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lundi, 02 mars 2020

Conférence de Gabrielle Cluzel à Bruxelles le 25 mars

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Rédactrice en chef de Boulevard Voltaire viendra présenter son dernier livre "Enracinés".
Loin des complaintes réactionnaires et nostalgiques Gabrielle Cluzel délivre à travers ce livre un message d’optimisme et d’espoir incitant à puiser dans nos vertus et notre passé le courage de résister et de bâtir l’avenir.
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22:25 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie prochaine aux éditions FIDES de la version espagnole du livre de Georges Feltin-Tracol, "Pour une troisième voie solidariste", publié par Synthèse nationale

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Bravo aux éditions espagnoles FIDES qui vont sortir très bientôt "Por una tercera via solidarista", la version ibérique du livre paru en 2018 de Georges Feltin-Tracol. 

Pour en savoir plus cliquez ici

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21:42 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quand se lèvent les peuples européens.

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L'avis de Jean-François Touzé

Il serait bien illusoire de voir dans le "message de solidarité" adressé ce lundi par Emmanuel Macron à la Grèce et à la Bulgarie confrontées à l'arrivée massive de migrants propulsés vers l'Europe par la volonté du sultan Erdogan, autre chose que la réaffirmation de la politique de partage du fardeau menée conjointement par Berlin et Paris depuis des années, politique qui consiste, on le sait, à organiser la répartition des arrivants à l'intérieur des nations de l'Union. Loin de se situer dans une perspective de résistance à la déferlante, et de fermeté à l'égard de la Turquie, ce message sera évidemment considéré par les intéressés comme constitutif d'un nouvel appel d'air. Les frontières de l'Europe passent par la Grèce, la Bulgarie, l'Espagne ou l'Italie... Les droits d'asile comme les prestations sociales sont en France où en Allemagne.

Mais le Système aura beau faire : la colère européenne grandit contre l'invasion migratoire et ceux qui — Etats, lobbies, organisations mondialistes, finance — la veulent et l'organisent.
 
Elle se manifeste aujourd'hui en Grèce où les patriotes mènent le combat du refus des camps de l'envahissement. Elle pourrait bien se matérialiser demain sur l'ensemble de notre continent.
 
Nos peuples veulent rester ce qu'ils sont, conformément à leur identité, leur histoire et leurs traditions.
 
Pour notre civilisation, le pire n'est plus du tout certain.

15:13 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie cette semaine du n°53 (printemps 2020) de la revue Synthèse nationale

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15:13 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La République du chefaillon Macron

Le billet de Patrick Parment

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La dépose d’une motion de censure par l’opposition en réaction à l’application de l’article 49-3 de la Constitution par Edouard Philippe « m’en fait bouger une, sans toucher l’autre », comme disait l’autre idiot inutile de Chirac. La République en marche étant majoritaire à l’Assemblée nationale, le gouvernement ne court donc aucun risque.

Mais le problème n’est pas là.

Il réside  sur la totale opacité d’un texte qui, en l’état actuel, dessert les intérêts des travailleurs. Car, ce système de retraite par point est incapable de nous dire sur quelle base il est calculé. Il risque fort de varier en fonction de la conjoncture économique, exactement ce que les syndicats, mais pas que, veulent justement éviter. Avec cette réforme, Macon s’inscrit  un peu plus dans la vision libérale de l’économie où le peuple ne figure que comme variable d’ajustement. Et le plus navrant dans cette affaire est que le gouvernement navigue à vue.

L’autre aspect des choses, c’est tout de même la fantastique opposition d’une majorité du peuple à cette réforme, que ce soit les Gilets jaunes, les syndicats ou les partis politiques d’opposition. C’est tout de même la majorité de pays qui est arcbouté contre cette réforme. Mais Macon s’en fout, la Constitution lui donne raison. Heureusement, ce qui est fait par cette république bananière, peut être défait par la même, voire une autre. Comme le disait le regretté Jean Baudrillard, « nous ne cherchons pas un destin, nous cherchons une histoire ».

Paris vaut bien une messe

Les mâles que nous sommes encore, assistons, non sans consternation, à cette féminisation qui jaillit de tous les côtés et qui a amené Benjamin Griveaux à s’en remettre aux joies de l’onanisme.

A Paris, tout d’abord, où ce sont trois femmes qui font la course en tête si l’on en croit les sondages, l’homme ayant été émasculé d’entrée de jeu. En fait, c’est l’absence probante de candidat mâle qui a créé la femme. – Mais Cédric Villani ? C’est qui celui-là ? – Adam et Eve en somme où au final Adam se fait baiser ! Classique. Trois femmes – Anne Hildago, Agnès Buzyn et Rachida Dati, trois tempéraments opposés qui ne se crêpent même pas le chignon. Et une équation originale : un, la maire de Paris dont les Parisiens, semble-t-il, ne veulent plus ; deux, Agnès Buzyn, parachutée en catastrophe après l’éjaculation précoce de Griveaux ; trois, une vraie teigneuse, une battante qui illustre à elle seule une assimilation heureuse, Rachida Dati. Devinez qui va gagner ?

Rachida ? Un bon choix dans la mesure où elle est nettement plus à droite que ce lourdingue chiraquisé Christian Jacob. Qu’elle n’a aucun compte à rendre à la chiraquie en général et qu’elle serait plutôt la version travaux pratiques d’un Sarko qui s’est cantonné dans l’effet d’annonces. En fait, Rachida ne s’embarrasse pas d’idéologie, elle n’est pas de gauche, point barre ! Et ses origines la mettent à l’abri de toute concession à l’égard de l’immigration. On peut lui faire confiance pour nettoyer Paris. Elle n’a pas d’état d’âme. Enfin, Paris, elle connaît quand bien même est-elle le maire d’un arrondissement bourgeois. Au final, vous voyez quelqu’un d’autre parmi toute cette bande de baltringues et leurs programmes à la mords-moi-le-nœud ? De toute manière, les Parisiens, ou plutôt ce qu’il en reste si l’on exclut les bobos, se foutent des programmes. Ils veulent une belle image.

 

12:38 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bonjour les Amis...

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09:14 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Coronavirus : l'Etat roi est nu.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Désormais deuxième foyer européen après l'Italie de contamination par le coronavirus— le COVID-19 puisque tel est son nom de code — la France s'enferme dans une gestion minimaliste de la crise, oscillant entre alarmisme et relativisation du risque épidémique.
 
Le devoir des gouvernants est pourtant de prévoir et d'anticiper. Depuis plus de dix ans, l'apparition de maladies nouvelles, en Asie ou en Afrique, faisaient peser une menace lourde sur les populations du monde entier. Accuser ici la globalisation planétaire n'aurait pourtant que peu de sens, dans la mesure où les ravages pandémiques de la peste ou, plus récemment, de la grippe espagnole qui fit, rappelons le, bien plus de victimes que la guerre de 14/18 à la fin de laquelle elle se déclencha, se produisirent dans des contextes géopolitiques totalement différents.
 
En revanche, tout aurait dû être mis en œuvre pour prévenir les épidémies et les traiter. Au lieu de cela, la France a laissé se dégrader son système hospitalier, tandis que l'Etat désertait ses responsabilités de protection sanitaire et laissait se délocaliser en Chine ou en Inde l'industrie du médicament, pour le plus grand profit des laboratoires pharmaceutiques. 
 
C'est à contre-temps, dans l'urgence et au cas par cas, que réagit désormais le gouvernement. À contre-temps et dans l'incohérence la plus totale, créant des zones de surveillance et de confinement à l'intérieur du pays mais refusant les contrôles aux frontières, interdisant les réunions de plus de 5000 personnes en milieu fermé mais laissant se dérouler toute autre manifestation, sportive, sociale ou politique, fermant des écoles, mais laissant les autres ouvertes, supprimant soudain la dernière journée du salon de l'agriculture, comme si cela devait changer quoi que ce soit au risque épidémique. Sans même évoquer la légèreté toute éthérique avec laquelle a été conduit le rapatriement des Français présents en Chine, exposant sans grandes précautions nos soldats de la base aérienne de Creil qui semble être au centre de la contamination dans le département de l'Oise.
 
Le pire n'est pas toujours sur et nous savons raison garder. Comme chaque fin d'hiver, nous apprendrons dans quelques semaines que la grippe saisonnière a fait des milliers de morts dans notre pays, (60 000 par an en Europe) et nous n'oublions pas que les maladies cardiovasculaires ou le cancer consituent des menaces autrement plus redoutables. Les Français, échaudés par tant et tant de mensonges et de manipulations conservent leur sens critique, cultivent leur scepticisme, et font la part des choses. Une certitude toutefois: quels qu'en soient les développements, cette alerte sanitaire aura mis en avant dans l'ordre de la santé comme dans celui de l'ensemble des domaines régaliens, la nudité absolue de l'Etat-roi.

02:28 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les Coronaviroses... ou quand la médecine sert d’alibi à l’économie politique

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Bernard Plouvier

En l’année 1968 (celle de tous les périls pour l’Occident !), une équipe des USA isole une nouvelle classe de virus lors d’une épidémie de diarrhée murine (souris) et porcine. Les recherches sont lentes, car a priori ce virus « exotique » (semblant alors n’exercer de ravages que sur le bétail chinois... tant pis pour Mao !) semble bien bénin pour l’espèce humaine.

On apprend petit-à-petit qu’il s’agit d’un gros virus à ARN (l’Acide Ribonucléique), avec une enveloppe lipidique... exactement comme pour les paramyxovirus, réputés responsables de banales laryngites chez l’homme - parfois très sévères chez le nouveau-né et le nourrisson. Mais c’est aussi le groupe du virus respiratoire syncytial (VRS pour les initiés), l’agent des bronchiolites et des broncho-pneumonies sévères du petit enfant, dont les premiers cas furent diagnostiqués dans les années 1950 et qui devint, dans les années 1970-80, la terreur des services de réanimation infantile.

Toutefois les coronavirus n’inquiètent pas trop : ils sont censés donner des syndromes d’allure grippale, un peu particuliers par la fréquence des gastroentérites et des laryngites ou des laryngo-trachéites : le sujet contaminé tousse 3 à 4 semaines, mais s’en sort sans trop de problèmes sauf cas de surinfection bactérienne trop tard diagnostiquée et traitée.

Bref, une ambiance de grippe avec de loin en loin une insuffisance respiratoire suraiguë, souvent mortelle quoi qu’on fasse : la classique pneumopathie interstitielle, reconnaissable au simple cliché de thorax (et bien mieux grâce au scanner), l’effroi du médecin pneumologue, car il sait qu’il va refiler le malade au réanimateur (donc parfois à lui-même, avec la casquette « de garde »)... et que l’issue sera généralement fatale, pour l’excellente raison que cette complication témoigne d’un effondrement des défenses immunitaires – par défaut constitutionnel ou de façon acquise, par un cancer, un traitement immunodépresseur, une insuffisance rénale, etc. On parle de « grippe maligne » ; famille & médecins en sortent meurtris.  

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02:25 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Après Arcelor Mittal, Arjowiggins, Michelin à la Roche-sur-Yon, Ibiden, Bosch à Rodez, Ford à Blanquefort, c’est maintenant Renault à nouveau la victime de la concurrence mondiale. A qui le tour demain ?

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Pieter Kerstens

Lors de l’adoption du traité de Maastricht, en vigueur depuis le 1er novembre 1993, tous les responsables politiques de gauche et de droite nous avaient clairement affirmé que cette Europe « sociale » serait la garante d’un nouveau développement économique et facteur de richesses nouvelles, permettant « plus de bonheur » à chacun.

On peut en conclure que ce n’était que de la poudre aux yeux, répandue par les lobbies de la gauche caviar et de la droite cosmopolite, destinée à mettre en place le Nouvel Ordre mondial.

Les nationalistes se sont toujours opposés aux docteurs honoris causa du mondialisme qui dévaste tous les secteurs économiques européens, pour le seul bénéfice des pays sous-développés qui nous submergent de leurs productions à prix bradés et de qualité médiocre.

Que reste-il de notre industrie textile, de celle de la chaussure, des chantiers navals, de la sidérurgie, de la télévision, de l’activité minière ou encore de notre agriculture ?

Selon une comparaison internationale (publiée par Eurostat en avril 2018) le coût horaire de la main d’œuvre est de 62 € en Suisse, de 50 € en Norvège, de 43 € au Danemark, de 36 € en France, de 35 € en Allemagne, mais de 22 € en Espagne, de 14 € au Portugal, de 10 € en Pologne et seulement de 7 € en Roumanie.

Déjà en 2005, le sénateur démocrate des Etats-Unis Byron Dorgan déclarait :

« Les travailleurs américains perdent leur boulot qui va en Chine. Car là-bas, on peut payer les gens 0,30 dollar de l’heure (environ 90 € par mois) et les faire travailler 7 jours sur 7 ! »

Quinze ans plus tard, après des millions d’emplois supprimés aux USA et des dizaines de millions de chômeurs en Europe, les choses ont évoluées dans l’Empire du Milieu : les salaires mensuels moyens sont de 143 $ dans la province du Guangxi, de 166 $ dans celle d’Anhui, mais de 317 $ à Shenzhen et de 350 $ à Shanghai. Le Japon et la Corée du Sud qui faisaient fabriquer certains produits en Chine, ont trouvé maintenant moins cher ailleurs.

Les Fils du Ciel eux-mêmes, dirigeants de conglomérats chinois, ont aussi installé des usines complètes sous des latitudes où les salaires sont encore moins élevés que chez eux, comme en Tunisie et au Maroc (310 $ et 240 $ mensuels) mais surtout en Ethiopie où l’ouvrier gagne 55 $ par mois, au Cambodge 100$, au Bengladesh 115 $, au Viêt-Nam 175 $ (1er exportateur mondial de chaussures), ou au Laos 180 $ mensuels.

Quelques rares figures politiques européennes ont, depuis 25 ans, tiré la sonnette d’alarme, face aux « délocalisations sauvages » permettant aux actionnaires et aux intermédiaires d’augmenter rapidement leurs revenus, sans se soucier des effets dévastateurs aux niveaux social, économique et financier.

La clique des libéraux-socialauds-écolos-humanistes a montré son incompétence et son incurie pour relever le défi de la guerre économique déclarée par les pays asiatiques depuis des décennies.

Alain Peyrefitte avait écrit un livre prémonitoire à cette époque : « Quand la Chine s’éveillera, le monde tremblera ». Nous y assistons déjà depuis plusieurs années et nous constatons que les gourous du Nouvel Ordre Mondial, les laquais du mondialisme et les banksters de Wall Street ne proposent aucun remède aux naufrages industriels dans nos contrées, responsables de déficits publics exorbitants. Bien au contraire, ils se sont faits les complices de l’invasion étrangère dans tous les domaines :

Culture, textiles, sidérurgie, automobiles, drogues, contrefaçons multiples, denrées alimentaires, électronique grand public et immigration de peuplement.

C’est totalement grotesque et suicidaire ! 

En juin 2022, nos concitoyens pourront à nouveau exprimer leur suffrage pour désigner ceux qui dirigeront les affaires de notre pays. Devra-t-on alors s’attendre à de nouvelles surprises ?

02:20 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie début avril de "Réflexions pour un nouveau corporatisme" aux éditions Synthèse nationale

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00:00 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |