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vendredi, 07 décembre 2018

Cette curieuse absence d’autocritique couplée à un cynisme révoltant

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Bernard Plouvier

Cela fait environ dix-huit mois que le couple Macron emplit la scène médiatique avec son cabotinage. Dix-huit mois également de baratin modern-style et de mesures économiques ultraréactionnaires : celles qui accroissent les dépenses des salariés, par le biais d’une inflation encore modérée et d’une taxation de moins en moins discrète, et celles qui allègent les dépenses des entreprises, mais sans dynamiser l’emploi, puisque le chômage réel affleure les six millions.

Au lieu de méditer son bilan désastreux, qui est une véritable provocation pour le menu peuple, notre Génial Président-Dictateur Général pique une colère, tandis que son « Premier Flic » laisse transformer une grogne très légitime en une jacquerie sauvage de voyous, sournoisement alimentée par les fonds secrets.  

À qui fera-t-on croire que les attaques de policiers par de pseudo-manifestants ne sont pas de grossières provocations, ni que les dégâts monstrueux ne sont pas le fait de casseurs professionnels, engagés pour salir un mouvement de contestation populaire parfaitement compréhensible ? 

Il ne s’agit pas, pour nos princes abusifs, de « gérer médiatiquement une crise » (comme ils disent dans leur jargon énarco-administratif) : leur baratin lamentable et hypocrite, la Nation n’en veut plus ! Il s’agit de reconnaître l’état détestable d’une année et demie de gestion ignoble du Bien Commun, de cesser de mépriser le vrai peuple de France et de mettre fin à un spectacle à peine digne d’une principauté d’opérette.

Il s’agit de rompre définitivement avec une politique antinationale où l’immigration et l’insécurité, où le chômage créé par les délocalisations d’entreprises et des importations de produits bas de gamme fabriqués dans un Tiers-Monde esclavagiste, sont financés par une imposition directe et des taxes extraordinairement lourdes, alors même que l’État réduit de plus en plus ses dépenses les plus élémentaires : sécurité intérieure et extérieure, instruction publique, voies de communication, hôpitaux publics, services administratifs au quotidien.

Les Français sont les plus belles vaches à lait fiscales d’Europe. Ce prélèvement d’argent ne doit plus être synonyme de détournement de fonds en faveur de l’immigration-invasion, du tribut payé à la finance cosmopolite ou de l’embauche d’une armée de fonctionnaires sous-productifs engagés par l’effet du piston. L’argent public doit servir la Nation française et elle seule.

Ce doit être la leçon à tirer du mouvement actuel de protestation, un mouvement calomnié par des princes aux abois, qui soldent des voyous, dans l’unique but de continuer les fructueux grenouillages de l’économie globale.         

Macron and Co doivent écouter la Nation souveraine, solliciter humblement son avis sur les grands problèmes de société, enfin mettre en œuvre une politique conforme aux souhaits de la Nation. S’ils ne le veulent pas ou n’en sont pas capables, qu’ils s’en aillent. On ne les regrettera pas.   

12:01 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

CHANGER DE CAP

Le billet de Patrick Parment

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Les Gilets jaunes sont la version émergée d’une crise plus profonde, celle de la vision d’un monde qui refuse de mourir sous la barrière étoilée du capitalisme financier et d’une mondialisation qui trouve son unique justification à la Bourse. Voici belle lurette que la démocratie est un leurre, un cache-misère d‘une oligarchie omniprésente. Comme dans tout régime relevant tant de la monarchie que de la démocratie, ce sont les corps intermédiaires qui font marcher le système, ceux-ci constituant un pont nécessaire entre le peuple et le pouvoir. Par le biais de la noblesse en régime monarchique, par les élus entre la classe moyenne – ouvriers inclus -, et le pouvoir en démocratie. Or, ce système ne fonctionne plus. A cela plusieurs raisons.

L’Etat lui-même s’est financiarisé. On l’a bien vu avec les cadeaux fiscaux consentis par Macron aux satrapes du CAC 40. Par le déséquilibre créé entre les communautés territoriales et le pouvoir central, en les privant de toutes marges de manœuvre économiques. Ce qui par voie de conséquence revient à marginaliser ses élus. 

Macron a cru que tout lui était désormais permis avec son élection et la réduction à rien des partis politiques. Ce en quoi il s’est lourdement trompé puisque la réponse est populaire comme c’est le cas à chaque crise grave que traverse notre pays. La réponse à la crise ne consiste pas à distribuer de l’argent pour calmer les ardeurs. Le peuple ne demande pas plus d’assistanat mais de la reconnaissance. La solution passe par un rééquilibrage des territoires de manière à ce que l’on ne parle plus de « désert français ». Rééquilibrer aussi le monde du travail en arrêtant la désindustrialisation de ce pays et en protégeant nos paysans qui sont le moteur de notre industrie agroalimentaire. En oeuvrant pour sortir d’une vision purement industrielle largement prônée par la FNSEA. Cela passe également par une réflexion sur la grande distribution en redéfinissant ses rôles.

Autre volet en instance : la réduction du train de vie de l’Etat et de ses hauts fonctionnaires, issus de l’Ena notamment, qui ont phagocyté tous les postes à responsabilité, bien souvent de leur irresponsabilité. A titre d’exemple, on citera le document publié en annexe de la loi de finances pour 2012 et qui recense 652 commissions pour la plupart Théodule. Ainsi, on trouve une « Commission pour l’indemnisation des victimes de spoliations intervenues du fait des législations antisémites en vigueur pendant l’Occupation » de dix membres qui nous coûte  2,5 M€ par an. Est-ce bien raisonnable ? Ou encore une « Commission de recours contre les décisions de refus de visa d’entrée en France », de cinq membres pour la modique somme de 192 000 €, etc. En annexe, mieux contrôler les dépenses des chefaillons régionaux qui à l’image d’un Michel Vauzelle (PS) en Paca n’avait rien trouvé de mieux que de doubler le musée de la Méditerranée voulu par Jean-Claude Gaudin. Coût : 60 millions d’euros foutus en l’air.

Enfin, dernier gros volet, l’immigration et notamment son coût. Là, il y a fortement à dire et on connaît des solutions peu coûteuses comme la suppression des allocations aux familles de délinquants, des aides aux immigrés clandestins, etc, etc. La suppression des aides sociales renverrait illico bon nombre d’immigrés chez eux. Le chantier est ouvert.

On voit bien qu’à travers la révolte des gilets jaunes se dessine une autre vision du territoire et de la répartition de ses ressources. Il ne nous semble pas qu’Emmanuel Macron soit la personne idoine pour mener à bien de telles réformes. Mais qui ?

11:43 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Selon que vous serez gauchistes à Mantes-la-Jolie ou nationalistes à Assas...

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Pierre Cassen nous parle du Pacte de Marrakech

Pierre Cassen explique les enjeux du "Pacte mondial sur les migrations", aussi appelé "Pacte de Marrakech", rédigé par l'ONU, que Macron va signer au nom de la France, le 11 décembre prochain. Refusant le discours dogmatique et faussement compassionnel de la gauche, il démontre que l’immigration de masse est financée avec l'argent volé aux Français les plus modestes.
 
Riposte laïque cliquez ici

09:44 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Allemagne liberticide

Horst-Mahler.jpgGeorges Feltin-Tracol

Le 15 novembre dernier, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) condamnait la Russie pour des arrestations jugées « arbitraires » de l’opposant Alexeï Navalny. Pour paraphraser une célèbre parabole de l’Évangile, la CEDH s’intéressait à la paille dans l’œil du voisin russe, mais ignorait la poutre présente dans l’orbite allemande.

Bientôt âgé de 83 ans, Horst Mahler purge une peine de douze ans de prison. Est-il un violeur multirécidiviste, un influent trafiquant de drogue, un tueur en série de vieilles dames, un criminel lié à la pègre, voire un pédophile ? Bien pire ! Horst Mahler est en détention parce qu’il a osé émettre une opinion divergente sur certains faits de la Seconde Guerre mondiale.

Ancien avocat de la « Bande à Baader » dans les années 1970, Horst Mahler fut déjà détenu. Libéré à la fin des années 1980 grâce aux nombreuses démarches de son avocat, le futur chancelier social-démocrate Gerhard Schröder, il rejoint en 2000 à l’instar de nombreux gauchistes d’outre-Rhin la mouvance nationale-révolutionnaire, à savoir le NPD (Parti national-démocrate d’Allemagne). Le Régime américanocentré ne peut tolérer ce nouvel engagement. Horst Mahler et sa compagne, Sylvia Stolz, sont très vite persécutés, arrêtés et condamnés à de lourdes peines pour « déviance intellectuelle et délinquance historique ». Extradé au printemps 2017 par le gouvernement hongrois de Viktor Orban, Horst Mahler croupit, diabétique, dans une cellule alors que son état de santé se dégrade rapidement. L’une de ses jambes a été amputée. Aux dernières nouvelles (inquiétantes), un début de gangrène se manifesterait. Les conditions inacceptables de détention ne semblent guère émouvoir les ONG humanitaires telles Human Rights Watch qui préfèrent dénoncer d’hypothétiques viols organisés en Corée du Nord… Aucune pétition d’« intello » n’a été lancée pour s’indigner des poursuites judiciaires allemandes d’octogénaires et de nonagénaires.

Les Français croient que la RFA est un État démocratique. C’est faux ; le leurre est parfait. Outre l’existence d’une interdiction professionnelle qui entraîne une vraie mort sociale, l’Allemagne de Merkel dispose d’une redoutable police politique : l’Office fédéral de protection de la Constitution (BfV). Ayant largement noyauté le NPD d’indicateurs et d’agents provocateurs, le BfV a cherché à plusieurs reprises à interdire ce mouvement politique. Il veut maintenant placer sous sa surveillance et sous celle de ses équivalents régionaux l’AfD, la première force d’opposition au Système. Si la Russie avait procédé de même, tout l’Occident médiatique et oligarchique aurait crié au viol de la liberté d’expression ! Or l’Allemagne ne cesse d’attaquer cette liberté ainsi que les libertés d’opinion, de recherche et même de croyance, non pas à l’égard des islamistes radicaux, mais contre de supposées « sectes ».

Dans cette ambiance liberticide, des particuliers refusent toute location d’appartement à des responsables locaux de l’AfD. La justice approuve cette incroyable discrimination politique ! Bien entendu, si un propriétaire AfD avait refusé de louer (ou de vendre) à un militant Vert, social-démocrate ou conservateur, il aurait aussitôt été condamné pour discrimination. Un cadre local de l’AfD verra au 31 décembre prochain son compte bancaire, régulièrement approvisionné et jamais à découvert, fermé par la Deutsche Bank sans la moindre raison. À l’heure de la numérisation monétaire, cet exemple de ségrégation invite à maintenir l’argent liquide. En tout cas, il y a vraiment quelque chose de pourri chez nos cousins germains.

Bonjour chez vous !

PS : Le député allemand au Parlement européen du NPD, Udo Voigt, a pu rencontrer Horst Mahler dans sa cellule, cf. « Allemagne : Horst Mahler continue à se battre – Liberté pour tous les prisonniers politiques ! », mis en ligne le 13 novembre 2018 sur Jeune Nation. Son témoignage est édifiant dans le silence assourdissant des zélateurs des mirifiques droits de l’homme.

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°101, diffusée sur Radio Libertés, le 30 novembre 2018.

09:17 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bruno Gollnisch commente l'actualité

  • 3 sortes de « gilets jaunes » : les vrais, les radicaux et les bandes ethniques.
  • Taxation des GAFA : c’est pour aujourd’hui ou pour demain ?
  • Le chinois CNPC prend la suite de Total en Iran : « l’Europe » devait intervenir !
  • Espagne : Vox obtient 12 élus au Parlement régional d’Andalousie.
  • L’hommage des Identitaires à la Vierge Marie interdit pour la 3e fois : grande procession du 8 décembre.

09:17 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Diminuer les dépenses publiques au lieu de taxer les riches et les pauvres !

ROUSSET M 2.JPGMarc Rousset

Le piège, pour les gilets jaunes, serait d’être récupérés par les revendications sociales tous azimuts et de vouloir faire de la France une deuxième Italie, celle de Luigi Di Maio qui conduit le pays à la faillite. La révolte des gilets jaunes a obtenu l’approbation des Français car elle s’élevait contre la taxation énergétique démente et dictatoriale, au nom d’un réchauffement climatique nullement prouvé par le gaz carbonique (CO2) humain.

Il faut que les Français se libèrent du complexe pavlovien et des appels simplistes à taxer les riches. Macron a fait une chose intelligente en supprimant cet impôt imbécile. L’ISF rapportait entre cinq et sept milliards par an à l’État, mais il engendrait un manque à gagner fiscal en impôts classiques de trente milliards par an. Supprimer l’ISF amènerait donc l’État à ponctionner encore davantage les pauvres et les riches restant en France de 24 milliards d’impôts supplémentaires. Il n’y a qu’en France qu’on veut punir bêtement le riche au lieu de chercher à l’attirer pour créer des richesses et des emplois !

Si taxer les riches était la solution, la France serait déjà un pays de cocagne, puisque c’est le seul pays au monde à avoir introduit l’ISF. Il faut, au contraire, faire venir les riches. De même, demander une hausse du SMIC – déjà très élevé en France par rapport aux autres pays européens -, c’est entraîner des hausses de prix, la perte de notre compétitivité avec encore davantage d’emplois qui disparaissent.

La France est le paradis de l’État-providence laxiste puisque ses dépenses publiques représentent 56 % du PIB, dont l’essentiel provient de dépenses sociales. Avant de s’en prendre aux riches, il faut donc commencer par supprimer toutes les dépenses sociales provoquées par l’immigration folle (allocations familiales pour les familles d’origine immigrée, AME, coût régalien de l’accueil des immigrés légaux et clandestins…).

Contribuables associés crie depuis trente ans dans le désert en disant qu’il faut commencer par traquer les gaspillages, diminuer le nombre des fonctionnaires et les dépenses publiques. Les impôts et taxes excessifs sont la simple conséquence de dépenses publiques excessives. Cela fait trop longtemps que la France est championne du monde des dépenses publiques, des taxes et des impôts. En achetant du carburant chez son pompiste, l’automobiliste paye non pas de l’essence mais essentiellement des dépenses publiques !

Si la France ne veut pas connaître le sort de l’Italie et de la Grèce, il faut qu’elle maîtrise son déficit budgétaire. Suite à la pression des gilets jaunes, le gouvernement pourrait être amené à adopter, enfin, une politique intelligente, nonobstant l’invasion migratoire qui paraît une tare congénitale de Macron, puisqu’il souhaite signer l’abominable pacte migratoire onusien de Marrakech. Édouard Philippe a pu déclarer : « Si les impôts baissent, il faudra que les dépenses baissent, car nous ne voulons pas léguer des dettes à nos enfants. » Pour la première fois, le gouvernement semble se préoccuper de « financement par des économies qui seront détaillées prochainement ».

De plus, il ne faut pas être dupe de l’annonce mettant fin à la hausse des prix du gaz et de l’électricité pour cet hiver. Elle est illégale car les coûts d’approvisionnement d’EDF et d’Engie doivent être répercutés intégralement sur les tarifs réglementés qui concernent 26,5 millions de foyers. Le conseil d’État a toujours donné raison aux fournisseurs d’énergie. Le consommateur n’échappera pas à des rattrapages tarifaires et, donc, à une augmentation du prix du gaz et de l’électricité. Par contre, les taxations correspondant à la folle politique des énergies renouvelables sur nos factures EDF devront, un jour, être supprimées.

Les gilets jaunes peuvent être la pire ou la meilleure des choses, selon la tournure gauchiste ou non que vont prendre les événements et les revendications. La France ne doit pas devenir une seconde Italie et sombrer encore davantage dans le laxisme, sinon, seul un militaire à poigne pourra nous sortir de ce pétrin !

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09:05 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |