samedi, 30 avril 2016
La Syrie a besoin de votre aide :
Collecte organisée par le Rassemblement
des Communautés syriennes de France
Les Syriens continuent à résister face au terrorisme aveugle orchestré de l'extérieur mais, malheureusement, ils paient très cher cette résistance.
Encore une fois, nous faisons appel à votre générosité et à votre sens de la solidarité pour aider nos compatriotes qui ont un besoin absolu et vital de médicaments : des antalgiques/analgésiques, des anti-inflammatoires, des antibiotiques, de la cortisone, tout type de traitement du diabète, de l’asthme, de l’hypertension et des maladies cardio-vasculaires.
Ils ont également besoin de tous matériels de soins tels que pansements, bandes de contention, sparadraps etc
Faites le tri dans vos pharmacies, vérifiez les dates de péremption et donnez ce qui ne vous sert plus mais qui peut aider à soulager des souffrances ou à soigner des blessures.
Merci de prendre contact avec l’équipe au 06 05 60 56 79 pour connaître l’adresse de dépôt.
23:46 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
A midi sur Radio Courtoisie : hommage à Jean Mabire
Ce samedi midi, le libre journal des lycéens de Pascal Lassalle (12 h - 13 h 30) est consacré à Jean Mabire.
Seront présents : Philippe Randa, Francis Bergeron et Eric Lefèvre qui ont contribué à la rédaction du Cahier d'Histoire du nationalisme n°9.
Ecoutez Radio Courtoisie cliquez là
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vendredi, 29 avril 2016
Bistro Libertés avec Francis Bergeron
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En Syrie, les chrétiennes se battent les armes à la main contre les terroristes islamistes....
Regardez ces femmes chrétiennes syriennes courageuses. Admirables, elles se battent contre les djihadistes et protègent leurs villages le fusil à la main.
Pendant ce temps, des centaines de milliers d’hommes fuient lâchement leur pays, abandonnent leur famille, dans le seul but de vivre tranquillement aux crochets de l’Europe et des Européens.
Source Médias presse info cliquez ici
Pour bien comprendre la situation en Syrie :
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19:02 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Manifestants ou organisateurs du désordre public ?
Dr Bernard Plouvier
Tous les Français – sauf les sourds et les aveugles, réels ou volontaires - savent que, depuis les années 1980, chaque manifestation générée par un mouvement social est quasi-automatiquement transformée en mini-émeute par les jeunes casseurs des banlieues, bien typés ethniquement : pillages, destructions de biens privés ou publics, incendies variés, affrontements violents avec policiers et pompiers.
Certes ! Mais depuis le début de cette année 2016, probablement tenus en laisse par les mollahs et narcotrafiquants de quartiers – eux-mêmes sensibles à certains ordres venus de « l’islamo-étranger » -, les racailles de banlieues restent à l’écart des grèves et des manifestations (à l’exception bien sûr des fééries calaisiennes, où ils sont chez eux et entre eux et de la réaction aux défilés des anti-immigrés).
De fait, les rares manifestations de patriotes opposés à l’immigration, dénommés « fascistes » par la presse bien-pensante, sont d’un calme surprenant, du moins tant que les nervis des groupes gauchistes et trotskistes, ou des contre-manifestants islamistes associés à des bobos en principe français, ne viennent perturber leurs défilés peu achalandés… et la police sait sur qui il faut taper et sur qui il faut éviter de le faire.
Les manifestants de la contestation syndicale classique (Air France ; intermittents du spectacle ; foules ameutées par les syndicats pour grogner contre la Loi révisant le Code du travail, etc.) et les potaches du très curieux mouvement Nuit debout-gouvernement couché-spectateurs assis (ravis ou ébahis devant leur téléviseur) prouvent qu’il n’est plus besoin, en France Hollando-Vallsienne, de casseurs exotiques pour se comporter en purs voyous.
On s’attaque aux forces de l’ordre (sauf à pouvoir s’attaquer à des cadres de direction, moins bien préparés à l’auto-défense que nos honorables policiers), on casse indifféremment du matériel public ou privé, on brûle des voitures, on pratique le sectarisme le plus outrancier : certains chassent de l’académicien juif, d’autres du Blanc, d’autres encore de l’hétérosexuel… et tous y vont de leurs slogans marxistes & anarchistes, parfois curieusement confondus.
Le ridicule n’ayant – en dépit du proverbe – jamais tué personne, nos étudiants et lycéens usent et abusent de tout ce qui ferait rougir de honte un humaniste… et certains vont plancher en fin d’année scolaire sur un sujet de philosophie ! Pas de panique : étant donnés le contexte préélectoral, l’impopularité effarante du gouvernement et du chef de l’État, la haine socialiste pour l’élitisme, le cru 2016 du Bac avoisinera les 99,9% de reçus.
Le grand acquis de cette merveilleuse année 2016 - où le chômage décroît (par transfert habile d’individus de la catégorie A aux deux suivantes, et par un usage plus habile encore, hélas plus coûteux, des stages de formation), où « la France va mieux » (c’est notre plantureux Président qui l’affirme, qui ne saurait ni se tromper ni nous tromper), où les islamo-terroristes ont reçu l’ordre de se calmer au moins jusqu’aux prochaines présidentielles – est que nos manifestants gaucho-bobos n’ont plus de leçon de vandalisme et de guérilla urbaine à recevoir des immigrés turbulents.
Ce sera, sans nul doute, la marque, la griffe de la présidence hollandienne.
14:30 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LA RUSSIE, UN AUTRE POUMON POUR L’EUROPE
Les carnets de voyages de Jean-Claude Rolinat
L’Europe ne sait pas où elle va, ballotée par des courants contraires. Certains de ses membres comme le Royaume Uni, lorgnent vers le grand large, d’autres s’alignent sur Washington tandis que ceux qui sont membres du groupe de Višegrad (1), sont plus que récalcitrants à absorber les torrents de réfugiés et d’immigrés clandestins qui déferlent.
La Russie est le plus grand pays du monde, juste devant le Canada. Toutes ses richesses minérales potentielles sont loin d’avoir été recensées et encore moins exploitées. Entre ses vastes cités, de Moscou à Vladivostok en passant par Novossibirsk, Volgograd ou Kazan, de vastes espaces ne demandent qu’à être colonisés, des routes améliorées ou construites, des voies ferrées réinstallées. Depuis la stabilisation politique de l’ère Poutine – homme d’Etat détesté ou raillé par les medias occidentaux, c’est selon, mais plutôt apprécié dans son pays même, et particulièrement à Saint-Pétersbourg ville dont il fut l’adjoint au Maire - une classe moyenne a émergé. Comme tous les Russes en ce moment, elle souffre d’une crise économique qui a poussé l’an dernier la Banque fédérale a acheter 208 tonnes d’or, portant ses réserves à – excusez du peu ! – 1 437 tonnes. En janvier 2016, elle a poursuivi son marché dépensant 800 millions de dollars pour en acquérir 22 supplémentaires. La Russie est désormais le 6e pays détenteur de stocks d’or derrière les USA et leurs gigantesques 8 000 tonnes, l’Allemagne, l’Italie, la France et la Chine. Le Kremlin n’aurait-il plus confiance en la monnaie papier de réserve, les lointains souvenirs des emprunts russes hantant la mémoire des apparatchiks du ministère des finances ?
11:00 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
1er Mai : les Européens honorent la Fête du Travail
10:26 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 28 avril 2016
Les Brigandes répondent à leurs accusateurs gauchistes et autres
Au mois d'octobre dernier Synthèse nationale avait invité Les Brigandes à se produire sur scène lors de la 9e Journée nationaliste et identitaire qui se déroulait à Rungis. Depuis deux ans nous avons en effet décidé de terminer nos journées annuelles par un concert. En 2014, ce fut le cas de Dr Merlin et Northmen Impact et en 2015 des Brigandes. On peut aimer ou ne pas aimer ces chanteurs, mais personne n'est obligé d'assister à leurs prestations. Ce qui nous intéresse, c'est leur engagement dans le combat contre le mondialisme qui est le même que le nôtre.
Depuis quelques semaines une campagne de dénigrement inspirée par quelques personnes aux motivations bien éloignées des nôtres a été amplifiée par le site gauchiste intitulé La Horde, et reprise par l'hebdomadaire mondialiste Le Point, contre Les Brigandes. Synthèse nationale étant considérée par La Horde cliquez ici comme un tremplin qui aurait permis à celles-ci de se faire connaitre (CQFD). Une telle affirmation aurait plutôt tendance à nous flatter mais il se trouve que ces jeunes artistes ne nous ont pas attendus pour percer, en particulier sur les réseaux sociaux de la mouvance non-conformiste. Ce qui est regrettable, c'est que les accusations des gauchistes soient reprises par certains média nationalistes d'habitude mieux avisés.
Quoiqu'il en soit, tout le monde peu se laisser abuser, y compris les journalistes de la presse libre. Afin de mettre fin à cette polémique stérile, nous publions ici le communiqué des Brigandes qui éclairera sans doute nos amis sur le fond de cette affaire.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Communiqué du secrétariat des Brigandes :
Le qualificatif de secte ayant été apposé à l’image des Brigandes, les faits rapportés par les accusateurs constituent une cabale orchestrée par des gauchistes satanistes en vue de détruire la réputation de notre groupe dans les milieux de la Droite Nationale. Une femme nommée Annick Lovinfosse qui a déjà tenté de nuire en nous accusant d’être un « groupe néo-nazi » et qui s’est rétractée devant la police, a récidivé en montant un scénario de « gourou et de secte » par dépit amoureux comme elle l’a avoué dans une lettre de rétractation : « L’état pathologique où je me trouvais alors (dépression et violent ressentiment affectif lié au rejet amoureux d’un musicien du groupe) m’ont amené à un véritable désir de vengeance envers tous les auteurs ou spectateurs de mon drame personnel, j’ai alors mêlé la C.A.F. à mon délire de persécution et dénoncer des choses dont je ne sais en réalité rien, ou déformées ces choses par mon désir de nuire à ces personnes… » (copie de l’original disponible au secrétariat des Brigandes).
Cette personne est mobilisée par une haine farouche des idées nationalistes. Ayant été formée idéologiquement au sein des Jeunesses communistes révolutionnaires, elle appartient à présent à une organisation mondialiste centrée à Tal Aviv, dirigée par Delia Steinberg au plan international, et les sionistes Fernand Schwarz et Thierry Adda au plan national. (La Nouvelle Acropole, citée comme secte occultiste dans le rapport parlementaire sur les sectes de 1995).
Cette musicienne retraitée, jalouse d’avoir été évincée de notre réseau par des jeunes femmes, et inapte à chanter dans notre formation, cherche depuis des années à nous décrédibiliser. Pour ce faire, elle a réuni quelques accointances ayant participé à un collectif d’artistes bien avant que les Brigandes soient réunies et qu’elles ne connaissent même pas. Ces gauchiste furent repoussés par opposition idéologique. L’un d’eux est le chanteur Jean-Luc de Meyer du groupe électronique Front 242 considéré comme une référence musicale de la sphère sataniste par Marilyn Manson.
Quant au personnage cité comme « le gourou des Brigandes », il s’agit d’un ami retraité, fin connaisseur de la chanson et de la musique populaire et qui nous a aidé à nous structurer musicalement et financièrement. Ses idées originales façon new age ne regardent que lui et ne sont pas les nôtres. Mais, issu d’une famille proche de l’Action Française, sa sincérité patriotique est totale, autant que sa virulence antimondialiste, d’où la haine qu’il suscite chez les gauchistes qui l’ont approché et qui se sont constitués en bande organisée pour le diffamer pour mieux nous atteindre, comme au billard français.
Les détails sur cette affaire sont disponibles auprès d’Antoine, secrétaire des Brigandes qui fournira pièces et preuves contradictoires permettant d’anéantir les accusations des « témoins » à charge en précisant la source politique de l’attaque. A vu de leur position unique dans la chanson contestataire antimondialiste, les Brigandes sont soumises à une très forte pression. Elles voudraient que l’on juge l’arbre à ses fruits car les attaques de tous bords ne manqueront pas.
La lettre de rétractation de l'accusatrice : cliquez ici
19:00 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jean Raspail : « Il n’y aura pas de solution sans force ! »
Source Boulevard Voltaire cliquez ici
10:39 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les charmes vénéneux de la double appartenance
Dr Bernard Plouvier
Tout le monde a entendu parler de cette triste maladie dénommée schizophrénie où, parmi bien d’autres symptômes, le patient développe un dédoublement de la personnalité. Depuis la plus haute Antiquité, bien des gens ont été tentés par ce que l’on appelle, faute de mieux, une double vie.
Cette dualité d’allégeances ou d’appartenances est très différente de la succession, somme toute naturelle, d’avis et de comportements différents, voire opposés, au cours d’une même existence. Chacun a pu voir que, depuis les années 1990, une majorité d’ex-communistes réputés purs et durs se sont admirablement adaptés aux joies de l’hyperconsommation, dans notre monde d’économie globale (donc de production délocalisée pour obtenir de moindres coûts de fabrication) et d’uniformisation de la propagande (sur un mode à la fois gnangnan et consumériste).
Seules quelques Nations réfractaires à la pensée unique au sein du grand village mondial admettent encore la phrase qui, selon Platon, définissait la vie politique : « Chacun doit avoir mêmes amis et mêmes ennemis que ceux de l’État » (in Les Lois).
Cinq siècles plus tard, Jésus de Nazareth était déjà plus ambigu. Certes, il affirmait : « Nul ne peut servir deux maîtres à la fois : Dieu et Mammon ». Mais en une autre occasion, il reconnaissait la dualité de tout homme, à la fois fidèle d’une religion et citoyen d’un État : « Rendez à César ce qui revient à César et à Dieu ce qui revient à Dieu »… en l’occurrence, il ne s’agissait que de s’acquitter de l’impôt, ce qui fut toujours ressenti comme une douloureuse corvée, alors que l’impôt était, au moins en principe, une source d’infrastructures indispensables à la vie organisée.
Depuis le XVIIIe siècle, se sont répandues en Europe des idées cosmopolites, résumées en une alternative proposée par Diderot : « Vaut-il mieux éclairer l’humanité qui durera toujours ou sauver et organiser une patrie qui doit finir ? ». C’était l’archétype du faux problème, puisque l’humanité n’était alors formée que de la juxtaposition de patries… du moins jusqu’à ce que la propagande mondialiste impose ce dogme : il n’existe ni races, ni patries ou nations, mais une seule humanité.
Pourtant, dans ce monde globalo-mondialisé (de façon artificielle et, a priori, fort transitoire) prospère la très curieuse notion de double nationalité… si le titulaire est en plus un croyant fanatique ou un membre d’une secte multinationale (appartenant, entre autres exemples possibles, à la Franc-maçonnerie ou à un réseau mondialiste), cela fait une triple allégeance et l’on peut multiplier ainsi les appartenances.
Lorsque l’on a accumulé l’expérience de plusieurs décennies de vie sociale et professionnelle, l’on sait que les joies d’une double vie (familiale, professionnelle, politique, syndicale etc.) sont très largement inférieures aux charges, ennuis divers et petits drames qu’elle entraîne.
Et cela n’est rien en comparaison de la dichotomie éthique… pour faire plus simple : des conséquences morales induites par deux attachements intensément vécus, d’ordre affectif, intellectuel et/ou spirituel.
Un joli dicton viennois (prouvant que l’Autrichien n’est finalement pas si éloigné du Prussien, quoi qu’il affirme) prétend que : « La fidélité, c’est de ne pas avoir de second maître ». Chacun est libre de le méditer et de l’interpréter à sa guise.
Vivre, c’est faire preuve de libre-arbitre : vivre, c’est donc choisir. L’être humain étant seul, sur cette planète, doté de transcendance, se doit de choisir sans être obligé de se sentir diminué, humilié, meurtri par ses choix.
Il est évident que dans les années à venir tous les Européens doués de sens éthique devront faire un choix essentiel entre le consumérisme excessif (et à crédit), couplé à des sentiments et des actes tiers-mondistes, et le retour à l’indépendance européenne, politique, économique, ethnique… bref, le retour à ce que l’on connaissait avant la féérie globalo-mondialiste.
10:26 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sacrées Brigandes !
Thierry Bouzard*
Apparues en 2014, le groupe de chanteuses s’est assez rapidement fait un nom dans la dissidence. Présentées par moi dans Rivarol et Synthèse nationale, je les avais fait venir pour leur premier concert en octobre dernier à Rungis lors de la journée annuelle de Synthèse nationale. Elles étaient annoncées le 8 mai prochain avant le défilé de Civitas, mais elles ont été décommandées suite à l’article (controversé) que leur consacre Rivarol de cette semaine. Elles appartiendraient, si l'on en croit cet article, à une secte démoniaque cornaquée par un gourou franc-maçon… Loin de moi l’idée de promouvoir les frères trois points, leurs pompes et leurs œuvres, mais il ne faut pas confondre les chansons et les chanteuses. D'une manière générale, l’homosexualité de l’un, les drogues de l’autre, l’affiliation à une secte ou une autre, les artistes — comme les hommes politiques — ne sont pas toujours des modèles même si on tente de nous les présenter comme tels. Leur vie privée les regarde, mais leurs chansons nous concernent.
Les Brigandes ont su attirer l’attention des milieux anticonformistes par des chansons engagées mises en scène dans des vidéos qui sont incontestablement du travail de pro. En retour, une certaine audience avec des scores de 50 000 vues en moyenne sur Youtube et des pointes à 170 000, ce qui est honorable sans être extraordinaire. Elles font quasiment jeu égal avec le chœur Montjoie. In Memoriam les dépasse un peu et elles sont devant FTP, mais encore loin du rappeur Kro Blanc qui fait des pointes à près de 400 000 vues, et encore plus loin de Jean-Pax Mefret qui, lui, chatouille souvent les 500 000.
L’affaire a été lancée par La Horde en octobre 2015 et relayée par un article du Point en février dernier. Le premier est un site antifa spécialisé dans la délationite aiguë de tout ce qui peut se faire dans la dissidence, le second héberge dans ses colonnes BHL, c’est dire comme il défend la culture française.
Car il s’agit bien du lien culturel. La jeunesse a déserté depuis longtemps les meetings politiques. Suivant les directives de Jdanov, le ministre de la Culture de Staline, les communistes ont été des précurseurs dans la prise de contrôle des artistes, les "compagnons de route", le terme de l’époque pour ne pas dire "collabo". Le meilleur exemple est la Fête de l’Huma. La grande majorité des jeunes qui venait écouter les grandes vedettes nationales et internationales ne votait pas forcément communiste, mais elle supportait sans broncher les discours des politiques avant le concert. Et ces grands concerts ne servent à rien d’autre qu’à passer des menottes culturelles à la jeunesse. Le torrent d’émotions collectives partagé lors de ces événements crée de puissants liens affectifs qui verrouillent les esprits dans une ambiance idéologique insidieuse. Elle est entretenue par les artistes qui interviennent au signal de leurs commanditaires pour rappeler pour qui va leur sympathie ou pour qui il ne faut pas voter. Cette technique bien rodée permet l’encadrement de toute la production musicale. Les concerts, grands et petits, fonctionnent avec des autorisations et des subventions, c’est-à-dire le feu vert des politiques. Outil d’expression à la portée de chacun, le monde de la musique est entièrement sous contrôle, verrouillé, cadenassé. Il suffit de rappeler le torrent d’indignations médiatiques après le concert de Fréjus en juillet dernier pour la prestation du groupe identitaire In Memoriam en ouverture de La Souris Déglinguée, ou les groupes dissidents condamnés à organiser des concerts clandestins pour contourner les annulations.
De par son origine, la dénonciation des Brigandes s’inscrit dans ce climat de persécutions systématiques déjà rencontré par tous les chanteurs de la dissidence, que ce soit ceux des déportés de l’Algérie française, les groupes du courant skinhead et puis ceux du rock identitaire. On entretient la population dans l’illusion que chacun peut écouter la musique qui lui plait, mais en réalité on écoute la musique que l’on nous fait entendre. Longtemps les maisons de disques, les radios et la télévision ont imposé leurs modes commerciales et l’arrivée d’internet n’a pas fondamentalement changé la donne. Si les maisons d’édition et les circuits de distribution se sont effondrés, l’organisation de concerts reste soigneusement sous contrôle. Or le CD ne se vend plus et aucun support alternatif n’est venu apporter un flux financier en rétribution de l’investissement des artistes : pourquoi payer ce que l’on trouve gratuitement en ligne ? Seule source de revenu subsistante, les concerts. L’aspect financier est essentiel car l’équation est simple, sans concert par de revenus, donc pas de répétitions, de moyens de déplacement ni d’organisation. La création est asséchée et l’exploitation du lien collectif créé par la musique est réservée à ceux qui détruisent l’identité de la communauté nationale française comme de l’identité européenne.
Dans ce contexte, s’il n’est pas indifférent de savoir comment fonctionnent les Brigandes, en revanche il est essentiel de savoir tirer un profit culturel de cet outil de communication. Les chiens de garde du système ne s’y sont pas trompés en les jetant en pâture, elles sont un réel danger, non pas pour la dissidence qui en a vu d’autres, mais pour son monopole culturel.
* Thierry Bouzard est chroniqueur musical au quotidien Présent. Il est l'organisateur des concerts lors des Journées nationalistes et identitaires de Synthèse nationale et il est l'auteur de Des Chansons contre la pensée unique, édition des cimes, 332 pages, 2014.
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Chronique de la France asservie et combattante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3231 du 14 avril 2016
FRANÇOIS Hollande sait que les carottes sont cuites, mais il n’en continue pas moins de pratiquer son humour. Sans doute se retrouve-t-il dans cette pensée de Boris Vian : « L’humour, c’est la politesse du désespoir ». L’Obs raconte que lors d’un récent déjeuner avec des écrivains, François Hollande aurait répondu sur le ton de la blague aux inquiétudes de Julia Cagé quant à la possibilité de voir le scénario de 2002 se reproduire en 2017. « Ne vous inquiétez pas, je ne crois pas que Jospin et Chirac aient l’intention de se représenter », lui aurait-il lâché. Reconnaissons-lui un certain sens de l’humour. L’été dernier, pendant le dîner annuel de la presse présidentielle, le locataire de l’Elysée avait plaisanté sur l’incompréhension qui domine selon lui entre l’électorat en général et les politiques. « Les électeurs votent même quand ils ne comprennent pas. Et quand ils votent, on ne les comprend pas toujours », avait-il déclaré… Mais cela pourrait être du Maurras !
LE CHANTEUR RENAUD : LES GÈNES, EUX, NE MENTENT PAS !
Renaud est ce chanteur populaire, anarchiste, de gauche et même davantage. Enfin, il l’était. Car il sème la consternation dans le Landerneau, stupéfie Saint-Germain-des-Prés, horrifie les sympathisants de gauche… Renaud vote désormais à droite ! Il l’a dit clairement ces derniers jours dans plusieurs interviews : « Plus jamais je ne voterai socialiste ! » clame-t-il dans Sud-Ouest. « La politique, entre guillemets de gauche, de ce gouvernement me débecte profondément », lâche-t-il dans Le Parisien. Cet ancien soixante-huitard des barricades, admirateur de Mitterrand, qui a toujours dénoncé le pouvoir, l’argent, les gradés, l’injustice et l’ordre établi rejoint le camp de la Réaction… On aura tout vu. Mélenchon s’en étrangle d’indignation, déclarant : « Quand on est Renaud, on ne vote pas Fillon ! » Nul doute que Renaud ne fera pas de vieux os à Charlie Hebdo où il signe à nouveau une rubrique. Dans une interview au quotidien belge Le Soir, Renaud est interrogé sur François Hollande, Manuel Valls et Emmanuel Macron. Réponse humaniste du chanteur : « Ce sont de grands naïfs, de grands imbéciles ou de grands criminels. Je ne le sais pas encore mais de grands incapables en tout cas. »
Bon, ceci dit, rassurons-nous, il n’a pas viré cependant à l’extrême-droite. « Entre la droite et l’extrême-droite, je voterais à droite », déclare-t-il. Et celui qui avait fréquenté assidûment les « Amitiés franco-chinoises » et créé un « Comité Viet-Nam » dans son lycée, ajoute : « Sauf Sarkozy, là j’irais pêcher à la ligne ». Renaud, qui se présente comme un anarchiste prolétarien, porte cependant en lui quelques gènes nauséabonds. Explication : Il est né dans une famille parfaitement bourgeoise. Son père, Olivier, issu d’une famille protestante des Cévennes, était professeur d’allemand et de néerlandais, traducteur et auteur de romans policiers et de livres pour enfants. Il a reçu le prix des Deux Magots en 1942 pour Les corps ont soif et a travaillé pendant la Seconde Guerre mondiale à Radio Paris comme traducteur.. Autant dire qu’il avait été ciblé ‘collabo. Son grand-père maternel, Oscar, mineur après avoir quitté l’école à l’âge de 13 ans, fut d’abord membre du Parti communiste, puis le quitta en 1937, déçu après un voyage en Union soviétique en 1932. Il rejoignit ensuite le Parti populaire français de Jacques Doriot, et fit un an de prison à la Libération pour faits de collaboration. Renaud ne fera jamais son service militaire : il est exempté ayant eu un demi-frère décédé lors des bombardements anglo-américains de la Seconde Guerre mondiale…
MARION-MARÉCHAL LE PEN SERA PRÉSENTE AU RENDEZ-VOUS DE BÉZIERS
C’est Novopress et L’Express qui nous en informent : Marion Maréchal-Le Pen a répondu favorablement à l’invitation de Robert Ménard qui fera de Béziers, fin mai, la capitale de la droite française. Elle sera présente au Rendez-Vous organisé dans sa ville par Ménard. Ces trois jours (les 27, 28 et 29 mai) ont pour objectif, a expliqué l’ancien président de Reporters sans frontières, de déterminer ce qui, « à droite, nous réunit », de voir « ce que les électeurs du Front national comme ceux des Républicains ont en commun » et de « bâtir le programme de salut public » sur lequel « l’ensemble des candidats de droite devraient se mettre d’accord ». Robert Ménard avait assisté au séminaire du FN mariniste, et cela ne s’était pas bien passé (voir mes précédentes chroniques). Marion-Maréchal Le Pen se rend-elle à Béziers avec l’aval de sa tante ou s’agit-il d’une démarche personnelle ? On voit mal Marine Le Pen et Philippot accepter des initiatives qu’ils ne contrôleraient pas. Nous verrons bien la suite des opérations.
ERIC ZEMMOUR : “QUAND JE VOIS SOROS QUELQUE PART, JE ME MÉFIE…”
Tous les lecteurs de RIVAROL connaissent George Soros, ce trafiquant financier juif qui a fait une immense fortune en spéculant contre la livre sterling. C’est aussi lui qui finance massivement toutes les organisations qui ont pour but, en Europe, en Russie, d’affaiblir les défenses immunitaires de nos peuples au profit de la finance apatride et vagabonde. Eric Zemmour, qui est décidément lucide, vient de déclarer : « C’est Soros qui était déjà là pour financer les révolutions orange […] c’est lui qui finance également l’immigration à tout-va dans les pays d’Europe […] », ajoutant : « Quand je vois Soros quelque part, je me méfie ».
PRIMAIRES À DROITE : LA CAGE AUX FOLLES
La primaire de la droite compte désormais 12 candidatures, dont Alain Juppé, François Fillon, Bruno Le Maire, Nathalie Kosciusko-Morizet ou encore Jean-François Copé et Nadine Morano et Geoffroy Didier. Nicolas Sarkozy pourrait se déclarer cet été. Michèle Alliot-Marie, qui vient de lancer un nouveau parti politique, pourrait également se porter candidate. Ce n’est pas forcément une tâche facile. Ils doivent rassembler avant septembre les parrainages nécessaires (2.500 adhérents LR, 250 élus dont 20 parlementaires). Le dernier à avoir annoncé sa candidature est le député Les Républicains des Yvelines Jacques Myard, 68 ans, qui se définit comme « gaulliste depuis toujours ». Au demeurant, ce n’est pas le pire, car il a fait montre d’un certain courage en se rendant en Syrie, où il a rencontré le président Assad, suscitant la fureur de Fabius… Il n’est certes pas d’une finesse absolue, et d’aucuns ont pu le comparer à Donald Trump, à l’image du quotidien Aujourd’hui, qui titre « Le Donald Trump français, c’est lui ! ». A une journaliste croisée dans la salle des quatre colonnes, à l’Assemblée, il avait lancé un jour : « Vous faites le tapin ? »
ILS SONT MÉCHANTS AVEC SARKOZY…
Les méchants sont méchants avec Sarkozy, qui, paraît-il, fait un peu plus jeune que son âge. L’ancien président est moqué par des proches d’Alain Juppé pour son utilisation probable du laser et autres techniques pour avoir une mine avenante. On lit ces informations passionnantes dans le livre de la journaliste Gaël Tchakaloff, Lapins et Merveilles. Sarkozy est soupçonné d’avoir recours, si ce n’est à la chirurgie esthétique, du moins au laser et à d’autres techniques qui donnent bonne mine. Il a mis les choses au point en déclarant : « Je ne considère pas comme de la chirurgie esthétique le fait de se faire stimuler le collagène naturel par un laser. Ça donne bonne mine ».
UNE MOSQUÉE CLANDESTINE À LA MAISON CENTRALE DE L’ÎLE DE RÉ !
En novembre 2015, Olivier Falorni, député non inscrit de Charente-Maritime (ex-PS, c’est lui qui avait planté Ségolène Royal), membre de la commission d’enquête sur les filières djihadistes, avait visité la maison centrale de l’île de Ré. Il avait alors découvert qu’un baraquement préfabriqué, pudiquement ou ironiquement appelé “casino”, abritait en fait une « mosquée salafiste clandestine », un « centre de formation pour apprentis djihadistes à l’attention de détenus condamnés à de très lourdes peines », selon ses propres mots. Plutôt obstiné et courageux, il avait alors écrit au ministre de la Justice de l’époque, Christiane Taubira, pour lui demander la destruction de ces préfabriqués. Il avait envoyé une question écrite au ministre et l’avait interpellé à l’Assemblée, le 13 octobre 2015. « Nos prisons ne peuvent pas, ne doivent pas être des pépinières à djihadistes, car c’est la sécurité de tous les Français qui est en jeu », avait-il dit. Taubira fit une réponse surréaliste, expliquant que des crédits avaient été débloqués pour construire de nouveaux bâtiments, ce qui permettra de détruire ces préfabriqués qui servent de mosquée. Un an après, rien n’a changé. La mosquée est toujours là. Les préfabriqués aussi…
L’“ÉVÊQUE” DE PONTOISE NE “SAURAIT PAS DIRE” SI LA PÉDOPHILIE EST UN PÉCHÉ
Stanislas Lalanne, “évêque” de Pontoise, est un oiseau assez exceptionnel. Pour lui, la pédophilie est « un mal » mais il ne « saurait pas dire si c’est un péché ». Voici ses propos qui ont évidemment violemment heurté (et on les comprend !) les victimes de clercs pédophiles : « La pédophilie est un mal. Est-ce que c’est de l’ordre du péché ? Ça, je ne saurai pas dire, c’est différent pour chaque personne. Mais c’est un mal et la première chose à faire c’est de protéger les victimes ou les éventuelles victimes », a-t-il déclaré mardi sur RCF, réseau de 63 radios chrétiennes francophones. Il intervenait dans le cadre d’une émission consacrée à « L’Église de France face à la pédophilie ». Devant les réactions peu amènes des auditeurs, il s’est senti obligé de préciser sa pensée, tout en s’enfonçant davantage : « C’est un mal profond. Les choses sont très, très claires. Est-ce que c’est péché ou pas ? Je ne sais pas et ça peut être différent suivant chacun. Donc on ne peut pas généraliser », a-t-il ajouté. Et puis, cette forte considération : « La difficulté, c’est quelle conscience la personne a de ce mal ? Comment elle s’en sent responsable ? […] Quand on commet un péché, on a conscience qu’on blesse la relation à l’autre et qu’en blessant la relation à l’autre, on blesse la relation avec Dieu », explique-t-il. « On est dans l’ordre du péché mais est-ce que cet homme est pécheur au sens strict du terme ? Je ne peux pas le dire, à chaque fois, on ne peut pas parler de façon générale », a conclu Stanislas Lalanne. Quel charabia ! Le moins que l’on puisse dire, c’est que ces “évêques” conciliaires ne sont pas très clairs sur la question, ce qui est tout sauf rassurant. En attendant, il a fallu que ce fût le ministre socialiste d’origine marocaine, Najat Vallaud-Belkacem, qui secouât cet imbécile de haut vol, en déclarant « Je lui demande de lever tout ambiguïté. Je pense que c’est absolument indispensable pour les familles, pour le message envoyé à la société, et je pense qu’il aura l’occasion de le faire ».
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler.
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A l'attention de nos lecteurs de l'Aisne :
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mercredi, 27 avril 2016
François le catholique et Finis Europae
Dr Bernard Plouvier
Une question se pose à qui a un peu fréquenté l’histoire des événements et des idées : pourquoi s’en prendre à ce pape d’un genre nouveau ? Après tout, François Ier (et peut-être dernier), venu des Amériques, fait ce pourquoi on l’a élu : il casse la domination européenne sur le catholicisme. Ce faisant, il suit une logique qui nous ramène au proto-christianisme.
L’étymologie et la théologie ne peuvent que donner raison à ce pape - démagogue, roublard et subversif, si on le juge du point de vue d’un Européen -, à ce jésuite fin connaisseur de l’histoire et de la théologie, si on le juge de façon objective… ce qui est certainement plus facile à l’athée européen qu’au catholique d’Europe.
Katholichos signifie : pour tous [les humains]. Quant à la théologie morale, elle est fondée sur l’Agapè : l’amour (supposé) de la divinité pour ses créatures, avec son corollaire, l’amour en retour des créatures pour le créateur et pour tous les frères et sœurs en Jésus-Christ qu’il a plu à la divinité de leur octroyer (débiles mentaux, pervers, islamo-terroristes compris… et on en passe).
Du IIe au IVe siècles, les Pères de l’Église (style Justin, au IIe siècle) ou ceux dont l’Église a moins honoré le souvenir (du type Lactance, à cheval sur les IIIe et IVe siècles) n’ont eu de cesse de combattre l’État et la notion de Patrie. « Les chrétiens voient un frère en chaque être humain… Toute patrie terrestre est Terra incognita pour le chrétien » (Justin, né en l’actuelle Naplouse et mis à mort sous le principat du bon Marc Aurèle, piètre Imperator, mais qui savait différentier l’ami de l’ennemi) ; « L’attachement à la patrie est, par essence, un sentiment hostile et malfaisant » (Lactance)… et l’on pourrait multiplier les exemples, jusqu’à ce que les invasions barbares fassent trembler le bon Ambroise de Milan (IVe siècle) et que la prise de Rome par les Goths d’Alaric (en 410) fasse pleurer quelques évêques.
Lorsque le démagogue jésuite venu d’Argentine prône l’invasion de l’Europe par des Africains et des Proches-Orientaux, il démontre la persistance de cette prodigieuse faculté de nuisance d’une foi naïve glorifiant la charité (soit : la bonté sans espoir de réciprocité), ce culte de la douceur dans un monde de brutes, cette ouverture absolue à tous, y compris les destructeurs, les pillards et les incendiaires, les violeurs et les égorgeurs.
Il paraît que divers philosophes, moralistes et autres délicats penseurs auraient dit, écrit et peut-être pensé (c’est déjà moins sûr) que la douceur triomphe de tout, y compris de la haine et des armes… parlez-en aux mânes des merveilleux Oulianov-‘’Lénine’’, Bronstein-‘’Trotski’’, Dougashvili-‘’Staline’’, Sar Saloth-‘’Pol-Poth’’ ou de Mao Tsé-toung, interrogez le survivant Fidel Castro et vous entendrez l’immense éclat de rire tartare, judéo-bolchevique ou de quelque autre exotisme. Ceux-là et leurs émules islamiques savent que la Force crée le Droit.
Qu’au pays de La Fontaine, il faille répéter que « La raison du plus fort est toujours la meilleure » témoigne, certes, de la faillite de l’instruction publique, mais aussi du caractère hautement pernicieux de la propagande émolliente déversée à pleins tubes cathodiques (et sur le Net) depuis les années 1980-1990, soit les débuts de l’ère globalo-mondialiste, où des requins d’affaires se sont associés aux piranhas islamiques pour détruire l’Europe.
Le pape actuel joue sa partition catholique et le fait admirablement. Son solo de flûte (ou de « pipeau ») fait de lui l’avatar du joueur d’Hameln (Hamelin pour les oreilles françaises)… mais dans le droit fil du scénario chrétien original : opposé aux notions de races, de patries, de légitime défense & vantant les charmes du métissage universel, de la douceur, voire du martyre qui permet d’accéder plus vite et de façon quasi-automatique à la féérie de la vie surnaturelle.
C’est plus tard, que l’Église a changé son enseignement, vantant les charmes (autrefois vénéneux) de la guerre juste voire sainte… puis vint le Concile Vatican II, où des pères (en grande partie jésuites), fins connaisseurs de l’histoire et des thèses du proto-christianisme, ont joué la carte du retour à la « pureté des origines », soit l’Utopie jointe à l’Uchronie.
Que le pape jésuite suive cette voie, c’est logique et même légitime dans son délire religieux. Ouvrons les yeux : ce n’est pas le musicien qu’il faut combattre mais la partition originale !
Un Français devrait se souvenir de l’un de ses auteurs, Denis Diderot, qui fut emprisonné au Fort l’Évêque pour avoir écrit entre autres Pensées philosophiques : « Avec la femme et le prêtre on ne discute pas : il y a les maisons de correction ». Il n’existe plus, en notre beau pays, de maisons de ce type. Il faut donc que les Français de souche – et d’une manière générale, tous les Européens autochtones – tirent les conclusions qui s’imposent du Monde tel qu’il est devenu.
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Mardi 3 mai, Gabrielle Cluzel dédicacera son nouveau livre "Adieu Simone !" à la Librairie française
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Dimanche 8 mai, 12 h 30, devant St Augustin (Paris VIIIe), rassemblement et défilé en honneur de Ste Jeanne d'Arc
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Samedi 30 avril, à Nice, journée du polar à la Librairie du Paillon
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L' Europe à pied...
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Pour vivre l’aventure, est-il nécessaire de s’inscrire à une émission pseudo-« survivaliste » de télé-réalité débile ou partir pour des contrées exotiques loin de chez soi ? Non, répondent Fanny Truilhé et Mathilde Gibelin, deux femmes de 22 et 24 ans, qui, du 21 septembre 2009 au 28 juillet 2010, parcoururent – à pied – plus de 6 000 km en visitant une partie du continent européen.
L’exploit mérite d’être salué d’autant qu’il n’était pas que physique; il fut aussi humain, culturel et patrimonial. En effet, Mathilde et Fanny, deux amies formées depuis l’âge de 9 ans aux longues marches par un mouvement scout, avaient la ferme intention de récolter auprès des populations rencontrées un maximum de récits populaires locaux. « Nous nous sommes concentrées sur les légendes, racontées de génération en génération. Elles nous semblaient parfaites pour partir à la rencontre de nos cousins européens. Quels seraient nos points communs et nos différences ? Une somme de questions auxquelles nous brûlions de répondre. Non d’un point de vue universitaire, mais par le vécu, le charnel et l’humain (p. 9). » On doit reconnaître que le résultat est très décevant. Pour preuve, elles questionnent un jour dans les Alpes un vieux paysan qui les renvoie aussitôt à des jeunes gens. « Quel paradoxe ! Comment les jeunes pourraient-ils avoir connaissance d’un héritage s’il ne leur a pas été transmis ? C’est tragique, une société sans transmission ! (p. 26) » Le folk lore (ce savoir populaire) s’est évanoui ou se trouve, uniformisé et affadi, dans les guides touristiques présents sur les comptoirs des offices spécialisés.
Marche et hospitalité
Parties du Ventoux afin d’atteindre l’Aubrac dix mois plus tard, Fanny et Mathilde passent en Provence et en Italie jusqu’à Rome. Elles traversent ensuite la Grèce, d’Olympie à Thessalonique, marchent en Autriche, en Slovaquie, en République tchèque, en Allemagne orientale, au Danemark, circulent en Écosse et en Irlande, avant de revenir en France par la Bretagne, la Mayenne et le Massif Central. Elles avaient convenu au préalable avec leurs parents quelque peu inquiets par cet itinéraire de découvrir la Bulgarie, la Roumanie et la Hongrie en train et ce, pour des raisons bien compréhensibles de sécurité. Elles n’hésitent pas à faire de l’auto-stop – voire de l’« auto-bateau » – et à prendre l’avion (plus simple que la nage pour rallier l’Écosse). En effet, « les règles, nous les fixons nous-mêmes, et si pour 30 km de marche par jour, nous devons faire une demi-heure de stop occasionnellement pour rencontrer quelqu’un ou aller visiter une ville, nous n’allons pas nous en priver ! (p. 44) ».
Le vif dépit d’assister à la perte du savoir culturel populaire se trouve largement compensé par de nombreuses marques de sympathie exprimées tout au long de leur trajet. Sous la protection d’une très bonne étoile, à moins que cela soit une remarquable Fortuna, Fanny et Mathilde sont souvent bien accueillies, le soir venu. Certains jours, elles se voient claquer les portes. Toutefois, les maisons s’ouvrent devant elles. Ainsi, près de Pontremoli en Italie, se retrouvent-elles « attablées avec les époux, les deux enfants et la grand-mère (p. 54) » pour partager un dîner. Une autre fois, « le Grec qui tient la bicoque ne veut pas nous laisser repartir sans que nous n’ayons fini les plats (p. 84) ». Plus tôt, à Embrun, « un couple nous invite spontanément chez lui. Ils sont d’une gentillesse et d’un naturel fous… comme si nous étions attendues, qu’ils nous connaissaient… vous allez dormir là, prenez une douche, le repas est prêt, nous vous attendons… ça alors ! L’hospitalité est une valeur que certains honorent vraiment (p. 27) ». Mathilde insiste régulièrement sur cette vieille notion d’hospitalité. « L’hospitalité a longtemps été une valeur sacrée et accueillir des inconnus était un devoir. Alors bien sûr, de nos jours, dans notre société individualisée où ce sont les valeurs marchandes, où “ tout s’achète et tout se vend “ qui sont de mise, personne n’est obligé d’accueillir des inconnus chez lui. Notre démarche est donc décalée, mais importante, voire nécessaire. Montrer que d’autres modes de fonctionnement sont possibles et que les échanges peuvent être gratuits. Nous demandons l’hospitalité, les gens nous offrent le gîte et bien souvent le couvert et si nous ne leur proposons pas d’argent, nous leur offrons bien plus : l’occasion de rendre service. Cela peut paraître étrange, mais ce n’est guère souvent possible et lorsque nous repartons, les gens nous remercient presque systématiquement de nous être arrêtées chez eux ! Alors que c’est nous qui devrions leur être redevable ! Ce que nous sommes également, bien entendu ! Mais tout de même, c’est frappant à quel point les gens nous sont reconnaissants (p. 176). »
Le fait de marcher des centaines de kilomètres à pied à l’heure du tout-automobile ne peut qu’attirer l’attention des médiats locaux et des habitants, surpris par leur objectif. Fanny et Mathilde suscitent en tout cas intérêt et admiration. En Grèce, « quand le restaurateur apprend que nous faisons le tour de l’Europe à pied, il nous offre le pain (p. 103) ». En outre, elles ne sont pas toujours seules; elles croisent d’autres randonneurs avec qui elles font de temps en temps un bout de chemin quand ne marchent pas à leurs côtés proches amis et parents !
Voir une autre Europe
En Grèce, en Bulgarie, en Roumanie et en Hongrie, Fanny et Mathilde appréhendent une autre réalité, ignorée des Européens de l’Ouest : de vieux contentieux nationaux, frontaliers et territoriaux, de vives controverses consacrées aux mérites théologiques comparés des paganismes, de l’Orthodoxie et du catholicisme romain, et un euroscepticisme certain. « L’Union européenne pense, dans son humble magnanimité, que l’Europe de l’Est et centrale n’aspire qu’à devenir comme l’Ouest : marchande. Mais pas du tout ! D’ailleurs ils rejettent globalement l’Union européenne, qui leur impose les standards occidentaux. Ils la vivent comme une réelle menace de leurs traditions et leur façon d’être qui est typiquement différente de la nôtre, peuples de l’Europe occidentale (p. 147).
Plus concrètement, la lecture de ce carnet de voyage écrit à quatre mains montre que se supporter 24 heures sur 24 et sept jours sur sept devient à la fois épuisant et agaçant. Les moments les plus rudes se déroulent en février – mars en Allemagne, puis au Danemark. Outre le froid, la neige, la pluie, le vent glacial, l’humidité, la platitude de la grande plaine du Nord les mine. « Nous sommes lassées, marre de ces paysages, de la fatigue physique et de ces douleurs… (p. 225) »
Fanny et Mathilde retrouvent cependant leur vigueur et leur courage en se posant en Écosse au début du printemps. Elles en apprécient les montagnes, puis se promènent dans la Verte Irlande. Elles ont raison de s’écarter de la perfide Albion. Quant au retour en France, le parcours n’est pas si aisé que cela, car les sentiers de randonnée sont surtout prévus pour la promenade dominicale et nullement pour de vraies randonnées…
Dans son essai La Jeunesse au pouvoir, Julien Langella évoque des mouvements juvéniles du début du XXe siècle, en particulier les Mendigoxales basques, cette « petite élite d’alpinistes et de randonneurs », et les Wandervogel allemands, qui fuyaient un monde triste, urbanisé et industriel afin de redécouvrir la culture ancestrale, le patrimoine et l’âme des lieux. Mathilde et Fanny s’inscrivent dans cette tradition, non à l’échelle régionale, mais à l’échelle continentale. Leurs quarante semaines d’efforts sont une subtile initiation à la vie, un passage décisif entre une adolescence révolue et une existence d’adulte qui se profile avec son lot de mariage, d’enfants et d’activités professionnelles.
Il serait bien que jeunes filles et garçons répètent à leur tour cette expérience de vie physique, culturelle et sportive (porter 20 kg dans le sac à dos et marcher 30 km par jour, c’est du sport !) lors d’une année sabbatique. Mais serait-ce aujourd’hui souhaitable, possible et réalisable avec l’invasion en cours de l’Europe par des hordes d’immigrés allogènes et la fermeture indispensable des frontières nationales ? Fanny et Mathilde ont profité d’un moment où les flux migratoires massifs n’en étaient qu’à leurs débuts. Le 11 février 2010, la police germanique les prend pour des clandestins et les contrôle ! Parcourir dorénavant l’Italie ou la Grèce serait très risqué, dangereux même, surtout pour de jeunes Européennes. C’est la raison pour laquelle le récit de Fanny Truilhé et de Mathilde Gibelin est important. Elles offrent une belle aventure humaine riche en esprit européen survenue il y a plus de six ans, il y a maintenant une éternité.
• Fanny Truilhé et Mathilde Gibelin, Tour d’Europe. 6 000 kilomètres à pied, Les Amis du Livre européen, 2015, 348 p., 24 € (à commander : 21, rue de Fécamp, 75012 Paris).
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Radio Brigandes répond au harcèlement, un entretien avec Jean-Yves Le Gallou :
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Souriez, vous êtes piratés !
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Autrefois, il suffisait bien souvent de ne pas publier son adresse dans l’annuaire téléphonique pour se croire tranquille ; seuls les voyous ou les militants politiques se savaient alors « fichés ».
Mais c’est un temps que les moins de vingt ans n’ont pas connu…
Aujourd’hui, l’époque est au fichier informatique tous azimuts et personne n’y échappe, quoiqu’on fasse ou qu’on tente de faire. On ignore même bien souvent qu’on figure dans telle ou telle liste, ne serait-ce que celle des « copains d’école »… et on peut même avoir la surprise d’être indiqué, via internet, comme le « voisin de… », soit quelqu’un dont vous ignoriez jusqu’au nom, même si vous faisiez palier commun… quelques années auparavant !
Et pourtant, il ne fait décidément pas bon être fiché par les temps qui courent… Que ce soit pour détenir des placements discrets via le cabinet d’avocats panaméen Mossack Fonseca, en cherchant la bonne aventure – surtout bien davantage si affinités – grâce au site de rencontres Beautifulpeople ou encore « en taillant la pierre brute pour devenir meilleur » en étant adhérent de la Grande Loge de France, troisième obédience maçonnique française…
Le point commun de ces trois exemples, n’ayant pourtant guère de rapports entre eux ? La discrétion, généralement appréciée, et même réclamée, de tous leurs clients ou membres, qui a volé en éclats après que leurs fichiers respectifs aient été dérobés par d’ingénieux pirates informatiques… et aussitôt jetés en pâture sur internet, désormais véritable place publique de notre époque !
On sait ce qu’il en est pour les clients de Mossack Fonseca : ont été sélectionnés avec soin pour éclairer le grand public seulement quelques centaines de noms sur plusieurs milliers, dont quelques dizaines seulement de personnalités du monde politique, sportif ou des Arts, ce qui a immédiatement déclenché les contre-feux attendus d’une manipulation de services secrets, CIA en tête…
Pour le moment, aucun client du site Beautifulpeople n’a encore vu ses « préférences sexuelles, mais aussi salaire, poids, numéro de téléphone et adresse postale » divulgués… Mais, selon le site d’actualités maçonniques Gadlu.info, « plus de 6 000 documents secrets de la Grande Loge de France, rapports du conseil fédéral, ebooks, rituels, listing d’une partie des membres, projets, calendriers, comptes rendus du conseil sur plusieurs dizaines d’années, recueil de la Chancellerie de 1993 à 2013 » ont été dérobés et « il y a même des lettres qui n’ont pas encore été envoyées et des documents datant de 1930 à 1990 » ; seul le fichier de ses quelques 34 000 membres aurait échappé aux indélicats génies de l’informatique. Enfin, peut-être…
Certes, ces trois exemples en feront sans doute sourire certains et en réjouiront même un grand nombre : bien faits pour les mauvais citoyens qui grugent le fisc ! bien faits pour les obsédés qui batifolent en dehors des liens sacrés du mariage ! Et bien fait pour les « Frères la gratouille » comme les appelaient François Mitterrand, dont on ne sait jamais trop si leur goût immodéré du secret, fut-il uniquement symbolique selon leurs dires, ne cache pas quelques conspirations, dont le plus angoissant est généralement qu’on ne sait jamais précisément contre qui et moins encore pour quoi elles sont destinées…
Mais quoiqu’il en soit, ces trois exemples de « victimes » tout de même bien plus sensibilisés à la protection de leurs données que beaucoup d’autres, sont surtout révélateurs qu’aucun fichier, de quelque importance qu’il soit, n’est aujourd’hui inviolable… et que tout un chacun n’a sans doute pas besoin d’être fraudeur, libertin ou enfants de la Veuve (comme se nomment les Francs-Maçons entre eux) pour risquer de voir désormais les moindres faits et gestes de sa vie dévoilés et bien souvent, reconnaissons-le, violés…
Quelle importance pour ceux qui n’ont rien à cacher, n’est-ce pas ? Oui, pour ceux-là, bien sûr… mais sont-ils finalement si nombreux ?
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mardi, 26 avril 2016
Une supercherie toujours enseignée : la destruction de Guernica y Luno, le 27 avril 1937, par un bombardement nazi !
Dr Bernard Plouvier
Contrairement à ce que de nombreux historiens veulent nous faire croire, Adolf Hitler hésite beaucoup avant d’intervenir dans la guerre civile espagnole. Il n’aime guère les conservateurs espagnols (« Un parti de curés ») et n’aimera jamais le régime franquiste (« Un régime de profiteurs capitalistes, manœuvrés par la prêtraille »). C’est la même raison qui pousse Mussolini à refuser son aide le 21 juillet 1936, quatre jours après le début de l’insurrection des « nationalistes » menés par les généraux José Sanjurjo y Sacanell et Federico Franco y Bahamonde.
Pour s’opposer au risque d’implantation d’un régime marxiste en Europe occidentale, le Führer cède le 25 juillet, son entrée en lice entraînant celle du Duce (et non l’inverse comme le braillent encore certains pitres). Quarante avions allemands de transport (des Junkers 52) font passer les Espagnols de la Bandera (des fantassins de la Légion étrangère) du Maroc espagnol à Séville.
25 000 volontaires allemands, en congé de la Wehrmacht, serviront dans les rangs franquistes (mais il n’y aura jamais plus de 7000 Allemands à la fois sur le sol ibérique). Ils combattront aux côtés de 44 000 troupiers (dont un tiers de Maures) et phalangistes espagnols, 25 000 policiers « nationalistes », 20 000 volontaires portugais, enfin 80 000 volontaires italiens (jamais plus de 40 000 à la fois) et quelques centaines de volontaires internationaux.
Ces forces antimarxistes sont opposées à 46 000 soldats, 42 000 policiers « rouges », qui sont bien plus composés de radicaux anticatholiques et d’anarchistes que de marxistes espagnols, renforcés de 60 000 « combattants de la liberté », tous marxistes (25 000 d’entre eux proviennent d’URSS, le reste est issu des Partis communistes d’Europe et des Amériques et des célèbres « compagnons de route » des marxistes).
Adolf Hitler n’a expédié qu’un seul bataillon de chars légers (des Panzer I et II, très peu performants ; les Allemands utiliseront beaucoup de chars soviétiques capturés), quelques excellents canons à commande électrique (du type 88 – Flak) utilisés comme canons de DCA et antichars, ainsi qu’une centaine d’avions de combat.
Les Français expédient illégalement aux forces rouges plus d’une cinquantaine d’avions de combat (le ministre de l’Air Pierre Cot couvrant son chef de cabinet Jean Moulin) et Staline envoie un millier de chars et autant d’avions de combat… se faisant payer l’équivalent de 450 millions de $ en or.
Le 27 avril 1937, neuf Heinkel 111 jettent, de 2000 mètres d’altitude, 7,9 tonnes de bombes sur la cité basque de Guernica y Luno, qui compte environ 5500 habitants, vouée à l’industrie métallurgique. La charge totale de bombes des 9 appareils est inférieure à celle d’un seul bombardier britannique Lancaster (11 tonnes de bombes) ; elle équivaut à celle d’un B17 de l’Air Force Corps des USA (8 tonnes) de la Seconde Guerre mondiale.
S’il fallait en croire la presse communiste et sympathisante, ce raid aurait tué 1500 civils et en aurait blessé un millier (alors que les statistiques des bombardements durant les années 1939-1945 font état de deux à trois fois plus de blessés que de morts)… soit un ratio tués/tonne de bombes 1000 fois supérieur à celui des bombardements de terreur des aviations britannique, canadienne et US au-dessus de l’Europe continentale quelques années plus tard, avec des avions nettement plus performants, mais aussi des populations plus avisées et mieux protégées.
Ces curieuses statistiques ne pourraient que faire sourire, si l’on ne respectait la mémoire des victimes. En revanche, il est proprement scandaleux que de soi-disant universitaires utilisent encore, dans leur version politiquement correcte des faits, de telles inepties. Toute guerre est, pour paraphraser Shakespeare, « une histoire pleine de bruit et de fureur, racontée par un idiot », mais la guerre civile espagnole fut et demeure le triomphe de la désinformation de la part de ceux dont le métier est théoriquement d’approcher la vérité.
En réalité, le bombardement des Heinkel a tué 262 êtres humains, pour la majorité d’entre eux concentrés dans le même bâtiment, et n’a occasionné que de faibles dégâts, en revanche l’armée des « rouges », en retraite sur le front basque, a dynamité la cité quelques heures plus tard, permettant aux nombreux correspondants de presse de sensibilité marxiste de tirer des clichés dramatiques et de composer des articles emplis de lyrisme. Loin d’être une « ville ouverte », Guernica était une cité travaillant pour l’industrie de guerre du gouvernement « rouge » (on y recensait quatre fabriques de munitions).
La cible visée par les aviateurs allemands n’était pas la ville, même pas ses usines que les nationalistes espéraient prendre les jours suivants, mais un pont enjambant le Rio Oca, de façon à freiner la retraite des « rouges » vers Bilbao, pour en capturer un maximum. La notion de « bombardement de précision » sera introduite par la propagande de guerre US, en 1943, pour calmer l’émotivité des chrétiens aux USA… et ce sera, bien sûr, un ignoble mensonge.
À l’époque du bombardement de la ville basque, dans son atelier parisien, Pablo Picasso finissait de peindre, à sa façon géniale ou grotesque au gré du lecteur, une scène tauromachique. Il lui suffit de changer le titre de son œuvre pour que celle-ci devienne un symbole politique majeur du XXe siècle, puis les critiques d’art trouveront quantité d’interprétations symboliques, politiques et même psychanalytiques, à la présence d’un taureau dans cette composition.
Mystification et désinformation furent de tout temps les méthodes de travail des propagandistes, mais les marxistes du XXe siècle furent des maîtres… déjà surpassés par nos glorieux fumistes globalo-mondialistes.
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Jeudi 28 avril : une conférence de l'Union des Serbes de France à Paris
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Samedi 7 mai, ce sera le 3e Congrès du Parti de la France : Carl Lang nous en parle
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Le quotidien Présent présente notre numéro 42 de Synthèse nationale
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lundi, 25 avril 2016
Fabius a vendu le palais Clam-Gallas à Vienne
Arnaud Raffard de Brienne
Avec le palais Clam-Gallas à Vienne, la France disposait de son plus bel institut culturel à l’étranger. L’imparfait s’impose puisque l’on apprend, discrètement pour le moment, que Laurent Fabius, successeur de Jean-Louis Debré au Conseil constitutionnel, maison de retraite cossue et très prisée par tous les « ex », avait orchestré en toute discrétion la vente du prestigieux institut au Qatar en novembre 2015. Ce palais de 3 000 mètre carrés, en plein cœur de Vienne sis dans le plus grand parc privé de la ville, sur cinq hectares plantés d’essences rares, avait été vendu à la France par la famille Clam-Gallas, au lendemain de la Seconde guerre mondiale.
Articles dans la presse autrichienne dénonçant la « prostitution » de la France au Qatar, pétition, lettres ouvertes et privées envoyées à François Hollande, demeurées sans réponse, opposition clairement affichée de l’ambassadeur en place… rien n’y fit et Laurent Fabius mena la vente à son terme. Il faut quand même reconnaître que, faute de moyens, l’impécunieuse France avait depuis longtemps négligé l’entretien de ce joyau architectural dont le délabrement commençait à faire jaser. « La France n’entretient plus rien » aurait même lâché le député PS des Français à l’étranger, témoignage affligeant d’une nation dont l’image se ternit jour après jour à l’international.
Le plus étrange ce sont les circonstances de cette transaction réalisée brutalement, sans le moindre appel d’offres ni mise en concurrence alors qu’existaient de nombreux projets de reprise, notamment celui, patriotique, d’un Français qui se proposait de racheter le palais et de laisser gracieusement à l’institut culturel français l’usage d’un étage. Pouvait-on rêver meilleure proposition ? De plus, la vente arbitraire et brutale au Qatar constitue une infraction caractérisée à la règlementation en vigueur imposant trois expertises préalables distinctes, puis la publication sur le site de France Domaines et enfin la mise en vente dans les agences immobilières locales. Bizarre, bizarre cette vente signée à l’arrachée, de gré à gré par le ministre Fabius, en totale infraction avec la législation en la matière.
Cette mauvaise action appelle spontanément deux questions dont les réponses pourraient s’avérer captivantes. Des transactions de ce genre expliquent-elles tout ou partie des mensonges éhontés de Laurent Fabius le 21 janvier dernier lorsqu’il affirma sans vergogne sur RTL que le Qatar ne finance pas le terrorisme ? À sa fonction, il ne pouvait évidemment ignorer la réalité de ce financement prouvé et confirmé par le gratin des services de renseignement français. Dès 2012, par exemple, Louis Caprioli, ancien sous-directeur de la lutte contre le terrorisme à la DST évoquait publiquement, lors de l’émission « C dans l’air » le financement par le Qatar de camps d’entrainement djihadistes tunisiens. Financement confirmé par Yves Bonnet, ancien directeur de la DST dans un entretien publié par La Dépêche du midi et par quantité d’autres sources, françaises et étrangères, toutes plus officielles les unes que les autres.
Alors, pourquoi ces mensonges éhontés ? Aurons-nous un jour droit à un passionnant « Qatar Papers », listant l’ensemble des personnalités de la classe politico-médiatique celant quelque dette inavouable à l’égard du généreux Qatar ?
11:10 Publié dans Les rubriques d'Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les nouveaux parasites
Dr Bernard Plouvier
Le lycéen a ceci en commun avec le jardinier qu’ils connaissent tous deux (en théorie ou en pratique) ce qu’est une plante parasite. Certains parasites, tel le gui, sont beaux, mais témoignent de la sénilité de l’hôte qui les accueille.
On nous l’a suffisamment seriné – et sur tous les tons : les immigrés extra-européens sont venus enrichir l’Europe de leurs prodigieuses facultés et de leur exceptionnelle capacité de travail. En quelle que sorte, ils nous ont fait l’immense honneur de venir payer la retraite des vieux Européens. C’était la comptine des années 1990-2005.
Depuis lors, beaucoup d’eau a coulé sous pas mal de ponts écroulés. Très vite il est devenu évident que 25 à 30% des immigrés en âge de travailler ne seraient jamais que des chômeurs de très longue durée, tandis qu’un autre quart ne trouve un emploi que grâce à la ségrégation raciale de la « discrimination positive », cette mesure « d’aide à l’embauche » étant fort coûteuse à l’État, en plus d’être antidémocratique et parfaitement immorale.
Étant donné que, depuis 2005, croissent de façon vertigineuse la Dette publique, le gouffre de la Sécurité Sociale et des autres caisses (dont celles du chômage et des retraites), ainsi que les chiffres du chômage, il paraît urgent de quantifier le rapport qualité/prix de cette immigration extra-européenne.
En clair, il s’agit de déterminer les proportions exactes du bénéfice apporté à la collectivité par leur travail et le coût en structures d’accueil : y a-t-il un solde positif ou, au contraire, un surcoût ? Inutile de chercher des statistiques issues de l’État français sur cet épineux sujet : il n’y en a point d’accessible au bon peuple, pourtant seul souverain légitime de l’État.
Le débat vient d’être relancé en Europe par une déclaration de la ministresse suédoise des Finances, Magdalena Andersson (qui n’est pas une excitée : elle est de « centre gauche », soit le marécage le plus calme qui soit). Elle a demandé au Parlement de voter l’équivalent en couronnes locales de 6,24 milliards d’euros/an durant 4 ans pour régler la note de l’immigration des années 2014-15, ce qui met le coût de l’immigré nouveau à 30 000 euros/an… du moins en principe.
Car cette base de calcul est totalement erronée. Bêlant probablement d’optimisme, la bonne dame n’a rien prévu au titre du coût des vols, pillages, dégradations diverses et incendies volontaires, des avortements nécessités par les viols, des poursuites judiciaires pour crimes et délits et leurs suites carcérales. La ministresse bien-pensante ignore tout, semble-t-il, des mœurs des honorables immigrés d’origine extra-européenne. Renseignements pris, les honorables Africains – noirs et maghrébins -, les merveilleux Proches- et Moyen Orientaux se comportent en Scandinave (Suède, Norvège, Danemark, Finlande, Islande et l’on peut en rapprocher les États baltes) exactement comme les sauvageons des banlieues de France, de Belgique, d’Allemagne ou de Grande-Bretagne.
Qu’en est-il en France, riche de 10 à 11 millions d’immigrés d’origine extra-européenne de 1ère et 2e générations ? Aucun surcoût, voire même un bénéfice appréciable pour l’immigration d’origine extrême-orientale, hélas très minoritaire. Il en va tout autrement avec les autres.
Les recettes fiscales de l’immigration, directes & indirectes et les taxes locales, sont estimées entre 20 et 25 milliards d’euros. Le coût pour l’État est estimé entre 60 et 65 milliards d’euros/an - dont 18 de dépenses sécuritaires pour l’année 2014 (ce chiffre est certainement très largement dépassé depuis le début de 2015) et entre 10 et 20 milliards d’euros de fraudes sur les assurances sociales -, auquel il faut ajouter 21 milliards d’euros annuels pour l’intérêt du surplus de la Dette publique généré par cette immigration (c’est André Posokhow qui a rappelé cette évidence, oubliée des calculateurs prodiges de la gauche-bobo qui l’ont, bien sûr, agoni)… et ceci ne prend pas en compte l’énormité des dépenses d’assurances (répercutées sur les primes versées par les assurés), pour réparer les agressions et dégâts commis quotidiennement par les fruits pourris de l’immigration sur les personnes privées et leurs biens.
De 42 milliards (en équivalent d’euros) estimés par Pierre Milloz en 1997, le coût réel – public et privé - de l’immigration est passé aux alentours de 100 milliards d’euros annuels… pour avoir la joie de voir travailler un peu moins de 3 immigrés sur 4 en âge de le faire. C’est très cher payé. En bonne logique comptable, l’on dirait que l’investissement n’est guère rentable.
Quitte à faire venir des travailleurs étrangers, faisons-les venir soit d’Europe de l’Est soit d’Extrême-Orient.
09:23 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Synthèse nationale organisait ce dimanche près de Lille sa 4e Journée régionale Flandre-Artois-Hainaut
Un public nombreux et enthousiaste...
Une fois de plus la journée annuelle de Synthèse nationale dans le Nord cliquez ici a été une vraie réussite. Plus de 120 participants, dans une ambiance détendue, sont venus à Nieppe, près de Lille, écouter les invités de Luc Pécharman, délégué régional de l'association.
Se succédèrent à la tribune : Robert Spieler, chroniqueur à Rivarol et ancien député, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, Guy Hamon, membre du Bureau de Riposte laïque, qui remplaçait Pierre Cassen retenu dans le sud de la France, Ferenc Almassy, journaliste indépendant hongrois, et Carl Lang, Président du Parti de la France.
Une dizaine de stands, dont ceux de Terre et peuple, de divers mouvements régionalistes, du Parti de la France, de nos amis wallons de Nation, de l'ADMP (Association pour la Défense du Maréchal Pétain), de bouquinistes, étaient dressés dans le hall.
Nous reviendrons dans les jours qui viennent sur cette belle réunion nationaliste. Un reportage filmé sera à votre disposition sur ce site.
Ferenc Almassy, Guy Hamon, Luc Pécharman, Carl Lang
Des stands qui ne désemplirent pas...
02:34 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 23 avril 2016
Le Journal du Chaos de cette semaine
Pour le lire cliquez ici
19:28 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Au nom de l’intérêt public !
Dr Bernard Plouvier
C’est en se référant à cette noble formulation, qu’un juge de notre vertueuse République exige l’ouverture d’un centre pour réfugiés-immigrés dans l’un des quartiers de France où la vie est la plus chère : le XVIe arrondissement de Paris !
Après tout, ces réfugiés-immigrés vivant de la charité publique (via le détournement d’une partie de nos impôts, redistribuée en allocations & subventions qu’ils obtiennent sans travail de leur part) ne sont que modérément sensibles à la cherté de la vie, puisqu’ils se comportent en parfaits parasites.
De même, la pollution du Bois de Boulogne n’est guère plus préjudiciable à la France que celle des alentours de Calais et de Grande-Synthe, ou de villages bretons ou poitevins… d’autant que ledit bois est bien connu pour ses trafics de stupéfiants et ses passes de prostitué(e)s en tous genres, y compris les plus improbables. Donc, allons-y pour la jolie formulation : « Au nom de l’intérêt public » !
Mais, quel intérêt est-il en cause ? De quelle communauté parle-t-on dans cette affaire « d’intérêt public » ? Exclusivement de la clientèle des partis « de gauche », actuellement en pleine déconfiture, et qui ont impérativement besoin de se refaire une santé par la naturalisation en masse de ces immigrés-réfugiés, associée – bien entendu - à une reprise en force de la démagogie tiers-mondiste la plus flamboyante.
Parce que si l’on parle de l’intérêt de la Nation française, qui représente le seul public légitime - étant le seul souverain de l’État -, dans ce cas, personne et surtout pas un magistrat de la République ne peut se prévaloir de dire ce qu’est son intérêt. Pour l’excellente raison que nul n’a demandé l’avis de ce « souverain » depuis qu’en 1976 (par le décret funeste de regroupement familial), des politiciens ont imposé une immigration de masse, aggravée de façon exponentielle depuis le milieu des années 1980.
L’intérêt de la Nation française commande-t-il une immigration extra-européenne massive ? Bien évidemment ! Avec plus de 5 millions de chômeurs, l’intérêt national commande d’importer encore et toujours plus d’Africains, de Moyen et de Proches-orientaux, dont une majorité n’a aucune qualification et dont les rares techniciens ont souvent besoin de la célèbre « discrimination positive » pour se faire embaucher.
Il est également évident que, dans un pays où existent déjà environ 8 à 10 millions de musulmans, l’intérêt national commande, et d’urgence, d’en importer encore quelques millions de plus, de façon à voir pulluler davantage encore les mosquées et les boucheries hallal, de façon à voir circuler davantage d’individus en djellaba et nantis de ce voile islamique prôné ouvertement à l’école des sciences politiques de Paris ces derniers jours.
À l’évidence encore, il est de l’intérêt public bien compris d’importer toujours plus de jeunes musulmans célibataires pour voir se multiplier les viols de « petits culs blancs », de préférence en « tournantes » (c’est plus pittoresque), et, bien sûr, pour favoriser ces attentats qui mettent du piment dans la vie par trop monotone de la Nation… ces attentats qui devraient ne reprendre avec force qu’une fois passées les prochaines présidentielles : les maîtres du vrai Pouvoir vont probablement en freiner le rythme jusqu’à cette échéance électorale, ne souhaitant pas favoriser un sursaut patriotique.
Maintenant si l’on veut réellement analyser, monsieur le magistrat de la République, le véritable INTÉRÊT PUBLIC, soit celui de la NATION, seul SOUVERAIN LÉGITIME de l’ÉTAT FRANÇAIS (on utilise les majuscules, de façon à ce que même le plus malvoyant des juges puisse lire), les mesures qui s’imposent et d’urgence ne sont, certes pas, de multiplier les « centres d’hébergement de réfugiés-immigrés ».
Non ! Il s’agit de respecter les fondements de la démocratie. Or, la Démocratie repose sur deux piliers : l’égalité de tous devant la Loi et la prise des grandes décisions par la Nation.
Les mesures qui s’imposent – et d’urgence – sont donc de demander à la Nation sa décision souveraine en matières : d’immigration d’origine extra-européenne ; d’opportunité ou de dangerosité extrême d’engager des musulmans dans les forces armées, les forces de police et de gardiennage de prisons, sachant que la totalité des terroristes sont des musulmans ; de la nécessité de se séparer des DOM-TOM, boulets économiques, riches de seules charges budgétaires ; de rétablir la peine de mort dans des cas bien précis ; de maintenir ou de supprimer la légalité de l’avortement de complaisance, qui réalise chaque année un génocide d’environ 220 000 à 250 000 Français de souche européenne ; de statuer en matière de fourniture d’énergie ; de chasser du territoire national tous les chômeurs inutilement importés et de renvoyer dans leurs continents d’origine les millions d’extra-européens pour qu’ils mettent en valeur leurs pays, de façon à multiplier les centres de production et à stimuler le commerce international. Tels sont les choix stratégiques actuels.
Car on se moque absolument de l’avis sur ces questions de notre plantureux Président, d’ailleurs en voyage exotique perpétuel, de l’avis de notre distingué premier ministre, toujours entre deux cures (nécessaires) de relaxation, ou de celui du frétillant ministre de l’économie « En Marche » vers Matignon et l’Élysée.
Tant que l’on n’aura pas demandé son avis au seul souverain légitime de l’État, soit la Nation, nul – pas même un digne magistrat de la République – ne pourra argumenter : « Au nom de l’intérêt public ».
La Démocratie a ses exigences. On aurait presque honte de le rappeler, tant la chose est évidente… hélas, elle ne semble pas évidente pout tout le monde.
09:21 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 22 avril 2016
RAPPEL : dimanche prochain à Nieppe (près de Lille)
12:31 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |