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lundi, 26 juin 2017

Chaque année, la population mondiale augmente de 120 millions d’individus.

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Pieter Kerstens

En accusant l’homme Blanc de tous les maux de la Terre : destruction de la couche d’ozone, disparition des hannetons et des abeilles, propagation du Sida, dette morale des occidentaux envers les pays en voie de développement, culpabilisation des anciens pays colonisateurs, hausse du niveau de la mer ou encore émissions du CO², le lobby des Khmers verts, soutenu par les médias, ne montre qu’un aspect des problèmes.

L’intelligentsia altermondialiste et les écolos-bobos socialistes exonèrent les pays les plus peuplés (CHINE : 1.460 millions d’habitants ; INDE : 1.320 millions ; INDONESIE : 265 millions ; BRESIL : 210 millions ; NIGERIA : 188 millions) de tous péchés de pollution !

SEUL l’homme blanc serait responsable de toutes les formes de dégradation de l’environnement. Pour ces gourous de la Pensée Unique, il faut impérativement culpabiliser l’européen en particulier et imposer le dogme d’une douleur morale causée par la conscience d’avoir mal agi dans le passé.

Il est indispensable de le persuader d’être LE fautif !

Ce serait l’homme blanc par qui toutes les catastrophes arrivent, parce qu’il a trouvé et mis au point toutes les formes d’énergie : chimique, électrique, hydraulique, mécanique, nucléaire, rayonnante et thermique. Ces ayatollahs de la bioéthique voudraient nous convaincre de retourner à l’utilisation de la lampe à huile, du transport en char à bœufs et de l’habillement en peaux de bêtes…

L’utopie de ces saboteurs de notre civilisation n’a d’égale que leur vision sectaire de nos sociétés. A leurs yeux, les pays sous-développés auraient droit, eux, à un futur meilleur en passant de la bicyclette à la voiture, puis utiliseraient l’avion et au poulet dominical ils ajouteraient aussi un steak par semaine dans leurs assiettes.

Vous multipliez cet exemple par 3 milliards d’individus en 25 ans et la Planète succombera ! Combien de milliards de m³ d’eau et de millions d’hectares de pâturages en plus ?

Alors, soyons clairs : pour ces écolos-bobos, l’européen doit échanger son niveau de vie actuel avec celui de 250 millions d’africains et d’autant de chinois !

Qui, en France ou ailleurs en Europe est prêt à monnayer sa semaine de 35h en échange d’une rémunération ou d’une retraite de 100 € mensuels ?

Qui, demain, accepterait de vivre sans voitures dans nos capitales ? Sans énergie nucléaire, la moins chère et la moins polluante de toutes ?

Qui encore parmi les 500 millions d’européens voudrait faire 20 km à pied ou en vélo pour aller travailler ou vendre ses produits sur les marchés ? Renoncer à la télé, aux soins médicaux, à ses vacances ? Réduire sa retraite de moitié ?

Pour le bien-être du tiers-monde ?

OUI, l’Etat providence que nous connaissons depuis des décennies est pris d’assaut par ces fanatiques de l’égalitarisme et les talibans du « développement durable ».

La propagandastaffel des euro-mondialistes nous assène SES vérités quotidiennes par la désinformation, la manipulation et l’intoxication de nos peuples, en imposant ses chimères.

19:32 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le vote des ados

Le-Naour.jpgGeorges Feltin-Tracol

Fin janvier 2017, un soi-disant syndicat lycéen (eh oui ! maintenant les lycéens ont des associations supposées représentatives animées par des permanents trentenaires du PS et du PCF) rendait public un sondage favorable à l’abaissement du droit de vote à 16 ans.

Cette surprenante revendication s’appuie sur le précédent des élections prud’homales qui autorisent les salariés âgés de 16 ans à voter. Il est toutefois étonnant que cette demande ne soit pas complétée par l’exigence de conduire des automobiles au même âge. Par ailleurs, il serait paradoxal d’accorder ces droits à des adolescents alors qu’en 2005, Chirac avait interdit le mariage des filles à partir de 15 ans au mépris des traditions culturelles légitimes et honorables. Voter serait bien, mais pas se marier…

Au cours de la campagne électorale de ce printemps, Philippe Poutou, Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon ont défendu cette mesure au nom d’une conception viciée de la citoyenneté. Accorder le droit de vote à des lycéens accentuerait le chaos au sein même des familles qui ne sont ni monoparentales, ni homoconjugales. Déjà que tout est entrepris dans l’éducation hexagonale pour faire des élèves de très bons petits républicains. Le bourrage de crânes commence très tôt, dès la maternelle, voire la crèche.

Il ne faut cependant pas rejeter cette suggestion. On doit au contraire la subvertir. En 2005, Jean-Yves Le Naour et Catherine Valenti relataient dans La famille doit voter (Hachette, 265 p.) les tentatives d’imposer en France le suffrage familial qui fut défendu autant par le gaulliste Michel Debré que par le Front national avant 2012. Par suffrage familial, on entend donner aux parents la possibilité de voter à la place de leurs enfants jusqu’à leur majorité. Le père voterait pour sa fille et aurait donc deux voix tandis que son épouse disposerait de trois bulletins (le sien et celui de leurs deux fils).

Parfaitement inégalitaire, ce mode de suffrage accorderait aux familles nombreuses un réel poids politique proportionnel à leur poids démographique dans le renouvellement des générations à la condition bien sûr que s’appliquent le droit du sang et une attribution limitée de la citoyenneté. Plus loin que le simple droit de vote des ados, c’est à la famille de racines albo-européennes qui doit s’exprimer.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 39, diffusée sur Radio-Libertés, le 23 juin 2017.

19:27 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le joueur de flûte Macron n’évitera pas les faillites en chaîne des banques italiennes !

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Marc Rousset

Selon la BRI (Banque des règlements internationaux), en 2016, les banques internationales, et plus particulièrement allemandes, ont réduit leur exposition à l’Italie de 15 %, soit pour plus de 100 milliards de dollars. De son côté, la BCE (Banque centrale européenne) a réduit ses achats de dette européenne, passant de 80 à 60 milliards d’euros par mois. Si l’appétit pour la dette italienne tombe, les taux obligataires italiens vont grimper. Les seuls acteurs du marché semblant vouloir encore acheter sont les banques italiennes. Il en est de même, à un moindre degré, de la dette française qui a été vendue ces derniers temps par les banques asiatiques et rachetée essentiellement par la BCE.

La détention d’obligations italiennes par les banques locales s’élève désormais à 235 milliards d’euros. Lorsque les taux d’intérêt de ces actifs commenceront à monter, ces banques, qui dans leur grande majorité sont déjà au bord de l’insolvabilité, devront encaisser de nouvelles pertes.

Le sauvetage de la banque la plus insolvable d’Italie, Monte dei Paschi di Siena, qui avait annoncé des pertes trimestrielles de 169 millions d’euros, continue avec des fonds publics italiens.

Le sauvetage de Banca Popolare di Vicenza et de Veneto Banca vient juste de commencer. Le gouvernement italien s’apprête à les sauver grâce à l’aide du groupe Intesa Sanpaolo et d’un autre investissement public d’environ 10 milliards d’euros. Lorsque l’on sait que les créances douteuses, soit 16 % des actifs des banques italiennes, s’élèvent à plus de 360 milliards d’euros, il y a de quoi s’inquiéter.

Après des discussions avec les autorités européennes il a été décidé que la liquidation des deux banques serait menée en Italie sans respecter le mécanisme européen, afin de permettre l’intervention du gouvernement italien. Ce dernier devrait prendre à sa charge non seulement les crédits détériorés, mais aussi le départ de 4.000 personnes, dont certaines au sein de la banque acheteuse Intesa Sanpaolo pour un euro symbolique. La recapitalisation par l’État italien s’élèvera à 6,6 milliards d’euros.

Ce sauvetage italien n’est pas sans nous rappeler le rachat beaucoup moins avantageux en Espagne de Banco Popular par la banque cantabrique Santander, qui avait dû provisionner en plus 7,9 milliards d’euros afin de couvrir le passif irrécouvrable de Popular et trouver 7 milliards d’euros pour apurer son bilan.

Les Français ont donc du souci à se faire, d’autant plus que, selon Goldman Sachs, sur les 54.000 milliards de dollars d’obligations (souveraines et privées) échangeables dans le monde, les banques centrales en détiennent 18 000 milliards, soit exactement un tiers. Elles sont donc même passées devant les « hedge funds », incarnation médiatique du capitalisme sans foi ni loi.

La présidence du joueur de flûte Macron échouera donc et se finira très mal sans doute, même avant terme, pour au moins l’une des deux raisons suivantes : la crise économique et le krach financier à venir en France, en Europe et dans le monde, une soudaine et imprévisible explosion thymotique populaire possible, si l’on s’en tient aux prédictions et à la mise en garde de Peter Sloterdijk. Explosion populaire en réaction à l’insécurité de plus en plus inacceptable des populations européennes, du fait du terrorisme islamiste, la cause première étant la folle politique tous azimuts de fuite en avant européenne aussi irréaliste qu’irresponsable, qui se refuse à faire face à l’invasion migratoire…

Source Boulevard Voltaire cliquez là

19:23 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le « street pooling », un inquiétant gaspillage d’eau

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Arnaud Raffard de Brienne

Alors que, faute de précipitations suffisantes l’hiver dernier, s’allonge de semaine en semaine la liste des départements et régions en alerte sécheresse, les citoyens sont priés d’oublier leur piscine et d’éviter de laver leur voiture ou d’arroser leur jardin. Les habitants de certaines communes et banlieues semblent à mille lieues de ces considérations écologiques et pratiquent allègrement le « street pooling », ce jeu de rue né à New-York, consistant à ouvrir les bouches et poteaux à incendie pour admirer les geysers qui en jaillissent et prendre de coûteuses douches aux frais des contribuables.

Loin d’être anecdotique, cette pratique, émanant le plus souvent de quartiers et banlieues enrichis par la « diversité » atteint des records de gaspillage d’eau potable, au point que Veolia, producteur et distributeur pour le compte du Syndicats des eaux d’Ile-de-France, constatait, dans un communiqué paru le 21 juin dernier, une augmentation du volume d’eau distribué de près de 50%. Ainsi, en une seule journée de canicule, la consommation francilienne d’eau passait de 300 000 à 450 000 m3, soit l’équivalent du contenu de 60 piscines olympiques dilapidé en un jour et pour une région, par jeu stupide.

Dans les Hauts-de-France (Nord, Pas-de-Calais), les services spécialisés déplorent 600 ouvertures sauvages de bouches à incendie et la perte de 100 000 m3 d’eau potable, principalement dans les communes de Lille, Roubaix, Tourcoing. Placidement, Veolia en appelle au civisme mais sera-t-il entendu par les accrocs du « street pooling » ?

On remarquera au passage le notable silence des écologistes, toujours si prompts à dénoncer le quidam astiquant sa berline le dimanche et le mutisme de Nicolas Hulot, notre fringant ministre de la Transition écologique et solidaire, visiblement davantage accaparé et motivé en ce moment par les ors de la république.

19:19 Publié dans Les rubriques d'Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |