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jeudi, 23 avril 2020

Le JOURNAL DE TV LIBERTÉS (JEUDI 23 AVRIL)

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De l’urgence de changer de logiciel

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Voici notre quatrième intervenant, l'écrivain, chroniqueur et éditeur Philippe Randa que l'on ne présente plus aux lecteurs de Synthèse nationale...

S.N.

Philippe Randa

Le terme « mondialisme » prête souvent à confusion à notre époque où la circulation à travers le vaste monde, en durée comme en moyens, est aussi simple qu’ancrée désormais dans les habitudes des plus riches comme dans les rêves des plus pauvres. À moins d’être fou ou particulièrement mauvais de nature, on ne saurait, à l’évidence, le déplorer… et encore moins vouloir l’empêcher.

Définissons donc d’emblée le « mondialisme » : une idéologie politique visant à instaurer un État mondial, ayant aboli toutes notions de frontières, appelé parfois « village mondial » et sensé représenter un Eldorado de prospérité économique, de concorde entre tous les humains, d’accès à la consommation pour tous et surtout, béatitude suprême ! de surconsommation… Bref, une sorte de retour de l’Homme, de la femme et du transgenre si affinité au Jardin d’Eden, terrestre celui-là, mais sans l’interdit de manger les fruits de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, puisqu’ils seront génétiquement modifiés aux normes de la Pensée unique.

Et donc ! Ne concevons pas le refus du mondialisme comme une volonté de repli sur soi, de haine de l’étranger, de racisme, de phobie religieuse… et encore moins de craintes économiques. C’est même l’exact contraire car le mondialisme est la porte ouverte à tous ces maux : quand on ne sent plus protégé, on se replie sur soi ; quand l’étranger est perçu comme une menace de son identité, de sa culture, de son économie, de sa religion, de sa sécurité, etc., on finit par le mépriser… avant de le haïr.

Et donc ! S’opposer à un quelconque Ordre mondial despotique, prétendument « axe du Bien » et mensongèrement assurance de paix comme de prospérité, nécessite de prôner un autre modèle de société, applicable à tous les peuples qui ont en commun, sinon langue ou coutumes, une civilisation.

C’est le cas, notamment, des peuples d’Europe.

Ce modèle, qui serait forcément le moins mauvais de tous les systèmes – et donc, de fait, le meilleur, à défaut d’être exempt de failles –, pourraient s’appuyer sur quelques-uns de ces adages populaires qui ont fait leur preuve de sagesse comme de bon-sens et surtout d’efficacité ! Pour n’en citer que deux : « Être charbonnier et maître chez soi » et « ne pas faire à autrui ce qu’on ne voudrait pas qu’on vous fît. »

Alors, concrètement, que faire ? (comme dirait Lénine de ce qui est, à l’évidence un « vaste programme » comme dirait Charles De Gaulle), ou plutôt qu’espérer ?

La crise du coronavirus et sa gestion pour le moins étonnante ayant déclenché un vent de panique rarement connu par le passé et à un confinement général (plus ou moins total suivant les pays) qui est une quasi-première dans la vaste histoire de l’humanité, laisse à penser que « plus rien ne sera comme avant ». Augurons-en pour espérer des lendemains meilleurs.

Par exemple que nos gouvernants, ou ceux qui aspirent à l’être, changent de logiciel, car c’est la même politique menée depuis des décennies, celui du profit immédiat et irresponsable qui a encouragé la délocalisation de tout ce que l’on peut produire, mais à un certain coût, en Europe, à l’autre bout du monde, pour bien moins cher ; quand il s’agit de téléviseurs ou de jogging, il n’y a certes pas mort d’homme, (seulement d’entreprises nationales), mais quand il s’agit de masques et de tests pour les dépistages, il en va tout autrement… comme de la grande majorité des médicaments.

Lors d’une de ses apparitions télévisées, Emmanuel Macron a finalement reconnu – comment en aurait-il pû être autrement, d’ailleurs ! – qu’il faudrait songer à relocaliser certains produits de première nécessité. Cela pourrait être un début de lendemains meilleurs, qui sait ?

De même, ils étaient bien nombreux ceux qui affirmaient péremptoirement que la fermeture des frontières en cas de danger national était impossible. Et qu’il fallait vraiment être stupide pour y songer. Ce fut pourtant fait en quelques jours. Impossible n’est donc pas plus français qu’européen, russe, américain, chinois ou autres…

Cela faisait des années que nombre de médecins et d’infirmières alertaient les Pouvoirs publics sur l’état déplorable de nos services hospitaliers, aux mains d’un personnel administratif aussi incompétent que pléthorique : plus de 20 000 morts avec un taux de mortalité effrayant parmi les gens infectés ont prouvés qu’ils disaient vrais ; Dieu ! que le sanglot du Corps médical est triste au fond des hôpitaux ! L’entendra-t-on enfin ? Mieux vaut tard que jamais…

On déplore que le taux de mortalité lié au coronavirus soit particulièrement élevé en Seine-Saint-Denis, département tristement célèbre pour ses zones de non-droit. Y faire appliquer le confinement n’aurait pas été une priorité du gouvernement selon une fuite d’après-conseil des ministres… Une priorité ou une possibilité ? Près d’un million de contraventions pour non-respect du confinement ont pourtant été dressé partout en France. Certains plus récemment français que d’autres auront donc payés au prix lourd l’antiracisme obsessionnel de nos gouvernants… De « Touche pas à mon pote » à « Touche pas à mes morts ! », le diable en rit encore !

Cette crise du coronavirus permettra-t-elle de dessiller les yeux de nombreux Français sur les tragiques réalités de la réalité mondialiste ? Et qui sait, parmi eux, pourquoi pas quelques-uns de nos gouvernants ?

Avant, ils pouvaient encore dire, sincèrement ou non : « On ne savait pas ! »

Désormais, on sait ! Ite missa est !

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12:21 Publié dans Notre enquête sur l'après mondialisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Des masques pour tous... mais pas pour Stéphane Ravier et ses administrés marseillais

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Voici ce qu’on peut lire sur Valeurs actuelles : « Antoine Baudino, attaché parlementaire de Stéphane Ravier et candidat RN à la mairie de Berre-l’Étang (Bouches-du-Rhône), cherchait en effet 1 000 visières de protection auprès des entreprises de la cité phocéenne afin de fournir les commerçants du 7e secteur de Marseille. Parmi plusieurs réponses positives accompagnées d’un devis, à sa grande surprise, il reçoit cette réponse quelque peu détonante de l’une de ces entreprises, nommée Make it Marseille : « Désolé, nous ne souhaitons pas contribuer à vos actions, ne partageant pas les mêmes valeurs que le Rassemblement National. » Contacté par Valeurs actuelles, le sénateur RN Stéphane Ravier ne mâche pas à ses mots à l’encontre de cette société : « Ça ressemble à une attitude de “salauds” ».

Dans tous les cas, la discrimination commerciale pour des raisons politiques est sanctionnée par la loi. L’article L121-11 du Code de la consommation dispose qu’« est interdit le fait de refuser à un consommateur la vente d’un produit ou la prestation d’un service, sauf motif légitime ». Cela signifie qu’un professionnel n’a pas le droit de refuser de vendre un produit ou une prestation de service à un consommateur.

Le Code pénal (articles 225-1 à 225-4) sanctionne toutes les discriminations, mais aussi le refus d’une vente ou d’une prestation de services ayant pour cause une discrimination fondée sur l’origine, le sexe, la situation de famille, l’apparence physique, le patronyme, l’état de santé, le handicap, les caractéristiques génétiques, les moeurs, les orientations sexuelles, l’âge, les opinions politiques, les activités syndicales, l’appartenance à une ethnie, une nation, une race, ou une religion. Les amendes peuvent aller jusqu’à 45 000 euros et/ou un emprisonnement jusqu’à trois ans (sanctions quintuplées pour les sociétés).

Source Breizh infos cliquez ici

12:14 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Coronavirus et France : Désinformation, réalité... et le « Monde d’après »

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Bernard Plouvier

Certains quotidiens français de la presse BCBG sont manifestement publiés pour rassurer le bon peuple.

Tel canard parisien dit de « référence » nous assure que la mortalité française est modérée. Par exemple, pour le 22 avril, on y publie un chiffre inférieur à 14 000 morts, alors que le chiffre réel pour cette fin de journée était supérieur à 20 000 morts, selon la comptabilité centrale du Johns Hopkins de Baltimore... donner la préférence aux chiffres du parisianisme triomphant sur ceux du N°1 planétaire de l’épidémiologie semble curieux.

Or, à la date du 23 avril, c’est fait ! La France macronienne est 2e au Hit-parade de l’inefficacité hospitalière occidentale (on ne peut tenir compte des chiffres de pays d’Asie – on ne doit  surtout pas considérer comme crédibles les statistiques chinoises – ou du moyen Orient – où règne une vraie pagaille administrative).

Il est absurde de considérer les chiffres de mortalité sans les comparer au nombre de cas traités. C’est ce que font à longueur de journée les journaleux français à propos des USA : certes, la mortalité globale actuelle y est comprise entre 41 000 et 42 000, mais sur 850 000 cas traités, ce qui donne un ratio aux alentours de 5% de mortalité.

Seule l’Allemagne fait mieux que les States de Trump. Elle fait d’ailleurs mieux que partout ailleurs – sauf dans les pays où l’on truque délibérément les statistiques : moins de 5 340 morts pour près de 151 000 cas traités, soit 3,5% de mortalité.

Notre score français, le matin du 23 avril, est sensiblement différent de ce que la presse bénigne veut nous faire accroire. Avec 21 340 morts sur 157 135 cas traités, nous arrivons à 13,6% de mortalité, ayant un peu dépassé les scores d’Italie et de Grande-Bretagne (13,4% de ratio morts/cas traités). Seule la Belgique fait pire que nous avec son ratio de 15%.

Évidemment, cela n’apparaît pas si l’on utilise les chiffres « bizarres » de la presse destinée au grand public crédule : ni l’efficacité allemande ou nord-américaine, ni notre triste inefficacité (comparable à celles des Belges, des Italiens et des Britanniques, on le reconnaît volontiers).

Non seulement, l’administration issue du Président immuable Mitterrand-Chirac-Sarkozy-Hollande-Macron a cassé l’efficacité hospitalière française et s’est avérée incapable de gérer cette crise épidémiologique à mortalité mineure et de type sélection naturelle – ce qui ne devrait pas entraîner de péril démographique comme on en observe en temps de guerre -, mais elle ment en permanence à la nation. 

Des incapables, servis par des pitres et des menteurs, voilà nos « bons princes ». Mais, en démocratie, la responsabilité incombe à l’électorat... si Grand Public Crédule il y a, c’est en raison de la faible utilisation de leur cerveau par nos merveilleux concitoyens.

Le « Monde d’après » dont on nous rebat les oreilles, ce devrait être idéalement, un monde où chaque être non idiot se mettrait à penser par lui-même, aidé par une presse où ne seraient reportés que des faits vérifiés et des statistiques dûment contrôlées... donc un autre monde que la Ve République en état de décomposition accélérée.

Avant de critiquer Macron et ses Charlots – indéniablement incompétents et menteurs -, il faut faire notre mea culpa. Si nos dirigeants sont ultra-médiocres, si notre administration est minable, c’est parce que nous avons laissé se gangréner un pays et des institutions qui n’étaient pas mauvais.

Les électeurs doivent comprendre que l’avenir leur appartient. Le Parlement, si l’on veut qu’il soit utile à quelque chose, ne doit plus comporter de démagogues qui n’ont jamais travaillé utilement, mais des êtres de grande expérience professionnelle. La vie administrative et les media doivent   reposer sur davantage d’honnêteté, ce qui implique une lutte permanente contre la corruption, le piston politique et maçonnique, le népotisme tribal ou familial, et la prostitution – les merveilleuses « promotions canapé ».

Le monde de l’économie doit rester privé pour d’évidentes raisons d’efficacité, mais il ne doit en aucun cas diriger, de quelque façon que ce soit, la vie politique du pays. Les Français sont coupables d’avoir baissé les bras, d’avoir amené aux apparences du pouvoir les marionnettes des financiers, des producteurs et des négociants.

Le monde d’après doit être celui du retour à la Démocratie : égalité de tous devant la Loi, méritocratie pour l’attribution des postes payés par l’argent public et consultation de la nation pour tous les grands sujets qui engagent son avenir, à court et moyen termes – le long terme étant strictement imprévisible.

Tout cela s’appelle le Populisme.

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11:58 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Troisième RDV avec l'Académie Europe : Gabriele Adinolfi reçoit Robert Steuckers

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11:50 Publié dans Gabriele Adinolfi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |