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mercredi, 18 novembre 2015

Un Devoir d’amalgame ?

12196119_963571943714812_3042351476990763891_n.jpgDr Bernard Plouvier

"L'anarchie administrative et sociale est la préface ordinaire des révolutions et des dictatures"

Raymond Poincaré, 1906

Depuis plus de vingt ans, il ne se passe pas de mois sans qu’un pays d’Europe occidentale ne soit la victime d’un attentat islamique contre les biens ou les personnes, les djihadistes ayant pris le relais des assassins de la cause palestinienne des années 1970-90.

Les agressions physiques quotidiennes des Africains, noirs et maghrébins, à l’encontre des Blancs sont tellement nombreuses dans les cités françaises que seules les victimes y font attention et les témoins ne s’arrêtent même plus, d’autant qu’ils n’osent intervenir : les agresseurs frappent en meute. Les forces de police ne se donnent qu’exceptionnellement la peine de rechercher les coupables et refusent souvent d’enregistrer les plaintes, au prétexte que « cela ne sert à rien ». Effectivement, les racailles colorées peuvent racketter, frapper, incendier, voler et violer des « petits culs blancs » (des deux sexes, d’ailleurs) en état de quasi-impunité.  

Pourquoi s’en étonnerait-on ? Depuis les années 1970, la France a recueilli un nombre effarant d’immigrés d’origine extra-européenne, qui sont, pour la quasi-totalité des maghrébins et une écrasante majorité de noirs, des sectateurs d’Allah le tout-puissant, à défaut d’être encore le miséricordieux. Les ministres, grands quémandeurs de prêts, voire de donations, auprès de potentats islamiques, enrichis par les pétro-dollars, multiplient les lois qui ne protègent plus les honnêtes citoyens, mais minimisent les peines des criminels immigrés.

À l’occasion d’attentats terroristes, l’on exhibe devant micros et caméras quelques pitres du demi-monde de la politique bobo (droite molle, marécage centriste et gauche), divers « intellectuels », ainsi que quelques ulémas, qui, tous, viennent proclamer que « l’islam est une religion de paix » et qu’il ne faut pas commettre le nouveau « péché contre l’esprit » (par définition, impardonnable) : l’amalgame entre le musulman et le djihadiste (ou « salafiste », pour les plus savants commentateurs). Du muslim de base au recteur honoraire de grande mosquée, les rares fidèles de l’islam qui osent s’exprimer ainsi profèrent, consciemment, un énorme mensonge.

En effet, la lecture du Coran, censé avoir été dicté par l’archange Gabriel à monseigneur Mahomet, n’apporte guère d’eau au moulin des fidèles qui clament leur « indignation » de commande. Pour qui a quelque peu fréquenté ce livre, issu du Haut-Moyen-Âge, et lu quelques volumes de hadîths, il est évident que pour un authentique muslim (fidèle en la langue du prophète), la Terre se divise en deux parties et seulement deux parties : le Dâr al-Islam (la maison de l’islam) et le Dâr al-Harb (la maison de la guerre).

À l’exception des pays majoritairement musulmans d’Europe danubienne : Albanie, Kosovo, Bosnie-Herzégovine et Macédoine (faut-il rappeler que la Turquie n’est pas et n’a jamais été un « pays européen » ?), la France et les pays européens évolués sont situés dans la maison de la guerre sainte ou djihâd… à l’exception des cités de non-droit, qui font déjà partie du Dâr al-Islam, où imams et trafiquants de drogues et d’armes s’opposent ou concluent des alliances selon les moments.

Il ne pourra y avoir de paix sur Terre que lorsque tous les peuples seront des fidèles de l’islam ; c’est le fondement de cette religion. Les hasards de l’actualité font redécouvrir une évidence : l’islam est une religion mâle, dominatrice, conquérante, à l’imitation de son fondateur qui n’a jamais reculé devant le pillage de caravanes ni la commandite d’assassinats, qui a même institutionnalisé la guerre sainte.

Certes, sourates coraniques et hadîths ordonnent au muslim d’accomplir « le bien », d’être travailleur, modeste, véridique, frugal, honnête etc. Le bon muslim ne s’enivre pas plus qu’il ne commet l’adultère (il peut disposer de ses quatre épouses, quand il le souhaite, en plus de ses esclaves, cf. les sourates 4 et 33). Il doit faire l’aumône et accomplir le pèlerinage de La Mecque. Il n’y a rien à redire à toutes ces recommandations, en notant toutefois deux menus détails : la polygamie n’est pas plus une institution autorisée dans l’Europe moderne que l’esclavage.

D’autres sourates sont déjà moins agréables pour un Européen. On ne discute pas du Coran avec les infidèles (sourate 6) et l’on ne doit pas contracter de mariage avec un ou une infidèle (sourate 4). Le fidèle ne doit pas « contracter amitié avec le juif et le chrétien » (sourate 5). La femme doit être totalement soumise à l’homme, obéir à toutes ses exigences (sourates 4, 33). L’homosexualité doit être considérée comme une infamie (plusieurs sourates le précisent), ce qui est peut-être la stipulation la moins respectée des fidèles, si l’on considère le nombre de viols homosexuels dans notre beau pays. Selon la charî’a, le voleur doit avoir la main coupée (sourate 5)… après tout, pourquoi pas ?

Le gros problème est représenté par les très nombreuses sourates vantant la « guerre juste », la « guerre sainte », le Djihâd. Car le meilleur fidèle est celui qui meurt en combattant pour défendre ou propager l’islam (sourate 2).

Selon divers imams, ulémas et autre mollahs qui s’adressent à des Occidentaux, l’islam serait une religion d’amour mutuel. Cette affirmation n’est exacte (à condition, bien sûr, de faire l’impasse sur les haines opposant les membres de sectes rivales) que pour les relations entre fidèles et d’une façon aussi théorique que l’est la pratique de la charité par les chrétiens !

En revanche, l’islam est une religion de haine vengeresse envers les apostats et de haine conquérante envers les infidèles. Les premiers doivent être exterminés impitoyablement, selon la sourate 4, et bien des internautes ont pu visualiser sur leur canal préféré l’égorgement de musulmans apostats et d’autres infidèles, selon la technique usitée par les tueurs d’abattoirs pour obtenir la viande halal (la tête de la victime étant tournée vers La Mecque et l’égorgeur récitant des « paroles pieuses »). La seule nouveauté, brevetée « califat nouveau », est l’usage du couteau à céramique : on peut être un tueur djihadiste et apprécier les techniques des « chiens de l’Occident » (autre expression d’appellation contrôlée).

Par définition, le Djihâd est la guerre pour propager l’islam chez les infidèles (sourate 47) ou le défendre en cas d’agression (sourate 2). Dans la sourate 58, on relève cette forte phrase : «  Allah a dit : je donnerai la victoire à mes envoyés ». Dans les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60, 61 le Djihâd est présenté comme « bon et juste ». Pour déculpabiliser les rares guerriers qui seraient pris de scrupules d’ordre humaniste, le prophète a dit : « Ce n’est pas vous qui tuez les idolâtres, c’est Allah » (sourate 8, verset 17).

Le fidèle qui en est physiquement capable doit, en effet, obéir à un ordre aussi formel que simple : « Combats jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’idolâtre et qu’Allah soit partout adoré » (sourate 8, verset 40). « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah… tuez les idolâtres partout où vous les trouverez » (sourate 9). L’idolâtre est, bien sûr, le fidèle d’une autre religion ou l’athée.

Les guerriers de l’islam qui meurent au combat ou des suites de leurs blessures sont assurés d’être reçus par Allah en son paradis, quel qu’ait été leur comportement terrestre (sourate 47). Ils ne doivent être ni pleurés, ni regrettés : ce sont des héros qui désormais vivent auprès d’Allah (in sourates 2, 3, 10 et 47). L’homme idéal selon l’islam est, quoi que puissent en dire les imams, ulémas et autres recteurs de mosquées chargés d’anesthésier les populations occidentales, le guerrier d’Allah et non le digne père de famille œuvrant pour nourrir sa famille et améliorer la société. Un hadîth le proclame : « Le sang du héros de l’islam est plus près d’Allah que l’encre des sages ou les prières des fidèles ».

L’infidèle qui s’oppose au Djihâd doit être tué (sourate 47) et sa famille dépouillée de ses biens et réduite en esclavage (sourates 8 et 47). « Quiconque montre de la bienveillance envers un infidèle combattant l’islam est injuste » (sourate 60, verset 9). La véritable paix ne pourra s’établir sur Terre que lorsque tous les humains adoreront Allah et pratiqueront son culte (sourate 47). Dès que les États islamiques sont en position de force, ils doivent proclamer le Djihâd pour convertir qui veut l’être, exterminer ou réduire en esclavage qui refuse.

En résumé, il n’est pas vrai que l’islam soit pacifique par essence, encore moins qu’il soit une religion tolérante, comme certains voudraient nous le faire croire. Il n’est pas faux d’écrire que, depuis le début de l’ère mondialiste et la diffusion des vidéos sur le Net, le Coran est devenu une arme de destruction massive.

Durant les siècles précédents, plutôt que de les tuer, les maîtres de certains pays islamiques (singulièrement ceux de l’Empire ottoman) avaient trouvé plus profitable de laisser en semi-liberté des infidèles, pressurés d’impôts spéciaux, désarmés, publiquement humiliés et méprisés, totalement dépourvus de droits civiques : les dhimmis. Est-on assuré que cette mansuétude sera de mise en France (ou en d’autres pays européens) quand, par le mécanisme démocratique de la loi du nombre, une substitution de population majoritaire aura fait de nos pays des États islamiques ?

Il existe de par le monde 1,3 milliard de musulmans soit un peu plus du cinquième de la population de la planète. La France renferme plus de musulmans que les quatre États musulmans d’Europe danubienne cités plus haut.

Ce ne sont pas les discours pleurnichards des politiciens et des pitres des media de la société mondialiste qui arrêteront les fous de dieu dans leur délire homicide, pas plus que les milliards d’euros, si mal dépensés dans les banlieues et les cités de non-droit, n’empêchent les émeutes.

Il est urgent, pour les Français de souche européenne comme pour tous les Européens autochtones, de lire le Coran, de s’imprégner de ses commandements (et pas seulement de ceux qui préconisent la bonté… entre fidèles). Car, pour n’importe quel lecteur du coran, il est évident que l’amalgame peut et DOIT être fait entre le muslim en bon état physique et le djihadiste : ce n’est pas une rêverie de raciste, mais un constat d’évidence !

Il serait temps de bien connaître cette religion mâle et conquérante, ne serait-ce que pour moins mal voter ou, rêve insensé s’agissant d’une « nation de veaux », pour créer des milices d’autoprotection, dans le cadre d’une authentique « démarche citoyenne », puisque même les policiers, surmenés à force de verbaliser les automobilistes, semblent dépassés par les événements… sans compter que les forces armées dites françaises, celles de gendarmerie et de police, renferment entre 15 et 20 % de musulmans selon les armes et les régions.

En 1914 et en 1939, la guerre entre Européens était proprement suicidaire. De nos jours, il est devenu évident que s’impose un Devoir d’insurrection, à l’encontre d’un pouvoir veule et laxiste, inepte et profondément corrompu, uniquement préoccupé d’échéances électorales pour conserver les sinécures dorées de la République. Il est urgent qu’un authentique Pouvoir, orienté vers le Bien commun, protège enfin les Français de souche de la barbarie inutilement importée.

12:38 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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