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dimanche, 22 novembre 2015

9e Journée de Synthèse nationale (11 10 2015) : intervention de Gabriele Adinolfi

9 JNI Gabriele Adinolfi.jpgLa 9e Journée

de Synthèse nationale

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La conférence de presse du Président Jean-Marie Le Pen

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Génération Rantanplan...

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Lorsqu’une nation est aussi férocement et sauvagement agressée, on s’attendrait à sentir le sol et les murs de la maison commune trembler sous la violence du rugissement de colère et de rage de son peuple, terrifiant cri de la bête blessée relevant la tête dans un violent soubresaut d’orgueil et de courage pour mordre sans pitié la main qui l’a frappé.

Or, depuis vendredi dernier, l’atmosphère n’est saturée que d’un long miaulement femelle, un vaste gémissement tragique et pleurnichard, un immense sanglot fienteux expurgé par des millions de bouches tremblotantes et hagardes, postillonnant spasmodiquement leur incompréhension terrorisée.

« Mais pourquoi nous ? Pourquoi nous ? » répète inlassablement le bobo libéral-libertaire recroquevillé en position fœtale sur la moquette 100% fibres naturelles de son loft rénové du 11e arrondissement. « Pourquoi moi et mes frères, pourquoi mes semblables, ces gens bien éduqués, tolérants, ouverts, antiracistes jusqu’à l’extrême limite du trognon, écolos-sympas et gay-friendly ? ». Entre deux crèmes de jour et un tri sélectif, il s’interroge profondément. Et il a raison. En effet, pourquoi frapper la génération bisounours, celle qui aime tout le monde sauf, bien sûr, les sales fachos et, bien entendu, ses ignobles ancêtres obscurantistes et esclavagistes ? Pourquoi eux, qui ne cessent de répéter que l’Islam est une religion de paix et de fraternité qui a toute sa place en Europe, eux qui étaient prêts à toutes les acceptations et les reptations pour ne pas froisser la susceptibilité de nos hôtes mahométans, glorieux rédempteurs de toutes les vilénies et de toutes les tares d’un Occident criminel ? Pourquoi eux qui ne demandaient pas mieux que de faire de nouvelles pipes aux Muzz et autres minorités de tous poils ? A l’horreur, s’ajoute donc l’injustice. Inimaginable. Insupportable. Si au moins ils avaient liquidé Marine, Zemmour ou Houellebecq, il y aurait une logique, une cohérence. Mais là ? C’est le camp du bien qu’on attaque, ce sont ceux qui avaient tous les brevets de citoyenneté mondiale et d’amour sans frontières qu'on assassine. Scandale dans le scandale, abomination dans l’abomination ! Comment peut-on haïr à ce point des gentils ? Face à cette interrogation déstabilisante, empressons-nous d’ajouter des fleurs dans nos cheveux et allons vite nous trémousser à Bastille sur du John Lennon, transe cathartique et expiatoire pour somnambules trop soudainement éveillés et désirant retourner au plus vite dans les limbes cotonneuses du sommeil médiatico-bien pensant. La narcolepsie, ultime remède au réel. Ressortons aussi les vieux drapeaux « Peace and love » mités, les arcs-en-ciel délavés, et dégueulons d’un amour si général, si global, si diffus, si incantatoire, qu’il devient sans consistance ni objet. On n’aime plus quelqu’un ou quelque chose, on aime tour court. Même ce qui nous tue. J’aime tout parce que je ne suis plus rien. Suicide collectif et festif par overdose d’amour universel.

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LES MOTS DU MENSONGE

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Pierre Vial

Des « Français »… Des « Belges »… Ainsi sont présentés dans les média les cinglés d’Allah qui ont réalisé les massacres du 13 novembre. Pourquoi ces mots ? Parce qu’il ne faut pas dire qui ils sont vraiment, c'est-à-dire des Maghrébins. Ce serait, n’est-ce pas, stigmatiser un certain type de population et mettre à mal la tarte à la crème du « vivre ensemble », ce monument d’hypocrisie. Et puis on martèle : surtout pas d’amalgame. Les cinglés ont tué au nom d’Allah ? Il ne faut pas en conclure hâtivement que l’islam n’est pas une religion d’amour, de paix, de tolérance et de fraternité. Car, bien sûr, les cinglés sont une exception… Sauf que dans les « quartiers » les sympathiques « jeunes issus de l’immigration » considèrent comme des héros les assassins de Daech. Nier cela c’est nier la réalité et donc se faire les complices objectifs des cinglés d’Allah.

Tout est mensonger dans le vocabulaire officiel. On appelle « migrants », « réfugiés » ceux qui sont des envahisseurs, dont les hordes ne respectent rien, tels un nuage de sauterelles, dans les pays européens qu’ils traversent et ceux où ils prétendent s’installer. En « exigeant » tout et le reste. En comptant dans leurs rangs des individus qui profitent du flot migratoire pour se glisser dans son sein, afin d’aller ensuite mettre en place des réseaux terroristes pour semer la terreur chez les Infidèles (c'est-à-dire, pour eux, tous les Blancs). Tout ceci est parfaitement connu des services de renseignement mais qui ont la consigne de se taire.

Devant ces calamités qui s’accumulent les gens censés exercer le pouvoir nous disent qu’il faut défendre nos « valeurs républicaines ». Celles au nom desquelles a été réalisé le génocide des Vendéens et qu’invoquaient dans leur délire ceux qui guillotinaient à tout va ? Celles qui valaient un brevet de patriotisme à ceux qui tondaient des femmes lors de l’Epuration ? Celles qui couvrent pudiquement les malversations en tous genres des copains et coquins qui se partagent le butin acquis sur le dos des Français, au sein de maffias où le fauteuil de l’élu n’est jamais loin du coffre-fort ?

Décidément, pour faire le Grand Ménage, il va y avoir du boulot.

Dimanche prochain, 29 novembre, venez nombreux à Rungis écouter Pierre Vial à la Table-Ronde de Terre et peuple.

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Le Journal du Chaos de cette semaine

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Arnaud Guyot-Jeannin nous parle de Julius Evola

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samedi, 21 novembre 2015

Visionnaire : Il y a 120 ans, le colonel Driant annonçait l'invasion de l'Europe par les Djihadistes !

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Politique-fiction, mais aussi science-fiction, l’œuvre qu’Émile Driant a produite à la fin du XIXe et au début du XXe siècle sous son pseudonyme de Capitaine Danrit envisage les conflits qui pourraient embraser la France dans un futur proche et, anticipant les avancées technologiques, tente de représenter au plus juste les combats à venir. Au moment de la rédaction, en 1894, de l’Invasion noire, Danrit se projette vingt ans en avant et imagine donc les armes qui seront celles du début de la Première Guerre mondiale. Certaines de ses inventions ne verront pas le jour, comme le fusil à gaz ou le « ballon d’acier » à l’allure de soucoupe volante qui joue un rôle si important dans l’intrigue du roman, mais d’autres trouvailles de Danrit seront en revanche promises à un bel avenir : le « téléphonographe à miroir télescopique », par exemple, qui annonce – à la fin du XIXe siècle –  la visio-conférence par internet… Moins anecdotique dans le récit, la guerre bactériologique – mise en œuvre par les djihadistes pour faire sauter le verrou de Constantinople qui leur barre la route des Balkans – reste encore aujourd’hui un motif d’inquiétude pour les responsables de la sécurité des pays occidentaux… Quant aux gaz de combat qui mettront le point final aux trois ans de promenade militaire musulmane, la fureur onusienne se déchaînant de nos jours contre les États accusés (à tort, en général) d’en détenir en dit long sur le traumatisme laissé dans les mémoires par leur utilisation au cours de la Grande guerre.
 
Les ambitions hégémoniques d’un Islam conquérant appuyé sur les masses africaines sont décrites dans le roman à travers les aventures de deux officiers coloniaux français, le capitaine Léon de Melval et le lieutenant Zahner (c’est l’époque où la France pleure son Alsace perdue) qui, assistant au massacre des garnisons européennes en Afrique, sont épargnés en tant que camarades de promotion à Saint-Cyr d’Omar, le fils du Guide spirituel et militaire des Afros-musulmans, le terrible sultan Abd-ul-M’hamed. Les valeurs enseignées à l’École et les anecdotes de la vie de ses élèves – dont Danrit a fait partie avant d’être instructeur – tiennent une place important dans l’intrigue de l’Invasion noire comme dans les autres livres de son auteur. Prisonniers sur parole, les deux officiers français sont obligés d’assister à l’unification de l’Afrique derrière la bannière verte du Sultan et ne pourront reprendre leur liberté et rejoindre leur patrie pour en organiser la défense qu’après la prise de Constantinople par les djihadistes.
 
Leur cohabitation involontaire avec le sultan permet à Danrit de nous livrer de savoureux dialogues dans lesquels le point de vue musulman sur la colonisation et la contre-colonisation qu’elle porte en germe préfigurent d’une manière troublante les discours qui seront ceux des Fronts de libération de l’après-Seconde Guerre mondiale. Le génie politique de Danrit est total : est également annoncée, outre ces revendications politiques indigènes que personne n’envisageait à la fin du XIXe siècle, l’entreprise sioniste sur la Palestine (vingt ans avant la Déclaration Balfour !)… Ici et là, le récit est saupoudré de brillantes prémonitions particulièrement émoustillantes aujourd’hui : si l’on n’est pas surpris que le traître (il en faut un dans toutes les bonnes histoires) soit un officier juif puisque l’Invasion noire est rédigée en pleine affaire Dreyfus, on ne peut manquer de s’amuser du fait que Danrit ait choisi de nommer Quarteron le général commandant les forces françaises en Afrique du nord… C’est lui qui succombera au milieu de ses troupes après leur avoir fait adopter la pourtant réputée formation « en tête de porc » qu’aurait inventée Bugeaud pour la pacification des contrées musulmanes !
 
Le plus stupéfiant reste sans doute que Danrit nous annonce que, face à la menace, la France doit se défaire de son système parlementaire paralysant et se placer sous la dictature éclairée d’un Maréchal, issu de la famille de Jeanne d’Arc, qui plus est ! Si les sionistes et les Anglais restent les grands repoussoirs de cette histoire, les journalistes ne sont pas épargnés non plus… L’Invasion noire est un roman finalement beaucoup plus politique que militaire !

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 Le ballon métallique qui est au centre de l’ intrigue de l’Invasion noire est revêtu de plaques d’aluminium disposées en écailles rappelant le blindage d’acier qui harnachait les bateaux de guerre en bois du XIXe siècle. En 1894, au moment de la rédaction de ce roman, l’aluminium est un matériau d’invention récente à la fabrication complexe dont le prix avoisine celui de l’or mais Driant, visionnaire, avait compris que tous les engins volants en seraient un jour constitués.

Ce métal s’imposait donc pour la fabrication du coffret accueillant les 1600 pages palpitantes des quatre volumes  de cette réédition de prestige de l’Invasion noire.
 
Le coffret est constitué de six pièces d’aluminium fixées les unes aux autres par des rivets, rappelant les assemblages métalliques contemporains de la parution du roman, comme la célèbre Tour Eiffel… Les couvertures des quatre volumes sont imprimées avec une encre métallique en plus des encres classiques de la quadrichromie pour rendre hommage aux somptueux cartonnages de la fin du XIXe siècle qui font, aujourd’hui encore, la joie des bibliophiles.
 
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9e Journée de Synthèse nationale (11 10 2015) : intervention de Martin Peltier

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3210 du 11 novembre 2015

TOUS les sondages prédisent une déroute historique de la gauche aux prochaines élections régionales. Les sondages pour Hollande sont catastrophiques. Mais, pire, des intellectuels de plus en plus nombreux, pas forcément lecteurs de RIVAROL au demeurant, et pas forcément nationalistes, montent à l’assaut de la forteresse qui tombe en ruines. L’écrivain marxiste italien Antonio Gramsci l’avait écrit : la prise du pouvoir politique passe par la prise du pouvoir culturel, c’est-à-dire intellectuel. Ce thème fut, il y a trente ans, largement développé dans les publications de la Nouvelle Droite. Aujourd’hui des Onfray, des Finkielkraut, des Elisabeth Lévy montent au créneau de l’insolence à l’encontre des cloportes.

Eric Zemmour, Philippe de Villiers et Patrick Buisson, quant à eux, se rencontreraient régulièrement « autour de la même table parisienne […] Nous sommes trois petits démons bien utiles maintenant que le grand démon [Jean-Marie Le Pen] va quitter la scène », s’amuse ainsi Patrick Buisson. Zemmour cartonne en librairie, raconte L’Express (300 000 exemplaires vendus de son essai Le suicide Français), Villiers idem avec 50 000 exemplaires déjà vendus de son livre Le moment est venu de dire ce que j’ai vu (RIVAROL en fera très bientôt une critique). Ils dénoncent tous les terribles dangers de l’invasion migratoire. Commentaire de Patrick Buisson : « La gauche n’a plus rien à dire depuis qu’elle est redevenue ce qu’elle était originellement : l’expression politique de la domination bourgeoise ».

ZUT, LUCETTE EST TOMBÉE DANS LES ESCALIERS À CAUSE DE HOLLANDE !

Lors d’un déplacement en Moselle fin octobre, le président avait fait une visite “impromptue” à Lucette, une habitante de Vandœuvre-lès-Nancy, retraitée de 69 ans, qui figura sur la liste du maire socialiste aux élections municipales. Bref, Hollande avait décidé de se la jouer Giscard. En fait, BFMTV a dévoilé le pot aux roses. Tout avait été préparé : une dame était venue faire le ménage, la mairie avait apporté du café, des tasses, des chaises, et même un bouquet de fleurs ! Une « grosse mise en scène », disent les journalistes… Plusieurs ministres à table et des dizaines de spectateurs, voisins et journalistes, debout dans le salon de la dame. On lui avait demandé de poser certaines questions, alors que d’autres étaient interdites. Hollande se la jouait imbécile heureux, disant à Lucette : « On est presque mieux qu’à l’Elysée, je peux vous le dire ». Lucette s’est un peu racontée. Son précédent logement était situé « dans une tour de huit étages » et « donnait sur les poubelles avec des rats ». Son nouveau logement, elle y est « super bien ». Hollande était aux anges. Depuis, on a appris que la visite du président avait été organisée à la demande du maire PS de Vandoeuvre, dont Lucette Brochet est une proche.

Elle raconte : « Il y a des gens de l’Elysée qui sont venus, pour poser des questions, pour savoir si j’étais bien dans l’appartement, raconte-t-elle. Pour savoir ce que je devais dire et ne pas dire. […] J’avais l’idée de dire qu’il s’occupait beaucoup d’immigrés, pas des clochards qui crèvent dans la rue, mais ça, il ne fallait pas que je le dise. » Ça rigole évidemment sec sur les réseaux sociaux face à cette fantaisie hollandienne loupée, forcément loupée, comme aurait dit Marguerite Duras. Mais notre pauvre Lucette en a subi les conséquences. Harcelée par les media qui s’amusent, elle a depuis trouvé un refuge chez sa fille qui explique : « Elle est très fatiguée et a besoin de tranquillité. » Mauvaise nouvelle : Lucette, émue sans doute par la polémique autour de la visite du président, comme l’a déclaré sa fille, est malheureusement tombée dans les escaliers. Mais ça va, pas d’hospitalisation ni pour elle ni (pour l’instant) pour Hollande…

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FLORIAN PHILIPPOT À MARION LE PEN : “N’OUBLIE PAS QUE SI TU ES LÀ, C’EST PARCE QUE TU T’APPELLES LE PEN

C’est le Canard Enchaîné qui raconte cette histoire. Le moins que l’on puisse dire est que l’ambiance au néo-FN n’est pas au beau fixe malgré les excellents sondages. Le cadre : la réunion d’investiture du 21 octobre dernier. Marine Le Pen, Marion et Philippot sont évidemment présents. Ce dernier s’énerve devant tout le monde que Marion Maréchal-le Pen ait osé déjeuner avec son grand-père, quelques jours plus tôt, sans en demander l’autorisation. Fureur de Marion qui réplique : « Et de quoi je me mêle ? Il faut maintenant que je demande l’autorisation pour aller déjeuner avec quelqu’un ?» Ce à quoi le vice-président du FN répond : “Oui”. Ambiance… Et puis, arrive la présentation de la liste des régionales en Franche-Comté. L’ambitieuse et carriériste Sophie Montel, l’amie très proche de Marine et de Philippot et chef de file de la liste aux régionales, a tout simplement annoncé la composition de sa liste sans passer par la commission d’investiture, en y plaçant évidemment ses amis et en oubliant ceux de Marion. Re-fureur de celle-ci. Philippot y va au Zyklon B, lui assénant : « Mêle-toi de ce qui te regarde, n’oublie pas que si tu es là, c’est parce que tu t’appelles Le Pen. » Et pendant ce temps, dans cette chaude ambiance, que disait Marine Le Pen ? Rien, rien de rien…

Comme prévu par tous les observateurs de cette galaxie en folie, Marion Maréchal-Le Pen a évidemment échoué devant la commission d’investiture à intégrer sur ses listes trois conseillers régionaux FN sortants, dissidents et proches de son grand-père. Du coup, Jacques Bompard se targue de présenter sur une liste concurrente une quarantaine d’élus locaux en PACA, dont 70 % avaient été élus sous l’étiquette FN.

LES JUIFS, IL FAUT “LES TENIR EN RESPECT”

Carlo Tavecchio, président de la Fédération italienne de football, est un personnage assez original. Coutumier, disent les gazettes, de propos racistes, homophobes et antisémites, l’abominable personnage vient encore de faire parler de lui. Il s’en était déjà pris, en 2014, au joueur d’origine africaine, Paul Pogba, déclarant : « Il est arrivé et mangeait des bananes, aujourd’hui il est titulaire en Série A ». Il a aussi évoqué un ancien dirigeant de la fédération, demandant au journaliste qui l’interrogeait « Mais, dites-moi, c’est vrai qu’il est homosexuel ? », ajoutant, plein d’humanité : « Je n’ai rien contre eux. Mais qu’on les laisse loin de moi ». Mais le personnage ne s’arrête pas en si bon chemin. Il s’en est aussi pris à « un certain Anticoli, un petit juif », représentant de la Ligue de football amateur. « Je n’ai rien contre les juifs, hein, il vaut mieux les tenir en respect. » Ils sont quand même étonnants, ces Italiens…

“DES JUGES INFÂMES ET PSYCHOPATHES”

Il est hors de question pour nous de louer le fonctionnement de la Justice. Tous les abrutis le disent : « J’ai confiance en la justice de mon pays ». Ce n’est pas le cas du député des Yvelines, Henri Guaino (Les Républicains) qui s’est lâché, déclarant que certains juges sont « infâmes et psychopathes », s’en prenant, histoire d’aggraver son cas, au ministre de la Justice Christiane Taubira : « Toute sa vie, elle a détesté la nation, détesté l’Etat, détesté l’autorité. Elle a d’ailleurs milité pour l’indépendance de la Guyane, pardonnez-moi, ce n’était pas un amour immodéré pour la France ». Du coup, Taubira s’en étrangle d’indignation et rêve de le faire exécuter. Mais, hélas, la peine de mort a été abolie en France…

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BHL EXPULSÉ VERS ISRAËL ?

Le Renouveau français a eu l’idée originale d’organiser devant la cantine de Bernard-Henri Lévy, le Café de Flore, à Saint-Germain des Prés, une petite manifestation appelant « BHL à verser le sang des autres » plutôt que celui des forces françaises « au service d’intérêts qui ne sont pas les nôtres ». Un discours plutôt modéré fut prononcé. Il se contentait d’exiger « la déchéance de la nationalité de BHL et son expulsion vers Israël. »

CONVENTION DU CRIF : BERNARD CAZENEUVE ET SON FOL AMOUR DES JUIFS

Bernard Cazeneuve est un cireur de pompes d’exception. Le ministre de l’Intérieur en charge des cultes a commis un merveilleux numéro de lèche-bottisme à la convention nationale du CRIF (« Conseil représentatif des institutions juives de France »). C’est trop beau pour être vrai. Voici ses propos rapportés par l’AFP : « Je voudrais dire ma confiance en l’avenir à tous les juifs de France, promettre de toute la force de ma volonté que la République les défendra sans faillir, comme l’ont clairement montré toutes les décisions prises depuis un an. La République les défendra parce que sans les juifs de France, la République serait amputée d’une part la plus sensible et la plus vivante d’elle-même. » C’est beau comme du Elie Wiesel, mais pas très sympathique pour les goys…

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici. 

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vendredi, 20 novembre 2015

CHARVIEU-CHAVAGNEUX (Isère) Le maire demande la dissolution de SOS Racisme

le-maire-de-charvieu-chavagneux-gerard-dezempte-archives-ld-dl-1448020153.jpgSource Le Dauphiné.com cliquez ici

Le maire (divers droite) de Charvieu-Chavagneux Gérard Dezempte a annoncé ce vendredi matin son intention d’écrire au Premier ministre Manuel Valls pour demander la dissolution de SOS Racisme. Cette association avait déposé une requête devant le tribunal administratif de Grenoble pour faire annuler une délibération adoptée à l’unanimité le 8 septembre pour son conseil municipal : elle disait la commune prête à accueillir des réfugiés à la « condition expresse » qu’il s’agisse d’une famille « de culture et de religion chrétienne ». La semaine dernière, cette délibération a d’ailleurs été suspendue par le tribunal administratif consécutivement à un recours en référé-suspension déposé par la préfecture de l’Isère. Le maire avait alors fait savoir que le texte serait « réexaminé » lors d’un conseil municipal prévu le 25 novembre.

La délibération en question avait reçu un large écho en septembre, notamment via l’un de ses motifs : « Les chrétiens ne mettent pas en danger la sécurité d’autrui ; ils n’attaquent pas les trains armés de kalachnikov, ils n’abattent pas les journalistes réunis au sein de leur rédaction et ils ne procèdent pas à la décapitation de leur patron ». Gérard Dezempte a complété ce vendredi matin : « Nous pourrions malheureusement rajouter : ils ne commettent pas des assassinats de masse à Paris, provoquant la mort de plus de 100 personnes ».

Le lien avec SOS Racisme ? Le maire explique : « S’appuyant sur cela, SOS Racisme ose écrire dans sa requête : « […] la référence faite à certains faits divers […] » Outre le procès d ‘intention qui nous est fait et auquel je ne répondrai pas car ma sensibilité face aux insultes n’a aucune importance face à la gravité de la situation, je tiens à ce que mes concitoyens prennent la mesure de l’indécence et de la gravité des propos tenus par SOS Racisme. SOS Racisme est une association d’idéologues irresponsables, jouant avec la souffrance du peuple français. Elle se permet d’écrire que les attaques commises par les djihadistes ne sont que des faits divers, qui serviraient soi-disant à des élus pour stigmatiser les musulmans. Autrement dit, la pseudo-stigmatisation est plus grave, selon SOS Racisme, que l’assassinat programmé de centaines de Français. Rappelons que le gouvernement lui-même qualifie très justement ces attentats d’actes de guerre. »

Citant l’article 6-1 du projet de loi portant prorogation de l’état d’urgence, adopté hier par l’Assemblée nationale (« Sont dissous, par décret en conseil des ministres, les associations […] qui participent à la commission d’actes portant une atteinte grave à l’ordre public, ou dont les activités facilitent cette commission ou y incitent »), M. Dezempte dit : « Sur ce fondement, SOS Racisme devra être dissoute. Considérer que les tueries de masse que nous avons connues cette année ne sont que des faits divers est une manière sinistre de minimiser, de ne pas condamner, voire d’excuser ces actes ».

Le maire de Charvieu-Chavagneux, également conseiller départemental de l’Isère, s’attaque aussi aux subventions perçues par l’association SOS Racisme : « En 2015, SOS Racisme avait reçu 16 000 euros de subvention du conseil général grâce au vote de la majorité socialiste-communiste-verts de M. Vallini. Il faut mettre fin à ce gaspillage inutile d’argent public qui, sans nul doute, sera mieux utilisé par la nouvelle majorité du Département de l’Isère ».

Si la demande de dissolution de cette association française créée en 1984 n’a « aucune chance d’aboutir », nous a-t-on confié, elle démontre la volonté du maire isérois à répondre coup pour coup à ceux qui attaquent la délibération polémique. « Manque de discernement ; indigne des fonctions qu’il occupe », avait-il déjà répliqué en septembre au préfet de région, Michel Delpuech, quand celui-ci avait qualifié le texte de « minable ».

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Le nouveau numéro de Salut public, la revue de Serge Ayoub, est sorti...

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 Novembre 2015, 70 pages, 12 €

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DJIHADISTES : L’INTERNEMENT PREVENTIF C’EST POSSIBLE, L’AMERIQUE L’AVAIT FAIT AVEC LES JAPONAIS EN 1942 !

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de Jean-Claude Rolinat

Les massacres du vendredi 13 novembre n’autorisent plus une seule seconde d’hésitation, il y a péril dans la demeure. Après les terrasses de cafés et une salle de concert où sont morts des français sous les balles de tout un réseau de terroristes islamistes, d’autres lieux drainant un nombreux public – cinémas, grands magasins, bateaux de croisières, stations de sports d’hiver, marchés de noël , rames de trains et du métro, gares, aéroports, avions - pourraient être des cibles faciles pour les assassins pratiquant « la guerre sainte » contre les « mécréants », comme l’atteste un communiqué de l’Etat islamique.

Le rapport du « faible au fort », c’est-à-dire une tentative par des groupes minoritaires dans une société donnée de faire plier un Etat ou un organisme beaucoup plus fort, ce qui existe dans la dissuasion nucléaire par exemple, a tragiquement été illustré ce vendredi 13 novembre au soir avec le massacre de 129 innocents. Investissement criminel minimum pour un « profit » maximum. La nation est sidérée, les Français pleurent leurs morts et l’Etat ne prend pas les mesures radicales qu’il devrait mettre en œuvre. Face à cette horreur, nous avons un discours lénifiant et quelques mesures arrêtées pour rassurer, dans un premier temps, un public justement angoissé. Sarkozy propose le bracelet électronique pour les suspects potentiels, Hollande dit qu’il va saisir le Conseil d’Etat… On croit rêver… Des milliers d’assassins potentiels grouillent dans nos banlieues mais ces messieurs, comme jadis les Byzantins dissertant sur le sexe des anges alors que le Turc campait aux portes de Constantinople, divergent sur la constitutionnalité de telle ou telle décision. Les terroristes binationaux se verront retirer leur nationalité française, ils s’en moquent comme de leur première paire de babouches !

A SITUATION EXCEPTIONNELLE, COUP DE POING EXCEPTIONNEL

Tandis que le Président de la République hésite à désigner clairement l’ennemi contrairement à son Premier ministre qui parle, lui, de « terroristes islamistes », et que les Français découvrent avec stupéfaction que les criminels sont des individus de nationalité française grâce à l’inique droit du sol, la police et les services de renseignements viennent de démontrer, malgré quelques failles, l’excellence de leurs compétences. Bombarder les postions de Dae‘ch en Syrie, c’est bien. Renouer avec Bachar Al Assad, ce serait mieux. Frapper l’Etat islamique alors que dans le même temps Paris flirte dangereusement avec le Qatar et l’Arabie Saoudite, monarchies musulmanes particulièrement rétrogrades en dépit de leur modernité de façade, et arme des bandes de « Syriens libres » qui refilent leurs armements aux rebelles, tout cela est complètement schizophrénique.

Le 7 décembre 1941, « Tora, Tora ! », la flotte américaine du Pacifique ancrée à Pearl Harbour dans les îles Hawaï, était attaquée par de volumineuses escadrilles japonaises. Bilan, des milliers de morts et des navires de haute ligne au fond de la mer. Dans un premier temps le gouverneur local, transmettant ses pouvoirs aux autorités militaires, faisait incarcérer un millier de résidants japonais ou d’origine japonaise. Dès le 19 février 1942, cette mesure était étendue sur tout le territoire des Etats-Unis à tous les Japonais ou naturalisés nippo-américains par le Président Roosevelt. C’était, en gros, 120 000 personnes qui prenaient le chemin des déserts de Californie ou du Nevada où elles y resteront assignées à résidence dans des camps de fortune pendant toute la durée de la guerre. Beaucoup, la majorité, étaient innocentes de toute complicité avec l’Empire du soleil levant mais, principe de précaution, elles avaient été regroupée en des lieux faciles à contrôler. 25 000 d’entre elles souhaitant échapper à ces mesures restrictives, s’engageront dans l’armée des Etats-Unis. Ce qu’une « grande démocratie » comme l’Amérique a fait en des moments exceptionnels – la guerre, et nous sommes en guerre, dixit François Hollande ! – un pays comme le nôtre peut le faire. Il y a seulement quelques milliers de fiches de police classées « S », c’est-à-dire des documents qui recensent des gens suspectés de militantisme islamiste ou des voyous déjà condamnés pour des faits de délinquance classique ou carrément des actes « djihadistes ». Des prédicateurs salafistes et des mosquées du même métal sont dans le collimateur des autorités policières. Les moyens manquent pour surveiller tout ce petit monde. Il faut donc se résigner à modifier notre droit, rapidement, pour permettre la mise en résidence surveillée ou l’incarcération de ces malfaisants potentiels. « On ne fait pas d’omelette sans casser d’œufs », dit un vieux dicton. Au pire, mieux vaut commettre quelques erreurs judiciaires que d’avoir à pleurer des centaines de morts. La bataille d’Alger a été gagnée en quelques mois par les paras de Massu et de Bigeard. Mais le gouvernement socialiste de l’époque – déjà ! – leur avait donné les pleins pouvoirs. La fin dramatique de l’Algérie française n’a pas été la conséquence de cette période, bien au contraire. Les gens pouvaient à nouveau fréquenter les cafés et reprendre en toute sécurité les transports en commun. « Là où il y a une volonté, il y a un chemin ». Et surtout, ne vous demandez pas comment faire, matériellement. Le Sheriff Joe Arpaio, constamment réélu dans le comté de Phoenix, Etat d’Arizona, a la solution ! Nous ne pouvons pas accepter d’être à la merci d’hommes et de femmes qui n’ont aucun respect pour la vie, la leur comme celle des autres. Allons-nous nous faire tirer comme des lapins, aller aux spectacles la peur au ventre, refuser de vivre normalement, tout cela parce que quelque fêlés interprètent littéralement des textes vieux de 14 siècles ? Tuer, nous venons de le voir et ça fait froid dans le dos, c’est simple : un homme, une volonté, une arme. Et bien, la République française doit prévenir avant de guérir, anticiper sur un futur macabre qu’elle refuse. La mise hors d’état de nuire, préventivement, s’impose. Les autorités ont des noms, les moyens humains et matériels à leur disposition, armée, police, gendarmerie : il leur faut agir, vite et massivement. La patrie est en danger, quand il s’agit de choisir entre la vie et la mort les arguties juridiques ne tiennent pas.

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Ce vendredi soir, sur Méridien zéro

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20 novembre 1936 : assassinat de José-Antonio

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jeudi, 19 novembre 2015

Pourquoi en France et pourquoi maintenant ?

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Dr Bernard Plouvier

Reconnaissons-le, cette année 2015 est une période faste pour les politologues, les spécialistes des relations internationales, les criminologues et autres sociologues ! Tous ne sont pas inintéressants, notamment ceux qui rapportent le cynisme des pétroliers US et d’Arabie, qui manipulent Président et roitelets, eux-mêmes fournisseurs d’argent, d’armes et de services (singulièrement les instructeurs) aux divers mouvements djihadistes. Les plus perspicaces des commentateurs semblent avoir même perçu l’intérêt majeur des chiites iraniens à soutenir la chienlit sunnite, un peu à la manière des pyromanes appelés ensuite comme pompiers pour éteindre l’incendie qu’ils ont, sinon créé, du moins propagé.

Il est curieux, toutefois, que ces savants gourous répondent peu, voire pas du tout, aux deux questions évoquées en titre.

La France est une cible toute désignée, non pas en raison de l’alignement des Sarkozy et Hollande sur la curieuse politique des USA – après tout, la Grande-Bretagne et l’Allemagne pourraient être des cibles aussi avantageuses pour les djihadistes -, mais en raison de l’énormité de l’implantation musulmane en France. Dût notre foi en la puissance de l’action des services spéciaux et des forces de l’ordre en être chagrinée, c’est également parce que les « décideurs » français sont les plus mous, les plus timorés de l’Union Européenne… il est vrai que lorsque l’on va perpétuellement quémander crédits ou contrats de vente en pays de Charî’a, l’on peut difficilement sévir contre les ulémas et mollahs de banlieues qui prêchent le Djihâd ou empêcher le départ vers les zones de formation au terrorisme des sauvageons de l’islam. Les bailleurs de fonds saoudiens, qatari ou autres risqueraient de se fâcher et de fermer le robinet à pétro-dollars.

Une dizaine de millions de musulmans en France, c’est une force colossale, croit-on du côté des « stratèges » du Djihâd, qui ont beaucoup étudié les manuels de pratique révolutionnaire et médité les exemples des plus sanguinaires d’entre eux : les nihilistes de Russie et les anarchistes d’Occident au XIXe siècle, les gauchistes d’Allemagne, d’Italie, de France et du Japon des années 1960 (dont les caisses étaient alimentées par le trafic d’opiacés fournis par le KGB), ou les islamistes antisionistes des années 1925-1980 (aux actes plus spectaculaires qu’efficaces). Il est possible, également, que ces stratèges aient étudié l’action des résistances communistes en Europe occupée par la Wehrmacht, à partir du 22 juin 1941.

Le schéma est simple et bien connu : l’action terroriste engendre une réaction du titulaire de la force armée et l’on espère que cette réaction entraînera à son tour l’insurrection vengeresse des « opprimés ». Les attentats doivent être les plus meurtriers et les plus ignobles, pour provoquer une réaction violente des États-cibles et idéalement de la fraction de la population excédée d’être la victime de la barbarie terroriste, suffisamment courageuse pour s’insurger. Or en France actuelle, dé-spiritualisée, amollie & aveulie, il ne faut guère compter sur plus d’1% d’hommes autochtones (et un pourcentage encore plus faible de femmes) pour répondre à la violence par la violence.

La moindre action contre un Africain ou un Maghrébin musulman, réellement innocent de tout crime contre la Nation française, pourrait être le point de départ d’un soulèvement des musulmans bien endoctrinés, associés aux racailles des cités de non-droit, dépourvues de vie spirituelle, mais avides de carnages, de pillages, d’incendie et de viols. Les émeutes raciales des trois décennies précédentes ne peuvent qu’avoir donné de grandes espérances aux stratèges djihadistes en France. Ils la conçoivent, non sans raisons, comme un pays majoritairement composé de pleutres, dirigé de façon laxiste par des clients d’États musulmans, et renfermant la communauté musulmane la plus importante d’Europe, également la plus délinquante & criminelle, la plus explosive.

La France est une cible de rêve, non par l’effet de sa politique étrangère comme on le dit, mais par la mollesse de sa politique intérieure.

Pourquoi maintenant ? C’est assez simple, si l’on veut se donner la peine d’étudier le fondement de la civilisation islamique. Les quasi-analphabètes de nos cités de non-droit se moquent éperdument d’une géopolitique dont ils ignorent tout ; ils se moquent de qui finance et arme leurs groupuscules. En revanche, un événement non prévu par les grands stratèges occidentaux et israéliens est survenu en 2014 qui les a enthousiasmés (stricto sensu, l’enthousiasme est une joie d’origine divine qui pousse à l’action).

Un homme, jugé quantité méprisable par ses ex-geôliers US et irakiens de 2004, et l’un des chefs de l’État Islamique depuis la mort du premier émir en 2010, s’est proclamé calife à Mossoul, le 29 juin 2014, puis a été intronisé le 5 juillet, dans la grande mosquée de cette capitale du sunnisme kurde. Qu’Ibrahim Awad, devenu Abou Bakr II, soit ou non un imposteur (en l’occurrence qu’il soit ou non un descendant de Mahomet par les femmes), on s’en moque totalement. De la même façon, la Fatwa vengeresse des ulémas d’al-Azhar (l’université sunnite du Caire) est sans grand intérêt pratique, même si elle émeut les politologues spécialistes de l’islam.

Pour les sauvages du Djihâd terroriste, un guide spirituel est apparu, dont la mission est reconnue par Allah, par le fait même que l’homme n’ait pas été réduit en cendres à l’instant même où il se proclamait calife. Or, pour un sunnite, le calife est inspiré par Allah, soit directement, soit par l’intermédiaire de l’archange Gabriel. Et cet « homme de Dieu » a bouleversé le Djihâd, dans sa pratique et dans son éthique.

Il a permis à des femmes de s’engager activement dans le Djihâd, et non plus seulement en soutien logistique comme auparavant. Il a également autorisé les frappes aveugles, au risque de tuer d’autres musulmans (ce qui est contraire aux stipulations du Coran)… réactualisant la phrase cynique médiévale : « Dieu reconnaîtra les siens ».

Que l’on soit riche ou pauvre, à-demi débile ou hautement intellectualisé, on meurt pour une cause si l’on est génétiquement prédisposé au fanatisme, qu’il soit d’essence religieuse ou politique. Il est d’autant plus facile de passer à l’acte que l’on a une justification morale pour cela et un « envoyé de Dieu » est l’être idéal sur ce point. Donner aux activistes la quasi-certitude d’œuvrer utilement pour la cause, c’est-à-dire leur faire croire qu’est venu le grand moment et qu’ils frappent à l’endroit optimal, est le B-A-BA du manuel du chef de mouvement insurrectionnel.

Que les mouvements de ce type soient constamment voués à un échec, immédiat ou retardé, n’intéresse que l’historien ou le philosophe ! Pour le fanatique, obéir et tuer pour la cause donnent un sens à la vie. De ce fait, un État victime d’un terrorisme religieux doit exterminer les tueurs potentiels autant que les inspirateurs, les donneurs d’ordre et les agents du soutien logistique. Tuer ou être tué, c’est l’alternative de toute Nation entrée en état de guerre.

13:13 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vladimir Poutine : « Pardonner aux terroristes, c’est le rôle de Dieu, les envoyer auprès de Lui, c’est mon affaire »

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« Pardonner aux terroristes, c’est le rôle de Dieu, les envoyer auprès de Lui, c’est mon affaire » Ce sont les mots forts du Président de la Russie, Vladimir Poutine, en officialisant l’attentat terroriste djihadiste, qui a touché l’avion qui a explosé en Egypte avec 224 personnes à bord.

La journaliste de l’agence russe RT, Remi Maalouf, a publié sur son twitter ces déclarations, qui se sont répandues rapidement.

Pendant la conférence de presse dans laquelle on a communiqué les conclusions de l’attentat du Sinai, Poutine a averti publiquement les djihadistes « Nous irons vous chercher jusqu’au bout du monde, et là, nous vous tuerons. »

« Sur le vol a explosé un artefact explosif d’une puissance de 1,5k de trilite. Le résultat a été la désintégration de l’appareil en plein vol» informa le chef du Service Fédéral d’Information (FSB, succédant à l’ancien KGB), Alexandre Bortnikov.

Vladimir Poutine a annoncé durant la conférence de presse que la Russie intensifiera ses bombardements en Syrie contre l’Etat Islamique. « Le travail de notre aviation de guerre non seulement doit continuer. Il doit s’intensifier de telle manière que les criminels comprennent que la vengeance est inéluctable. » La guerre ne fait que commencer.

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Un entretien avec Jean-Loup Izambert sur TV Libertés

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Un message du Président Bachar Al-Assad

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Après les attentats à Paris : à quand un changement de politique ?

LOGO-MNR.pngUn communiqué du MNR :

Le bilan des attaques du 13 novembre 2015 à Paris et au Stade de France, est le plus lourd jamais enregistré en France : plus de 130 morts, plusieurs centaines de blessés, dont un bon nombre en « état d'urgence ». Au-delà de l'émotion légitime suscitée, nos hommes politiques vont-ils ouvrir les yeux sur leur attitude face à l'immigration et l'islamisation ? La revendication de l'État islamique est faite «au nom d'Allah ». L'attaque a pris pour cible « la capitale des abominations et de la perversion, celle qui porte la bannière de la croix en Europe, Paris ». A quoi a donc servi la stupide islamophilie de nos dirigeants ? C'est clairement notre civilisation qui est visée, et même le christianisme. Certes, la France n'est pas la seule visée, mais il lui faut prendre lucidement sa part de responsabilité, sans présumer de ses forces : pour détruire DAECH, aucune aide n'est superflue, qu'il s'agisse du gouvernement légal syrien ou de la Russie. Quand nos dirigeants prétendent que l'homme à abattre est Bachar al Assad, ils se trompent clairement de cible. Quand ils nous demandent d'accueillir des milliers de « migrants », ils prennent le risque de faire entrer de nouveaux soutiens au terrorisme islamiste.

Pour que le terrible bilan du 13 novembre 2015 porte ses fruits, il faut que nos dirigeants arrêtent leur soutien à l'immigration et l'islamisation, et qu'en Syrie, ils coopèrent avec Bachar Al Assad et les forces russes, au lieu de soutenir de soit-disant « rebelles modérés » comme ceux d'Al Nosra, qui sont en fait des islamistes.

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Attentats de Paris : la réaction de Serge Ayoub

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Hier Bagdad et Beyrouth. Aujourd’hui Paris. Demain Berlin ou Bruxelles ?

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Pieter Kerstens

Selon le spécialiste en psychopathologie Sefi Slamane, sur RTL ce 14 novembre « Cela fait des années que des puissances extérieures manipulent des organisations au Moyen-Orient et l’on ne doit donc pas être étonné des conséquences chez nous aujourd’hui. Le but et la stratégie des terroristes est de semer l’effroi. »

Si l’on s’en réfère aux diverses déclarations des gouvernements européens depuis plus de quatre ans, l’homme à abattre était Bachar Al-Assad qui « ne méritait pas de vivre !». Comment s’étonner dès lors que des milliers de jeunes issus de l’immigration soient partis faire leur « djihad » en Irak ou en Syrie et rejoindre les terroristes takfiristes de DAESH ou du Front Al-Nostra ? Ces mêmes idéalistes encouragés à l’origine par les princes qui nous dirigent sont par la suite (au printemps 2014) montrés du doigt et poursuivis comme terroristes ennemis de la vieille Europe… comprenne qui pourra.

« Vigipirate » ou « Sentinelle », à quoi ça sert ?

On pourra se souvenir des attentats de Carlos au pub Saint-Germain dans les années 70, des attentats du GIA dans le RER parisien en 1995 ou encore de ceux commis à Madrid à la gare Atocha en 2004 et à Londres en 2005, pour constater que depuis 20 ans les eurocrates sont incapables de mettre en place des mesures de protection des territoires. Aucun progrès, rien de plus pour assurer une meilleure sécurité de la population ; seules des déclarations lénifiantes des gouvernements de « gôche » comme de droite qui se sont contentés d’ânonner les sempiternelles litanies concernant la « démocratie », la « solidarité », « l’humanisme » ou « l’horreur de ces actes barbares »… fermez le ban ! Et place à l’intoxication.

DAESH frappe où il veut, comme il veut et quand il veut.

Jeudi 12 novembre vers 18 h à Beyrouth, dans le quartier de Bourj al-Barajneh, DAESH revendique un attentat contre les « rafida » qui entraine la mort de 44 civils et plus de 240 blessés. Sirajeddine Zraikate (porte-parole des brigades Abdallah Azzam) déclare à ce propos : « La banlieue sud est noyée dans son sang ! » Depuis 3 ans la capitale libanaise a subi 9 attentats à la voiture piégée occasionnant la mort de 180 civils et plus de 1.102 blessés, attentats revendiqués par les djihadistes de DAESH (créé en 2006 en Irak). Le même jour, un assassin sunnite de DAESH a lui aussi tué 8 civils dans un marché à Bagdad.

Après Paris on pourrait s’attendre à ce que d’autres attentats aient lieu ailleurs en Europe, tôt ou tard !

Vivre ensemble, multiculturel, pluriethnique et assimilation : un rêve fracassé !

Toute personne censée et équilibrée, qui se débarrasse des lunettes roses du politiquement correct, peut constater que l’assimilation et l’intégration des immigrés extra-européens dès 1960 sont un échec patent dans la majorité des cas, tel que cela a été reconnu par Angela Merkel, Nicolas Sarközy et David Cameron en 2012.

La dérive vers l’islamisation intégriste, qui concerne une partie de ceux qui vivent dans les banlieues, peut être attribuée au fait que le Régime n’a jamais eu rien d’autre à offrir comme moyen d’intégration que sa débauche, sa corruption, sa décadence des mœurs, son athéisme, sa perversité, son matérialisme, son idéologie pernicieuse des droits de l’homme ou son déclin moral. Peut-on dès lors s’étonner que ces « jeunes » soient entrés en rébellion contre un système qu’ils ont vu comme un ennemi des valeurs de leur culture d’origine ?

En outre, la décision imbécile d’accueillir des millions de clandestins (« migrants » dans la novlangue) en Europe d’ici à fin 2017, aggravera encore le choc des civilisations.

Et ce n’est pas en organisant une marche pour la Paix et la Solidarité le 20/11 à Paris que cela changera quoi que ce soit !

Nous, le 6 décembre, nous allons pouvoir exprimer notre rejet de la mafia PS-LR-UDI-Écolo, qui EUX nous ont conduits au fond du gouffre, les mêmes qui ont vidé les églises pour remplir les mosquées.

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Comment on devient des Américains ? La réponse des Brigandes...

 

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Le disque des Brigandes cliquez ici

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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mercredi, 18 novembre 2015

Un Devoir d’amalgame ?

12196119_963571943714812_3042351476990763891_n.jpgDr Bernard Plouvier

"L'anarchie administrative et sociale est la préface ordinaire des révolutions et des dictatures"

Raymond Poincaré, 1906

Depuis plus de vingt ans, il ne se passe pas de mois sans qu’un pays d’Europe occidentale ne soit la victime d’un attentat islamique contre les biens ou les personnes, les djihadistes ayant pris le relais des assassins de la cause palestinienne des années 1970-90.

Les agressions physiques quotidiennes des Africains, noirs et maghrébins, à l’encontre des Blancs sont tellement nombreuses dans les cités françaises que seules les victimes y font attention et les témoins ne s’arrêtent même plus, d’autant qu’ils n’osent intervenir : les agresseurs frappent en meute. Les forces de police ne se donnent qu’exceptionnellement la peine de rechercher les coupables et refusent souvent d’enregistrer les plaintes, au prétexte que « cela ne sert à rien ». Effectivement, les racailles colorées peuvent racketter, frapper, incendier, voler et violer des « petits culs blancs » (des deux sexes, d’ailleurs) en état de quasi-impunité.  

Pourquoi s’en étonnerait-on ? Depuis les années 1970, la France a recueilli un nombre effarant d’immigrés d’origine extra-européenne, qui sont, pour la quasi-totalité des maghrébins et une écrasante majorité de noirs, des sectateurs d’Allah le tout-puissant, à défaut d’être encore le miséricordieux. Les ministres, grands quémandeurs de prêts, voire de donations, auprès de potentats islamiques, enrichis par les pétro-dollars, multiplient les lois qui ne protègent plus les honnêtes citoyens, mais minimisent les peines des criminels immigrés.

À l’occasion d’attentats terroristes, l’on exhibe devant micros et caméras quelques pitres du demi-monde de la politique bobo (droite molle, marécage centriste et gauche), divers « intellectuels », ainsi que quelques ulémas, qui, tous, viennent proclamer que « l’islam est une religion de paix » et qu’il ne faut pas commettre le nouveau « péché contre l’esprit » (par définition, impardonnable) : l’amalgame entre le musulman et le djihadiste (ou « salafiste », pour les plus savants commentateurs). Du muslim de base au recteur honoraire de grande mosquée, les rares fidèles de l’islam qui osent s’exprimer ainsi profèrent, consciemment, un énorme mensonge.

En effet, la lecture du Coran, censé avoir été dicté par l’archange Gabriel à monseigneur Mahomet, n’apporte guère d’eau au moulin des fidèles qui clament leur « indignation » de commande. Pour qui a quelque peu fréquenté ce livre, issu du Haut-Moyen-Âge, et lu quelques volumes de hadîths, il est évident que pour un authentique muslim (fidèle en la langue du prophète), la Terre se divise en deux parties et seulement deux parties : le Dâr al-Islam (la maison de l’islam) et le Dâr al-Harb (la maison de la guerre).

À l’exception des pays majoritairement musulmans d’Europe danubienne : Albanie, Kosovo, Bosnie-Herzégovine et Macédoine (faut-il rappeler que la Turquie n’est pas et n’a jamais été un « pays européen » ?), la France et les pays européens évolués sont situés dans la maison de la guerre sainte ou djihâd… à l’exception des cités de non-droit, qui font déjà partie du Dâr al-Islam, où imams et trafiquants de drogues et d’armes s’opposent ou concluent des alliances selon les moments.

Il ne pourra y avoir de paix sur Terre que lorsque tous les peuples seront des fidèles de l’islam ; c’est le fondement de cette religion. Les hasards de l’actualité font redécouvrir une évidence : l’islam est une religion mâle, dominatrice, conquérante, à l’imitation de son fondateur qui n’a jamais reculé devant le pillage de caravanes ni la commandite d’assassinats, qui a même institutionnalisé la guerre sainte.

Certes, sourates coraniques et hadîths ordonnent au muslim d’accomplir « le bien », d’être travailleur, modeste, véridique, frugal, honnête etc. Le bon muslim ne s’enivre pas plus qu’il ne commet l’adultère (il peut disposer de ses quatre épouses, quand il le souhaite, en plus de ses esclaves, cf. les sourates 4 et 33). Il doit faire l’aumône et accomplir le pèlerinage de La Mecque. Il n’y a rien à redire à toutes ces recommandations, en notant toutefois deux menus détails : la polygamie n’est pas plus une institution autorisée dans l’Europe moderne que l’esclavage.

D’autres sourates sont déjà moins agréables pour un Européen. On ne discute pas du Coran avec les infidèles (sourate 6) et l’on ne doit pas contracter de mariage avec un ou une infidèle (sourate 4). Le fidèle ne doit pas « contracter amitié avec le juif et le chrétien » (sourate 5). La femme doit être totalement soumise à l’homme, obéir à toutes ses exigences (sourates 4, 33). L’homosexualité doit être considérée comme une infamie (plusieurs sourates le précisent), ce qui est peut-être la stipulation la moins respectée des fidèles, si l’on considère le nombre de viols homosexuels dans notre beau pays. Selon la charî’a, le voleur doit avoir la main coupée (sourate 5)… après tout, pourquoi pas ?

Le gros problème est représenté par les très nombreuses sourates vantant la « guerre juste », la « guerre sainte », le Djihâd. Car le meilleur fidèle est celui qui meurt en combattant pour défendre ou propager l’islam (sourate 2).

Selon divers imams, ulémas et autre mollahs qui s’adressent à des Occidentaux, l’islam serait une religion d’amour mutuel. Cette affirmation n’est exacte (à condition, bien sûr, de faire l’impasse sur les haines opposant les membres de sectes rivales) que pour les relations entre fidèles et d’une façon aussi théorique que l’est la pratique de la charité par les chrétiens !

En revanche, l’islam est une religion de haine vengeresse envers les apostats et de haine conquérante envers les infidèles. Les premiers doivent être exterminés impitoyablement, selon la sourate 4, et bien des internautes ont pu visualiser sur leur canal préféré l’égorgement de musulmans apostats et d’autres infidèles, selon la technique usitée par les tueurs d’abattoirs pour obtenir la viande halal (la tête de la victime étant tournée vers La Mecque et l’égorgeur récitant des « paroles pieuses »). La seule nouveauté, brevetée « califat nouveau », est l’usage du couteau à céramique : on peut être un tueur djihadiste et apprécier les techniques des « chiens de l’Occident » (autre expression d’appellation contrôlée).

Par définition, le Djihâd est la guerre pour propager l’islam chez les infidèles (sourate 47) ou le défendre en cas d’agression (sourate 2). Dans la sourate 58, on relève cette forte phrase : «  Allah a dit : je donnerai la victoire à mes envoyés ». Dans les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60, 61 le Djihâd est présenté comme « bon et juste ». Pour déculpabiliser les rares guerriers qui seraient pris de scrupules d’ordre humaniste, le prophète a dit : « Ce n’est pas vous qui tuez les idolâtres, c’est Allah » (sourate 8, verset 17).

Le fidèle qui en est physiquement capable doit, en effet, obéir à un ordre aussi formel que simple : « Combats jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’idolâtre et qu’Allah soit partout adoré » (sourate 8, verset 40). « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah… tuez les idolâtres partout où vous les trouverez » (sourate 9). L’idolâtre est, bien sûr, le fidèle d’une autre religion ou l’athée.

Les guerriers de l’islam qui meurent au combat ou des suites de leurs blessures sont assurés d’être reçus par Allah en son paradis, quel qu’ait été leur comportement terrestre (sourate 47). Ils ne doivent être ni pleurés, ni regrettés : ce sont des héros qui désormais vivent auprès d’Allah (in sourates 2, 3, 10 et 47). L’homme idéal selon l’islam est, quoi que puissent en dire les imams, ulémas et autres recteurs de mosquées chargés d’anesthésier les populations occidentales, le guerrier d’Allah et non le digne père de famille œuvrant pour nourrir sa famille et améliorer la société. Un hadîth le proclame : « Le sang du héros de l’islam est plus près d’Allah que l’encre des sages ou les prières des fidèles ».

L’infidèle qui s’oppose au Djihâd doit être tué (sourate 47) et sa famille dépouillée de ses biens et réduite en esclavage (sourates 8 et 47). « Quiconque montre de la bienveillance envers un infidèle combattant l’islam est injuste » (sourate 60, verset 9). La véritable paix ne pourra s’établir sur Terre que lorsque tous les humains adoreront Allah et pratiqueront son culte (sourate 47). Dès que les États islamiques sont en position de force, ils doivent proclamer le Djihâd pour convertir qui veut l’être, exterminer ou réduire en esclavage qui refuse.

En résumé, il n’est pas vrai que l’islam soit pacifique par essence, encore moins qu’il soit une religion tolérante, comme certains voudraient nous le faire croire. Il n’est pas faux d’écrire que, depuis le début de l’ère mondialiste et la diffusion des vidéos sur le Net, le Coran est devenu une arme de destruction massive.

Durant les siècles précédents, plutôt que de les tuer, les maîtres de certains pays islamiques (singulièrement ceux de l’Empire ottoman) avaient trouvé plus profitable de laisser en semi-liberté des infidèles, pressurés d’impôts spéciaux, désarmés, publiquement humiliés et méprisés, totalement dépourvus de droits civiques : les dhimmis. Est-on assuré que cette mansuétude sera de mise en France (ou en d’autres pays européens) quand, par le mécanisme démocratique de la loi du nombre, une substitution de population majoritaire aura fait de nos pays des États islamiques ?

Il existe de par le monde 1,3 milliard de musulmans soit un peu plus du cinquième de la population de la planète. La France renferme plus de musulmans que les quatre États musulmans d’Europe danubienne cités plus haut.

Ce ne sont pas les discours pleurnichards des politiciens et des pitres des media de la société mondialiste qui arrêteront les fous de dieu dans leur délire homicide, pas plus que les milliards d’euros, si mal dépensés dans les banlieues et les cités de non-droit, n’empêchent les émeutes.

Il est urgent, pour les Français de souche européenne comme pour tous les Européens autochtones, de lire le Coran, de s’imprégner de ses commandements (et pas seulement de ceux qui préconisent la bonté… entre fidèles). Car, pour n’importe quel lecteur du coran, il est évident que l’amalgame peut et DOIT être fait entre le muslim en bon état physique et le djihadiste : ce n’est pas une rêverie de raciste, mais un constat d’évidence !

Il serait temps de bien connaître cette religion mâle et conquérante, ne serait-ce que pour moins mal voter ou, rêve insensé s’agissant d’une « nation de veaux », pour créer des milices d’autoprotection, dans le cadre d’une authentique « démarche citoyenne », puisque même les policiers, surmenés à force de verbaliser les automobilistes, semblent dépassés par les événements… sans compter que les forces armées dites françaises, celles de gendarmerie et de police, renferment entre 15 et 20 % de musulmans selon les armes et les régions.

En 1914 et en 1939, la guerre entre Européens était proprement suicidaire. De nos jours, il est devenu évident que s’impose un Devoir d’insurrection, à l’encontre d’un pouvoir veule et laxiste, inepte et profondément corrompu, uniquement préoccupé d’échéances électorales pour conserver les sinécures dorées de la République. Il est urgent qu’un authentique Pouvoir, orienté vers le Bien commun, protège enfin les Français de souche de la barbarie inutilement importée.

12:38 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ah bon, ce n'est pas une banane ?

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mardi, 17 novembre 2015

On ose nous parler de "Justice"...

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Omar Ismaïl Mostefaï : terroriste, fiché S., condamné 8 fois entre 2004 et 2010 sans jamais être allé en prison !

Et là... pensons à Nicolas Bernard-Buss, jeune homme au casier vierge... Il avait passé trois semaines à la prison de Fleury-Mérogis en juin et juillet 2013 (à cause de son opposition à la loi Taubira)...

Repensons aussi à Esteban, militant solidariste, lâchement agressé avec ses amis par une bande de petits laquais du Système intitulée "antifa" en juin 2013 et qui passa quinze mois en prison pour s'être simplement défendu...

Un jour, il faudra que les responsabilités soient établies et que les coupables payent... 

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"La guerre" ce qu'en pense Eric Zemmour

12:28 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Fantasme sécuritaire, réellement ?

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Dr Bernard Plouvier                         

« Combats jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’idolâtre et qu’Allah soit partout adoré » (Coran, sourate 8, verset 40).

Ce 16 novembre, alors que nos « chefs » décident de ne rien faire d’efficace, un leader de la gauche pseudo-marxiste (lui-même millionnaire en euros, histoire de le rendre plus crédible aux petites gens) vient éructer ses propos venimeux sur ce qu’il appelle un « fantasme sécuritaire ».

Fantasma, en langue espagnole, signifie « fantôme ». Où ce Titan de la pensée politique a-t-il vu que 130 morts, 350 blessés (dont un tiers en état grave) formaient un « fantasme » ? Un cauchemar peut-être, un songe sûrement pas. Après les stériles pleurnicheries, l’on a droit aux sarcasmes des aboyeurs et aux quart-de-mesure du mol président et de son évanescent gouvernement.

Quatre jours après le carnage parisien, nos frontières ne sont toujours pas fermées aux immigrants musulmans, alors même qu’un des assassins du 13 novembre faisait partie de la cohorte des « gentils réfugiés, fuyant la Syrie ». Et que l’on ne vienne pas dire à nouveau qu’il ne faut pas commettre d’amalgame entre musulman et djihadiste. Neuf sourates coraniques exigent la pratique du Djihâd de tout muslim (fidèle en langue arabe) « qui en est physiquement capable ». Par mesure humanitaire, l’on pourrait admettre les sujets trop débiles pour appuyer sur la détente d’une arme automatique… ce qui ne fait pas beaucoup de monde !

Quant aux autres mesures efficaces, il ne faut guère en attendre de la part de nos merveilleux élus, en période électorale. Sont-ils simplement des mous ou de parfaits incapables ? Après tout, en 2001, même le demi-débile George Bush junior a su prendre des mesures de salut public ! Il est vrai qu’en 2012 déjà, David Remer ironisait sur « l’ineptocratie » des gouvernants français : rien n’a changé depuis, en dépit de la gravité des événements.

Ce ne sont pourtant pas les actes nécessaires qui manquent :

  • Nettoyer le millier de cités de non-droit, où des canailles narguent les autorités du pays.
  • Décider le nécessaire rétablissement de la peine de mort et l’application de la véritable Démocratie qui est d’appliquer la même Justice à tous, quels que soient la race et la religion du justiciable, son appartenance à un parti politique ou à une secte, son état de fortune ou sa surface sociale.
  • Supprimer le scandale de la double allégeance en interdisant le principe même de la double nationalité : on ne peut être fidèle à deux entités souveraines, c’est une évidence !
  • Organiser d’urgence un referendum sur l’immigration extra-européenne, puisque seule la Nation est souveraine dans notre État et non les élus, qui ne détiennent qu’une délégation provisoire.
  • Réformer les conditions d’octroi de la nationalité : soit l’abolition de l’absurde Droit du sol ; la dénaturalisation automatique des canailles (voleurs, escrocs, trafiquants divers) et des crapules (violeurs, assassins, terroristes) issues de l’étranger ou rejetons de « l’immigration à problèmes » ; l’élaboration de conditions draconiennes à la naturalisation, car, après tout, c’est un immense honneur que l’on fait à un étranger de l’admettre au sein d’une communauté hautement civilisée.
  • Réformer le statut des élus du peuple : limitation du nombre des mandats et de la durée globale du statut d’élu, pour éviter la nuisible réalité du « politicien professionnel » ; diminution drastique – au nom des nécessaires économies d’un État surendetté – de leurs indemnités & frais de représentation et de déplacement ; réduction draconienne du nombre de leurs collaborateurs payés avec le produit des impôts ; lutte réelle contre la corruption et aggravation considérable des peines pour les politiciens prévaricateurs ou trafiquant de leur influence ; lutte contre les lobbies (ou groupes d’influence), au nom de la Déesse Égalité.
  • Attribuer le bénéfice des lois sociales aux seuls sujets ayant cotisé (ce qui est le principe même de ces lois), pour supprimer le coûteux et immoral parasitisme social.
  • Enfin, appliquer dans toute sa rigueur la Loi de 1905 qui sépare absolument les confessions religieuses de l’État… même si des milliardaires en pétro-dollars exigent (et jusqu’à présent obtiennent) des privilèges pour leurs coreligionnaires.

Et ce catalogue n’est nullement exhaustif. Nobles et courageux responsables de l’État, vous avez du travail !

12:18 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un entretien avec Roland Hélie publié dans le dernier numéro de la revue Réfléchir et Agir :

COUV_croix.jpgPour quelles raisons avez-vous créé les Cahiers d’Histoire du nationalisme ?

Depuis trop longtemps, l’histoire de ce que l’on appelle « la droite nationale » au sens large du terme est racontée par nos ennemis. Ceux-ci la falsifient volontiers afin de nous discréditer. Nous nous sommes donc dit qu’il était temps de reprendre tout cela en main et d’immortaliser nous même cette histoire qui est la nôtre. On est jamais si bien servi que par sois même.

En 2012, nous avions lancé, parallèlement à la revue Synthèse nationale, une collection intitulée Les Bouquins de Synthèse nationale. Il s’agit de livres thématiques destinés à ceux qui veulent mieux connaître nos idées. Ainsi, nous avons édité, entre autres, une biographie du Président portugais Salazar, un recueil de textes sur José-Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole, et un autre encore sur Dominique Venner. De là est venue l’idée, au début de l’année 2014, « standardiser » ces publications consacrées à des personnages, ou à des événements, qui ont marqué notre famille d’idées.

Voilà, en quelque sorte, la genèse des Cahiers d’Histoire du Nationalisme. Ceux-ci ont l’ambition, à terme, de devenir une véritable encyclopédie.

Peut-on dire qu'ils répondent aussi à un besoin de formation politique pour les jeunes militants ?

Tout d’abord, il convient de préciser que ces Cahiers ne sont pas apologétiques. L’histoire des nationalistes, qu’ils soient français ou d’ailleurs, n’est pas exempte de critiques ou de remises en cause. Nous essayons de l’aborder les thèmes choisis avec le recul nécessaire tout en respectant le contexte qui était celui de l’époque. L’essentiel est de rétablir quelques vérités souvent cachées par nos détracteurs afin de rééquilibrer les choses.

Notre démarche s’adresse à tous. Mais il est bien évident qu’elle vise surtout ceux, en particulier les jeunes bien sûr, qui n’ont pas connu ces hommes ou ces événements.

Vous n'avez pas commencé la série par du "léger" puisque les trois premiers numéros sont consacrés dans l'ordre à Degrelle, Duprat et Doriot. Etait-ce une volonté de taper très fort dès le départ ?

C’est un peu le hasard qui a bien fait les choses. Il se trouve qu’avril 2014 correspondait au vingtième anniversaire de la disparition de Léon Degrelle. Nous voulions rendre hommage à ce combattant haut en couleur qui a tant marqué son époque. C’est pour cela que nous avons confié à Christophe Georgy, Président de l’Association des Amis de Léon Degrelle, le soin de concevoir ce premier numéro auquel a collaboré une douzaine de personnes qui ont connu le chef du mouvement rexiste ou étudié son histoire.

Le deuxième volume a été consacré à François Duprat et au nationalisme révolutionnaire. C’est évidemment à Alain Renault, ancien secrétaire général du FN et proche collaborateur de Duprat, que nous avons demandé de superviser ce numéro. Celui sur Doriot a été rédigé grâce aux documents inédits de Bernard-Henri Lejeune, ancien responsable du PPF qui avait publié un livre sur ce parti en 1977. Nous devons le quatrième volume sur le Parti des Forces nouvelles à Didier Lecerf, qui fut l’un de ses responsables au début des années 80. Le cinquième nous raconte la formidable épopée du Maréchal Mannerheim, sauveur de la Finlande face à l’Armée rouge. Le sixième revient sur la vie de celui qui fut le premier candidat national à une présidentielle de la cinquième République, Jean-Louis Tixier-Vignancour.

Vous présentez de grandes figures, pour autant allez-vous aussi consacrer des numéros à certains doctrinaires historiques du nationalisme tels que Barrès, Maurras ?

Pourquoi pas ?

Vous mêmes, dans quelle famille du nationalisme vous inscrivez-vous ?

Pour ma part, j’ai commencé à militer dans les années 70 au PFN et je suis toujours resté attaché à la ligne nationaliste et européenne de ce parti. Mais le contexte politique et géopolitique d’aujourd’hui n’est plus le même. Il faut en tenir compte. La fidélité en politique ce n’est pas de faire toujours la même chose mais de faire des choses qui vont toujours dans le même sens.

Un petit mot sur les numéros à venir ?

Un numéro sur la croix celtique, un autre sur l’histoire controversée du NSDAP, un sur Codréanu, un sur Georges Valois, un sur le nationalisme hongrois, un sur le péronisme… Ce ne sont pas les sujets qui manquent tant est riche notre histoire…

Les Cahiers d’Histoire du nationalisme (200 pages, 20 €, abn 6 numéros 110 €) Synthèse nationale 116 rue de Charenton 75012 Paris. En savoir plus : cliquez ici

356417948.jpgRéfléchir et Agir

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N°51 - 6,50 €

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La ville d'Orange rend hommage aux victimes du terrorisme islamique

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01:07 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |