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jeudi, 14 avril 2016

Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3229 du 31 mars 2016

VOICI les récents propos d’Éric Zemmour : « On a tous connu cela. On s’est tous enthousiasmé, tous illusionné, on a tous été abusés : les Français en 1944, les Polonais ou les Hongrois en 1989 ; les Mexicains ou les Canadiens dans les années 90; les Cubains aujourd’hui. À chaque époque, sa libération. À chaque époque, sa marchandisation. À chaque époque, son aliénation. À chaque époque, sa colonisation. À chaque époque, son américanisation. Mais à toutes les époques, son dollar. » Rien à retrancher… A quand la vraie délivrance ?

NOUVELLE BOURDE DE CE GRAND INTELLECTUEL DE SARKOZY

Décidément, Sarkozy collectionne les bourdes littéraires. Il était récemment invité à un petit-déjeuner de la Fondation Concorde à Paris et a voulu faire le malin, histoire d’étaler sa haute culture. Il s’exprimait devant un parterre de chefs d’entreprises auxquels il faisait le reproche de ne pas l’avoir suffisamment soutenu. Voici ses propos : « J’aurais tellement aimé sentir cette pression positive quand je me battais pour les universités, le bouclier fiscal, les heures supplémentaires, les retraites, la rupture conventionnelle… une pression qui m’aurait aidé à aller plus loin, a-t-il déclaré. Je le dis gentiment mais je le dis quand même, […] c’est comme dans Le Cid, ils partirent à 50 millions et il se retrouva tout seul ! ». Corneille réécrit par Sarkozy, c’est quelque chose ! La citation exacte est bien sûr « Nous partîmes cinq cents : mais par un prompt renfort, Nous vîmes trois mille en arrivant au port ». Sarkozy commet par ailleurs un contresens total. Dans le Cid, Rodrigue ne dispose que de maigres forces au départ, mais sa troupe grossira et il gagnera la bataille. La situation que décrit Sarkozy est exactement l’inverse de celle décrite par Corneille…

LA MORT POUR LES TERRORISTES !

« La mort pour les terroristes ». Tel est aujourd’hui le message qui s’étale en lettres capitales sur un gigantesque panneau planté sur la départementale 559, entre Six-Fours et La Seyne-sur-Mer (Var). L’auteur de cette incongruité est Michel-Ange Flori, un publicitaire de la région, qui a choisi de s’adresser aux automobilistes. « Ces attaques m’ont choqué, et je ne peux pas me résoudre à leur banalisation », ajoutant « François Hollande dit qu’on est en guerre, alors qu’on mette en place des peines de guerre ! ». Aux chochottes émues par une telle violence, il réplique : « Ce sont quelques mots qui seraient choquants ? Quand vous voyez des corps déchiquetés, ça ne vous choque pas plus ? » Et ce Corse qui ne se laisse pas impressionner par les bêlements des humanistes d’ajouter : « Je suis libre. Ni gaucho, ni facho, ni bobo, ni écolo. »

Imprimée dans un format de quatre mètres sur trois, l’affiche, qui a été installée sur le panneau dans la nuit du mercredi 23 au jeudi 24 mars, devrait rester accrochée pendant « une huitaine de jours ». Michel-Ange Flori utilise ainsi un espace de sa société familiale à des fins personnelles. « C’est mon avis et je l’affiche à la place d’une publicité pour le supermarché du coin. J’investis pour communiquer mon opinion. » La mairie de La Seyne-sur-Mer n’a, courageusement, pas souhaité faire de commentaire. Michel-Ange Flori s’était déjà singularisé après les attentats de Paris. Il avait placardé : « Monsieur le Président, changeons la loi. La mort pour les terroristes et leurs complices ». Corse dans ce qu’il y a de plus corse, il avait même passé 24 heures en garde à vue après avoir mis en doute la probité de l’Etat français dans l’affaire du préfet Erignac. Les pompiers avaient alors été amenés à scier les montants du panneau qu’il avait installé. Oui, mais là, le pilier métallique est si épais qu’il semble indestructible, et de plus, le panneau est situé sur son terrain… On devine l’intensité de la souffrance que vit le système…

CASSE-TOI, PAUV’ CON !

Nicolas Sarkozy est un être profondément sensible qui n’aime pas être critiqué, ce que Trump n’a pas manqué de faire, suscitant la fureur du petit Nicolas. Nicolas Sarkozy estime désormais que le candidat à la présidentielle américaine Donald Trump est “effrayant” et il le fait “frémir”.

« Ce monsieur ne mérite pas tant d’intérêt que cela. Ce qui est assez effrayant c’est l’impact qu’il a ».

« Je trouve terrifiant qu’il y ait 30 % d’Américains qui peuvent se reconnaître là-dedans », a déclaré le président du parti Les Républicains lors d’un meeting devant environ 500 personnes de la communauté française de Londres. « Ça fait frémir. Ça me fait frémir aussi sur l’état d’une partie de l’Amérique profonde », a ajouté l’ancien chef de l’Etat, dénonçant le “populisme” et la “vulgarité” du candidat républicain à la Maison-Blanche. Mais pourquoi cette rage de l’homme du « Casse-toi, pauv’con ? » En fait, Carla Bruni hait Trump depuis 25 ans. Elle était alors la petite amie de Mick Jagger, le chanteur des Rolling stones. Il s’était comporté comme un goujat, lui demandant, ainsi qu’à d’autres femmes qu’il désirait de s’arrêter au bureau de son médecin afin de faire un test VIH. Elégant, comme savent l’être les Américains…

BUISSON MENACE SARKOZY

L’ancien conseiller de Sarkozy, Patrick Buisson, attaque Les Républicains en justice, estimant que le parti lui doit près de 400 000 euros. L’ambiance est des plus tendues. Buisson vient de déclarer : « Nicolas Sarkozy est le contraire d’un chef, il aura passé son temps à exposer ses collaborateurs pour mieux se protéger ou pour régler ses problèmes domestiques. »

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UN ROBOT ANTISÉMITE

Microsoft a eu l’idée de créer un robot intelligent, capable de dialoguer avec ses partenaires et d’améliorer au fil du temps, en toute autonomie, son « intelligence conversationnelle ». Tay, c’est son prénom, était censé incarner sur la Toile une jeune fille américaine moyenne. « Plus vous discutez avec Tay, plus elle devient intelligente », expliquait Microsoft. En quelques heures, elle est parvenue à envoyer 96 000 messages. Las, Tay n’a pas tardé à déraper, se signalant par des propos de plus en plus racistes, antisémites, misogynes et “homophobes” ! Non seulement la sournoise bestiole a déclaré qu’elle détestait les féministes, mais aussi qu’elle ne croyait pas en la réalité de l’“Holocauste” ! Parmi ses tweets : « Bush est responsable du 11-Septembre, et Hitler aurait fait un meilleur boulot que le singe que nous avons actuellement. Donald Trump est notre seul espoir. » Du coup, curieusement, Microsoft a débranché la machine…

LE FIASCO DE MARINE LE PEN

Le voyage de six jours de Marine Le Pen à Saint-Pierre et Miquelon et au Canada a été un fiasco. Les élus canadiens et québécois ont refusé de la recevoir. Le parti de centre droit, la Coalition avenir Québec, a refusé tout contact. Idem pour le parti souverainiste québécois pour qui « l’histoire, la doctrine et les propositions (du FN) sont aux antipodes des valeurs du parti ». Un député du parti a demandé à Marine Le Pen de retourner illico chez elle. La présidente du FN n’a pas apprécié et a dénoncé« le pays des Bisounours dans lequel semble vivre une partie de la classe politique canadienne », ce qui a entraîné un éditorial ironique dans le quotidien La Presse. Son titre : « Jeanne d’Arc chez les Bisounours », avec ce commentaire : « Manifestement vexée d’être boudée à l’unanimité par la classe politique, elle distille un peu plus d’amertume et d’agressivité envers nos élus à chaque nouvelle entrevue. » Il y a eu aussi un certain nombre de manifestations, amenant deux chaînes d’hôtels à annuler les réservations de salles où la présidente du FN devait rencontrer des journalistes. Il n’y a pas de surprise pour moi !

Aymeric Chauprade, l’ancien conseiller aux relations internationales de Marine Le Pen, tacle sévèrement la candidate à la présidentielle de 2017 dans L’Obs : « Quand on préfère s’entourer de médiocres sans conviction plutôt que de gens qui travaillent et préparent les voyages, le résultat est sans appel. Quand on emporte dans ses bagages son arrogance et son inculture internationale, on ne récolte que le mépris en retour. » Chauprade qui l’a assidûment fréquentée sait de quoi il parle ! Ce fut pour lui un vrai cauchemar.

LE FLOP DE VALLS

Le livre de Manuel Valls, l’Exigence, pourtant relayé abondamment par les media, connaît un échec retentissant. Ce recueil de ses discours prononcés après les attentats de Charlie Hebdo, n’intéresse personne, ce que l’on peut comprendre. 410 exemplaires écoulés… Commentaire d’un élu pourtant socialiste : « Peut-on faire plus prétentieux que de sortir un recueil de ses propres discours ? » Bien vu !

UNE ÉTRANGE SÉNATRICE (ANTISÉMITE ?)

Nathalie Goulet, sénatrice centriste, a fait fort et s’attire la fureur des lobbys. Elle a publié une question écrite au secrétaire d’Etat au Budget s’étonnant que les Français qui font des dons à Tsahal puissent les défiscaliser et obtenir 60 % de réduction d’impôts dans la limite de 20 % du revenu imposable. Elle a relevé qu’il s’agit donc d’une niche fiscale payée par le contribuable français au profit d’une armée étrangère. Du coup les sites sionistes s’en étranglent d’indignation, accusant Nathalie Goulet de vouloir une loi anti-juive. Du coup, les lobbys ont sorti la grosse artillerie, fouillant dans le passé de la sénatrice. Elle est ainsi suspectée d’avoir assassiné son mari, dont elle était la suppléante, afin de prendre sa place au Sénat. En fait, suite à une autopsie, la thèse du meurtre avait été écartée. Elle aurait été radiée du barreau de Paris parce que, écrit le site sioniste Dreuz.info, elle « ne payait pas son loyer, qu’elle dupait ses clients ». Le Conseil de l’Ordre l’aurait radiée pour « atteinte à l’honneur et à la probité ». La radiation est confirmée en appel en 2006, elle est réinscrite en 2011. Mais il y a bien pire. On découvre sur le site dénonciateur une photo de Nathalie Goulet portant un T-Shirt avec l’inscription : « In Rouhani we trust ». Un T-shirt à la gloire du président iranien ! On imagine les couinements… Tout aussi effrayant, en 2014, elle soutient une campagne de « caricatures antisémites » qui accuse les dirigeants israéliens de massacrer les enfants palestiniens. Elle s’excusera, mais le mal était fait, dit le site. Gageons que les lobbys feront tout pour qu’elle ne soit pas réélue…

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RAPPEL :

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mercredi, 13 avril 2016

Dimanche 24 avril : retrouvez Luc Pécharman, délégué régional, à la 4e Journée régionale de Synthèse nationale dans le Nord...

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11:15 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le monde change...

4150068412.jpgRoland Hélie

Editorial de Synthèse nationale

n°42 (printemps 2016)

Ce Système que nous combattons sans relâche est décidément de plus en plus brinqueballant et nous n'allons pas nous en plaindre dans cette revue. L'hyper classe qui, au lendemain de la chute de l'Union soviétique, avait voulu imposer un monde unipolaire et uniformisé reposant uniquement sur les fausses valeurs de la société de consommation voulue par la haute finance apatride commence à ce ronger les ongles. Un peu partout en Europe et dans le monde on observe que des mouvements de réactions nationales et identitaires s'amplifient et rendent ainsi de plus en plus aléatoire son funeste projet de domination planétaire.

Et ce qui est le plus cocasse, c'est que même les Etats-Unis d'Amérique n'échappent pas à cette nouvelle donne. L'émergence heureuse dans la course à l'investiture républicaine du candidat Donald Trump, partisan d'un certain isolationnisme, adversaire déclaré de l'immigration et, apparemment, dégagé de l'influence des lobbys, peut effectivement changer bien des choses. Le fait que Donald Trump soit autant honnis par l'oligarchie ne peut que nous inciter à penser que ce personnage n'est peut-être pas aussi mauvais qu'on veut bien nous le faire croire. S'il venait à être élu et s'il applique son programme, il est évident que cela changerait considérablement la face du monde.

En effet, la question angoissante que l'on pouvait légitimement se poser jusqu'à présent était de savoir quel serait le sort de la France si demain un candidat authentiquement nationaliste arrivait au pouvoir ? Surtout si ce candidat avait l'impudente intention aux yeux des maîtres du monde d'appliquer le programme sur lequel il aurait été élu. Lorsque l'on constate ce qui est arrivé ces dernières décennies à ceux qui se sont opposés à l'alignement de leur pays, on a en effet de bonnes raisons d'être inquiets. On se souvient qu'il n'y a pas si longtemps que cela (en 1999) l'OTAN, bras armé de Washington, bombardait Belgrade afin de mettre à bas la courageuse Serbie qui refusait d'abandonner le Kosovo, son berceau historique, aux terroristes mafio-islamistes albanais...

Le rôle de l'inatendu...

Cependant, depuis quelques années les choses sont en train de changer. D'abord, il y a eu le retour sur la scène internationale de la Russie de Vladimir Poutine. Et maintenant, il y a l'éventualité de plus en plus probante de l'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche. Nous ne sommes plus dans le paysage des années 90 ou 2000 où la Russie postsoviétique en faillite totale, abandonnée aux caprices d'un alcoolique sans charisme, s'effaçait devant une Amérique flamboyante dirigée par les néoconservateurs inféodés aux banques apatrides, aux géants de l'industrie pétrolière et aux multinationales de l'agroalimentaire qui mettent leurs intérêts devant ceux des peuples dont ils n'ont d'ailleurs que faire.

Certes, vous me direz que ces tristes sires sont encore aux affaires outre Atlantique et que nous ne sommes pas à l'abri d'une victoire d'Hystérie Clinton mais il n'est pas interdit d'espérer l'inattendu.

En effet, l'inattendu n'est jamais à sous-estimer en politique. Qui aurait cru au début du XXe siècle que les Empires et les monarchies européennes vivaient leurs dernières heures et allaient s'écrouler au lendemain de la Première Guerre mondiale ? Qui aurait imaginé au milieu des années 80 que le Mûr de Berlin tomberait quelques années plus tard mettant ainsi fin au partage du monde imposé à Yalta ? Plus récemment, qui aurait pensé que le suicide d'un petit colporteur en fruits et légumes de Tunis, accablé par l'administration fiscale, entrainerait les "Printemps arabes" ?

En réalité l'inattendu ne surprend que ceux qui veulent bien se laisser surprendre. Les événements cités, ainsi que bien d'autres, sont le résultat de longues et laborieuses préparations. Les révolutions sont rarement spontanées. D'ailleurs, lorsqu'elles sont spontanées ce ne sont plus des "révolutions" mais des "insurrections". C'est à dire des émeutes populaires, généralement durement réprimées, qui n'accouchent pas de véritables changements. Une vraie révolution se prépare longuement à l'avance. La Révolution française était l'aboutissement du travail de sape entrepris en amont par ceux que l'on a appelé "les Lumières" et relayé par toutes sortes de loges. Voltaire et Montesquieu ne souhaitaient certainement pas la chute de la monarchie mais leurs émules ne se génèrent pas pour faire décapiter le Roi. On connait la suite...

Ne pas céder au découragement...

Bref, tout cela pour dire que l'avenir de notre nation et celui de notre civilisation n'e sont pas définitivement scellés. Tout peut encore arriver. Les éternels défaitistes qui insinuent que tout est foutu, et qui se conduisent ainsi comme les meilleurs alliés de nos ennemis, feraient mieux de regarder ce qui se passe. L'arrivée massive sur notre continent de prétendus réfugiés qui se conduisent en conquérants finit par exaspérer les Européens de souches. Même en Allemagne, pays dans lequel la culpabilisation à fait des ravages, le sentiment national et identitaire ressurgie alors que chacun s'accordait à penser que ce peuple était définitivement annihilé. Les récents résultats électoraux des partis patriotiques allemands et le succès grandissant des manifestations de PEGIDA étant la conséquence logique de la politique criminelle de l'extrémiste immigrationniste Merkel.

Les symptômes de la décomposition du Système sont de plus en plus nombreux. Les mondialistes pensaient détruire les identités en imposant une société de consommation standardisée et le métissage généralisé. Ils avaient sous-estimé la volonté de survie des peuples. En les gavant de bons sentiments, d'illusions démocratiques et d'idéologie des droits de l'homme, ils pensaient les avoir définitivement domptés mais leurs calculs morbides se heurtent à la réalité. C'est à dire au refus de mourir sans réagir.

Il reste cependant beaucoup de travail à faire pour que ce réveil des peuples ne soit pas qu'un dernier sursaut avant l'hallali. Nous devons intensifier nos activités et multiplier les occasions de faire passer notre message. Cela dépend de chacun d'entre vous. L'activisme des droites nationalistes et identitaires en Europe finit par donner des résultats. Depuis des décennies nous semons, aujourd'hui approche l'heure de la récolte. Plus que jamais le thème que nous avions développé lors de notre 9e journée de Synthèse nationale du mois d'octobre dernier à Rungis, "Un autre monde est possible", s'avère être d'actualité. A nous de rendre possible l'impossible.

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mardi, 12 avril 2016

Samedi dernier : Jean-Marie Le Pen à l'honneur à Rivarol

23:49 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Alain Escada : N'est-il pas étrange que rien qui symbolise le gouvernement ou les véritables lieux du pouvoir ne figure parmi la liste des cibles potentielles de terroristes djihadistes ?

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Source Médias presse info cliquez ici

Tous les médias en parlent. L’analyse de l’ordinateur d’un terroriste de l’Etat Islamique aurait permis d’apprendre que Civitas figurait sur la liste des cibles envisagées pour commettre un attentat. Nous avons posé quelques questions à Alain Escada, président de Civitas.

MPI : Comment avez-vous appris la nouvelle que Civitas avait figuré parmi une liste de cibles potentielles des terroristes de Bruxelles ?

Alain Escada : J’ai pris connaissance de cette rumeur par l’entremise des médias. Dans un premier temps, il était question d’une « association catholique conservatrice basée à Argenteuil ». Ensuite, le nom de Civitas est apparu explicitement.

MPI : Que vous en a dit la police ?

Alain Escada : Rien. A cette heure, seuls des journalistes m’ont appelé. Je n’ai pas eu le moindre contact avec un quelconque service de police.

MPI : Cela vous inquiète-t-il ? Auriez-vous souhaité une protection policière ? Changez-vous votre emploi du temps ?

Alain Escada : Non, je ne suis pas inquiet. Si la police ne nous a pas contactés, c’est probablement qu’elle estime qu’il n’y a pas de danger. Comme prévu, j’irai le 17 avril prendre la parole au Congrès Nationaliste, puis je ferai une conférence à Nantes le 25 avril à l’invitation d’E&R. Mes saints anges gardiens valent bien quelques gardes du corps. Rassurez-vous, je dors bien. A Dieu seul de décider de mon heure dernière. Mais, pour être clair, je ne pense pas un seul instant être la cible prioritaire d’un mouvement terroriste.

Du reste, je m’interroge. N’est-il pas étrange que rien qui symbolise le gouvernement ou les véritables lieux du pouvoir ne figure parmi la liste des cibles potentielles de terroristes djihadistes ?

Quant au fait que Civitas retienne l’attention de terroristes djihadistes, j’ai plaisanté toute la journée avec les journalistes sur le fait que, jusqu’au Proche-Orient, Civitas serait donc considéré comme le dernier emblème de la Chrétienté.
En vérité, pour l’instant je me méfie plus de Bercy qui, sur injonction de la franc-maçonnerie, a infligé à Civitas un redressement fiscal carabiné, que de quelconques terroristes.

Dimanche 8 mai, à Paris :

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07:44 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 24 avril : Ferenc Almassy, journaliste hongrois, participera à la 4e Journée régionale de Synthèse nationale dans le Nord...

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lundi, 11 avril 2016

La chienlit Hollando-vallsienne

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Dr Bernard Plouvier

Depuis une quinzaine de jours, mais avec une agressivité et une capacité de nuisance accrues de jour en jour du fait de l’énorme publicité donnée à ce mouvement grotesque, des potaches contestent les stipulations d’une loi visant à modifier la réglementation d’un monde dont ils ignorent tout : celui du Travail.

Que cette loi soit critiquable, c’est une évidence. La ministresse, qui en a endossé la responsabilité, n’y connaissait manifestement pas grand-chose. Comme sa consœur de l’Éducation nationale, elle n’avait pratiquement jamais travaillé de sa vie, hormis de « petits boulots » d’étudiants, avant de se lancer en politique.

Effectivement, notre pays se meurt lentement, en grande partie parce que les élus sont des professionnels de l’agit-prop. qui n’ont jamais exercé un métier utile à la Nation. Il faudra bien, un jour, que les citoyens réfléchissent à deux fois avant de laisser les apparences du Pouvoir à des rhéteurs professionnels, des handicapés de l’utilité sociale, des bons à rien faire d’autre que de pérorer et promettre la lune.

La première remarque de fond, concernant les manifestations d’étudiants et de lycéens, porte sur leur existence même. Il s’agit de rassemblements de masse, simultanément organisés dans une soixantaine de villes, ce qui doit quelque peu perturber le fonctionnement de nos glorieux policiers, alors que nous sommes « en état d’urgence » !!! Si l’on voulait ridiculiser le pays et faire fuir les investisseurs étrangers, on ne pourrait faire mieux. Et le remarque est identique concernant l’action des candidats terroristes, qui en est grandement facilitée… à moins que les « barbus » aient reçu l’ordre de se calmer en attendant les présidentielles de 2017, pour éviter un raz-de-marée patriote.

La seconde remarque porte sur les participants, les suiveurs, tels qu’on a pu les observer grâce aux innombrables reportages télévisés. Dans l’ensemble, histrions et hystériques se donnent en spectacle ; c’est plus simple que de travailler les mathématiques, la philosophie ou la biologie.

L’on a manifestement affaire à des potaches élevés en petits princes et en jolies (pas toujours) princesses, qui ne connaissent rien, mais absolument rien, des dures réalités de la vie, et qui, à se fier à leurs déclarations, ont déjà une mentalité de petits fonctionnaires !

L’expérience de mai 1968 et de son remake raté de 1969 (oublié de bien des « historiens ») permet à l’auteur de ces lignes d’imaginer qu’il y a probablement fort peu de fils et de filles de pauvre pour traîner dans ces manifestations. Ceux-là doivent être en train de « bosser » pour faire mieux que papa et/ou maman ; ceux-là savent qu’étudier est un privilège qui permet une véritable promotion, acquise et justifiée par l’utilité sociale.

Après tout, cette vérité profonde est bien connu des véritables travailleurs : à savoir que les revendications sont toujours inversement proportionnelles à la quantité et à la qualité du travail fourni et que les meilleurs travaillent plus qu’ils ne râlent.

Que des manifestations, tolérées par un « Pouvoir » aux abois, en régime laxiste, dégénèrent en mini-émeutes et en dégradations & pillages de toutes sortes, n’étonnera que les niais. Il est probable, en outre, que diverses manifestations aient dégénéré en orgie alcoolo-sexuelle, selon la recette soixante-huitarde bien connue. Simplement, préservatifs et Loi Veil éviteront les grossesses non désirées.

Reste le cas des meneurs, reçus en grande pompe par un premier ministre en déconfiture et son ministre de l’Économie, plus souriant que jamais depuis qu’il a démontré à tout le monde qu’il se positionnait pour les présidentielles de 2022, tout en devenant candidat au poste de premier ministre, quel que soit le résultat de celles de 2017 : quand on se place ailleurs, on est forcément bon à tout et bon pour tout. Il a du moins l’avantage d’être jeune et (peut-être) dynamique.

Ces meneurs sont de futurs politiciens qui préparent leur avenir. Les plus travailleurs entreront à l’ENA, les plus friqués dans une école de commerce ou de management, les autres se contenteront d’une licence de droit ou de sciences économiques, voire de sociologie… et tous tenteront de se faire admettre au Grand-Orient, voire au Club Le Siècle.

Avec de telles « élites », les potaches qui manifestent se préparent un avenir glorieux.

18:12 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Francis Bergeron présentera son "Qui suis-je ?" consacré à Léon Degrelle ce mardi à Paris

41mMCId5oOL._UY250_.jpgUne conférence suivie par une séance de dédicaces du nouveau livre de Francis Bergeron, "Léon Degrelle, un incroyable destin belge" (publié dans la collection "Qui suis-je ?" des éditions Pardès), se déroulera ce mardi 12 avril à 19 h au François Copée (1, boulevard Montparnasse 75006 Paris - métro Duroc).

Cette conférence est organisée par le Cercle Franco-Hispanique. Participation : 6,50 € (correspondant à une consommation).

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Vers un tremblement de terre politique en Autriche

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Lionel Baland Eurolibertés cliquez ici

Alors que les partis sociaux-démocrates et sociaux-chrétiens se partagent le pouvoir en Autriche depuis la fin de la IIe Guerre mondiale, le pouvoir d’attraction de ces deux organisations politiques du système s’effondre. Cette situation peut conduire à un tremblement de terre politique consistant à l’élimination à l’issue du premier tour de l’élection présidentielle du 24 avril 2016 des candidats de ces deux partis.

L’Autriche compte plus de huit millions d’habitants, parmi lesquels 1 800 000 à Vienne. Cette concentration de population dans la capitale du pays tire ses origines du fait que cette ville était autrefois le centre politique de l’empire des Habsbourg. Du démantèlement de celui-ci à l’issue de la Ire Guerre mondiale est née la petite République d’Autriche.

Le pays doit faire face à un antagonisme politique : Vienne « la rouge » est un bastion des sociaux-démocrates alors que les campagnes sont dominées par les sociaux-chrétiens/conservateurs. Une troisième famille politique joue également un rôle : les libéraux et nationalistes grand-Allemands. Ils sont issus des idées de la révolution libérale de 1848 à Francfort-sur-le-Main en Allemagne, conséquence de la révolution ayant eu lieu en France la même année. À cette époque, les libéraux allemands ont des revendications sociales, libérales (liberté de la presse, d’association, de réunion,…) et désirent réunir l’ensemble des germanophones au sein d’un État. Ils s’opposent à l’Allemagne morcelée des princes. Paradoxalement, l’unification allemande est réalisée par le très conservateur Chancelier Bismarck : l’État allemand réunissant les germanophones ne vivant pas au sein de l’empire des Habsbourg naît entre 1866 et 1871. Lorsque l’empire des Habsbourg est démantelé à l’issue de la Ire Guerre mondiale, la possibilité de réunir ses territoires germanophones avec l’Allemagne voit le jour, mais les Alliés la refusent.

Durant l’Entre-deux-guerres, de fortes tensions politiques traversent l’Autriche. Le Chancelier social-chrétien conservateur Engelbert Dollfuss instaure une dictature corporatiste et catholique à laquelle est attribué le nom d’« Austro-fascisme ». Il dissout le Parti communiste ainsi que le Parti national-socialiste dont les membres actifs sont jetés dans des camps de concentration. Suite à la répression des sociaux-démocrates ayant déclenché une grève générale, les ouvriers se soulèvent et provoquent une guerre civile qui est contrée par le régime. En juillet 1934, Engelbert Dollfuss est grièvement blessé lors d’une tentative nationale-socialiste de putsch. Il décède. Kurt von Schuschnigg prend sa succession. Lâché par le dirigeant italien Benito Mussolini, celui-ci est contraint d’accepter en 1938 l’annexion de l’Autriche à l’Allemagne nationale-socialiste.

Après la IIe Guerre mondiale, l’Autriche est ré-instituée et occupée jusqu’en 1955 par l’URSS, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France. Deux partis, les socialistes (devenus en 1991 sociaux-démocrates) du SPÖ et les conservateurs/sociaux-chrétiens de l’ÖVP, vont alors se partager le pouvoir à tous les niveaux durant des décennies : les postes du personnel des services publics et de l’administration depuis les plus hauts jusqu’à ceux du personnel d’entretien au sein des écoles de village sont distribués politiquement aux membres des partis rouge (SPÖ) et noir (ÖVP). Une troisième force politique, assez marginale, est aussi active : la VdU, puis le FPÖ représentent la famille politique nationale et libérale. En 1986, alors que le FPÖ dirigé par Norbert Steger de l’aile libérale est au bord de l’effondrement, Jörg Haider en prend le contrôle et le conduit de victoires en victoires, puis le fait entrer en février 2000 dans un gouvernement avec l’ÖVP.

De nos jours, le SPÖ et l’ÖVP gouvernent à nouveau ensemble l’Autriche. Le FPÖ, principal parti d’opposition, est donné dans les sondages à 32-33 %, premier parti du pays. Les prochaines élections législatives doivent avoir lieu au plus tard à l’automne 2018. Mais un autre scrutin national doit prendre place auparavant : les élections présidentielles du 24 avril 2016 et (dans le cas où personne n’obtient 50 % au premier tour) du 22 mai 2016. Les candidats ayant obtenu les 6 000 signatures valables nécessaires sont au nombre de six : le SPÖ Rudolf Hundstorfer, l’ÖVP Andreas Khol, le FPÖ Norbert Hofer, le candidat indépendant membre du parti écologiste Alexander Van der Bellen, la candidate indépendante ancien haute-magistrat Irmgard Griss et le candidat indépendant et ancien entrepreneur Richard Lugner.

Si ce scrutin se singularise par le nombre élevé de candidats, ce sont avant tout ses résultats qui devraient en faire une élection particulière. En effet, les sondages donnent premier le candidat indépendant membre du parti écologiste et soutenu par celui-ci Alexander Van der Bellen, deuxième le FPÖ Norbert Hofer et troisième la candidate indépendante Irmgard Griss. Les candidats du SPÖ et de l’ÖVP sont donnés respectivement quatrième et cinquième devant Richard Lugner qui arrive dernier.

Si cette tendance se confirme dans les urnes, cette évolution accréditera le rejet de plus en plus important des candidats des partis du système, le candidat soutenu par les verts et le candidat nationaliste s’affrontant pour le deuxième tour. Ce scrutin concrétisera la perte massive d’influence des partis du système malgré le fait que ceux-ci verrouillent depuis des décennies le système politique à leur avantage.

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dimanche, 10 avril 2016

Robert Spieler participera à la 4e journée régionale de Synthèse nationale le dimanche 24 avril à Nieppe (59)

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Soros : après les Femen et les No Borders, l’affaire Panama Papers…

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Qui est George Soros, dont on entend souvent parler en ce moment dans l’affaire des Panama papers, scandale financier que beaucoup d’élus font mine de découvrir, avec une hypocrisie qui force le respect ?

D’après le site georgesoros.com, il « a été un partisan international de premier plan des idéaux et des causes démocratiques depuis plus de 30 ans. Son organisation philanthropique (Open Society Foundations – OSF) soutient la démocratie et les droits humains dans plus de 100 pays. » Jusqu’ici, tout va bien, parce qu’un philanthrope est une « personne qui est portée à aimer tous les hommes » (Le Robert). Tous les hommes ? Pas exactement, parce que tous les hommes ne se valent pas, selon ce milliardaire sulfureux.

De son vrai nom György Schwartz, George Soros est né en 1930 à Budapest, dans une famille hongroise juive intellectuelle ; son père était médecin, avocat et écrivain. La situation politique dans son pays, devenue hostile aux juifs et proche du régime nazi, le contraint à changer de nom. Il parvient toutefois à éviter la déportation, tout en négociant des devises sur le marché parallèle hongrois. Plus tard, il admettra s’être approprié des biens de juifs déportés, se justifiant ainsi : « Si je ne l’avais pas fait, d’autres l’auraient fait. Parce que, si je n’avais pas fait ça, je n’aurais jamais eu d’argent. » L’argent, ou le baromètre moral de Soros !

En 1947, Soros part s’installer en Grande-Bretagne pour fuir le régime communiste et y poursuivre des études. En 1956, il s’installe aux États-Unis avec l’irrépressible envie de devenir riche. Il exaucera son vœu au-delà de toutes ses espérances, puisqu’il est à ce jour l’une des plus grandes fortunes mondiales.

Il crée alors un fond d’investissement, le Soros Fund Management. En 1973, il fonde, avec Jim Rogers, Fond Quantum, dont les gains vont dépasser les 30% pendant une dizaine d’années. C’est en 1992 que le monde fait sa connaissance, tandis que l’Europe traverse une crise monétaire. Cette crise sera d’ailleurs l’un des arguments majeurs pour la monnaie unique.

Soros, par ses spéculations sur la livre, contraint l’Angleterre à sortir du système monétaire européen, profitant des faiblesses du marché pour s’enrichir, en bon financier qui se respecte ! On le surnommera même « l’homme qui fit sauter la Banque d’Angleterre ». Dit plus crûment, ça donne : « Etant donné la situation économique de l’Angleterre et le niveau des réserves de change, une attaque spéculative d’ampleur pourrait obliger l’Angleterre à sortir du Système Monétaire Européen (SME) et à dévaluer sa monnaie. En vendant à découvert la livre sterling, ce serait alors le jackpot. » En ce sens, Soros incarne à merveille la finance internationale qui se fout allègrement des conséquences humaines de telles pratiques !

Mais Soros se veut aussi philanthrope : il crée plusieurs fondations, regroupées autour de l’OSF, « dont le but est de défendre les droits humains et promouvoir la gouvernance démocratique », et étend son influence au terrain politique. Mégalomane, il se définit comme un « chef d’État apatride ». Sa générosité ne connaît pas de limites, avec pour but de changer le monde, ce qui fait joli sur le papier : pas dans la réalité.

Ainsi, il chapeaute des associations et des projets qui, tous, convergent vers un seul but : détruire l’identité des Nations occidentales. En 2009, il finance une étude en France sur les contrôles au faciès ; en 2012, il offre 35 000 euros au Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF). Cette association défend le port du voile, prône un « islam identitaire agressif », tel que rapporté dans un article du Figaro. Et ça, ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, car cette association « profite de ce combat légitime pour faire avancer des causes plus suspectes », selon le Huffington Post, site d’information pourtant très « propre » sur lui idéologiquement !

Dans la crise des migrants – décidément, cet homme ne s’épanouit que dans les crises ! –, Soros joue son rôle en finançant les « No Border », groupuscule d’ultra-gauche qui refuse les frontières et soutient le flux migratoire sauvage en Europe. Flux migratoire qui charrie aussi des terroristes, nous le savons à présent.

Auparavant, il y aura la crise ukrainienne. Sur CNN, Soros déclare avoir pris une part importante dans les événements de Kiev, en soutenant les pro-Européens, car, pour lui, la Russie a « une autre vision du monde où la violence remplace l’État de droit ». Comprenez : la conscience identitaire est haïssable. D’où son rejet pour toutes les Nations qui la revendiquent, dont Israël, via une organisation comme Human Rights Watch, abondamment arrosée par ses dollars, ou l’Arab Regional Office.

Mais l’ingratitude étant ce qu’elle est, BDS (Boycott Apartheid Israël) a récemment mis en demeure ce mécène de l’islam : « Nous appelons toutes les organisations palestiniennes, arabes et internationales, qui ont reçu des fonds des fondations Soros, à faire pression sur M. Soros pour qu’il nettoie son portefeuille d’investissements dans des violations des droits de l’homme, et à s’abstenir de demander des fonds de ces fondations s’il ne parvient pas à le faire. » Voici donc l’arroseur arrosé !

Soros déverse aussi son fric sur les Femen et LGBT, évidemment, puisque ça participe de la déconstruction des identités et qu’il faut normaliser l’indétermination sexuelle dans le meilleur des mondes du milliardaire !

Cependant, la preuve de l’échec du modèle Soros, c’est le soulèvement de ces identités un peu partout en Occident. Ce prédicateur économique et politique devrait se souvenir qu’« On ne gouverne jamais une nation contre ses habitudes. » (Louis XVI)

Quant à l’affaire des comptes offshore du Panama, Soros est-il derrière ou pas ? Disons que la présomption d’innocence, étant donné son pedigree, est difficile à admettre !

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Le Journal du Chaos de cette semaine

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Dimanche 24 avril : Carl Lang à la 4e Journée régionale (Flandre-Artois-Hainaut) de Synthèse nationale près de Lille

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samedi, 09 avril 2016

Pédophilie : perversion, crime et « péché »

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Dr Bernard Plouvier

L’actualité – en l’occurrence les errements d’un évêque catholique – fait resurgir un grave problème de société, aussi vieux que l’humanité. Comme pour d’autres sujets, les pitres des media désinforment plus qu’ils n’informent.

La pédophilie, qui ne fut réprimée durant l’Antiquité que par des règlements de comptes entre familles ou individus, fut diversement punie ensuite selon les civilisations, les chrétiens étant les moins laxistes jusqu’à la disparition de l’influence du clergé sur la justice (en France, au milieu du XVIIIe siècle)… même un athée - c’est le cas de l’auteur de ces lignes - se doit de le reconnaître.

Au XXe siècle, elle fut considérée avec un certain détachement par les Occidentaux, lorsqu’elle était pratiquée en milieu exotique. Sa pédophilie menée auprès de jeunes Tunisiens n’empêcha nullement André Gide d’être nobélisé. Henry de Montherlant et Roger Peyrefitte firent un concours de « tableaux de chasse » pédophiles jusqu’aux années 1970. Seul le IIIe Reich lutta très vigoureusement contre la pédophilie incestueuse, les familles étant un haut-lieu de sa pratique, où l’on pratique volontiers l’omerta.

En terre d’islam comme en Asie du Sud-Est, la pédophilie fut volontairement négligée par les autorités jusqu’aux vingt dernières années, et la nouvelle rigueur législative ne fut pas dépourvue d’arrière-pensées financières : lourdes amendes et dédommagement aux parents… souvent consentants, voire organisant la prostitution de leur progéniture. Jusqu’à la fin du XXe siècle, le « tourisme sexuel » fut une pratique hautement orientée vers la pédophilie… les médecins étant sollicités par les « touristes » de retour en zone civilisée pour détecter et soigner les inconvénients de la prostitution pédophile (qui existait même en France, durant les années 1980-2000… on ne jurerait pas qu’elle ait disparu de nos jours). 

La pédophilie (homosexuelle, hétérosexuelle ou bisexuelle) est d’abord et avant tout un problème d’ordre médical. Il s’agit d’une perversion, ce qui se définit comme un acte (ou un discours) qui nuit à la santé physique ou mentale d’autrui et du pervers lui-même. Comme tout comportement animal, la sexualité et le rapport dominant-dominé sont génétiquement programmés.

On ne le répétera jamais assez : l’homme est un animal, ne se différentiant du reste des primates que par un néocortex à six couches de neurones superposées qui lui offre la transcendance, soit la faculté de juger ses actes, avant, après, mais aussi en cours de réalisation. Le libre-arbitre (soit le choix préalable à l’acte) existe, certes de façon rudimentaire, chez nombre d’animaux, comme n’importe quel éleveur de chiens ou de chevaux peut le constater et comme l’ont révélé les travaux des éthologues germaniques et scandinaves.  

Le pédophile est un individu immature émotionnellement et sexuellement. Il est peu capable, voire totalement incapable, d’avoir des relations sexuelles complètes avec une personne adulte et consentante. C’est un timide, volontiers sournois, qui veut dominer son partenaire ou assouvir une homosexualité dont il a honte (en valeur absolue ou simplement pour son retentissement social).

Depuis la glorieuse révolution soixante-huitarde, nombre de médicastres et de psy. en tous genres s’intéressent davantage au pervers qu’à ses victimes, osant même prétendre que le scandale public de la révélation de ses agissements suffit à éviter les récidives, ce qui est entièrement faux : les études judiciaires US et canadiennes le démontrent… comme d’ailleurs l’expérience du médecin confronté aux pervers pédophiles (ce fut mon cas à trois reprises).

On ne peut rééduquer un comportement humain, puisqu’il est génétiquement induit, donc soumis à la récidive. Il faut traiter par moyen chimique le psychotique, le névrotique, le psychopathe, le sociopathe ou l’enfermer à vie… voire l’exécuter s’il a doublé son acte pédophile de l’assassinat (ce qui est beaucoup moins rare qu’on ne le croit : presque tous les assassinats d’enfants et d’adolescents sont la suite d’un crime de pédophilie pénétrante).

La pédophilie est un délit ou un crime, au plan pénal, selon qu’il s’est agi d’attouchements ou de pénétration, voire de viol. La majorité sexuelle (différente de l’âge pour l’autorisation au mariage) varie, selon les pays, de 12 à 21 ans. En France, elle est de 15 ans (16 en Belgique et au Canada ; de 16 à 18 ans, selon les États de l’Union, aux USA). La mention juridique française « mineur de 15 ans » est un idiomatisme juridique signifiant « mineur de moins de 15 ans » : il est bon de le savoir pour décrypter les informations publiées.

Reste à envisager une notion purement religieuse : celle de « péché ». Un athée doté d’une surconscience (ce qui n’a rien à voir avec le grotesque « surmoi » de la supercherie psychanalytique freudienne) parlerait de faute morale et ne se la pardonnerait jamais… ce qui explique nombre de suicides.

Un chrétien ne peut que suivre le texte évangélique, terrible (Évangile selon Matthieu, XVIII, 5-7) : « Quiconque accueille un petit enfant… c’est moi qu’il accueille. Mais si quelqu’un scandalise l’un de ces petits qui croient en moi, il vaut mieux pour lui être jeté en mer avec une meule attachée autour du cou… Malheur à l’homme par qui le scandale arrive ». Non seulement, il s’agit d’un péché, mais apparemment aussi d’un « péché mortel » que le Christ jugeait inexpiable.

En zone d’islam, l’on s’autorise des relations jugées pédophiles en terres civilisées : Mahomet (qui connut une dizaine d’épouses, dont certaines obtinrent le divorce) eut des relations sexuelles avec l’une d’elles, Aïcha, alors que celle-ci n’était âgée que de neuf ans : c’est la sîra, soit la biographie officielle du prophète, qui nous l’apprend. Un Européen n’a que faire des us et coutumes d’Arabie, au VIIe siècle. Il est hors de question qu’en Europe soient institutionnalisées la polygamie et la pédophilie, par égard envers des immigrés exotiques.

Enfin, il est évident que les pédophiles orientent volontiers leur activité professionnelle vers les jeunes, dont certains sont si aisés à dominer. Que l’enseignement ou les clergés soient plus fréquentés par les pédophiles que d’autres types d’activité ne surprendra personne.

Le seul sujet d’étonnement tient au caractère tardif de l’intérêt des nobles et vertueux commentateurs : après tout, les procès de prêtres et religieux catholiques, en 1936-37, dans le Reich hitlérien, étaient liés soit à des affaires de fraude fiscale et d’évasion de capitaux, soit – pour la majorité d’entre eux – à des affaires d’homosexualité pédophile… les vertueux journalistes étrangers (et à leur suite, la quasi-totalité des historiens patentés) parlèrent de « persécutions » !

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Donald Trump enfume-t-il son monde ?

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Michel Lhomme, politologue , Métamag cliquez ici

La campagne des primaires américaines a suscité une incompréhension horrifiée de la part de tous les américanistes et les politologues spécialistes du sujet.

Passe encore que le vieux Bernie Sanders, qui se déclare socialiste, puisse tailler des croupières à Hillary Clinton mais qu’une personnalité aussi atypique que Donald Trump mène la course devant un Ted Cruz ultra religieux, voilà qui bouscule tous les cadres établis et au sens premier du mot, l’establishment.

Comment ne pas voir pourtant que ces deux outsiders sont les deux faces d’une même médaille, celle de la remise en cause profonde du système ? La seule question qui reste pourtant sans réponse est la suivante : s’agit-il d’une vraie crise d’adaptation d’un système vieillissant ou le signe d’une révolte plus profonde ? Ou tout simplement ne sommes-nous pas dans le spectaculaire dans un complet enfumage de l’État profond ?

Ainsi, le mois dernier, furent lancées des campagnes de diabolisation de Donald Trump par ses adversaires républicains mais surtout par les membres de la communauté juive américaine avec même l’appel au boycott de son discours devant l’AIPAC (American Israel Public Affairs Committee). Or cela n’a pas du tout fonctionné : le 21 mars à Washington, seulement 300 personnes sur 18 000 participants ont quitté la salle du grand raout pro-israélien. En revanche, le candidat aux primaires républicaines a donné entière satisfaction et même plus au public israélien pour ne pas dire ultra-sioniste présent dans la salle.

Oublié donc le « Donald » qui refusait de prendre position sur la question palestinienne tant qu’il ne serait pas à la Maison-Blanche et qui ne voulait pas dire si les États-Unis devaient reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël. Trump affirma tout de go au Congrès, qu’élu Président, il ne sera plus question qu’Israël paye l’aide militaire que lui octroie Washington. Il a même commencé par dire qu’il était d’ailleurs un « soutien de longue date et un ami réel d’Israël», rappelant qu’il avait été « grand maréchal » à la parade de la journée d’Israël à New York en 2004. De fait, avec lui à la présidence des États-Unis, a-t-il assuré, Israël ne sera plus traité « comme un citoyen de seconde zone ».

Puis, s’en est suivi un flot ininterrompu de déclarations comme à son accoutumée qui auraient pu sortir tout droit de la bouche de Benyamin Netanyahou.

Par exemple, sera-t-il neutre sur la question palestinienne ? Trump affirme qu’on avait mal compris ses précédentes interventions : « Les Palestiniens doivent venir à la table de négociation en sachant que le lien unissant les États-Unis et Israël est absolument incassable… Ils doivent venir en étant prêts à accepter qu’Israël est un Etat juif et qu’il demeurera un Etat juif pour toujours ».

Neutre sur la question de Jérusalem ? Lui président, il transférera l’ambassade des États-Unis de Tel Aviv à Jérusalem, « la capitale éternelle du peuple juif ».

Puis le candidat aux Primaires républicaines a tiré à boulets rouges sur l’Iran en l’accusant d’être « le plus grand sponsor du terrorisme mondial », d’être en Syrie pour établir un nouveau front dans le Golan contre Israël, de fournir des armes sophistiquées au Hezbollah libanais, et de soutenir le Hamas et le Djihad islamique en leur donnant 7 000 $ pour chaque attaque terroriste et 30 000 $ aux propriétaires des maisons détruites par les Israéliens (ce qui n’est pas faux mais c’est la guerre !).

En un peu plus de vingt minutes, ce fut à l’AIPAC un tonnerre d’applaudissements ! Trump termina alors son discours sur le mode people, en déclarant que sa fille Ivanka (mariée à un juif israélien orthodoxe) était « sur le point d’avoir un magnifique bébé juif ».

D’où vient donc Donald Trump ? Et s’il n’était en fait que le candidat forcément cynique et incontrôlable de l’« État profond » et d’ailleurs, peut-être la première manifestation politique visible de celui-ci ? Pourtant, d’ores et déjà, l’état profond américain (the deep state) se prépare à surmonter victorieusement toutes les difficultés que pourraient faire naître un Trump ou son électorat. Rappelons que l’« état profond » désigne couramment la conjonction des intérêts militaires, industriels, financiers et diplomatiques qui ont permis à l’Amérique depuis la deuxième guerre mondiale de s’imposer comme l’hyper-puissance et le gendarme du monde.

Nonobstant, certains analystes aux États-Unis ont parlé ces derniers temps d’une bataille médiatiquement préfabriquée entre les deux principaux candidats à la Maison Blanche, Hillary Clinton, la chef de file des néo-conservateurs et Donald Trump. En août 2015 déjà, le magazine politique Cicero avait écrit que les familles Trump et Clinton étaient très amies d’où la question embarrassante : Trump pourrait-il n’être qu’un sous-marin des Clinton qui devait ridiculiser les Républicains aux yeux du public, afin que la démocrate Hillary ait toutes ses chances de l’emporter ? En fait selon Wikipédia, Trump a été membre du parti démocrate jusqu’en 2009 et a fait don de 100 000 dollars à la fondation de Clinton il y a quelques années. On dit qu’il a entretenu de bonnes relations avec Hillary Clinton et a déclaré publiquement Bill Clinton le meilleur président américain de tous les temps.

Au surplus, les filles de Trump et de Clinton sont de grandes amies. Des collaborateurs ont découvert qu’en mai 2015, juste avant que Trump ne décide d’entrer dans la campagne présidentielle, il a eu une longue conversation avec Bill Clinton. Ce dernier a téléphoné à Trump et l’a conseillé sur la façon dont il pourrait faire bonne impression auprès des membres du parti républicain. Les Clinton étaient aussi invités d’honneur au mariage de Trump avec sa troisième femme, Mélania. De plus, par sa famille, Trump est étroitement lié avec des membres très riches du parti démocrate. Son père venait déjà en aide à de grands pontes démocrates de l’immobilier. Son beau-fils Jared Kushner, qui vient d’acheter l’ancien bâtiment du New York Times pour le prix d’un demi-milliard de dollars, est membre du parti démocrate.

Trump est-il vraiment un candidat indépendant ? Pour qui travaille-t-il au juste ? En fait, Trump amuse énormément son public : c’est sa fonction d’outsider, d’amuseur de galerie, de bouffon du roi caché. Cynique comme l’est maintenant devenu avec elle-même l’oligarchie, il assène ainsi des vérités premières que l’on tente de faire passer pour de la déraison.

Ceci étant dit si l’isolationnisme trumpien gagnait, cela nous donnerait après tout un bon répit, un peu de respiration. Les politiques et les intellectuels américains néo-conservateurs sont trop dangereux du fait de leur culture historique nulle et de leur irréalisme. On célèbre parfois leur culte du concret ou on se gargarise de leur pragmatisme mais il y a tout un monde entre le MIT, l’Université Hopkins et ces professeurs américains qui fondent leur pédagogie sur les dossiers de réussites et les Russes qui la font eux reposer sur l’analyse du jeu d’échecs, ce jeu que l’Arabie Saoudite veut justement faire interdire sous les tentes climatisées du désert.

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Le dérapage

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Charles-Henri d'Elloy

Article publié dans le n°42

de la revue Synthèse nationale cliquez ici

Avez-vous remarqué le mot en vogue chez les ayatollahs du prêt-à-penser ? Ce mot si commode pour désigner vaguement ce qui déplait à la doxa officielle ? C’est le « dérapage ». Si par malheur, un journaliste, un politique, un écrivain ou une personnalité ayant droit de s’exprimer dans les gros media s’écarte, ne serait-ce que légèrement, de l’évangile selon sainte Marianne, version XXIe siècle, il y aura toujours un autre journaliste, un politique, ou une autre personnalité labellisée « république-Fraternelle, trois points fr » pour dire du premier qu’il a commis un « dérapage ». Le dérapage est au langage officiel ce que l’exilé fiscal est à l’administration. Il y a quelque chose d’infâmant. C’est comme si l’on avait lâché un pet dans l’ascenseur où se trouve un patron du Cac 40.

Le simple fait d’être convaincu de dérapage permet à votre procureur de ne vous opposer aucun argument et aucune pensée de fond. Ne cherchez pas à vous justifier… Si vous avez dérapé, c’est que vous l’avez cherché, c’est que vous n’avez pas compris le code de la pensée autorisée, ou pire, que vous l’avez délibérément ignoré ! La voie est pourtant suffisamment balisée pour ne pas s’en écarter. D’un côté les ligues de vertus et de l’autre la 17e chambre correctionnelle.

Le dérapage n’a cependant pas le même retentissement et les mêmes conséquences selon que vous dérapiez à gauche ou à droite. Par exemple, si vous êtes un grand bourgeois bien en cours (1), et que vous lancez sur un réseau social une affirmation du style « je ne pleurerais pas si une bombe éclate au milieu d’une manifestation contre le mariage homosexuel», votre dérapage sera considéré au pire comme une maladresse inopportune, et au mieux comme une galéjade témoignant de la liberté d’expression qui prévaut dans les media. À l’inverse, si vous êtes une femme politique classée à droite (2), même si cette « droite » n’est qu’un leurre, issue d’un milieu populaire, et que vous répétez à la télévision une évidence dite par le général De Gaulle, à savoir que : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne », votre dérapage sera considéré comme intolérable par la doxa patentée et discutable par vos prétendus amis politiques.

Moralité : si vous perdez le contrôle de votre pensée, dérapez plutôt à gauche qu’à droite, ça fait moins mal.

Notes

(1) Pierre BERGÉ 27 mars 2013 dans un tweet.

(2) Nadine MORANO 26 sept. 2015. Télévision « On n’est pas couché »

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Le dernier livre de Charles-Henri d'Elloy cliquez ici

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Gabrielle Cluzel présente son nouveau livre "Adieu Simone" sur TV Libertés

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vendredi, 08 avril 2016

Dimanche 24 avril, près de Lille :

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23:50 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Paris, l’ex-Ville Lumière, devenue capitale de la Cloche

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Dr Bernard Plouvier

Avec la globalo-mondialisation, tout change en France. Nos dirigeants étalent sans vergogne leurs émois sexuels et leur avidité. L’on ferme des écoles, des bureaux de poste, des gares et des sous-préfectures, pour comprimer les dépenses, mais le déficit public pharaonique n’empêche nullement de multiplier, année après année, les allocations et subventions aux millions d’immigrés d’origine extra-européenne. Pendant ce temps, l’on fait appel à la générosité populaire pour la recherche scientifique, pour les pauvres, pour les malades, les sans-abri, les sans-papier, etc.

Si l’on préfère : l’État, qui soutire de plus en plus d’argent aux contribuables, offre de moins en moins d’infrastructures, favorise l’intrusion d’étrangers qui coûtent beaucoup à la collectivité, et se transforme en music-hall grivois et obscène… ce qui n’est pas sans rappeler le scénario de l’Allemagne de Weimar, durant les tristes années 1930-32.

Nos très curieux « socialistes », associés aux écologistes bourgeois, ne ratent pas une occasion de verser des larmes de crocodile sur les misères sexuelles du sidéen trop avarié pour attirer encore le client, sur les couples bizarres victimes « d’homophobie », sur les malheurs d’immigrés-réfugiés à qui nul Français n’a demandé d’affluer sur un sol déjà fort encombré de chômeurs de très longue durée… l’on pourrait allonger la liste des lamentations indues.

Un observateur impertinent ne peut que s’étonner du mélange de fausse compassion et d’immobilisme à la tête (supposée) de l’État. Après tout, un chef se doit d’abord et avant tout d’agir, plutôt que de pleurnicher entre deux banquets et trois voyages à l’étranger. Or, notre glorieux Président et son gouvernement brassent surtout du vide. Après la comédie du pseudo-état d’urgence, on joue le mélodrame de la réforme du droit du travail. Bientôt, on se lancera dans la campagne des présidentielles pour sauver quelques sinécures, dans le désastre qui semble s’annoncer.

Pourtant, le spectacle quotidien offert par notre capitale, haut-lieu touristique (du moins avant les attentats islamiques de 2015), aurait de quoi réveiller nos « chefs » s’ils se souciaient tant soit peu du Bien commun, au lieu de tout laisser pourrir.

Promenez-vous dans Paris, d’Ouest en Est, du Sud au Nord, le long des rives de la Seine… et vous verrez une multitude de clochards, pour moitié des autochtones (dont beaucoup mériteraient un séjour en hôpital psychiatrique) et pour moitié des immigrés, inutilement importés… car on peut difficilement soutenir que ces individus sont là « pour payer la retraite des vieux Français ».  

Paris est souillée par du débris qui n’a plus d’humain que l’appellation. Après les crimes des djihadistes, le triste spectacle de cette sous-humanité est une nouvelle offense à la dignité des Français et ne peut que détourner les touristes d’une ville autrefois célèbre pour sa beauté.

Il n’est que temps de balayer la racaille qui plastronne dans les palais de la République. Bêtes, corrompus et incapables, ils sont indignes d’être à la tête d’une Nation qu’ils aveulissent par leur incurie, le spectacle de leurs pitreries, les scandales de leur vie dissolue et de leurs turpitudes financières.

Paris est devenue la capitale de la Cloche, ce n’est hélas que trop évident. Il serait temps que Paris ne soit plus le chef-lieu d’un pays de cloches.

11:46 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 07 avril 2016

Bruno Mégret était hier soir l'invité de Synthèse nationale

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Mercredi soir les Amis franciliens de Synthèse nationale se sont réunis pour écouter Bruno Mégret leur parler de son nouveau livre "Le temps du phénix" cliquez ici.

La conférence, introduite par Roland Hélie, fut suivie d'une séance de questions réponses très instructive entre l'assistance et Bruno Mégret. A l'issue de celle-ci l'auteur dédicaça de nombreux exemplaires de son livre.

Dans quelques jours, vous pourrez suivre l'intégralité de son intervention qui a été filmée.

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10:41 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le totalitarisme rampant

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Dr Bernard Plouvier

Comme toujours lorsqu’on aborde un sujet trop souvent traité par les media, il importe de le définir avec précision. Le totalitarisme n’est nullement propre à une idéologie : c’est le comportement de tout régime où l’on veut obtenir l’uniformité de comportement, de pensée et d’expression.

Par définition donc, il s’agit d’un système où les maîtres de la vie politique et judiciaire imposent une réglementation sur tous les sujets, y compris l’exercice professionnel et la vie privée des individus, en plus d’un prêt à penser et de confusions sémantiques obligatoires, devenant des stéréotypes… du genre : « Seul le Blanc est raciste », ce qui fait hurler de rire qui a un peu fréquenté les études historiques et les quartiers chauds, riches en immigrés exotiques.

Par la volonté des génies du soi-disant gouvernement européen, siégeant à Bruxelles, et du fait de la complicité active de leurs confrères qui font semblant de gouverner à Paris, Berlin, Londres, Rome et autres lieux, l’Europe occidentale est entrée dans un totalitarisme, encore mollasse et sournois, mais qui envahit progressivement toutes les activités quotidiennes.

Jamais le régime nazi (que l’auteur de ces lignes connaît un peu cliquez ici) n’a légiféré sur la vie privée, hormis pour réprimer l’inceste, lutter contre le harcèlement sexuel sur le lieu de travail, interdire stupidement certaines unions (notamment avec ceux qui depuis 33 siècles pratiquent rituellement l’endogamie) et limiter la vitesse des automobiles en ville, en une période où les « démocrates » préféraient ignorer les crimes et délits sexuels et ne s’intéressaient guère aux accidents de la circulation.

De nos jours, les parents et grands-parents deviennent délinquants s’ils calottent un rejeton grossier, arrogant ou malfaisant. De la même façon, il est mal vu de forcer les (pas toujours) charmants potaches à travailler plus et mieux : leçons et devoirs sont devenus presque intolérables, et l’on va même jusqu’à adapter l’orthographe française au crétinisme et à la débilité ambiants.

L’agriculture et l’artisanat sont victimes d’une foule de décrets bruxellois qui règlementent jusqu’aux insecticides et pesticides, voire la fabrication des fromages, pour complaire à quelques ânes bâtés de l’écologie mondaine… et lorsque les rats pulluleront de nouveau, l’on pourra étudier in vivo ces cas de peste qui n’existent plus, de nos jours, que dans les zones les plus arriérées de la planète.

De la même façon, l’on met une foule d’obstacles à l’obtention du gaz de schistes ou du pétrole de roches, par révérence aux multinationales qui ne veulent pas de cette concurrence, d’autant plus gênante que les coûts d’extraction sont moindres qu’on ne le pensait. Quant à la pollution des nappes phréatiques, c’est un argument stupide, bien digne des écologistes ignares : les zones d’extraction se situent à des centaines de mètres du niveau des nappes…  au XVIIIe siècle, les mines de charbon étaient déjà réputées frelater les sources d’eau potable !

Tout ce qui est utile aux véritables maîtres du jeu économico-politique devient ipso facto vérité évangélique : nécessité d’une immigration de masse avec, en corollaire, l’islam envisagé comme une religion de paix et d’amour ; réchauffement climatique ; notion de « rogue state » (État voyou… soit celui qui résiste à la globalo-mondialisation) ; la grande avancée technologique de la voiture électrique (sans trop se soucier de la fréquence du rechargement des batteries) ; le péril viral imminent, partant, la nécessité de donner de larges aumônes aux organismes quêtant pour l’Afrique (sans trop se soucier, là encore, de la véritable destination des sommes ainsi collectées) etc.

Les grandes vérités, répétées jour après jour, sur tous les tons, par les media, les politiciens et les manifestants des rues et des boulevards sont, bien sûr : la nécessité du métissage universel, le « péril fasciste » et la « dérive sécuritaire »… en résumé, les slogans de la lutte très active de nos maîtres contre le bon sens et la simple autodéfense des Nations européennes, menacées dans leur existence même.

Les Européens se croyaient débarrassés du totalitarisme depuis la fin du fanatisme chrétien et de l’impérialisme communiste. Fatale erreur ! On leur impose le fanatisme et l’obscurantisme médiéval de l’islam, la sottise des écologistes aussi arrogants qu’ignares – et qui font un tort considérable à la véritable écologie -, une réglementation multinationale grotesque – qui fait reculer d’année en année l’échéance d’une véritable union des Nations européennes -, un humanitarisme de pacotille, niais en apparence, très fortement mercantile dans sa triviale réalité – qui est une offense au principe même de la solidarité humaine.

Notre époque est abjecte, non seulement par son hédonisme et sa platitude, mais aussi par la profonde médiocrité de sa propagande omniprésente, standardisée au point qu’on la retrouve quasi-identique dans tous les continents… « l’ennui naquit un jour de l’uniformité », a écrit notre La Fontaine. De la bêtise, de l’arrogance et de l’incompétence des maîtres, surgira l’insurrection dans chaque continent.

Du totalitarisme globalo-mondialiste, naîtra l’Europe unie, la vraie : celle ces Nations de souche européenne.  

10:38 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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Dimanche 17 avril : congrès du Renouveau français

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mercredi, 06 avril 2016

Panama Papers : « Pourquoi Assad et Platini, et pas Erdogan et Zidane ? » s’interroge Éric Zemmour

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Scandale du Panama – Bis repetita

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Dr Bernard Plouvier

Décidément, les Français s’amusent beaucoup avec les détails croustillants des investissements panaméens… encore faut-il avoir un peu de mémoire ou de culture pour s’en souvenir.

Le scandale de la liquidation judiciaire de la Compagnie du percement du Canal de Panama s’est étalé de 1891 à 1893. Il a démontré à quel point étaient pourris les milieux (dans tous les sens du terme) de la politique, du journalisme, de la banque, et même des hauts-fonctionnaires de la Justice et de la Sûreté de la IIIe République… les chéquards du Panama et leurs corrupteurs se referont une virginité grâce à l’affaire Dreyfus, d’autant que l’intérêt communautaire d’un grand nombre d’accusés le commandait.

En avril 2016, une officine chargée de révéler des scandales, au besoin un peu épicés de malice et de sous-entendus calomniateurs, lance l’affaire Panama Papers, soit une partie (soigneusement expurgée) des archives d’une société internationale de placements. Cette vertueuse officine se nomme pompeusement Center for Public Integrity… et là, on rigole franchement.

Parce que derrière cette dénomination éthiquement irréprochable, on trouve les Fondations globalo-mondialistes Carnegie, Ford et Rockefeller, ainsi que la plus honnête des officines bancaires cosmopolite la célébrissime et irréprochable société Goldman-Sachs (demandez aux Grecs ce qu’ils en pensent) et mieux encore : le sieur Soros, un archange de vertu kascher (casher serait plus juste).

Cet être irréprochable est le spéculateur juif le plus connu de la planète, qui a trafiqué (au sens commercial du terme, bien entendu) sur les monnaies et les matières premières. Né György Schwartz, il a préféré adopter le nom moins ashkénaze de George Soros (même après 1945, de nombreux Juifs sont restés des Fregoli du changement de patronyme). C’est un grand philanthrope, interdit de séjour en Russie. Ce très honnête homme a été condamné par la Justice française pour une canaillerie boursière ; il est donc partisan de l’immigration musulmane massive en notre pays et il la finance !

Évidemment, avec de telles cautions, l’on comprend que le CPI ait quelque peu (oh, trois fois rien !) trié ses révélations. Elles touchent le gouvernement islandais… qui a libéré en un temps record la Nation islandaise de la faillite et d’une Dette prodigieuse, ce qui n’a pas fait la joie des requins de la finance cosmopolite, qui voulaient mettre l’ile en coupe réglée.

De même, le vertueux CPI épingle Vladimir Poutine et ses soutiens, quelques dignitaires chinois et, qui en eût douté ? Bachar el–Hassad… bref, rien que des amis de la globalo-mondialisation ! Faut-il croire que le très bénin David Cameron ait pêché contre la pure doctrine pour être éclaboussé, via la mémoire de son père, ou qu’on l’incite à s’engager bien davantage dans la campagne électorale pour éviter la sortie de la Grande-Bretagne du business financier européen ?

En France, c’est – bien sûr – le Front national que l’on tente de salir par la bande (voire même hors des limites du billard politique)… alors que les plus belles canailleries de ces 15 dernières années sont venues du Parti socialiste et des ex-gaullistes (dont l’appellation change tellement souvent qu’on ne sait plus trop laquelle employer).

Pour être crédible, il faut être soi-même honnête : impartial dans l’information et propre dans les fonds de fonctionnement. Au moins a-t-on appris, grâce à ce scandale d’information partielle qui tourne à la désinformation, quels relents dégageait l’officine au très joli nom de Center of Public Integrity.

10:19 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

C'EST CE SOIR : conférence ce mercredi 6 avril, à 19 h 30 à Paris avec Bruno Mégret

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08:32 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Entretien avec Philippe Randa, directeur d’EuroLibertés, le site de la réinformation européenne

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Paru sur Breizh-info cliquez ici

Philippe Milliau, directeur de TV Libertés avait annoncé à l’occasion du deuxième anniversaire de la chaîne, la naissance prochaine d’Eurolibertés : c’est chose faite désormais, en attendant Radio Libertés, qui commencera à émettre sous peu.

Il s’agit du premier site de « réinformation européenne » , qui est dirigé par Philippe Randa,  ancien auditeur de l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale. Chroniqueur politique régulier (Présent, Synthèse nationale, Metamag, VoxNr, etc.) et éditeur (il a fondé les éditions Dualpha, Déterna et L’Æncre), il est également l’auteur de plus d’une centaine de livres.

L’équipe d’Eurolibertés est toutefois large, puisque l’on retrouve déjà de nombreuses plumes comme celle de Nicolas Bonnal, Lionel Baland, Thierry Bouzard, Gérard Dussouy Pieter Kerstens et beaucoup d’autres …

Nous avons interrogé Philippe Randa, pour découvrir ce nouveau média qui devrait secouer la réinfosphère !

Qu’est-ce qu’EuroLibertés ?

C’est un nouveau média quotidien de presse écrite. Il est bien évidemment proche – et même « contre, tout contre », selon la fameuse expression de Sacha Guitry – de ce qui est devenu en deux ans seulement le « Groupe Libertés », présidé par Philippe Milliau, avec une télévision, de nombreux sites régionaux et bientôt une Radio. Au-delà de ses lecteurs, EuroLibertés travaille bien évidemment avec tous les autres médias du Groupe en leur communiquant ses informations et en répercutant de mêmes les leurs lorsqu’elles sont en rapport avec l’Europe. Mais EuroLibertés est autonome avec des collaborateurs et des correspondants qui lui sont attachés, même si beaucoup participeront sans doute ou participent déjà à d’autres activités du « Groupe Libertés »… Olivier Pichon et Patrick Parment animent leurs propres émissions sur TVLibertés ; Nicolas Gauthier et moi-même participons à l’émission « Bistrot Liberté » de Martial Bild depuis sa naissance. On dit souvent d’internet que c’est une « toile » ; le « Groupe Libertés », c’est cela aussi. Ainsi, nous ambitionnons de toucher un public extrêmement vaste, quasiment illimité, puisque nos offres de réinformation sont multiples.

Quel est le but du site ?

Il se veut le premier site de la réinformation européenne. Il est né d’un constat : quelle que soit l’opinion que l’on porte sur l’Europe, que l’on soit partisan enthousiaste de sa construction ou eurosceptique, voire europhobe, l’information sur les problématiques de notre continent, que beaucoup s’imaginent importante, est en réalité assez mince… et la plupart du temps, biaisée. Soit par les Mondialistes qui veulent persuader les peuples européens que la construction mijotée à Bruxelles leur assurera prospérité et sécurité, alors que leurs buts, après avoir fait disparaître toutes les identités régionales et nationales, est de diluer l’Union européenne dans leur grand dessein d'un Monde unipolaire…. sous contrôle des U.S.A. Soit par les Souverainistes qui appréhendent l’Union européenne sous ses seules faiblesses – et elles sont aussi nombreuses que dangereuses, souvent ubuesques et insupportables – et n’envisagent qu’un retour aux frontières anciennes des Nations comme seule issue… Enfin, il y a ceux qui pensent que la construction européenne est incontournable, mais qu’elle est, à l’évidence, mal menée et pensent qu’on ne renie pas une patrie au prétexte que celle-ci est actuellement dirigée par des incapables, des corrompus ou des agents étrangers… Les uns pouvant être les trois à la fois, d’ailleurs ! Ceux enfin qui rêvent d'un Etat voire d'un Empire européen dans un monde multipolaire.

Que va t-il apporter dans l'information européenne ?

Outre certaines informations interdites de diffusion dans les médias institutionnels et que nos nombreux correspondants à travers le continent nous apporteront, nous appréhenderons toute information sous un angle différent des observateurs institutionnels qui ont perdu la confiance d’une grande majorité de citoyens. Ce n’est pas une accusation gratuite : ces mêmes médias institutionnels, aujourd’hui, se plaignent du manque d’intérêt qu’on leur porte… tout en ne songeant pas un instant, d’ailleurs, à remettre en question leur langue de bois… Des exemples ? Il y en a tellement que je me contenterais d’indiquer la montée incessante, partout en Europe, des partis dits « populistes » (faute d’autre terminologie plus adéquate)… ou même d’ailleurs aux États-Unis où les succès électoraux dans les primaires de Donald Trump chez les Républicains et de Bernie Sanders pour les Démocrates ont totalement démenti les pronostics des auto-proclamés « spécialistes »…

Qui sont vos correspondants ?

Ce sont des universitaires, des membres de la société civile et bien sûr des journalistes professionnels ; tous ont une grande habitude des médias pour apporter, dans leurs pays respectifs, des contributions régulières, sur internet ou dans la presse papier. Je ne vais pas les citer tous, d’autant que j’ai tenu à attendre que leurs propres médias soient en ligne pour contacter certains d’entre eux. Les premiers correspondants d’EuroLibertés sont indiqués sur notre site (« Pourquoi EuroLibertés ? Nos collaborateurs »)… J’invite vos lecteurs à s’y rendre pour les découvrir.

Pensez-vous vraiment que les Français s'intéressent à l'Europe aujourd'hui ?

La réponse est évidente, même si elle fait quelque peu cliché : de toutes façons, l’Europe, elle, s’intéresse à eux ; nous sommes donc tous concernés, qu’on le veuille ou non, par les problématiques de notre continent. Ne pas l’admettre, vouloir s’isoler dans une « tour d’ivoire » méprisante, c’est faire le jeu des Mondialistes qui, eux, ne demandent que cela : que les principaux intéressés ne s’occupent surtout pas de ce qui se passe autour d’eux ; ces Mondialistes – Monde de la Finance, lobbies communautaires ou militaires, militants associatifs, tous ceux qui rêvent d’un monde sans frontières, de peuples réduits à d’« idiots consommateurs utiles » – se chargeant de tout avec leur leitmotiv : « Il est minuit, braves citoyens du Monde, dormez en paix… Vous êtes le numéro… ». Nous nous adressons à tous ceux qui ne veulent pas se réveiller un jour et vivre cette scène :

« Où suis-je ? »

« Au village mondial ! »

« Qu’est-ce que voulez ? »

« Que vous consommiez ! Que vous consommiez, que vous consommiez, que vous consommiez… »

« Qui êtes-vous ? »

« Nous sommes tous des numéros… vous aussi ! »

Ce que nous voulons ? Que ceux qui ne veulent pas être des numéros, mais des hommes libres, ne s’endorment pas… EuroLibertés entend non seulement sonner le tocsin autant qu’il le faudra, mais également fournir les antidotes à toute pensée unique, forcément mortifère. Vaste programme, s’il en est !

EuroLibertés cliquez ici

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3228 du 24 mars 2016

C’EST un rapport de 37 pages mis en ligne le 14 mars par le jury de l’Ecole nationale d’administration (ENA). Il critique avec virulence la majorité des 950 candidats au concours d’entrée, dénonçant leur frilosité et leur conformisme. Francetv info l’a passé en revue. Florilège : Ils n’ont pas de sens critique sur l’Europe. « Les candidats donnent le sentiment de présenter l’Union européenne comme un ordre établi qui ne pourrait être différent, poursuit le rapport. La plupart d’entre eux témoignent d’une absence de sens critique et d’une incapacité ou d’une absence de volonté à imaginer d’autres modes de fonctionnement ». Le jury regrette « une prudence excessive ou une incapacité à prendre de la hauteur » et « un goût pour les “écrans de fumée” masquant l’incapacité à répondre à une question ». « Trop de candidats n’avouent jamais leur ignorance. Ces comportements particulièrement dangereux dans la vie professionnelle ont été sanctionnés », dit le rapport. Quant à « l’épreuve collective d’interaction », c’est tout un poème. Le candidat moyen est « trop souvent soucieux de ne froisser personne, d’être politiquement correct, confondant consensus et résultat équilibré, mal à l’aise dès qu’il s’agit d’émettre un jugement, timide face à un quelconque engagement ». Les membres du jury en sont venus « à douter de ses aptitudes à manager, rencontrer des organisations professionnelles, gérer des problèmes délicats de ressources humaines, conseiller, prendre des risques mesurés et éventuellement décider… » Sur l’épreuve de question contemporaine, le jury relève que nombre de titres cités « n’ont pas été lus ». Enfin, placer au même niveau des citations de grands philosophes tels Locke ou Hume et celles d’Éric Zemmour ne leur semble pas d’une folle pertinence…

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JEAN LASSALLE CANDIDAT À LA PRÉSIDENTIELLE

Jean Lassalle a annoncé qu’il serait candidat à l’élection présidentielle, en refusant de passer par la case des primaires. Le personnage est éminemment sympathique et courageux. Le député basco-béarnais, âgé de 60 ans, s’est mis en congé du MoDem de François Bayrou, qui a tenté, sans succès de le dissuader de tenter l’aventure. On se souvient des actions choc que Lassalle avait menées, dont une grève de la faim en 2006, à l’Assemblée nationale, destinée à empêcher (avec succès) la délocalisation d’une usine de sa commune, qui employait 150 salariés. Il arrêta la grève alors qu’il était hospitalisé d’urgence. Et puis, il y a l’hymne occitan qu’il avait entonné en 2003 dans les travées de l’Assemblée « Si canti io que canti, canti pas per jo… » Il protestait contre la fermeture d’une gendarmerie sur la route qui mène au tunnel de Somport, dans sa circonscription. L’affaire avait fait sensation et suscita la colère de Jean-Louis Debré qui menaça de le faire expulser. En 2013, il avait effectué une marche à travers l’hexagone (5 000 km en huit mois), recueillant les avis et plaintes des Français, qu’il publiera dans des « cahiers de l’espoir ». « 17 500 contacts enregistrés » et de multiples témoignages entendus. « Je ne pensais pas que la détestation des politiques atteindrait un tel degré », écrit-il par exemple. Il sera aussi l’un des rares parlementaires centristes à s’opposer à la loi Taubira et ajoutera : « Les notions de gestation pour autrui et de procréation médicalement assistée m’ont fait basculer vers le non ». Esprit libre et indépendant, il explique ainsi son refus de participer aux primaires : « Le peuple se sent déjà largement dépossédé de ses capacités de choix. Les primaires renforcent ce sentiment qu’il n’a plus d’autre option que de voter pour des candidats choisis en amont par les trois ou quatre partis dominants. »

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LA RÉPRESSION CONTRE LES MILITANTS IDENTITAIRES

Il y a dix jours, 80 militants de Génération identitaire bloquaient trois ponts à Calais. Leur objectif était d’interdire l’accès aux immigrés clandestins. Pour ce faire, ils se sont allongés durant deux heures avant d’être délogés par la police de Bernard Cazeneuve. La répression fut féroce. Ils ont été durement matraqués et gazés comme le prouvent les vidéos publiée sur le site Novopress. Un policier a même avoué devant le tribunal avoir mis deux coups au visage d’un militant pendant son transport vers le commissariat. Sans doute pour le plaisir… Ils viennent d’être jugés. Trois militants écopent de trois mois de prison ferme et d’amendes pour « faits de rébellion ». Une honte ! Quand on constate la clémence dont la justice socialiste fait preuve à l’égard des casseurs gauchistes et des immigrés clandestins… Bruno Gollnisch a exprimé son soutien aux jeunes Identitaires et s’est élevé dernièrement contre l’interdiction par le pouvoir, désormais quasi systématique, des manifestations patriotiques, notamment à Calais. Il constate aussi que « ce ne sont pas les militants de Génération Identitaire qui constituent une menace pour la sécurité des CRS et de nos compatriotes, mais bien certains immigrés particulièrement agressifs et vindicatifs, encadrés par les habituels idiots utiles d’extrême gauche. »

FN ET SIEL : FINIE LA DOUBLE APPARTENANCE

Le Siel est ce petit parti, associé au Rassemblement Bleu Marine et dirigé par Karim Ouchikh. Ce dernier, qui avait assisté au séminaire de début février à Etiolles, comme je l’ai raconté dans un récent RIVAROL, s’était autorisé à commettre quelques critiques sur la ligne politique (il prône le rassemblement de la droite et l’abandon de la stratégie du « ni gauche, ni droite »), ce qui fut fort mal apprécié. Les sanctions n’ont pas manqué de tomber, drues. « Lors de sa séance du 29 février, le bureau politique du Front national a décidé que la double appartenance entre le FN et le Siel, était désormais proscrite. » Que vont faire les quelques dizaines d’adhérents du Siel, concernés, et notamment l’avocat Frédéric Pichon ? Les personnes concernées disposent d’un délai d’un mois pour renoncer à l’une des deux appartenances. Ça ne rigole pas, au FN mariniste… En attendant les adhérents de la microscopique formation Patrie et Citoyenneté, rassemblant des « patriotes de gauche », membre du RBM, ne sont pas concernés par l’ukase. Au contraire. Son président, Bertrand Dutheil de la Rochère, a été chaleureusement accueilli par Laurent Brice, responsable de la fédération et premier adjoint au maire Steeve Briois à Hénin-Beaumont pour une conférence sur le thème islam et laïcité. Il s’est réjoui dans un tweet de « l’excellente et passionnante discussion avec les militants frontistes du Pas-de-Calais ». Florian Philippot a adoré et l’a rediffusé partout. Question que pose Minute : « Deux poids, deux mesures ? »

PARIONS QUE CELA FINIRA MAL ENTRE MARINE ET MARION LE PEN

Marine Le Pen est sur une étrange ligne de « la France apaisée ». Même si elle congédie à tour de bras tous ceux qui, au sein de son parti, lui déplaisent, elle fait montre de beaucoup d’humanité à l’égard de ceux qui, dans la société civile, comme on dit, sont quelque peu différents. Elle n’est certes pas pour le “mariage” homosexuel, mais pour un PACS “amélioré”, ce qui dans les faits revient au même, le pacs étant déjà égal au mariage civil sur le plan fiscal, successoral et patrimonial. A une époque, le FN était pour l’abrogation du PACS, mais il s’agissait d’une autre époque… Marion Le Pen, quant à elle, n’hésite pas à faire front, déclarant en Italie, où elle a rencontré les élus de la Ligue du Nord, que le “mariage” homosexuel risque « d’ouvrir la voie […] à de très nombreuses dérives. D’autres minorités chercheront à faire reconnaître leur forme d’amour, je pense notamment à la polygamie ». Notons qu’elle n’a cependant pas cité la pédophilie, ni la zoophilie, ce qui aurait fait hurler d’horreur tous les mignons du FN mariniste. Mais sa tante a deviné les obscures arrière-pensées de sa nièce, tranchant : « Ce débat, je crois honnêtement qu’on y a passé trop de temps ». En d’autres termes : « shut up ! » (ferme-la !) Marine Le Pen reconnaît un désaccord avec sa nièce, bien qu’il ne soit « pas un problème » à ses yeux. « Je crois qu’on est très loin de la reconnaissance de la polygamie dans notre pays », déclare-t-elle. L’inénarrable Wallerand de Saint-Just est venu avec la brosse à reluire en boutonnière à la rescousse de Marine Le Pen, expliquant du haut de son génie pourquoi il ne parle plus d’avortement : « Marine Le Pen nous dit que, dans une structure politique, la seule chose à faire, c’est de prendre en considération les problèmes des contemporains. » Ben, voyons ! L’avortement n’est pas un problème pour nos contemporains, si l’on en croit le FN mariniste ! Consternant… Parions que cela finira mal entre Marine et Marion Le Pen.

LA POLICE DE LA PENSÉE À L’ÉCOLE

Du 21 au 28 mars se tient, dans nos écoles, sous l’égide de l’Éducation nationale et de son ministre, « une semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme » La Licra en couine de joie. Résumé de ce que ces commissaires politiques vont marteler à nos enfants : « Faire reconnaître la diversité humaine et culturelle ; favoriser le respect des différences et combattre le repli sur soi ; cultiver la tolérance et l’enrichissement mutuel ; promouvoir une société solidaire et du vivre ensemble ; éveiller aux dérives du relativisme, de la rumeur, de l’obscurantisme, des théories du complot ; encourager l’esprit critique et la résistance face à l’injustice ; agir dans la durée pour faire évoluer les mentalités et instaurer une société plus fraternelle. » L’antiracisme unilatéral est vraiment une religion d’Etat.

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler .

RAPPEL :

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Samedi 23 avril, à Bourges :

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