orbi… de possibles attaques chimiques et bactériologiques… Si nos ennemis n’y avaient pas songé… les voilà avertis ! N’importe quel récipient abandonné dans un recoin de rue, ou dans un transport en commun… sèmera aussitôt la panique. Il suffira qu’un abruti crie… Attaque chimique !… Attaque chimique !… pour… cent fois plus qu’à la République, la foule se carapate et déclenche un sauve-qui-peut général… en abandonnant ses pancartes… “Même pas peur !”
Est-il aussi nécessaire… qu’au moment où l’on parle d’armer les polices municipales et de permettre aux policiers nationaux de porter leurs armes hors service… qu’un préfet en exercice vienne à la télé, à plusieurs reprises, déclarer que lors de l’intervention en Seine-Saint-Denis, les forces de l’ordre ont utilisé contre 8 terroristes… 5000 cartouches… ont croit rêver !
Ancien instructeur guérilla-anti-guérilla… je peux affirmer que cela est aberrent, et que si demain, comme cela est possible, nous sommes confrontés à une vraie guerre, il faudra faire suivre nos troupes à pieds par des camions de munitions.
Je suis étonné aussi de ne jamais entendre notre Président “Normal” remercier nos généraux… qui malgré tous les problèmes… logistiques… financiers… matériels… humains… qui leur tombent sur la tête, réussissent le tour de force de maintenir une armée, digne, fière, motivée, Il est vrai (mieux vaut en rire) que le Chef des armées c’est le Président de la République, qui compte bien sûr, sur ce genre de bobard pour gagner les élections à venir.
Il est étonnant de ne jamais entendre dire… que les principaux responsables de l’état d’esprit dans lequel était en train de sombrer la France, est en tout premier lieu, le million de fonctionnaires de l’Éducation nationale, chiffre que les socialistes veulent encore augmenter… alors qu’en plus… les effectifs de cette entreprise de démolition de la patrie, constamment en crise… en restructuration… fournissent chaque année un nombre incroyable d’analphabètes… de gosses ne sachant ni lire, ni écrire, et même dans les banlieues des gosses inassimilés… haïssant la France.
Je pense que pour trouver un peu d’argent pour renforcer notre armée, il faudrait, simplement, déjà, supprimer 50 % des détachés syndicaux à plein temps de cette Éduction… dite “nationale”… ce qui représenterait… dix régiments d’infanterie, au minimum.
Je ne sais pas si vous avez remarqué, Monsieur le Premier Ministre, que la réaction populaire à ces incroyables tueries, identiques à celles que pratiquait le FLN en Algérie, a été digne, patriotique, et a révélé que le peuple de France ne veut pas aller où vous essayez de l’entraîner.
Vous, en janvier, prenant les choses en main avec vos stipendiés des médias, vous en êtes arrivé avec vos “charloteries” a expliquer que les foules qui étaient descendues dans les rues de nos villes… étaient là pour dire “non” à l’islamophobie… Il faut quand même le faire !
Aujourd’hui, le peuple de France s’est nettement prononcé pour un véritable sursaut national, et je suis certain qu’il a étonné le monde, par sa tenue digne et fière, prouvant ainsi qu’il n’est en rien Charlie !
Le Président de la République et vous-même… pensez surtout à une seule chose… Comment vous servir de l’état d’urgence pour combattre la vraie droite de notre pays, que, bien sûr, vous classez avec l’aide des médias à votre botte… à l’extrême droite. Celle-ci, d’ailleurs, profiterait des problèmes de notre pays… oubliant que lesdits problèmes n’existent que de votre fait, ayant par des racontars éhontés, réussit à faire croire… que la France était un pays raciste… ce qui est totalement faux, quoi qu’en dise Mme Taubira, indépendantiste Guyanaise, dont le programme électoral, que j’ai lu, ne comporte pas une seule fois le mot “France”.
Déjà, au nom de la soi-disant laïcité, les catholiques de France sont jetés aux chiens.
Pour complaire à un islam qui n’est en rien pacifiste et tolérant, vous exigez… que nos racines chrétiennes se fassent de plus en plus discrètes.
J’ai de nombreux, de très nombreux amis de couleur. Bizarrement, ces amis aiment la France et la respectent. J’ai longuement servi dans l’armée coloniale… Je n’y ai jamais vu le racisme que vous prétendez combattre, allant jusqu’à jeter dans le tonneau des Danaïdes de nos finances, 80 millions d’euros pour un musée de l’esclavage en Guadeloupe, alors que cet argent aurait été mieux employé pour construire dans les Dom-Tom, des écoles hôtelières, des écoles agricoles, et en métropole, dans les quartiers que vous avez abandonnés hier aux “grands frères” (sic), des troupes scouts prônant, non pas les valeurs faisandées de votre République, mais celles de la France deux fois millénaire.
Voilà, Monsieur le Premier Ministre, ce que je voulais vous dire au nom de tous ces gosses de vingt ans que j’ai vu tomber pour la France… avec honneur… courage… loyauté, et même, très souvent… une certaine gouaille… à la française !
Veuillez croire, Monsieur le Premier Ministre, à mon incroyable consternation.
Roger HOLEINDRE
Président du Cercle National des Combattants, Ancien Député, Chef Scout de France, Directeur de Maison de jeunes.
L'intervention de Roger Holeindre lors de la 9e Journée de Synthèse nationale dimanche 11 octobre dernier cliquez ici
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VENDREDI 13 NOVEMBRE : DES POINTS DE VUE MILITAIRES SUR LES ÉVÈNEMENTS
Michel Lhomme - Metamag cliquez ici
Le GIGN est la force d'action spéciale de la gendarmerie française, une des meilleures forces militarisée, comme le SAS britannique, le Delta Force des Etats-Unis, les groupes Yana huma au Pérou. Ils sont formés au plus haut niveau, psychologiquement, militairement et sont en particulier spécialistes des prises d'otage, de sauvetage de civils à partir de positions terroristes, de chasses à l'homme, d'assauts contrôlés, et n'excluent jamais l'usage de la haute technologie. In fine, ce sont des as, des pros de l'assaut. Et pourtant ? Avons-nous encore des forces spéciales dignes de ce nom ou sont-elles aussi instrumentalisées par le management de la terreur ? Selon les informations officielles et les prises de parole du procureur de Paris, l'attaque d'un groupe de terroristes retranché dans un appartement de Saint-Denis a fait 2 ou 3 morts et a permis l'arrestation de 8 personnes, mais il aura fallu prés de 7 heures d'assaut pour en venir à bout. Pourquoi d'ailleurs, l'ex-directeur du GIGN a-t-il besoin d'en raconter autant ? S'adresse-t-il surtout à ses collègues étrangers qui auront du mal à croire à la véracité d'une telle attaque ?
François Hollande a donc décidé d’envoyer notre groupe aéronaval en Syrie pour officiellement lutter contre l'ISIS mais ce qui est assez curieux et nous nous en faisions l'écho déjà dans une brève cette semaine, c'est la composition du groupe aéronaval qui accompagne le porte-avions Charles De Gaulle. Alors qu’il était prévu que la Task Force 473 (nom du groupe aéronaval français) rejoigne le golfe arabo-persique pour y assurer la permanence aéronavale de la coalition avant l’arrivée, sur zone, du porte-avions américain USS Truman, le programme de la dite Task Force 473 a été subitement modifié suite aux attentats du 13 novembre. Le groupe aéronaval français prendra donc position en Méditerranée orientale, au large de la Syrie.
On peut comprendre ce changement, puisque le porte-avions permettra l’utilisation de nombreux appareils de bombardement des positions de l’Etat Islamique sauf que ce bombardement a déjà été effectué et avec quel brio par la Russie cette semaine et on ne voit pas ce que la France y rajouter. Par contre, la composition du groupe aéronaval pose plusieurs questions. En effet, il est composé, outre du Charles de Gaulle, de la frégate de défense aérienne « Chevalier Paul », de la frégate anti-sous-marine « La Motte-Picquet », du bâtiment de commandement et de ravitaillement « Marne » et d’un sous-marin nucléaire d’attaque. La question est simple et professionnelle : que vient faire ici une frégate anti-sous-marine? Daesh n’a, que l'on sache, pas de forces navales, et encore moins de sous-marins. Même question pour le sous-marin nucléaire d’attaque. Un tel sous-marin sert en principe à la lutte anti-sous-marine et à la lutte anti-navires dans le cas de blocus ou de protection d’une flotte. Daesh a t-il donc des navires et/ou des sous-marins que l'on nous aurait cachés ?
Il y a deux hypothèses de réponse : soit le matériel sort « pour sortir », faire tourner les machines en situation de guerre, cela peut se justifier, soit François Hollande a en tête autre chose qu’une « simple » campagne aérienne de bombardements contre Daesh, c'est-à-dire qu'il envisage une confrontation avec la flotte syrienne et donc avec la flotte russe, la Russie étant alliée à la Syrie à la demande du Président Assad. On notera d'ailleurs en passant que Vladimir Poutine a ordonné à l’Etat Major russe de contacter le groupe aéronaval quand il sera sur zone, pour coordonner leurs actions. Vu qu’il était prévu que le groupe se mette sous commandement américain, cela paraît assez surréaliste à gérer pour les Français, pour qui, obéir à Washington ne pose aucun problème de conscience surtout pour le capitaine de frégate, commandant le sous-marin nucléaire d'attaque Améthiste, Philippe Naudet.
Hollande, Fabius, Le Drian ont-ils l’intention d’attaquer les forces syriennes parallèlement à Daesh ? Il va sans dire que dans ce cas de figure, on sortirait complètement du cadre de la large coalition proposée par la Russie depuis plusieurs semaines et on serait finalement en plein casus belli par rapport à Moscou et à la parole donnée en apparence, par les Français.
La loi sur le renseignement pour éviter les attentats, vraiment ?
Jusqu'à présent, des sources non officielles ont indiqué que la France a été avertie quelques jours avant par les États-Unis, la Tunisie, l'Algérie et l'Irak d'une menace imminente pour sa sécurité nationale. Certains des assaillants des attentats de Paris avaient même été signalés et repérés et étaient sous le contrôle tant de la DGSI que de la DGSE, les services de renseignements internes et externes français. Pourtant, la France aurait été prise par surprise.
Il y a donc eu forcément des failles dans le système français de sécurité et ce, malgré toutes les réformes mises en œuvre par les gouvernements successifs en vertu notamment de la «loi du renseignement militaire» votée en juin et décrétée en octobre à la suite des fusillades de Charlie Hebdo. Nous pourrions nous demander aussi où se situent ces failles ? Trois niveaux existent.
La première faille serait politique: le gouvernement n'a pas su attribuer des ressources suffisantes et des mandats clairs à nos services de renseignement dans la lutte externe et interne contre le terrorisme ? Il aurait par idéologie anti-raciste, pro-immigrée et pro-réfugiée délibérément écarté certaines listes (la déclaration de Squarcini à l'hebdomadaire Valeurs Actuelles le confirme, même si ces déclarations semblent être une manoeuvre politique car pourquoi ne pas avoir adressé cette liste à un magistrat et non à un ami d'un ami)).
Le deuxième est au niveau logistique et tactique : elle renvoie aux interactions entre les services qui n'ont pas pu ou pas su coopérer ensemble.
La dernière faille serait enfin opérationnelle: les agents du renseignement français travaillant sur de multiples cas particuliers ne parviendraient plus à évaluer correctement la menace du point de vue de sa sécurité intérieure, dans un mélange explosif de délinquance de droit commun et de fondamentalisme sur fond de quartiers de non-droit où la police ne rentre même plus ?
Depuis les tueries de "Charlie Hebdo", le nombre officiel de menaces et de personnes à surveiller a en effet fortement augmenté. Plus de 11 000 noms seraient ainsi présents sur les fichiers des personnes possédant des caractéristiques de radicalisation terroriste. C'est beaucoup trop pour pouvoir tout suivre. La DGSI ne dispose absolument plus du personnel suffisant ou des fonds nécessaires pour faire un tel travail de taupe régulière et de maillage intelligent du territoire. Pourquoi le service des renseignements généraux a-t-il été noyé dans la DGSI ? Les ressources et le personnel allouées aux services de renseignement ont été considérablement diminué depuis Nicolas Sarkozy. Il n'y a plus de policiers dans les commissariats à la pause déjeuner. Souvenons-nous de l'esclandre de Madame Morano gare du Nord.
Enfin terminons sur la COP21
Un régiment complet de sa Majesté serait en France, pourquoi ? Il est là mais son cantonnement est tenu secret. Est-il là pour le G20 mais alors qui est-il censé protéger ? L'armée française est-elle vraiment en sous-effectif pour défendre la France au point d'en appeler à la perfide Albion ? Qui donnera les ordres ? C'est en tout cas une de ses petites révélations métamag que nous aimons souvent, comme cela mine de rien, distiller à nos lecteurs avertis. Vive les Anglais : n'oublions pas qu'ils nous ont donné aussi Charles Morgan à l'Institut avec son Ode à la France qu'un éditeur courageux pourrait rééditer actuellement avec un succès garanti à la clef.
16:42 Publié dans Michel Lhomme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Comment lutter efficacement contre la terreur islamiste ?
Dr Bernard Plouvier
La survie de l’un des organisateurs des attentats qui ont ensanglanté Paris, le 13 novembre, devrait faire réfléchir, pour mieux cibler la nouvelle lutte antiterroriste, dirigée non plus contre des activistes politiques (comme les Basques ou les Irlandais), mais contre des fanatiques religieux.
Un meneur djihadiste – présenté comme le coordinateur des groupes de tueurs – a préféré vivre plutôt que de se faire exploser, laissant dans une poubelle sa ceinture de chasteté islamique. Que ce reniement ait été prémédité ou qu’il soit une lâcheté de dernière minute importe peu – et le fait que son cadavre n’ait pas encore été jeté en pâture aux media après l’égorgement rituel est en faveur de la préméditation et de l’accord préalable des amis qui sont venus le récupérer et le faire passer en Belgique, arrière-boutique du terrorisme islamique en Europe occidentale.
Ce geste doit faire comprendre que les organisateurs et inspirateurs, a priori moins imbéciles que les tueurs – qui sont pour la plupart des voyous de banlieues, quasi-analphabètes, des criminels et délinquants multirécidivistes des cités de non-droit -, sont bien plus soucieux de leur personne et de leur survie que les nervis fanatiques qu’ils emploient, après les avoir dopés et drogués au coran et aux stupéfiants.
Il faut traquer les agents d’endoctrinement, les concepteurs d’opérations et ceux qui agissent en soutien logistique, les faire parler – et TOUS les moyens sont bons qui peuvent épargner des vies d’innocents -, les éliminer discrètement et envoyer un témoignage indiscutable de leur exécution aux imams, ulémas et autres agents recruteurs, ainsi qu’aux familles qui sont bien souvent, non pas des victimes comme elles voudraient nous le faire croire, mais des complices.
Seule la certitude absolue de la mort fera réfléchir les « cerveaux » du terrorisme islamique, grands phraseurs, mais couards et généralement gras. Comme le disait un expert trop mal connu : « Seuls sont à craindre les fanatiques austères ».
16:35 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dans les quartiers immigrés aussi, les traditions populaires françaises perdurent
08:29 Publié dans Banalisation... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les débuts de l’hécatombe droits-de-l’hommiste
La chronique de Philippe Randa
129 morts ! Et 159 blessés dont certains « graves » (plus de 80) alourdiront inévitablement le bilan mortifère final ! Il est certes difficile pour les médias d’aborder d’autres sujets de préoccupations des Français désormais en « état de guerre » comme l’a martelé le premier d’entre eux. Un François Hollande qui a instauré dans notre pays, à cause de cela, l’état d’urgence après les attentats du vendredi 13 novembre dernier.
Une question ne semble guère perturber les observateurs qualifiés, comme il est d’usage de les nommer : pourquoi la France ? Pourquoi sur notre sol les attentats terroristes les plus meurtriers quantitativement depuis la fin du dernier conflit mondial ?
Il y a peu, un Airbus A321 d’une compagnie russe explosait en vol. Une action revendiquée par l’État islamique (EI), logique contre un pays qui avait décidé une intervention militaire d’importance (enfin !) contre lui et à laquelle la Chine et l’Iran s’étaient immédiatement joints.
Mais la France ?
Une France dont le président voulait il y a quelques mois encore guerroyer contre le régime de Damas en soutenant ses opposants islamistes !
Une France dont le président n’avait de cesse de fustiger Wladimir Poutine, refusant de soutenir son action en s’engageant dans la vaste coalition internationale que le Maître du Kremlin réclamait !
Une France qui avait certes, voici peu, entrepris de bombarder l’EI, mais si symboliquement, si timidement, si inutilement que son action était considérée par tous avec un évident mépris condescendant.
Alors pourquoi l’État islamique a-t-il frappé – du moins comme il s’est empressé de le revendiquer – une France si grotesque sur le plan international et si peu dangereuse militairement ?
Et par des attentats parmi des civils dont l’ampleur ne peut que soulever l’indignation du Monde entier ?
Ne serait-ce pas parce que la France serait le pays le plus propice à exporter le djihad ?
Par le discrédit international de sa politique extérieure ! Par son gouvernement au plus bas dans les sondages ! Par sa Ministre de la Justice perçue comme une alliée objective avec sa sympathie affichée pour les délinquants et son arrogante agressivité envers des forces de police démobilisées parce que trop souvent désavouées par une hiérarchie outrageusement politisée ?
Et ne parlons pas de l’armée de la France aux budgets systématiquement rognés depuis des décennies et aux effectifs sans cesse diminués…
Mais surtout une France qui compterait 4 710 000 musulmans – soit 7,5 % de sa population – pour ne s’en tenir qu’au décompte publié en 2011 par le département Pew Forum on Religion & Public Life du Pew Research Center… alors que bien d’autres observateurs qualifiés estiment ses chiffres terriblement sous-estimés.
Cette population musulmane, on s’en doute, est un vivier idéal et d’importance pour susciter des vocations pour le djihad, l’État islamique le sait parfaitement. Comme il sait aussi que la répression d’or et déjà annoncée par le gouvernement de Manuel Valls se fracassera dans un premier temps sur une législation française qui protège de fait les terroristes : pour preuve, la fameuse réponse faite par les services du Ministère de l’Intérieur : « Ce n’est pas un délit de prôner le djihad, ce n’est pénalement pas répréhensible. »
Ce n’est pas un délit au regard de la loi française actuelle, certes, mais envisage-t-on alors de la modifier ? Et si oui, quand ? À quelle Saint-Glinglin ?
Et en attendant qu’on s’y décide – peut-être ! –, quel sera l’impact sur les jeunes islamistes désœuvrés du déchaînement islamophobe dans les médias, indéniable sous le coup de l’émotion soulevée par l’hécatombe du 13 novembre dernier ?
N’en prendront-ils pas prétexte pour se découvrir un idéal d’existence qui leur fait tant défaut par ailleurs, la France ayant lamentablement échoué dans sa politique d’assimilation ? Et comment en aurait-il pu être différemment pour un pays qui ne cesse de battre sa coulpe au nom d’une repentance aussi fantasmée que mortifère ?
Voilà des raisons pour lesquelles Daesh a frappé la France ; peut-être, sans doute, y en a-t-il d’autres… Les unes n’empêchant nullement les autres.
Poser des questions n’est évidemment pas y répondre, mais permet néanmoins de crever un abcès. Celui des utopies politiques – De « l’immigration est une chance pour la France » de l’ancien ministre Bernard Stasi à cette « France Black-Blanc-Beur » prônée par SOS Racisme et en passant par bien d’autres impostures politiques – qui ont trouvé leur réponse les mercredi 7 janvier et vendredi 13 novembre 2015.
Une réponse qui n’est pas un aboutissement, mais plus vraisemblablement les débuts de l’hécatombe droits-de-l’hommiste…
07:08 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 23 novembre 2015
Avez-vous lu « Ça calme ! », les meilleurs dessins d’Aramis ?
23:17 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
BRUSSELABAD, CAPITALE DE L’EURABIA TERRORISTE.
Pieter Kerstens
Les médias du monde entier se focalisent ces derniers jours sur la commune de Molenbeek Saint-Jean, partie intégrante de l’Agglomération de Bruxelles, et repaire des crapules, racailles, narcotrafiquants, criminels et terroristes de toutes catégories, par ailleurs, commune gérée par les socialistes pendant des décennies.
Il est important de savoir que la l’Agglomération bruxelloise en générale, mais Molenbeek en particulier, est depuis fort longtemps considérée comme « une base arrière » d’organisations terroristes comme l’ETA, les Cellules Communistes Combattantes (C.C.C) et très certainement des affidés d’AL QAÏDA, puisque les assassins du commandant Massoud en septembre 2001 ont reçu ici une aide logistique décisive. On pourrait dès lors se poser la question de savoir si l’Administration belge, les élus (à tous les niveaux) et particulièrement la Justice et les services de renseignements sont anormalement incompétents ou au contraire s’ils ne sont pas d’une tolérance coupable et d’une connivence condamnable envers ces criminels (très majoritairement classés à gauche) tous vivants dans des zones de non-droit?
Tous responsables, tous coupables.
Après les attentats du RER à Paris, commis par le GIA en 1995, l’effondrement des tours WTC 1, 2 et 7, le 11 septembre 2001, le carnage de la gare Atocha à Madrid en 2004 et les tueries du métro de Londres en 2005, les Européens espéraient plus de sécurité de la part de leurs dirigeants.
Il n’en a rien été et bien au contraire, tous les charlatans du multiculturel à visage humain et les gouvernements qui se sont succédé en Europe, de gôche comme de droite, ont permis une « immigration sauvage » en ouvrant nos frontières aux clandestins du monde entier qui, au fil du temps ont été légalisés et ensuite naturalisés. Et parmi ceux-là, beaucoup ne s’intègrent pas !
Myopes comme les taupes, les services de renseignements belges et français sont muselés par des ministres autistes et ce, depuis 40 ans. Pour ces éminences gauchistes, il ne fallait surtout pas réaliser des contrôles d’identité « au faciès » ! Leurs leitmotivs étaient « Touche pas à mon pote » et « Plus de criquets » (cher à Azouz Begag)…..en plus de la culture de l’excuse qui pendant des décennies a permis de laisser en liberté des multirécidivistes dangereux. De Giscard à Hollande, ils sont tous responsables
Ce n’est pas avec une informatisation et un cyber espionnage à outrance d’une part, et par le déni des réalités et des diagnostics erronés d’autre part, que l’on parviendra à éliminer des assassins fanatiques. Il faut en revenir au recueil de l’information et de la réalité du terrain, par des « indics », des « infiltrés » et des flics compétents et efficaces, capables d’analyser et d’exploiter les données indispensables aux enquêteurs.
On atteint le summum du grotesque lorsqu’on apprend maintenant que ce sont les services secrets marocains qui ont immédiatement informé la Belgique et la France sur les ramifications et l’origine des attentats du vendredi 13, permettant ainsi des perquisitions rapides tant dans la région parisienne qu’à Molenbeek. Eux, avaient infiltré les milieux maghrébins et musulmans ! Pourquoi pas nous ?
« Ouvrez les yeux ! »
Année après année, différents mouvements ou partis nationalistes comme le Vlaams Blok/Belang en Belgique, le FPO en Autriche ou le Front National en France ont insisté, argumenté, développé et martelé sur les dangers potentiels de l’immigration/invasion, incompatible avec notre culture, notre civilisation, notre religion, nos coutumes, nos traditions, nos lois et nos règlements.
PERSONNE (ou si peu) n’en a tenu compte : au contraire, pour combattre ces idées prétendues « nauséabondes » ou « fascistes » le Régime a fait voter des lois liberticides à l’usage exclusif des opposants nationalistes qui oseraient combattre les dogmes et les utopies socialo-démocrato-mondialo-capitalistes.
Il serait grand temps de remettre les pendules à l’heure et définir les objectifs.
Cela fait plus de 40 ans que Jean-Marie LE PEN a déclaré : « le processus de décadence intellectuelle, morale et physique est engagé depuis longtemps » et aussi « la Crise où s’exaspère l’Europe en général et la France en particulier est moins économique et financière que morale et politique » ; que de temps perdu, de milliards gaspillés dans une politique de la Ville absurde, de centaines de milliers de victimes des racailles impunies, de millions de hors-la-loi peuplant des quartiers classés en ZSP (zone de sécurité prioritaire) où la police ne met plus les pieds !
Ce n’est pas parce qu’un agneau nait dans un poulailler qu’on le nomme « poussin » !
Il faut en finir avec cette chimère du « Droit du sol », imposée par les gourous de la société pluriethnique et par les obsédés du « Vivr’ensemble », et rétablir sine die le Droit du Sang !
Et il ne s’agit pas ici d’exclure ceux qui depuis le début du XXème siècle ont émigré chez nous (et en d’autres pays d’Europe) en provenance de Russie, d’Italie, d’Espagne ou du Portugal, pour chercher un meilleur avenir en fuyant des régimes politiques qu’ils ressentaient comme « totalitaires ».
TOUS partageaient, dans leur grande majorité, une même civilisation que la nôtre, une même culture et une même religion.
TOUS se sont efforcés, majoritairement, à respecter nos traditions, nos us et nos coutumes, nos règles et nos lois, pour parler couramment aussi notre langue, par une intégration (ou assimilation) difficile parfois.
MAIS il ne nous appartient pas à nous, Européens blancs, de culture gréco-romaine et de religion chrétienne de renier l’héritage et les valeurs léguées par nos ancêtres, pour se plier aux modes de vie et aux rites de peuples non européens ! Jamais !
Dans le monde Arabe, vous devez vous soumettre à ses règles ; alors, ICI, CHEZ NOUS, que tous les étrangers (et les immigrés de la 1ère, 2e, 3e ou 4e génération) respectent nos lois et nos habitudes ou si cela ne leur plaît pas, qu’ils retournent dans le pays de leurs aïeux. Vite !
Bruxelles ville morte.
En proie à une soudaine « fièvre sécuritaire », le gouvernement belge et les barons à la barre de la Région de Bruxelles ont soudainement décrété un niveau d’alerte maximum (de 1 à 4) face au danger d’attentats. Conséquences : du samedi 21/11 au mardi 24/11, pendant 3 jours les cinémas, les théâtres, les expositions et les musées seront fermés. Annulation de tous les spectacles populaires et notamment du concert de Johnny Hallyday et des rencontres sportives. Portes closes pour les centres commerciaux et tous les magasins situés dans les artères les plus vivantes de la Capitale de l’Europe. Un désastre économique qui confirme la précipitation dans laquelle ces restrictions ont été imposées à la population.
Bien sûr, les métros ne roulent plus et tous les établissements scolaires sont fermés. Si les contrôles sont nombreux et sévères dans les gares et à l’aéroport, rien de tel dans les « quartiers » et dans les zones de non droit : il ne faudrait pas « stigmatiser » une partie des citoyens ! Par contre, rien de tel pour foutre la trouille aux gens et créer un vent de panique. Ce dimanche, les boulevards et autres artères de Bruxelles étaient vides ; peu de circulation, pas de vélos ni beaucoup de badauds. Ubuesque et désopilant quand on voit les bidasses si nombreux arpentant les rues bruxelloises… pour conjurer l’impéritie et l’aveuglement idéologique des pourriticards trop longtemps au Pouvoir. Ridicules, ces blindés dans les avenues !
A qui fera-t-on croire qu’en arrêtant l’activité de la Capitale de l’Europe on va stopper les attentats ?
Qui est persuadé que toutes ces improvisations d’une classe politique dégénérée vont dissuader les assassins de DAESH, AL QAIDA et autres fanatiques de commettre leurs crimes ?
14:10 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Réinfo, le mag du Parti de la France, de cette semaine
13:39 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Cette nuit, j'ai fait un cauchemar…
11:38 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |