mercredi, 24 janvier 2018
Jeudi 25 janvier, Massimo Magliaro invité de l'émission "Synthèse" sur Radio Libertés
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Adrien Abauzit invité de TV Libertés
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LE CONSEIL MUNICIPAL DE STRASBOURG DEMANDE LA FERMETURE DE L'ARCADIA, LE LOCAL DU BASTION SOCIAL !
Steven Bissuel, président du Bastion Social. Cliquez ici
Le maire socialiste de Strasbourg Roland Ries, ardent défenseur du droit des étrangers, ainsi que ses amis/soutiens demandent la fermeture de l'Arcadia et la dissolution du Bastion Social pour des motifs complètement fallacieux.
Ces politiques savent que nous faisons le travail qu'ils ont été incapables de réaliser pendant des décennies, bien installés dans leur place grassement payée.
Ils savent, Roland Ries en tête, que nous sommes la voix du peuple, ce peuple qu'ils font mine d’écouter à l’occasion des échéances électorales afin de renouveler leur mandat. Ils ont peur de notre ascension et ont raison !
A l’heure où les représentants de la ville de Strasbourg demandent la fermeture de notre local, des espaces d'extrême-gauche comme le Molodoï sont subventionnés à hauteur de 23 000€ par an depuis des décénnies (ce lieu dont les travaux de rénovation ont par ailleurs été financés à hauteur de 500 000€ d’argent public !) avec la complaisance de la caste politique locale. Rappelons au passage que le Bastion Social et son antenne strasbourgeoise sont intégralement auto-gérés tant financièrement que politiquement, et ne fonctionnent qu’avec l’aide et la contribution de ses membres et de ses sympathisants… le tout pour servir le bien commun et agir sur la politique locale !
Nous sommes l'alternative aux technocrates à la solde du mondialisme destructeur des identités, aux de défenseurs du politiquement correct et aux élites complètement déconnectées des réalités des Français !
Il y a des Français qui ne se rendent pas !
10:18 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Marine Le Pen veut supprimer le poste de Président d'honneur du FN
Réaction de Jean-Marie Le Pen :
« C'est évidemment ridicule, je pensais que Marine le Pen avait d'autres soucis à régler. Ma qualité de Président d'honneur est de plus irréversible. Il n'appartient à personne de la supprimer, même pas à ma fille, se défend au Figaro, Jean-Marie Le Pen. Marine Le Pen veut supprimer le seul titre qui aurait pu la distinguer après sa présidence. C'est ce qu'on appelle se tirer une balle dans le pied. »
10:08 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L'étatisation sans fin du modèle social
Jean-Gilles Malliarakis
L'Insolent cliquez ici
Le 24 août 2017 le chef de l'État s'exprimait devant la communauté française de Bucarest. Et en cette occasion on l'entendit proférer un lamento bien familier. "Les Français, croit-il savoir, détestent les réformes." Décidément, ce pays "n'est pas réformable".
Un tel type de jugement, maintes fois répété ne doit pas être interprété de la même manière suivant celui qui l'énonce. S'il émane d'un dirigeant en exercice, d'un technocrate de Bercy attaché à ses propres privilèges et qui s'emploie à les protéger en détournant le sens des réformes, ou s'il vient d'un simple manant contribuable corvéable à merci il ne s'agit pas de la même chose. Hélas, désigner ce dernier interlocuteur comme un citoyen revient peut-être à entretenir de dérisoires illusions quant aux pratiques de notre démocratie.
On ne saurait objectivement dire en que Macron n'aurait fait, depuis son élection que promettre des réformes, comme une gourmandise proposée mais qui ne sera jamais consommée. Car, évidemment, tout texte de loi, bon ou mauvais, peut être assimilé à une démarche réformatrice : il tend à changer quelque chose.
D'un tel point de vue, le pouvoir actuel, assis sur une confortable majorité parlementaire, a initié des changements, quant à l'économie et aux institutions sociales, au moins dans 6 directions en 18 mois.
Les flatteurs ne manquent pas d'applaudir.
On pardonnera au libre chroniqueur de ne pas se considérer comme obligé de se compter parmi eux.
Car la vraie question demeure celle de la pertinence des évolutions amorcées.
En fait, toutes les décisions prises vont dans le sens de l'étatisation. La ligne de plus grande pente de l'action gouvernementale, fiscale et législative, depuis des décennies, ne se démentit pas.
Premier exemple : la petite manipulation fiscalo-comptable sur la CSG, alourdie de 1,7 point, illusoirement compensée par des baisses de cotisations échelonnées dans le temps. Cette décision, de longtemps annoncée pendant la campagne présidentielle, ne fait que prolonger jusqu'à son achèvement, le plan Juppé de 1996 et son basculement des cotisations d'assurances sociales vers l'impôt. La mainmise de Bercy sur l'assurance maladie est ainsi désormais totale.
Les autres exemples relèvent de la même farine.
Ainsi l'apprentissage reste toujours conçu comme une sorte de sous-traitance trop tardive de l'Éducation nationale. Cet immense ministère gère une énorme institution étatique. Celle-ci n'est pas seulement gangrenée depuis les années 1990, non plus même par la vieille FEN devenue UNSA, qui était socialiste, mais par la FSU d'obédience néocommuniste. S'employant à dénigrer systématiquement l'entreprise, elle ne cherchera jamais à former des travailleurs employables dans l'économie, mais ce qu'elle appelle des citoyens, c'est-à-dire des téléspectateurs, des électeurs, et des militants formatés à gauche.
Il est certes permis d'entrevoir certaines dispositions et déclarations positives de la part du ministre Blanquer. Mais dans la pratique on ne change pas l'article L131-1 du Code de l'éducation qui dispose que "l'instruction est obligatoire pour les enfants des deux sexes, français et étrangers, entre six ans et seize ans."
Outre la fourchette d'âge, que faut-il entendre par "instruction"? On ne touchera pas à l'obligation scolaire jusqu'à 16 ans, pas plus que la fameuse réforme du Code du travail ne touche aux 35 heures.
Tout cela mène à toujours plus d'étatisme.
L'étatisation du modèle français remontait aux premières étapes de sa fondation : front populaire en 1936, charte du travail version 1941, ordonnances de 1944 et lois d'inspiration communiste votées en 1946, avec presque les mêmes équipes, inchangées, impénitentes, intouchables.
Les politiciens, depuis plus de 70 ans maintenant, ont piloté nominalement la marche d'un navire essentiellement sous les fourches du ministère des Finances.
Leur ligne constante aura consisté à aggraver le score et à alourdir l'intervention de l'État. C'est aussi cela qu'on appelle le modèle français.
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Samedi 20 janvier, Galette des rois du PDF à Calais
Correspondant SN Calais
Franc succès, samedi dernier, pour la galette des rois organisée par la section locale du Parti de la France, à Calais, lieu éminemment symbolique du remplacement de population en cours. Au cours de sa tonique intervention, Thomas Joly, rappela l’étrangeté d’une situation dans laquelle une majorité de nos concitoyens, floués mais visiblement consentants, persiste depuis des décennies à voter pour des politiciens œuvrant à contrepied de leurs intérêts et de leurs idées et hypothéquant ainsi lourdement leur avenir et celui de leurs enfants. Il engagea aussi l’auditoire à dépasser le pseudo-militantisme virtuel consistant à flâner sur les réseaux sociaux en se contentant de cliquer de temps à autres sur « j’aime » alors que la situation exige plus que jamais engagement sincère et activité militante.
Le militantisme s’organise à Calais et un site internet viendra bientôt s’ajouter à la page Facebook -« Le Calaisis réel » - dont la fréquentation ne cesse de progresser. Les militants du Parti de la France s’organisent en même temps pour une activité militante au plus près de la population trahie et délaissée par les politiciens de droite comme de gauche.
Enfin, malgré les prévisions apocalyptiques de submersion migratoire, Thomas Joly conclut sur un message d’espérance, affirmant que rien n’est aujourd’hui irrémédiablement perdu et que, par conséquent, tout demeure possible.
09:47 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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